Malgré toute ses rétissances le vampire parvient à la traîner par le cou jusqu'à l'intérieur. Rachele a si peur qu'elle entend à peine les remarques des deux esclaves du maître des lieux. Tout ce qu'elle espère, c'est de ne jamais les revoir, et si ce devait être le cas... qu'elle ne les considère pas alors comme des sœurs... Elle chasse une fois de plus l'image d'épouvante qu'elle s'est construite autour d'elles. Cette image d'elle-même, masquée à son tour, buvant fébrilement les sécrétions de son maître en se tenant comme une petite chienne folle de bonheur.
La porte se referme derrière elle, la plongeant dans les ténèbres. Des bruits de gémissements étouffés, de vrombissements de machines et de cliquetis de chaîne résonne dans l'obscurité et assaillent l'imagination de la jeune femme. Elle sent l'odeur de la transpiration, elle sent l'odeur d'un animal, elle sent l'odeur du foutre, du plastique surchauffé, et du lubrifiant.
Après de longues secondes d'un suspens presque théâtral, Alex décide enfin de rompre le mystère en pressant l'interrupteur. La lumière se déverse dans la pièce, deux superbes molosses, puissants et fougueux se jettent contre leur cage et aboient vers leur maître. Rachele sursaute et pousse un gémissement de terreur, incapable de hurler au travers de gag-ball. Elle recule sur ses genou pour s'éloigner d'eux, la peur au ventre et les yeux exorbités par l'horreur. Elle voit leur muscles saillant et leur regard vif d’intérêt se braquer sur elle, elle voit leur bave écumer au coin de leurs babines. Elle les voit renifler son odeur et s'exciter de sentir ses phéromones sexuelles et féminines. Leur pénis gonflent et sortir de leur fourreau, instantanément prêt à la prendre. A ce comportement instinctif, Rachele comprend avec répugnance qu'ils ont l'habitude de se faire offrir des servantes humaines.
Jamais ! Je préfère mourir ! Mourir !Crit elle intérieurement, son esprit le hurle si fort que l'esprit du vampire en capte chaque mots, chaque intonation, chaque résolution. Il comprend que malgré toutes les horreurs qu'elle a pu elle même faire à ses propres esclaves pour les briser, elle n'a jamais pratiquée la zoophilie. La jeune femme est donc totalement novice sur ce fait... ce qui peut donc représenter une arme efficace contre elle.
-Non, non, non Rachele... Eux aussi auront droit à ma chienne, mais, pour l'heure, c'est eux que tu devras contenter...Quand les yeux de la belle prisonnière se posent sur les deux rangées de mâles harnachés à leurs machines, elle en oublie d’analyser le sous entendu que le vampire vient de lui faire sur les chiens. Elle reconnait ces machines, elle les reconnait très bien, elle les reconnait parce qu'elle en fait elle-même usage au plus profond de l'Azylum...
Dans un flash, elle revoit en souvenir ses propres machines, fraîchement acheté aux Tekhannes, calibrées differament pour soumettre des femmes plutôt que des hommes mais le principe est le même.
Attention image explicite:
Stimulation sexuelle et cérébrale permanente, lavage de cerveau, drogue, hypnose, thérapie hormonale de choc. Aucun esprit, aussi fort soit il n'y résiste. Rachele elle même n'y résisterait probablement pas, peut être résisterait elle longtemps, mais elle finirait par craquer aussi et devenir folle de sexe. Ça avait failli être le cas quand Alexandre l'avait capturé dans un sous-sol du Rachele'S Club et l'avait branché sur une de ses propres machines pour la punir. Heureusement, il n'avait pas continué avec. Elle aurait sans doute eu beaucoup plus de mal à lui résister si il avait commencé par lui infliger ça pendant quelques jours ou quelques semaines.
Rachele en frissonne, une fois de plus l'image du flash lui revient si fort que le vieux vampire la voit lui-même dans son esprit ainsi que toutes les craintes et les conjectures de la mafieuse à ce sujet.
Pour l'heure il n'en dit mot et se contente de lui déchire qui sont les hommes ainsi torturés. Ce sont les pires rebuts de l'humanité, des porcs répugnants et idiots. En les regardant et en écoutant le vampire parler d'eux, elle renifle de dégoût et les toise avec mépris sous l’œil sans doute amusé du vampire.
