Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

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Rachele Florenza

Humain(e)

Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

mercredi 09 novembre 2016, 17:42:14

Max avait choisit une portion désaffecter de la zone industrielle pour poser la première pierre de son plan qui réduirait enfin l'emprise des Yakuza a néant. Elle avait fait aménager tout le sous sol d'une ancienne station de pompage pour pouvoir profiter des installation hydrauliques et électriques qui alimenteraient ses machines.
Car pour sa nouvelle cible, Dona Florenza avait dépensé sans compter. Machine de lavage de cerveau originaire de Tekhos, outils et engins de torture sophistiqué venant de la terre et de tout les plans qui en produisent, sale de soin toute équipée, cellule, elle avait tout prévu pour recevoir son invité de marque avec les honneurs.

Car ce soir elle reçoit l'homme qui lui offrira la tête des Guramu sur un plateau: Alexandre Dowell, leur propre avocat. Pour l'occasion, elle à choisit une de ses tenues préférées. Une longue robe rouge sang pratique au vue de ce qu'elle compte faire, des talons haut assortis de cuissardes qu'elle fait tenir en place avec un porte-jarretelle noir et discret. (voir la galerie du prélude: photo 2)

Si elle parvient à le briser et à en faire son pantin, elle pourra les épier de l'intérieur, découvrir tout leurs petits secrets et détruire toute leur organisation. A cette idée, Max trépigne d'impatience, ses hommes sont parti le "chercher" depuis une bonne heure. Elle commence à faire les cent pas autour de la chaise d'interrogatoire, réajustant les seringues de drogue et de sérum de vérité et les outils de torture pour que leur vue soit terrorisante juste ce qu'il faut.

Après une attente interminable qui porte la fin de journée jusqu'au début de soirée, elle voit enfin la porte de la salle s'ouvrir et Serguey, un de ses gorilles entrer avec un sac de toile noire sur l'épaule. Mais à son visage, Max voit que quelque chose ne va pas. Elle le foudroie du regard.

Ne me dit pas que tu l'a...

Commence t'elle à dire.

"J'vous assure boss, je comprend pas. Je suis arrivé chez lui, j'ai fait tout comme vous avez dit pour déjouer les alarmes et les garde payés ont pas bougés. Mais quand chui entré dans sa chambre il était comme ça sur son lit, les mains jointes comme si on l'avait disposé dans un cercueil."

Serguey dépose le paquet lourdement sur le siège en acier et découpe la toile au couteau pour libérer le corps. Max regard le cadavre avec dépit, tout espoir de l'utiliser envolé. Elle commence à tourner son regard vers le gorille pour l'engueuler mais soudain le visage du prisonnier décédé semble s'animer et il fait un petit geste, comme s'il bougeait en dormant.

"Mais il est encore en vie !" Cris t'elle en se jetant sur Alexandre pour lui prendre les poignets et les menotter derrière le dossier de la chaise. "Putin Serguey ! Tu sers à quoi connard de polac."

"J'comprend pas boss j'comprend pas ! Il respirait plus, il était froid, j'sais reconnaitre un mec canné et il était canné." Tente t'il de se justifier.

"C'est bon ferme ta gueule et vient m'aider avant qu'il ne se réveil", ajoute t'elle en attachant chacune de ses chevilles à un pied de siège.

Puis elle prend un siège et s'assié à califourchon, les bras sur le dossier, les jambes écartés de part et d'autre des barreaux du dossier laissant apparaitre les délicates lèvres de son entrejambe. Le prisonnier ne manquera pas de remarquer qu'elle ne porte pas de sous vêtements, petite note érotique très "Basic Instinct".

Max remarque que plus la nuit tombe et plus son invité prend peu à peu connaissance, mais n'y prête pas attention particulièrement. Une fois qu'elle l'estime suffisamment réveillé, elle fait un signe de tête à Serguey qui lui jete au visage un verre d'eau glacé.

"Bonsoir Maitre Dowell, comment allez vous en cette belle soirée. Des nouvelles de nos amis commun depuis notre dernière rencontre à l’audience Azuka contre Alerendro ?"

Max faisait référence à un des nombreux pièges juridique qu'elle avait tendu au clan Yakuza, mais qui avait lui aussi été déjoué par l'avocat, la mettant dans une rage folle.


Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 1 mercredi 09 novembre 2016, 18:58:05

Alexandre était l’un des avocats les plus prestigieux de Seikusu, quelqu’un qui avait, au sein de son cabinet, de prestigieux clients. Il y avait, par exemple, la Fondation Mishima, un consortium des grandes familles de la ville finançant le lycée Mishima, ce qui faisait que Dowell défendait régulièrement le lycée quand ce dernier était empêtré dans ses scandales sexuels. Et, au-delà de ce client sulfureux, Alexandre avait aussi, comme important client, Akihiro Guramu. L’homme, obèse, était l’Oyabun du clan Guramu, le plus puissant clan yakuza de la ville, clan qui, suite à des conflits avec d’autres clans de la ville, comme les Akuma, avaient perdu une solide partie de son influence, permettant à des rivaux de s’implanter. Le dernier cas notable était le « RACHELE’S », un casino installé le long du port, qui concurrençait directement le « Stranglehold », une tour de loisir conçue par les Guramu, abritant, outre un casino, un restaurant, et d’autres activités. Le « RACHELE’S » était financé par la famille Florenza, une puissante famille sicilienne affiliée à Cosa Nostra, et dont le mentor, Don Alerandro Florenza, était un puissant baron du crime organisé italien. Alexandre ne connaissait pas trop l’histoire des Florenza, mais savait que des querelles internes entre Rachele et son frère, Jucio, avaient contraint les Florenza à quitter l’Europe, et à tenter de s’implanter ailleurs. La femme, qu’on disait aussi belle que fatale, avait choisi de s’installer à Seikusu, parvenant à obtenir divers terrains pour enlever les entrepôts situés dessus, et y construire le « RACHELE’S », devenu le quartier général de son influence.

Les Florenza rejoignaient donc la guerre pour le contrôle du crime organisé. Un jeune concurrent, car, pour l’heure, les Guramu affrontaient surtout la Mafia russe, à savoir les Petrovski, une puissante famille russe qui avait quitté la Russie lors de l’arrivée au pouvoir des bolchévistes, sans pour autant renier leurs terres. On disait qu’il se passait beaucoup de choses dans les souterrains du « RACHELE’S », et, à l’image des techniques mafieuses classiques, Rachele avait rapidement su s’entourer  de politiciens, venant la défendre. La femme avait rapidement réussi à se constituer un solide réseau, et avait notamment, à disposition, une batterie d’avocats, qui avaient attaqué l’une des filles d’Akihiro, Azuka Guramu. La jeune femme était une Japonaise arrogante, insouciante, très perverse, qui avait été poursuivie en justice par plusieurs de ses locataires, la femme dirigeant un cabinet immobilier. L’un de ses locataires, Alerendro, portant le même nom que l’ancien Don des Florenza, était en réalité un sbire de Rachel, et avait invoqué l’état insalubre des logements (ce qui était vrai) pour ébranler l’autorité des Guramu. C’était un coup bien joué, car la fortune des Guramu venait notamment de l’immobilier. En effet, suite à la Seconde Guerre Mondiale, Seikusu avait été lourdement bombardée, et les Guramu avaient profité de la reconstruction et du chaos qui avait suivi pour s’accaparer bon nombre de titres de propriété. Ils avaient ainsi la mainmise sur un grand nombre d’immeubles, et prélevaient les loyers, derrière des cabinets et des agences immobilières qui faisaient office de société-écran. Or, l’appât du gain justifiant tout, ces immeubles n’étaient pas entretenus. Ils commençaient à pourrir, devenant insalubres, mais aucun locataire n’osait s’en plaindre, les rares qui essayaient recevant des « visites » inopportunes, se faisant cambrioler, ou voler leurs voitures. On ne plaisante pas avec les Yakuzas, ni avec l’omerta.

Rachele était venue, et avait d’emblée chois de s’attaquer à ce commerce lucratif. Il suffisait d’un seul procès pour que tout l’échafaudage s’effondre, d’un seul coup de dé pour que les dominos tombent, les uns après les autres. Rachele avait lancé un vaste procès, et avait créé une association de quartier, se proposant d’intervenir au nom de tous les locataires lésés, et dénonçant la passivité des pouvoirs publics, menant parallèlement des actions contre les services administratifs pour dénoncer la corruption des services municipaux chargés de lutter contre l’insalubrité des locaux. Plusieurs procédures avaient donc lieu devant le Tribunal de district de Seikusu, car, au Japon, contrairement à d’autres systèmes juridiques, comme en France, il n’existait aucune séparation entre le droit public et le droit privé, les Japonais ayant, en 1947, opté pour un système unifié, de telle sorte que les juridictions connaissaient de toutes les matières, et qu’il n’existait aucune juridiction d’exception.

Le premier litige avait eu lieu, opposant ainsi le locataire à la bailleresse, et le juge avait rejeté les demandes du locataire. Pour autant, ce n’était que partie remise, car un appel avait été initié. Rachele, qui avait assisté au verdict, avait été furieuse. Alexandre avait, comme à son habitude, joué sur tous les tableaux. Le procès avait été houleux, avec des expertises, des contre-expertises, des témoins qui subissaient de curieux accidents, et un juge tentant, tant bien que mal, de croire à la régularité de sa procédure.

La bataille était encore loin d’être finie, mais Alexandre s’était couché heureux, et, se sentant en confiance, avait bu une potion spéciale. Quand un vampire dormait, il dormait comme n’importe qui, mais un vampire pouvait aussi choisir d’entrer en état de « sommeil profond »... Ce qui, pour un vampire, était vraiment « profond », car il sombrait dans un état proche de la mort, mais qui, au réveil, permettait au vampire de décupler ses sens. Ce fut donc ce que Dowell choisit de faire, sans savoir que Rachele allait, justement, profiter de cette soirée pour prendre sa vengeance.

Autrement dit, quand Dowell se réveilla, il lui fallut un certain temps pour comprendre... Comprendre pourquoi il n’était pas réveillé par l’une de ses esclaves de luxe, l’une de ses collaboratrices, qui l’accueillerait en corset, avec de longs gants en cuir, et palperait son corps, le stimulant pour déclencher une érection. Alexandre prenait de plus en plus goût au fait de se réveiller avec une trique de tous les diables, car une érection faisait circuler son sang, le faisant bouillonner dans ses veines.

