My-my, oh, my-my, won't you come and let me dive ? [Feat. Nicole Miller]

Une fois encore, les aventures de la douce et curieuse Nowi l’avaient mené en terre inconnue – enfin plus si inconnues que cela au fil du temps - de celles de la Terre. Il lui arrivait de plus en plus souvent de séjourner au milieu des humains et pourtant, elle se trouvait être encore loin de tout connaître de ce peuple qui n’avait de cesse de l’émerveiller. C’est pourquoi ses multiples escapades demeuraient toujours un véritable plaisir, d’autant plus qu’il lui arrivait souvent de s’amuser de bien des façons.

Cette fois-ci, elle se trouvait à part de la ville, dans un cadre plus montagneux. Elle avait aussi pris les traits d’une femme, ce qui lui allait à ravir. Nowi aimait se déguiser en homme, comme ces derniers temps, mais elle préférait quand même de loin être dans la peau de son sexe d’origine. Elle était si heureuse de se retrouver dans un corps de femme qu’elle avait décidé de s’offrir le plaisir de pouvoir elle aussi profiter de ce corps d’emprunt qu’elle a choisi de prendre. Et pour cela, rien de mieux qu’un bon bain relaxant où elle pouvait mêler nudité pour profiter de ses sublimes courbes et détente pour… bah se détendre quoi.

Si elle avait choisi l’onsen, c’est justement car il y en avait un de proposé dans l’hôtel où elle séjournait durant cette période. Une aubaine quand même ! C’est ce qu’on appelait mêler l’utile à l’agréable. Alors, elle s’y rendit et les bains n’étaient pas mixtes, ce qui évitait tant de se retrouver avec des emmerdeurs que d’y faire de belles rencontres. Un mal et un bien à la fois en gros. Et puis, toutes les femmes n’étaient pas forcément très ouvertes à l’idée de voir des hommes dans un moment intime donc ça se comprenait.

Arrivée sur les lieux, Nowi profitait dans un premier temps du cadre. C’était plutôt simple mais beau et l’endroit avait ce petit quelque chose de cosy. Il y avait déjà quelques femmes aux alentours qui profitaient de l’endroit, éparpillées un peu dans toute la zone. C’était difficile d’y trouver sa place mais elle y parvint quand même, se mettant dans un petit coin avec un peu de végétation alentour, ce qui lui rappelait un peu sa jungle natale. Elle eut un peu de mal à vraiment se sentir à l’aise pour décompresser mais au fur et à mesure que le lieu se vidait, elle y arrivait. Les humaines quittaient l’onsen, la chaleur des lieux leur devenant insupportable à trop grande dose. Nowi, de son côté, sûrement grâce à sa génétique différente, ne semblait pas plus dérangée que cela. Au contraire, plus le temps passait, mieux elle se sentait. Elle finit même par se retrouver seule dans le coin, si bien qu’elle se permit de se mettre un peu plus à l’aise pour somnoler un peu, ses muscles se relâchant un peu plus. Elle était tellement détendue et dans sa bulle qu’elle ne remarqua pas l’arrivée d’une nouvelle personne…

Nicole était une pure citadine, elle aimait la grande ville et son animation à toute heure du jour et de la nuit, malgré ses journées bien chargée d’infirmière scolaire elle sortait toujours faire la fête là où elle le pouvait. Pourtant pour cette petite période de congé, elle avait décidé de se retirer dans un petit hôtel traditionnel, bien loin de l’agitation de la ville, parfait pour se relaxer.

Elle était arrivée tôt le matin et elle avait pu profiter d’un bon repas ainsi que d’une petite balade agréable dans le jardin de l’hôtel qui était le principal atout de l’établissement, on s’y croirait en pleine nature. Bien qu’elle ait louée un kimono pour se mettre dans l’ambiance des lieux, elle avait profité d’être seule lors de sa promenade pour se dévêtir et se balader dans le plus simple appareil. Elle aimai être nue, elle n’était pas pour autant exhibitionniste mais puisqu’il n’y avait personne pourquoi ne pas en profiter. Elle était totalement à l’aise avec son corps pourtant si particulier, son jolie visage et ses cheveux courts lui donnait un charme assez commun, elle était également assez fière de son imposante poitrine qu’elle aimait mettre en valeur avec des vêtements la moulant parfaitement ou en laissant paraître une partie.

