Rachele regarde le supplice affaiblir petit à petit sa proie qui hurle et jouit sans interruption. A plusieurs reprises, elle cède et s'avoue vaincue. Mais Rachele n'oublie pas ce que la succube lui à dit quelque temps plus tôt et ordonne que leviol continue encore et encore, inlassablement.
Au bout de plusieurs heures de se spectacle, Rachel sent la fatigue la gagner, elle ainsi que plusieurs de ses invités, elle les invite alors à aller se reposer. Mais au moment ou Vierna pense qu'elle va enfin pouvoir elle aussi profiter d'un répit, de nouveaux bruits de pas et de portes se font entendre.
- Soyez les bienvenues Mesdames et messieurs. Je vous invite à continuer ce que nous avons commencé. Il est minuit, je reviendrais demain en fin de matinée, en attendant, profitez en bien, je veux qu'elle soit totalement lessivée quand je serais là...Et sur ces mots la mafieuse s'en va et abandonne la succube à de nouveaux invité, frais et en pleine forme pour la torturer et la violer pendant les longues heures qui vont suivre...
Après ces brèves minutes de répit, Vierna sent l'odeur des nouveaux arrivant se rapprocher d'elle... et le bruissement elèctrique des vibromasseurs s'activer dans leurs mains...
--- Le lendemain, 11 heures... ---
Rachle s'étend dans ses draps de soies et pousse un long gémissement de bien-être, elle vient de passer une nuit très agréable et se réveille en pleine forme. Elle regarde sa montre et lève un sourcil de surprise, il est déjà onze heures du matin, elle est surprise d'avoir dormi si longtemps, le calvaire de sa nouvelle esclave aura duré bien plus longtemps qu'elle n'y comptais. Elle sourit en se demandant bien dans quel état elle va retrouver la petite succube. Si elle à survécus aux sévices de cette nuit, il ne lui restera plus qu'une dernière étape à passer avant d’être enfin récompensée pour ses souffrances... et alors elle sera à elle.
Dona Florenza prend une douche bien fraîche et vivifiante, s'habille d'un nouveau beaudy noir en cuir moulant ses formes de manières extravagante, armé d'un décolleté plongeant jusqu'au nombril. Elle enfile ses talons aiguille et prend directement l’ascenseur vers l'Asylum.
Quand elle ouvre la porte de la salle de reception, Rachele remarque immédiatement la voie brisée et totalement épuisée de la succube qui continue depuis tout ce temps de ce faire baiser par des gods vibrants par tous les orifices. Par terre, des tubes de lubrifiants gisent dans une mare de cyprine en train de sécher, Vierna se fait maintenant violer depuis tans d'heures que son corps ne parvient plus à la lubrifier correctement.
Mais cela, les invités s'en moquent, ils on trouvé la parade. L'un d'entre eux enduit un nouveau monstrueux plug anal avec ce qu'il reste d'un tube de vaseline et commence à le presser contre le cul ouvert et dilaté de l'esclave. Les gémissements et les cris de refut de la belle succube sont étouffées par un god enfoncé dans sa bouche par une invité qui se sert dela propre salive de Vierna pour enduire l'objet du supplice. Elle libère finalement la bouche de la démone pour venir lui enfoncer le god dans le vagin, le faisant coulisser contre deux autres déjà enchâssé en elle et lui imposant une triple pénétration.
Ces actes de viol barbare, Vierna les subit maintenant depuis une nuit entière, elle a perdue le compte des heures et des orgasmes, elle a jouit tans de fois qu'elle en a désormais des crampes. Toute l'énergie sexuelle qu'elle avait accumulée grâce à l’âme du sacrifice et des bites qu'elle à sucée c'est évaporée orgasme après orgasme par ces objets dont elle ne peut se nourrir, jusqu'à ce qu'elle se retrouve au stade de simple humaine, sans le moindre pouvoir magique. Elle a désormais faim, une faim dévorante et insupportable. Cela peut paraître fou, mais malgré tout les orgasmes qu'elle vient d'avoir, elle a encore plus faim de sexe, mais de vrai sexe, du sexe qui la nourrisse, avec de vrais partenaires.
- C'est bon, ça suffira pour ce soir. Je vous remercie tous.Le calvaire semble prendre fin, Vierna sent qu'on lui enlève toutes les bites en plastiques enchâssées dans sa chaire. On lui enlève son bandeau, quand ses yeux s'acclimatent à la lumière elle découvre qu'elle est suspendue dans le vide à hauteur de visage, et en face du sien, se trouve celui de Rachele.
