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La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 30 mercredi 15 juillet 2009, 12:39:18

Mon maître semblait apprécier mon initiative au vue de sa tête qui voulait être le plus proche possible de mon cœur qui battait avec douceur. Je n'avais aucune gêne à sentir quelqu'un contre ma poitrine, ni où que ce soit d'ailleurs.

Cela me fit ressurgir mes souvenir de l'entrepôt, là bas je m'occupais de tous ce que les maîtresse esclave me disaient de faire, aussi j'avais développée un instinct maternel, ma douceur et mes formes naturelle servait à calmer le plus récalcitrant ou le plus peureux des esclaves. Aussi j'appréciais mon maître qui me semblait avoir comme tout humain des moments de faiblesse et je pouvait en tant que servante lui servir de baume. Ce dernier me remercia et me dit que nous allions à la ferme, mais que avant il voulait voir le kimono que j'avais achetée.

J'allai vers les sacs et sortie tous les éléments soigneusement pliés par la marchande, de là où était mon maître, il pouvait voir mon corps baigné par les rayon de l'astre lunaire. Je pose la ceinture sur la table, ainsi qu'un ruban qui semblait être gelé dans de la glace bleutée.

J'enfile, une culotte noire. Ensuite je passe sur mon corps le kimono consciencieusement, pour qu'il y ai le moins de plie, puis je prit la ceinture dont je place un morceau entre mes dans, pour avoir mes deux mains de libre, je fais ressortir mes cheveux, qui semblait être plus sombre et commence par ajuster la partie droite et ensuite la gauche. Vient enfin la ceinture, la marchande m'avais montrée un dizaine de façon de mettre la ceinture, allant de la façon traditionnel à le façon de séduire. comme mon maître aimait le traditionnelle je la porta de cette manière. Je n'avais pas mit de soutien-gorge, pour la simple raison que c'est comme cela que je me sentais le mieux et traditionnellement, on laisse le plus de peau en contact avec le tissus doux et chaud. Je prit le ruban et me fit une queue de cheval, comme la marchande m'avait montrée sur une image.

Le résultat final fut que j'étais encore plus belle, on pouvait voir pleinement les formes de ma poitrine, la finesse de mon corps, la couleur de ma peau se reflétant dans les rayon de la lune et mon visage qui semblait émaner une impression de douceur inégalable. Je m'incline et dit.

- Je suis prête maître, désolée du temps prit.

Mais dans ma voix on pouvait sentir une joie d'avoir fait plaisir à mon maître, bien qu'il avait du attendre entre cinq à dix minute, pour qu'il voit le résultat final.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 31 mercredi 15 juillet 2009, 22:52:20

Je la laissai s’habille, la dévorant des yeux… presque littéralement. Mes yeux enregistraient entièrement la beauté naturelle de son corps. Mais qu’est-ce que j’avais? Ce n’était pourtant pas la première fois que je voyais une femme nue et d’ailleurs, rien n’est plus magnifique que le corps d’une femme. Mon esclave était si jolie et la perfection de son corps, je dois l’avouer, me faisait de l’effet. Je chassai mes pensées aussi déplacées et j’attendis. Elle prit environ dix minutes et je pus la regarder, mais ce que je vis me laissa bouche bée. Elle était splendide, tout simplement divine. Je me levai, mais j’avais l’impression d’être indigne de m’avancer vers elle, mais je le fis tout de même, mettant un pied devant l’autre. Jamais je n’aurais cru voir une beauté pareille. Pas seulement elle, mais cette aura qui émanait d’elle.

Je m’arrêtai devant elle, plongeant mon regard dans celui de mon esclave ou brillait une lueur divine. Je l’admirai totalement. Chaque parcelle de son corps entrait dans mon esprit et je ne pus que rester émerveillé comme jamais. Elle savait comment faire plaisir à mon regard, ça, je ne pouvais le lui enlever. Le traditionnel était vraiment mon péché mignon, j’adorais cette tenue et surtout, elle lui allait si bien, j’aurai juré me trouver devant non pas une esclave, mais une reine des plus légitimes tant elle était belle. J’avais beau ne plus être humain ni même un simple hanyo, mais je sentais mon cœur battre rapidement, juste à la regarder, preuve que beaucoup de sentiments refaisaient surface. J’osai poser ma main sur son beau visage.

-Ce kimono te va à merveille. Tu es magnifique, Abigaëlle.

