Blacksad [PV Veronika]

Il est une heure du matin et la fête bas son plein au RACHELE'S. La jeunesse de Tokyo danse sur la piste, les vapeurs de sueur et d'alcool se fondent en un mélange capiteux et hérotique, la nuit s'étend à l'infini, au son discordant des baffles monumentales de la boîte de nuit. Quelques mètres au dessus de la foule, une grande baie vitrée permet aux rares privilégiés du carré VIP d'observer avec dédain le peuple en contrebas comme des vautours au dessus d'un abattoir...

Mais ce soir aucun baron du crime, aucun proxénète, aucun dealer, aucun vampire ne profite de la vue et ne scrute la foule à la recherche de sa prochaine proie. Ce soir tout les invités sont des personnes très particuliaires, spécialements sélèctionnées pour recevoir la future nouvelle "employée" de la Famille et la mettre à l'aise. Ce soir ce sont les meilleurs hackers, bio-ingénieurs et chimistes de Thekos et de la Terre qui se sont reunis pour prendre au piège une proie bien plus dangereuse que n'importe quelle humaine...

Confortablement installée au comptoir du carré VIP, Dona Florenza déguste un coktail en regardant avec impatience le sas de son ascensseur privé. Quand il s'ouvre enfin, un sourire malicieux se déssine sur son visage de porcelaine, la proie à mordue à l'ameçon...

Il ne pouvait de toute façon pas en être autrement, qu'es ce qu'une mercenaire cyborg rompue au combat aurait pu craindre d'une jeune femme et de ses invités de la "Haute" ? Elle ne pouvait être qu'une cliente comme une autre pour la soldate... et pourtant... dès l'instant où Veronika pénètre dans la vaste pièce pour rejoindre sa commanditrice son sort est déjà scellé...

Mêlée au son de la musique qui se déverse dans la salle, un code malveillant agresse déjà ses implants neuronaux sans qu'elle ne s'en rende compte, tout ce qu'elle entend est un grésillement désagréable qui démange ses oreilles félines. L'air qu'elle respire, le tabouret sur lequelle Rachele lui propose de s'assoir, les lumières utilisées, leurs motifs, tout a été étudié comme un piège immense, une toile d'araignée dans laquelle elle s'englue à chaque pas.

- Bonsoir Madame McRaven.

Dit Dona Florenza avec délèctation, riant intérieurement à l'idée de l'appeller "Madame".

- Merci d'avoir répondue à mon invitation. Je vous en prie prenez place, commandez quelque chose, c'est pour moi ce soir et nous avons à parler longuement de vos services...

Pour sur Veronika était un danger ambulant, que ce soit ses armes ou son corps cybernétique, tout chez elle était fait pour se battre corps et âme. Elle avait déjà détruire de nombreuses installations, parfois toutes seules, elle était une redoutable renégate Tekhane. Car oui elle était aujourd'hui chasseuse de prime et bossait pour les mieux offrants. Qu'ils soient d'anciens collègues ou d'anciens ennemis, pour elle tant qu'on paie on obtient quelque chose. Mais une chose était certaine, la Terre n'était pas pour elle, ses derniers passages y furent dangereux, ses expériences là-bas ne furent jamais de grands succès. Aussi elle était sur ses gardes, une invitation sur Terre n'était pas dangereuse en soi, mais quand on a son passé on reste méfiante. Max devait être un riche baron du crime, cela dit le nom puait le pseudonyme. Elle rentra donc dans un club à la mode, portant une lourde veste blindée sur elle. Si la veste très longue ressemblait à du cuir, il n'en était rien, c'était un nanomatériau plus solide que de l'acier. Du tissu en fibre de carbone, presque à toute épreuve, surtout celle des balles. De plus il lui fallait bien cet habit long pour cacher ses prothèses et éviter les questions inutiles dans les rues.

Le club qu'elle visitait était certainement une plaque tournante de la drogue, en plus de la prostitution, scannant les liens en entrant elle trouva rapidement l'ascenseur, montra son message aux gardes et commença l'ascension. Elle devait donc rencontrer le fameux Max, un homme à priori, mais elle n'était certaine de rien. Elle s'avança finalement dans la pièce, ça sentait la fumée de cigarette et elle pouvait encore entendre d'ici la musique du club qui était bien trop forte. Hochant la tête elle va vers le tabouret, sans laisser voir les multiples armes qu'elle cache sur elle, même si le fusil de précision lui était bien visible dans son dos une fois qu'elle baissa la capuche. Elle dévoilait ainsi sa nature féline, attira quelques regards puis observa autour et se détendit un peu hochant la tête :

- Vous devez être Max, et Rachele en même temps, je présume. Je n'aime pas trop trainer, mais je vais prendre un peu de temps pour vous, et aussi une vodka sèche.

Elle croisa les jambes sur le tabouret, laissant un instant voir sous sa veste ouverte un tas d'arme et seulement de petits dessous pour couvrir son corps. En tant qye cyborg elle n'avait pas vraiment froid, ni faim, elle n'avait pas besoin de se couvrir plus que nécessaire. Juste cacher son apparence aux humains, mais ici elle ne cachait rien, son employeuse devait déjà savoir ce qu'elle était. Un holster sous le bras gauche, deux autres sur les cuisses, des couteaux dans la ceinture, couteau de lancée bien sûr. Tout ça et une queue de chat qui balançait tranquillement dans son dos.

- Je serais ravie de savoir ce qui motive une femme telle que vous à faire appel à une chasseuse de prime telle que moi, du gros gibier, j'imagine ?