Ils sont de tout type, de toute corpulence et de tout âges mais le traitement hormonale les a tous rendu massif et puissant, même celui qui semble vieux.
-Je vais les libérer, et ils vont jouer avec toi.En entendant ces mots, Rachele se met à hurler dans son bâillon, elle prend la jambe du vampire entre ses bras et lui jette un regard suppliant et faisant "non" de la tête. Mais celui-ci l'ignore et se dégage sans le moindre souci. Il s'avance vers le panneau de commande et les libères. Quand il se retourne la belle rebelle est recroquevillée contre la porte et cache maladroitement ses seins avec un de ses avants bras, et son entre-jambe de l'autre main. En cette instant, elle est d'une beauté et d'une fragilité alarmante et sincère, naturelle, animale.
Les "mâles" se redressent maladroitement et se tourne telle des machines vers le coin d'ombre de la pièce ou se cache Rachele, humant l'air comme des animaux pour trouver la provenance de ce parfum de femme. Leurs sexes et leurs testicules, gonflées de testostérones et de divers mutagènes d'origine bestial, peut être même formienne, sont devenu énormes, violacé et couvert de veines palpitantes.
Quand le vampire lui retire le bâillon, Rachele s'agrippe à nouveau à sa jambe.
-Non ! Ne faite pas ça je vous en supplie ! Ils... Ils vont me tuer... pitié...Trahie par le son de sa voix, les mâles se rapprochent d'elle d'un pas trainant, comme des zombi assoifés de sexe et nom de chaire humaine.
Pour toute réponse, le vampire lui embrasse la joue, se dégage, ouvre la porte et lui dit qu'elle va devoir survivre une nuit entière avec ces bêtes sauvages et folles. La porte se referme.
-Non... attendez...-Baiser.... baiser...Elle se retourne et se dresse sur ses pieds, dos au mur, elle le rase en reculant vers un autre angle de la pièce pour leur échapper.
-Attendez... je... je peu vous aider... on peut tous s'enfuir de cet enfer... par pitié... reprenez vous...Elle recule encore jusqu'à ce que l'angle la bloque et qu'il ne lui reste plus aucune direction de fuite. Elle se recroqueville comme un petit animal blessé en cachant désespérément son sexe et ses seins derrières ses petits membres bien dérisoire.
-Non... non... pitié...Comme dans un cauchemar de petite fille, leurs silhouettes massives la surplombe et leurs innombrables mains tombent lentement vers elle pour l'agripper.
-NAAAAAN !Face à douze paires de bras chargés d'hormones de croissance et de stéroïdes, la force de la belle gangster et ses aptitudes au combat sont bien dérisoire. Leurs doigts se posent partout sur elle, ils l'agrippent aux bras, par la chevelure, par les jambes les pieds, le bassin. Lentement et méthodiquement, il la soulève comme une poupée de tissu et la ramène vers le centre de la pièce, là ils pourront tous profiter d'elle en même temps.
Rachele se débat, hurle, mord, donne des coups de poings et de pieds, mais à chaque fois la poigne conjuguée de tout ces mâles en rûte la maîtrise et accompagne ses mouvements pour les canaliser. Telle un papillon de nuit pris dans une toile d'araignée, elle s'épuise de plus en plus en lutant pour survivre.
Sans attendre qu'elle soit vaincue ou épuisée, les hommes-bête commencent déjà à la gouter...
Leurs bouches avides et baveuses se referment sur ses seins pour les mordre et les sucer. Ils le font si violemment qu'ils lui laissent des marques de dent ou lui tire du lait à cause de la thérapie hormonale qu'elle à elle-même subit quand Dowell l'a capturée.
-Haaaaaaaa ! Naaaaaan...Soupire t'elle en haletant, le souffle cours alors que la douleur et le plaisir la font chavirer et brulent ses dernières forces.
Ceux qui n'ont pas de place pour profiter de sa poitrine se rabattent sur ses bras, ses mains, ses pieds pour les lécher et les sucer avidement, provoquant en elle de nouvelles vagues de sensations contradictoires et perverses qui l'horrifient.