Au cours de sa promenade, elle avait suivi le chemin menant à l’onsen dédié aux femmes, quand elle croisa un petit groupe qui en remontait, celles ci marquèrent un temps d’arrêt en apercevant l’énorme verge qui pendait à l’entrejambe de l’infirmière avant de continuer leur route après que Nicole leur ait sourit, elles étaient plutôt mignonnes. Sa particularité physique passait difficilement inaperçu, une énorme verge longue jusqu’au genou alors qu’elle était au repos, depuis le temps elle s’était habitué à son service trois pièces mais il n’y avait pas un jour qui passait sans qu’elle se demande pourquoi fallait il que ce soit si gros.

Elle laissa son kimono sur le coté afin de rentrer dans l’eau, elle était chaude mais très agréable. L’endroit était plutôt jolie au milieu de la végétation et de la montagne, le bassin naturel semblait assez grand. Il ne semblait plus avoir personne à profiter du bain, ce n’était pas pour lui déplaire, elle pouvait ainsi se mettre à l’aise.

Calme, relaxation, silence. Tels étaient les mots pour décrire la situation de Nowi qui se prélassait dans l’eau. Sa somnolence se changeait peu à peu en véritable sommeil, ce qui aurait pu être quand même dangereux pour la terranide mais, fort heureusement, habituée à dormir sur le qui-vive, elle se réveilla lorsqu’elle sentit du mouvement dans l’eau. Les ondes provoquées par l’arrivée d’une nouvelle personne dans les environs permirent à la curieuse de sortir de sa torpeur naissante.

Elle se réveilla donc, n’étant pas encore dans son sommeil profond, et ouvrit les yeux mais, dans un premier temps, elle ne vit rien. Le bassin était plutôt grand et un énorme rocher ornait au milieu, dissimulant sûrement la nouvelle arrivante qui se trouvait de l’autre côté. Alors, Nowi hésitait. Quitte à être réveillée, pourquoi n’irait-elle pas faire un petit coucou à la personne qui venait d’arriver, afin de sociabiliser un peu comme elle aimait tant le faire ? Et, en même temps, sûrement que la nouvelle arrivante voulait être tranquille et se relaxer elle aussi, surtout si elle se pensait seule dans les environs. Mais ne pas s’annoncer n’allait-il pas être une forme de voyeurisme ou quelque chose dans ce genre ? Nowi ne comprenait pas toujours la psychologie humaine et ça la menait parfois à ce genre de questionnement. Au final, elle décida d’aller à la rencontre de l’arrivante et, qu’au pire, si elle ne souhaitait pas converser, elle serait bien assez grande pour le dire, non ?

Nowi contourna finalement l’énorme rocher et une très belle femme se dévoila à elle. Elle avait les cheveux courts mais la caméléone trouvait que ça lui allait très bien et augmentait son charme. Ses traits étaient doux et lui inspiraient de la sympathie. Nowi n’était pas timide pour un sou et approcha un peu plus, l’eau recouvrant quand même une bonne partie de son corps, tout comme pour l’inconnue, ne laissant qu’une petite partie de sa poitrine à l’air libre, et tenta un contact, jouant la carte de l’honnêteté :

- Bonjour. Je vous dérange peut-être mais j’ai préféré venir à vous pour annoncer ma présence ici. Ça peut paraître idiot mais je ne voulais pas avoir l’air d’une voyeuse en vous faisant croire que vous étiez seule ici.

C’était peut-être un peu maladroit pour une tentative d’approche mais c’était désormais trop tard pour revenir en arrière.

C’était tout de même dommage d’être seule dans l’eau, Nicole avait espéré pouvoir se rincer l’œil en se retrouvant au milieu de jolies femmes, il n’y avait rien de mieux pour se relaxer. Les onsen n’étaient pas fait pour ça mais elle ne se cachait pas d’être un peu voyeuse sur les bords et puis elle ne comptait faire preuve d’abstinence lors de son séjour, elle avait des besoins à assouvir comme tout le monde.

Elle était en train de repenser aux femmes qu’elle avait croiser en arrivant, il y avait de quoi s’amuser un peu. Mais peut être qu’elle n’avait pas besoin d’attendre, elle entendit des mouvements dans l’eau et vit une autre femme approcher, elle se trouvait dans un coin qu’elle n’avait pas vu. Avait-elle honte de voir toutes les femmes comme de potentielles partenaire ? Pas vraiment et elle ne faisait rien pour aller à l’encontre de sa nymphomanie. Elle laissa donc l’inconnu s’approcher, elle voulait juste l’avertir de sa présence pour ne pas passer pour une voyeuse. Ce n’était pas commun comme approche, personne n’allait dans un onsen en ayant peur de ça même si Nicole n’était sûrement pas la seule à laisser traîner ses yeux sur les autres. Elle souri à l’autre femme avant de répondre :