La chasseuse ne se sentant pas chassée, elle ne remarque pas que les autres invités ne montrent aucune surprise à son aspect et ses implants, et pour cause, la plupart viennent de son monde et connaissent parfaitement ses améliorations. Et pendant qu'elle scanne tout le monde, tout le monde la scanne aussi avec discrétion.

Elle n'est pas encore assise que, sous couvert de consulter leurs portables ou leur tablettes, les hackers ont déjà commencé à étudier les parefeux de ses implants et a reprogrammer leur virus sonore pour qu'il face mouche au bon moment.

Elle n'a pas encore commencé à parler à Max, que les bio-ingénieurs ont déjà étudié son profile organique et ses phéromones avant de transmettre le tout au chimiste... qui n'est autre que le barman. Généralement immunisé aux poisons et aux drogues classiques, les cyborgs se pensent généralement insensible à leur effets alors qu'en vérité, il suffi d'adapter les doses et les substances...

- Vous devez être Max, et Rachele en même temps, je présume. Je n'aime pas trop trainer, mais je vais prendre un peu de temps pour vous, et aussi une vodka sèche.

Rachele sourit de son impertinance et note pour elle même de la chatier pour cela plus tard. Puis elle fait signe au barman qui débouchonne la bouteille sous les yeux de la cyborg qui ne se doute peut être pas que le danger ne réside pas dans le liquide que l'on sert, mais dans l'eau utilisée pour laver le verre qu'il lui tend...
Pour leur rencontre, Rachele n'a pas choisit d'utiliser un somnifer ou une drogue, elle a choisit un coktail de relaxant musculaire qui rabaissera simplement la force de sa proie à celle d'une adolescante de seize ans.

- Vous faite partie des rares personnes à désormais me connaitre sous mon vrai nom.

Lui dit elle en pensant au fait que ça n'aura bientôt plus aucune importance. Ce constat la fait sourire de manière enygmatique.

- En fait, j'aurais besoin de vous pour un travail à plus long terme, qui demande une grande implication, une grande expertise, et des connaissances techniques que vous ne connaissez pas encore mais que je me ferai un plaisir de vous apprendre.

Max se délècte de son sous entendu en buvant son verre.

L'accueil était trop froid, trop distant pour une grosse commande, quelque chose clochait. Veronika recut donc le verre, le porta à sa bouche tranquillement, mais avant de boire lécha le contenu, rapidement l'analyse fut concluante, il y avait bien une drogue dedans, mais pas de quoi l'inquiéter en fait, après tout voir ses muscles faiblir n'était pas un gros souci, car ses prothèses étaient mues par des puissants pistons et moteurs électriques ? Enfin, elle ne comprenait pas pourquoi on cherchait à la droguer, qu'importe, elle savait cela inutile. Mais pour sur maintenant elle sera encore plus méfiante, elle pouvait déjà voir d'ici la baisse à venir dans ses performances physiques. Elle hoche la tête fixant Rachelle à l'aveu sur son vrai nom, le travail allait venir, du long terme visiblement très technique.

- Hmm, je n’ai rien contre bossé longtemps, mais j'ai du mal à croire les gens qui tentent de me relaxer un peu trop avant le boulot.

Elle sourit un peu, relaxé, un relaxant musculaire, bien sûr qu'elle faisait exprès de le signaler. Peut-être dans le fond que tout ceci n'était qu'un test pour voir la fiabilité du cyborg, qui d'ailleurs n'avait pas bu plus d'une gorgée dans le verre. Elle le posa sur une table, puis le brisa avant de sourire faussement désolé :

- HAA... les prothèses, parfois on en perd un peu le contrôle...

Elle fixa les gardes dans la pièce, plus sérieuses à présent, quelque chose clochait dans la situation. L'eau sur ses doigts métalliques était évidemment sans effet, mais elle put mieux que jamais déterminer la chimie du produit, surtout celle qui recouvrait le verre.

- C'est futé je le reconnais, droguer le verre plutôt que le contenu, bref, vous semblez chercher la discrétion, ce n'est pas vraiment mon domaine vous devriez le savoir.

Elle réfléchit un peu, l'observa encore et décroisa les jambes doucement, trop de regards sur son corps, pour les hommes elle devinait la raison, mais cela serait manquer de professionnalisme que de la reluquer devant leur patronne.

Loin de se laisser impressionner, Rachele entre dans son jeu tout en sachant que sa future esclave est une proie farouche et dangereuse. Consciente que sa véritable faiblesse réside dans la foi qu'elle porte à ses implants cybernétiques, Max décide de gagner du temps pour permettre aux hacker de pénétrer ses défenses et bloquer ses fonctions guerrière, un simple coup suffirait à tuer la baronne du crime, simple humaine.

- De la drogue ? Que voila de grossières accusations, rien d'aussi trivial entre nous, je préfère les substances plus complexe et dont la chimie opère differamment.

Car le dosage avait été parfaitement ajusté pour compenser les capacité de filtrage du corps de la cyborg, ainsi, le simple fait de lécher le verre et d'en boire une gorgée lui avait fait ingérer une dose monstrueuse de relaxant qui agirait lentement et progressivement, sans eveiller de soupçons.

- Et je suis rassurée de vous voir aussi résistante, si vous n'aviez pas été capable de résister à cela, vous n'auriez pas valu grand chose face à mes concurents et leur gaz neurotoxiques.

