Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

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Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 15 lundi 28 décembre 2020, 08:13:25

Après m'être pris quelques gifles de sa part je m'étais fait une idée de la force de Kara. Pourtant la vendeuse avait encore de la ressource vu la pression que sa petite main vient exercer sur mon sexe là-dessous. A croire qu'elle y met tout ce qu'elle a.

- Kuuuuuh !

Tout en la laissant faire vu que je ne peux pas l'arrêter dans cette position, je me remets à l'embrasser à pleine bouche tout en la forçant à reculer pour se redresser. Voir se relever. La main de nouveau sous sa culotte pour la doigter avec trois doigts.
La vache, ceux-ci se font littéralement aspirer au moindre mouvement. Moi qui cherche à la maintenir en état, je crois que ce n'est même plus nécessaire là.

Je la fais se retourner et la pousse en direction du sofa afin qu'elle se retrouve face au nouveau morceau de mobilier. Un genou sur un des coussins et les mains au niveau du dossier.

Avec ses fringues à moitié arrachées et son état d'excitation je ne sais même pas par où commencer. Son haut d'où ressortent ses gros seins qui n'ont plus nulle part où se cacher et sa jupe remontée dont la culotte doit la collée avec tout ce qui en coule.
Ma main droite revient foutre une claque sur son cul. Puis une seconde. Le bruit de la paume qui claque sur sa peau résonne dans toute la pièce en allant au-dessus de la musique du jeu vidéo qui tourne toujours à l'écran.

Mais assez joué. Mes doigts partent sur ma ceinture et la débouclent en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Je me rapproche alors d'elle pour glisser la main gauche entre ses cuisses et commence à faire frotter deux doigts sur sa fente par-dessus sa culotte pendant que je lève chaque jambe afin de virer mon jean que j'envoie voler plus loin.
Puis j'en fais de même avec mon boxer qui offre sa liberté à une bite dans tous ses états. Le prépuce déjà rétracté laisse place à un gland violacé et collant avec les quelques gouttes de pré-sperme qui se mettent à fuir de celui-ci. Le tout trônant au bout d'une tige veineuse et pulsante qui se balance de haut en bas comme la queue d'un toutou prêt à s'amuser comme un fou.

Désormais les deux mains libres, j'arrache un nouveau bout de tissu : sa culotte. J'aurais pu la lui enlever en un clin d'oeil. Mais pas le temps. Non, la chaleur qui m'envahit est trop forte. La seule chose qui pourra me calmer c'est...

- Cette chatte bien trempée !

Je me rapproche de nouveau d'elle avec deux doigts qui prennent sa température une dernière fois. Ca me fera un lubrifiant naturel parfait. D'une main ferme je me saisis de ma queue à sa base et commence à frotter sa hampe veineuse et tremblante contre ses lèvres intimes pour la couvrir de mouille.
L'autre main attrape un de ses gros seins pour le malaxer sans aucune forme de douceur ou de tendresse.
Je me penche alors une dernière fois mon visage de son oreille pour lui glisser.

- La levrette c'est parfait pour baiser une petite chienne en manque.

La main qui tenait se sein l'écrase, le presse comme un citron pour le relâcher aussi vite qu'il s'était attaqué à lui pour refoutre une fessée à Kara. C'est le signal d'une autre attaque plus bas. Sur un dernier retrait de mes hanches je positionne mon gland humide à l'entrée de sa chatte et pousse en force pour écarter ses parois serrées.

- Putain !

L'entrée est aussi résistante et étroite que la veille. Mais ma queue épaisse repousse tous les obstacles qui se trouvent sur son passage. Une main sur son cul et l'autre sur sa hanche pour commencer afin de la maintenir en place. Voir la pousser un peu en avant si ça finit par coincer.

Les râles et autres grognements de plaisir s'échappent de ma bouche au fur et à mesure qu'un centimètre supplémentaire s'enfonce dans ses chairs sensibles. Je sens tous les muscles de mon corps se contracter.
Lorsque les derniers centimètres entrent enfin, mes doigts s'enfoncent davantage dans sa peau alors que je soupire de longues secondes.

- Pfooouuuuu !

La manœuvre inverse me prend aussi plusieurs secondes. Mais contrairement à hier, je sens moins de résistance lorsque je m'enfonce en elle pour la seconde fois. Son corps commence à m'accepter et s'adapter à moi.
Il me faut pas plus de trente secondes pour instaurer une cadence régulière et rapide alors que je lime littéralement sa petite chatte en manque.

- T'attendais que ça depuis le début, avoue ! Je parie que t'en as rêvée toute la nuit hier. Sentir ma grosse bite remplir ta petite chatte étroite.

Tout en parlant avec une respiration lourde et compliquée, j'accélère davantage le rythme de cette levrette brutale.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 16 lundi 28 décembre 2020, 10:27:17

La même sensation que la vieille.
La même impression première que ça ne passera pas, qu’elle va avoir mal. Et puis… Cette fois, ils sont dans un lieu propice à la laisser s’exprimer pleinement, assez pour que Kara lâche un petit hurlement délicieux en sentant ses chairs s’écarter, en forçant pile ce qu’il faut, pour accueillir le gland brûlant de Souta en elle.

Les gifles qu’il fait claquer sur ses fesses lui font écarquiller les yeux, elle se dit qu’elle devrait protester mais… Oh, merde, elle a adoré ça ! Ses mains s’accrochent au coussin avec force à mesure qu’il pénètre son intimité, et même si elle ne peut pas voir son sexe s’insérer puissamment, elle l’imagine très bien, ce qui augmente encore son excitation d’un cran, elle a du mal à ne pas gigoter frénétiquement pour laisser le champ libre à Souta, heureusement maintenue par ses mains qui l’empoigne.

Il dégage d’une telle impression d’assurance qu’elle se sent immédiatement frêle et vulnérable, cette énorme queue qui commence à aller et venir, alliée à ses râles rauques et suaves lui font tourner la tête. Cette position la rend dingue, elle se cambre plus encore pour pouvoir accuser les coups de reins au mieux et accentuer son plaisir.

Est-ce qu’elle est vraiment une petite chienne en manque ? La vieille, elle s’était trouvée un peu vexée qu’il la traite de salope, mais elle était dans un tel état de désir qu’elle ne se souvenait plus trop ce qu’elle avait dit ou fait ; c’était étrange, cela la blessait et en même temps… les mots crus de Souta résonnaient à ses oreilles et aiguillonnaient ses sens, la rendant fiévreuse à chaque fois qu’elle entendait le son de sa voix. Plus il était vulgaire, plus elle gémissait, comme pour lui donner raison…

Enfonçant ses ongles dans le tissu, Kara sentait chaque centimètre entrer et sortir à un rythme fou qui s’accélère encore, la laissant réagir, aller et venir, comme une poupée de chiffon sous les assauts brutaux.

