Le corps de l'ancienne junky se pâme tout entier en recevant ce flot monstrueux de plaisir et de stimulis biaisés par les drogues. Comme le peuple épuisé et mourant de faim d'une ville assiégée, chaque cellules, chaque portions de son être ouvre les portes de son intimité et de son intégrité à l'envahisseur qui rentre sauvagement en elle pour piller et violer tout son saoul.
Le visage fendu d'un plaisir béat et stupide, les yeux presque révulsé par les orgasmes successifs que lui procurent les sexe chevalins qui la défoncent, elle continue de hurler de plaisir sans aucune retenue. Les portes fracturé de son inconscient laissent déborder le puis de ses souvenirs pour ressusciter la pute que Jucio avait fait d'elle des années plus tôt.
La salope dévergondée qu'elle devient ne se contente plus de subir, elle tente désespérément de se libérer pour participer à sa propre déchéance. A chaque fois qu'une queue ou qu'un membre quelconque passe à porté de ses mains liées, elle tente de les caresser ou de les empoigner pour les diriger vers son entre-jambe. Elle répond aux lèvres qui l'embrassent avec fougue et passion. Quand les deux futa se rient de son comportement et ventent son endurance, elle leur sourit en tirant la langue comme une actrice porno sur le point de recevoir une éjaculation faciale.
Quand elle bascule vers l'avant et que la futa devant elle lui ordonne sans vergogne de la sucer avec violence. L'esclave Rachele, la jeune adulte tout juste sortie de l’adolescence qu'elle était autrefois en Sicile sous les chaînes de son oncle, acquisse avec plaisir et ouvre grand la bouche pour la recevoir.
- Oui Maitresse... donnez la moi... je la veux... doGAaaaaa !Gargouille t'elle en se faisant empaler la gorge par l’énorme pénis animal, ses cris se transforment alors en de gluants bruits de succion entrecoupés de grognement et de gémissements de plaisir.
Rachele et ses trois partenaire connaissent encore de nombreux orgasmes. Galvanisée par la drogue qui la maintiens dans un état d'excitation constante, l'esclave perdue dans son plaisir ne voit plus le temps passer jusqu'à l'instant fatidique où ses partenaires jouissent enfin et l'emplissent de leur semence poisseuse. En bonne esclave, Rachele tache d'en boire le plus possible et sent dès les premières rasades son ventre se tendre pendant que son estomac et son utérus se remplissent. Elle ferme les yeux et essai d'ignorer la douleur jusqu'à ce que son ventre ait enflé comme une femme enceinte de trois bons mois.
Les futanaris se libèrent enfin de son corps et la laisse retomber misérablement dans la mare de leurs fluides. Mais alors qu'elle commence à prendre ses aises dans cette fange sexuelle et que ses partenaires se remettent de leur orgasme, la technicienne, elle, continue d'accomplir la volonté de son maitre...
Sans laisser de répis à Rachele, elle lui passe dans le dos et lui enfonce un bâillon fait d'un cercle en cuir et en métal que l'on peut à loisir ouvrir ou fermer pour accéder à sa bouche.
- MMM ?!Gémit elle, interrogeant les trois femmes du regard. Elle se demande ce qu'elle a fait de mal, pourquoi ses maitresses la punissent alors qu'elle a été gentille. Mais elle ne reçoi pour toute réponses que regards pervers et amusé quand la technicienne lui enfonce deux boulettes de résine dans les oreilles, la coupant totalement de son ouïe, deux dans ses narines, la coupant totalement du gout et de l'odorat.
- MMM !?Gémit elle encore en tremblant de peur.
- Chuuuuuut... ne reflechi pas... oublie tout, oublie qui tu es... tu es un objet maintenant...Lui murmure finalement la technicienne en lui présentant un grand masque aveugle pour couvrir son visage. Rachele écarquille les yeux d'horreur en voyant la masse noir s'approcher de son visage.
- NNNNNNNN !!!Le noir. Rachele est perdue dans le noir. Elle respire par la bouche, par les minuscules petits trous de son baillon. Elle ne sent même plus l'odeur de l'air, elle est seule, prisonnière des vastes étendues désertiques de sa propre solitude. Déséquilibrée par le silence insupportable qui pacifie son esprit, elle perd l'équilibre et tombe à quatre pattes en se tenant la tête, tentant désespérément de retirer le masque qui la rend folle.