C'était un mensonge, mais dans le domaine, Rachele était une Maitresse en son Art.

Devant l'attitude de son "invité", Rachele décroise à son tour les cuisses, révélant discrêtement qu'elle ne porte aucun sous-vêtements sous sa longue robe fendue couleur crème. Veronika remarque alors que les hommes de la pièces ne regardent pas leur chef, ils restent braqués sur elle, et curieusement, pas sur ses formes séduisantes, mais sur ses implants.

- Mais cela ne suffira pas, je dois encore découvrir si vous disposez des capacités d'apprentissage et d'une certaine souplesse, de corps et d'esprit pour le service auquel je vous destine...

Véronika n'était heureusement pas totalement une machine, et bien qu'elle sache communiquer avec ses implants, ces derniers étaient autonomes sur bien de points. Commandé par les nerfs ils seraient complexes à rendre hors service par l'extérieur. Le plus simple aurait été la force brute pour les arracher, mais là encore il faudrait passer outre les points d'attache mécanique. Bref, le problème était très complexe, comment entrer dans ce qui est un système isolé ? Les hackeurs le comprenaient bien, et ils ne devaient surtout pas le montrer à la patronne. Toujours est-il que la cyborg ne comprenait pas bien cette tentative à son égard, elle reprit donc la discussion commençant par écouter ce que voulait la cliente. Elle n'avait que peu de muscles humains encore présents dans son corps.

- Vous m'en voyez ravie vous avez pas idée...

Sarcasme, elle commençait à être sur les nerds avec ce petit jeu qui lui faisait perdre visiblement pas mal de temps. Elle laissa Rachelle se rassoir, ne regarda même pas son bassin, ne nota pas l'absence de culotte, car elle avait des choses plus décentes à regarder. Soupirant elle écouta la dernière phrase, souplesse ? Avec un corps en grande partie robotique ? Elle sauta hors de son tabouret, fit sursauter les humains, mais s'y attendait. Elle fit un tour sur elle-même et puis retira sa veste se dévoilant alors les seins à l'air portant simplement une culotte avec une encoche à l'arrière pour laisser sortir sa queue de chat. Une queue bien vivante elle, pas du tout un ajout cybernétique, elle avait quatre oreilles, deux de chats et deux humaines.

- Je suis d'origine féline, ma souplesse va bien au-delà de votre imagination.

Elle sauta alors et toucha presque le plafond, fit une pirouette et retomba sur un doigt souriant, puis se relança pour revenir sur ses pieds sans rien bousculer. Elle ne semblait pas le moins du monde affectée par la drogue, trop de muscles chez elle sans doute. Pourtant elle avait noté un ralentissement, elle scanna autour et haussa les épaules. Visiblement un petit malin avait compris que si l'on ne peut agir à distance sur la partie logicielle, on pouvait toujours tenter d'embrouiller les prothèses avec des microondes ou encore une décharge électrique assez puissante. Tout bêtement, mais pas du genre taser, cela ne ferait que frapper l'extérieur isolé des systèmes internes. Non il fallait utiliser la bonne vielle technique de l'induction électromagnétique, générer et modifier du courant sans toucher directement la prothèse.

- Bref, dites m'en plus vous voulez ? Je n'aime pas trop l'ambiance ici, pas mon gout vous voyez...

Max regarde la cyborg démontrer ses prouesses physiques avec enchantement. Cette nouvelle "acquisition" serait un atout de choix pour son bordel et son gang. Une fois brisée corps et âme elle pourrait en profiter pleinement elle même, la louer très chère à sa clientelle d'élite et la charger de faire rêgner la terreur chez ses ennemis. Toutes ces perspectives mettent Dona Florenza dans un état d'excitation fou, excitation partagée également par tout les bio-ingénieurs et hackers dans la salle qui voient aussi les extraordinaires perspectives que leur ouvrira le corps de Veronika...

Plusieurs d'entre eux s'étaient d'ailleur ralliés gratuitement à Rachele pour organiser le piège, proposant de payer leurs prestations exorbitantes en pillant les connaissances technologiques et biologiques de la belle mercenaire. Pour ce faire, la Maitresse des lieu avait déjà tout prévu dans le sous-sol, bientôt tout les secrêts de la jeune femme seraient exposés au grand jour et Max jouirait de nombreuses séances de plaisir cruel sur sa nouvelle poupée.

Mais pour l'heure, il fallait parvenir à faire tomber ses défenses pour de bon, le virus sonore avait pénétré son système et révélé ses failles de sécurité. Il faudrait déclancher une onde élèctromagnétique très puissante pour neutraliser sa force pour quelques instants. Ensuite, Rachele et l'un de ses amis porterait le coup de grâce. Par chance, le carré VIP était un aquarium dont les grandes plaques de verre étaient maintenues entre elles par une charpente en acier, en d'autres termes, c'était une cage de Faradet...

L'un des hacker prévient Rachele que le piège est pret d'un signe de tête et toute l'assistance se lance un regard complice avant de ranger leurs téléphones et leurs tablettes dans des coffrets sécurisé.
Faisant semblant de ne pas remarquer le manège des serviteurs, Rachele, enfin en position de force, abat ses cartes.

- Vous serez parfaite, et si votre esprit est aussi souple et maléable que votre corps je suis certaine que vous ferez une esclave tout à fait merveilleuse.

Profitant de la surprise que ne manque pas de provoquer une telle déclaration, Rachele ajoute.