Une main brutale brise la boucle de sa ceinture et la lui arrache lentement, extirpant les gods fichés dans son cul et sa chatte. Rachele pousse un long gémissement de soulagement qui lui brise les reins et le souffle.
-Haaaaaaaaaa ! Elle se relâche l'espace d'une seconde pour reprendre son souffle, immédiatement elle en est punie. Les mâles profitent de ce moment de faiblesse pour lui écarter les jambes... une tête se fraie alors un passage entre ses cuisses.
-Nan pas ç...Une bouche se referme sur la sienne et des mains sur sa gorge pour l’empêcher de parler ou de se débattre. Prisonnière d'un baiser gras et libidineux, elle ne peut que ressentir avec répugnance d'autres lèvres se refermer sur sa vulve et une langue énorme se mettre à la lui rapper violemment.
-Mmmmnnn !Gémit elle en se convulsant, refusant encore et toujours le destin que le vampire lui réserve. A mesure qu'elle se fait lécher et mordre de toute pare, elle sent un plaisir malsaint et répugnant monter en elle, et elle le refuse de toute son âme.
Un autre visage passe entre les deux ravissantes courbures de ses fessier pour les écarter et une dernière paire de lèvres se posent sur son anus. Une nouvelle langue commence alors à lui humecter les plis du lotus avant de profiter de cette brève lubrification pour s'y enfoncer de plus en plus profondement.
Rachele perd peu à peu le contrôle de son corps et de ses désirs, sa nymphomanie, réveillée par le vampire, recommence à faire vibrer son corps et les assauts de tout ces mâles conjugués la font chavirer.
A mesure qu'elle cesse de se débattre, les mains des hommes-bêtes migrent vers leur propres queues qu'ils commencent à luster. Quand le baiser du violeur cesse enfin, Rachelle ne trouve plus la force de crier, elle se contente d'ouvrir grand la bouche pour reprendre sa respiration comme si elle venait de surgir de l'eau. Les yeux à moitiés révulsé par ce subtile mélange d’asphyxie, d'horreur et de plaisir confondus, elle voit une armée de sexes se dresser autour d'elle pour la baiser sauvagement.
Attention contenu explicite:
Prise dans un véritable maelström de chaire, de sang et de sexe, Rachele est perdue, elle ne sait plus où est le sol, où sont les murs, combien sont ses assaillants. Entourée de cette trempette de mains, de visages et de bites dressée, elle sombre inexorablement jusqu'à ne plus voir que leurs corps horriblement torturé et déformés par les hormones.
- Ha ! ha... mon dieu je... non je...Celui qui lui lèche la vulve avec bestialité est soudain récompensé de leur assiduité combinée. Son visage et sa bouche deviennent le réceptacle de la cyprine de Rachele qui, rouge de honte, jouit d'un seul coup. Totalement perdue, elle ne parvient plus à savoir quand cette journée a commencé et combien de fois elle a déjà jouis. Terrifiée par ce qu'elle est en train de redevenir, elle se met à pleurer de désespoir.
Mais cela n'attendri pas un seul instant les hommes bêtes. Celui qui vient de recevoir sa mouille en plein visage, surexcité par la réaction de la jeune femme, pousse un cris guttural de victoire. Rachele le regarde avec répugnance tans sa posture et son comportement lui donne l'impression de ce faire violer par un gorille.
Comme une poupée sexuelle dernier cris, il la manipule de nouveau sans ménagement ni douceur. Il se dresse entre ses jambes, plaque son sexe contre le sien, empoigne ses seins fermement et se laisse basculer sur le dos. Déstabilisée par cette manœuvre habile et rapide, Rachele réalise trop tard qu'elle est maintenant à terre, assise à califourchon sur le mâle qui lui agrippe toujours les seins pour la tenir dans cette position.
Le cercle se referme à nouveau autour d'elle. Un autre mâle vient se positionner derrière elle et appui son gland sur le trou encore entrouvert de son anus déformé par le god et la langue du prisonnier. Pendant ce temps, celui allongé sous elle cherche l'entrée de sa chatte en donnant de petits coups de queue contre sa vulve trempée.