« Devoir se justifier de ne pas faire dans le voyeurisme, c’est ça qui est suspect. Mais je le conçois, il est compliqué de détourner les yeux de mon corps de déesse même si on les y posent par mégarde. »

Puisqu’elle en avait l’occasion, elle décida de s’amuser un peu en se redressant un peu pour faire remonter sa poitrine hors de l’eau et placer ses opulents seins sous le nez de la nouvelle arrivée :

« Qui sait, peut être que moi, j’aime qu’on me regarde. »

La subtilité n’était pas un mot du vocabulaire de l’infirmière.

La réponse de l’inconnue était… plutôt logique en fait. Nowi se rendait compte qu’elle paraissait bien plus suspecte de se justifier de son comportement alors qu’on ne lui avait rien demandé. C’était comme si elle exposait sa culpabilité aux yeux de tous alors qu’elle n’éveillait aucun soupçon. Si elle avait pu être gênée, c’est un rire qui échappa des lèvres de la caméléone finalement en constatant que la dame qui était dans le bain avec elle n’était pas fâchée contre elle et se permettait même de s’auto-complimentait et que cela expliquerait du voyeurisme.

Puis, la nouvelle arrivante se redressa pour laisser un peu plus de son corps à la vue de la douce terranide qui, il fallait l’avouer, ne pouvait se retenir de regarder un peu. En même temps, avec une telle paire de sein pile sous le nez, même si elle avait été totalement hétéro, Nowi n’aurait pas pu l’ignorer. Elle aimait qu’on la regarde, elle ne s’en cachait pas et Nowi comprit qu’elle avait à faire à une personne qui ne se voulait pas pudique. Amusée, sa réponse ne se fit pas attendre.

- Vous avez raison, je n’avais pas pensé au fait que je pouvais être encore plus suspecte en agissant comme ça. Mais, je dois reconnaître que vous avez l’air très belle Madame. Vous devez beaucoup plaire aux hommes.

Nowi n’avait volontairement pas envisagé de savoir si la femme plaisait aux femmes. Elle avait appris avec le temps à soutirer des informations en faisant une sorte de psychologie inversée. En gros, si elle en ressentait le besoin, l’inconnue irait lui préciser qu’elle ne plaisait pas qu’aux hommes, ce qui insinuerait une attraction envers les femmes et si elle ne disait rien, il y avait des chances qu’elle soit hétéro. Cela dit, ce n’était pas non plus une science exacte. Elle pouvait ne pas la reprendre ET être hétéro, tout cela n’était que supposition. Et puis… au pire, Nowi s’en fichait, non ? À moins que la réponse à la question ne pût vraiment l’intéresser.

Au final, Nowi ne savait plus trop comment réagir. Devait-elle la regarder ou pas ? Si elle la reluquait sans retenue, elle pourrait passer pour cette voyeuse refoulée dont parlait celle qui lui faisait face. Rester ou retourner dans son coin ? La réponse à son approche n’avait fait que la mettre dans une sorte de petit embarras dont elle cherchait la porte de sortie. Peut-être que l’inconnue allait l’aiguiller sur ces petits questionnements ?

Nicole n’avait aucune pudeur, quand bien même elle ne se considérait pas comme exhibitionniste dans le sens où elle ne se dévoilait pas dans des lieux où cela était interdit et qu’elle n’était pas non plus amatrice du plaisir dans les espaces publiques fréquentés mais de part sa manière de sa s’habiller et de sa particularité ne pouvant être dissimulée, elle ne passait pas inaperçue. Elle aimait qu’on la regarde de manière intéressée, elle aimait susciter le désir et plaire, c’était donc tout naturellement qu’elle faisait en sorte à bien exposer sa poitrine à la nouvelle arrivée pour qu’elle n’ait d’autre choix que de la regarder.

La remarque de l’inconnue la fit sourire, il est vrai qu’elle plaît aux hommes, elle a un joli visage, des formes généreuses, un caractère affirmé mais lorsqu’ils se rendaient compte de la gigantesque matraque de chair qui lui pendait entre les jambes. Pour les rares que l’engin en tant que tel ne dérangeaient pas, ils abandonnaient lorsqu’ils comprenaient qu’avec Nicole pour lui rentrer dedans c’était donnant-donnant.