Attention contenu explicite:
En vain, elle n'y parvient pas, un mécanisme complexe le tient parfaitement lové contre la peau de son visage. Désarçonnée et totalement perdue, elle accueil la pression d'une main contre son collier et la fixation d'une laisse à son cou comme une bénédicition. Comme un mouton perdu que l'on mène à l’abattoir, elle se met à suivre ses Maitresses à quatre patte sans rechigner ou se poser de question, se laissant guider par les coups de laisse ou de badine qu'on lui donne sur les fesses.
Elle ne sait pas où on l’emmène ni combien de temps cela prend, plus rien n'a de sens jusqu'à ce qu'enfin, elle sente qu'on entrave ses poignets et ses chevilles à quelque chose qui la soulève. Son esprit, privé de ses sens, à faim de sensation et reçoit la froideur de ses liens avec un plaisir qui la fait pousser un petit gémissement sous son masque.
-Mm...Elle sent la fraicheur de lingettes alcoolisé sur ses cuisses et ses bras, elle les accueil à nouveau avec bonheur, pensant qu'on va encore lui offrir de la drogue pour la récompenser de son obéissance. Elle accepte la douleur des catétaires qui s'enfoncent dans ses veines et ses artères et attend qu'une nouvelle vague de bien être l’inonde... mais rien ne vient.
Rachele sent une sueur froide lui couler le long de la nique en réalisant qu'elle ne va pas avoir droit à un nouveau shoot. Elle commence à gémir et gesticuler à mesure que la peur s'empare à nouveau d'elle.
Je... veux pas... avoir mal... je veux pas... réfléchir... je veux...- Mmmmmmmmmm !Elle pousse un long gémissement au moment où un nouveau gland, gros et bien gonflé vient lui écarter les lèvres vigoureusement pour s'enfoncer tout entier en elle. Submergée par la surprise, le corps rendu ultra-sensible par le manque de sensation, elle jouit instantanément. Sans attendre la bite qui la prend commence à aller et venir frénétiquement. Autour d'elle, dans un monde qu'elle ne perçois plus, les Maitresses rient et jouent avec l'esclave qui est en train de baiser Rachele. Comme elle, il n'est qu'un animal d'élevage, privé de ses sens, élevé aux hormones et aux stéroïdes comme une poule en cage pour obtenir une queue bien grosse et dure.
Rachele est aux anges, elle ne se pose plus de questions, elle jouit et c'est suffisant. Très vite, elle le sent venir en elle, comme une petite chienne, elle tourne la tête vers lui et gémit pour qu'il continue de la baiser. Elle ne peut pas savoir que son amant est aussi dépourvu qu'elle. La Maitresse lui donne de petit coups sur les testicules pour qu'il se retire et Rachele grogne avec lui de frustration.
- Il faut en laisser pour les autres... amène nous le suivant ma chérie.Dit l'une d'entre elle à sa camarade derrière laquelle attendent en file indienne toute une meute de ces hommes taureau. Celle-ci hoche la tête en souriant et prend le mal suivant par les bourses pour le trainer jusqu'au cul de Rachele. Dès qu'il sent contre son gland une vulve bien trempée, il la pénètre sauvagement en hurlant dans son masque pendant que la prisonnière se joint à son cris.
Les amants de Rachele commencent à se succeder sans interruption tans est si bien qu'elle finit par sentir son ventre gonfler toujours plus jusqu'à ce qu'elle pousse de petit cris de douleur, sa peau se strie de petites lignes blanches alors que son ventre grossie comme celui d'une femme enceinte de sept mois.
Au bout d’innombrables heures, peut être même journée de se traitement, Rachele commence à nouveau à ressentir la douleur et sent l'excitation retomber. Elle réalise avec effroi que la drogue est en train de se dissiper. Une fois que tous les esclaves a disposition se sont fait traire dans le cul et la vulve de Rachele, les Maitresse lui enfoncent une culotte armée de vibro dans la fente, retenant tout le foutre en elle.
La pauvre esclave à l'impression qu'elle va exploser. La douleur et la fatigue l'assaillent de nouveau ainsi qu'un besoin insupportable d'être droguée de nouveau. Sous son masque, la belle sicilienne pleure, elle sait maintenant qu'elle est redevenue accro, une sale petite pute junky qui acceptera tout pour avoir droit à sa dose. Quand elle s'abandonne finalement au désespoir et au sommeil, une vive douleur lui brûle les tempes et désordonne ses pensées, les petites tiges posées sur son front lui grillent les neurones à chaque fois qu'elle essai de s'endormir.
