Mon maître sembla satisfait de ma réponse, il posa ces épaule autour de mes épaules et me fit marcher, avec mon maître à mes côté, qui se dirige vers un rue qui avait une forme circulaire. Mon maître me dit qu'il voulait me montrer un lieux qui, au son de sa voix avait vraiment une grande importance à ces yeux.
Mon maître s'arrêta devant un mur escarpé qui n'avait que un seule chemin possible, et il était lui même assez dangereux de le pratiquer. Je voulut dire à mon maître que je pouvait arriver à monter, mais il me surprit en me portant dans ces bras, l'une serait mes épaules, l'autre me prenait sous les genoux, pour permettre à mon maître de mieux se mouvoir, j'enlace mes bars autour de son cou. Mon maître sauta, montrant une puissance dont je n'avais nullement connaissance, il était fort, mais ne le montrait pas. Je sentais le vent effleurer mon visage et une larme coula, je le laisse partir le long de ma joue, je ne sait pas pourquoi cette larme était là, sans doute un impression que mon corps avait apprécié dans le passée. Mon maître arrêta son ascension et se fit glisser dans une chute contrôlée.
Nous arrivâmes dans un espace qui était vraiment bizarre, la lumière était apportée continuellement par des miroirs et la végétation faisait office de carrelage, il y avait de quoi vivre assez sainement, l'odeur est agréable et compense avec harmonie le manque d'espace. On ne se sentait pas prit entre trois murs et je pouvais sentir tous les sentiments qui imprégnaient ce lieu. Il y avait du désespoir, une recherche sans fin et en même temps une réponse dont je ne percevais pas le sens.
Mon maître me fit m'assoir sur le matelas, mes pied foulant les fleurs qui étaient douce, je me sentais bien dans cette endroit, mais je ne le montrai pas. Une esclave ne devait pas être plus heureuse que son maître. Puis il me dit quelque chose qui me fit de la peine, des larmes commencèrent à perler mes yeux, sans pour autant couler. Je me devais de répondre à mon maître, même si ma voix montra ma peine.
-Qu'est-ce que j'ai fait de mal pour que vous ne vouliez pas de moi maître ?
Avec mes mains je sera le pan de ma robe, à cette instant les larmes retenus tombèrent sur le morceau de tissus l'imbibant. remarquant ce moment de faiblesse, j'essuie mes larmes avec le revers de ma manche, puis je fit mine de sourire et répondit aux attente de mon maître.
- Je n'ai pas grand chose à dire sur moi, j'ai vécu depuis aussi longtemps que je me souvienne, c'est à dire sept mois, avec les autres esclave, là j'ai apprit tous ce qu'une esclave devaient savoir, même les plus ancienne maîtresse-esclave me firent des compliments sur ma vitesse d'assimilation, je connais l'art de la couture, la musique, la cuisine, le nettoyage, quelque arts martiaux de protection, pour protéger mes futurs maîtres, je sais jouer à beaucoup de jeux demandant de la vivacité et de la réflexion, comme le shogi ou le go. Je suis assez instruite pour faire tous se qui nécessite des connaissances ...
Je fit un temps mort pour poser ma main sur mon cœur qui me faisait mal, je ferme les yeux et respire lentement jusqu'à voir les pétales de la plus éloignées des fleurs bouger avec le vent, dans mon esprit, de l'extérieur on pouvait voir une aura émeraude apparaitre et converger vers mon cœur (Il s'agit du ki de Fiela). Je sentit la douleur s'apaiser et rouvrit les yeux.
- Mon corps est faible, c'est pour cela que des fois je sent une douleur, je suppose que cela est du à mon passée, je pense que mon moi du passée a du faire un pacte ou quelque chose de ce genre avec une créature démoniaque. Comme je le disait maître, j'ai suffisamment de connaissance pour pouvoir être un bonne servante ou une secrétaire.
J'utilise le mot servante pour tenter de comprendre pourquoi mon maître n'aimais pas que je sois son esclave.
- Pour ce qui est de ce que je pense, je pense que vous êtes spécial, comme-ci vous n'étiez pas totalement humain.
Je me rendit compte de l'insulte que j'avais proféré et me releva en l'inclinant et en disant.
- Veuillez excusez mon isolence.
Je resta comme cela en attendant ce que mon maître allait dire, des larmes recommencèrent à couler, mais ceux-ci venaient de mon cœur qui voulait que mon maître m'accepte en tant que esclave, car c'était pour cela que j'avais vécu ma courte vie.