« En effet, je plais beaucoup aux hommes mais bizarrement lorsqu’ils découvrent ma particularité, tout de suite moins. Et puis de toute façon, je préfère les femmes en général. »

Elle se tourna un peu plus vers l’autre femme, puisque le bas de son corps était immergé et qu’elle avait le focus sur sa poitrine, elle n’avait pas encore remarqué la verge disproportionné qui se cachait sous l’eau. Elle s’avança juste un peu pour la toucher avec et fit un léger mouvement de tête pour qu’elle suive du regard :

« Les hommes ne sont pas très aventureux. »

Elle se contenta de sourire à l’autre femme.

Nowi eut finalement la réponse à sa nouvelle curiosité. Son petit jeu psychologique avait fonctionné, enfin c’était ce qu’elle croyait en tout cas. Ainsi, l’inconnue préférait les femmes et… la caméléone mentirait si elle disait que cela ne l’intéressait pas ou ne la fit pas sourire. Cependant, elle parlait d’une particularité et, sur le coup, cela poussa la terranide à se demander ce que cela pouvait bien être. Quelque chose qui faisait fuir les hommes ? Ça doit bien être pratique pour chasser les plus lourds d’entre eux qui ne comprennent pas le concept de rejet. Si une telle chose existait, ça devait être quelque chose de vraiment très effrayant alors !

- Vous arrivez à faire abandonner les hommes ? C’est un vrai pouvoir que vous avez là !

Nowi souriait et riait même un peu. Sa réponse débordait d’innocence, un soupçon de candeur se faisant sentir dans le son de sa voix. Elle était encore loin de se douter que cette particularité dont parlait celle qui lui faisait face n’avait rien de magique et se trouvait être quelque chose de bien physique et ancré dans la réalité.

- Et les femmes, elles n’ont pas peur de votre particularité ? Je me demande si j’en aurais peur moi aussi.

Nowi voulait savoir ce qu’était que ce truc particulier chez Nicole et… elle allait bientôt le savoir ou, du moins, en avoir une très vague idée car quelque chose lui effleura la jambe sous l’eau. Elle n’arrivait pas trop à savoir ce que c’était sur le coup mais ça ne ressemblait ni à une autre jambe, ni à une main. En fait, Nowi n’avait pas encore connu de verge très imposante dans sa vie alors imaginer qu’une telle chose existait ou venait de la toucher lui était un peu impossible. Elle ne pouvait imaginer ce qu’elle ne connaissait pas. Malgré ses nombreuses expériences sexuelles, la déguisée ignorait encore bien des choses. Puis, maintenant que la conversation était lancée, Nowi décida de se présenter car cette dame avait l’air quand même bien sympa !

- Au fait, moi, c’est Nowi, une aventurière ! Et vous ?

Nowi avait précisait qu’elle se voyait comme une aventurière pour montrer un peu son intérêt pour cette femme puisqu’elle avait appuyé sur le fait que les hommes n’était pas aventureux.

Elle aimait le semblant d’innocence de la femme avec qui elle partageait le onsen, les candides et les ingénus avaient toujours un goût particulier qu’elle ne saurait expliquer. Elle continuait de lui sourire même si il semblait qu’elle n’avait pas été assez franche dans son mouvement pour qu’elle sente la pression de son serpent sous-marin :

« Oui, c’est un pouvoir assez impressionnant. »

C’était effectivement bien un pouvoir même si à l’origine son pouvoir lui permettait de changer d’appareil génitaux à volonté et non pas garder un membre masculin indéfiniment. Mais en plus de ne plus fonctionner son pouvoir avait cesser alors qu’elle s’était retrouver avec le membre disproportionné qu’elle se traînait depuis. En vérité garder un pénis ne la dérangeait pas le moins du monde puisqu’elle préférait coucher avec des femmes et qu’au final elle préférait les sensations que cela lui procurait, c’était surtout la taille de l’engin qui la dérangeait. S’il était juste long, ça irait mais il est également si large qu’il est vraiment difficile à encaisser surtout qu’elle n’était pas très douce dans sa manière de faire l’amour :

« Certaines en ont peur aussi car cela peut leur faire très mal. Mais les pleurs et les cri de douleur en valent la peine. »

Présenté ainsi cela ne donnait pas vraiment envie mais il était vrai que certaines s’étaient évanoui lors de la pénétration. Après tout quand une femme se retrouvait avec quelque chose d’aussi imposant en elle s’était pour le faire sortir et non pas entrer. Elle avait d’autant plus d’admiration pour celle qui voulait pratiquer la sodomie.