Elle tourne vivement la tête pour protester mais un autre homme lui attrape le visage de ses doigts puissants et presse sa mâchoire pour l'obliger à ouvrir la bouche. De douleur, elle craque et l'ouvre grand pour avaler son sexe tout entier.
Maîtrisée de toute pare, totalement prisonnière de cette toile de chaire humaine, elle ne peut plus empêcher l'inéluctable. Le regard terrifié et suppliant, la bouche prise jusqu'à la gorge, elle commence à pousser un long grognement d'horreur et de plaisir en sentant ses deux violeurs s'enfoncer en elle en même temps.
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Ils commencent à coulisser en elle de plus en plus vite, de plus en plus fort, lui arrachant coups après coups de nouveaux orgasmes de plus en plus violent. Quand le premier jouit enfin dans sa bouche, il se libère pour pouvoir inonder le visage de Rachele de sa semence chaude et gluante. La pauvre esclave ferme les yeux pour ne pas voir ça.
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Quelques instants plus tard, ce sont les deux autres qu'elle sent venir. Ils la remplissent de longues rasades de foutre qui ne semblent jamais s'arrêter. A chaque cou de queue, Rachele sautille sur ses genou avec surprise alors que son ventre et son cul commencent à se dilater.
Mais alors qu'elle crois que son calvaire est enfin fini, les trois autres mâles se jettent à leur tour sur elle.
-Nan... nan... je n'en peu plus stop... je gllll...Une nouvelle bite, aussi dure et grosse que la précédente recommence à la fourrer jusqu'au fond de la gorge. Les autres en profitent pour se glisser sous elle et sur elle pour continuer de la baiser et de la sodomiser sans interruption.
Le calvaire continue ainsi, encore et encore, minutes après minutes, heures après heures, a chaque fois que les suivants jouissent, les précédant à nouveau en rûte les remplacent et recommencent encore et encore.
Parfois, certains sentent l'envie revenir plus tot, alors que les autres n'ont pas fini. Ils se contorsionnent alors pour forcer la jeune femme à prendre leur bites turgescente en plus des autres, lui faisant découvrir dans la douleur la double pénétration parfois par l'anus, parfois par la vulve.
Porté au delà de ce que son corps peut supporter, Rachele ne trouve hélas jamais le réconfort dans la mort ou la perte de connaissance, le sang du vampire la protège. Si bien qu'a force de ce faire baiser non stop pendant de si longues heures, elle en vient à ne plus avoir de mouille pour se lubrifier, ses violeurs, à ne plus avoir de salive pour enduire leurs épées...
Ils continuent quand même... arrachant à la pauvre esclave de plus en plus de douleur et de moins en moins de plaisir à mesure qu'elle sent sa vulve et son cul gonfler à causes des micro blessures qu'ils lui infligent.
--- Le lendemain ---
Quand le vampire décide de revenir le lendemain et qu'il ouvre la porte, il assiste à un spectacle aussi cruel qu'excitant.
Quatre des hommes-bête gisent en divers endroit de la pièce, couvert de sperme et de cyprine sèche. Les deux autres, les plus puissants, les plus jeunes, et les mieux membrés, ont visiblement ramassé le gag-ball pour étouffer les hurlements de douleur de Rachele pendant qu'ils continuent de lui labourer le cul et la chatte.
Le premier est allongé sur le dos et tient entre ses bras ceux de Rachele, elle même allongée sur lui, sur le dos, il la sodomise lentement et brutalement. L'autre se tient au dessus d'elle et lui tient fermement les hanches pour mieux s'enfoncer au plus profond de son vagin et frapper aux portes de son utérus.
Rachele est au supplice. Incapable d'échapper à la torture, elle pousse de longs grognements de douleur du fond de la gorge à chaque fois qu'ils poussent en elle, le corps totalement arc-boutée par la souffrance. Le visage couvert de larmes de souffrance et de désespoir coulent de ses yeux fermés et plissé à l'extrême sous l'effort.
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Le vampire remarque que sa vulve à gonflé et est devenue énorme, son clitoris trône comme une mure monstrueuse au dessus, pendant que la queue du violeur utilise les quelques gouttelettes de sang qui coule de sa chatte pour se lubrifier et continuer le supplice.