- Bravo Esclave, tu as survécu. Je suis très fière et très surprise de toi. Et comme toute bonne Maîtresse, je crois qu'il est temps que je te récompense pour ton assiduité.Le bruit de vérin électrique résonne et Vierna se sent descendre vers le sol de la pièce. Au contact de celui-ci, toutes ses articulations se détendent enfin, elles qui sont comprimée dans le vide depuis tout ce temps. Deux esclaves s'approchent d'elle pour lui détacher les poignets et les chevilles du dos et les lui rattacher devant, pour qu'elle puisse marcher à quatre patte.
La démone remarque que ces deux ravissantes humaines ont les oreilles bouchées avec une étrange résine, leur bouche est tenue ouverte par un cercle en acier comme celui qu'on lui avait mis la veille et elle porte sur le front un bandeau similaire à celui que Rachele vient de lui enlever, prêt à être remis à tout moment.
C'est d’ailler ce qui se passe. Une fois que les deux esclaves ont fini de réorganiser le harnais et les attaches de Vierna, deux dominatrices en robe moulantes noir en récupère chacune une, leur remet leur bandeau et leur attache les mains dans le dos. La succube comprend que ces deux jeunes femmes sont totalement privées de tout ce qui ne leur sert pas en temps que jouet sexuel.
Mais elle n'a pas le temps de se demander ce qu'elle ont bien pu faire pour mériter un tel châtiment. Rachele tire de nouveau sur sa laisse pour l'obliger à la suivre à quatre patte vers l’ascenseur.
- Viens avec moi ma belle succube. Tu as besoin de repos, et tu as mérité ta récompense...Sur ces paroles énigmatiques, Dona Florenza l’entraîne vers le sas de l'élévateur. Celui ci se referme. Loin des yeux des invités, Rachele se prend à caresser la chevelure de la succube pendant que Vierna sent qu'elles montent vers les étages.
Le tintement d'une clochette annonce qu'elles ont atteint le dernier étage. Le sas s'ouvre sur un immense salon ultra moderne et élégant, donnant sur une immense baie vitrée depuis laquelle ont peut admirer toute la ville.
- Bienvenue au sommet Esclave. Si tu te montre obéissante et que tu fini par aimer ta vie, je t'y ferais peut être une place...Dit elle en la faisant entrer dans ses appartements privés. Elle tourne à droite de l’ascenseur et entre dans un couloir ou une esclave en tenue provocante est en train de nettoyer un étrange grand biblo en latex qui semble gigotter et gémir:
- Non... ne t'en fais pas... ce n'est pas à cela que je pensais en disant que je te ferais une place... enfin sauf si tu es très désobéissante...Rachele et Vierna passent devant l'esclave qui se met immédiatement à genou en écartant les cuisses et en relevant sa jupe, la succube remarque qu'un petit anneau d'argent est fiché dans le clitoris de la jeune femme pour qu'elle ne puisse pas le dissimuler entre les plissures de sa vulve.
Derrière elle, l'esclave enchassée dans le tableau continue de gigotter et de gémir de désespoir, paralysée, en s'approchant d'elle, Vierna entend un petit bruits de vibro lui laissant deviner qu'elle est en plus stimulée sexuellement en permanence.
Rachele continue de tenir sa succube en laisse jusqu'à atteindre une vaste chambre dotée d'un couvert d'une soie brillante de couleur blanche. La mafieuse se penche vers Vierna et lui détache les poignets pour pouvoir lui rattacher les bras sous les seins à la manière d'une camisole de force (voir image).
Puis elle la tire sur le lit et la fait s'allonger sur le dos avec une délicatesse surprenante après tans de barbarie. Elle lui déclipse la laisse, Vierna est a bout, elle se fait violer ou torturer depuis des jours maintenant et pour la première fois elle sent le bien être d'une literie de luxe caresser son dos et ses cuisses meurtries.
- C'est l'heure de ta récompense Esclave...Rachele dégrafe son propre body et révèle son corps de rève uniquement masqué ça et la par les lanières en cuir de son harnais de dominatrice. Profitant de l'épuisement totale de son esclave, elle lui écarte les cuisses, glisse langoureusement sur la soie pour plonger sa tête sur son entrejambe. Puis, en plongeant son regard dans celui de Vierna, elle ouvre la bouche, tire la langue et commence à lécher tendrement les zones où la prisonnière vient de se faire tans mutiler.
Ses lèvres et le bout de sa langue glisse le long de ses lèvres tuméfiés et blessée, tournent autour de son clitoris gonflé et épuisé, et plonge profondément entre les muscles distendus de son vagin.
Attention contenu explicite:
(Sans le bâillon boule sur Vierna)