Il était torse nu, avec de l’eau dégoulinant le long de ses cheveux bruns, et vit une femme devant lui. Elle était assise à l’envers sur une chaise, portant une impeccable robe rouge, une poitrine considérable, et un air d’arrogance et d’assurance sur le visage. Dowell secoua la tête, papillonnant des yeux. La lumière, même faible, l’aveuglait. Il se réveillait avec des sens hypersensibles, et entendit ainsi très clairement la voix de la femme, mais également les battements cardiaques des deux laquais qui étaient là. Il put ainsi sentir que les deux commençaient à bander devant la position sulfureuse de leur chef.

« Ma... Madame Florenza... »

Il secoua encore la tête, et releva la tête, avant de lui sourire. Pour un avocat, on ne pouvait qu’admirer sa condition physique d’exception. Aucun poil, aucune trace de graisse, simplement un corps musclé, solide, qui observa la femme.

« Vous êtes très mauvaise perdante, Madame Florenza... »

On avait attaché ses poignets dans son dos, ainsi que ses chevilles.

*Ridicule...*

Dowell, commençant à reprendre ses esprits, réalisa qu’il était avec son boxer de nuit uniquement, et sourit. Même dans ce simple accoutrement, il n’était pas à son désavantage, car l’homme était d’une beauté incroyable.

« Mais je comprends ça... Vous avez un bon élément, mais l’avocat que vous aviez choisi était un nul. Une telle branlée, ça doit être humiliante pour vous... »

La claque fusa sèchement, venant de l’un des deux, et Dowell le regarda brièvement, avec une lueur haineuse dans les yeux, crispant ses poings, se retenant tout juste de le tuer... Tout juste.

« Un peu de respect, connard ! » grogna l’homme.

Alexandre grommela à nouveau, et observa la femme. Si elle s’attendait à le prendre en défaut, elle allait se tromper. Aucune peur dans les yeux de l’homme, qui l’observait avec le regard furieux et courroucé d’un prédateur observant sa proie.

« Qu’est-ce que tu veux, Rachele ? Me faire un strip-tease ? »

Il allait jouer un peu, lui donner l’illusion qu’elle avait le contrôle... Comme ça, ce serait encore plus excitant, surtout qu’il n’était pas dans une simple pièce aux murs nus, mais voyait quantité d’instruments de torture, plus ou moins futuristes. Et, en les observant, et en les imaginant s’en servir sur Rachele, Dowell sentit un début d’érection le traverser, ce qui était nettement visible, vu le simple pagne qu’il portait...
DC d’Alice Korvander.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 2 mercredi 09 novembre 2016, 20:52:05

En voyant incompréhensible assurance de son "invité" Rachele fronce les sourcils et le toise d'un air suspicieux. Trop habituée aux retournements de situation pour être dupe, elle commence à ce demander si le regard carnassier et supérieur du prisonnier n'est pas une mise en garde dont elle devrait ce méfier.

"Il est seul, attaché et entouré par deux colosses, calme toi Rachele et concentre toi sur ton objectif." Se dit elle.

La dernière boutade de l'avocat ne passe pas au près de ses hommes qui commencent à le rouer de coups.
Elle claque des doigts, les coups cessent de pleuvoir. Le beau visage de l'avocat est intact... pas une ecchymose, pas une coupure, pas un bleu ou œil poché. Elle déglutie, incrédule, en voyant le roumain se masser les phalanges comme s'il venait de taper dans un mur de béton...

"Mais bordel c'est qui ce bâtard" Se dit elle à nouveau. Son regard se porte sur le boxer de son prisonnier, qui commence à enfler et révéler les proportions impressionnantes de son membre viril. Involontairement elle rougit et détourne le regard en déglutissant de nouveau. Son esprit vagabonde quelques instants en pensant aux esclave dont l'étrange individu s'est entouré, mais elle chasse les récits qui lui ont été fait de sa tête pour ne pas perdre pied. L'odorat surdévellopé du vampire commence à percevoir les fragrances coupables de la sueur féminine et de la cyprine naissante.

"Allons Allons Alexandro... tu n'as pas besoin de jouer les héros avec moi tu le sais bien. Tu es un baveux, ton rôle s'est d'essuyer la salive à la commissure des lèvres de tes clients, pas de te faire démolir le portrait pour eux. Après tout, je ne te demande pas grand chose... juste de me parler un peu de notre ami commun le vilain Yakuza... après je te laisse partir, promis..."

Elle ment, c'est évident, mais ça, il n'a pas besoin de le savoir. Elle tourne le regard vers le roumain et lui fait signe de tête. Le golgoth s'éloigne et prend deux pinces crocodiles reliées à une dynamo. Il donne la dynamo à Rachele et s'approche d'Alexandre avec les deux pinces.

" En revanche si tu veux jouer les héros, je vais être obligé de t'apprendre à te tenir correctement devant une femme qui t'es supérieure..."

Elle fait distraitement tourner la manivelle de la dynamo, de petits arcs électriques se mettent à crépiter entre les deux pinces.

"Choisit bien tes prochains mots Maitre Dowell... je ne suis pas une de tes petites putes décérébrée qui vient te lécher la queue tout les matins... si je n'aime pas ce que tu as à me dire, je demande à Serguey de t'offrir ces deux beaux bijou..."

Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 3 mercredi 09 novembre 2016, 23:50:01

Trouvant visiblement l’avocat un peu trop insultant, les deux molosses se mirent à le frapper. Hélas pour eux, Dowell venait de sortir d’un long sommeil, et, si les coups pouvaient lui faire mal, sa peau cicatrisait presque instantanément, du fait des coups peu soutenus que les deux costauds lui portaient, probablement convaincus d’avoir affaire à un simple baveux. Or, Dowell avait une carrure de militaire, et était surtout un vampire qui avait entraîné ses capacités vampiriques. Finalement, Serguey arrêta quand il constata s’être cassé un ongle, et, incrédule, fixa le visage de l’homme, n’arrivant pas à croire qu’il n’avait rien. Ce dernier, pendant toute la durée de la « correction », n’avait cessé de regarder le visage de la femme, voyant ce beau visage se décomposer au fur et à mesure qu’elle constatait qu’il y avait quelque chose d’anormal chez lui.

Alexandre cracha ensuite sur le sol, et regarda brièvement les deux costauds.

« Vous êtes impressionnants, les gars... Mais votre punch est nul. »

Incrédules, ils semblèrent hésiter, avant que leur chef ne vienne chercher des pinces électriques. Essayant de dissimuler son malaise, elle rappela qu’elle voulait juste des informations sur les Guramu, et que le secret professionnel ne valait pas tant de souffrance. L’un de ses gorilles se rapprocha de Dowell, et posa les pinces sur ses tétons, tandis que Rachele poursuivit, en disant qu’elle n’était pas l’une de ces « putes décérébrées ». Le plus étonnant, c’était que se faire frapper n’avait nullement restreint son érection, qui semblait maintenant avoir même grossi, déformant sa culotte.

Alexandre hocha la tête, et attendit quelques secondes, avant de lui répondre :

« C’est ma queue qui t’excite, hein, salope ? Ne t’inquiète pas, tu vas avoir l’occasion d’y goûter ce soir. »

Les deux pinces frémirent alors, et Dowell serra les dents en sentant le courant électrique se répandre en lui, tout son corps venant à se crisper. Il se détendit le long de la chaise pendant quelques secondes avant que le courant ne se calme, et s’affala dessus, des gouttes de sueur commençant à couler le long de ses cheveux et de ses joues.

« Tu sais, cocotte, t’es vraiment conne... Tu m’as capturé au moment où il fallait pas, ma chérie... »

Cette nouvelle provocation donna lieu à une électrocution supplémentaire, plus longue, le corps de Dowell se tendant sous l’effet de spasmes nerveux. Il se tortilla le long de la chaise, les dents toujours crispés, une veine pointant le long de son cou, avant que la femme ne coupe encore le courant. L’électricité qui diffusait dans son corps avait aussi pour fonction de stimuler encore son érection. Il reprit ensuite son souffle, mais commençait à agacer les deux hommes, surtout en voyant la taille de sa verge. Serguey proposa alors à Rachele de mettre les pinces directement sur ses testicules, histoire de le rendre moins courageux.

L’autre molosse sortit des ciseaux, et découpa le sous-vêtement, puis tira dessus. Alexandre se retrouva ainsi tout nu, offrant une verge bien dressée, tandis que ce dernier se mit à sourire.

« Je me suis reposé, Rachele... Pas de la manière dont les humains l’entendent. Je suis entré dans un sommeil profond pour récupérer mes sources, ce qu’on pourrait assimiler à un rituel magique. Et, quand je sors de cet état, surtout si brutalement, non seulement mes sens sont stimulés à fond, mais mon adrénaline aussi... »

Serguey retira les pinces, et en posa chacun sur ses testicules. La menace semblait sérieuse, mais, à peine Serguey eut-il posé ces derniers que Dowell agit.

D’un coup sec, il déchira ses cordes, et, dans la foulée, attrapa les pinces, les retirant juste avant que Rachele, instinctivement, ne les enclenche. Dowell les planta alors  contre le visage de Serguey, une pince sur son nez, et l’autre, profitant de l’hurlement de douleur et de surprise qu’il poussait, sur sa langue, puis le repoussa.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Le second réagit rapidement, sortant de sa poche arrière un couteau à cran d’arrêt, mais, au même moment, Dowell, utilisant ses mains, déchira les cordes retenant ses poignets, et se redressa tout aussi rapidement, levant une main pour bloquer le poignet de l’homme, ouvrant la bouche devant ce dernier dans un grognement inhumain, révélant ses dents pointues, avec des yeux d’un rouge sanguinolent Dowell lui tordit le poignet, et l’homme hurla, lâchant son couteau, puis Alexandre attaqua avec son autre main L’homme ferma un œil, mais il y eut malgré tout un bruit spongieux, écœurant, suivi d’un hurlement suraigu, puis Dowell tira en arrière, après avoir serré ses doigts autour d’une masse visqueuse

Il se retourna alors vers la femme, tandis que le sang fusait comme vache qui pisse de l’orbite gauche du malheureux La main droite de Dowell était couverte de sang, et tenait surtout un petit organe blanchâtre, crémeux, par le nerf optique. C’était l’œil de l’homme. Serguey, de son côté, hurla rageusement, et, après avoir réussi à retirer les pinces, se rua vers Dowell. Ce dernier relâcha l’œil de l’autre comparse, qui continuait à hurler, et évita rapidement Serguey, qui heurta le mur, et se retournant, hurlant encore, fonçant droit sur lui... Et Dowell le griffa profondément au ventre, et Serguey hoqueta sur place, avant de se tenir les mains sur sonv entre, qui s’ouvrit en deux, vomissant ses intestins sur le sol. Il finit à genoux, et, dans son dos, Dowell leva bien haut ses deux bras, et les abattit en même temps sur l’homme, le griffant très profondément, faisant fuser le sang, qui vint éclater sur son corps, éclaboussant la moitié de son visage, son épaule, son torse, et même son sexe, qui ne cessait pas de débander, tandis que Serguey se vidait de son sang sur le sol, une matière jaune sortant également de son ventre, ses intestins se répandant sur le sol.

