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Le bal des Poupées

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Evangeline et Echo

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  • FicheChalant

    Description
    Evangeline : La Maitresse des poupées, dirige la vallée indépendante d’Ancarla. 
    Sorcière transformant les gens en poupée pour en faire ses serviteurs.
    
    Echo : Servante principale d’Evangeline, elle lui ressemble  physiquement, mais en plus jeune. Ne montre aucune émotion et n’a pas d’âme.

Re : Le bal des Poupées

Réponse 105 mercredi 04 juillet 2018, 17:48:03


Chambre d’Alice

Anna marie se retrouvait dans une situation qu’elle n’aurait jamais imaginé. Surtout qu’elle savait que sa Princesse aurait surement apprécier d’être à la place de celle-ci. La situation lui échappait totalement attacher à se lit et après avoir accepté de coucher avec une princesse pour avoir une autorisation pour la sienne. Non jamais elle n’aurait cru faire ça un jour.

La princesse Korvander décida d’avancer un peu tout ça et viens se place au-dessus d’elle mais d’une façon bien particulière. Elle venait de caler son intimité sur son visage, alors qu’a l’inverse la princesse approchait de la sienne. Même si la guerrière n’était pas très pratiquante du sexe, elle comprit vite se qu’on attendait d’elle. De toute façon dans la position qu’elle était et avec les mains attachées au-dessus de sa tête il ne lui restait que sa langue. Elle hésita quand même un peu et fini par se lancé venant faire comme elle pouvait, passant sa langue sur ses lèvres…c’était une première pour elle, on ne lui avait même jamais fait. Alors forcément elle ne savait pas s’y prendre.



La grande Salle

Evangeline avait donc fait préparer le corps qui avait servie de réceptacle à la folie à la cuisine. En cuisine, personne ne serait vraiment choquer. La Maitresse avait reçu des vampires qui réclamais du sang, il y avait des visiteurs avec des animaux particulier et des être étrange. De toute façon le manoir était après tout le domaine d’une Prêtresse de la folie.

La Maitresse des Poupées fit son retour aux prés de ses invitées tout en surveillant qu’aucun incident n’était à prévoir. Tout le monde semblait occupé. Elle remarqua plus loin que son petit chaton avait trouvé à faire avec Mélinda se qui la fit sourire. Elle lui faisait confiance pour faire les choses comme il faut. Evangeline se lança donc à la recherche de Samara. Elle c’était promise de discuté plus sérieusement avec elle.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le bal des Poupées

Réponse 106 vendredi 06 juillet 2018, 08:32:55

MÉLINDA WARREN


On aurait presque pu croire qu’il y avait deux Mélinda : une qui conversait tranquillement avec Ariman d’Akon et du Chaos, et l’autre qui était occupée à remuer sa verge dans la rondelle de Karuta, à sentir le sperme chaud de sa femme dans le corps de la jeune servante. Pourtant, c’était bien la même vampire. Ariman, en un sens, avait raison de ne pas sous-estimer la femme, car Mélinda avait des appuis. Et, même sans ça, historiquement, elle appartenait à une grande maison ashnardienne. Les Warren avaient jadis été des nobles puissants, qui avaient tout perdu lors de la guerre civile, en restant loyalistes jusqu’à la fin au Roi Cramoisi. Après la chute de leur maison, Mélinda était la dernière Warren, et avait entamé la reconstruction de sa maison en fondant un clan vampirique. Parmi ses contacts, il y avait des individus puissants, et même divins, puisqu’elle avait suivi une formation au sein d’un Temple de Lust. Là, elle y avait appris à améliorer sensiblement ses talents sexuels, et c’était d’ailleurs en raison de cette formation, mais aussi de son expérience colossale en la matière, qu’elle pouvait faire l’amour à une jeune femme, tout en parlant avec Ariman.

La petite Karuta couinait donc en dansant sur ses cuisses, la verge de Mélinda remuant en elle. Quelques délicieux soupirs s’échappaient des lèvres de la vampire, dont la main s’était crispée sur le col de la laisse de Karuta, tandis que l’autre vint palper ses seins, n’hésitant pas à titiller les tétons. Ariman, de son côté, lui expliqua qu’Akon dirigeait une terre rétrocédée à Ariman par Ashnard. Évidemment, elle ne connaissait pas les détails, mais elle savait que l’Empire disposait d’un immense territoire, et s’amusait parfois à faire des concessions à certaines entités, en entourant cela de conditions spéciales. Le plus bel exemple qu’elle avait en tête était le territoire de la Déesse Sha, un bout de lopin infesté d’Orcs et de marais puants qui avaient été cédés à Sha. Celle-ci avait su instaurer son autorité, et avait bâti dessus un immense fort.

*Il est d’ailleurs surprenant que Sha ne soit pas là...* songea alors Mélinda.

Akon était donc un « modéré », qui était venu à Terra pour étudier la magie, et, comme Sha, avait su faire fructifier son territoire, de telle sorte qu’il y avait maintenant une opulence de nourriture.

« Je vois... Une surproduction, hmm... »

Elle se mordilla les lèvres pendant quelques secondes, fermant les yeux en sentant une vague de plaisir la traverser, une délicieuse pointe de chaleur qui remonta en elle. Ariman demanda ensuite de parler d’elle, mais, au même moment, Karuta se mit à jouir. Mélinda la laissa faire, sentant son sexe la tirailler. Sa queue restait toujours tendue, mais, soudain, au moment de l’orgasme de Karuta, Mélinda ressentit cette même énergie que tout à l’heure, et vit le corps de la femme s’illuminer de violet... Ce qui déclencha alors chez elle un orgasme.

« Que... Haaaa... !! »

Mélinda gémit en se mettant à jouir copieusement, crachant de multiples filaments de sperme dans le cul de Karuta, à sa grande surprise. Depuis sa formation à Lust, elle s’amusait justement à retenir ses orgasmes avec ses partenaires, pour les amener à se démener à lui faire l’amour. Mais là... Ça avait fusé !

*Cette énergie violette... Est-ce que c’est de la magie rose ?*

Karuta se reposa ensuite doucement, et Mélinda vint la serrer dans ses bras, déposant un baiser dans le creux de son cou.

« Bien sûr, ma chérie, ton petit cul est magnifique, tout comme le reste de ton corps... Et, comme vous le voyez, Sire Ariman, j’ai, moi aussi, en plus de ma femme, de  nombreux concubins. »

Elle maintint tendrement Karuta contre elle, lui faisant tout simplement un câlin, sa main sur l’arrière du crâne de la servante, l’amenant ainsi contre ses seins, après que cette dernière ait agité ses fesses devant elle.

« Pour le reste... Mon harem coûte en effet une petite fortune, mais c’est un prix qui est justifié par la qualité du service. Cependant, mes activités se sont diversifiées depuis la fondation de mon clan. Pour en revenir à votre ami Akon... Est-ce que vous êtes venus ici pour chercher un partenaire commercial ? Je connais bien des clients potentiels dans certaines régions arides ou montagneuses d’Ashnard qui seraient intéressés par ce que votre ami peut proposer... Comme Sylvandell, par exemple, ou encore Papua. »

Tout en parlant, elle embrassa le front de Karuta.

« Est-ce que le monsieur t’effraie toujours autant, Karuta ? demanda-t-elle d’une voix douce. Parce que moi, je sens qu’il aime aussi beaucoup voir Karuta faire la petite chienne en dandinant son joli petit cul. Tu vois... »

Il était notable de voir que Mélinda changeait de ton quand elle s’adressait à Karuta, prenant un ton plus bas et plus affectueux. Se rapprochant de l’oreille de Karuta, elle murmura ensuite :

« ...Il est en train de bander. »

Mais Mélinda n’oubliait pas que, initialement, la vue d’Ariman avait effrayé la jeune Karuta.

Peut-être était-ce l’occasion de les réconcilier l’un et l’autre ?



ALICE KORVANDER


Comme Anna-Marie était en train de le réaliser, Alice aimait beaucoup « jouer » avec ses partenaires. Sans avoir l’assurance et l’autorité de Mélinda, Alice s’inspirait quand même, inconsciemment, du comportement désinvolte et très assuré de son amie d’enfance et meilleure amie.  Et la situation actuelle l’excitait beaucoup trop pour qu’elle prenne ça à la légère. Après tout, elle avait enfin l’occasion de se venger de toutes ces femmes guerrières, comme Cirillia, qui prenaient plaisir à l’humilier, à la soumettre, à la fesser, à lui tirer les cheveux... Surtout qu’Alice aimait ça ! En réalité, la belle Princesse était polyvalente, appréciant aussi la soumission que l’inverse. Elle prenait même de plus en plus goût au fait de dominer les autres, même si elle n’était guère violente. Même dans la perversion, Alice restait cette Princesse empreinte de douceur et de sensiblerie, qui ne chercherait pas à profiter de sa situation pour abuser de l’autre, contrairement à Mélinda.

Sa langue partit donc à l’assaut du sexe d’Anna-Marie, glissant sur son bourgeon, qu’elle avait atteint en décollant doucement son armure. Elle sentit la langue de la guerrière venir sur son sexe, mais de manière assez maladroite, se contentant de lécher son intimité, glissant d’avant en arrière, lappant ses lèvres intimes, sans chercher véritablement à s’enfoncer en elle. Alice sourit doucement, et remua de gauche à droite.