- Vous savez, je suis une femme aimante, j'aime mes clients, j'aime leur faire plaisir, et leur faire plaisir c'est leur apporter exotisme et plaisir, et j'ai bon espoir que vous m'y aidiez...

Le hacker termine sa ligne de code et le système élèctrique de toute la pièce accumule instantannement une quantité collosale d'energie avant de la relacher dans un éclatement silencieux pour les êtres organiques, mais assourdissants et insupportable pour les créatures cybernétisées. L'onde élèctromagnétique, porté par le virus sonore, pénètre toute l'infrastructure electronique de Veronika et provoque une disjonction temporaire. La mercenaire ne perd pas connaissance, mais soudainement ses implants se grippent, perdent leur puissance et deviennent à peine utilisable. Le simple fait de lever le bras ou bouger les jambes demande un effort proprement surhumain.

- Non ma belle, n'ai pas peur, c'est une nouvelle vie qui commence pour toi.

Ajoute Rachele en s'approchant lentement de la cyborg désarmée. Plusieurs personne dans la pièce s'approchent aussi pour l'entourer.

Une jolie chatte, dans une boite infernale, si elle ne craignait pas vraiment les impulsions électromagnétiques, faire partie d'une cage électrifiée était une autre question. Elle écouta donc la dame, un peu surprise de son changement de ton. Sa méfiance avait vu juste, quelque chose clochait, un bruit mécanique se fit t’entendre et de son poignet sortit un petit canon qu'elle pointait maintenant sur la patronne. L'écoutant encore elle lança son arme qui vit alors de la lumière sortir du canon, une lumière rouge qui blanchissait, un canon électromagnétique et un projectile ferromagnétique. En simple, une arme capable de percer des blindages légers sans le moindre souci. Mais pas le temps de tirer, quelque chose perturba ses systèmes, au début rien de grave, une surtension dérisoire, rapidement suivit par un bruit assourdissant dans la pièce. Elle tiqua alors, regard autour comme aveuglée par une lumière qu'elle seule pouvait percevoir. Elle voulut protéger ses yeux, mais trop tard elle quitta lourdement au sol, ses jambes coupées de leur fonction première. Suivi par ses bras qui pendaient lourdement sur ses épaules la faisant presque grimacer. Si seulement elle pouvait avoir mal à cet endroit.

Non, c'était juste désagréable, elle chuta en avant emportée par le poids de ses bras, s'écrasa face contre terre, ses yeux perdirent leur rouge vif. Tous ses systèmes s'éteignaient, les l'onde qui venait de passer les avait affectés, pourquoi diable ? À cause du sol, elle marchait depuis le début sur le conducteur, et étant la seule personne ici n’a marché pieds nus... Elle fut la seule à se prendre la décharge, lentement elle perdit son souffle, sembla mourir un instant. Son corps inerte de se stoppa en effet complètement, plus de respiration, plus un mouvement. Mais au bout d'une ou deux secondes, des bruits se firent entendre, des moteurs s'allumèrent en elle, ses yeux brillèrent à nouveau. Son alimentation était revenue, mais pas encore suffisamment pour qu'elle puisse user ses prothèses. Ainsi elle perdait les bras à partir de l'épaule, les jambes à partir des cuisses et restait au sol clouée lourdement. Le hic c'était qu'une fois qu'elle aura tout remis en marche ça serait la fin, elle sera comme avant. À moins que leur génie de hackeur...

S'avança, il vint vers elle et planta un câble dans un orifice caché dans sa nuque, il sembla trafiquer des trucs et assura à sa patronne que ça serait bon. Vero tourna un peu la tête, se débattit sans force et finalement se redressa péniblement, elle tenait à peine sur ses jambes. Visiblement le gars avait tout détraqué en pensant réussir... Le hic c'est qu'il avait réussit son but premier, baisser énormément la puissance des membres mécanique, pire, il les commanda à distance un petit moment. Jusqu'à ce que Vero coupe ses récepteurs, là il ne pouvait plus s'amuser. Mais ses armes étaient à terre, elle regarda autour son équilibre était directement affecté par ces perturbations. Son regard furieux en disait long sur ce qu'elle ferait une fois en état de commander son corps à nouveau.

Au moment où la cyborg commence à s'affaisser sous le poid de ses implants, Rachele descend de son siège et se penche vers elle pour la retenir par les épaules et l'accompagner délicatement dans sa chute. Elle met la jeune cyborg à genou sur ses prothèses mécaniques bien face à elle et lui prend la tête entre les mains pour l'obliger à ce pencher en avant. Veronika assiste impuissante au spectacle de l'opulante poitrine de Max vers laquelle son visage vient s'écraser avec lenteur.

- La... la... détend toi esclave, tu vas adorer ta nouvelle vie de jouet sexuel.

Elle lui écarte les mèches de cheveux qui couvrent sa nuque d'une simple caresse perfide et joue avec ses petits trou de connectique du bout des doigts. Un de ses serviteur s'approche de son dos et sort des cable de connection et les insèrent dans la nuque de la jeune cyborg.

- C'est ta première pénétration, ton premier viol, profite en à fond... ça te préparera...

Le cerveau de Veronika est soudainement attaqué par des millions d'informations et de code corrompu en même temps. Là ou elle pensais qu'il ne se servirai de ses implants de contrôle que pour maitriser ses prothèses, le hacker se montre plus vicieux et utilise la puce dans son cerveau comme simple "point d'accès" aux autres partie.