Alexandre soupira lentement, puis regarda autour de lui, et récupéra l’œil de l’autre criminel... Puis croqua dedans, et l’avala ensuite.

« Un œil comprend un certain nombre de muscles, et plein de sang... Comme un mini-steak avec de la sauce. »

On aurait dit un démon, avec le corps à moitié recouvert de sang, des yeux rougeâtres, des griffes terriblement longues, et ce corps nu, à moitié baigné dans la pénombre.

« Comme je le disais, petite pute, tu m’as attaqué le mauvais jour. Surprise, Rachele ! S’il y en a un ici qui doit se prosterner, c’est bien toi, petite pute d’humaine, car je suis ton supérieur, ton Éternel supérieur ! Je... Suis... Un... VAMPIRE !! »

Elle pouvait lui tirer dessus. Dowell n’était pas insensible aux armes, mais, comme il l’avait dit, ce soir, il était chargé à bloc. Son corps cicatriserait vite, et elle n’aurait, de toute manière, l’occasion de ne tirer qu’une fois, car il se ruerait ensuite vers elle...

...Et il apprendrait le respect à cette petite pétasse.
DC d’Alice Korvander.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 4 jeudi 10 novembre 2016, 00:30:03

Le calme et le sang froid de Rachele se décomposent à mesure que son prisonnier montre une résistance surnaturelle à la douleur et aux blessures. Elle a de plus en plus de mal à cacher sa gène à la vue des organes virils du vampire dont le membre ne cesse de gonfler. Deux petites taches rose apparaissent sur ses joues et elle continue de détourner la tête en déglutissant pour ce concentrer sur la torture, trouvant le regain de colère et d'orgueil blessé nécessaire dans chacune de ses insultes.

"Serguey ! Montre à ce bâtard comment on parle à sa patronne !"

Le polonais prend les pinces et s'apprête à les poser sur les testicules du prisonnier. Max lui sourit et lui dit.

"Fin du jeu beau mec, tu vas apprendre à respecter ta nouvelle idole."

Et c'est à ce moment là que tout bascule. A une vitesse impressionnante, Alexandre brise les menottes qui le retenaient comme s'il s'agissait de papier. Par réflexe, elle envois une nouvelle décharge mais trop tard, c'est Serguey qui la reçoit et ce met à hurler. Le vampire se rue alors sur son autre gorille, Rachele porte la main à sa cuisse et tire son pistolet si vite qu'elle fend sa belle robe rouge sur toute la longueur, laissant apparaitre une de ses cuisses jusqu'a la hanche, sa cuissarde, et le porte-jarretelle qui le retient.

Sans attendre elle tire. A une si faible distance, toutes ses balles font mouche, elle le touche cinq fois d'affilée avec des balles perçantes, des tueuses de flic, très efficace, très puissantes. Mais sa chaire les absorbe sans même qu'il bronche ou ne semble le sentir, tout à son massacre.

"Merde mais t'es quoi ?!"

Crie t'elle en tirant à nouveau jusqu'à ce que son chargeur se vide entièrement. Encore une fois son habilité de gangster lui assure un carton complet... mais la aussi en dehors des petits trous sanguinolent qu'elle lui fait dans le dos, il semble ne rien sentir et continue son carnage.

Finalement Serguey s'effondre à son tour, déchiqueté, et le vainqueur se retourne vers elle, nu et couvert de sang, tel un dieu des temps jadis attendant le sacrifice de ses adorateurs. Il se délecte de l’œil de sa victime et lui parle des horreurs dont il se nourrit. Rachele le toise terrorisée mais sa nature combative prend le dessus et elle actionne le loquet de déverrouillage de son chargeur qui tombe sur le sol, encore fumant. Le vampire remarque alors les impactes de balle qui grêlent son corps. Les balles traçante atteignant des températures très élevées, son corps de non vivant met un peu plus de temps à régénérer leur dégâts.
Force est de constater que la jeune femme à de la ressource, et qu'elle ne s'est pas contenté de regarder le combat sans tenter d'y prendre pare, son courage et sa détermination sont indéniables.

Il lui révèle alors sa vrai nature, tout cros dehors et lui dit que c'est à elle de se prosterner.

Rachele, tremblante et vulnérable, arme d'une main malhabile un nouveau chargeur et lui hurle en levant son arme.

"Non ! Jamais ! Jamais plus je ne me prosternerais ! Crève !"

Et elle commence à vider son dernier chargeur sur la bête qui lui fait obstacle.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 5 jeudi 10 novembre 2016, 11:59:26

Elle lui avait tiré dessus. En temps normal, les balles de la femme auraient pu le mettre vraiment en mauvaise posture. Contrairement à une idée reçue, pour tuer un vampire, il ne fallait pas nécessairement avoir des balles en argent, un pieu, et une croix chrétienne. De simples balles suffisaient amplement, mais, dans le cas précis, Dowell sortait d’un rituel, qui avait amplifié ses sens, et, surtout, la régénération automatique de ses cellules. Un vampire pouvait naturellement résister plus facilement aux blessures d’un simple humain, mais, là, précisément, cette régénération était encore amplifiée. Alexandre réalisa donc qu’il était temps de s’occuper de la dame, car se recevoir davantage de balles pourrait être dangereux. Paniquée en apprenant à qui elle avait affaire, Rachele n’essayait même plus de dissimuler sa peur, et pointa son pistolet sur lui, pour faire feu de nouveau.

Alexandre se déplaça alors, à une vitesse ahurissante, et, en quelques secondes, sa main droite saisit le canon du pistolet, et, de sa main gauche, il gifla sèchement la femme à hauteur de la joue. Sous l’impact, cette dernière tomba sur le sol, et Dowell conserva son pistolet, puis, agacé, s’en servit pour tuer à distance le second homme de main de Rachele, celui qui avait perdu un œil. Il tira une seule fois, transperçant la tête du malheureux, qui s’effondra sur le sol.

« Ha... On ne s’entendait plus, avec ce braillard... Bien, à nous, donc ! »

Le vampire exultait, empreint d’une sensation de puissance masculine, typiquement virile. Tout nu, il avait toujours sa trique, et pouvait voir la robe extrêmement fendue de la femme. Elle était ravissante, surtout avec ses longs collants et gants noirs, qui brillaient un peu dans l’obscurité. Alexandre lança le pistolet au loin, puis se pencha vers elle. La femme aurait beau se débattre, il disposait aussi d’une force herculéenne, et l’attrapa par les cheveux, puis la traîna vers un instrument qu’il avait vu dans la pièce, un chevalet.

Alexandre, faisant fi des protestations de la femme, la posa dessus, et la voyant se débattre, il attrapa à nouveau sa tête, puis envoya cette dernière heurter violemment le tissu du chevalet, la faisant couiner, mais l’assommant aussi un peu, juste le temps qu’il puisse l’attacher par les poignets et par les chevilles. Il se dressa ensuite dans son dos, et la tira encore par les cheveux, soulevant son visage, et, avec son autre main, écarta sa robe, caressant ainsi ses fesses.

« Tu te prosterneras, ma chérie... Car, à partir de maintenant, tu es ma salope. C’est ce qui arrive, quand on tombe sur plus gros que soi, on s’incline. Mais, je t’en prie, débats-toi, ça n’en sera que plus excitant. Et ne t’en fais pas, ceci n’est qu’un prélude. Après tout, tu m’as conduit dans une pièce remplie de formidables inventions, et il me tarde de toutes les essayer sur ton corps de sale pute en manque de bite... »

Dowell, suite à cela, approcha sa queue de son corps. Il savait que ça allait être très douloureux, mais c’était justement le but de la manœuvre. Avec sa trique érigée, il l’approcha, non pas de la chatte de la femme, mais de son anus, de son petit bouton rose. Son autre main tenait toujours la longue chevelure de la beauté, et il tira encore dessus, la faisant gémir, et heurta alors son anus... Puis Dowell entreprit ensuite de sèchement la sodomiser.

« Vas-y, vas-y, HURLE ! HURLE, SALE MERDE !! »
DC d’Alice Korvander.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 6 vendredi 11 novembre 2016, 14:15:37

Rachele reçois la gifle de plein fouet et tombe sur le flanc, sa robe fendue révélant ses jambes parfaitement galbées. Elle se frotte lentement la joue, à moitiés sonnée et entend à peine le coup de feu qui arrache la vie à son dernier gorille. La jeune femme n'a pas le temps de reprendre ses esprits, la main puissante du vampire se pose sur sa chevelure et la lui agrippe avec violence.

"Haa ! Lâche moi ! Lâche moi monstre ! Me touche pas ! Tu me dégoute !"

Hurle t'elle, répugnée d'être ainsi touchée par un mort vivant. Car aux yeux de la jeune femme, il n'est rien de plus qu'un beau cadavre en mouvement... mais un cadavre quand même, et l'idée d'être à la merci d'un mort la terrorise autant qu'elle lui donne la nausée. Elle se débat et essai de libérer sa chevelure en lui griffant les mains de ses ongles acérés, mais rien n'y fait et il la fait glisser sur le sol lice de la pièce comme un simple mannequin d’essayage.

Il la soulève alors et la pousse en avant contre le chevalet de la pièce. Incapable de résister, Rachele tombe sur le ventre contre la planche rembourré de l'instrument de torture. Elle essai de se redresser mais le vampire est trop rapide. Se collant contre son cul dressé contre la structure métallique, il agrippe à nouveau le cuir chevelu de la jeune femme et l'envoi percuter violemment la banquette du chevalet. Une explosion d'étoile submerge la vision de Rachele qui dodeline de la tête en gémissant faiblement, sonnée. Elle le sent attacher ses poignets et ses chevilles à la structure et frissonne de dégout et d'horreur, le corps de la jeune femme se couvre de sueur et de chaire de poule, sa peau se met à briller à la lueur des ampoules.