Puisque Nowi se présentait, l’infirmière s’approcha encore plus de son corps au point où leurs poitrines n’était qu’à un cheveux de se toucher, son sexe quant à lui s’était glissé entre les jambes de Nowi de façon à ce qu’elle ne pouvait pas manquer le frottement contre sa jambe : 

« Et bien ma chère Nowi, moi c’est Nicole. Quand à savoir si ma particularité te fais peur, à toi de me dire, il suffit de regarder sous l’eau. »

Elle lui fit un clin d’oeil, le frottement peau contre peau faisait son effet et elle commençait à bander de façon à faire voir toute l’ampleur de la chose. Elle lui sourit une nouvelle fois en chuchotant suavement :

« Si tu t’en sens capable montre moi comment tu gère se genre d’aventure. »

L’inconnue parlait finalement de son pouvoir à Nowi qui passa de l’émerveillement à la crainte sur le coup. Un pouvoir qui pouvait faire très mal au point d’en crier ou en pleurer, ça devait être une arme de défense très puissante. Cette femme devait être quelqu’un de très forte et la caméléone se disait qu’il valait mieux ne pas en faire son ennemie. Heureusement, leur contact était très positif pour le moment. Cette fille avait l’air de l’apprécier et c’était tout aussi réciproque. Si bien que ce petit sentiment de crainte disparut bien rapidement. Nowi se faisait même un peu envieuse. Ça devait grandement faciliter la vie de pouvoir se défendre facilement.

Finalement, l’inconnue se présenta. Nowi était contente de pouvoir mettre un nom dessus, elle trouvait ça impolie de la surnommer comme l’inconnue même si cela demeurait dans son esprit. Nicole, c’était un prénom qu’elle n’avait pas beaucoup eu l’occasion d’entendre. Elle trouvait même que ça sonnait un peu étrangement. Mais ce n’était que son avis et on s’en fichait après tout, ce n’était qu’un prénom. Le sien sonnait bien enfantin après tout. Et puis… au-delà de cela, il y avait bien une tout autre chose qui attisait l’intérêt de la blanchâtre.

En effet, elle sentait déjà bien quelque chose qui glisser contre sa peau mais la terranide se risqua à regarder sous l’eau pour connaître cette particularité en question et… elle comprit soudainement tout le double sens de leur conversation et surtout qu’elle était complètement à côté de la plaque ! Une verge, longue, large, disproportionnée, se trouvait sous l’eau et avait bien plus l’air d’un véritable anaconda chassant sa proie. Nowi pouvait sentir sa puissance mais aussi que ce dernier durcissait peu à peu, venant se heurter à son bassin dans le mouvement, puisqu’il se trouvait entre ses cuisses. Nowi rougissait en regardant la bête avant de porter son regard sur Nicole.

- Oh…

C’était tout ce qu’elle trouva à dire sur le coup. C’était sa façon d’exprimer qu’elle venait de tout comprendre. Cela dit, maintenant qu’elle avait cette particularité sous les yeux, il se passait plusieurs choses chez l’innocente. Premièrement, elle n’en avait pas peur. Deuxièmement, des questions se bousculèrent dans son esprit, comme à chaque fois qu’elle découvrait quelque chose de nouveau. Et enfin, troisièmement, elle devait reconnaitre être intéresser par cela au-delà de la simple curiosité, bien qu’elle se demandât si elle allait pouvoir encaisser une telle particularité. Elle se retira pour ne plus avoir ce sexe imposant entre les cuisses et demanda à Nicole :

- Votre sexe est tellement énorme Nicole ! Je… peux le toucher ?

Elle avait l’accord de Nicole et elle commença à le caresser dans l’eau. Ses gestes étaient doux, presque sans aucune intention sexuelle. Nowi expérimentait, gardant un œil sur ce qu’elle faisait, elle reprit :

- Vous arrivez à vivre avec une telle chose entre les cuisses ? Ce n’est pas trop dérangeant au quotidien ? Vous ne risquez pas de vous évanouir avec autant de sang dedans quand il durcit ? Ce n’est pas trop difficile à gérer, ça doit être vachement encombrant, non ?

La pauvre Nicole se voyait noyée sous de multiples questions maintenant qu’elle avait éveillé la curiosité de Nowi qui semblait étrangement tout aussi émerveillée qu’intéressée par la chose…

S’il y avait bien une expression qui revenait quand elle dévoilait son engin c’était bien la surprise, personne ne s’attendait à voir quelque chose d’aussi imposant et c’était visiblement aussi le cas de sa nouvelle amie Nowi. Cette dernière ne semblait cependant pas effrayée par la chose et avait même demandé si elle pouvait toucher, ce que Nicole avait évidemment acceptée, elle avait l’air très intéressée. L’infirmière avait la sensation qu’elle allait bien s’amuser avec la jolie Nowi.