« Tu ne sais pas t’y prendre, hein ? Mais c’est avec la pratique qu’on apprend ce genre de choses, Anna-Marie ! Lèche-moi bien ! Concentre-toi, ne panique pas... Applique ta langue en cherchant à forcer le passage, lèche mes lèvres intimes et plie ta langue pour t’enfoncer ! »

Heureusement pour elle, Alice avait débroussaillé le terrain, puisqu’elle s’épilait régulièrement. Elle sourit d’ailleurs en constatant que l’intimité d’Anna-Marie était également très propre.

« Et bien, tu t’entretiens, toi aussi, ma belle ! » la provoqua-t-elle doucement.

Alice la lécha ensuite intimement, à cet emplacement. Évidemment, elle avait l’usage de ses mains, elle, ce qui lui permit de les poser à droite et à gauche du sexe de la femme, les posant ensuite sur ses cuisses, et la lécha donc, enfonçant sa langue, sentant son bourgeon intime, qu’elle titilla de sa langue. Ce soir, la jeune Anna-Marie allait découvrir le plaisir du sexe, et Alice espérait bien que, par la suite, elle en devienne accroc !



SAMARA


Après sa rencontre avec Serenos, Samara avait continué à promener son corps à droite et à gauche, se mettant à chercher quelques amantes pour une pause intime. C’était souvent le propre des soirées ashnardiennes, où on mélangeait allégrement sexe, alcool, et politique. Un cocktail gagnant qui faisait tout le sel de ces longues fêtes, et, vu qu’Evangeline était proche des Ashnardiens, elle s’inspirait visiblement de cette coutume.

*Mélinda ayant participé à l’élaboration de cette soirée, l’inverse serait en réalité fort surprenant.*

Samara songeait encore à l’étonnante cérémonie à laquelle elle avait assisté quand, en longeant des balcons, elle croisa un couple de belles servantes dans des tenues de soubrette très légères.

« Oh... »

Le regard de la démone s’arrêta sur les deux femmes, qui se tenaient la main, et qui lui sourirent.

« Madame...
 -  Vous êtes perdues, Madame ?
 -  On peut dire que je l’étais, oui... Jusqu’à vous voir toutes les deux. »

Leur souriant tendrement, elle avança ses mains, et caressa leurs visages à chacune, les faisant sourire. L’une portait un bandeau noir sur les yeux, visiblement par jeu, ou peut-être y avait-il une autre raison derrière ? Samara n’avait pas encore trop compris le fonctionnement des poupées, ignorant par exemple si la transformation en poupée pouvait guérir des tares importantes antérieures.

« Nous sommes les Poupées de Maîtresse Evangeline... »

Deux sœurs à l’origine... Samara les observa silencieusement, bien consciente qu’avec de telles tenues, elles n’étaient pas là pour se contenter de fournir du champagne. Très rapidement, elle ceintura les deux femmes, et vint leur voler une série de baisers. Elles les câlinèrent donc, avant de sentir une présence reconnaissable dans son dos. Elle rompit alors les baisers, tout en maintenant les deux poupées contre elle, et tourna la tête vers Evangeline.

« Votre rituel est terminé, Evangeline ? » demanda-t-elle, suspicieuse.

Elle ne savait pas encore jusqu’à quel point elle pouvait faire confiance à cette femme...

Ariman

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Re : Le bal des Poupées

Réponse 107 vendredi 06 juillet 2018, 14:27:06

Bien que Ariman avait dévier la conversation au sujet du harem de Mélinda cette dernière revins habilement à la conversation au sujet d'Akon. Elle proposa même un partenariat qui pourrait être favorable. Seul hic toutefois il ne connaissait pas vraiment le royaume de Papua quand au royaume de Sylvandell, même si Ariman était un représentant neutre du chaos il savait pertinemment que ce royaume était assez hostile aux chaotique. Il avait discuter il n'y as pas longtemps avec la princesse Korvander mais avec toute la bonne volonté du monde à paraitre sympathique Ariman n'avait obtenus qu'un regard de peur et peu être de dégout de la part de la princesse bien qu'il l'ai secourue par l'intermédiaire de de ses garde du corps il y as pas longtemps.

- Mmm ! J'avoue que je ne connait pas le royaume de Papua. Pour Sylvandell c'est à voir. Etant un chaotique même si je suis neutre dans les affaires des puissances de la ruine, je n'en demeure pas moins une engeance des dieux noirs. Pour que je puisse m'approcher de Sylvandell sans risque de me faire carboniser par les dragons qu'ils élèves il me faudrait être parrainer par quelqu'un auquel le royaume as confiance et ce genre de personne n'est point facile à trouver. Dit il à Mélinda.

Mais au lieu de parler affaire et même après avoir copieusement jouis dans le cul de la servante Mélinda se montra taquine. Elle avait certainement remarqué que le spectacle n'avait pas laisser Ariman indiffèrent et essayait visiblement de le tester en utilisant la servante comme un outil. Un peu pris de court Ariman fit un court instant une tête étonné avant de sourire. Mais ce sourire n'avait rien de vicieux. C'était un sourire à la fois indulgent et amusé.


- Il est vrais que le spectacle ne me laisse pas indiffèrent mais contrairement au commun de mortel et de la noblesse je suis d'un tout autre calibre mais pas du genre à maltraiter mes favorite et ceux qui me plais. Hormis mes ennemis. Dit Ariman qui jeta un regard circulaire et vis que quelques orgie avaient commencé par-ci par-là.

Bon vu que tout le monde avait la queue à l'air, il n'y as pas raison qu'il ne fasse pas pareil. La tassette de l'armure de l'Obliterator fut absorber dans son corps pour pourvoir en dégager ses organes sexuel. Devant les trois femme médusée elle virent que le sexe de l'Obliterator était à la mesure se son corps titanesque. Ariman avait un sexe plus grand et plus épais qu'un équidé aux bourses bien épaisse. Le sexe énorme était musclé et veineux et dégageant une odeur si masculine et sexuelle. Néanmoins Ariman ne donna pas d'ordre et s'adressa à la servante de manière sympathique. 


- Cela ne te dérange pas de t'occuper un peu de moi ? Je ne suis pas quelqu'un de très exigeant. Fait simplement de ton mieux, mais rien ne t'empêche de refuser si cela t'effraies ? Demanda t'il à Karuta ne la traitant pas vraiment comme une esclave. Plutôt comme une amante.

Karuta Roromiya

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    Karuta est une jeune maid à moitié monstre, au physique d'adolescente mais à la mentalité d'enfant.

Re : Le bal des Poupées

Réponse 108 samedi 07 juillet 2018, 18:00:22

Karuta venait juste de jouir, tout comme Mélinda, et la vampire ne put que confirmer que la demoiselle avait un magnifique petit cul. Elle la prit ensuite entre ses bras, une main à l'arrière de son crâne, son corps bien calée contre ses seins, discutant calmement avec Ariman alors qu'elle avait encore la queue logée dans le corps de la maid. Cette dernière admirait la capacité de la femme à pouvoir à communiquer avec quelqu'un pendant qu'elle baisait quelqu'un d'autre. Tout en parlant, elle la couvrait de caresses et de baisers, de quoi faire ronronner de plaisir le petit chaton.

« Mmmrrraaawww... »

Karuta profita de son câlin pendant de longues minutes, puis Mélinda lui demanda si elle était toujours effrayée par Ariman, parce qu'elle sentait qu'il avait été particulièrement excité par le spectacle de la jeune fille remuant du cul, et que maintenant il bandait.

« Nyu... vous... vous êtes sûre maîtresse ? »

De toute façon, c'était impossible à dire à l'œil nu vu la morphologie et la tenue de l'Obliterator. Elle se contentait de croire la parole de sa maîtresse.

« Je... je n'ai plus peur de lui... parce que je sais qu'il n'est pas méchant. Mais... faire des choses... avec lui... »

Il avait beau être gentil, il n'en restait pas moins repoussant, et il était entourée d'une aura maléfique suintant la mort et la pestilence. Cependant, quand elle vit les plaques de son armure disparaître pour laisser sortir son sexe à l'air libre, elle sut qu'elle devrait se lancer car elle connaissait son devoir.

Sa première impression fut qu'Ariman était incroyablement bien monté, son sexe était plus gros que tout ce que Karuta avait déjà pu voir. Ensuite, quand elle entendit l'homme lui demander très poliment de venir s'occuper de lui en faisant juste de son mieux, elle n'eut pas le cœur de protester.

« Nyyyaaa... j'arrive maître Ariman. »

Approchant à quatre pattes, la maid avança jusqu'à pouvoir poser ses mains sur la queue de l'Obliterator.

« C'est mon travail de vous satisfaire... par tous les moyens possibles. »

Elle était un peu hésitante, mais à en juger par les couinements de l'homme, elle était sur la bonne voie.
Venez découvrir mes DC sur ce topic

Sharlie

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    2m40 d'amouuuuUuuRr... Et 50cm de barbaque entre les cuisses <3

Re : Le bal des Poupées

Réponse 109 lundi 09 juillet 2018, 17:01:48

Sharlie

Quand Miranda vint à dire a notre colosse qu'elle avait tout filmée à l'aide de ses lunette, la puissante futa vint à froncer les sourcils, avant d'attraper lesdites lunette, les regardant ensuite sous toutes les coutures en se grattouillant l'arrière du crane. Tout ça, c'était un peu trop compliqué pour sharlie qui elle, vivait de joies simple, loin de toutes cette drôle de technologie.