Elle reprend pleinement connaissance au moment où il la tire brutalement par les cheveux pour la redresser contre lui.

"Gniiiii..." gémit elle désespérément.

Elle sent la pulpe morte de ses doigts écarter les pans de sa robe fendue et caresser la courbe délicate de ses cuisses et de ses fesses.

"Ha ! nan ! tu... tu n'oserais pas ! je... je te ferais couper les couilles ! je ... je le jure !" cris t'elle.

« Tu te prosterneras, ma chérie... Car, à partir de maintenant, tu es ma salope. C’est ce qui arrive, quand on tombe sur plus gros que soi, on s’incline. Mais, je t’en prie, débats-toi, ça n’en sera que plus excitant. Et ne t’en fais pas, ceci n’est qu’un prélude. Après tout, tu m’as conduit dans une pièce remplie de formidables inventions, et il me tarde de toutes les essayer sur ton corps de sale pute en manque de bite... » lui répond t'il.

Rachele sent alors le gland énorme du vampire tapoter ses lèvres pubiennes qui se mettent instantanément à mouiller, les troubles nympho-maniaques de la jeune femme refaisant surface.

"Nan... nan... arrête... j'ten pris arrête... fait pas ça... c'est... c'est dégoutant... tu... tu es un cadavre... non... je veux pas..." chuchote t'elle en recommençant à se débattre, provoquant un tintement de chaines érotique. Mais cela ne fait que faire danser les deux ravissantes bosses de son cul sous le regard pervers du mort-vivant. La verge en main et avec lenteur, il remonte encore et quitte le sillon de la vulve pour venir se coller contre le petit muscle plissé de son anus.

Ho non pitié pas ça ! Hurle Rachele en se redressant de tout son buste, Alexandre lui tire encore plus les cheveux pour qu'elle s’arque boute contre le chevalet et ne puisse pas donner de coups de tête. Elle force sur ses liens mais ses poignets ne bougent pas, elle ne peut que fermer les poings et agiter les doigts.

Elle sent le bout de son gland tenter de se frayer un passage mais elle est encoresèche, et la simple force qu'il exerce alors lui fait déjà mal.

Non arrête pas là... p HA !  Elle pousse un hurlement sec et court, tout son visage rougit de honte, de douleur et d'horreur. Ses yeux exorbités fixent le plafond et tremblent alors qu'elle sent la queue énorme du vampire pousser violemment les portes de son cul et s'enfoncer en elle, labourant son petit muscle. Son pénis et si gros et est enfoncé avec tans de brutalité que son anus ne se lisse pas, il s'enfonce dans la chaire de ses fesses, entrainé par la hampe d'Alexandre. Le butor s'enfonce en elle pendant d'interminables secondes ou chaque centimètre est une souffrance incroyable qui réveille les pire souvenirs de son passé. Instantanément, de petites ondes de plaisir partent malgré tout de son fondement et irradient son clitoris et ses lèvres vaginales, honteuse, elle sent sa vulve cracher une petite pluie de gouttelettes sur le chevalet.

Quand enfin les hanches d'Alexandre butent contre les fesses de Rachele, elle pousse un grand "Hô !" et murmure: "J'ai... mal... j'ai... haaaaaaaa" Elle n'a pas le temps de finir, le vampire est déjà en train de ressortir de son cul, lui arrachant de nouvelles sensations de plaisir et de douleur.

Avant qu'elle n'ai le temps de reprendre son souffle, il recommence à s'enfoncer en elle, un peu plus vite à mesure que son cul se dilate et que son muscle perd son élasticité, à nouveau elle pousse un long gémissement, elle lève les yeux au ciel et sa langue sort de sa bouche de manière obscène.

Il commence à la pilonner de plus en plus vite, la forçant à pousser tantôt des hurlements quand la douleur est trop grande, tantôt des gémissement de petite chienne en chaleur quand le plaisir se mêle à la souffrance: "Haaaar ! hô ! hennn ! argg ! gnaaaa ! ha ! "

La jeune femme serre les poings au point de s'en faire blanchir les phalanges et de s'enfoncer les ongles dans la paume des mains. Alexandre sent le contact des pieds de la jeune femme contre ses tibias, un bref coup d'oeil lui permet de remarquer qu'il sont totalement tendu, comme ceux d'une danseuse de balai qui marche sur l'extrémité de ses orteils. Cette crispation involontaire lui permet de ressentir toute la tension sexuelle et la douleur qui traverse le corps de la jeune femme qu'il est en train de violer. De mieux en mieux lubrifié par la vulve de Rachele qui continue de cracher une pluie de cyprine, le vampire prend une cadence brutale et mécanique, leur corps commencent à rebondir l'un contre l'autre au rythme de ses coups de reins. Rachele arrête de se débattre et les yeux toujours levés au ciel, elle se met à hurler à gorge déployée à chaque fois que la bite d'Alexandre s'enfonce dans son cul.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 7 vendredi 11 novembre 2016, 22:35:43

Aucun remords, aucune hésitation, aucune gêne, ne vint troubler Dowell pendant qu’il fourrait le cul de la délicieuse traînée nymphomane. S’il avait brièvement hésité entre sa chatte et son cul, Alexandre avait opté pour le plus douloureux, et n’avait pas besoin de se baisser pour constater que la salope aimait ça. Il le sentait, à travers les ondulations de son sang, et à travers cette concentration sanguine à hauteur du sexe de la femme. Quand l’homme améliorait ses capacités vampiriques, il pouvait, avec ses esclaves, manipuler leur sang, à distance, et, en somme, provoquer des orgasmes quand il le voulait. La magie rouge, celle reposant sur le sang, était une très puissante magie, dans laquelle les vampires étaient des experts. Oh oui, Dowell allait longuement s’amuser avec cette femme ! Cette sodomie n’était qu’un prélude, comme une invitation, et personne ne viendrait les déranger.

La réalité était que personne n’avait entendu les hurlements des deux gorilles. Dowell supposait qu’ils se trouvaient dans l’une des pièces souterraines du « RACHELE’S », un donjon dédié à la torture et à la souffrance, que les plus riches payaient pour se défouler sur d’innocentes victimes. Il fallait donc penser à bien insonoriser ces pièces. Autrement dit, l’installation de Rachele se retournait contre elle, car personne ne viendrait la secourir. Et Alexandre en profitait donc, la baisant sèchement, se délectant des puissants hurlements de la femme. Elle ne gémissait plus, elle ne protestait plus, elle hurlait, tout simplement, hurlait à s’en déchirer la gorge, à s’en briser les cordes vocales, et rien ne venait la sauver. Grognant et soupirant, Alexandre filait en elle. Il était terriblement excité, mais retenait, là encore avec ses pouvoirs vampiriques, son érection. Oh, bien sûr, le vampire ne pourrait pas éternellement se retenir, mais il le faisait le plus longtemps possible, se délectant du corps magnifique de la femme. Ses magnifiques gants noirs en latex, sa longue robe rouge, sa chevelure, ses hanches... Elle était belle, et avait, en réalité, toutes les caractéristiques requises pour être l’une de ses esclaves. Belle, puissante, autoritaire, et salope... Quatre qualités requises pour faire partie des poupées de Dowell.

*Tout ce qu’il faut, c’est l’éduquer un peu, lui rappeler qu’elle est mon inférieure...*

Sexiste, Dowell était surtout raciste, estimant que les humains, par définition, étaient inférieurs aux vampires. Ainsi, que Rachele puisse se prétendre son égale, ou même sa supérieure, lui était insupportable. Cette sodomie était un moyen de remettre les pendules à l’heure, et il continuait, de sa main droite, à tenir les cheveux de la femme, la gauche venant sévèrement la gifler. Des claques solides et tranchantes, ses griffes heurtant la rondeur agréable de ses fesses, laissant quelques traînées écarlates dessus. En aucun cas, il ne cherchait à la ménager, multipliant les puissants coups de reins, son épée de chair heurtant son anus, s’enfonçant lourdement en elle.

Lui-même ne parlait plus, se contentant juste de la fourrer, de la prendre, pendant de longues minutes. Un véritable étalon, à la hauteur de sa réputation, qui rythmait désormais les hurlements de la jeune femme par des claques sévères... Jusqu’à sentir le courant atteindre le point culminant. Dowell soupira, et s’abandonna alors en elle, balançant un orgasme magnifique, des litres de foutre éclatant dans le cul de Rachele, remontant le long de son rectum, tandis que, enfin, il relâchait ses cheveux, envoyant le visage de la femme s’écraser sur le chevalet.

« Haaaa... Ça fait du bien ! Pardonne-moi, ma chérie, j’ai agi tellement vite, mais j’avais une telle trique... »

Ses mains caressaient le bas du dos de la femme, et, tout en reprenant ses esprits, il tira sur sa robe, et la déchira rapidement, le magnifique morceau de tissu émettant des craquements de souffrance, avant de se rompre. Il la déshabilla ainsi, ne lui laissant plus que ses gants et ses collants, et se déplaça encore. Sous l’effort physique, Dowell suait, avec des plaques rouges sur le corps, et il se déplaça, venant récupérer les pinces et la batterie.

« Tu sais... Il y a d’étonnantes idées reçues sur les vampires. Comme celle selon laquelle nous serions des cadavres sur pattes. Est-ce que j’ai l’air d’un zombie, dis-moi ? On nous colle cette réputation parce que le temps n’a pas d’impact sur nous, contrairement aux êtres vivants. Mais, la réalité, ma salope, c’est que le temps influe sur nous. Cependant... Nous avons juste des cellules qui ne vieillissent pas. Tu trouves cela impensable, ma chérie ? Ah ! Les humains m’amuseront toujours... »

Tout en se déplaçant, il approcha les pinces des seins de la femme. Qu’elle se débatte ou non ne changerait rien, et il plaça chaque pince sur ses seins, tout en continuant ses explications :

« Turritopsis nutricula... Ça ne te dit rien, ma douce pute ? C’est une petite méduse, qui a la capacité exceptionnelle de rajeunir.. On appelle ça la transdifférenciation. Quand la méduse atteint la maturité, ses cellules rajeunissent, la ramenant à un état primitif, puis elle vieillit à nouveau, et rajeunit... Autrement dit, elle est capable de lutter contre les affres du temps. Alors, pourquoi vouloir me qualifier de mort-vivant ? À bien des égards, je suis bien plus vivant que toi, petite salope. Je suis plus vieux, plus intelligent, plus fort, plus cultivé, plus résistant, car mon organisme survit à quantité de virus et de maladies qui sont mortelles pour les pathétiques créatures que vous êtes... »

Dowell s’était maintenant rapproché de la batterie, et récupéra la télécommande de la femme, puis retourna près de ses fesses.

