MÉLINDA WARREN
Ariman expliqua être l’intermédiaire d’un royaume inconnu dirigé par un certain Akon. Mélinda n’avait jamais entendu parler de ce royaume. D’un autre côté, il fallait dire que le cœur d’Ashnard et Seikusu restaient les principaux centres d’intérêt de la femme vampirique. Tout le reste lui apparaissait comme secondaire, parce qu’elle n’y avait aucune influence... Mais, maintenant qu’elle avait un clan vampirique en pleine expansion, et qu’elle avait des billes dans la vallée d’Ancarla, et qu’elle avait après tout participé à l’organisation de ce bal, elle allait sans doute devoir se renseigner. En la matière, le mieux restait de demander à Samara ce que les services de renseignement impériaux connaissaient sur Akon. En tout cas, c’était apparemment un royaume hostile, proche des Dieux du Chaos. Enfin, il faudrait encore s’en assurer. À Ashnard, la liberté de culte était assez forte, de sorte que même certains Dieux Noirs pouvaient être vénérés. Akon semblait en tout cas être un individu, si ce n’est pacifique, au moins
neutre, qui voulait s’allier avec Ancarla, afin d’obtenir ses minerais, en échange de la nourriture qu’il pouvait fournir.
*
Il doit donc se trouver dans les plaines...*
Un potentiel client pour elle ? Pour son clan ? Elle l’entendit ensuite parler de la «
princesse Sélène », ce qui l’interpella. Vu la description qu’il en faisait... Car Mélinda connaissait une Sélène. Une Sélène qu’elle avait connu par l’intermédiaire d’Alice. Une fois, la Horde des Amazones était venue à Sylvandell pour solliciter l’aide du royaume. Alice avait à cette occasion rencontré la Reine Andromaque et sa puissante fille, Sélène, et avait passé avec elles une nuit intense. Par la suite, plusieurs Amazones étaient venues à son harem, et Mélinda avait pu constater par elle-même que la réputation de ces diablesses n’était pas exagérée. Elles avaient confirmé que Sélène était leur Princesse.
Se pouvait-il donc qu’Ariman ait connu
cette Sélène ? Curieuse, la vampire allait lui poser la question quand elle sentit Karuta et Vanillia jouir. Elle sourit alors en les observant, mais perçut également une étrange lueur violette s’échapper du corps de la servante, venant enflammer légèrement les sens de la vampire.
*
Qu’est-ce que... ?*
Assez troublée, elle observa la belle maid, flamboyante dans sa
catsuit, qui se reposait contre le corps de sa femme, en réalisant que Karuta était visiblement dotée de capacités très particulières. Comme quoi, il y avait vraiment des femmes fascinantes ici. En tout cas, la timide Karuta semblait bien loin, puisqu’elle se mit à pivoter sur place, et, tout en s’appuyant sur les genoux de Vanillia, se courba en arrière, relevant ses fesses. La vampire sourit alors, et leva ses mains, venant masser le délicieux cul de Karuta. Voir cette femme danser sur elle n’avait pas manqué d’exciter furieusement Vanillia, lui offrant un spectacle exceptionnel.
«
Je dis que ton cul est magnifique, oui, Karuta... Si tu allais le présenter à ma femme ? Je l’ai déjà exploré, après tout... »
En fait, les deux l’avaient déjà bien exploré, mais il fallait savoir partager. Mélinda sourit donc, et vit Karuta se rapprocher d’elle. La jeune chatte grimpa sur le corps de Mélinda, qui l’embrassa tendrement, venant tripoter au passage son corps, posant sa main sur ses fesses. La verge de Mélinda se réveilla ensuite, et elle écarta sa robe, tirant sur celle-ci pour permettre à son membre de se trouver à l’air libre.
«
Tourne-toi vers ma femme, ma choupette, montre-lui combien tu aimes avoir une grosse bite dans le cul... »
Mélinda tenait Karuta par la laisse rattachée à son collier, l’évitant ainsi de tomber, et soupira pendant quelques instants en sentant sa queue se heurter au cul serré de Karuta. Les canines de Mélinda pointèrent même pendant quelques secondes, le temps qu’elle s’habitue à ce membre. Elle soupira encore, puis se dandina sur place, avant de regarder encore Ariman.
«
A-Akon, hein... ? Et... Hmmm... Si vous m’en disiez plus sur ce royaume, sire Ariman... ? »
Visiblement, c’était pour Mélinda une habitude de mélanger sexe et discussion.
MIRANDA FORGE
Le moins qu’on puisse dire, c’est que Sharlie était à la hauteur de sa réputation. Une véritable merveille ! Elle bourra furieusement Miranda, terminant sa séance en jouissant très copieusement, tant
en elle, que
sur elle. Elle apposa signature sur le corps de Miranda, qui s’étala sur le lit, le souffle court, les yeux dans le vague, le sperme dégoulinant sur tout son corps. Sharlie termina son office en jouissant sur son corps, balançant d’ultimes chapelets de foutre, venant éclabousser les seins et le visage de la PDG. Il fallut bien à Miranda plusieurs longues secondes pour commencer à retrouver ses sens, et l’usage de son corps.