Je la fis doucement reculer contre le mur et je l’embrassai tendrement sur les lèvres, ma langue et la sienne se retrouvant une nouvelle fois l’une contre l’autre. S’il y a bien une chose que je savais, c’est que j’aimai toujours autant les baisers et les caresses, autant d’en donner et d’en recevoir et que sa beauté provoquait cette partie de moi, car j’avais très envie d’elle, en ce moment. Je sais que je voulais aller sur ma nouvelle propriété et que si mon esclave montrait un désir de se dérober à mes avances, alors, je m’y arrêterai. Si, à l’inverse, elle y répondait, alors, je continuerai, bien sûr. Mes mains se posèrent sur ses hanches parfaites et je la gardai contre la brique, réchauffée par la température de cette douce nuit d’été, de ce mur. Je n’arrivais pas à retenir parfaitement mes pulsions et mon corps y réagissait. C’était malheureux, mais deux ans d’abstinence, pour un homme, c’est très rude sur les hormones et surtout sur la libido.

Je recommençais à me poser des questions sur l’amour. Certes, je ressentais une grande attirance physique pour mon esclave et elle avait certainement quelques attraits psychologiques qui me poussait à la désirer, mais pouvais-je qualifier cela d’amour? Je n’en sais trop rien. Par deux fois, j’ai accordé mon cœur et par deux fois, je me suis vu récupérer une liberté par nécessairement voulue. Je sais bien que cette fille est mon esclave et qu’elle se donnerait à moi si je le lui ordonnerais, mais… je n’avais vraiment pas du tout envie de la pousser.

Comment allait-elle réagir?
« Modifié: jeudi 16 juillet 2009, 07:00:56 par Meisa Kamui »
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 32 jeudi 16 juillet 2009, 10:37:39

Les yeux de mon maître regardèrent tous mon corps, il semblait avoir été capturé par ma beauté. Puis il se leva et se dirigea vers moi, il croisa mon regard, je remarque à ce moment que je pouvais me voir à travers ces yeux, je ne sais pas pourquoi ce regard, cet impression de sentiments peu connut, tous cela me donne une impression de déjà vue et de tristesse, mais je cache cela dans mon cœur, pour ne pas avoir à inquiéter inutilement mon maître. Ce dernier déposa une main sur mon visage, bien que je voyait une sorte d'hésitation, comme-ci il avait peur que je refuse se contact.

Il me complimenta sur le choix du kimono, je voulut le remercier, mais je me tut quand il me fit reculer en douceur contre le mur, qui était chaud, réchauffé par l'aster solaire et qui diffusait sa chaleur dans le tissu qui me le transmet sur ma peau, offrant une chaleur qui était appaisante. Mon maître déposa ces lèvres douce sur les mienne et nos langue s'entremêlèrent une fois de plus, il semblait apprecier les baiser et les caresses, aussi je me détendis en sentatn ces mains se poser sur mes hanches, Je pouvait sentir dans le baiser de l'envie, le même sentiment était présent dans son coeur, qui battait vite, ainsi que des ces mains qui se voulait douce, mais qui n'attendais que le feux vert pour continuer.

Aussi, je me détendis et passa mes bras autour de son cou, le tous en douceur et de tels sorte à le rapprocher de mon corps, ma poitrine étant le premier point de contact. Mon maître ne voulais pas me donner d'ordre, mais je voyais bien qu'il avait envie de moi, alors j'ai prit les devants, tout en laissant à mon maître la possibilité de continuer ou d'arrêter, si cela le gêne ou le déplait.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 33 jeudi 16 juillet 2009, 16:29:18

Elle semblait réceptive et j'en étais fort heureux. Je n'aurai pas voulu qu'elle se sente mal à l'aise. Elle avait passé ses bras autour de mon cou et m'avait attiré contre elle. Je sentais sa ferme poitrine rencontrer le bas de mon torse et s'y presser doucement par la faute du rapprochement de nos corps. Je savais donc que je n'étais pas en train de l'y forcer par son statut d'esclave. Je l'embrassai plusieurs fois, avec toute la douceur que je pouvais montrer. Mes baisers auraient dû être un peu rouillé, mais mon corps l'a enregistré, c'était comme la bicyclette, ça ne peut pas s'oublier. La valse de nos appendices linguaux se faisait experte, d'un coté comme de l'autre. Ces simples baisers suffisaient à faire monter ma chaleur corporelle. Dans tous mes souvenirs, je savais que plus je chauffais et plus je la voulais et plus je serai tendre.