Les défenses de son logiciel tombent et le hacker prend le contrôle de ses mouvements, elle se redresse avec lenteur, toujours accompagnée par Rachele qui la libère enfin du creux de ses seins. Mais soudain elle sent un violent mal de tête et dans sa mémoire se mettent à défiler des milliers d'images de vidéo et de son pornographiques violentes et dégradantes ainsi que des codes suggestifs et hypnotiques.

Veronika coupe la transmission avant que trop de dégats n'aient été fait mais dans son esprit restent gravé de nombreuses scènes de sexe sordide qui réveille et emplifie malgré elle ses pulsions animales primitives, ses envies de chatte.

- Elle a coupée la connection Boss...

Contrairement à ce qu' aurait pu espérer la cyborg, cette information ne semble pas déranger la mafieuse le moins du monde, elle se contente de sourire à sa belle prisonnière et reprend sa tête entre les mains.

- Comme tu es combative... j'adore ça ma belle, j'adore ça... résiste aussi longtemps que tu pouras... Plus tu résiste, et plus j'irai loin pour te briser, et plus tu seras une bonne petite pute.

Dit Rachele en ramenant les mèches de cheveux de la prisonnière sur sa nuque pour lui dégager l'oreille droite.
Veronika remarque alors du coin de l'oeil que le hacker tiens désormais dans sa main un autre cable de connection, mais celui-ci se termine par une multitude de petits tentacules de couleur chaire qui s'agittent comme des parasites.

Sans écouter les récriminations ou les paroles de la cyborg, Rachele se contente de lui caresser une épaule d'une main pendant qu'elle lui tiens la tête légèrement inclinée de l'autre. Veronika voit du coin de l'oeil le cable se rapprocher de son oreille de chat, les filament s'agitant de plus en plus frénétiquement jusqu'à ce qu'ils puisse enfin s'enfoncer en elle. Elle les sent à l'intérieur de sa tête, remper et s'insinuer de plus en plus loin, remonter ses nerfs auditifs pour venir finalement plonger dans sa cervelle.

Les images porno recommencent alors à défiler frénétiquement dans sa tête, encore et encore, jusqu'à ce que son esprit soit en ébulition et que ses images se mélangent à ses souvenirs, à ses perceptions, à ses emotions.

Rachele s'éloigne de sa prisonnière de crainte que celle-ci ne réagisse violemment à ce traitement et prend la télécommande de l'impusion élèctrique de la salle pour le cas ou. Puis elle attend de voir si toute cette tension sexuelle rend sa proie plus docile, ou si elle va devoir employer la manière forte pour l'amener et la retenir dans son dongeon le temps qu'il faudra pour la soumettre...

La petite chatte cyborg tombait, impossible reprendre le contrôle des implants dans l'immédiat, elle était contre la poitrine de la mafieuse. Sans en être émoustillée, elle ne hâtait pas assez penchée sexe pour y percevoir quelque chose d'excitant. Et ce même si la poitrine était opulente à souhait et surement très agréable à tripoter. Le seul bon coté était qu'elle n'était pas tombée comme une masse grâce à cette intervention. Veronika dut donc résister, sentant le câble pénétrer sa nuque et faire pression dans la connectique, il était un peu trop gros ce câble en fait. Mais le pire n'était qu'à venir, il tenta d'introduire des données parasites dans son système. Des terabytes de données parcoururent alors ses mémoires, pas de quoi la surcharger loin de là, mais de quoi lui remplir la tête de choses inutiles dans tous les cas. Elle ne comprenait pas leur but, ne cherchant pas l'accès à ses données et laissant ses protections bloquer les virus un par un. Finalement l'implantation était une réussite, en apparence... Veronika parvint alors à couper toute connexion et renvoya dans l'appareil du hackeur une décharge de plus de dix-mille volts. L'appareil du hackeur grilla sur le coup, Vero secouée encore tentait de nettoyer ses mémoires, elle écouta la dame perdant peu à peu toute forme d'orientation.

Ces circuits étaient endommagés par l'impulsion d'avant, nombre de programmes semblaient ne plus répondre comme il faut, c'est à peine si elle pouvait se mouvoir encore. Elle grimaça négativement, se rendant alors compte que sa voix ne sortait plus. Elle réinitialisa donc une partie de ses circuits, et répondit alors à la dame :

- Va te faire foutre grosse vache à lait.

Sans nul doute en référence à ses seins énormes ! Puis elle sentit sa mèche bouger, agita les oreilles bel et bien vivantes elle. Elle ne comprenait pas ce qui arrivait, mais rapidement elle sentit alors une chose chatouiller fortement son oreille. Elle comprit très vite leur intention, ils n'avaient pas réussi sur le logiciel, alors ils attaquaient l'esprit directement par le cerveau. Elle ne pouvait toujours pas bouger, sentit alors la pénétration étrange, la chose voulait la rendre sourde ? Visblement non, car elle était passée sans déchirer le tympan auditif, mais elle s'insinua bien plus loin vers les nerfs, remonta sur le cerveau et soudain elle crut halluciner. Des dizaines de femmes en train de se faire du bien, des hommes aussi. Puis des relations sexuelles bien durent, rien n'était censuré et tout semblait vouloir s'imposer comme mémorable. Dur pour elle de voir ce qui était réel ou non, impossible même !