Son membre était gros mais aussi très sensible et chaque mouvement de la main de l’autre femme dessus le faisait se durcir encore plus, elle l’assaillait de questions curieuses auxquelles elle s’amusa à répondre :

« Ce n’est pas toujours facile car même au repos il est monstrueusement imposant mais depuis le temps je suis habituée. Il ne passe pas inaperçu car évidemment il ressort sous les vêtements mais j’en suis fier, je n’ai absolument aucune honte d’être un peu différente même si je dois l’avouer je n’aurais pas été contre quelque chose d’un peu plus petit. Pour ce qui est du sexe, ça dépend beaucoup de l’expérience de mes partenaires car certaines utilisent déjà des sextoys aussi imposant alors ça aide, pour celle dont c’est la première fois c’est un peu différent, je ne suis pas quelqu’un de douce dans l’acte alors ça finit souvent par marcher en canard un certain temps. »

Elle rit un peu pour les dernières confidences mais c’était la vérité. Elle s’approcha de Nowi pour l’embrasser sur les lèvres de façon joueuse :

« Alors, ça te dit de partir à l’aventure ? Avec ta bouche, entre tes seins ou bien même aller jusqu’au bout des choses. »

Elle se pencha à son oreille pour lui faire une autre confidence :

« Si ça t’intéresse, je peux être extrêmement fertile. »

C’était une autre partie de son pouvoir, elle pouvait rendre son sperme fertile à coup sûr à tel point qu’elle avait même réussi à engrosser une femme qui ne pouvait normalement pas l’être. C’était audacieux comme proposition au premier abord mais ça pouvait peut être intéressé.

Nicole était vraiment sympathique. Elle prenait le temps de répondre aux questions de Nowi sans broncher et malgré la situation qui ne se porte pas spécialement à cela. Nowi enregistrait alors les différentes explications de sa nouvelle amie avec un air intéressé qui se rapprochait bien plus de l’étudiante apprenant une leçon. Elle souriait grandement, contente d’alimenter de nouveau sa curiosité naturelle mais aussi car Nicole avait dit quelque chose qui la touchait beaucoup, et elle n’allait pas hésiter à lui en faire part.

- Merci beaucoup pour tes réponses. Je trouve ça génial que tu acceptes ta différence avec autant de fierté. La plupart des gens ont honte de ne pas être comme les autres. Moi, je trouve que c’est ce qui est beau dans ce monde ! Alors, même s’il fait peut-être un peu peur au premier abord, ton sexe est très beau !

Il était difficile de totalement cerner Nowi tant elle transpirer l’innocence dans ses actes et mots mais n’était pas pour autant prude, loin de là. Sinon, elle ne caresserait pas continuellement la matraque qui n’a de cesse de durcir. Néanmoins, elle se demandait encore des choses comme la possibilité de pouvoir créer des vêtements qui, à défaut de dissimuler une telle chose, l’allégerait pour la propriétaire ou des choses du genre pour simplifier la vie de Nicole. Mais, cette fois-ci, elle préférait taire ses questionnements, d’autant plus que la belle Nicole au sexe tout aussi beau venait embrasser Nowi qui ne s’y opposait pas du tout. Au contraire, elle l’accompagnait même car, même si jusque maintenant, la terranide était candide, un intérêt plus charnel naissait de plus en plus en elle à mesure qu’elle touchait Nicole.

Nowi se mordait ensuite la lèvre en l’écoutant. En réalité, elle se demandait quand même comment son pauvre petit corps allait pouvoir encaisser une telle chose, de quelconque manière que ce soit. Quoiqu’elle était une caméléone et cela lui permettait de prendre l’apparence d’une autre personne mais pas que, elle pouvait aussi changer sa morphologie, bien que ça demandait quand même plus d’effort. Nowi ressentait soudainement comme une envie de tester plein de choses mais aussi de voir ses propres limites et Nicole était peut-être une aubaine pour ça. Elle se mit à rougir quand Nicole murmura à son oreille. Et, un peu paniquée cette fois, elle lui demande :

- Je… J’aimerais éviter ce dernier point s’il vous plaît. Vous n’êtes pas obligatoirement fertile ?

Nowi se voyait mal finir enceinte, surtout d’une inconnue. Elle aimait les relations d’un instant mais si elle devait porter l’enfant d’une personne un jour, ce serait de quelqu’un dont elle était très proche et en qui elle avait confiance. Et une autre question pointait aussi dans son esprit.

