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La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

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Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 15 lundi 13 juillet 2009, 20:41:11

Ce que je lui ai demandé lui a fait verser des larmes de tristesse. Je ne comprenais pas pourquoi une esclave avait tant de mal à se faire traiter en être humain et pas en objet qu’on peut acheter, vendre, donner, recevoir et même abuser sans cesse. Lorsqu’elle me demanda pourquoi je ne voulais pas d’elle. C’était loin d’être le cas, pourtant, sinon, je ne l’aurais pas achetée. Elle expliqua tout ce qu’elle savait, j’en pris bien note, puis, elle se mit à dégager, à ma grande surprise, une lueur verte à laquelle mes yeux réagirent. Je savais maintenant qu’elle était spéciale. Elle continua de parler de ses capacités et me regarda, me disant qu’elle se doutait que je n’étais pas totalement humain avant de s’excuser de ces paroles. Je souris doucement et je me levai. Je pris délicatement son visage dans mes mains avant de l’embrasser doucement, allant une nouvelle fois rencontrer sa langue de la mienne, posant ensuite mes mains sur ses bras pour l’empêcher de reculer, oubliant que même si elle le voulait, elle ne le ferait pas. Ce baiser dura un moment avant de se briser et je la regardai dans les yeux, avec douceur.

-Contrairement à ce que tu crois, je veux de toi. Et tu as raison, je ne suis pas humain. Moi-même, j’ignore ce que je suis. J’ai perdu, comme toi, mon identité après un évènement marquant. J’ai aussi vu que tu es également spéciale et que quelque chose en toi. Si tu veux que je te traites en esclave et que ca te rend heureuse, alors, je le ferai, mais à ma manière. Ne t’inquiètes pas pour mes sentences, elles sont égales à l’erreur que tu as commises et à la valeur que j’accorde à cette erreur. Et pour ce qui est de ta remarque sur ma race, tu m’as obéit, alors, je n’ai pas à te faire du mal pour m’avoir dit franchement ce que tu pensais. Je préfère ça à du léchage de botte.

Doucement, je l’obligeai à s’allonger sur lit et je l’incitai de mes bras à passer les siens autour de mon cou et je l’embrassai à nouveau, soutenant sa tête d’une main et sa hanche de l’autre. Certes, je n’avais pas l’intention d’aller trop loin, puisque je me doutais que les traitements infligés par Don ont du la marquer. Peut-être que son esprit a oublié, mais son corps s’en souvient parfaitement. Je ne peux pas lire les pensées, mais je peux analyser celles-ci en regardant les airs du visage ou les réactions du corps. Tout ça est enfermé dans un bouquin que j’ai laissé à ma nouvelle propriété. Cependant, je commençais à me demander si une esclave devait obéir à tous ceux qu’elle rencontre. Après ce baiser, je la regardai encore une fois.

-Alors, accepte-tu que je te gardes où veux-tu que je te trouves un nouveau maître, plus strict et mauvais que moi?Personnellement, j'aimerais te garder avec moi, si possible...
« Modifié: lundi 13 juillet 2009, 20:48:51 par Meisa Kamui »
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Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 16 lundi 13 juillet 2009, 21:39:26

Je put sentir les mains de mon maître me prendre avec douceur mon visage et ces lèvres entrer en contact avec les miennes, ainsi que ma langue frôlée par la sienne, les dernière larmes finirent de couler et je me laissa faire. Mon maître me prit mes bras comme pour m'empêcher de reculer, mais je ne pouvait pas, mon maître a les pleins pouvoir sur mon corps. Je ferma les yeux pour ressentir toute l'intensité de ce baiser qui dura une éternité, quand l'embrassade fut brisée je rouvrit les yeux et entendit ce que mon maître me dit.

Dans mon esprit il y eus comme une fissure, d'un côté je me dis que si mon maître avait réussit à être aussi fort, je pourrais essayer de le devenir, mais de l'autre côté du miroir je voyais bien qu'il ne me considèrerais jamais pleinement comme une esclave. Mais en tant que esclave je me devais de remplir mes obligations présente, c'est-a-dire, faire plaisir à mon maître.

Je laisse mon maître m'allonger sur le lit, je me laisse faire, tels un poupée de chair sans vie. Mon maître me fit passer mes mains autour de son cou et me donna un autre baiser. Je peut sentir une de ces mains me tenir la tête et une autre me prendre avec douceur ma hanche. Mon corps frissonna de peur et voulut se débattre pour sortir de  l'étreinte, mais mon esprit l'entrave complètement.