Comme répondant à son enlacement, mon bras droit escalada doucement le dos d'Abigaëlle, caressant son dos et grattant un peu contre la brique derrière elle, pour aller s'enrouler autour du haut de son corps tandis que mon bras gauche se dirigeait vers la droite, passant derrière les hanches, et l'enlacèrent par la taille. Une fois mes membres en position, je la serrai davandage contre moi. Inutile de vous dire que mes blessures étaient guérie et que j'ai retiré mes bandages, elle pouvait donc sentir le feu très chaud qui brûlait en moi ainsi que le désir. J'allai tout doucement l'embrasser dans le cou. Éveiller le désir de la demoiselle, c'était la première étape des préliminaires. Si elle ne me désirait pas, alors, elle ne pourrait pas tirer le moindre plaisir de ce qui s'en vient ensuite pas plus qu'elle va avoir la moindre envie d'être touchée aux divers endroits qui étaient ses zones érogènes. Les premiers par étaient presque fait, mais c'était à mon esclave de choisir.

-Je t'ordonnes une chose: Fais ce que tu crois bien de faire et ne craint pas de me repousser si tu n'en a pas envie.

(Hj- Désolé, c'est un peu court -hj)
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 34 jeudi 16 juillet 2009, 18:49:49

Les baisers de mon maîtres se firent plus doux et aussi plus émotionnel, j'en profite pour montrer ma connaissance en matière de baiser et constata que mon maître était lui aussi doué. Je pouvais sentir que son corps montait en température, moi aussi d'ailleurs, bien que cela soit moins perceptible, pendant un moment je me dit qu'il aurait été un bon mari, mais je chassa cette idée de ma tête, je ne pouvait le devenir qu'avec l'ordre de mon maître. Mes baiser était passionnée, cela était une chose sur quoi je ne me cachais pas, autant montrer à mon maître que je le désirais aussi.

Mon maître m'enlaça de façon méthodique et resserra en douceur l'étreinte, me laissant sentir son corps brulant de désir et il m'ordonna de faire se que je désirais, sans que j'ai peur d le repousser si cela ne m'arrangeais pas. A cet instant j'oubliai un moment mon statut et  lui murmure à l'oreille.

- Dans ce cas permet moi de te montrer de quoi je suis capable.


Je retira ma main droite, qui descendit le long du corps de mon maître et arriva à ma ceinture que je défit et le laisse tomber au sol, cela a pour effet d'ouvrir un peu ma tenue et je n'en resta pas là, ho que non, toujours avec ma main droite je prit celle qui trainait en haut de mon corps pour le prendre délicatement, comme je prendrais une fleur et le déposa sur mon gauche et attendit qu'il fasse le prochain pas. On m'avait apprit qu'il y avait deux façon de faire l'amour, l'un se fait avec un dominant et un dominé, l'autre se fait par des succession de pas que chacun gravit à tour de rôle.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 35 jeudi 16 juillet 2009, 19:56:49

Quelque chose avait légèrement changé chez elle, elle m’avait tutoyé. Un autre maître que moi aurait pu la gifler pour moins que ça, alors que moi, ça me ravit davantage que d’autre chose. Elle avait tout doucement défait sa ceinture, dévoilant légèrement son corps, comme une ligne beige au milieu d’un océan bleuté, attisant de ce fait le feu du désir en moi, puis, elle prit ma main droite et la posant sur le sein gauche de sa ô combien ferme et douce poitrine. Cette invitation claire à la caresser à cet endroit me fit réagir presque immédiatement, mais elle me fit aussi comprendre qu’elle savait se montrer entreprenante, ce qui me dit qu’elle savait ce qu’elle voulait et faisait, me rassurant partiellement. Avec grande douceur, je me mis à masser la colline de chair invitante de ma main experte et tendre tout en l’embrassant doucement sur la gorge.

La dernière fois, ca remontait à deux ans auparavant, avec mon épouse, la semaine précédent son départ et la mort de ma fille. À cette époque, tout me semblait simple. Je travaillais une partie de mon temps sur mes recherches pour Xatiav, je retrouvais ma femme et ma fille pour le repas et ensuite, nous dormions les uns contre les autres, et parfois, je coupais mon temps de travail pour me retrouver seul-à-seule avec la belle kitsune à neuf queues pour partager son lit pendant que la petite homonculus passait son temps à suivre Xatiav un peu partout, restant à certains endroits parce qu’elle ne pouvait pas le suivre, mais elle était trop sage de toute façon pour briser quoi que ce soit.