« N… » Parler est compliqué, elle se coupe pour geindre et soupirer. « Non… C’…c’est faux… » Menteuse, la vision de cette énorme queue l’a hantée toute la nuit, même si la colère l’accompagnait.

Comme pour la punir de son mensonge, un violent coup de rein vient l’ébranler et elle tombe la tête la première sur l’accoudoir rembourré, étouffant un juron. Elle tourne la tête difficilement, assez pour respirer, et tenter de l’observer par-dessus son épaule, ses cheveux balayant au rythme des mouvements sauvages son visage.

Elle lui sourit avec une telle adoration dans le regard qu’il ne pouvait ignorer combien elle adorait ce qu’il faisait, et sans lui demander son avis, lui prit la main, celle qui agrippe sa hanche avec force, et tire son bras. Assez pour qu’il la couvre totalement, son ventre contre ses fesses, et pouvoir conduire sa main entre ses cuisses, de l’autre côté, et coller son majeur sur son clitoris. Elle est parcourue d’un frisson dès qu’il l’effleure, et trouve la force de ricaner.

« Bosse au lieu de dire des conneries. »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 17 lundi 28 décembre 2020, 12:43:06

Kara est tellement excitée qu'elle continue d'enchaîner les initiatives avant que je m'en occupe. J'attendais de me trouver dans une bonne position pour passer à l'étape suivante. Mais elle est clairement pressée de son côté.
Du doigt je joue légèrement avec son clito gonflé et sensible pendant plusieurs seconde alors que je la pilonne brutalement avec ma bite qui est désormais chez elle dans sa chatte brûlante. Mais je décide de revoir la partition un court moment. Mon doigt humidifié par sa mouille qui coule partout se colle à mon index pour filer droit dans sa bouche légèrement ouverte.

- Avec... plaisir !

Les deux mots sont entrecoupés d'un coup de rein hyper brutal dans lequel je mets toute mon énergie. Mes doigts viennent alors se coller et se frotter à sa langue tout en récupérant un maximum de salive au passage lorsqu'ils trainent jusqu'à son menton en repartant. Je peux même sentir son souffle brûlant s'écraser dessus.
Puis les voilà rapidement revenir sur son clitoris. Avec un petit changement de position. Mon autre main vient la saisir à la gorge pendant que je reste dans son dos. Mon pubis claque et s'écrase sur son cul à chaque coup de rein pendant que je la force à se redresser un peu.

Ma main libre se glisse dans ses cheveux pour la forcer à pencher la tête sur le côté. Je me mets alors à embrasser son cou au début en calmant le rythme des pénétrations. Puis je colle mes dents sur sa peau douce mais couverte de sueur salée pour les faire descendre en les plantant juste ce qu'il faut dans sa peau. Les allez et venues en elle se font plus lente mais aussi profondes que possible. Le but est de lui procurer des sensations en haut et en bas.
Associer les deux à pleine vitesse est presque impossible car chaque coup de rein la fait partir en avant. Je mélange les rythmes, les cadences, les coups plus ou moins profonds, mais sans jamais lâcher son clitoris. Le tout jusqu'à sentir sa chatte se contracter et m'écraser la bite.

Et pourtant je ne m'arrête pas en si bon chemin.
Au bout de cinq minutes de jeu, je repose ma main sur sa gorge et la tire vers moi pour la mettre debout, dos à moi, ma queue logée au fond de cette prison de chair chaude et visqueuse. D'un coup de pied bien placé je repousse le sofa plus loin et j'emmène Kara à se retrouver à genoux sur le tapis, la tête dans un coussin qui vient de tomber. Une énième claque vient s'abattre sur son cul qui va finir par y voir apparaitre la marque de ma main.

- Relève ton cul !

Une main sur sa tête et l'autre sur sa hanche, je repars de plus belle avec ma bite épaisse et toujours aussi demandeuse de caresses pour la baiser sans aucune retenue. C'est ce qu'elle semble vouloir et aimer ce soir. Alors je vais pas la décevoir.
Les gémissements animales qui s'échappent d'entre mes lèvres se font de plus en plus réguliers au fil des minutes qui passent alors que le son de nos chairs qui claquent l'une contre l'autre deviennent les seules bruits que mes oreilles peuvent encore capter.
Il me faut plusieurs secondes pour y parvenir, mais je parviens à balayer ses cheveux trempées qui se collent à son visage dont une joue reste collée au coussin. Je lui tends alors ma langue pour chercher la sienne et l'embrasser de manière baveuse et complètement désordonnée. Nos salives finissent même par rapidement faire changer la couleur du tissu de ce coussin.

La veille je m'étais laissé aller à jouir sans chercher à me retenir. Ce soir ce sera différent, je vais la faire jouir encore et encore avant. Donc quand je sens son corps se contracter et sa chatte me presser la bite comme un vieux torchon trempé je change une troisième fois de position.
Je la soulève après m'être penché sur elle en la tenant par les jambes avec toujours mon torse collé à son dos. Puis je pose mon cul sur le sofa avec elle sur moi et je me mets à remuer les hanches pour soulever son corps et le faire rebondir sur le mien.

Une main revient harceler son clitoris comme lors de la première position, tandis que l'autre joue avec un de ses seins et le téton qui l'accompagne.

- Je crois que je vais te baiser jusqu'au petit matin.

Et pas besoin de gage pour me pousser à le faire.

Kara Desco

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Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 18 lundi 28 décembre 2020, 13:40:01

Si elle avait fait la maline en portant les doigts de Souta entre ses cuisses, dès qu’il commença à la caresser, se vengeant par de violents coups de bassin qui explosaient contre ses fesses et résonnaient jusque dans son crâne, Kara désormais ne ricanait plus. Sa voix éraillée de trop gémir, elle se cramponnait pour supporter les assauts, se demandant comment elle arrivait à tenir encore sans chavirer.

Dès qu’elle sent ses doigts percer ses lèvres, elle les lèche et les suce avec férocité, comme une assoiffée, tant cela l’excite, elle sait déjà où ils retourneront et elle frémit en couinant encore d’impatience, avant d’avoir la respiration coupée par la main puissante qui lui entrave la gorge.

Elle se sent défaillir, le plaisir est trop grand, se faire pilonner de la sorte la fait trembler, mais au changement, plus doux, de rythme, ce sont bien les dents de Souta contre son cou qui la rendent folle. L’intensité prend le dessus sur la violence et son corps semble se tendre d’un coup, elle monte petit à petit en vocalise, se tait, se mord la lèvre… Le plaisir monte avec une telle puissance qu’elle se contracte totalement, ses bras peinent à la porter et elle plaque sa tête dans le coussin pour étouffer son gémissement langoureux.

Haletante, Kara s’attend à une remarque salace de la part de son amant, mais au lieu de se rassasier, il la plaque debout d’une main ferme, les entrailles encore parcourues de soubresauts autour de son sexe épais en elle. Se retrouvant à genoux, elle obéit immédiatement dès qu’il ordonne qu’elle se cambre bien pour lui présenter parfaitement son postérieur, qui vient de recevoir une claque bruyante. Elle frémit en jappant, se mordant l’intérieur de la joue. Ça pique, c’est si bon.