- Et si… quelqu’un venait à venir ici… Vous ne craignez pas qu’on se fasse surprendre ?

Nowi commençait peut-être à être un peu agaçante avec ses questions mais cette fois-ci, ce n’était plus de la simple curiosité mais une volonté de s’assurer d’être sur la même longueur d’onde que sa potentiellement partenaire sexuelle.

Nicole était du genre direct, elle n’aimait pas prendre de détour pour faire savoir ce qu’elle voulait et puis de toute façon c’était un peu trop tard pour jouer à ça, son sexe était déjà entre les mains de sa nouvelle amie, ce qu’elle voulait ensuite était donc évident. Elle ne pu retenir un petit rire à l’air apeuré de Nowi quand elle avait parlé de sa capacité à être fertile :

« Non, ne t’en fais pas, c’est quelque chose que je contrôle, je ne faisais que le faire savoir au cas où. »

Elle la regardait en souriant alors qu’elle posait une énième question à laquelle l’infirmière répondit en passant sa main dans le dos de Nowi tout en s’avançant pour écraser sa poitrine avec la sienne et l’embrasser de nouveau avant de glisser à son oreille et susurrer :

«  C’est dans le risque que réside le plaisir. »

Il n’y avait personne dans le onsen mais il était en effet tout à fait possible que quelqu’un arrive et les surprenne mais elle trouvait bien plus excitant ainsi. L’excitation liée au risque de se faire surprendre n’était pas du tout la même que celle liée au fait de faire ça en public. Et puis si une nouvelle arrivante les surprenait, il n’y avait qu’à l’inclure à l’action, Nicole n’était pas exclusive.

Elle s’amusa à lui donner de petit coup de langue sur l’oreille tout en faisant bien attention à toujours bien se presser contre elle. Sous l’eau, son sexe avait atteint son point le plus dur sous las caresse de sa partenaire dévoilant une belle courbure à partir du deuxième tiers. Elle ne manquait pas de faire de petit mouvement également de son coté pour se frotter à Nowi. Sa main libre se glissa dans l’eau pour aller flatter l’entrejambe de sa partenaire :

« Peut-être préfère tu que je m’occupe de toi plus en douceur d’abord ? »

Nicole rassura rapidement Nowi qui se faisait soudainement plus timide. Elle pouvait contrôler sa fertilité, c’était quelque chose de quand même incroyable ! Au-delà du fait de pouvoir choisir de mettre une femme enceinte, elle pouvait surtout choisir de ne pas le faire et ça, c’était quand même beaucoup ! Puis, un nouveau baiser, un nouveau murmure, de nouveaux mots glissés dans l’oreille qui résonnaient comme une impulsion chez Nowi qui affichait un sourire certes timide mais pourtant bien présent. Elle pouvait sentir son propre désir n’avoir de cesse de grimper et plus Nicole lui parlait, plus elle ressentait le souhait de sauter le pas.

Et elle devait reconnaître que Nicole avait raison. Il y avait ce quelque chose d’excitant dans l’adrénaline que procurait la possibilité de se faire surprendre, le goût du risque en quelque sorte et bien que plus calme pour le moment que sa partenaire, Nowi n’était pas insensible à ce genre de chose. Son sourire timide se faisait plus sincère tandis qu’une dernière question subsistait dans son esprit : Comment s’occuper d’un tel membre ? Elle était totalement inexpérimentée avec des sexes aussi imposants et ne voyait pas d’autres moyens de rendre le moment des plus plaisants pour Nicole et elle qu’en usant de sa magie de transformation. Mais comment Nicole réagirait-elle en sachant que la femme devant elle dissimule elle aussi des particularités ? Son déguisement ne laissait rien transparaître de ses compétences et elle avait l’air d’une simple humaine.

Elle ressentit un petit frémissement en sentant la poutre durcir toujours plus et un autre plus puissant lorsque la main de Nicole vint la titiller de façon plus incisive. Elle se mordait la lèvre et, pour une fois, c’est elle qui se jeta sur les lèvres de la futanari, comme pour lui faire comprendre que le temps de questions était révolu et qu’elle se sentait prête à passer un bon moment ensemble. Elle vint chercher sa langue pour rendre le baiser plus langoureux si Nicole le lui permettait tandis qu’elle s’assit presque sur la matraque, commençant à frotter son pubis dessus. Elle écrasa définitivement sa poitrine contre celle de l’autre femme, prolongeant le baiser quelques instants avant d’y mettre un terme. Son regard bleuté était brûlant de désir et, dans un souffle chaud, elle murmura :

- Je n’ai pas l’habitude avec un aussi gros pénis… Je vais sûrement avoir besoin d’être guidée pour m’assurer de votre plaisir… Alors peut-être qu’un début en douceur est envisageable…

Elle se mordait la lèvre, continuant de se frotter contre elle, prête à s’offrir à sa partenaire.

