Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Marine

E.S.P.er

Peu à peu la douleur disparaissait, inhibée par l’alliance des phéromones produites par l’esprit de Marine et les sécrétions de son amant. Malgré la taille du membre qui, s’il l’avait prise violement l’aurait totalement éventrée, elle prenait énormément de plaisir. Chaque mouvement intensifiait encore son plaisir. Ses hanches rondes se mouvaient au rythme voulu de son compagnon. Elle se pliait à ses exigences, se soumettait à ses désirs qui se conjuguaient parfaitement aux siens. Elle avait toujours du mal à l’admettre. Elle préférait d’ailleurs ne pas y penser, se concentrant juste sur le plaisir qu’elle éprouvait. Elle aurait trop honte si elle réfléchissait, comme à son habitude, à ce qui se passait, au fait d’être prise, d’être sodomisée et d’aimer ça.

Elle gémissait et grognait même tout comme Khaléo. Elle ne sentait pas que sa verge en elle, tout le corps puissant du guerrier concourrait autant à lui donner du plaisir qu’à la soumettre. Elle sentait ses muscles contre son dos légèrement courbé. La peau duveteuse se frottait à la sienne. Les deux constellées de sueur salée. Les peaux se collaient, se décollaient sans cesse suivant les mouvements des pénétrations. C’était si bon. Les mains avaient pris possession de ses fesses, les modelant, les griffant, accentuant encore les sensations qu’elle éprouvait.

La rouquine  se sentait emportée par la verge puissante. Petit à petit, elle avançait de quelques millimètres sur le sol. Son fessier était parfois soulevé par le membre, lui décollant presque les genoux du sol. Marine avait du mal à rester consciente de tout mais elle aimait se « soulèvement ». L’angle dans lequel il la pénétrait était différent et la stimulait différemment. Elle sentait bien que son petit trou était malmené et probablement rouge écrevisse mais ce n’était pas bien grave. Elle ne ressentait plus la douleur de toute façon.

Les mots crus de Khaléo étaient plus facile à entendre et la stimulaient. A chaque fois qu’il l’apostrophait, elle poussait un gémissement plus puissant et son vagin se contractait entrainant une contraction de ses intestins sur la queue qui la prenait encore et encore. Elle lui répondait autant que possible.


« Dis le... haaah... Dis le maintenant... Dis moi... à quel point tu aimes ça... Je veux... hmmm... te l'entendre dire... »

Marine ne prit pas de gants. Elle n’en prenait plus maintenant. Il voulait du crû et elle aussi. Son corps appréciait ça.

« Oui… oui j’aime ça… mon beau tigre… j’adore quand tu me baises comme ça… quand tu défonces mon petit trou… j’ai honte mais j’aime trop ça pour arrêter… baise-moi bien… Fais-moi encore jouir par mon petit cul… »

La tête tombant entre ses épaules, ses cheveux, caressant le sol de carrelage, cachaient son visage rouge de honte. Comment pouvait-elle prononcer de tels mots ? Avoir un tel langage ? Elle qui avait toujours considéré la vulgarité comme une tare. Elle était entrain de jurer pire qu’un charretier. Elle s’en mordit la langue mais s’il lui avait demandé, elle aurait recommencé et même en pire quitte à se passer la langue au savon ensuite, ou pire, à se la couper.
 
Lorsqu’elle le sentit accélérer, elle se crispa. Il avait été lent et doux jusqu’à présent. Alors qu’il accentuait ses pénétrations, la jeune femme craint de souffrir et le « Bats-toi... Marine ♥ » ne présageait rien de bon. Pourtant, la douleur ne vint pas. C’est au contraire le plaisir qui la remplaça. Elle cria brutalement alors qu’il allait plus vite et que cela lui donnait tellement de plaisir.