 Entendre les feulements rauques et sauvages de Souta la rend encore plus fébrile, et dès qu’elle perçoit cette langue qui cherche sa semblable, elle se contorsionne pour venir la saisir, lapant et suçant, pour l’embrasser avec ardeur. Ce baiser l’embrase, elle sent son entre-jambe se contracter, et elle a l’air d’exploser encore, fermant les paupières si fort qu’elle en a mal, sa mâchoire se crispe, tout son corps se contracte, se détend, pour mieux convulser de nouveau.

« Hmm… S… Sout…a… »

 Kara gémit contre sa bouche, et elle lâche un petit cri de surprise quand Souta la soulève, toujours aussi impressionnée par sa force. Elle suffoque, encore sous le choc de son second orgasme, se sentant de plus en plus détendue et molle… Mais il a l’air d’avoir d’autres projets pour elle, et lorsqu’elle se retrouve assise sur lui, soulevée avec tant de facilité, rebondissant sur son sexe rapidement, s’empalant si aisément… Elle couine de plaisir en sentant son téton se faire de nouveau malmener, et lâche un « oh » guttural quand ses doigts retrouvent le chemin de son clitoris.

« Oh oui… oh oui… » Glousse-t-elle en pinçant les lèvres, elle sent son intimité trempée et gonflée, l’action combinée sur plusieurs endroits si sensibles ne lui laisse pas le temps de réfléchir, elle ne sait plus où donner de la tête, tout est trop bon…

Il semble insatiable et infatigable, il lui semble qu’il la baise depuis des heures. Ballotée de haut en bas, elle arrive tout de même à glisser un main contre celle qui presse son clitoris, pour descendre et effleurer ses bourses, l’autre main empoignant son genou pour éviter de basculer en avant tellement elle est secouée par les coups de bassin.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 19 lundi 28 décembre 2020, 15:44:26

Même avec toute l'endurance du monde, il faut parfois faire des pauses durant un marathon sexuel. Ou alors posséder des facultés spéciales comme certains mercenaires. Dans le milieu des activités illégales on rencontre de tout. Les espèces exotiques ne sont d'ailleurs pas toujours d'origines animales. Je me souviens avoir vu un fois lors d'un spectacle, durant lequel j'escortais une cliente, deux femmes se faire plaisir sur une scène. La première était parfaitement humaine. Alors que l'autre... était en mesure de transformer certaines parties de son corps en tentacules et s'en servait pour lui faire perdre la tête devant une foule adoratrice.

Je me demande pourquoi je repense à ça maintenant. Toujours est-il que mon endurance a bien été drainée jusque là et que je vais devoir me soulager en elle une première fois pour marquer le temps d'une pause bien méritée de chaque côté.

Quand je sens sa main se poser sur la mienne il me parait évident qu'elle veut partir à la recherche d'un autre orgasme. Sauf que je prends la chose tout autrement en sentant que ses doigts fins n'avaient finalement pas terminés leur course.

Désormais plus relâché et plus du tout dans la retenue au niveau de mon orgasme je me mets à sourire tout en continuant de frotter la partie inférieure nue de mon corps sur le cuir du sofa tout en lui lâchant une petite remarque cochonne.

- Moi aussi j'ai envie de te remplir. Et ça va... pas tarder.

Je repars de plus belle mais à un rythme moins élevé qu'avant. Mes gestes se concentrent sur ma main qui malmène sans arrête son clitoris et l'autre qui profite de la douceur de sa poitrine. Chaque pénétration se veut alors plus sensuelle, plus profonde, jusqu'à sentir chaque centimètre venir se loger en elle pour que ses parois douces et humides les caressent à la perfection. Epousant chacune de ses formes et protubérances comme ses veines pulsantes qui l'alimente en sang.

La sueur perle en quantité de plus en plus grande sur mon front. Mon haut me colle à la peau et me démange légèrement au niveau du torse. Surtout quand il se replie tout seul à cause de nos mouvements respectifs. Mais la sensation de vouloir exploser en elle compense largement tout le reste. Ma bite commence même à me faire mal à force de retenir ma jouissance.
Chez un homme les choses ne sont pas toujours roses quand on tire sur la corde. Et là je force un peu trop. Au point de sentir une petite douleur aller et venir.

Dans un dernier élan alors que je sens qu'il ne me reste plus que quelques secondes avant de me soulager, je tire Kara vers moi pour l'empêcher d'aller où que ce soit. Je me laisse aller sur le sofa et enfonce mon dos dans le coussin arrière avec le poids de ma torride partenaire. Nos deux corps se retrouvent dans une position qui limite considérablement ses gestes vu que ses pieds ne sont à bonne distance du sol.

- Putain !

La seconde qui suit voit ma tige écarter ses parfois pour laisser la sperme remonter et jaillir de mon gland pour reprendre la belle et perverse Kara de l'intérieur. Mes doigts martyrisant son petit clito gonflé sans lui laisser une seconde de répit. Ecrasant son sein avec la poigne ferme de mon autre main. Le tout en soulevant les hanches pour que ma bite se loge aussi profondément que possible en elle.

Le premier jet dure deux à trois secondes quand un second arrive, accompagné d'un soupire de plaisir qui termine dans son oreille. Du sperme gélatineux vient se coller à ses parois déjà humides et gluantes alors que mes mains se font cette fois plus douces et mes gestes attentionnés. Je frotte son bas ventre doucement et sa poitrine avec tendresse alors que ma queue continue de se déverser de façon généreuse pour les quinze secondes qui suivent.

Le trop plein commence même à ressortir et dégouliner. Une sorte de gélatine blanche coule très lentement le long de ma tige pour finir par s'accumuler autour de mes couilles qui siègent sur le coussin du sofa et sur l'intérieur de mes cuisses.

Ma respiration est si compliquée, ses cheveux collés sur une partie de mon visage et mon épaule, avec son corps qui se fait soulever par ma poitrine à chaque inspiration, que je termine par respirer avec la bouche désormais. Je laisse plusieurs secondes passer en ressentant la chaleur torride de sa peau sur la mienne, nos corps emboités l'un dans l'autre.

- Et cette fois ? T'as eu le temps de jouir ? Car la soirée commence à peine.

Les idées ne manquent pas pour le reste de la nuit. Mais chaque chose en son temps.

Kara Desco

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Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 20 lundi 28 décembre 2020, 17:23:34

Dès que Souta évoque l’extase qui arrive, Kara frémit d’impatience, un long frisson remonte le long de sa colonne vertébrale, où le souffle chaud et rauque de son amant se brise en de courtes et sonores respirations.

Le rythme de nouveau plus lent, plus intense et profond, laisse plus de place à la tendresse et permet de sentir au mieux tous ses mouvements, les effleurements de leurs peaux, les frissons et les bruits de leur étreinte. Elle gémit longuement, ondulant légèrement, comme dans une transe douce, portée par le mouvement naturel, appréciant chaque minute comme hors du temps.