Il n’était maintenant plus possible de faire marche arrière alors que les choses commençaient enfin à être sérieuse. L’infirmière n’était pas une personne très douce quand il s’agissait de sexe mais puisque sa partenaire préférait une mise en bouche plus tranquille, elle allait faire son possible. Il était vrai que son sexe imposant pouvait faire peur alors il fallait préparer le corps. Nicole alla donc poser de nouveau ses lèvres contre celle de Nowi pour l’embrasser sensuellement en allant chercher sa langue pour une danse délicate.

Sa main qui avait déjà commencer à flatter l’entrejambe de sa belle partenaire s’activa un peu plus, utilisant deux doigts pour la caresser délicatement avant de glisser entre ses lèvres et commencer à la doigter d’abord du bout des doigts en ne rentrant pas plus la base de l’ongle. Elle s’amusa à écarter les doigts en faisant de lents va et vient au cours desquels elle s’enfonçait un peu plus profondément jusqu’à la deuxième phalange.

Elle cessa de l’embrasser sur la bouche pour le faire dans le cou, alternant baiser et coups de langue :

« Comme ça, tu aimes ? »

Elle prenait sur elle pour ne pas y aller franchement dès maintenant mais l’idée n’était pas de la brusquer mais de la détendre afin que la pénétration soit moins pénible car elle ne doutait pas que c’était là la principale interrogation de sa partenaire. Elle ajouta un troisième doigt à ses caresses intimes pour encore plus de sensation, la main complète ne suffirait pas à lui faire ressentir ce que son membre représentait mais le but était de lui donner confiance en sa capacité à encaisser.

Elle lui mordilla le cou pour y laissa sa marque avec un suçon avant de remonter et poser son front contre le sien et plonger ses yeux dans son regard pendant qu’elle agitait ses doigts de plus en plus vite sans un mot.

La réponse à la demande de la douce Nowi ne se fit pas attendre. Elle sentait que Nicole la caressait avec un soupçon de retenue avant de commencer à entrer quelques doigts en elle. Au cas où elle en doutait encore, la futanari pouvait alors attester que la blanchâtre n’avait rien à envier à l’eau environnante en termes d’humidité. Son sexe réagissait très positivement au doigté de sa partenaire et les quelques gémissements que commençait à pousser la terranide suffisait amplement à répondre à la question qui lui était posée.

Mais elle hocha tout de même de la tête pendant qu’un troisième doigt vint s’inviter à la partie. Nowi sentait par ailleurs que c’était peut-être un peu serré à l’intérieur et comprit par la même occasion qu’il allait falloir faire travailler son propre corps si elle espérait pouvoir accueillir Nicole et y survivre. Alors, Nicole pouvait sentir soudainement l’intimité de sa camarade prendre en ampleur, comme si elle s’adaptait à ce qu’elle recevait et c’était d’ailleurs bien ce qu’elle faisait. La caméléone avait d’ailleurs un peu de mal à pleinement se concentrer dessus tout en subissant les multiples stimulations que lui procurait la dame bien membrée.

Quand Nicole fit le choix de faire face à Nowi, elle pouvait y lire le plaisir sur son visage alors que son bassin commençait presque machinalement à vouloir onduler sur ses doigts en elle. La cheffe de tribu soutenait le regard ancré dans le sien avec toujours plus d’ardeur, le peu de timidité dont elle faisait preuve plus tôt s’étant envolée. Mais il y avait bien une chose qui la chagrinait dans ce moment, c’était de savoir que sa sublime partenaire était un peu mise de côté.

Alors, finalement, c’était au tour de la déguisée de se faire plus coquine. Elle descendait à son tour son visage dans le cou de Nicole pour y déposer quelques baisers mais ne comptait pas s’arrêtait ici. Elle se courbait et cambrait légèrement, offrant une plus belle vue à sa partenaire, pour finalement atteindre sa poitrine dont elle ne perdit pas de temps à venir prendre l’un des boutons durcis en bouche pour le suçoter. Elle déposa ensuite ses deux mains sur l’énorme verge et exerça des mouvements plus amples et directs, essayant autant que possible de s’en saisir pour entamer une masturbation.