« Ohhhhhh…. Hummmmmmmm… »

Se battre ? Non, elle n’en avait aucune envie. Elle avait déjà rendu les armes depuis un bon moment. Elle plia les coudes et affaissa son buste sur le sol. Ses seins lourds s’écrasèrent contre le carrelage dont la fraicheur lui fit du bien. Sa tête aussi rencontra le sol par le biais de sa joue droite. Cette posture la reposait un peu. Elle avait du mal à rester à quatre pattes. Les vagues puissantes de plaisir qui la ravageaient, la faisaient flageoler. A demi-couchée sur le sol, elle redressa son fessier, le pointant insolemment vers les cieux, offrant de manière impudique son anus au ravage de la verge du tigrélion. Elle soupirait, gémissait. Son souffle  chaud sur le carrelage froid créait des petites gouttelettes d’eau sur le sol. Parfois sa langue allait les recueillir pour étancher sa soif. Sa gorge était irritée mais elle ne voulait pas stopper pour autant.

Les doigts de l’homme lui manquaient. C’est donc ses propres doigts qu’elle amena jusqu’à sa bouche. D’abord un doigt puis un deuxième, pénétrèrent sa bouche. Elle commença à les sucer bruyamment, rajoutant encore aux sons ambiants, l’excitant encore davantage. Sa langue léchait ses doigts avec délice comme s’il salissait d’une glace au chocolat, son pêché mignon. Ce petit plus ne fit que rajouter à son désir. L’odeur de sa cyprine se répandait dans toute la salle de bain. Une petite flaque s’était créée sous elle. A chaque fois, qu’il la pénétrait, son antre trempée relâchait son doux nectar des plaisirs. Celui-ci avait coulé sur ses cuisses, ses jambes mais maintenant tombait directement sur le sol sauf quand il éclaboussait ses bourses lourdes et bien remplis qui venaient tacler son intimité.


« Ohh... regardez là ♥ Cette fière guerrière... En train... en train de prendre son pied, depuis son cul possédé par un salaud de monstre batti comme un vulgaire âne, comme un cheval, un minotaure... combien de temps va tu pouvoir tenir à cette cadence, hmmm ♥ Avant d'en jouir... Haan tu te rends compte, au moins ? De jouir de ton cul bien pris, bien ramoné, visité de fond en comble, farcie jusqu'a la gorrrrge, ne t'en fait paaas, laisses toi aller ♥ je... ne le dirai à personne... »

Une nouvelle fois le rouge lui monta aux joues mais de nouveaux spasmes la prirent. Elle ne jouissait pas, pas encore. Son corps, soulagé une première fois, pouvait attendre encore un peu mais l’excitation montait encore d’un cran en elle. C’était bon, intense, violent, sauvage, primaire. Putain que c’était bon !

« Vas-y… hummmm… Ravages-moi bien… fais-moi jouir putain… fais-moi jouir encore par mon cul… et prends ton pieds aussi mon beau mâle… humm… »

Elle aussi ronronnait maintenant. Ses vibrations de gorge remuaient doucement ses entrailles et se ressentaient jusque dans son bassin. Ils étaient bien sûr faibles, bien plus faibles que ceux que lui faisait mais c’était beaucoup pour une banale humaine. Mais était-elle si banale que ça au fond ?

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Khaléo

Terranide


Elle grognait comme une bête aux abois, éssouflée, gémissante, haletante, la rythmique encore étonnement bien suivie par son bassin, ses fesses, en rythme, d'avant en arrière, ça rentre, ça sort, ça coulisse drôlement bien désormais, les rangées de chair s'engoufrent, lissées par les allées venues incessantes, et la pénétration se fait "parfaite", du fond jusqu'au bout de son gland, qu'il se plait désormais à sortir de là, parfois, pour l'y renfoncer, dépendant de son envie, il l'appuyait plus sur une paroi ventrale, ou dorsale sur le haut, la roite, le bas ou la gauche de ton anneau, avant de s'y engoufrer en choisissant de s'appuyer sur les membranes, les muscles de telle ou telle paroi, cherchant l'endroit qui te faisait te cambrer plus violemment parfois.

C'était là tout compte fait, la meilleure position, c'était celle ou il était presque "perpendiculaire" à ton corps affalé sur le sol, cul en l'air et jambes écartées, comme le foutu "piston" d'un vieux moteur allant tapper contre ses soupapes par usure du joint de culasse, comme un bélier percutant la porte d'un chateau fort, ici, ton diaphragme, la limite basse du sternum, chamboulant un peu tes viscères à chaque allée et venue, si bien que tu en avait presque l'impression d'étouffer quand tes poumons étaient forcés à la compression quand il entrait son dard.