« Comment une caméra peut elle rentrer là-dedans dit moi ? Genre, Poison, elle, elle a des grosses caméras étou... Et toi, tu me sort que tu as tout filmée avec tes drôle de lunettes sexy. »

Oui... c'était drôlement curieux tout ça... Enfin, sans vraiment chercher plus d'explication, la futa revint à délicatement reposer les lunettes sur le bout du nez de sa partenaire en lui souriant.
Cet alors que la jolie blonde revint à faire des avancent et des compliment à cette colosse de plus de deux mètres qu'elle semblait tant aimer tout en l'embrassant et en lui palpant le corps, faisant ronronner ce gros nounourse de muscles.


« Bref, je... Je serais sincèrement ravie que tu acceptes de revenir plus régulièrement auprès de moi, Sharlie. Je ne veux pas m’en prendre à ton indépendance, bien sûr, mais... Tu n’imagines pas l’intérêt que tu représentes pour la science, ma chérie. » Lui dit alors Miranda, juste après lui avoir fait un nouveau baiser.

En voilà une bien bonne tiens, Sharlie qui servirais la science en défonçant les jolies fesses de Miss Forge, pour le coup la futa ce mit à glousser avant de ce mettre à caresser les jolie hanches de sa partenaire, tout en reprenant elle aussi son souffle.

« Il y a pas de soucis poulette, moi je suis toujours partante pour bourrer de la jolie tekhanne en chaleur <3 »

Sur ces belles paroles, la futa revint embrasser sa partenaire qui lui affirma ensuite adorer quand la colosse lui besogne les fesses, ce sur quoi ladite colosse vint une fois encore à embrasser la charmante PDG avant de venir lui mordiller le cou en ronronnant comme un gros moteur, faisant vibrer sa peau blanche et ruisselante de sueur.



Liddell

La Jeune impératrice déambulait gracieusement parmi les convives, ses grand yeux d'un vert profond sillonnant cet amas de chair fraîche en provenance d'un peu partout sur terra... Mais surtout d'Ashnard. Toutefois, il était hors de question de s'attaquer à l'un d'entre eux, la demoiselle étant venus ici à des fins diplomatique et récréatives.
Mais Difficile tout de même de ne pas avoir envie de voir cette masse informe de gens inutiles et dispensable ce transformer en un gigantesque amas de pulpe sanguinolente et d'entrailles... Mais bon, Liddell savait qu'elle aurait droit, même ici, à de la chair humaine servit sur un plateaux d'argent, du cœur, des muscles, du bon lard pauvres et du foie servit sur un lit de fèves au beurre.

Cette simple idée, presque exhibitionniste, de ce savoir être entrain de déambuler parmi des ennemies politiques, de savoir qu'elle aller dévorer de la chair humaine alors même que toutes bourgeoises pompeuse et ses gros lard dévoré par l'avarice n'aller rien en savoir lui donner presque le tournis.
Et puis les voir tous, là, comme des abrutis, la matant de leur faciès disgracieux ou au contraire angélique, elle, si radieuse dans sa sublime robe de mousseline de satin et de dentelles ooooouhwi ! Rien que ça, c'était Supercalifragéxpedélicieux !
Toutefois, alors que la jeune reine vint à calmement s'avancer vers une partie du salon moins fréquentée, une main gantée de velour vint à lui tapoter l'épaule, la faisant alors ce retourner vers cet interlocuteur mistère qui n'était autre que cette charmante Brumhilda qui, bien que quelque peut... Etonnée de voir sa reine ici, vint à lui offrir un belle révérence, main gauche dans le dos, main droite suivant son geste de respect et avec élégance.

« Mein Furherine... »
« Ploop ! Nonononon Brumhilda, ce soir, c'est... Duchesse que tu devras m'appeler, huhuhu <3 »

L'émissaire, sans en dire plus ce contentât d'un petit hochement de tête, avant de finalement ce redresser devant la tendre frimousse de son Impératrice adorée.
Mais alors que ladite émissaire aller pour poser une question a liddell, cette dernière vint à poser son index sur les lèvres pulpeuse de sa cuisinière en chef.

« Tu-tu-tu, tu ne dit rien, voilà... merci <3 En revanche... » Dit elle en retirant son doigt. « Tu vas me faire le doux plaisir d'aller au cuisines, si tu es là ce soir, ce n'est pas uniquement pour blablater avec toutes cette populace ventripotente et oisive, nononon !... Si je t'ai choisie toi, c'est pour que tu puis ce me préparer lors de ce petit week-end mes plats favorie, tu sera secondée par les poupée de notre hôte et... Pour ce qui est de... Hum ! Des « produits » cette tendre évangéline a normalement ce qu'il te faut donc... Fil, hop hop hop ! »

Un brin inquiète, Brumhilda soupira avant de finalement capter le sourire de sa reine qui, pour la rassurer vint à lui tapoter la joue tendrement.

« Houuuuuw mais regarder donc la grande brumhilda, mon éventreuse en chef, mon engraisseuse de  femme enceinte, ma décapiteuse de bébé s'inquiéter du sort de sa tendre Furherin... c'est chou. »

Liddell lui adressa alors un petit sourire complice, fixant alors la belle brune droit dans les yeux.

« Je ne crains rien ici... Et tu le sais. »
« Ja... Vous avez raison... Je suppose. »

Sur ce, Brumhilda vint à quitter sa reine, afin de rejoindre plus loin une poupées au hasard afin de lui demander discrètement où ce trouvait les cuisines.
Une fois ce petit interlude fini, Liddell vint à revenir au centre du bal, s'approchant gracieusement du buffet, toisant de ses grand yeux émeraudes les nombreux plats présent avant de ce faire interrompre par l'une des poupée d'Evangeline qui vint lui proposer une coupe de champagne, coupe qu'elle prit en main avant de la remercier d'un petit hochement de tête accompagné par un sourire malicieux.
Cet alors qu'elle pue apercevoir la belle évangeline parler à une étrange demoiselle à la peau rouge, sûrement une démone pour le coup... Mais une démone drôlement sexy ! Mais... Liddell étant Liddell, elle vint cependant à ce demander quel goût pouvait avoir la chair de démon... Hm, ça devait pas être bien terrible comme plat.

Furtivement, alors que la maîtresse semblait parler à ladite démone, liddell vint à lui faire un petit coucou de sa main droite comme pour lui dire « m'oubliez pas <3 »

<=== For the best, only <3

Evangeline et Echo

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    Evangeline : La Maitresse des poupées, dirige la vallée indépendante d’Ancarla. 
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    Echo : Servante principale d’Evangeline, elle lui ressemble  physiquement, mais en plus jeune. Ne montre aucune émotion et n’a pas d’âme.

Re : Le bal des Poupées

Réponse 110 samedi 04 août 2018, 12:58:36

Chambre d’Alice

Anna Marie ne fut pas surprise de voir que sa tentative de plaisir ne se montrait pas efficace et que la Princesse ne tarda pas à lui faire remarquer. Son inexpérience ne passait pas inaperçu et la Princesse commença à lui expliquer quoi faire, ce dernier bien décidé à lui faire faire se qu’elle voulait. Pour l’instant, elle cherchait à lui apprendre à faire un vrai cunnilingus. Anna Marie écouta donc ses conseils et se fit à se qu’elle lui faisait en même temps.

Une chose à savoir c’était que la jeune fille n’était pas à la tête de la garde de sa princesse sans raisons. Malgré son jeune âge, elle avait une capacité d’apprentissage exceptionnel et avait très vite qui les savoir et les techniques des meilleurs cavaliers de son pays. Et il se trouva que cette facilité d’apprentissage marchait aussi pour se genre de chose, se fiant à se que la princesse lui faisait et ses conseils et malgré ses mains entravées, elle arriva à reproduire ase vite ce qu’elle lui faisait.

Jouant de sa langue elle tenta au mieux de satisfaire la princesse, après tout sa prestation allait déterminer la réussite de sa mission.



Les balcons

La grande salle de réception était ouverte sur une terrasse qui offrait une belle vue et rafraichissait aussi la salle. Sur la terrasse il y avait des tables où s’installer pour prendre du bon temps, manger ou discuté avec une peu plus d’intimité. Bien des servantes si rendrez régulièrement pour servir les invités.

C’est là qu’Evangeline retrouva Sammara avec deux de ses poupées, deux sœurs qui faisait partie des servantes. Evangeline avait plein d’esclave et parmi eux de nombreux frère et sœur. Elle avait une attirance particulière pour se genre de lien qu’elle aimait pimenté par du sexe. Tout particulièrement pour des jumeaux ou jumelle. Ce n’était pas pour rien que ses deux filles adoptives étaient des jumelles. Elle adorait les attachées l’une à l’autre avec des doubles godes dans leur orifice. Là ici ce n’était que de simple sœur, mais qui était aussi habituer à des relations entre elles. Les deux sœurs était dans les bras de Samara prête à lui être agréable.


-Oui, merci de votre compréhension et comme promit, je suis prête à répondre à vos interrogation et vous prouvé que mon statue de prêtresse et de dirigeante sont deux chose que je ne mélange pas.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le bal des Poupées

Réponse 111 mardi 07 août 2018, 14:21:11

MÉLINDA WARREN


« Ne t’inquiètes pas, ma poupée, je suis là, à côté de toi, alors il ne t’arrivera rien... »

Il y avait effectivement quelque chose de malsain chez Ariman, mais, après tout, Mélinda elle-même dégageait une aura malsaine. Elle était une vampire, après tout, une créature prédatrice qui se nourrissait en se gorgeant du sang d’êtres humains. Elle n’était donc pas la mieux placée pour critiquer qui que ce soit, mais elle comprenait les difficultés qu’Ariman pouvait avoir à se rapprocher de Sylvandell. Tandis que Karuta se rapprochait de l’homme, celui-ci fit à nouveau rentrer dans son corps les morceaux d’armure.