Cependant, maintenant, celle que je devais considérer comme une reine, c’était ma magnifique servante. Je l’attirai doucement vers le lit, la gardant contre moi au niveau des hanches pour conserver un important contact entre nous. Heureusement, le lit n’était qu’à trois pas de là. La lune continuait de baigner ce refuge de sa lumière, mais aussi les fleurs aux pétales de miroirs qui la reflétaient, révélant une nouvelle merveille de cet endroit paradisiaque que j’avais découvert il y a si longtemps. Ce qui m’a surtout étonné, c’est que tout soit aussi intact que la dernière où je suis passé. Pour continuer sur la voie du romantisme, je fis de petites succions sur la chair d’Abigaëlle, laissant de petites marques rosées, ou « sucons », si vous préférez, dans son cou. Ma main, elle, commençait de plus amples caresses sur son sein. Son mamelon, je le sentais sous mes doigts, se durcissait peu à peu.
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 36 jeudi 16 juillet 2009, 21:08:36

Mon maître accepta de franchir la marche que je lui avait présenté sous ces yeux, j'eus le plaisir de sentir sa main chaude commencer à bouger avec douceur et raffermit cette partie de ma poitrine. Mon maître me donna des baisers tendres sur ma gorge, aussi je pencha ma tête en arrière pour lui offrir mon cou à ces baiser.

Je me laisse guider par mon maître vers le lit, pendant ce court trajet il me suçais le cou comme un vampire l'aurais fais pour aspirer du sang, cela ne faisait que m'embraser davantage, je laisse un soupir quitter ma bouche lorsque la main de mon maître devient plus sérieuse sur mon sein, il pouvait sentir que mon mamelon se durcissait.

Je vis que nous étions sur le bord du lit et c'est là que je mit fin au caresse. Je me serre conter lui, nous fait faire un demi tour et je ma laisse tomber sur le matelas, tout en embarquant mon maître, qui prit dans mon étreinte atterrit sur moi, bien sur j'avais fais en sorte que son poids ne me cause pas de mal. Mon kimono pendant la manœuvre c'était un peu plus ouvert, laissant mes épaules dénudées et ma  poitrine pleinement visible, de plus la lune était mon alliée donnant à ma poitrine encore plus d'attrait.

- Ce soir je vais te combler.

Ne croyez pas que c'était encore une erreur, mon maître m'avais dit de faire ce que je semblait judicieux et je ne pouvais pas être pleinement dans mes capacités, sans resserrer le lien avec mon maître en donc perdre pour cette nuit mon rang d'esclave, bien sur demain matin je le reprendrais. De ma mais droite, je sais je l'utilise beaucoup, je suis une droitière j'y peut rien, je caressa la poitrine de mon maître et descendit jusqu'au pantalon, où je sentit une boule que je caresse, même si le tissus m'ennuyais un peu.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 37 vendredi 17 juillet 2009, 02:38:21

Elle avait échangé nos places puis elle m’avait tiré dans le lit, se plaçant volontairement sous moi. Pour éviter de l’écraser sous mon poids, je plaçai mes mains de chaque coté de son corps, soutenant le mien à un décimètre du sien. Je lui souris. J’aimais bien être dans cette position, c’était pratique pour les baisers. Elle me dit qu’elle allait me combler, m’arrachant un sourire. Je me penchai sur son oreille et je chuchotai les mots «Non, c’est moi qui va te combler » comme pour l’entrainer dans une sorte de jeu où le but était de satisfaire notre partenaire en premier. Doucement, je pris sa main dans la mienne et la portai à mes lèvres, conservant ce regard empli de douceur alors que j’embrassai tendrement ses doigts. De ce simple geste, je prouvai que tout son corps me semblait attirant, que je considérais apte à être embrasser, et pas que je n’étais attiré que par ses attributs féminins.

Bien qu’elle caressait mon sexe au travers du tissu qui composait mon pantalon, je n’avais pas l’intention de la laisser gagner à ce petit jeu. Doucement, je descendis mon visage à un niveau inférieur, celui de sa poitrine, en bécotant avec douceur la peau sans imperfection quelconque de son torse avant d’atteindre sa protubérance mammaire droite.