« Prête pour la seconde mi-temps ? Comme j’ai peur que tu t’ennuies, je vais te stimuler davantage... »

Et il alluma alors la batterie, tout en retournant la pénétrer... Dans les fesses !
DC d’Alice Korvander.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 8 samedi 12 novembre 2016, 17:48:20

A chaque coup de butoir, Rachele continue de hurler, mais ses cris de douleur pure se sont rapidement mués en râle de plaisir à mesure que son clitoris se gonfle de sang et la foudroie de décharges orgasmiques. Elle sert les poings et sursaute à chaque coup de trique comme si elle était monté sur un énorme ressort lubrique qui lui pilonne les reins. Soudain elle cris plus fort et se cambre tout entière alors qu'un jet de cyprine brulante vient inonder la banquette du chevalet. Rouge de honte, incapable de se cacher le visage, elle se met à sangloter entre deux nouveau cris de plaisir. La belle rebelle indépendante et fier, vient de jouir du viol qu'elle subit.

Quelques instants plus tard, c'est lui qu'elle entend soupirer. Elle écarquille les yeux et tente de le regarder pour l'implorer.

"Han ! n... Nan ! Hannn ! Pas ça... pas à l'intérieur nan HAN !"

Mais le vampire reste sourd à ses supplique et Rachele sent sa bite énorme commencer à se contracter en elle et cracher une première rasade de sperme chaud qui inonde son colon.

"Naaaaan...." gémi t elle en le sentant jouir en elle. Les rasades commencent à se succéder et à la remplir de plus en plus. Les yeux écarquillée par l'horreur, elle le sent venir encore et encore et la remplir jusqu'à ce qu'elle sente une petite bosse naitre au creux de son ventre et peser contre la banquette du chevalet.

"En... encore ? non... stop ... je... haaaaa" Gémit elle en le sentant toujours venir au point que son sperme sous pression commence à remonter le long de sa verge et ne filtre par les plissures de son anus. Quand il termine enfin, Rachele s'effondre en gémissant contre le chevalet, le ventre plein au point d'avoir un petit peu gonflé. Encore fière et honteuse, elle comprime son muscle ravagé pour ne pas déféquer la semence du vampire devant ses yeux. Quand il agrippe sa robe pour l'arracher, elle gémit et essai de se débattre pour l'en empêcher, mais l'étoffe se déchire dans un craquement érotique et révèle le corps parfait de la belle italienne. Pendant qu'il lui explique sa nature, Rachele ravale ses larmes et tente de reprendre son souffle, de retrouver ses esprits. Elle doit réfléchir pour trouver un moyen de s'en sortir.

Mais le fil de ses réflexion est coupé net par la douleur et la peur quand Alexandre la soulève de nouveau pour avoir accès à sa poitrine. En voyant les pièces, Rachele à un mouvement de recul et se débat.

"Nan ! arrêt ! Monstre ! pas ça nan !" Cris t'elle. Mais le vampire ne l'écoute pas et mord un premier téton avec une pince. Rachele pousse un cris de douleur et d'indignation en sentant le métal glacé emprisonner sa chaire brulante et sensible. Elle cris à nouveau et se remet à pleurer quand la seconde pince emprisonne douloureusement son autre téton.

Par pitié pas ça nan.... haaa haaaaaaaaaaaaaa nan haaaaaa... Tout son corps se met instantanément à trembler et à se contracter alors qu'une douleur cuisante se repend dans sa poitrine. Incapable de se contrôler, sa vessie se vide en un jet d'urine qui inonde le sol et les pieds ensanglantés du vampire. Mais avant que son cul ne se vide aussi, il la sodomise à nouveau.

La queue d'Alexandre se trouve prise dans un étau de chaire brulante et visqueuse de son propre sperme. Le courant qui traverse le corps de la belle la fait se contracter au rythme des décharges à raison de plusieurs fois par secondes si belle qu'elle à l'air de sautiller sur sa bite énorme. Si elle n'était pas branchée sur une batterie, on pourrait presque croire qu'elle parodie une scène de film pornographique ou l'actrice se trémousse en criant pendant qu'elle se fait prendre. Sauf que la, Rachele hurle vraiment, et son plaisir comme sa douleur sont aussi puissant que réelle. Les yeux a moitiés révulsé baignés de larmes, la bouche grand ouverte dont jaillissent langue et filets de bave, la belle gangster sent la queue du démon la pilonner toujours plus fort et elle se prend à aimer ça, à sentir le besoin de subir ça tout le temps. Peu à peu, elle perd la raison à mesure que son corps et son esprit retombent dans l'enfer de la nymphomanie.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 9 dimanche 13 novembre 2016, 10:02:41

« Par pitié »... Chez Dowell, c’était typiquement le genre d’expressions qui déclenchaient, chez lui, des réactions compulsives et violentes, en lui donnant l’exacte envie de faire le contraire. Il n’était pas un enfant de chœur, mais un véritable prédateur. Et cette Rachele avait joué avec le feu. Maintenant, elle était vaincue, et, comme tout vainqueur, Dowell allait profiter d’elle. Ce n’était même pas moralement condamnable, c’était dans la nature des choses, le droit du plus fort. Quand le conquérant triomphait d’une cité, il gagnait le droit de faire ce que bon lui semblait des habitants vaincus de ladite cité. Croire pouvoir régulariser ça derrière de pseudos-principes moralisateurs, c’était la plus grande des hypocrisies. Et, en l’occurrence, Alexandre ne pouvait que reconnaître que Rachele était magnifique. Rendons à César ce qui est à César. Si la Nature avait doté les hommes de la force et du pouvoir de dominer, elle avait doté les femmes de la beauté. Le beau sexe, avec Rachele, était à la hauteur de sa réputation, et c’était donc naturel qu’il en profite. Dans la nature des choses, tout simplement.

Rachele était somptueuse, donc. Un corps parfait, celui d’une superbe Italienne, qui berçait son amant de ses hurlements de douleur. Les pinces vibraient contre elle, et, si Dowell les ressentait aussi, il en frissonnait. La douleur électrique stimulait davantage encore son corps, et, quand il s’enfonça dans le cul de la femme, ce fut pour sentir son propre foutre, que Rachel avait, tant bien que mal, essayé de retenir, se refusant à s’humilier davantage. Il la sentit uriner sur lui, et en sourit encore. Sang, foutre, urine, tout se mélangeait dans cette pièce, la patronne des lieux n’étant plus qu’une simple poupée de chair que le vil vampire malmenait cruellement, retournant la sodomiser, aussi violemment que précédemment. Les courants électriques qui traversaient le corps de Rachele le stimulaient donc, et il grognait, haletant, éloignant Rachele du chevalet, avant de la ramener dessus, encore et encore, les pinces tressautant le long de ses tétons endoloris.

Elle hurlait, hurlait à s’en casser la voix, tout en pleurant, et rien ne semblait calmer la frénésie de Dowell.

« Hmmm... Hnnnnnnn... Hmmmmmm... !! »

Dents serrés, il poussait des borborygmes, des grognements de plus en plus inhumains, tout en soulevant le corps de la femme, revenant ensuite s’enfoncer en elle, son membre filant jusqu’à la garde. Et, plus il faisait ça, et plus le sperme résultant de sa première jouissance se diluait en elle. Rachele était sa prisonnière, maintenant, et le foutre se mélangea à son urine, ainsi qu’aux traînées de sang que le vampire répandait sur le corps de la femme en la sodomisant si violemment.

C’était un spectacle assez écœurant, en réalité, mais, à son corps défendant, Dowell ne se focalisait que sur sa sodomie, et ne voyait que le haut du corps de sa victime, un corps magnifique, anguleux, avec des courbes et des formes. Sa main retourna agripper les cheveux de la femme, et il tira sa tête en arrière, puis la relâcha, et tira à nouveau, la faisant ainsi tressauter davantage... Ce qui finit par amener les pinces sur les seins de la femme à sauter, glissant de sa peau recouverte de sueur pour aller sur le sol, où ils grésillèrent dans le vide.

« Salope... ! Pute... !! Hmmm... Sale petite pute... !! Haaa, tu aimes ça, h-hein ? Hum... Sen-Sentir... Sentir des queues t’exploser ton CUL DE TRAÎNÉE ! OH PUTAIN, T’ES BONNE, ESPÈCE DE SALE PUTE !! Allez, ALLEZ, HURLE POUR MOI, SALE PÉTASSE !! »

Il devenait plus furieux, plus nerveux, plus puissant, plus sauvage, tout en continuant à la bourrer sauvagement. Rien n’était épargné à la jeune femme, qui se dandinait d’avant en arrière, plusieurs de ses mèches de cheveux étant arrachés par la force du vampire, qui la giflait sévèrement avec l’autre, et griffait ses hanches en la « caressant ». Son corps sembla se calmer, puis, dans un long soupir, Alexandre contracta ses muscles, et expulsa tout son foutre en elle. L’homme se raidit sur place, et eut un second orgasme, très similaire au premier, ses mains se posant sur les hanches de la femme, tout son organisme crachant des filaments de sperme, pendant une bonne minute. D’ultimes mouvements de sa queue, qui se vida sporadiquement, gonflant encore le ventre de la femme.

Dowell se calma ensuite, et respira lourdement, tout en relâchant le corps de la femme. Elle avait maintenant un estomac qui avait bien grossi, lui donnant l’allure d’une femme enceinte sur le point d’accoucher. Un très gros ventre, avec un trop-plein de sperme et de pisse qui ne demandait qu’à sortir.

« Haaaa... Mille excuses, ma chérie, j’avais une envie phénoménale de te baiser... Mais, maintenant, ton dressage va pouvoir commencer. »

Avec l’une de ses mains, il caressait ses cheveux, glissant sur ses joues, puis commença à la libérer, son sexe toujours planté en elle. Une fois avoir retiré les liens, il la souleva ensuite, et, se déplaça, se rapprochant d’un instrument qu’il avait vu, une sorte de grande table de torture tekhane, blanche, avec un système informatique. Il avait entendu parler de ces pièces, qui étaient utilisées à la Prison Eternum, et dont chacune valait une petite fortune. Dowell déposa la femme sur la table, qui était dressée presque à la verticale, légèrement penchée. Il attacha ensuite les poignets et les chevilles de Rachele, qui semblait encore comateuse, puis alluma la machine.