En voyant cela, Mélinda grimaça légèrement, tout en l’observant :

« J’espère que ça ne fait pas trop mal, ce que vous faites avec votre armure... »

Mélinda reprit ensuite les choses plus sérieusement, tandis que Karuta posait ses mains sur le sexe de l’homme, un membre assez imposant, et approchait ensuite son visage de ce sexe.

« Vous l’avez sûrement remarqué en vous approchant d’elle, la Princesse de Sylvandell a été bénie par le Patriarche de Sylvandell. C’est un dragon doré qui est un avatar de Batrok. »

Un nom qui ne devait pas être inconnu pour Ariman. Batrok était le Dieu légendaire des dragons, un Dieu de l’Ordre, un très ancien dragon qui avait affronté pendant des siècles les forces du Chaos, et notamment les troupes de Nurgle. Batrok avait résisté à la corruption des dragons, et avait traqué les Dragons Noirs corrompus pendant le Grand Conflit. C’était un Dieu très dur, très déterminé, qui avait reçu des pouvoirs divins lors d’un ultime affrontement contre un Grand Immonde de Nurgle, que Batrok avait gagné au péril de sa vie.

Sylvandell servait donc Batrok.

« Je crains fort que, même avec le plus beau sourire du monde, vous ne parveniez à vous attirer la sympathie des dragons, et particulièrement de notre belle Princesse blonde aux yeux bleus. Mais moi, la Princesse me fait confiance. On pourrait même dire que je suis sa meilleure amie, et je suis en affaires avec Sylvandell depuis de nombreuses années. C’est un royaume guerrier, vous voyez. Sylvandell attaque les contrées barbares, et récupère beaucoup trop d’esclaves pour eux. C’est moi qui suis chargée de m’en occuper. C’est un poste plutôt privilégié, qui m’a en tout cas permis de me rapprocher du Joyau de Sylvandell. »



MIRANDA FORGE


« Bien sûr, ma chérie, ce sont des lunettes très améliorées... Mais ça n’a rien d’exceptionnel, tu sais. »

Du moins, pour GWC. Mais les lunettes-caméras existaient depuis des années, et étaient vendues au grand public. Miranda, elle, disposait de lunettes améliorées car elle n’avait pas besoin de lentille pour corriger sa vision. En revanche, ses lunettes amélioraient cette dernière, disposant de fonctionnalités spéciales, pour zoomer, voir à travers les vêtements, ou accéder à la base de données de sa compagnie. Devant elle, Sharlie accepta, au milieu de plusieurs baisers, de retourner au sein de la compagnie. Une nouvelle qui excita Miranda. Celle-ci posa ses mains sur les puissantes épaules larges de Sharlie. Contre son corps, elle sentait les muscles de cette femme, cette puissante créature musclée.

Miranda la repoussa alors, la couchant sur le dos, et se mit à califourchon sur elle, sentant contre ses fesses l’imposante virilité de sa Sharlie. Oui, sa Sharlie... Un possessif un peu suranné, sûrement exagéré, mais elle ne pouvait s’empêcher de voir Sharlie comme une sorte de magnifique création tekhane, une pure perfection...  À laquelle Miranda avait contribué. Elle posa ses mains sur les hanches de la femme, sentant toujours ses épais muscles, et se pencha vers elle, savourant ce moment. Visiblement, Miranda était encore loin d’en avoir fini avec sa Futanari, et elle savait que Sharlie pouvait tenir.

« Oh, tu vas baiser de la Tekhane, crois-moi... Des milliers de femmes travaillent dans ma compagnie, et seront ravies de se faire éclater le cul par toi. »

Sa main était remontée pour caresser affectueusement la joue de Sharlie, et Miranda se courba en avant, venant embrasser la femme sur les lèvres. Un baiser qui s’étira sur la longueur, Miranda n’hésitant pas à glisser sa langue dans sa bouche, jouant avec elle. Sa main pinça le sein de la femme, tirant sur le téton, et elle se déplaça ensuite, venant lécher le sein de la femme, embrassant et mordillant le téton.

« Est-ce que tu commences à allaiter, Sharlie ? »

Avec des seins aussi gros, elle devait produire une belle quantité de lait. Miranda la laissa répondre, et l’embrassa dans le creux du cou, caressant ses muscles avec ses doigts, sentant contre ses ongles les lignes creusant son corps, le contour de ses biceps.

« Tu sais, hmmm... Jenny et moi aurions pu nous marier. Je sais beaucoup de choses sur ta patronne et amante, et elle réciproquement. »

Miranda savait par exemple que Jenny avait un cancer, et elle l’aidait activement à tenter de le soigner. Elle continua à se déplacer, et souleva son corps, attrapant d’une main la queue de Sharlie, et la fit glisser entre ses cuisses, avant de s’empaler dessus. Elle gémit alors, le corps redressé, et commença à remuer de haut en bas, sentant ce mandrin perforer son intimité progressivement.

« Et toi, haaaa... J’ai très hâte que tu rencontres nos scientifiques, hm... Hoooo, ma chérie, ma belle, haaaa... »

Clairement, la puissante PDG était heureuse de revoir Sharlie !



ALEXANDRE DOWELL


Le puissant vampire ne pouvait pas se permettre de manquer ça. Qui aurait cru qu’un jour, la gourgandine d’Ashnard puisse participer à l’organisation d’un tel bal ? Portant une élégante chemise sombre avec des motifs dorés, et un manteau en fourrure, Alexandre Dowell s’avançait au milieu des convives, discutant avec eux. Il y avait de nombreux Ashnardiens, mais aussi des ressortissants de nations étrangères. La vallée d’Ancarla était un bout de terrain qui avait, aux yeux du Conseil Impérial, une importance stratégique forte. Il y avait en effet de nombreuses rumeurs évoquant une prétendue cité terranide libre dans les régions polaires, une cité qui organiserait de multiples attentats sur le reste de Terra.

Est-ce pour cela que Mélinda Warren s’était rapprochée de cette femme ? Le Conseil ne savait plus trop sur quel pied danser avec elle, et Alexandre avait au moins pris conscience, maintenant, de la dangerosité de cette femme. Il s’était souvent rendu à son harem, et avait toujours vu, en elle, autre chose que les ambitions d’une simple tenancière. Le sang des Warren coulait après tout dans ses veines, et, avec la création d’un clan vampirique, elle disposait de plusieurs alliés pour renforcer et asseoir l’influence de ce jeune clan : Sylvandell, Inferis... Et le récent choix du baron de Castlevania de rejoindre le clan Warren n’avait fait que confirmer, à ses yeux, qu’il ne fallait pas sous-estimer cette femme, qui mettait maintenant un possible avant-poste stratégique dans l’escarcelle.

Se méfiant de toute forme de rivalité, il était donc normal qu’Alexandre soit présent ici. Il avait repéré la Princesse de Sylvandell au début de la soirée, et, tout en continuant à marcher, son aura vampirique capta... Quelque chose de particulier. Il fronça doucement les sourcils en voyant une femme brune, portant une élégante robe rouge, qui lui tournait le dos.

*Bizarre...*

N’étant pas à proprement parler un magicien, Alexandre avait appris à maîtriser la redoutable magie rouge, la magie du sang, car les vampires présentaient une affinité particulière avec celle-ci. Et la magie rouge, en ce qu’elle reposait sur l’analyse et l’étude du sang, permettait de voir les subterfuges, les illusions... Et Alexandre sentait quelque chose d’anormal venant de cette femme, une aura... Une aura profondément malsaine.

C’est ce qui l’incita à se rapprocher d’elle.

« Madame... » dit-il, d’une voix suffisamment forte pour qu’elle se retourne.

Il lui sourit alors légèrement, ses yeux bleus acérés se plantant sur les siens, d’une couleur verte :

« Alexandre Dowell. Je me disais qu’une femme comme vous ne devait pas rester seule au milieu d’une si charmante assemblée, vous ne trouvez pas ? »



ALICE KORVANDER


Dire que c’était elle qui formait une autre femme... Pour Alice, c’était une véritable inversion ! Pendant des mois, si ce n’est des années, elle avait eu des mentors, des gens qui avaient fait d’elle la femme qu’elle était actuellement. Cirillia, Tinuviel, Mélinda... Et, maintenant, elle était suffisamment aguerrie pour pouvoir donner des cours ! Devait-elle s’en sentir gênée ? Indéniablement, elle n’était plus la Princesse naïve qu’elle avait jadis été, cette jeune femme qui ignorait tout du sexe. Elle était maintenant une belle femme, de plus en plus accomplie, qui avait pris confiance en elle, et qui s’attaqua donc au sexe de la femme, poursuivant ce 69.

Anna Marie, de son côté, suivit les instructions précieuses d’Alice, léchant également son intimité. Concentrée, elle soupirait lentement tout en sentant la langue d’Anna Marie s’enfoncer en elle, filant entre ses lèvres intimes. La jeune tête blonde poussa des soupirs et des couinements supplémentaires, avant de rendre à la femme la monnaie de sa pièce, glissant ses doigts en elle, la masturbant.