Et elle se contractait de plaisir contre mon engin quand mon language se faisait de plus en plus "cru" pour distiller sa pointe de sel dans cette pénétration déjà bien intense, à croire qu'elle aimait réellement ça, ma belle amazone ♥ De se faire défoncer par une belle "horreur", et ça claques, les peaux tendues, les rebonds pubiens sur la surface de sa raie, ses hanches contre ses fesses, s'épousent un temps, s'embrassent, collent ensemble avant de claquer doublement, de leur rencontre, et de leur séparation huilée, presque comme des ventouses, un -schlrp- rapide, fait la peau en se décollant l'une de l'autre.


"-Sent... Comme ton pauvre sexe affolé est déjà prêt, bien prêt et impatient de m'acceuillir, tu le sens tressaillir, n'en plu pouvoir, jalouser son colocataire du haut d'être si bien "malmené" ? Oh, qu'il ne soit pas jaloux, n'est ce pas..."

Dit il en posant son regard sur le robinet de l'évier juste à coté, il ouvres l'eau chaude, tant pis s'il se la brûle un peu, la chaleur dilate de toute manière, mais il n'a pas envie de mêler les sécrétions, déglutitions des liquides provenant de son postérieur à ceux de sa vulve, c'est, la moinre des choses, il se lèves subitement, entre deux pénétrations profondes, retrait plus long et soudain qui, doit laisser madame en prise avec un vide intersidéral soudainement, presque hébétée par l'absence de continuité à un moment incongru, alors qu'elle venait de le supplier de la faire jouir par son "cul", une fois de plus, il avait envie de la surprendre, l'eau chaude et les huiles de bain firent leur office pour nettoyer son engin, ce fut fait rapidement, mais bien fait, au point où il se brûla légèrement, mais il était trop excité pour s'en rendre compte.



"-Maintenant... Que tes soumise à ton seigneur, à ton tigre, à ton lion, je vais offrir à cette belle rose du désert épanouie, la butine de son abeille, à ton papillon dont les ailes aux motifs hypnotiques sont ouvertes et déployées, le nectar tant supplié, de son plaisir ♥"


Le voilà légèrement poête après toute cette agitation, une note survenant à un moment bien étrange, mais pas aussi surprenant, sans doute, que la voie qu'il choisit, puisque son gland maintenant vient glisser sur tes lèvres, ta vulve, de haut en bas, bien guidée par sa main, ça entres... facilement, il faut croire que son sexe à été bien préparé par le remue ménage de ses chairs anales et est déjà bien dilaté, prête à le recevoir, ça entttrrres ♥ et c'est bien autre chose que de s'en emparer comme une bête et la dominer, c'est bien plus doux, plus raffiné, que ses chairs anales, et acceuillant, tr... troublant aussi, il s'empourpres, ça va faire si longtemps qu'il n'a plus goûté aux délices d'un sexe féminin, là ça le rend tout "chose", moins sûr de lui dans son entrée, parce qu'ici le plaisir est bien différent, bien plus intense, sur les membranes de la belle, son sexe bouillant, très chaud après ce nettoyage rapide, fait "fondre" ses chairs ployant avec aise autour de son engin, qui calles cependant, comme à son habitude, à l'enfournement de ses premières rangées de pointes de chairs, de raisins forant son intimité.


"-C'est plus.. hnnn... plus... Haaah... intense... que... Mrr... dans mes souvenirs... Tu as un doux nid bien acceuillant Marine, chaleureux, maternel... Haanhh ♥ C'est bon... c'est... si bon ♥"


Tu pouvais le sentir hésitant, lui même n'en revenait pas, il devrait s'y habituer, oh, il s'habituera, vite, mais pour le moment il se laissait doucement envahir par ce qu'il ressentait, par le frisson incroyable qui transcendait son corps à cet instant, ses mains se firent douces, caresses, louanges faites à ton dos, tes hanches et fesses qu'il regretta sur le moment avoir tant malmenées, ses mains vont même se perdre jusque dans ta chevelure incroyable, rouge, si rouge, il se pencha pour prendre ta chevelure à pleines mains, et la dresser vers son visage sans pour autant "tirer" sur ta longue chevelure, juste soupesée par ses mains la surélevant pour qu'il en prenne de profondes et longues bouffées pendant qu'il s'y caressait les joues, ronronnant comme un damné.