Mais les signes avant-courant ne mentent pas, elle se sent serrée si fort dans ses bras, comprimée à lui, dans une chaleur bouillante et moite, cette emprise la rend folle par anticipation et sent qu’elle ne peut plus bouger. C’est divin, elle se sent pressée et contrainte, emprisonnée avec pour seuls points à penser des zones brûlantes prêtes à exploser… Lorsqu’il jouit puissamment en elle, comme si son corps se laissait lui aussi aller, Kara lâche un profond soupir et se met à trembler, surprise par des soubresauts qui accompagne son orgasme avec intensité.

Chaque mouvement est une source de plaisir, elle a les yeux totalement révulsés et prises de convulsions, la poigne sur son sein est trop délicieuse, ses doigts entre ses cuisses doivent sentir les tremblements anarchiques de son entre-jambe, au point qu’elle ne se contrôle pas et gémit sans discontinuer.

Après les crispations, elle sent le corps de Souta se détendre dans le divan, elle ne peut plus forcer, elle s’effondre sur lui et s’avachit après cette puissante jouissance, la bouche ouverte et le regard fixé au plafond, comme si elle était ailleurs. Il lui semble compliqué de réfléchir et elle a l’impression d’être dans les vapes… La petite pique de Souta parvient difficilement à ses oreilles et quand elle parle, ses lèvres gercées et sa gorge sèches lui donne une voix rocailleuse.

« Oh, putain, ouais… »

Son sexe émet de faibles contractions de manière irrégulières, elle ne veut pas qu’il s’en aille. Elle veut sentir sa queue en elle pour toujours. Mourir comme ça. Elle a soudain faim, pose un œil paresseux sur la bouffe thaï qui doit être froide sur la table basse. N’a pas la force de bouger, soupire longuement.

« Je sais pas si j’ai déjà joui autant. » Souffle-t-elle alors, d’une voix pâteuse. Inévitablement, elle essaye de se redresser, en vain, et retente après avoir soupiré encore.

Ses cuisses lui font mal, elle sent couleur sur sa peau la sueur et en baissant les yeux, constater à quel point ses seins ont prit cher… Un petit ricanement nerveux l’aide à se lever, laissant ressortir tout doucement l’épais membre poisseux de son antre, libérant sur l’intérieur de ses cuisses diverses fluides odorants… Nouveau petit rire nerveux.

Son regard est celui d’une éveillée qu’on a tiré du lit trop tôt, ou d’une femme extrêmement ivre… Elle perd l’équilibre une fois debout, essaye de se tourner, retombe sur Souta, le visage cognant contre son torse. Doucement, comme si cela avait été fait exprès, elle embrasse son sternum et remonte jusqu’à ses lèvres. Il a la bouche salée de transpiration, ça la fait rire en plissant les paupières.

« Hihi… Tu as bon goût. » Elle ronronne, se love contre lui comme une chatte câline, soudainement douce et tendre… A croire qu’être rassasiée la rend gentille et aimable. « J’ai faim. » Murmure-t-elle dans un nouveau rire, naturel. « C’est froid maintenant. » Nouveau baiser qui claque sur ses lèvres de manière assez enfantine. « La soirée ne fait que commencer ? Tu veux m’épuiser jusqu’à ce que je rampe chez moi ? Tututu, Souta, je ne vais pas dormir chez toi, et… »

Elle cille, se détache de lui et fronce les sourcils, soudain lucide, mais vainement menaçante.

« Mais. T’as bousillé mes vêtements ?! » De son poing, elle vient toquer contre son front où collent ses mèches argentées. « Sauvage ! T’es un sauvage. »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 21 lundi 28 décembre 2020, 18:38:34

La suite de notre échange est à l'image de sa fin : douce et calme. La fenêtre ouverte dans la cuisine laisse entrer et circuler une brise fraiche et des plus agréables sur nos peaux brûlantes dans le salon. Collés l'un contre l'autre, je peux sentir son coeur battre à cent à l'heure et se poitrine bouger au rythme de sa respiration.

- Qui a parlé de dormir ?

C'est vrai quoi, je ne me souviens pas avoir soumis cette drôle d'idée à un quelconque moment. Dans le pire des cas elle restait jouer un peu à la console autour d'un repas et serait rentrée chez elle en taxi. Et dans le meilleur, j'allais la tenir éveillée jusqu'au petit matin.

- C'est maintenant que tu t'en rends compte ?

Tout en gardant Kara sur moi, je tente de faire bouger le sofa de quelques centimètres en remuant les hanches comme je peux. Là, ça y est ! Un des pieds de la table basse est à portée. Avec mon pied je parviens à rapprocher celle-ci petit à petit et il ne me reste plus qu'à me penchant en gardant un bras autour de la taille de Kara pour chopper une bière.

Je l'ouvre immédiatement et englouti les trois quart de son contenu avant de lui offrir le reste. Mes lèvres repartent de plus belle sur les siennes qui sont moins lisses qu'à son arrivée. Les efforts et autres dépenses d'énergie sont passées par là. Deux doigts viennent alors se glisser dans son dos pour venir caresser ses fesses douces à la peau légèrement rugueuse avec la sueur. Jusqu'à se loger dans la fissure de ce bel abricot mûr sans chercher à aller plus loin. Juste pour jouer un peu.

On reste alors collés comme ça l'un contre l'autre pendant plusieurs minutes. Mes mains toujours aussi baladeuses viennent se nicher sur ses cuisses par-dessus sa chair de poule causée par le changement de température dû au vent frais, sur sa poitrine de manière délicate, dans son cou, sur sa joue pour faire remonter son visage.

- Maintenant que j'y pense, je commence à avoir la dalle aussi.

Sur un nouveau baiser baveux et langoureux, je pose une main sur l'épaules de Kara afin qu'elle se redresse et se retourne pour finir à son tour affalée le dos sur le canapé. Je me relève non sans difficulté le temps d'un moment. Rester coincé sur le sofa à remuer les hanches comme un possédé va me demander de bouger et marcher un peu pour récupérer ma mobilité.

J'attrape le téléphone fixe vers le mur et commande trois pizzas avec boissons et glaces en demandant à ce que je sois pas livré avant une bonne demie heure minimum. Le tout payé en ligne avec mon numéro de carte pour être tranquille quand le livreur passera nous ramener notre commande.

En me retournant je jette un oeil au sofa sur lequel se trouve Kara. Outre la petite flaque de sperme sur le coussin, on peut presque voir ma silhouette à force d'avoir suer par sa faute. J'enlève mon haut pour m'aérer la peau et profiter de la brise et je m'affale sur un des fauteuils à côté du sien.

- La bouffe arrive.

Je la regarde droit dans les yeux au départ en lui précisant ça. Puis mes yeux se tournent vers moi, au niveau de ma queue toujours couverte de sperme et désormais en demie molle après cette pause nécessaire.