« Hmmm... Oui, là, voilà... »

Alice gémissait de plaisir, se déplaçant doucement, et profita ainsi du corps de la femme, la titillant comme ça pendant plusieurs minutes. Sa langue fila entre ses cuisses, et elle chercha son bouton d’amour, appuyant dessus, le pressant avec sa langue, et s’aida ensuite de ses doigts. C’était une zone étroite, demandant de la précision, mais, dès qu’elle trouvait le clitoris, Alice atteignait le point suprême. Elle serra ainsi le bouton de plaisir entre ses doigts, et continua ainsi à agir, remuant doucement ses cuisses, étouffant la guerrière blonde sous son corps.

« Ohhh... »

Les minutes passaient doucement, les deux femmes se chauffant mutuellement. Alice se redressa alors, au bout de ces minutes, et se déplaça alors, venant s’asseoir à côté d’Anna Marie, en écartant les jambes. Elle avait les joues rougies par le plaisir, et se pinça les lèvres.

« Allez, ma belle, file entre mes cuisses, fais-moi jouir sur toi, ma chérie ! »

Après ce qu’elle avait vécu à ce bal, elle était heureuse de pouvoir retrouver le plaisir, et d’avoir un orgasme. C’était, somme toute, une magnifique façon d’oublier les mauvais évènements pour garder des choses positives !



SAMARA


La présence d’Evangeline n’allait nullement empêcher Samara de jouer avec les deux beautés qu’elle tenait entre ses bras... Et, pareillement, la présence des deux sœurs ne l’empêcherait pas de se renseigner davantage sur Evangeline. Ce que Samara avait vu ne pouvait être ignoré. Elle avait senti la présence malfaisante du Chaos ici. Evangeline avait fait le choix d’inviter des personnes peu recommandables, de quoi inquiéter Samara, ou, en tout cas, de la troubler. Elle hocha doucement la tête, et se déplaça un peu, rejoignant l’une des tables, en s’asseyant sur un confortable sofa, les deux sœurs à sa gauche et à sa droite. La table comprenait divers plats avec des mets, comme des fruits, ou des fruits de mer.

L’une des servantes se saisit d’une crevette et la tendit vers Samara, qui l’avala, avant d’embrasser sa sœur. Elle continuait à caresser sans gêne leurs culs, tout en leur parlant doucement :

« Je suis sûre que Mélinda a déjà dû vous faire l’amour, à toutes les deux...
 -  Haaaa... Maîtresse...
 -  Oui, hmmm... »

Trop souvent, on sous-estimait les gens de l’ombre, les petites mains, les serviteurs. Ils faisaient pourtant d’excellents espions. Samara les embrassa encore, sentant leurs douces mains caresser son corps.

« Vous aviez évoqué votre naissance la dernière fois, ainsi que vos pouvoirs... Est-ce à dire qu’il existe un lien entre ce temple secret et vos pouvoirs ? Vos pouvoirs émanent de la Déesse Mania ? »

Ariman

Créature

Re : Le bal des Poupées

Réponse 112 jeudi 09 août 2018, 02:33:59

- Cela as été d'une souffrance abominable au début. Après on s'y fait au bout de plusieurs années. Avoua spontanément Ariman au sujet de sa faculté.

En effet la transformation en Obliterator et son don psychique en biomancie n'est pas sans souffrances. Ariman n'était pas un masochiste mais avait bien conscience qu'il avait dus payer un prix bien lourd pour devenir ce qu'il est aujourd'hui. Toutefois ses très nombreuse années d'expériences lui ont appris à faire abstraction de la douleur qu'il ressentait à chaque fois qu'il se transformait. Il ne ressentait plus maintenant qu'une gène.

Karuta car c'était le nom de la soubrette était un peu maladroite à manipuler le membre très gros de l'Obliterator car elle n'avait visiblement pas l'habitude. Mais son dévouement et le fait qu'elle mettait de l'ardeur à sa tache plus assez à Ariman qui banda d'autant plus fort sous les coup de langues de la soubrette. Entre temps Melinda avait repris sa conversation au sujet de la Princesse Korvander et sa nation. La conversation dévia au sujet d'un theme que Ariman connaissait bien.


- Je connais parfaitement Batrok enfin pas personnellement mais j'ai été présent durant ce conflit dans l'autre camp en tant que conseiller de guerre. Le hic quand on traitre avec un grand immonde c'est que ils ont beau être enthousiaste mais niveau stratégie c'est zéro. En fait j'était venus sous les ordres de Slaanesh pour saboter cette invasion car le dieux de la Luxure avait d'autres plans dont j'ignore encore les aboutissants. mais finalement je n'ai rien eu à faire ou à dire. Batrok était un trop gros morceau pour le grand immonde qui si est cassé les chicots avant d'être envoyer dans le Warp pour 1000 ans et un jour. Dit il en posant sa main sur la tête de Karuta et lui ébouriffant la chevelure sans la gêner dans son travail ni la forcer. Un geste affectueux pour lui signifier qu'il était satisfait de ses efforts.

Mélinda en arriva à la politique de Sylvandell. Autant ne pas se leurrer ce royaume était assez beliqueux malgré son air sophistiqué. Le surnom de "Joyau de Sylvandell" qu'on donnait à la Princesse Korvander fit sourire Ariman bien malgré lui.


- Un joyaux assez convoité si vous voulez mon avis. Hum ! Je voulait rester discret sur ce sujet mais depuis que la Princesse m'a parler je l'ai fait suivre discrètement par mes garde du corps. Ne voyez rien de malsain de ma part c'est juste de la curiosité car qu'elle vienne d'elle même me parler m'as assez étonné. Figurer vous qu'en moins de deux heure elle as bien faillis se faire enlever et ensuite agressée par deux factions différente. Dit Ariman qui raconta à Melinda sa bagarre dans le parc de la propriété face à une troupe d'assassin inconnue et la tentative d'agression qu'avais bien faillis subir la princesse si ses serviteurs de guerre n'étaient pas intervenus.

- Je me suis fait remonter les bretelle par notre hôtesse car mes gardes ont fait un peu de casse et j'ai tendance à faire du zèle. En tout cas elle semble avoir pris au sérieux que la Princesse est devenue la cible de plusieurs factions voulant à sa vie ou voulant l'enlever. Quand à moi je peu vous assurer que je n'ai pas eu de mauvaise intention en fait j'ignorais complètement que la princesse serait présente de même qu'il y aurait des invités issue de factions opposé au chaos. Dit il avant de pousser un grognement suite à un coup de langue de Karuta qui le fit jouir. La frimousse de la soubrette fut asperger par son sperme.

- Hrrmmm ! C'est bien Karuta ! Tu es une bonne servante.
Dit Ariman à la soubrette en lui tendant une serviette pour qu'elle s'essuie. Une fois qu'elle c'était débarbouiller. Karuta vis que Ariman lui tendait quelque chose et son cœur battis de travers en se rendant compte que Ariman la récompensait d'une pièce de platine. C'était rare de voir ce genre d'argent. Une pièce de platine équivalait à cent pièces d'or. C'était une vrais fortune qu'il donnait là comme si c'était un pourboire pour une simple fellation en plus. Outre cela l'Obliterator était assez atypique contrairement au nobles qui abusaient de leur position Ariman semblait aimer récompenser ceux qui lui ont rendu service.

Karuta Roromiya

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    Karuta est une jeune maid à moitié monstre, au physique d'adolescente mais à la mentalité d'enfant.

Re : Le bal des Poupées

Réponse 113 jeudi 09 août 2018, 22:23:30

Karuta faisait tranquillement son travail pendant qu'Ariman et Mélinda discutaient de choses et d'autres. La maid suivait la conversation d'une oreille distraite, se concentrant surtout sur la queue de son maître, la caressant et la léchant du mieux qu'elle pouvait vu la taille de l'engin. Elle avait peur de ne pas être à la hauteur de la tâche, mais l'homme semblait content, il gémissait et soupirait au milieu de ses paroles. La jeune fille était épatée de voir ces gens parler normalement comme si rien ne se passait. Sa maîtresse lui avait expliqué que les gens riches aimaient bien qu'on leur fasse des petites gâteries discrètes pendant qu'ils faisaient autre chose, mais elle avait eu du mal à y croire... jusqu'à maintenant.

Je ne dois pas me faire remarquer.

Karuta offrait à Ariman sa fellation tout en se faisant la plus discrète possible, mais elle n'en oubliait pas Mélinda pour autant, et elle s'arrangea pour tenir une position qui lui permettait à la fois de sucer son maître et de remuer son joli petit cul pour sa maîtresse. Une fois qu'elle aurait terminé avec l'Oblitérator, peut-être aurait-elle droit à une belle récompense de la vampire.

La maid s'occupa de son maître avec énergie et passion jusqu'à ce que ce dernier n'atteigne l'orgasme, et lui envoie sa semence en plein visage. La jeune fille se retrouva avec le visage maculé de traces blanches, son amant ayant joui plutôt fort. Ce dernier la félicita pour son travail, lui tendit une serviette pour qu'elle puisse s'essuyer, puis voulut la récompenser en lui donnant une pièce. Karuta était secouée, mais pas par la valeur de la pièce, juste par le geste en lui-même.

« Maître Ariman, vous n'avez pas besoin de me récompenser. Répondre à tous vos désirs, ainsi qu'à ceux des autres invités, est la tâche que m'a confiée maîtresse Evangeline. Je vous remercie pour le geste, mais je vous en prie, gardez votre argent. »

Cependant, Ariman insistait, alors Karuta accepta de prendre la pièce et elle la glissa dans son soutien-gorge pour être sûre de ne pas l'oublier. Elle irait voir Evangeline plus tard pour lui demander ce qu'elle en ferait.