"-Oh, Marine... Si tu savais... Quand le lion prends bien soin de sa gazelle... ♥ ...Puisses tu être un jour véritable tigresse, je l'envie... Accroches toi bien... Marine..."

Marine

E.S.P.er

Les mouvements allaient bon train ! Désormais, le rythme était pris et les voies anales étaient habituées à la pénétration. Toutes les pénétrations se faisaient avec une facilité déconcertante désormais comme si Marine avait l’habitude de se faire prendre comme ça tout le temps. Il était vraie qu’elle avait déjà subit la sodomie mais elle avait détesté ça. Elle n’aurait jamais cru y prendre du plaisir et même arriver à en jouir. La vie était parfois bien étrange et l’adage « ne jamais dire jamais » se justifiait pleinement à cet instant.

La jeune femme continuait de gémir et ronronner sous le pilonnage intense que faisait le tigrélion. Lui aussi y prenait un grand plaisir. Elle le sentait à chaque mouvement. Mais malgré les paroles crues et le défonçage en règle qu’il lui faisait subir, elle sentait bien que cela allait au-delà d’un simple échange violent et bestial. Elle aimait ça aussi, c’était loin de lui déplaire mais elle ressentait autre chose pour cette personne rencontrée au hasard d’une taverne. Un être particulier, atypique et merveilleux. Tombait-elle amoureuse ? Difficile à dire mais ce qui était certain c’est qu’elle souhaiterait plus de lui que de simples moments de sexe. Elle voulait un compagnon. La réalité l’étonna au plus haut point mais elle y repenserait en temps utile. Là, elle souhaitait prendre du plaisir et lui en donner. Du plaisir mais surtout tout l’amour qu’elle n’avait jamais eu, jamais connu.


"Sent... Comme ton pauvre sexe affolé est déjà prêt, bien prêt et impatient de m'accueillir, tu le sens tressaillir, n'en plu pouvoir, jalouser son colocataire du haut d'être si bien "malmené" ? Oh, qu'il ne soit pas jaloux, n'est ce pas..."

Oh oui, qu’il était prêt son sexe. Il était même bien plus que ça. Il tressaillait d’envie depuis longtemps déjà, suppliant d’être pris, s’inondant de cyprine pour tenter l’homme et son chibre imposant. L’intimité de la belle voulait aussi connaître les délices d’être prise et soumise au bon vouloir du mâle. Soudain, sa rosette fut abandonnée, délaissée. La chaleur du membre l’avait quittée. Il avait quitté ses fondements et ne semblait pas vouloir y revenir tirant un cri de protestation à la demoiselle qui se voyait privée de son plaisir.

« GRRRRRRRRRR… Pourquoi tu… ??? »

Marine redressa la tête et le vit, debout, près du lavabo. Il nettoyait son membre. Elle fronça les sourcils. Qu’est-ce qu’il faisait ? Peu habituée à ce genre de chose, elle ne comprenait pas bien. Il fallait dire que Don n’avait jamais vraiment pris de gant avec elle. Il s’était toujours bien moqué d’elle. Il ne pensait qu’à prendre son pied et rien d’autre. Khaléo était le complet opposé. Elle le regarda alors revenir vers elle et reprendre sa position précédente. Son gland puissant vint caresser ses grandes lèvres en feu.