- Mais si t'es trop pressée, tu peux venir t'occuper la bouche.

Kara Desco

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Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 22 lundi 28 décembre 2020, 20:59:52

C’est à regret qu’elle observe Souta s’éloigner d’elle, le suivant d’un regard doux et serein, typique de ces états de détente après l’extase. Plus aucune tension, plus de questions en tête… Ce sera court, mais elle profite de chaque seconde de réelle liberté. Il commande des pizzas, elle se marre en l’entendant… « T’es pas croyable… y avait encore tout ça… » Son index lui désigne les pauvres et malheureux plats sous plastiques qui patientent depuis si longtemps dans l’espoir qu’on les mange.

Il a passé une commande pour un régiment, estime-t-elle, mais elle a pu voir comme il est goinfre… et à tous les niveaux, peut-elle désormais affirmer. Sa tête se penche sur le côté comme un gentil cocker quand il retire son t-shirt trempé de sueur, sans pouvoir se retenir de sourire niaisement. Quelle plastique plaisante… Surtout luisant comme le sont ses muscles saillants…

Le regard qu’il lui lance la fait frémir, il a l’air d’un prédateur, c’est évident. Merde, encore ? Elle est encore sur son petit nuage, mais ses yeux suivent le cheminement des siens jusqu’à son sexe en manque d’attentions. Kara ricane un peu, avant de grimper sur le sofa, à quatre pattes pour s’approcher du fauteuil qui le jouxte, où se trouve Souta.

« T’en as jamais assez ? »

C’est une question rhétorique, elle se doute qu’il est le genre d’homme insatiable. Une seconde, elle doute, se demande si elle est à la hauteur, aimerait se rasseoir pour discuter. Mais dire quoi ? Souta fait les choses naturellement, d’instinct… Il ne se pose pas autant de question. Il a envie qu’elle s’occupe de lui, il s’assoit, il réclame. C’est simple. Sans prise de tête. Kara se mord la lèvre, sentant redescendre son état serein lentement mais surement.

Ils avaient trente minutes.
Elle l’avait entendu réclamer ce délai au livreur.
Mais elle ne voulait pas avoir l’impression d’être une sage et obéissante petite chienne à son service. Il exerçait une sorte de domination latente, même lorsqu’il ne la prenait pas sauvagement… C’était pesant. Elle craignait de regretter.

Stop, il fallait arrêter de penser.
Elle se pencha en avant, appuyée sur l’accoudoir, et colla le plat de sa langue sur son membre un peu mou, pour remonter jusqu’à presser son nez sur son ventre. Juste une fois. Puis, relevant les yeux vers lui, un petit sourire délicieux aux lèvres, Kara murmura.

« Dans ta douche. » Sa voix avait repris quelques timbres habituels. « T’es tout poisseux, je veux quelque chose de bien propre dans ma bouche. Je vais t’aider, tu vas voir. »

Sans attendre, elle attrapa sa main, et le tira jusqu’à sa salle de bain en plaquant son index sur sa bouche pour lui interdire de dire quoi que ce soit. Pas de protestation admise. Elle n’était pas dans un état assez assuré pour se laisser totalement aller, et craignait que quelques moqueries ne la paniquent.

Alors, elle fit couler l’eau, d’abord froide, en tenant Souta des deux mains, se rapprochant pour l’embrasser le temps que la douche se réchauffe. La vapeur envahissant la pièce la renseigna sur la fin de l’attente, et la jeune femme lui offrit un sourire adorable, s’assurant qu’il était bien nu comme un ver… le tirant, puis le poussant sous l’eau, le temps de se débarrasser de ses propres vêtements.

Elle prit une seconde pour l’admirer en entier, se demandant si tout ça c’était bien pour elle… Et le rejoignit en frissonnant. Sans attendre, elle s’accroupit, se penchant pour embrasser son genou, puis le second, et remonter ses baisers humides et dégoulinants jusqu’à son aine, l’os de son bassin qu’elle croque légèrement. Lentement, elle laisse la chaleur envahir la pièce, comme son amant, caresse l’intérieur de ses cuisses, remonte malaxer ses fesses si musclées. Prenant son temps, l’eau ruisselant sur son visage, Kara passe son nez contre la hampe qui durcit déjà, frotte sa joue jusqu’à se faire légèrement cogner, signe qu’il redevient plein de vigueur…

En ronronnant, elle tire la langue et lève le regard tout là-haut vers Souta… Et se retrouve aveuglée par l’eau qui entrent dans ses yeux. Elle glousse de sa bêtise en collant son visage contre son bas-ventre qui pulse contre sa pommette. Quelle idiote, elle pensait avoir l’air sexy…
Reprenant un peu sérieusement, elle tire de nouveau la langue, sans faire la même erreur cette fois, et lape doucement la base de son sexe, sa langue dépassant de plus en plus bas contre ses bourses, puis remontant très lentement jusqu’à son gland qui se dévoile à mesure de ses coups de langue. Elle prend son temps, il faut qu’il soit bien propre, après-tout.



Souta et Janus

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Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 23 lundi 28 décembre 2020, 22:35:26

Nos deux regards sont plongés l'un dans l'autre alors qu'elle se penche tout en appuyant son corps sur l'accoudoir du sofa qui doit être légèrement collant à cause de la transpiration pour me demander si j'en ai eu assez.

- Nan, je pourrais continuer encore des heures ce soir.

Il ne lui faut pas longtemps pour venir déposer une léchouille sur ma queue malgré son état. Peut-être que j'ai attendu trop longtemps pour lui proposer de me pomper et nettoyer ma bite avec sa bouche ? Ou, au contraire, lui laisser reprendre ses esprits et décider de s'y mettre par elle-même lui offrira une occasion de se lâcher.

Quand elle me tire de mon fauteuil pour aller en direction de la salle de bain je ne prononce pas un seul mot et me laisse emporter par Kara.

Changement de décor signifie aussi changement d'ambiance dans ce cas précis. Cette fois c'est elle qui mène la danse et je me laisse faire comme un puceau qui suivrait les consignes d'une femme plus âgée qui compte lui montrer toutes les bases des préliminaires.
Ses mains se baladent sur mon corps une nouvelle fois pendant que l'eau se réchauffe pour arriver à la température désirée par ma guide du moment.

Quand elle me pousse des deux mains sous l'eau brûlante, nous nous observons tous les deux sans en perdre une miette. Même si j'avoue que j'ai le meilleur rôle car je peux l'observer retirer ses habits. On a beau être loin d'un strip lascif, cela reste agréable pour les yeux.

Les rôles sont clairement inversés. Kara s'amuse à jouer avec sa bouche sur mes jambes comme je l'avais fait plus tôt avec mes mains sur ses cuisses quand je l'empêchais de jouer correctement. Ma seule envie est de continuer à monter pour venir s'occuper de ma queue. Je ne pense qu'à ça alors qu'elle prend clairement plaisir à me faire attendre. La garce. Et le pire c'est que je le mérite.

