Sa première réponse sonne comme la dernière sécurité que mon esprit vient de sauter pour le bien de cette jeune fille. Pas de parents, elle, moi, nous, seuls, ici, maintenant. La bavure, j'me retrouver piégé par mes envies avec elle sur un plateau d'argent. Bien évidemment, elle n'a aucune chance... Et je ne peux plus supporter encore son regard qui en dit long, un regard pas si chaste, au contraire. Un regard qui a envie, et le mien transpire cet appétit au centuple.
- D'accord, je vois...
J'retourne sur mon PC et une dégringolade de papiers m'extirpe de ma besogne pour finalement tomber nez à nez devant cette petite croupe penché vers moi. Un grognement bestial m'envahis, mes pupilles se dilatent, mon nez veut renifler cette chair fraîche. Et vient balayer d'un revers de la main toute bonne conscience. Vraiment dommage pour elle.
Je me relève de toute ma masse alors que mon ombre engloutis ton corps encore occupé à ranger.
- Tes parents t'ont jamais dis de pas faire entrer d'inconnus à la maison...?
Un grognement prévient une prise violente à ta taille pour te garder à l'envers et enfoncer mon nez dans ton shorty dans une inspiration de féminité vulgaire. Qu'est-ce que tes orifices sentent bon... Ton corps beaucoup plus petit; une énorme et dangereuse bosse se dévoile devant tes yeux, déformant mon pantalon. Te tenant d'un bras, j'ouvre le froc pour laisser échapper un miasme chaleureux d'une odeur entêtante qui agresse tes narines alors que j'déchire ce short sans le moindre soucis, puis ta culotte pour dévoiler ce sexe poisseux que j'respire encore à plein nez...
- Rah, depuis le temps que j'en rêve...
Mon pantalon ouvert, mon mandrin bringuebale encore paresseusement sous ton nez, à moitié décalotté, dont les veines pompent mon sang au rythme des battement de mon cœur qui tambourine ton torse blotti contre le mien, le sang te montant à la tête, les cheveux suspendu et chatouillant mon sexe, réagissant dans des pulsations vulgaire qui dégueulent négligemment du pré-sperme. Une vraie libération.
Mon bras te maintient en cage, dans une compression musclée qui plie ta colonne dans un désir simple mais évident.
Te briser.