"Maintenant... Que t’es soumise à ton seigneur, à ton tigre, à ton lion, je vais offrir à cette belle rose du désert épanouie, la butine de son abeille, à ton papillon dont les ailes aux motifs hypnotiques sont ouvertes et déployées, le nectar tant supplié, de son plaisir ♥"

Elle poussa un soupir de soulagement et d’envie. Non, il n’en avait pas finit avec elle. Elle sourit en fermant les yeux alors que son sexe commençait à être sérieusement sollicité par celui de son amant. Elle remua un peu son postérieur comme une invitation indécente à la prendre. Enfin, le gland commença à s’engouffrer dans ses parois intimes. Des parois qui s’ouvrirent sans aucun problème. La cyprine plus qu’abondante permettait de faire glisser la  verge sans soucis. L’excitation faisait le reste. Son intimité attendait ce moment depuis si longtemps qu’elle n’allait pas jouer les prudes et refuser le membre. Bien au contraire, elle l’aspira, l’engloutit, se déforma, montrant sa joie de voir cette queue monstrueuse en elle. La jeune femme sentait les vibrations du membre, preuve de l’envie et du plaisir du guerrier. Elle baissa de nouveau la tête et soupira de plaisir.

« Hummmmmmmm…. »

"C'est plus... hnnn... plus... Haaah... intense... que... Mrr... dans mes souvenirs... Tu as un doux nid bien accueillant Marine, chaleureux, maternel... Haanhh ♥ C'est bon... c'est... si bon ♥"

Comme il avait raison. C’était très différent de cette manière. C’était plus intense, moins animale, mais tout aussi bon et bien plus même. Peut-être parce que c’était la pénétration logique, naturelle. Elle ne reniait en rien ce qui s’était passé avant. Elle avait adorée. Elle avait jouie et elle n’hésiterait pas à en redemander mais là, la notion d’amour était soudainement plus présente encore. D’ailleurs, le tigre semblait moins sûr de lui. Il y allait avec plus de lenteur, plus de prévenance. Marine appréciait cela. Elle ressentait d’autant plus chaque centimètre qui entrait en elle. Ses chairs intimes enserraient la verge et ressentaient tous les grains de chairs qui ponctuaient le membre. Les mains agiles se baladèrent alors sur le corps de la guerrière, lui procurant des dizaines de frissons. Sous la demande de la main qui caressait ses cheveux, elle redressa sa tête et rouvrit les yeux.

"Oh, Marine... Si tu savais... Quand le lion prends bien soin de sa gazelle... ♥ ...Puisses tu être un jour véritable tigresse, je l'envie... Accroches toi bien... Marine..."

L’interpellée gémit et se colla contre le torse au combien musclé de son mâle. Oui, son mâle. Elle le considérait bien comme tel. Il avait l’ascendant sur elle mais elle sentait bien que derrière sa force, il y avait aussi beaucoup de douceur. Il parlait de prendre soin de sa gazelle et si c’était possible. S’il voulait effectivement la garder près de lui. Pouvait-elle vivre une vraie vie avec quelqu’un comme tellement de gens ? Mais les questionnements seraient une nouvelle fois pour plus tard. Là, c’était l’amour physique qu’ils se donnaient. Un échange des corps, un partage, une envie, un amour aussi.

Elle s’appuya sur ses jambes au sol pour se redresser et se retrouver sur les genoux, droite. Ses mains reculèrent pour aller caresser la taille musculeuse et la peau douce et duveteuse. C’était agréable sous ses doigts. Le membre, dans cette position, allait très profondément en elle, lui donnant un plaisir intense. Elle tourna légèrement la tête de manière à pouvoir frotter sa joue contre le haut du torse, près de l’épaule de Khaléo.


« Aime-moi. Je serais ce que tu voudras… ta gazelle, ta lionne, ta tigresse… tout… tant que tu restes près de moi, avec moi… On est pareil… Je serais toujours prête pour toi… toujours… hummmm »

Marine oscilla doucement les hanches. L’amplitude de ses mouvements était limitée dans cette position mais l’assaut final n’était pas encore au programme. Ils prenaient plus leur temps. Une sorte de répit. C’était comme dans un concerto, il y avait toujours une rupture, un moment où la musique se faisait plus douce, un interlude avant que la musique ne reprenne plus forte, plus puissante, plus passionnée.

Merci Stephen pour la sign :)

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