Cela dura pour elle de longues heures, ce qui n'était sans doute pas le cas en vrai, mais c'était comme si on l'avait mise sous une drogue qui altérait ses perceptions. Elle rougit, serra un peu les cuisses contre toute attente, son corps répondait encore. Le hackeur confirma alors qu'elle pourra encore bouger, mais n'aura plus sa force démesurée, tout au plus autant de force qu'une jeune ado de 15 ans... Bien sûr tout cela ne fut même pas entendu par la neko qui hallucinait encore et se voyait maintenant violée encore et encore, elle pointait de ses tétons de synthèse, était en sueur et respirait lentement. Tout son corps transpirait l'excitation, elle semblait prête à craquer, mais finalement ses yeux redevinrent normal, ou presque, elle avait la tête d'une personne qui aurait fait un très mauvais rêve. Sa petite culotte était trempée par son excitation, elle resta les joues roses et fusilla la dame montrant les crocs. Mais elle ne trouvait pas encore le moyen d'échapper à sa prise, pas de force suffisante pour le faire, elle agitait furieusement la queue dans son dos.

- Allez vous faire foutre... je ne serais pas votre pute !

Elle ne pouvait pas bouger, était encore excitée et avait surement encore plein d'images salaces dans la tête, mais son esprit était encore capable de se battre, le hackeur surpris assura qu'il l'avait pourtant rendue impuissante, sans doute que ses implants l'aident à rester consciente malgré la créature qui lui remplit la tête d'envie salace. Et la créature d'ailleurs, quoi qu'elle soit semblait lutter pour rester dans le cerveau, car au dedans c'était une guerre ouverte entre les nanomachines qui améliore la cyborg et les tentacules de la créature qui s'y faisaient ronger.

A ces derniers mots de défi, Rachele commence à perdre patience et son regard durcit. Le hacker lui dit d'une voie tremblante qu'il est en train de perdre la connection, que les systèmes de défenses de la cyborg vont finir par reprendre le dessus et qu'il n'arrive plus a corrompre sa mémoire.. Les yeux de la mafieuse se plissent, lui donnant un air inquiétant et cruel.

- Je vois, mademoiselle n'a visiblement pas envie de découvrir les joies de la nymphomanie...

Elle lui prend le visage entre les doigts d'une main et lui donne gifle humiliante.

- Heureusement que ce n'est pas elle qui décide ! Ca aurait pu ce faire en douceur, te laisser envahir par ces images jusqu'à ce qu'elle alterent ta perception du sexe et du Monde, mais tu préfère la voix de l'orgueil et de la souffrance. Tans mieux pour moi, ça va me donner l'occasion de te briser à petit feu...

Elle se relève et s'éloigne de quelques pas.

- Bio-ingénieurs ? Faite votre office, mettez la hors d'état de nuir.

Deux femmes dans l'assitance laissent tomber leur mentaux longs et révèlent des tenues courte et sexy d'assistantes de laboratoire. Elle s'approche de la belle cyborg en plein conflit intérieur et se penchent ensemble sur son coté droit. Elles posent des capteurs sur son bras cybernétique inerte et commencent à en analyser la structure interne. Au bout de quelques instants elle se tournent vers leur employeuse et lui font un signe de tête. Rachele sourit, vient se placer derrière Veronika pour prendre sa tête ses cuisses et lui tourne le visage vers le bras en question.

- Regarde ma belle petite marionette, ça va te plaire.

Et sous les yeux de la cyborg les deux femmes  défond une à une toutes les attaches cybernétiques de son épaule, puis tirent délicatement sur son bras qui se détache de son corps dans un petit craquement. Veronika voit son propre membre s'éloigner  d'elle pour être mis dans une valise tehkane spécialement conçu, et elle remarque aussi qu'il reste suffisament de place pour les autres...

Imperturbablement, les deux femmes recommencent le même procédé avec son autre bras. Véronika assiste une nouvelle fois à la mutilation de son corps. Puis elles passent aux jambes...
Elles en trouvent les failles et une à une, ses prothèses lui sont enlevées, la réduisant à un simple tronc sans défenses.

- Voila, c'est déjà plus facile de jouer avec toi maintenant... Non ?

Dit Rachele en venant jouer avec la vulve de sa prisonnière démentibulée. Elle la visite du bout des doigts en profite de l'impuissance de sa proie pour prélever quelques goutes de cyprine bien fraiche pour venir les lui déposer sur ses lèvres bucales.

- Je vois que malgré ce que tu as dit mon premier petit piratage à commencé à porter ses fruits... ne t'inquiet pas, la prochaine étape devrait libérer ton esprit pour de bon de toute cette gène quei tu ressent.

Les deux bio-ingénieurs approchent finalement une grande valise.

- Ha... voici ton taxi pour les étages inférieures ma beauté. C'est ici que ta nouvelle vie commence.

Ajoute Dona Florenza en aidant ses servantes à la placer dans la valise. Veronika se retrouve dans le nuir total, et elle sent qu'on la soulève et qu'on la transporte comme une simple marchandise... mais vers où ?

Bien sûr que non elle ne comptait pas se soumettre à ces idioties ! Elle la fusilla du regard encore perturbé par le piratage. Elle reçut la gifle qui la laissa de marbre, il faudrait bien plus qu'une gifle pour mettre à mal une combattante comme elle. Impuissante elle se contenta de regarder ses membres bougeant à peine. Puis elle entendit et ne répondit pas encore, aucune raison de répondre à ces idioties. Elle l'écouta appeler ses ingénieures, puis regarda la scène intriguée pour le moment. Les deux dames portaient des tenues bien étranges pour des ingénieures, on aurait plus dit des comédiennes. Cela dit leur talent semblait réel, elle n'eut aucune douleur quand son bras partir, chose qui la mit bien en rogne. Mais elle ne pouvait pas y faire grand-chose, elle regarda le bras allez dans une valise montrée par Rachelle.