Comme je l’ai fait maintes et maintes fois dans le passé, ce doux temps où tout ne semblait être que conneries et plaisirs, je démontrais encore mon expertise dans le domaine des préliminaires. Doucement, je léchai sa divine auréole, tel que mes anciennes amantes semblaient tant l’apprécier. Je ne me pressais pas et je la faisais languir. Comme je le sais, bien que l’auréole soit sensible, c’était les extrémités qui étaient toujours les plus sensibles aux caresses. Je finis par prendre son mamelon en bouche et à le suçoter. J’aurais pu en rester là, mais comme je suis quelqu’un qui aime bien se servir de ses mains, je n’allais pas laisser celles-ci inactives et attendre qu’elles servent à des manipulations trop directes.

Ma main droite alla donc à sa précédente occupation, soit réchauffer, caresser et torturer son sein gauche, en étirant le mamelon puis en le pinçant légèrement, juste pour lui donner des sensations diversifiées. Ma main gauche, toujours inactive, caressait maintenant l’épiderme de sa cuisse.

Je n’étais certainement pas son premier amant et son dernier, soit Don, allait en recevoir toute une pour l’avoir maltraitée, bien que je lui dois une fière chandelle, car sans ca, je n’aurais pas rencontré mon esclave, sinon, j'ai très envie de le tuer, ce que je ferai… une fois que je lui mettrai la patte dessus pour la séance de torture que j’ai prévue pour lui, dans l’ombre des terres souillées par les ténèbres de mon antre, soit la montagne noire qui me servait également de bibliothèque et de laboratoire, mais le quartier de vie avait la fonction de salle de torture.
« Modifié: vendredi 17 juillet 2009, 02:50:35 par Meisa Kamui »
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 38 vendredi 17 juillet 2009, 03:05:32

Mon  maître m'avais implicitement laissé un défi, qui ne pouvait être refusé loin de là. Le but sera donc de combler l'autre avant que ce dernier n'y arrive. Cela me fit frémir d'excitation, j'allais savoir qui entre moi ou mon maître a le plus de facilité à donner du plaisir. Maître Kamui me démontra qu'il s'y connaissait en préliminaire, cela commença par des baiser sur mes doigts, il faut sire que cette partie, qui était souvent oubliez, a une certaine sensibilité. Puis il décida de s'en prendre à ma poitrine, celle de droite fut attaqué par la langue qui gravitait sur mon auréole, puis se fut le mamelon qui subit des sucions, quand au seins gauche ? Il n'était pas en reste, je sentais sa main s'occuper de martyriser mon téton et finir par caresser ma cuisse. Si il n'y avais pas le défi j'aurais vite fait de me laisser faire, mon instinct de compétition prit le dessus.

Comme les caresses ne semblaient pas faire grand effet, je passa ma mains droite sous les vêtements, pour caresser directement son membre, mes mains était un peu froide, mais cela augmentais la sensation de mes caresses qui étaient précise et offrais le meilleur que je pouvais tirer de la situation. Ma mains gauche, elle, parcourait le buste de mon maître, offrant la douceur d'une caresse et je lui donna aussi un baiser plein de passion. Qui a dit que les femmes ne sont pas dangereuse ? Je brisa net le baiser au moment où il voulut y prendre plaisir, pour le donner envie de me faire ressentir plus .

- Alors, qui gagne pour l'instant ?

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 39 vendredi 17 juillet 2009, 17:30:59

Cette esclave était plutôt directe.  Pendant que je poursuivais mes caresses que je faisais langoureuse et tendre, elle glissa doucement sa main dans mon pantalon pour y retrouver mon sexe légèrement remonté par l’excitation qu’elle exerçait sur moi, malgré elle, me caressant mon torse et me donnant un baiser. Lorsque je voulus lui rendre son baiser, elle recula, comme pour m’échauffer. Je m’élevai sur mes genoux, arrachai le fermoir en argent de ma cape de voyage représentant un lion en train de rugir, laissant l’épais tissu tomber derrière moi. Je retirai aussi ma chemise déjà détachée par ma servante, lorsqu’elle s’est précipitée à mon aide pour me soigner. Un mouvement des épaules et hop, mon corps couvert de blessures de toutes sortes se dévoilait sous les yeux de mon esclave.

-Pour l’instant, c’est bien toi. Avouai-je, amusé.

Sourire aux lèvres, je me penchai à nouveau sur elle et l’embrassai tendrement sur les lèvres. Je glissai donc doucement ma main droite, pour éviter d’être bloqué par la sienne si je me serais servi de la gauche, et je caressai doucement la culotte noire à l’endroit où se trouvait la fente naturelle et intime de mon esclave. Je ne restai cependant pas juste la main à cet endroit, non. Doucement, je quittai ses lèvres et j’amorçai une descente. Toutes une ligne verticale de baisers plus tendre les uns que les autres partant du cou jusqu’à mon objectif se dessina alors. J’arrivai au niveau de son intimité, soufflant une expiration chaude sur son pubis, et, tendrement, j’écartai sa culotte masquant son intimité déjà chaude et je me mis à lécher doucement le pourtour de cette fente intime, sans y entrer, pour l’exciter et la faire languir.