Cette dernière émit un bourdonnement, tout en se mettant rapidement en marche. Un pupitre s’alluma sur le côté, présentant une série de commandes.

« Hum... Pardonne-moi, ma petite pute, j’ai toujours eu envie de jouer avec ces machines. Et puis, tu n’as pas à te plaindre. Normalement, j’aurais dû te tuer, mais, comme tu m’es extrêmement sympathique, je vais plutôt te dresser, et faire de toi ma petite esclave. »

Il appuya sur une série de boutons, et des sifflements se firent entendre, puis des espèces de plaques blanches remontèrent alors de la machine, faisant disparaître les jambes et les bras de Rachele. Il pouvait également faire tomber sur le visage de Rachele une sorte de machine semi-cylindrique, qui s’arrêterait à hauteur de son nez, et l’aveuglerait de visions, mais, avant ça, Dowell déclencha une autre fonction.

Plusieurs clapets s’ouvrirent le long de la machine infernale, faisant notamment sortir une sorte d’appendice métallique avec, à son extrémité, une seringue, s’approchant du cou de la femme. Entre-temps, à hauteur de son bassin, depuis un autre clapet, deux tentacules se posèrent à hauteur de son vagin et de son anus, sans la pénétrer, mais les deux tentacules se rejoignaient ensuite en un tentacule immense, qui remonte mécaniquement jusqu’à la bouche de la femme, et se crispa dessus.

« Tu as retenu ta vessie, alors je vais t’aider un petit peu... Et, comme tu as bien hurlé, tu dois avoir la gorge sèche... Je vais donc épancher ta soif ! »

Alexandre s’amusa encore, et la seringue se planta dans le cou de la femme, diffusant un produit qui allait dilater sa vessie, et lui faire recracher tout ce qu’il y avait dans son estomac... Une grande quantité du liquide serait naturellement dissous par les sucs digestifs, mais, pour le reste, le liquide remonterait jusqu’aux tentacules, puis rejoindrait ensuite la bouche de la femme...

Ce que Dowell trouvait très excitant !
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 10 mercredi 23 novembre 2016, 18:15:35

Rachele pousse un hurlement de délivrance et de douleur en sentant les dents perverses des pinces libérer sa chaire. Libérée du courant qui dévorait son corps, elle voudrait se reposer et dormir, mais c'est à cet instant que le démon craque enfin et libère en elle son flot ininterrompu.

Les yeux écarquillés par la surprise et l'horreur elle sent ses énormes éjaculations commencer à la dilater de l'intérieur comme un ballon de foire. Il joui encore et encore, elle commence à avoir mal, sa peau se distant, son nombril sort de son creux délicat et son ventre se met à pousser contre le chevalet de torture, la comprimant douloureusement contre la planche.

Elle voudrait hurler "stop" elle voudrai le supplier d'arrêter, mais elle n'arrive plus à parler, juste à gémir, parfois de douleur, puis de plaisir, avant de se mettre à hurler de nouveau en sentant sa peau se zébrer de vergetures douloureuses. Au bout d'interminables minutes de souffrance, son ventre rond et délicat la suréleve carrément du chevalet, au point que sa tête ou ses seins ne touchent plus la planche. Dowell continue de venir en elle jusqu'à ce que la pression soit telle que son sperme remonte le long de sa queue et se met à gicler entre les interstices de la jeune femme.

Prostrée, Rachele gémit en dodelinant de la tête pendant que son tortionnaire la libère des entraves. Toujours bien enchâssé en elle, il la soulève et la tient empalée sur sa queue pendant qu'il la déplace dans la pièce. A bout de force, Rachele, la tête pendant dans le vide, se cache pudiquement le sexe entre les mains dans un geste désespéré de résistance.

Presque absente, elle se laisse attacher à un nouvel instrument de torture qu'elle avait ironiquement elle même préparée pour briser sa "victime". Elle revient à elle quand il lui dit qu'il veut faire d'elle sa nouvelle esclave.

"Non ! Non jamais ! Jamais je ne serais ton esclave !"

Ill est déjà trop tard, elle se débat comme une folle, faisant dandiner son énorme ventre plein comme une outre, mais les plaques remontent le long de ses bras et de ses jambes pour l’immobiliser totalement. Rachele voit avec horreur les deux tuyaux prendre place à l'embouchure de son sexe et de son anus et l'autre remonter vers sa bouche.

Non !! Noooooon !! Mmmmm mmmmm nnnnn ! Ses hurlements se muent en murmures plaintifs quand l' appendice cybernétique lui écarte les lèvres et les mâchoires pour maintenir sa bouche grande ouverte. Elle continue de se débattre et de gémir quand le grand disque de métal descend sur ses yeux et ses oreilles et recouvre la moitié de son visage.

Une lueur spectral et violente envahie sa vision et un motif en spiral parcouru d'images subliminales capte le regard de la belle. Elle lute quelques seconde et sa poitrine est parcourue de spasmes violent de défense. Puis ses yeux et ses iris s'ouvre de plus en plus grand et elle perd le contrôle de son corps qui se tend et se contracte tout entier. La belle comprend que ce programme d'hypnose n'est pas en train de la plonger dans un état de trans libératrice non... elle la contraint au contraire à rester parfaitement concentré et réceptives aux moindres sévices qui lui seront infligés, amplifient tout ses sens et déconnectant temporairement sa capacité à perdre conscience... rien ne la soustraira à ce que Dowell veut lui faire.

Quand la seringue perce la peau diaphane de sa gorge et s'enfonce dans son artère, Rachele la ressent comme une lame aiguisée que l'on passerai sur sa gorge pour faire de son corps une fontaine de sang chaud, mais la mort ne vient pas. Elle glousse de douleur et gémit en sentant un liquide chaud et gluant se mélanger à son sang et venir salir sa cervelle survoltée. Au même instant, le masque bombarde ses yeux d'images stroboscopiques de ce qui est en train de lui arriver.

Gaaaaaaaaaaaa ! Gémit elle au travers du masque en sentant sa vessie gonfler et lui écraser les organes de plaisir, elle est soudain prise d'une frénésie sexuelle irrépressible et commence à balancer des hanches. Mais très vite une nausée insupportable emporte son désir et la bile remonte de sa gorge. A cet instant précis les tuyaux stationné à l'embouchure de son anus et de son vagin la perforent  et se mettent à en succer tout le nectar.

Les mains de la belle se crispe et elle gémit si fort que Dowell peut entendre la moindre parcelle de dégout parcourir le timbre de sa voix. Il voit la cyprine translucide de la jeune femme se mélanger au litres de foutre encore brulant de son cul dans le tuyaux central et remonter vers la gorge de la prisonnière qui se crispe si fort qu'il peut voir chacun de ses tendons blanchir sous sa peau halée.

Prisonnière de la machine infernale qui lui refuse l’indispensable oubli de la perte de connaissance, Rachele se met à déglutir brouillement, sa gorge parcouru d'énormes boules qui descendent vers son estomac. Elle ressent tout, les tuyaux qui la violent, le gout indéfinissable du sperme vampirique et de sa propre mouille. Elle en ressent chaque saveur, dégoutantes ou ragoutantes, elle sent son petit estomac d'humaine gonfler et se dilater à mesure que ses intestins se vident de la semence.

Incapable de fermer les yeux, elle regarde les images subliminales de son corps qui se déforme dans l'autre sens pendant qu'elle boit, encore et encore, jusqu'au moment ou s'en est trop, ou le calvaire projette son esprit contre les récifs de la folie furieuse et où elle commence à trembler nerveusement malgré l'hypnose. Mais la machine refuse de libérer son esprit, et elle continue de boire et de souffrir jusqu'à ce que son cul se soit totalement vidé dans son estomac et son vagin ai été drainé de toute sa mouille au point que sa chaire reste collée au tuyaux.

Sa respiration reprend et fait gonfler son énorme poitrine couverte de sueur. Son corps prisonnier de la machine, le ventre maintenant déformé à l'estomac bouge au rythme de sa respiration, maintenu dans une tension animal qui lui donne l'aspect d'une bête de sexe enchainée plutôt que d'un être humain.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 11 jeudi 24 novembre 2016, 02:40:22

Cette machine infernale empêchait le prisonnier de se réfugier dans le coma, par le biais de bombardements lumineux, d’ondes ultrasonores, et de capsules libérant de fortes odeurs. Impossible de dormir, et, à chaque fois que Rachele commençait à partir, les capteurs de la machine de torture, en la sentant sur le point de s’endormir, la réveillaient brutalement. Aucun abri, aucun refuge, Dowell était bluffé par les capacités de cette machine. Et on osait ensuite dire que les Ashnardiens étaient barbares... Nu, le corps toujours partiellement recouvert de sang, Alexandre pianota à nouveau sur son clavier, et observa ensuite la scène. Rachele se tortillait sur place, gémissant. Honte ? Fureur ? Clémence ? Il ignorait ce qui dominait le plus chez elle, et, sa main alla caresser l’une de ses jambes. Alexandre souriait, mais, alors que la femme buvait ce qu’elle recrachait, regonflant ainsi son ventre, l’homme se mit à sentir son érection repartir encore. Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, tandis qu’il griffait légèrement la jambe de la femme. Elle n’avait plus rien de son élégance sensuelle et fatale. En ce moment, elle ressemblait à une traînée en train de se faire saillir. Rien de plus, et rien de moins.

*Mais ne t’inquiète pas, ma beauté, j’ai plein de projets pour toi...*

Cessant de la contempler, le redoutable vampire commença à explorer davantage la pièce. Il y avait plusieurs placards, qu’il ouvrit, voyant différents instruments de torture, incluant des pinces, des crochets, des couteaux... Et des instruments plus sexuels aussi, notamment différentes catsuits avec des godes intégrés, et des électrodes sur le corps. Visiblement, cette femme avait ses fournisseurs auprès de la société tekhane, et la main d’Alexandre alla s’attarder sur l’une de ces combinaisons, un fin sourire se dessinant sur ses lèvres, tandis qu’une idée s’immisça dans son esprit, faisant grossir encore son phallus.