Commence alors d'incessantes heures de calvaire où se mellent manque, désespoir, oubli, souffrance et sexe. Ne trouvant le repos que quand elle jouit, elle ne se met à vivre que pour attendre qu'on lui donne de nouvelles queues. A chaque nouvelle traite, elle accueil les bites de ses amants en gémissant de plaisir et de désespoir, recevant leur foutre comme un cadeau, et une malédiction qui lui déforme toujours plus le ventre jusqu'à ce que son nombril sorte et que son ventre soit couvert de vergetures. Trop détruite pour penser à cela, elle ne parvient même plus à pleurer sur la beauté de son corps que l'on saccage.
Finalement, alors que la folie et le besoin de drogue finissent de grignoter sa personnalité, une nouvelle substance se met subitement à circuler dans ses veines... et soudain tout s'arrêt...
--- JUCIO ---
Un déclic, une tensions qui disparaît, l'Esclave qui s'appelais Rachele ne parvient pas y croire, le cauchemar est enfin terminé ! Ses mains se ruent sur le masque et l'arrachent de son visage. Elle défait le bâillon, le jette au loin et prend une grande goulée d'air avant de pousser un grand gémissement de soulagement. Instinctivement, elle arrache les boules de cire enfoncées dans ses orifices et se repait de toutes ses sensations qui lui ont tans manqué. L'espace d'une seconde, elle en oublie le mal-être horriblement pernicieux du manque de drogue et parvient à se focaliser sur le plaisir de redécouvrir ses sens.
Elle accepte même la lueur douloureuse qui l'aveugle et commence petit à petit à faire le point sur la silouette qui lui fait face. Instinctivement, elle lui sourit, car une bonne esclave se doit de sourire à son nouveau cli...
- NAAAAAN !!Hurle t'elle alors que le visage de Jucio se découpe dans la clarté.
Instinctivement, elle se recroqueville sur elle-même, les bras autour des jambes, comme une adolescente frappée par son premier véritable chagrin d'amour. La vision de son oncle se superpose à ses anciens souvenir de jeune femme, à l'époque où il l'avait torturée, et fait totalement chavirer sa conscience.
Sa personnalité brisé, en manque et en recherche de cohérence se met à fusionner son passé et son présent pour créer une nouvelle ligne de souvenir qui explique tout cela. La petite pute junky de l'époque rencontre la nouvelle esclave accro de maintenant et fusionnent à leur tour en écrasant au passage la véritable Rachele qu'elle était devenue. L'attaque du repaire de Jucio par les hommes resté fidèles à son père, la cure de désintoxication et de "dé-ninphomanisation" qu'elle à suivit pendant toute ces années. Tout ça n'était qu'un rêve, Dona Florenza n'a jamais existé, elle n'a toujours été que la petite pute de Jucio.
- Non Maître ! Je vous en supplie... j'ai été gentille... j'ai bien baisée vos invités... demandez leurs, ils sont content...Elle a retrouvé les intonations et la voix qu'elle avait à ses dix sept ans quand elle tapinais pour le mafieux sicilien. Sans lui en dire plus, Jucio la gifle d'un revers de la main et se terre à nouveau dans le mutisme en la toisant de haut, tirant une nouvelle bouffée de cigarette.
Rachele, les yeux baissés, ravale sa salive et essuie la bave qui a giclé hors de sa bouche quand elle a pris le coup. Elle se met à genou devant Jucio, les cuisses bien écarté pour lui offrir la vue de sa vulve, le dos bien droit pour mettre ses seins en valeur et les mains dans le dos, posées naissance de ses fesses.
Jucio prend la badine de sa cravache et s'en sert pour soulever le menton de Rachele, celle-ci ferme les yeux pour ne pas commettre l'affront de le regarder dans les yeux, ouvre la bouche et tire la langue comme une bonne petite chienne. Le mafieux prend alors sa cigarette et l'écrase sur celle-ci, la pauvre petite pute gémit de douleur, une larme coule sur sa joue mais elle reste dans cette position jusqu'à ce qu'il est fini.
Pour la récompenser, il lui crache dans la bouche et la lui referme en remontant la badine sur son menton.
- Il a longtemps que j'attend ce moment ma petite pute... j'ai hâte de rattraper le temps perdu...