Elle grognait comme une bête aux abois, éssouflée, gémissante, haletante, la rythmique encore étonnement bien suivie par son bassin, ses fesses, en rythme, d'avant en arrière, ça rentre, ça sort, ça coulisse drôlement bien désormais, les rangées de chair s'engoufrent, lissées par les allées venues incessantes, et la pénétration se fait "parfaite", du fond jusqu'au bout de son gland, qu'il se plait désormais à sortir de là, parfois, pour l'y renfoncer, dépendant de son envie, il l'appuyait plus sur une paroi ventrale, ou dorsale sur le haut, la roite, le bas ou la gauche de ton anneau, avant de s'y engoufrer en choisissant de s'appuyer sur les membranes, les muscles de telle ou telle paroi, cherchant l'endroit qui te faisait te cambrer plus violemment parfois.
C'était là tout compte fait, la meilleure position, c'était celle ou il était presque "perpendiculaire" à ton corps affalé sur le sol, cul en l'air et jambes écartées, comme le foutu "piston" d'un vieux moteur allant tapper contre ses soupapes par usure du joint de culasse, comme un bélier percutant la porte d'un chateau fort, ici, ton diaphragme, la limite basse du sternum, chamboulant un peu tes viscères à chaque allée et venue, si bien que tu en avait presque l'impression d'étouffer quand tes poumons étaient forcés à la compression quand il entrait son dard.
Et elle se contractait de plaisir contre mon engin quand mon language se faisait de plus en plus "cru" pour distiller sa pointe de sel dans cette pénétration déjà bien intense, à croire qu'elle aimait réellement ça, ma belle amazone ♥ De se faire défoncer par une belle "horreur", et ça claques, les peaux tendues, les rebonds pubiens sur la surface de sa raie, ses hanches contre ses fesses, s'épousent un temps, s'embrassent, collent ensemble avant de claquer doublement, de leur rencontre, et de leur séparation huilée, presque comme des ventouses, un -schlrp- rapide, fait la peau en se décollant l'une de l'autre.
"-Sent... Comme ton pauvre sexe affolé est déjà prêt, bien prêt et impatient de m'acceuillir, tu le sens tressaillir, n'en plu pouvoir, jalouser son colocataire du haut d'être si bien "malmené" ? Oh, qu'il ne soit pas jaloux, n'est ce pas..."
Dit il en posant son regard sur le robinet de l'évier juste à coté, il ouvres l'eau chaude, tant pis s'il se la brûle un peu, la chaleur dilate de toute manière, mais il n'a pas envie de mêler les sécrétions, déglutitions des liquides provenant de son postérieur à ceux de sa vulve, c'est, la moinre des choses, il se lèves subitement, entre deux pénétrations profondes, retrait plus long et soudain qui, doit laisser madame en prise avec un vide intersidéral soudainement, presque hébétée par l'absence de continuité à un moment incongru, alors qu'elle venait de le supplier de la faire jouir par son "cul", une fois de plus, il avait envie de la surprendre, l'eau chaude et les huiles de bain firent leur office pour nettoyer son engin, ce fut fait rapidement, mais bien fait, au point où il se brûla légèrement, mais il était trop excité pour s'en rendre compte.
"-Maintenant... Que tes soumise à ton seigneur, à ton tigre, à ton lion, je vais offrir à cette belle rose du désert épanouie, la butine de son abeille, à ton papillon dont les ailes aux motifs hypnotiques sont ouvertes et déployées, le nectar tant supplié, de son plaisir ♥"
Le voilà légèrement poête après toute cette agitation, une note survenant à un moment bien étrange, mais pas aussi surprenant, sans doute, que la voie qu'il choisit, puisque son gland maintenant vient glisser sur tes lèvres, ta vulve, de haut en bas, bien guidée par sa main, ça entres... facilement, il faut croire que son sexe à été bien préparé par le remue ménage de ses chairs anales et est déjà bien dilaté, prête à le recevoir, ça entttrrres ♥ et c'est bien autre chose que de s'en emparer comme une bête et la dominer, c'est bien plus doux, plus raffiné, que ses chairs anales, et acceuillant, tr... troublant aussi, il s'empourpres, ça va faire si longtemps qu'il n'a plus goûté aux délices d'un sexe féminin, là ça le rend tout "chose", moins sûr de lui dans son entrée, parce qu'ici le plaisir est bien différent, bien plus intense, sur les membranes de la belle, son sexe bouillant, très chaud après ce nettoyage rapide, fait "fondre" ses chairs ployant avec aise autour de son engin, qui calles cependant, comme à son habitude, à l'enfournement de ses premières rangées de pointes de chairs, de raisins forant son intimité.
"-C'est plus.. hnnn... plus... Haaah... intense... que... Mrr... dans mes souvenirs... Tu as un doux nid bien acceuillant Marine, chaleureux, maternel... Haanhh ♥ C'est bon... c'est... si bon ♥"
Tu pouvais le sentir hésitant, lui même n'en revenait pas, il devrait s'y habituer, oh, il s'habituera, vite, mais pour le moment il se laissait doucement envahir par ce qu'il ressentait, par le frisson incroyable qui transcendait son corps à cet instant, ses mains se firent douces, caresses, louanges faites à ton dos, tes hanches et fesses qu'il regretta sur le moment avoir tant malmenées, ses mains vont même se perdre jusque dans ta chevelure incroyable, rouge, si rouge, il se pencha pour prendre ta chevelure à pleines mains, et la dresser vers son visage sans pour autant "tirer" sur ta longue chevelure, juste soupesée par ses mains la surélevant pour qu'il en prenne de profondes et longues bouffées pendant qu'il s'y caressait les joues, ronronnant comme un damné.
"-Oh, Marine... Si tu savais... Quand le lion prends bien soin de sa gazelle... ♥ ...Puisses tu être un jour véritable tigresse, je l'envie... Accroches toi bien... Marine..."