«
Oh, damn... »
Elle se redressa lentement, incapable de se relever, mais au moins de pouvoir regarder Sharlie. Jambes écartées, Miranda était dans un état déplorable, fort peu élégant.
«
La vache... Ne m’en veux pas, Sharlie, mais j’ai tout filmé avec mes lunettes. L’intensité de tes coups de reins, cette projection de sperme. Je crois que tu jutes et que tu bandes encore plus fort que les Minotaures... »
Miranda le disait sous réserve d’une analyse en laboratoire. À Tekhos, le sexe était pris très au sérieux, et tout était étudié, analysé, décortiqué. Pour concevoir Sharlie, les scientifiques de GWC avaient utilisé quantité de croisements génétiques. C’était un vaste programme, ambitieux, utilisant de multiples cobayes, notamment des Terranides costauds. Les Minotaures, les Terranide-ours, etc... Reprenant ses esprits davantage, Miranda se redressa, et marcha à quatre pattes, rejoignant le corps de Sharlie. Elle posa une main sur l’un de ses biceps, et se lova contre elle, provoquant des claquements spongieux, le sperme de Sharlie se déposant sur son corps.
La belle blonde embrassa sa créature sur les lèvres, et se frotta un peu contre sa queue.
«
Tu sais, je n’ai pas voulu te perdre, Sharlie... Nous n’avons jamais réussi à recréer quelqu’un comme toi, tu es une vraie merveille. Tous nos essais ont échoué. Généralement, nous aboutissions à des femmes complètement folles, incapables de se retenir, de se contrôler, des bêtes plutôt que des femmes. Mais toi, tu as l’appétit et l’énergie sexuelle d’un régiment de nymphomanes, tout en parvenant à rester calme et maîtresse de toi. J’ignore comment cela est possible... Mais c’est magnifique. »
Nouveau baiser de Miranda.
«
Bref, je... Je serais sincèrement ravie que tu acceptes de revenir plus régulièrement auprès de moi, Sharlie. Je ne veux pas m’en prendre à ton indépendance, bien sûr, mais... Tu n’imagines pas l’intérêt que tu représentes pour la science, ma chérie. »
La PDG reprit son souffle. Elle était en sueur, et il n’était pas donné à tout le monde de pouvoir mettre Miranda en sueur, sexuellement parlant.
«
Et puis... J’adore que tu me défonces le cul. »
ALICE KORVANDER
La belle blonde était magnifique, et Alice s’amusait beaucoup de son désarroi, de son émoi. C’était un comportement inhabituel, et, somme toute, très excitant. Elle contrôlait cette belle guerrière, tout en ayant appris que la caravane dans laquelle Anna-Marie travaillait était visiblement interdite aux mineurs. Couchée sous elle, la guerrière déglutissait, confuse. Alice, de son côté, se flattait elle-même du contrôle qu’elle avait sur la situation. Elle dominait sa partenaire, elle contrôlait son corps, ses émotions, ainsi que ceux d’Anna-Marie. Se pinçant doucement les lèvres, elle réfléchit sur la suite, et prit ensuite une posture très féline.
Anna-Marie était maintenant couchée sur le dos, et Alice croisa les bras en les posant sur sa poitrine, observant la femme. Qui aurait cru que la jeune et timide Princesse puisse se transformer en cette joueuse, dominatrice et sensuelle femme ? C’était une véritable inversion des rôles ! Somme toute, c’était peut-être aussi pour ça qu’elle appréciait tant la situation. Voir cette guerrière confuse et timide, ça lui rappelait celle qu’elle avait été il y a quelques années.
«
Hmmm... »
Elle l’observa encore, et sourit de nouveau.
«
Allons-y ! »
Alice se redressa encore, puis retira ses vêtements. Sous les yeux d’Anna-Marie, elle se déshabilla, finissant nue, à l’exception de ses gants et de ses collants blancs. Elle avait pris l’habitude de les conserver, et ne les retirait que très rarement. Or, elle ne voyait ici aucune raison de les enlever. Elle se retourna ensuite, présentant son bassin à Anna-Marie, et se laissa tomber en avant, approchant ses lèvres de l’intimité de la femme. Ses mains tirèrent sur des pans d’armure, afin de faciliter l’accès de ses lèvres à son intimité.
La guerrière avait sans aucun doute déjà dû entendre parler de cette position, car, tandis que la bouche d’Alice s’approchait du sexe de la femme, son propre bourgeon intime, trempé, s’approcha du visage de la guerrière, et s’abattit sur son visage. Un plaisir partagé allait les unir, exactement comme Alice le voulait !