« Puis-je faire autre chose pour vous ? »

Cette demande était à l'attention de tout le monde dans la pièce, aussi bien l'Oblitérator que les deux vampires.
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Evangeline et Echo

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    Evangeline : La Maitresse des poupées, dirige la vallée indépendante d’Ancarla. 
    Sorcière transformant les gens en poupée pour en faire ses serviteurs.
    
    Echo : Servante principale d’Evangeline, elle lui ressemble  physiquement, mais en plus jeune. Ne montre aucune émotion et n’a pas d’âme.

Re : Le bal des Poupées

Réponse 114 samedi 29 septembre 2018, 11:53:45


Chambre d’Alice :

Anna Marie faisait de son mieux dans se domaine qu’elle ne maitrisait pas, dans ce domaine où sa princesse c’était plonger. Jetant son honneur pour la survie d’elle et des femmes qu’elle avait prise sous sa protection. Oui sa princesse était une prostituer, Anna Marie était convaincue que d’autre voie aurais était possible, mais c’était ainsi que se princesse avait choisie de survivre et elle avait décidé de la suivre. Par contre, elle comptait la protéger et ne s’attendait pas à devoir aussi joué de son corps…C’était exceptionnel, c’était pour sa princesse qu’elle faisait tout ça, oui pour elle et non pour en faire son métier !

Dans sa tête c’était ce qu’elle cherchait à se convaincre, son honneur de guerrier n’acceptait pas vraiment une tel situation, seule l’idée d’un sacrifice pour le bien de sa princesse arrivait à la convaincre un minimum. C’était aussi pour cette raison qu’elle s’appliquait au mieux pour satisfaire celle qui en profitait. Réussir à donner du plaisir à cette autre princesse était sa chance pour réussir sa mission et c’’est en suivant les conseils de cette dernière qu’elle comptait y arriver.

Tout ça n’était pas facile, car si Anna Marie était une total débutante, la Princesse Korvander elle, s’avait parfaitement y faire. Le plaisir que cette dernière lui donnait était intense, maitrisé. Quand elle senti qu’elle n’allait plus pouvoir tenir, la princesse se déplaça. Elle ne savait pas si c’était volontaire ou non de choisir ce moment-là. Anna marie était rouge de plaisir et regarda la princesse qui attendait qu’elle termine le travail. Attaché par les bras comme elle était, elle dut se tortiller pour bouger et tenté d’approché sa bouche pour venir la faire jouir, ce n’était pas facile d’être ainsi attaché…



Les Balcons :

Evangeline invita Samara et les deux sœurs qui lui avaient tapé dans l’œil de s’installer à l’une des tables du balcon. Evangeline s’installa en face du trio. Les deux sœurs se laissant volontiers touché par la démone tout en la nourrissant.  Bien sur ses servantes et tout par particulièrement les poupées, étaient à la fois ses yeux et ses oreilles.  Samara put découvrir de prés ses poupées. Le touché de leur peau était similaire à de la peau humaine, mais plus froide et leur articulation était celle de poupée, pour autant leur corps fonctionnait et ressentait comme un corps normal. Les organes n’étaient juste pas infecté par le temps ou la maladie. C’était tout simplement des poupées vivantes reproduisant un corps humain au détail les plus profond, mais qui par la magie ressentait les mêmes sensations et sans la plupart des inconvenant.

Les deux femmes reprirent alors leur conversation de plus tôt. Samara l’interrogea sur son origine et celle de ses pouvoirs.


-Effectivement, La déesse comme je vous l’ai expliqué m’a créé ainsi. Mes pouvoirs son lié à la folie, tout comme la magie qui m’emprisonne sur mon territoire. Ce temple est comme tout temple dédié à son dieu, un lieu où lui prié et lui faire des offrandes. Celui qui se trouve dans mon manoir est un temple qui me sert à communiqué avec ma Déesse, mais qui n’est que rarement visité. C’est un temple privé, comme certaine chapelle dans des châteaux et forteresse. Je comprends que mon origine vous perturbe et si cela peut vous rassurer, je ne partage pas et n’impose pas ma déesse à mon peuple. Vous pouvez enquêter sur on territoire autant que vous voudrez. Mon culte n’est pas suivi et imposé. La neutralité de mon territoire est autant politique que religieuse.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le bal des Poupées

Réponse 115 samedi 06 octobre 2018, 23:56:13

MÉLINDA WARREN


Mélinda apprit avec surprise que sa jeune amie avait été attaquée ici. Ses yeux s’écarquillèrent, tandis qu’elle commençait à se dire que cette fête pouvait se retourner contre elle. Certes, elle était chez Evangeline, mais Mélinda avait joué un rôle non négligeable dans l’organisation. Evangeline avait voulu faire connaître la vallée d’Ancarla, et Mélinda avait choisi bon nombre d’esclaves, et, si elle avait laissé à Evangeline le soin du décor, de la nourriture, et de ce genre de choses, Mélinda lui avait fourni la liste des convives, utilisant son réseau et ses alliés, comme Samara, pour diffuser l’annonce de cette fête. S’il arrivait un malheur ce soir, Mélinda en serait responsable. Contrariée, elle se pinçait donc les lèvres, tandis qu’Ariman lui expliquait également qu’il connaissait la réputation de Batrok.

*Cet individu est bien étrange...*

Lui, il ne faisait pas partie de ses convives. Comment avait-il entendu parler de cette annonce ? Mélinda avait bien compris qu’il cherchait des alliés pour un royaume dont il avait la charge, mais elle avait du mal à l’imaginer comme un noble, ou un seigneur provincial. À le voir, il avait plutôt le profil d’un baroudeur, un individu sans foyer, qui répondait à divers contrats. Ces profils étaient fréquents sur Terra : Rôdeurs, sorceleurs, mercenaires itinérants... Mélinda regarda brièvement sa femme, qui, elle, semblait surtout intriguée par les anecdotes d’Ariman.

Karuta réussit en tout cas à satisfaire Ariman, qui se relâcha sur son visage, avant de nettoyer cette dernière... Et lui offrit une pièce de platine. Un geste surprenant, tant pour le montant, que sur le principe même. Personne ne récompensait des esclaves, et toute récompense était un pourboire qui allait directement dans la poche du maître. Cet Ariman était-il familier avec les coutumes de Terra ? Mélinda était bien placée pour savoir qu’il existait d’autres mondes.

Serviable, la jeune maid demanda ensuite ce qu’elle pouvait faire, et, même si elle regardait l’Obliterator, son regard se portait sur les deux vampires. C’était sans doute l’occasion de retourner profiter d’elle. Mélinda sourit lentement.

« Tu n’aurais pas juré dans mon harem, Karuta, j’espère que tu le sais, ça... Quel appétit, ma chérie ! »

Mélinda se redressa alors, et, sans aucune gêne, tira sur le nœud de sa robe, à hauteur de ses seins. Elle le défit, et sa robe s’ouvrit alors par le haut, les pans de celle-ci s’écartant les uns des autres, tout en tombant le long de ses genoux. C’était un véritable mouvement floral, la robe s’ouvrant comme les pétales d’une fleur. Toutefois, Mélinda n’était pas nue dessous, et avait visiblement profité d’une accalmie dans la soirée, pendant que Karuta satisfait les convives, pour enfiler un harnais en cuir. La tenue lui allait à merveille, et elle posa sa main sur la fermeture Éclair de sa culotte.

La vampire l’ouvrant, et serra ensuite les lèvres. Elle gémit, bandant les muscles, et une belle verge jaillit alors de son sexe. Une queue phallique qui se dressa fièrement, tandis qu’elle se mit à sourire malicieusement, observant la femme devant elle.

« Comme tu es une gentille esclave, Karuta, je te laisse le privilège de choisir par où je vais te baiser. »

Elle se retourna ensuite vers Ariman.

« Et vous... Votre cas m’impressionne. Vous avez l’air d’avoir vécu depuis longtemps, non ? »

Mélinda avait une telle maîtrise du sexe qu’elle était tout à fait capable de tenir plusieurs conversations en même temps.



ALICE KORVANDER


La belle Princesse continuait à tourmenter Anna-Marie. Visiblement, l’agression dont elle avait été victime tantôt n’avait pas eu l’air d’émouvoir la tête blonde plus que de raison. Elle appréciait en tout cas beaucoup ce qu’elle faisait avec la belle guerrière. Anna-Marie était une femme honorable, respectable, qui devait sûrement être partagée entre plusieurs émotions en faisant ce qu’elle faisait. Elle faisait l’amour, couchant avec une femme qu’elle ne connaissait pas encore hier, s’adonnant à des plaisirs qui, pour elle, devaient être infamants, et sûrement en y ressentant une dose de plaisir non négligeable. Écartant les cuisses, Alice soupira doucement en sentant la langue de la guerrière venir sur son sexe. Elle se pencha en avant, retenues par ses mains dans son dos. La jeune tête blonde ne lui rendait pas la tâche facile, mais c’était pour le mieux de tout le monde. Après tout, il fallait bien un peu de difficultés, non ?

« Hmmm... Là, voilà, Anna-Marie, lèche-moi bien, ma belle. »

Elle laissa la guerrière s’appliquer, se concentrer. Alice n’en avait pas encore fini avec elle, et, tandis que la tête de la belle blonde disparaissait entre ses cuisses, Alice caressait ses cheveux. Les joues légèrement rougies par le désir, la tête blonde laissait la femme agir, le temps filant doucement, sans que rien ne presse. Elle savourait, tout simplement, prenant son pied. Alice soupira encore, se tortillant faiblement sur place.

Alice laissa encore passer un certain temps, avant de finir par se racler la gorge.