-Et maintenant?
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 40 vendredi 17 juillet 2009, 23:14:26

Mon maître fit glisser sa cape, ainsi que ça chemise et me répondit que j'étais, pour l'instant, la gagnante. Mais je me doutais bien, qu'il n'allait pas rester sur une défaite, surtout que c'était plusieurs manches, celui qui en remporterait le plus, gagnerait le défis. Il m'embrassa tendrement, je ferme les yeux pour ressentir encore mieux ce baiser, alors que sa mains droite m'entrava avec douceur la mienne, de toute façon j'étais partie pour lui offrir tous la plaisir que je pouvait lui procurer.

Sa main gauche s'amuse à effleurer mon intimité tout en ne passant que pardessus ma lingerie, il voulait m'exciter progressivement. Mon maître était décidément plein de surprise, je me demandais d'ailleurs, pourquoi il n'y avait pas beaucoup de femme qui se jetaient sur lui, peut être son apparence ou ces blessures. Il rompit le baiser et partie dans une cascade d'autre, qui partie vers le bas,  passant par mon cou totalement détendu, allant enter mes seins qui étaient en manque des caresse de mon maître, mon ventre frémit au passage de ces lèvres. Le voyage se termina devant mon intimité, il déplaça un peu ma culotte pour permettre à sa langue de faire un passage autour de ma fente, ce qui me procurais du bien. Puis il demanda qui gagnait, je souris.

- C'est toi bien évidement, aussi je vais te laisser un peu d'avance.

Ce n'était pas de la frime, j'avais pleinement confiance en mes capacités. JE fit glisser ma main gauche sur le sein du même côté et continua la glissa le long de mon ventre, jusqu'à atteindre ma fente, avec deux doigts je l'écarte gentiment, invitant mon maître à explorer l'intérieur, qui commençait à mouiller.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 41 samedi 18 juillet 2009, 21:11:10

Je souriais. Cette femme me plaisait énormément. À la fois douce et entreprenante à ses moments, je me demande bien pourquoi je suis celui qui ai décidé de l'acheter, alors qu'elle faisait maintenant envie à tout le monde, c'était vraiment incompréhensible. Alors que je m'occupai de sa vulve, elle avoua que j'étais le vainqueur de cette manche, m'arrachant un beau sourire alors que je la regardais. Elle dit également, pour mon plus grand amusement, qu'elle me laissait un handicap, un peu d'avance sur elle et écarta de ses doigts les lèvres de son vagin. Comprenant cette invitation, je rapprochai une nouvelle fois ma bouche de son jardin intime. Mes lèvres rencontrèrent les siennes, celles qui servaient à bloquer l'accès à son fruit interdit et je glissai ma langue dans cet endroit sacré qu'était la vulve d'une femme. Mais comme quoi il est rare qu'un fruit ne donne pas de jus, la cyprine se frayait un chemin sur ma langue avant d'entrer dans ma bouche puis coulait dans ma gorge et sur les bords de mes lèvres. Le cunnilingus a depuis ma première fois été quelque chose que j'adorais et dans lequel j'excellais et comme quoi j'avais une langue plutôt douce, pour un homme, les sensations ressenties par mon amante devrait être plutôt agréables.

Comme quoi ses seins avaient été délaissés sur le moment et je décidai de m'occuper d'eux. Doucement, je laissai mes mains gravir son corps parfait, sa peau douce comme la soie déjà légèrement humide par la chaleur, comme une huile naturelle qui faisait glisser mes mains. J'atteignis son invitante poitrine avant de commencer à la masser de mes deux mains. Je commencé par masser les deux globes de chair avant de m'attaquer aux mamelons. Je pinçais, étirais, tordais légèrement les petites boules de chairs, puis, je les enfonçais un peu, lui accordant un maximum de sensation. Bien sur, tout ca était fait avec la plus grande tendresse, quoi que je ne me souviens pas d'avoir déjà été brutal dans une relation avec une femme... enfin, si je l'ai fait, je ne m'en souviens pas....
« Modifié: samedi 18 juillet 2009, 23:46:25 par Meisa Kamui »
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