Quand elle remonte avec sa langue une première fois pour se prendre l'eau au visage je ne dis rien et lève juste le bras pour tourner légèrement le pommeau afin de dévier le jet de quelques centimètres et lui laisser le champ libre.

Je me contente de la regarder sans agir de la moindre manière pour le moment. En tout cas chaque coup de langue me fait soupirer et je ne retiens aucun son pour lui montrer à quel point j'apprécie et savoure ce qu'elle commence à faire avec brio.

- Depuis notre passage dans la bagnole je crevais d'envie de recommencer.

Je me baisse alors en me penchant légèrement en avant pour remettre ses cheveux en place et retourne dos contre le carrelage de la douche froid vu que l'eau ne tombe pas encore dessus. Le mur glacé et sa langue douce associée à l'eau chaude offre une combinaison dangereuse.

- Je te laisse faire, ma grosse queue est toute à toi.

La seconde qui suit laisse échapper un énorme et long soupir de plaisir d'entre mes lèvres. Putain ce que c'est bon. Certains mecs aiment pas se faire sucer. Tout se qu'ils voient c'est une chatte et un truc à enfoncer dedans comme des brutes. Alors qu'il faut savoir varier les plaisirs dans la vie. Et une fille qui sait vous tailler une pipe ne court pas les rues.

Kara Desco

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    Description
    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 24 lundi 28 décembre 2020, 23:48:25

Ronronnant, Kara continue un bon moment de lécher la peau douce, tendue et pulsante sous sa langue. A chaque mouvement, à chaque fois qu’il soupire, elle se sent frémir de désir, il monte instantanément, la situation l’excite sans tarder. Elle ne se connait pas aussi cavalière, mais les gestes et vocalises de Souta l’encouragent, et l’une de ses mains vient saisir son sexe tendu, pour le diriger lentement mais sûrement vers ses lèvres.

Elle les garde fermées un instant, louchant sur ce gland luisant où ruisselle l’eau brûlante, comme avant de dévorer un repas appétissant… Son visage s’approche alors doucement, elle sent sur sa paume les veines battre, comme une communication impatiente en morse pour lui ordonner de l’enfourner contre son palais.

L’embout rond cogne contre sa bouche, elle entrouvre les lèvres et le laisse s’y insérer sans trop écarter l’entrée, le comprimant légèrement, sa langue venant titiller la surface qui a eu la chance de pénétrer à l’intérieur. Il a bien meilleur goût maintenant que l’eau l’a nettoyé, Kara inspire le parfum de sa peau à pleines narines alors qu’elle avance encore le visage pour faire entrée centimètre par centimètre cette queue énorme.

Juste passé son gland, elle repart en arrière, reprend ses baisers et ses coups de langue, sa main cette fois le caresse avec poigne, d’avant en arrière, sans accélérer. Ce n’est pas endiablé comme le rythme imposé par Souta, mais c’est son rythme à elle, elle le fait monter en température degré par degré, il va succomber avant qu’elle ait avalé tout son membre épais, il va couiner et gémir.

Son sexe est de nouveau aspiré, plus long, elle suce ce qu’elle trouve à portée, sa tête bougeant dans des mouvements intenses de va et vient lent et profond, où chaque son provenant de la gorge de son amant l’électrise, faisant resserrer ses lèvres autour de lui. Elle se sent elle-même dérailler d’être aussi alanguie et suave. Surtout qu’elle repense à ce qu’il a dit, au sujet de la veille… Il rêvait d’elle ? Qu’elle recommence à le sucer de la sorte ? C’était flatteur… C’était génial. Elle se sentit puissante et assurée, et l’enfonça encore plus jusqu’à sa gorge, sa main continuant de le branler.

Ses propres gémissements étaient devenus irrépressibles, interrompus par la queue qui allait et venait désormais plus vite, l’eau ruisselant sur son dos semblait froide à côté de la chaleur qui se dégageait de l’intérieur de sa bouche, lorsqu’elle faisait glisser son gland sur son palais strié. Sa salive se mêlait aux gouttes du jet de la douche et tombait sous son menton, lorsqu’elle lâcha la fesse à laquelle elle s’agrippait pour venir tâter, caresser et flatter ses testicules.

Kara ne s’arrêtait pas, elle semblait tellement excitée de le sucer avec une telle amplitude et par la puissance que cela lui conférait sur Souta. Elle le tenait fermement contre elle, elle contrôlait les mouvements, il frémissait dans sa bouche. C’était grisant de se sentir toute-puissante !



Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 25 mardi 29 décembre 2020, 09:26:47

Contrairement à de la baise pure et dure, voir assez hard dans certains cas, une pipe est largement plus agréable quand la femme en face prend tout son temps. Attraper sa partenaire par les cheveux et faire balancer sa tête dans tous les sens sur sa bite ne rend pas la chose plus excitante.
On peut appuyer sur son crâne pour la faire avaler ou jouer avec sa respiration si on veut l'embêter au pire. Un truc que je fais parfois en fonction de la situation ou de la fille.

Mais là je la laisse faire sans la déranger. Qu'elle continue de découvrir ma queue et joue avec à l'aide de ses petites mains et de sa bouche délicieusement coquine.

- Hmmmmmmm...

La voilà qui se concentre de longues sur mon gland en l'embrassant et l'avalant. Pas forcément dans cet ordre. Ses doigts qui semblent si petits comparé à ma tige ne se laissent pas influencer par la différence de taille.
Chaque fois qu'elle marque une pause avec sa bouche, ceux-ci prennent la relève et viennent me caresser doucement sur toute la longueur en passant par-dessus mes veines.

- OOOOh ! Putain ! Ouais !

Le rythme a beau être assez lent, je continue de grossir et durcir dans sa bouche alors qu'elle m'avale de plus en plus. Et de mieux en mieux. Quand elle place un main sur mes fesses musclées, je la sens m'engloutir comme une affamée alors qu'il y a encore pas mal de marge.
La façon qu'elle a de ma sucer me donne l'impression de fondre dans sa bouche. Comme un chocolat qu'on aurait laissé au soleil.

Me voilà avec le gland coincé entre ses lèvres et un bain de salive chaude et gluante, une main qui me branle en tirant sur ma peau veinée et sensible de manière si sensuelle tout en imposant sa propre cadence... et une main qui termine sur mes couilles encore bien chargée.

Je suis tellement excité que je tends un bras pour venir se poser sur sa tête avant de retenir mon geste et de coller ma main sur le mur en carrelage à côté de moi. Mon autre main, elle, se serre pour former un poing car je n'ai qu'une parole et je lui ai dit juste avant que je suis tout à elle.

- J'suis vraiment con d'avoir demandé que 30 minutes. Parce que je pourrais rester des heures comme ça tellement tu m'excites.