« Bon... Tu m’as bien excité, ma chérie. Il est temps de passer à la suite ! »

La tête blonde détacha alors la femme, et se rapprocha d’un auvent qui se situait dans un coin de la chambre.

« Pendant que je me change, déshabille-toi, je te veux toute nue ! »

Et, pendant ce temps, la jeune Princesse opta elle-même pour une tenue très différente. Comme elle l’avait dit à Anna-Marie, elle passait à la suite, et donc à la vitesse supérieure. Quelques minutes après, elle s’écarta de l’auvent, et sourit à Anna-Marie... Un sourire malicieux, qui allait à ravir avec sa nouvelle tenue, très moulante, très érotique, et dotée d’un redoutable gode à hauteur de sa culotte.

« Après tout ce que j’ai vécu ce soir, Anna-Marie, j’ai besoin de me détendre fortement, et, puisque le hasard a voulu te mettre là... C’est à toi qu’il va revenir de combler ma grande soif ! »

Pour Alice, c’était la meilleure façon possible de terminer la « formation sexuelle » d’Anna-Marie : en la prenant furieusement en levrette !



SAMARA


Assise sur la banquette, Samara profitait des deux poupées lovées contre elle, une à droite, une autre à gauche. Elle les embrassait régulièrement, et laissa ensuite Evangeline lui expliquer qu’elle n’avait rien à craindre, que son culte n’était pas un culte officiel à Ancarla, et qu’elle ne voulait, somme toute, en aucun cas piéger Samara. La démone avait beau se laisser aller à un comportement badin, son esprit n’en restait pas moins aiguisé et affuté. Ses sourcils se froncèrent doucement, tandis qu’elle maintenait toujours contre elle les deux femmes.

« Vous n’êtes pas sans savoir, Evangeline, que l’Empire est en guerre contre un État dirigé par une démente, Herzeleid. Un pays qui sombre dans le chaos, le soufre, sous la gouvernance d’une folle dont le règne me rappelle les pires heures de notre Empire millénaire. Vous comprendrez donc mes frictions à l’idée de savoir que vous servez également une Déesse de la Folie. »

Samara n’avait aucune preuve d’un lien entre Ancarla et Herzeleid, et les choses risquaient sans doute de devenir très compliquées pour Evangeline si Samara apprenait que la Reine Liddell était là. Pour l’heure, la curiosité de Samara n’était toujours pas totalement satisfaite, ce qui l’amena donc à se renseigner davantage, et notamment sur un point précis des explications de la Maîtresse des Poupées :

« Et... Les sacrifices dont vous me parliez ? En quoi est-ce que cela consiste ? »

Ariman

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Re : Le bal des Poupées

Réponse 116 mardi 09 octobre 2018, 01:35:32

La réponse d'Ariman eu pour effet de surprendre les vampires.

- 3 Millénaires. Enfin plus précisément 3500 ans et des poussières. Peu être un peu plus. L'inconvénient quand on as vécus trop de vie humaine c'est que le cerveau ne suis plus. J'ai parfois besoin d'oublier pour compenser se surplus d'informations ainsi que faire le tris sur quel souvenir je vais garder et ceux auquel je doit oublier ou compiler par écrit. Répondit t'il spontanément.

3500 ans d'existences Ariman était encore plus âgé que Mélinda. C'était même au delà de la longévité d'un vampire ancien c'était limite la longévité que pouvait avoir une divinité mineure ou un démon majeur. Pourtant Ariman revendiquait son humanité. Sur le coup il y avait plusieurs légendes de Terra très ancienne traitant sur une créatures ayant un autre nom mais dont la description faisait penser à l'Obliterator et surnommé par beaucoup l'arbitre. Cet arbitre avait les faveurs des dieux chaos mais beaucoup d'autres divinités non maléfique, démons, ange ou même des mortels venait souvent le rencontrer quand ils avaient un problème ou étaient dans le désespoir. L'arbitre conseillait ou réglait le problème de manière bénéfique ou infame. Malgré le fait qu'il était une entité des 4 puissance de la ruine l'Arbitre était un électron libre qui pouvait très bien être l'allier de quelqu'un aujourd'hui et le lendemain son ennemis. Il était surtout obsédé par une forme d'équilibre entre le bien et le mal. Mélinda était bien placé pour le savoir car elle avait entendus de nombreuses légendes à Ashnard sur l'arbitre et certains de ses client aurait un ancêtre en dette avec cette créature ou de désespérés qui ont réussit grâce à une aide inattendue.

En tout cas le fait qu'il soit l'arbitre ou pas et aussi vieux expliquait le comportement de l'Obliterator. Il as certainement été comme n'importe quel adepte du chaos et l'âge avançant il as surement beaucoup changé. Il est devenu surement un peu plus sage, un peu plus bavard et cultivais surement son excentricité. Cela doit même assez l'amuser.

Malgré tout pour un mec aussi vieux Ariman n'en restait pas moins un homme qui était très loin d'être insensible des charmes féminine. Il semblerait même que la capacité de Mélinda ne l'avait pas laissé indiffèrent. Ariman ne s'en cachait pas c'était un omnivore du point de vue sexuel. Melinda étant occupé avec Karuta le regard d'Ariman se porta sur la compagne de la vampire et lui souris agréablement mais ne lui fit pas de demande n'ayant pas envie de passer pour un lourd sans compter que rien ne garantissait que la compagne de Melinda avait envie de s'envoyer en l'air avec lui.

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Re : Le bal des Poupées

Réponse 117 jeudi 11 octobre 2018, 22:17:14

Après s'être occupé d'Ariman, Karuta ne tarda pas à revenir proposer ses services aux dames Warren. Mélinda sauta sur l'occasion, en ajoutant que la maid n'aurait pas juré dans son harem vu son appétit sexuel.

« Merci maîtresse. Tout ça, je le dois à maîtresse Evangeline, et à l'entraînement qu'elle m'a prodiguée. »

Et aussi un peu à son médaillon magique, mais inutile de trop s'étendre là-dessus. La jeune fille regarda la vampire retirer sa robe et dévoiler un superbe harnais en cuir, qui lui allait drôlement bien. Elle ouvrit ensuite la fermeture éclair de sa culotte pour laisser sortir sa verge, se dressant fièrement vers le ciel. La demoiselle regarda avec appétit ce sexe veineux tandis que sa maîtresse lui demandait où elle voulait être prise.

« Nyyyuuu... cette chatte gourmande... veut être prise... par le minou. »

Puisque Mélinda était déjà debout, Karuta supposa qu'elle ne voulait plus faire l'amour sur la fauteuil. Elle alla donc se coller tout près d'elle, ronronnant dans son oreille en frottant la latex de sa catsuit contre son harnais en cuir.

« Mâitresse Mélinda... comment voulez-vous prendre votre chaton ? Debout... en levrette... myaaa... contre un mur... mmrraaww... allongée... à vous de choisir. »

Quand la vampire eut fait son choix, la maid l'accompagna docilement et gémit un bon coup quand la queue de la femme lui rentra dans l'intimité. Mélinda était une amante puissante et fougueuse, qui imposait son rythme et ne se privait pas de palper Karuta dans tous les coins. La jeune fille ne pouvait que suivre le rythme et tenter de donner autant de plaisir que possible à la femme. Et pendant qu'elle faisait l'amour, elle savait que Vanilla Warren et Ariman l'observaient, et cela l'excitait. Mais plus que tout, elle espérait que quelqu'un irait rapporter à Evangeline que son petit chaton faisait de l'excellent travail.
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Evangeline et Echo

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    Description
    Evangeline : La Maitresse des poupées, dirige la vallée indépendante d’Ancarla. 
    Sorcière transformant les gens en poupée pour en faire ses serviteurs.
    
    Echo : Servante principale d’Evangeline, elle lui ressemble  physiquement, mais en plus jeune. Ne montre aucune émotion et n’a pas d’âme.

Re : Le bal des Poupées

Réponse 118 jeudi 15 novembre 2018, 12:24:36

Chambre d’Alice :

Anna-Marie après difficulté avait réussi à trouver une position pour léché la princesse malgré son entrave. Elle tentait de faire de son mieux, la situation était si étrange, si différent de ce qu’elle avait l’habitude de faire. Le temps s’écoulait, mais elle ne s’en rendait pas compte. Prise dans un tourbillon de doute, d’excitation et concentration, Anna-Marie n’était plus elle-même, elle n’avait jamais été aussi vulnérable depuis bien longtemps.

Se laissant guidé au possible par la princesse qui l’avait entrainé là-dedans, elle fit par s’arrêté. Mais tout ça n’était pas terminé. Ce n’était qu’une première étape. La princesse la détacha avant de partir derrière un auvent en lui demandant de se dénudé entièrement. Après tout ça, finir entièrement nue n’était pas le plus dur. Pourtant Anna-Marie regarda la porte, elle était libre, elle pouvait partir. Mais pourquoi avoir fait et accepté ça si c’était pour partir maintenant ? Elle en perdrait en plus de son honneur, la confiance de ça Princesse et les chances de réussite de sa mission. Non elle ne pouvait pas laisser tomber maintenant.

La chevalière se retrouva alors nue prête à découvrir la suite que lui réservait la princesse Korvander. Anna-Marie avait un corps fait pour le combat, mais qui était quand même très beau a regardé, de jolie courbe, une belle peau et posture féminine et droite qui accentuait le tout. Finalement la princesse sortie dans une tenue qui la surprit complément. C’était si différent, si éloigné de la pureté qu’elle semblait dégager à sa rencontre. Pourtant elle semblait si alèse là-dedans, avec cet objet à l’avant qui laissait aucun doute sur ce qu’elle lui réservait.