*Mais... Pas tout de suite... Profitons encore de cette pièce...*

Le programme torturant Rachele s’arrêta de lui-même, et les tentacules se retirèrent, permettant à la femme de se relâcher. Si elle résistait, une seringue viendrait la planter dans le cou, pour dilater son estomac. C’est ainsi que, pendant près d’une minute, Rachele se mit à uriner violemment, répandant une épaisse flaque jaune qui glissa le long de ses jambes, et tomba sur le sol. Son ventre mit plusieurs minutes à reprendre sa forme normale, pendant qu’elle avait toujours, autour de son visage, le casque virtuel.

Alexandre finit par revenir vers elle, et le casque se retira, libérant ainsi le visage de la femme. Elle semblait épuisée, hagarde, et il sourit lentement, approchant sa main, venant caresser son visage, avant d’y donner une petite gifle.

« Ne t’endors pas si vite, ton dressage ne fait que commencer. Je me demande ce que cette formidable machine peut faire d’autre, pas toi ? Oh, mais suis-je bête... Tu dois déjà le savoir, vu que tu as déjà dû t’en servir à de nombreuses occasions... »

Dowell sourit à nouveau, un sourire cruel et vicieux, et retourna devant le terminal de la machine, puis pianota à nouveau dessus, cherchant quoi faire. Malgré son érection imposante, le vampire parvenait à rester calme. Maître de ses émotions, il appuya sur des boutons, et la machine se mit à vrombir à nouveau.. Deux compartiments s’ouvrirent, desquels sortirent deux tentacules, qui se posèrent sur les seins de la femme. Cependant, à l’extrémité de ces tentacules, il y avait des sortes de grosses ventouses en verre, translucides, qui se plaquèrent sur les seins de la femme, les enfermant. Les ventouses se mirent alors à vibrer, pendant que la cage d’acier, à hauteur du visage de Rachele, se referma.

Quant aux tentacules situés contre les seins de la jeune femme, ils restèrent posés sur eux, mais, le long du tentacule, l’extrémité s’ouvrit, laissant pointer des espèces de longues langues. Il y en avait quatre, et elles filèrent alors sur les seins de la femme, les léchant... Et les électrifiant encore.

Pendant ce temps, de nouveaux tentacules phalliques allèrent pénétrer le vagin et l’anus de Rachele, ainsi qu’un autre, qui s’enfonça violemment dans sa bouche, avec cette particularité que chaque tentacule disposait, à son extrémité, d’une caméra, permettant ainsi à Rachele de voir ses entrailles.

« Alors, petite traînée, dis-moi... Jusqu’où crois-tu qu’ils pourront aller, comme ça, dans ton corps, hm ? »

C’était l’occasion de le voir ! Le tentacule dans la bouche de la femme entreprit en effet de s’enfoncer plus profondément dans sa gorge...
DC d’Alice Korvander.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 12 samedi 25 mars 2017, 19:47:07

Les tentacules de silicone quittent enfin les différents orifices de la belle au moment où la machine libère son visage. Dans un gémissement de honte et de délivrance, Rachele sent sa vessie la trahir, elle se vider lourdement sur le sol en un long et répugnant clapotis. Elle baisse la tête pour cacher à son tortionnaire les larmes naissances au coin de ses yeux rougis et exorbités. L'esprit encore prisonnier de l'hypnose, elle n'arrive pas à les fermer ou même à cligner ou battre des cils. Elle respire lourdement, chacune de ses inspirations fait bondir lentement sa poitrine luisante de sueur.

Quand il approche une main de son visage, elle essai de l'éviter mais n'y parvient pas. En voyant ses iris complètement ouverts et ses yeux à demi révulsés, il comprend que le bouclier généré par la volonté de fer de la jeune femme c'est fendu. Il sait alors qu'il lui sera désormais plus facile de s'immiscer dans son esprit pour le transformer, soit par ses pouvoirs psychiques, soit en utilisant d'autres programmes d'hypnose et de lavage de cerveau de la machine: "Protocole Slut", "Protocole Doll", "Protocole Cow", "Erase memory", "Temporary Lobotomy".

Rachele reçoit la gifle, elle dégage rageusement son visage et se contente de lui répondre d'une voix cassée mais toujours séduisante:

- Va te faire foutre cadavre... *crache*

Preuve qu'elle lutte encore contre l'inéluctable, même si elle sait effectivement de quoi est capable cette machine vue qu'elle s'en est servie pour transformer de nombreuses jeunes femmes, y compris des revêches et intelligentes comme elle en bête de sexe totalement stupides et serviles.

La résistance de la mafieuse ne dissuade pas le vampire qui se retourne vers la console. Intrigué, il lance le "Protocole Cow", la machine se met à vrombir et deux nouveaux tentacules s'enroulent autour de ses seins et emprisonnent ses mamelons dans un bruit de sussion.
De petit filaments sortent du tuyaux et viennent caresser les tétons de la jeune femme en leur infligeant de petites décharges. La cage de fer retombe sur les yeux de Rachele qui reconnait cette première étape et pousse un cris de désespoir.

- Seigneur ! Pitié ! Seigneur dieu non ! Arrêtez ! Arrêtez ça ! HA !

Deux tentacules s'enfoncent sans vergogne dans son intimité et son fondement pour toute réponse.
Celui qui s'enfonce dans son anus est un simple god vibrant de bonne taille qui lui procure instantanément douleur et excitation. L'autre en revanche est long et en acier chirurgical. Depuis le moniteur, Alexandre voit tout, et Rachele aussi à cause de l'écran qui la captive. L'instrument de torture fore l'intimité de la jeune femme et traverse le col de son utérus en lui arrachant un petit soupir de douleur. Il se loge bien au fond mais au lieux de se mettre à vibrer ou d'aller et venir, il s'ouvre et deux sondes serpentent le long des trompes de fallopes de la jeune femme qui se dandine en sentant un fourmillement étrange remonter dans son bas ventre.

- Non ! Arrêtez ! Arrêtez le maintenant ! Seigneur dieu stop mainteGllllggl...

Le dernier tuyau commence à s'enfoncer dans la gorge de la mafieuse, lui déformant la trachée au passage. Il fait de longs va et viens et commence à presser contre le clapet de son estomac, offrant aux deux spectateurs le spectacle de sa gorge profonde qui s'ouvre et se referme sur ses aller retour.

Mais ce n'est qu'un détail au regard de qu'elle ressent plus bas... et qu'elle crains par dessus tout. Les sondes sont remonté jusqu'à atteindre ses ovaires, de grosses seringues de plastique en sortent alors et perforent ses deux petites usines.

- Gaaaaalll...

Gémit elle en se sentant pénétrer si intimement, de nouvelles larmes coulent sur ses joues. Il est trop tard et elle le sait, le "Protocole Cow" ne peut plus être annulé...

Les deux perfusions commencent à cracher un flot d’hormones et de matériel génétique qui font gonfler ses ovaires et perturbent leur cycle d'ovulation pour la transformer en véritable pondeuse. Au même instant, le tentacule buccale s'enfonce dans son estomac et y déverse une substance rose et gluante. Les hormones s'enfoncent dans son flux sanguin et remontent vers ses seins et sa tête, Rachele se met à respirer de plus en plus vite, face à ce qui va lui arriver, elle panique.

Soumis à cette mutation brutale, les seins de la belle grossissent à vue d’œil, les petites décharges des filaments font désormais gonfler ses tétons et de petits orifices commencent à s'y ouvrier.
La belle sent que le moment approche, elle sent un nouveau fourmillement insupportable enfler en elle et soudain s'arrêter, elle hurle un "non" silencieux et désespéré... elle vient d'ovuler.

Sans attendre le god d'acier logé dans son utérus se met à cracher un sperme épais, visqueux et à l'odeur si forte que même Alexandre le sent, et devine qu'il n'a rien de naturel. Un minuscule tentacule vient finalement s'enrouler autour du clitoris de la belle pour lui porter le coup de grâce.
Des images recommencent à défiler devant les yeux de Rachele à une vitesse folle pendant que de petites décharges électriques sur ses tempes et son front lui brûlent les méninges pour lui laver le cerveau.

Sa respiration se calme et devient roque, la belle mafieuse commence à gémir de plaisir alors que le tentacule lui masse le clitoris avec lenteur et brutalité. Comme pour la fécondation des animaux d'élevage comme la vache ou la jument, Alexandre comprend que la machine la fait jouir pour améliorer la fertilisation. Rachele pousse un râle de plaisir et tout son corps s'abandonne et s'ouvre à sa nouvelle fonction. Les filament sur ses seins s'enfoncent alors brutalement par l'orifice des tétons et les écartent pendant que les tentacule enroulés autour de mes mamelons se contractent avec violence. Le lait de la jeune femme commence à jaillir en longues traînées blanches.

Autrefois si fière, la jeune femme convulse désormais par acoups de douleur ou de jouissance en sécrétant du lait comme une bête de somme.




Alexandre Dowell

Créature

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 13 lundi 27 mars 2017, 00:53:32

Alexandre devait bien reconnaître que son approche de la torture était très conventionnelle, très traditionnelle, et qu’il ignorait les subtilités sexuelles des appareils tekhans. Cette machine était réellement fascinante. Chaque tentacule disposait d’une caméra permettant de voir ce qui se passait dans le corps de la femme, ainsi que difrférents schémas et capteurs. Ainsi, tout en la pénétrant avec les tentacules, Alexandre voyait, sur un schéma, en temps réel, ce qui se passait. C’est ainsi qu’il vit le tentacule en silicone s’enfoncer dans la bouche de la femme, optant pour une variante d’une coloscopie, en s’enfonçant profondément dans sa trachée, dans son corps, pour atteindre son estomac. Une longue tige rejoignant les autres. Le mode qu’il avait lancé, « Protocole Crew », était l’un des plus intenses, et aucune alarme ne vint l’avertir que la cobaye subissait un état critique nécessitant d’arrêter l’opération. Rien de tout cela n’arrivait, et Alexandre observait donc, tout en ressentant une singulière et étrange excitation devant ce spectacle technologique. L’appareil bourdonnait en elle, en s’enfonçant dans les tréfonds de son organisme.