- Arrête vos conneries ! Laissez-moi !

Mais cela était bien inutile en tout cas, les dames en tenue ridicule revinrent à l'attaque pour détacher le reste, ses jambes, l'autre bras, elle ne termina sans plus aucun de ses quatre membres. Elle serra les dents et regarda la dame, elle se sentait maintenant sans défense. Elle était un peu plus craintive pour le coup, elle l'écouta faisant non de la tête ne trouvant pas cela plaisant du tout. Elle la regarda donc impuissante toucher son sexe et récolter son jus tout frais, elle grimaça un peu quand elle le sentit sur ses lèvres et l'écouta donc.

- Non... sale catin ! Rends-moi mon corps que je te défonce !

Mais inutile, elle fut embarquée dans une valise et perdit de vue sa némésis. Elle fut alors transposée, et même si elle savait combien de temps cela durait, impossible de faire autre chose que réparer les dégâts des attaques précédentes. Corriger ses logiciels, retirer les virus, et attendre...

Sa psychée est comme repue, gonflée, goinfrée d'information et à du mal à reprendre un rithme normal, un peu comme quelqu'un qui aurait trop mangé et sentirait le besoin de faire une sieste.

Hélas la pauvre jeune femme n'as pas le temps de purger sa mémoire et ses implants des milliers de données corrompues et d'images salaces que les pirates lui ont enfoncé dans le crâne. Après seulements quelques instants de bringuebalement dans tout les sens et une sensation de scente en ascensseur, les deux femmes ouvrent la valise.

Elles se trouvent désormais dans une grande salle complêtement acceptisée qui ressemble énormement à un laboratoire Thekan. Juste devant elle une grande alcove armée de lourdes attaches à ses extrémités et de nombreuses machines et écrans inquiétants. Les seuls objets qu'elle reconnait sont deux énormes gods violets fixés sur des pistons.

- Ta nouvelle vie commence ma belle Esclave...

Sans écouter ses eventuels cris de refus, d'horreur, et de récriminations, les deux femmes la soulève et viennent attacher les bases de ses prothèses braquiales aux attaches du haut et celles de ses jambes à celle du bas, l'obligeant à rester suspendue dans le vide, le corps en étoile, les seins et la vulve bien en évidence.

Incapable de se défendre, elle ne peut que parler, crier ou supplier pendant qu'elle les voit prendre des sondes, des élèctrodes et des ventouses qu'elles lui posent directement sur le crâne au niveaux de ses implants cérébraux. Rachele s'approche et se calle entre les deux femmes.

- Mon but était très simple à l'origine, je voulais te faire te détendre et ouvrir ton esprit aux plaisirs du sexe, de la perversion et de la servitude, mais non, il a fallu que tu te drape dans ta fougue et ton orgueil. Du coup je suis obligée d'employer les grands moyens tu vois...

Les pistons qui soutiennent les deux gods commencent à remonter et s'arrête à la porte de son fondement et de ses lèvres pubiennes pendant que Rachele se rapproche avec un magic wand entre les mains, la boule tourne sur son manche dans un bruit sinistre.

- Mais ne t'inquiet pas, j'ai tout prévi pour te faire ouvrir els yeux ma beauté cybernétique, bientôt tu verras les choses comme les autres esclaves, et tu seras très heureuses.

Les deux femmes lui enfoncent un baillon boule dans la bouche relié à un tube, ajustent un masque de plastique sur ses yeux à l'intérieur duquel un écran s'allume.

- J'ai hate de rencontrer la nouvelle toi... A toute à l'heure Esclave...

Le masque tombe sur ses yeux et on lui ajuste deux énormes casques sur les oreilles. Après quelques secondes d'un silence de mort ou elle ne peut que se débattre et hurler, l'enfer s'abat sur son corps et son esprit.

De violentes impulsions élèctriques lui secouent la tête et détruises ses parfeu et ses logiciels de protection, les sondes pénètrent alors les cellules meubles de sa matière grise et commencent à injecter des substances psychotropes et des hormones de croissances qui font gonfler son centre du plaisir. Elle ressent peu à peu son corps avec une sensibilité  nouvelle et intense, la simple fraicheur de la pièce l'émoustille et fait durcir ses tétons.

Une fois les zones de contrôle piraté, ses yeux s'ouvrent d'eux même et elle devient incapable de les refermer, l'écran se met alors à déverser des millier d'images subliminales d'une pornographie incroyable et révoltante. Ses oreilles de chats sont elles aussi assaillies de son répugnants de cris de jouissance et de hurlements orgasmiques.

Avant que son esprit ne surchauffe, la cyborg comprend, aux images qu'on imprime dans sa mémoire, que le but de Rachele n'est pas de détruire sa personnalité, mais de la rendre totalement et irreversiblement nimphomane.

Mais le fil de ses pensées est définitivement interrompu quand elle sent la boule gluante du magic wang écraser son mont de vénus et le stimuler pendant que les deux gods profitent de sa mouille et de son émoi pour commencenr à s'enfoncer en elle. A chaque fois qu'elle prend du plaisir, sa bouche se remplie de sperme chaud directement injecté par le tuyau du baillon boule et les élèctrodes cessent de lui vriller le cerveau. Avant de recommencer à la torturer  pour s'arreter à nouveau quand elle jouie encore. Dressant ainsi son esprit à chercher à tout prix l'orgasme pour échapper à l'horreur et à la souffrance. Et ainsi inlassablement pendant ce qui lui semble durer des heures...