En même temps que je parle, ma bite se met à pulser entre ses petits doigts fins. Les caresses de sa main sur mes boules me font me demander si elle se contentera d'utiliser cette façon de jouer avec ou si elle ira plus loin. Car pour le moment ça reste hyper agréable mais très soft.

Je ne m'attends pas à ce qu'elle se lâche au point de venir se frotter tout le visage avec ma hampe tendue ou de baver sur chaque centimètre de ma trique qui a quasiment retrouvé toute sa vigueur. Mais j'aime les femmes un peu joueuses.

Après, peut-être que ça viendra avec le temps pour Kara. Parce que quelque chose me dit qu'on sera amené à se revoir régulièrement et dans un tas de situations un peu spéciale vu comment notre histoire à commencée.

Kara Desco

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Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 26 mardi 29 décembre 2020, 16:16:57

Kara sentait bien la tension qui montait au fur et à mesure de ses délicieuses attentions, le corps de Souta qui se tendait, frémissait, ses râles engloutit par le bruit puissant du jet d’eau. Elle adorait l’effet qu’elle faisait, et le sentir sous pression augmenta son excitation, se lâchant de plus en plus. Il avait l’air de regretter d’avoir donné un délai aussi ‘court’ au livreur, et elle essaya de ricaner, chose peu aisée avec cet énorme membre au fond du gosier…

Elle doutait pouvoir, elle, tenir sur une grande distance, elle n’était ni endurante, ni patiente, en réalité. Et elle se demandait aussi si cela voulait dire qu’elle n’était pas douée. Dans ses souvenirs, parfois avinés, elle avait eu des expériences assez courtes pour ce genre de pratiques, et pour le peu qu’elle se remémorait clairement, ses partenaires ne tenaient pas longtemps. Est-ce qu’elle était nulle ?

Y réfléchir l’empêchait de s’activer correctement, elle perdait le fil de ses mouvements, qui devenaient moins naturels et instinctifs.

Elle ferma les yeux, fichant cette queue jusqu’à sa gorge pour s’interdire de cogiter, et la sensation d’asphyxie grandissante, pendant quelques secondes à peine, lui vrilla le cerveau suffisamment pour avorter ses doutes. Elle repoussa sa frange qui collait à son front et essuya ses yeux en ouvrant les paupières de nouveau, relevant le regard vers Souta d’un air d’adoration.

Elle avait rarement eu un sexe aussi gros dans la bouche et elle se demandait jusqu’où elle pouvait l’enfoncer en elle… Sans le lâcher de son regard bleu délavé, Kara accentua la pression de ses lèvres, circluant avec plus de voracité sa hampe vibrante, qui s’introduisait désormais vivement.

De son front, elle le pousse encore un peu, que ses fesses comme son dos se colle au carrelage devenu chaud et ruisselant, et pose ses paumes bien plaquées de chaque côté de son bassin pour y prendre appui et accroître la profondeur de cette pénétration. Elle veut savoir s’il tiendra vraiment 30 minutes, s’il est particulièrement endurant, ou s’il fanfaronne… A sentir les tressautements contre son palais, elle doute qu’il ait dit la vérité, sa succion devient plus bruyante, elle force sur ses genoux qui commencent à lui faire mal, mais continue avec acharnement.

Kara a beau se dire que, cette fois, elle s’occupe de lui, elle imagine cette queue la prendre à nouveau, et l’intérieur de ses cuisses la pique un peu tant elle est enflammée de désir.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 27 dimanche 03 janvier 2021, 08:47:01

Le temps semble presque s'être figé quand je sens Kara forcer sur son propre corps pour engloutir un maximum de centimètres en elle. Sa gorge m'écrase encore plus que sa chatte qui était déjà bien serrée. On n'est clairement plus en train de jouer mais de chercher à aller au bout des choses là. Surtout quand elle pose ses mains brûlantes sur ma peau au niveau de mon bassin, comme pour prendre appui tout en m'empêchant de m'échapper de son emprise.

- Oooouuuf ! Tu déconnais pas quand tu disais avoir faim.

Ma voix est comme ma respiration, plus difficile à contrôler. Et si je suis resté docile jusque là, ce ne sera plus le cas pour la dernière ligne droite. Ma main pars en direction de son visage pour écarter une mèche de cheveux pendant que mon regard reste planté dans le sien. Voir ses yeux se plisser durant cet exercice est extrêmement excitant.
Dans la foulée mes doigts partent se glisser dans sa chevelure pour lui faire reculer la tête de quelques centimètres avant de la tirer de nouveau dans ma direction. Doucement, sans forcer un seul instant. L'objectif est de la guider et non de la forcer dans ses mouvements.

- Continue comme ça, je sens que ça vient.

La belle Kara sera bientôt récompensée de ses efforts car l'orgasme est sur le point de faire son apparition. Mon corps tout entier se crispe et de longs soupirs de plaisir s'échappent de ma bouche à chaque fois que la sienne revient à la charge.
Je lui apprendrais sûrement comment j'aime me faire sucer à une autre occasion. Mais là c'est déjà plus que suffisant pour me faire plaisir. Un vingtaine de secondes passent pendant que je la laisse faire. Puis je pose mes mains sur ses poignets pour lui demander d'apporter la touche finale.

- Branle-moi avec les deux mains ! Comme ça !

Dans un mouvement rapide je lui fais déposer ses mains l'une devant l'autre pour que les deux puissent me branler et sentir ma queue pulser contre ses doigts fins tout en lui faisant  comprendre de reculer la tête et libérer une bonne partie de l'objet logé dans sa gorge.
Des gémissements encore plus longs et rauques s'échappent de mes lèvres quand elle s'acharne sur ma bite comme une furie.

- Ouvre la bouche pour moi !

Ma phrase est à peine terminée que je commence à lui tapisser la visage le visage en retirant mon gland de sa bouche. Mon corps est tellement tendu que j'ai du mal à viser durant les deux premiers jets. Le sperme toujours aussi gélatineux est éjecter de mon gland pour s'abattre sur sa peau douce et trempée par l'eau de la douche.
Ma main se pose sur les siennes qui me branlaient pour continuer de lui étaler ma crème sur le visage et les seins pendant plusieurs secondes. Seule une petite quantité à terminé dans sa bouche.

Vidé un nouvelle fois, je me laisse m'appuyer dos contre le mur en carrelage tout en admirant mon oeuvre. Le souffle lourd, un léger sourire sur les lèvres.

- Faut pas te gâcher l'appétit en te remplissant le ventre avant que la bouffe arrive.

Mais la pause attendra. Je bande toujours aussi dure et en me redressant je lui colle directement l'engin sur son visage. Dure, pulsante, dégoulinante de sperme sur toute la longueur. Qu'elle réalise à quel point elle m'excite et que ce n'est pas terminé.

Je me pense alors pour glisser une main sous un de ses bras et lui faire comprendre de se relever en se retournant pour que je me retrouve sans son dos. Mes mains se mettent alors à caresser son corps tendrement. Les épaules, les bras, ses hanches, son ventre. Ma bite, elle, s'est logée entre ses fesses pour y élire domicile le temps nécessaire.