-Je euh...oui…

Elle la regardait avec stupéfaction, ne pouvant s’empêché d’imaginé sa Princesse vêtue ainsi.


Les Balcons :

Les deux poupées blotties contre l’archimage, la nourrissaient se laissait toucher, embrassé gardant le sourire. Pendant ce temps Evangeline l’écoutait pour lui répondre. Elle n’ut aucun mal à comprendre à qui elle faisait référence.

-Je comprend très bien à qui vous pensé en parlant ainsi. Et je tien à dire deux chose. La première et que les déesses que nous servons ne sont pas les mêmes. Et de deux que la folie à bien des formes, si on devait se méfier de toute les personnes avec un certain degré de folie, je peux vous l’assuré le monde serrais bien vide. La folie est à l’origine de bien plus de progrès que la raison, mais de désastre aussi. La folie n’est ni noire, ni blanche, c’est le cœur de l’homme qui en abuse qui le détermine.

Pouvoir expliqué la folie en détail, ses formes et conséquence demanderais des jours et des jours et serrais plus que certainement ennuyeux. Mais il faut avoir conscience qu’elle a plusieurs formes et ne pas en avoir une idée fixe. C’était surement déjà le cas, car Samara changea de sujet pour revenir au rituel qu’elle avait surpris plus tôt. Déjà quelque chose plus dans le domaine de la femme et qu’elle serait plus à même de comprendre.

-En gros les personnes condamnées ou des esclaves juger inutile, sont enfermé et attaché dans le temple. Leurs esprits sont ensuite plongés dans la folie afin de développer la leur. C’est pour ça que je compare ça à l’agriculture. C’est une sorte de culture de la folie. Ensuite arrivé à maturité, cette folie est offerte au Déesses. Suite à ça, suivant l’état de l’esprit de la personne, je me sers du corps et de l’âme restante comme matière première pour crée mes poupées.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le bal des Poupées

Réponse 119 mardi 20 novembre 2018, 01:06:30

MÉLINDA WARREN


Plusieurs millénaires d’existence... Il fallait bien admettre que c’était très surprenant ! Cet homme avait la durée de vie des Dieux ! Certes, il aurait pu mentir, mais la vampire ne le croyait pas. Il n’avait aucune raison de le faire, et elle accusa doucement le coup, tout en retournant à des situations plus matérielles... Notamment avec Karuta. La délicieuse maid continuait à lui taper dans l’œil, et retournait près de Mélinda, qui avait enfilé un agréable harnais en cuir, mettant ainsi le ton. L’exhibitionnisme et le sexe en public n’avaient jamais été un problème pour la belle vampire, qui le prouvait encore en ce moment. Karuta proposa de passer par sa chatte, ce qui fit doucement sourire la vampire.

« Le minou, donc... »

Allons-y pour ça ! Mélinda l’embrassa encore, plaquant doucement ses lèvres contre les siennes, pressant son corps contre le sien, puis réfléchit ensuite à la position à adopter. Elle opta finalement pour une classique levrette, en orientant Karuta face aux convives. Il ne fallait pas oublier qu’elles étaient dans une alcôve d’un grand salon. Un coin un peu reculé et isolé, mais bien visible sur l’extérieur. Mélinda la laissa donc se mettre en position, et se glissa dans son dos, offrant à sa femme la vue de son dos, de sa belle chevelure tombant en cascade au milieu de son dos, et, bien sûr, de ses très belles fesses, parfaitement moulées dans les sangles.

Ariman, de son côté, s’était rapprochée de Vanillia, qui tourna alors la tête vers lui, et fronça doucement les sourcils en voyant ce grand escogriffe.

« Allons, n’aie pas peur, ma chérie !
 -  Oh, mais je n’ai pas peur ! »

Mélinda sourit doucement, tout en approchant sa queue de l’intimité de Karuta. La belle maid était manifestement impatiente, désireuse, ce que Mélinda pouvait comprendre, de sentir son membre se perdre en elle. Il fallait bien admettre que la queue veineuse de Mélinda était difficilement résistible. Vanillia y vit alors une occasion, et se rapprocha alors du duo, tout en défaisant sa robe. Elle finit ainsi dans un élégant corset rouge à dentelle, avec des porte-jarretelles, et alla se mettre à son tour en levrette, à côté de Mélinda. Surprise, la vampire, qui avait déjà son chibre planté dans le corps de Karuta, sourit brièvement.

Vanillia ondula doucement sur place, creusant élégamment son dos. Il n’y avait toutefois qu’un trou à prendre pour elle, dans la mesure où la jeune vampire était une redoutable hermaphrodite. Elle pencha la tête sur le côté, et invita Ariman à venir.

« Montre-moi ton gros serpent, Ariman ! Mon derrière t’attend ! »

Mélinda s’en pinça doucement les lèvres, et se concentra de nouveau sur Karuta. Ses deux mains se posèrent sur son bassin, palpant ses fesses, et, tout en grognant, elle accentua ses coups de reins, venant la pénétrer fortement, donnant des coups de reins bien plus prononcés, tout en gémissant longuement, poussant de longs soupirs de plaisir.



ALICE KORVANDER


Dans ce nouveau look, très inattendue pour Anna-Marie, Alice confirmait qu’elle n’était pas qu’une simple Princesse timide et gênée avec le sexe. La guerrière avait toutefois déjà eu l’occasion de le réaliser, vu comment Alice avait pris les devants, mais elle ne s’était sans doute pas attendue à ce que les choses évoluent encore. C’était à croire qu’un démon s’était emparé de l’esprit de la jeune femme, ou que le désir sexuel avait éveillé quelque chose de très profond en elle, comme une sorte de désir latent et endormi qui rejaillissait à la surface. Elle ne se contrôlait plus, et agissait par elle-même, en proie à d’étonnantes pulsions. Elle ne manqua pas de saliver en observant le magnifique corps de la guerrière. Anna-Marie était très belle sans son armure, un corps fin, léger, mais non moins athlétique, trahissant ses années d’entraînement. Vu son apparence et ses longues jambes, elle devait plutôt être du genre à miser sur la rapidité et son agilité davantage que sur sa puissance.

La guerrière annonça être prête, non sans manifester sa surprise, ce qui fit sourire Alice.

« Je crois que tu ne t’attendais pas à ça, hein ? Tu vois, je suis toujours la gentille fille, moi... Celle qui a fait ses leçons, qui lit ses bouquins, qui connaît son histoire, sa géographie, son algèbre... J’écoute les doléances des gens, j’interviens en tâchant d’être juste et sage... Mais tu sais ce qu’on dit sur les gentilles filles sages comme des images, Anna-Marie, non ? »

Tout en parlant, faisant preuve d’une voix posée et d’un ton calme, Alice s’avança encore. Elle rejoignit le lit, et s’avança à quatre pattes, rejoignant le corps de la guerrière, faisant doucement frotter sa combinaison moulante sur son corps. Elle frissonnait à ce contact, le latex moulant ses formes, la rafraîchissant doucement. Sa main remonta, et caressa le visage de la guerrière, puis elle posa ses mains sur ses épaules, et la plaqua contre le lit.

La dominant sur place, la tête blonde lui sourit encore, malicieusement, et alla l’embrasser. Pendant ce temps, sa main se saisit de son vibromasseur, et elle le guida entre ses cuisses, un sourire joueur sur les lèvres. Alice termina alors sa tirade en donnant un coup de reins pour la pénétrer, répondant à la question qu’elle avait elle-même posé :

« Ce sont des perverses... »



SAMARA


Une « culture de la folie »... Et tout ça était supposé la rassurer ? Samara fronça doucement les sourcils, commençant de plus en plus à s’interroger sur la santé mentale de cette femme. Certes, elle pouvait volontiers admettre, au vu du nombre de fous sur Terra, que la folie pouvait avoir plusieurs divinités. Ceci n’avait en soi rien de surprenant, mais les divinités de la Folie n’étaient pas particulièrement bienveillantes. La notion elle-même avait évolué au cours des siècles, mais Samara l’envisageait surtout dans sa dimension psychiatrique. Entendre Evangeline comparer ça à une forme d’agriculture était pour le moins étonnant, désarçonnant... Samara en oublia même brièvement les deux poupées qu’elle tenait dans ses bras, et qui continuaient doucement à se frotter contre elle.

Samara regarda alors les deux femmes, en essayant de comprendre ce qu’elle lui disait.

« Donc, si je récapitule ce que vous me dites... Ce manoir abrite dans ses souterrains un asile ? Et... Les femmes que je tiens dans mes bras... Ce sont des folles que vous avez transformé en poupées ? »

C’était une chance qu’Evangeline ne soit pas en présence de Nexusiens ! Ils étaient beaucoup plus moraux que les Ashnardiens ! La magie d’Evangeline donnait froid dans le dos, mais il fallait bien reconnaître que cette magie était très efficace.

« Je dois admettre que tout cela m’intéresse beaucoup. Sera-t-il possible de voir vos locaux ? La manière dont vous transformez ces esprits brisés en poupées ? Et, puisqu’on en parle... Comment fonctionnent vos poupées ? Ont-elles une volonté propre, ou n’obéissent-elles qu’aux ordres de leurs marionnettistes ? »

Quand on était une magicienne comme Samara, il fallait savoir se montrer curieux, d’autant qu’elle avait ici beaucoup de curiosité à satisfaire !


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