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Scène: ATTENTION SCENE EXPLICITE
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La jeune Veronika n'aimait pas cela, perdre ses membres était déjà une épreuve difficile rappelant de mauvais souvenirs, elle ne pouvait luter et devait regarder la dame qui ne cessait de la menacer. Mise en valise et transportée elle fulmina tout en tentant de calmer ses programmes en alertes. Elle sentit la descente, puis le bruit reprit et on al sortit de la valise, elle regarde autour encore sous le choc. Elle ne savait quoi faire, elle fit non de la tête et écouta pourtant la dame. On l'attacha par les bras, lui écarta les cuisses, ce qui pourrait être gênant, mais n'était pas du genre à s'embarrasser qu'on la voie nue. Écartée en crois et soulevée, elle ne pouvait plus du tout se défendre, elle gémit encore et puis regards les sondes qu'on lui glisse dans le crâne et qu'on pose dessus. Elle regarde alors Rachelle et puis panique un peu, le sexe était bien une chose qu'elle n'utilisait plus depuis longtemps. Elle l'aurait biné mordue si elle put seulement bouger un peu ! Mais pas moyen, elle sentit alors les deux gros godes monté, rougi et les regarda un peu... C'était vraiment énorme pour elle, elle qui n'avait plus eu de relation depuis quelques mois au minimum.

Elle entendit aussi le bruit de la machine en main de Rachelle, elle connaissait cette chose au moins de réputation. Elle serra les dents, l'écouta pour le moment et voulut supplier, mais un baillons la fit se taire pour de bon. Elle sentit aussi les godes monter un peu plus, et puis ce fut l'horreur... Elle hurla alors mordant sèchement le bâillon, elle avait un mal de crâne épouvantable. Elle sentit rapidement ses progrès partir en couille, elle se faisait pirater et on filait défiler devant ses yeux des films pornos tous plus hrd les uns que les autres... Ca avec les drogues dans son organisme, elle postait maintenant fortement, son clitoris se gonfla d'envie lui aussi. Impossible pour elle de tout repousser, les bruits sexuels étaient partout autour d'elle, ça plus les vidéos... Elle commença alors à perdre lentement, sa conscience s'effondrait et les godes se mirent alors en route. Ça et la baguette folle de son bourreau, elle hurla de plaisir, jouit une première fois assez vite et trouva alors le gout qui envahissait sa bouche, c'était du sperme chaud et frais... Elle rougit et avala alors ne pouvant pas le recracher.

Elle vit alors des films pornos avec des chats, des chiens, des trucs horribles et parfois enfin des trucs moins horribles. Mais elle ne savait plus choisir, elle voyait en boucle ces choses, bestial ou non elle en était marquée. Rapidement elle se sentit partir et jouit une nouvelle fois, la seconde en moins de cinq minutes. Et ça n'était surement que le début, alertée de partout par ses programmes elle tenta de fermer les yeux, mais d'autres images plus sales encore se promenaient dans sa tête... Viol, action de groupe, humiliation publique, empalement sur des énormes jouets et relation avec des êtres mi-animaux... Elle couina alors de plaisir, jouit une nouvelle fois ouvrant les yeux sur un porno hardcore avec des femmes chat de son espèce... Elle couina toujours, continua de jouir jusqu'à même éjaculer sur le sol, elle n'en pouvait plus. Résister était devenu futile et toute pensée logique s'effondrait... Elle voulait encore du sexe, revoir ses images, sentir encore de plus gros godes dans son corps... Agitant la queue elle l'envoya même se creuser le clitoris toute seule quand Rachelle éloignait assez son jouet... la pauvre neko voulait du sexe, beaucoup de sexe !

Quand les godes ressortent enfin, la belle neko découvre alors l'abominable effet secondaire de cette drogue étrange que Rachele lui a injectée. Elle a eu beau jouir plusieurs fois, d'innombrables fois même, elle sent toujours au creux de ses reins ce besoin primal de se faire baiser sauvagement encore et encore.

Mais au lieux de la satisfaire de nouveau, Rachele décide de la faire chavirer dans l'addiction au sexe en la rendant folle de désir. Elle s'approche de sa captive toujours arnachée par ses quatres membres coupés et lui retire son baillon pour l'embraser fougueusement de ses lèvres charnues et espiègles, envaillissant sa bouche de sa langue aventureuse.

Désormais plongée dans le noir total à cause du masque qui ne produit plus aucune image, elle sent de manière décuplée les doigts de sa tortionnaire qui jouet avec le rebord de ses lèvres pubiennes, les carressant du bout de ses ongles longs et fins.

A chaque fois que la futur esclave est sur le point de jouir, Rachele s'arrête pour qu'elle ne parvienne pas jusqu'à l'orgasme, attendant de l'entendre hurler de frustration et de désir.

- Tu étais une petite pute très revèche et froide il y a quelques heures ? Où est passée la terrible guerrière insensible qui est entrée dans mon établissement ? Je ne vois qu'une petite salope avide de sexe. Prouve moi que tu es toujours un guerrière, résiste... ne me hurle pas de te baiser comme une chienne...

Ajoute t'elle en continuant de la doigter du bout des ongles, mais toujours en s'arrêtant avant que sa captive ne jouisse, attendant de voir si la jeune femme à succombée à son premier lavage de cerveau, ou... si elle doit encore la torturer et la violer pour y parvenir...