Je tends ensuite le bras pour attraper une bouteille de gel douche dont j'ôte rapidement le bouchon pour en déverser une jolie quantité sur la poitrine de la belle Kara. La bouteille est alors lâchée pour finir à même le sol afin d'avoir les mains libres et commencer à masser cette superbe paire de nichons.

Kara Desco

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Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 28 dimanche 03 janvier 2021, 15:15:56

Kara s’était trouvée tellement excitée lorsque Souta avait pris ses mains pour lui imposer d’enserrer son sexe comprimé, qu’elle n’avait émis aucune plainte, frémissant en gémissant enfin de pouvoir émettre des sons.

« Comme ça, trésor ? » Ronronna-t-elle en imposant à ses mouvements de va et vient un rythme intense, sentant pulser sous ses doigts les veines gonflées de sang.

Les gémissements de son amant la rendaient folle, elle adorait l’entendre couiner et se sentir maîtresse de la situation, comme si elle avait un pouvoir particulier entre les mains… Et cette fois, c’était littéralement le cas, ses deux mains passant parfaitement sur la longueur de cette queue imposante.

Sur son ordre, avec un petit sursaut de plaisir, elle ouvrit bien grand la bouche, battant des cils comme par anticipation de ce qui va arriver, frémissante d’impatience. Elle a tôt fait de recevoir une pluie pâteuse au visage, ayant un petit mouvement de recul instinctif, mais ne pouvant s’empêcher de sourire.

De longs jets retombent mollement entre ses seins et dans son cou, elle ricane nerveusement et avale le peu qui venait de gicler sur sa langue. Son gland venant se coller contre sa joue lui fait tourner les yeux, puis la tête, mais aussitôt, Souta l’a attrapée, ne lui laissant pas le temps de se remettre de ses émotions.

La vache, elle se sentait un peu déboussolée par tout ce qui venait de se passer, si bien que, lorsqu’il l’aida à se redresser, la tête lui tournait. Kara chancela un peu, se rattrapa à Souta et vit son regard pétillant d’excitation intense, encore. Il était vraiment insatiable… L’instant plus doux qui suivit la laissa souffler un peu, frémissant sous ses caresses, elle fut même tentée de se tourner pour l’embrasser, mais il était parfaitement calé contre son dos.

Ses mains qui parcourent son corps l’électrisent alors, la douceur semble lui plaire, mais la seconde suivant, dès qu’il s’attarde sur ses seins et que la mousse envahit sa peau, Kara se met à gémir en soupirant.

« Frotte bien, hein… Répare tes bêtises… » Glousse-t-elle alors, en dandinant le bassin pour taquiner son bas-ventre qui se presse entre ses fesses.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : C'est qu'elle en redemande, la petite [Souta, Janus, Kara]

Réponse 29 dimanche 03 janvier 2021, 15:50:44

Demande aussitôt effectuée, demande aussitôt répondue par l'affirmative. Plus tôt j'avais attrapé ses seins à pleine main pour malmener ses tétons pour l'exciter au maximum durant l'acte. Mais cette fois les choses sont différentes.
Avec une femme il est essentiel de découvrir ce dont elle a besoin et de s'adapter à la situation. Dans le cas présent il est bon de profiter sans se précipiter. Surtout qu'elle semble se lâcher petit à petit de son côté au fil des minutes. On est là pour s'amuser et prendre du bon temps. Sans prise de tête, sans jugement de part et d'autre. Il y a personne en dehors de nous deux.
La bouche glissée contre son oreille vu nos positions je lui réponds dans la foulée.

- Je vais essayer.

Du sperme continue encore de fuir de mon gland pendant qu'elle branle légèrement ma bite en tirant sur la peau sensible de cette dernière avec ses fesses. La sentir se frotter le cul contre mon bas ventre et mes cuisses quand elle se dandine par moment est terriblement excitant car je sais que c'est uniquement pour jouer.

Au niveau supérieur, mes mains se placent sous ses deux gros seins pour les caresser et étaler la mousse et le gel qui n'a pas encore pris afin qu'aucun endroit ne reste délaissé. Mes doigts finissent rapidement par se recouvrir de mousse en remontant délicatement sur ses deux monts si doux et sensibles. On catalogue souvent les hommes qui aiment jouer avec la poitrine de leur partenaire comme de gros bébés. Mais certaines femmes sont plus sensibles que d'autres à ce niveau et stimuler leur poitrine leur fait beaucoup d'effet.
Puis même les moins sensibles aiment qu'on les caresse. Peu importe à quel endroit.
Alors que mes doigts continuent de parcourir chaque centimètre de sa poitrine, ils finissent par revenir sur ses tétons pour jouer délicatement avec. Pas de pincement ou de torsion. Juste des petits mouvements circulaires autour de ses aréoles ou de ses mamelons.

- Les mecs doivent loucher en permanence dessus dans ton tailleur serré.

Je commence alors à les malaxer mais de manière douce et sans y mettre vraiment de force. Il s'agit plus d'un massage que d'autre chose pour le moment. La mousse accompagne mes gestes et les rend plus glissant. Du coup je suis plus lent afin de pas voir mes mains s'envoler durant un faux mouvement.
Une fois mes doigts au niveau de ses tétons je repars en arrière pour recommencer.

- Ils ont l'air plus à l'aise entre mes mains, tu trouves pas ?

La seconde suivante on peut entendre la sonnerie à l'entrée de l'appartement. Je tends alors le bras pour me saisir du jet d'eau et l'approcher de sa poitrine pour la rincer tout en continuant de la caresser et la masser avec mon autre main. La chose dure au moins dix bonnes secondes quand une nouvelle sonnerie se fait entendre.
Je fais se retourner Kara en la regardant droit dans les yeux, une mèche ou deux masquant légèrement mon regard. De ma main libre je soulève un de ses seins que je glisse dans ma bouche et le suce légèrement avant de le recracher dans la foulée.

Avec regret je m'écarte d'elle et ouvre la porte en verre de la douche.

- Bouge pas, je reviens.

Sans prendre la peine de récupérer une serviette en chemin je me dirige vers la porte en prenant soin de ramasser ma carte. D'un geste rapide et assuré j'ouvre la porte derrière laquelle se tient une fille dans la vingtaine qui ne sait plus où se mettre.

- Votre sauc... Votre commande, monsieur... Euh...
- Ah merci. C'est du rapide, ça doit pas faire 30 minutes, si ?
- Aucune idée... Je fais que liver.
- Tiens, c'est un pourboire parce que voilà, j'suis un peu à poil.
- Ah, j'avais... Pas remarqué. Pfouuu, il fait chaud chez vous.
- C'est sûrement la douche.
- Quel gros pourboire. Enfin, non ! C'est très généreux, merci !


J'attrape les sacs de bouffe et les boissons pour les déposer sur la table basse pour me retourner en direction de la salle de bain.


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