*On arrête pas le progrès, cette machine est tout à fait fascinante...*

De base, Dowell n’aimait guère Tekhos. Les Tekhanes étaient insupportables à ses yeux, des mégères sexistes qui le toisaient de haut. Un phénomène insupportable pour le fier vampire qu’il était. Pour autant, il devait bien admettre que cette machine était fascinante. Qui sait ? Peut-être qu’il en commandera une, lui aussi ? Pendant ce temps, Rachele gémissait et soupirait, pleurant silencieusement, tandis que les tentacules de silicone eurent l’effet escompté, en la faisant ovuler.

*Tout ça ne vise qu’à améliorer l’état d’une femme, afin de la rendre enceinte...*

Dieu sait quel esprit pervers avait bien pu concevoir ce mécanisme. Le lait abonda des seins de la femme, tandis que le programme s’était terminé. Les tentacules se replièrent alors, et laissèrent la femme étalée sur la table. Alexandre n’en avait toutefois pas encore fini avec la machine, et, tel un apprenti-sorcier jubilant devant une machine infernale, déclencha un autre programme : « Protocole Slut ».

La machine se mit à vrombir, et un nouveau tentacule s’enfonça dans la bouche de la femme, et répandit d’épaisses quantités d’eau en elle pendant de longues secondes. Son ventre s’arrondit donc, puis le tentacule se retira ensuite, et fut remplacé par un autre tentacule, très particulier, qui s’enfonça dans l’appareil urinaire de la femme, avant de monter pour s’enfoncer dans sa bouche.

*Oh, je vois...*

Des vibrations jaillirent alors de l’appareil, notamment à hauteur du ventre de la femme, stimulant le rein gauche, qui était, au niveau anatomique, à la base du fonctionnement urinaire. La vessie de Rachele se remplit ensuite. On estimait, en moyenne, que le besoin d’uriner se faisait ressentir chez une personne quand la vessie se remplissait à 250 mL. Et là, sur les écrans, Alexandre pouvait voir une jauge se remplir considérablement, correspondant au taux de liquide contenu dans la vessie de Rachele. Même si elle avait beau résister, elle ne pouvait pas lutter, car la machine continuait à la presser. Toute cette eau devait bien ressortir... Ce qui se passa donc.

Rachele finit par pisser, et l’urine fut aspiré dans le tentacule, remonta le long de ce dernier, et entra dans sa bouche. Alexandre esquissa un sourire cruel, et s’écarta de la machine, puis se rapprocha de sa proie. Le casque virtuel sur sa tête lui fut retiré, et son regard croisa le sien.

« Tu aimes ça, ma salope ? Ce n’est que le début... Tu as dû beaucoup t’amuser sur cette machine, sale pute... »

Elle continuait à boire l’urine qu’elle sécrétait, et, comme elle ingérait ce qu’elle recrachait, elle était dans un véritable cercle vicieux. Alexandre récupéra le casque, et actionna la vidéo liée au protocole « Slut ».

« Je te laisse, je vais me changer... Et préparer ta nouvelle tenue... »

Pour qu’elle ne s’ennuie pas, il lui remit le casque sur la tête. C’était un film porno particulièrement hard, sur une femme qui se faisait sexuellement torturer. Alexandre, lui, entreprit d’enlever le sang qu’il y avait sur son corps, puis ouvrit un placard, et enfila puis sourit en voyant les tenues qu’il comptait utiliser pour sortir : une combinaison moulante intégrale en latex pour lui, et pareille pour Rachele... Si ce n’est qu’il s’agissait d’une horse suit.

Alexandre entreprit donc d’enfiler sa combinaison, ce qui prit bien de nombreuses minutes, minutes pendant lesquelles Rachele continuait à être torturée par la machine. Alexandre la stoppa ensuite, et, pour s’assurer de pouvoir l’habiller plus simplement, déclencha le programme « Temporary Lobotomy ». Tout ce qu’il voulait était la mettre groggy pendant quelques minutes, le temps de l’habiller, et de pouvoir sortir d’ici.

Il aurait pu tout simplement partir d’ici, mais Alexandre avait bien des projets pour cette femme... Des projets qui nécessitaient de l’emmener en lieu sûr.

Le vampire enclencha donc le dernier programme, et la machine se mit à bourdonner de nouveau...
DC d’Alice Korvander.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]

Réponse 14 lundi 27 mars 2017, 21:35:26

Le premier protocole s'arrête enfin après qu'il ai forcé la belle insoumise à produire deux litres de lait proprement conservés dans de grands tubes qui hornent désormais le flan de la machine. Enfin libérée de ce cicle infernal, Rachele les yeux écarquillés par l'incrédulité les degarde avec horreur, réalisant que cela vient d'elle, et que le temps lui est désormais compté. Elle doit se libérer de cet embrillon génétiquement modifié ou il se sera devellopé en un mois comme un enfant normal en sept ! Et elle refuse cette idée, elle refuse l'idée d'etre une simple femelle enceinte, une génisse ou une jument qui attend son maitre pour mettre bas dans la douleur et l'abêtissement provoqué par l'enfantement.

Son attention est alors capté par le bruit des doigts d'Alexandre qui parcourent à nouveau la console. Elle se tourne alors vers lui empressement pour lui crier d'arrêter, mais un nouveau tuyaux s'enfonce dans sa bouche.

- Mmmmmm ! MMMMMM !

Elle essai de gémir le plus fort possible pour attirer son attention, pour lui faire comprendre qu'il doit la laisser parler. Elle doit lui dire, le supplier, lui expliquer que les protocoles sont dangereux et peuvent rendre folle ! L'utilisation d'un second protocole juste après le premier peu provoquer de graves dommages cérébraux et psychique quand un troisième peut les rendre permanent, elle doit le lui dire.
Mais rien n'y fait et un nouveau liquide commence à inonder son estomac et le distandre, lui arrachant un gémissement hachuré de pleurs de désarroi. Les fourmillements reprennent dans son bas ventre et le gout hapre et répugnant de l'urine remonte vers sa gorge et ses narines tans son estomac en est rempli.

En regardant l'intérieur du casque, Alexandre remarque que le film porno qui tourne n'en est pas vraiment un avec un début un milieux une fin. Il s'agit plutôt de scènes flash d'une pornographie sado-masochiste et d'une rapidité extrême que seul son esprit vampirique ascéré permet de suivre totalement d'un seul coup. Entrecoupés d'images colorées et aux formes géométriques insupportables même pour son regard. Le tout appuyé par des messages subliminaux d'une violence inouie et des mots brefs comme "pute" "slut" "obeit" "salope" "tu n'as pas de nom" "tu n'es personne" etc etc...

En posant les doigts sur le rebord, là où se trouve le front et les tempes de la victime, le vampire sent une étrange douleur élèctrique parcourir sa main, il comprend qu'un courant passe à cet endroit clef pour stimuler, altérer ou détruire des zones particuliaires du cerveau comme la mémoire ou la personnalité.

Quand il le repose sur le visage de Rachele, elle reconnait le programme en cours et se débat de plus belle. Elle ne peut pas hurler à cause de ses déglutitions incessantes, mais elle essai quand même pour qu'il arrête tout avant qu'il ne soit trop tard pour elle. Mais il c'est déjà éloigné d'elle et se moque de ses gesticulations. Un nouveau gout se mêle à celui de l'urine et Rachele sait qu'il est trop tard. La machine l'abreuve désormais d'hormones de synthèse qui font litéralement exploser sa libido et provoquent des mutations sexuelles. Sous les yeux du vampire, les lèvres, bucales comme vaginales, de la prisonnière commencent à gonfler, à rougir et à s'épaissir pendant que son mont de vénus se libère de lui-même de sa gangue de chaire pour venir troner fierement au dessus de sa vulve. Ses seins, déjà beau et de bonne taille, grossissent à leur tour, l'auréole de ses tétons s'étend comme l'ombre d'un arbre et ses tétons se gorgent de sang au point de noircir.


" Non... je... non... je... suis... Rachele je... je dois résister... non je... je veux.... je veux baiser... non... pas ça, je... ha sexe... non... je suis..."

Désespérée et a bout de force, l'esprit et le corp ravagé par l'envie de ce faire baiser, Rachele ne parvient plus à lutter contre les suggestions du masque posé sur ses yeux et qui abreuve son esprit d'images pornographiques. Le bouclier de sa volonté craque et sa psychée s'ouvre tout entiere au lavage.

"Ha... bite... baiser... veux... bite... baiser... baiser... sexe... queue..."

Les élèctrochocs parcourent sa matière grise et stimulent sa mémoire pour la forcer à enmagaziner tout ce qu'elle voit entend et ressent d'un seul coup. Alexandre remarque un changement dans le comportement de la belle, elle à arrêté progressivement de se débattre, est resté prostré quelques instants, et commence maintenant à gémir comme une chienne en chaleur et à frotter son cul contre la machine dans l'espoir qu'un nouveau god reviendra la défoncer. Le programme slut à comme son nom l'indique, pour fonction de transformer sa victime en salope nymphomane.

Quand il revient enfin vêtu comme il le désir, les mouvements de la belle sont devenu plus frénétiques, l'esprit surchauffé cherchant follement à trouver un moyen de jouir.

Le casque se retire, Alexandre remarque que si la Rachele qu'il a rencontré est toujours bel et bien la, elle est désormais dévorée par la nymphomanie et ne parvient plus à maitriser ses pulsions.
Quand il actionne le dernier protocole, il lui porte le coup de grace et en voyant le choix qu'il à fait, elle lui lance un regard terrorisé.  Un arceau d'acier s'enroule autour de son front et l'empèche de bouger.
Le vampire entend un grand "TCHAK" quand une sonde minuscule s'enfonce au sommet du crâne de Rachele. L'oeil gauche de la belle roule dans son orbite pendant que le droit part vers la droite, sa bouche s'ouvre à moitié et un mince filet de salive se met à couler le long de sa lèvre. Au moniteur, Alexandre regarde la sonde s'enfoncer dans la matière grise de la jeune femme, sectionner le noeud corticale, la transformant en esclave décérébrée et ressortir en laissant au passage une petite puce élèctronique qui compensera désormais les effets de la chirurgie.

Quand il la libère, la "chose" Rachele est très calme, elle respire lentement et regarde dans le vague, les yeux mis clos et la bouche toujours entrouverte. Quand il lui ordonne de se laisser faire pendant qu'il l'habile, elle le laisse faire en fixant devant elle le mur nu de la cave. Une fois totalement vêtu, il s'empare du petit boitier de télécommande qui contrôle désormais l'implant de Rachele, libre de la faire passer de l'état de conscience à celui de zombi...


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