Mon corps avait toujours réagit de cette manière, comme-ci il rejetait un quelconque attouchement, les maîtresse-esclaves m'avaient vite apprit que mon corps avait du subir un choc lors d'un rapport sexuel et qu'il voulait se défendre contre ce genre d'agression, Cinq mois de travail forcé suffit pour que mon esprit prenne le dessus sur ce corps qui repoussait tout amour.

Mon maître me posait une question qui me posa quelque problème. Je respira calmement et répondit avec franchise.

- Je crois, mon maître, que je ne suis pas l'esclave qu'il vous faut, une autre plus jeune ou chétive pourras sans hésiter comprendre votre douceur et votre amour, mais laissez moi 24 heures de réflexions et je vous donnerais ma réponse définitive.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 17 lundi 13 juillet 2009, 22:51:08

Je vis alors qu’elle n’avait aucunement envie que je la touche de cette manière. Il n’en fallut pas plus pour que je m’arrête. Elle me dit alors qu’elle ne croyait pas être l’esclave faite pour moi, qu’il m’en faudrait une autre, plus fragile, qui serait capable de comprendre ma douceur et mon « amour ». Ce mot me fit alors reculer et me lever. Je sentis la colère monter en moi. Je la regardai, mes iris s’illuminaient d’une légère lueur bleue électrique, preuve évidente de mon déplaisir. L’amour était pour moi une putain de connerie qui se brise aussi facilement qu’un baiser.

-Je suis loin d’avoir besoin qu’on me comprenne. Je t’ai dit que je voulais que tu restes à mes cotés, c’est tout. Si tu n’aimes pas la douceur, parfait, je peux me retenir. Je te traiterai comme un objet.

La lumière se dissipa après une seconde. Mon visage était maintenant à nouveau figé dans cette douceur feinte que je m’efforçais de lui montrer, mais empreinte de douleur et de tristesse. Je ne croyais plus du tout en l’amour. L’attachement, l’affection peut-être, mais l’amour… j’ai vraiment trop de mal à y croire. Pour me calmer, je sortis un bouquin de mon sac de voyage, j’allai m’asseoir sur une chaise plus loin et je me mis à lire. Même quand les gens me sont liés, ils ont tous envie de partir, alors, si elle voulait vraiment partir et ne plus me revoir, elle le pouvait. La froideur que j’avais en quittant la montagne de Xatiav était revenue. Mais cependant… au fond de moi, je n’avais pas du tout envie qu’elle parte. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de protéger quelqu’un et cette fille ne semble pas capable de résister aux punitions de ses maîtres. Évidemment, elle prévoyait probablement partir cette nuit, mais je n’avais pas l’intention de la laisser retourner au marchand. Je fermai les yeux.

-Sache cependant que si tu veux partir, tu peux essayer, mais je t'en empêcherai. Je ne t’ai pas achetée pour ton beau visage, je t’ai achetée parce que tu as du talent et parce que je te voulais. Et en plus, maintenant, tu m’intrigues, alors, j’ai très envie de savoir le secret qui se cache derrière ton esprit endolori.

Sur ce, mon état de demi-transe se manifesta et je laissai mon corps se reposer en laissant mon esprit éveillé, surveillant mon esclave. Je suis à la fois le pire et le meilleur des maîtres. Je n’ai pas l’intention de laisser cet homme récupérer mon achat, il ne connaissait pas sa vraie valeur. Son véritable elle-même restait en elle et elle avait réussi à piquer ma curiosité. Je ne laisserai personne lui mettre la patte dessus, personne. Sortir d’ici était nettement plus facile que d’y entrer, si on remarque qu’il y a une échelle pour grimper sur un bâtiment. Il suffisait ensuite d’arriver à m’échapper… impossible, en fait. Mais essaye, Aby, et mènes-moi à l’entrepôt du marchand d’esclave.

Le ciel se voilait déja de ténèbres et  moi, je faisais pareil, conservant le silence désagréable que je venais d'installer entre nous. Je doutais fortement qu'elle vienne me voir et me demander pardon, mais ne sait-on jamais ce qui va se passer. Je ne peux qu'espérer...
« Modifié: lundi 13 juillet 2009, 23:03:12 par Meisa Kamui »
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 18 mardi 14 juillet 2009, 00:03:04

Je fus surprit de la réaction de mon maître, avais-je dit quelque chose qui avait meurtri son cœur ? Le regard de mon maître changea aussi, il était plein de colère, presque de la rage sans pour autant l'atteindre. J'allais présenter mes excuse mais il me cria dessus, je resta immobile en attendant la suite, prêt à m'en prendre une.

Mon maître prit une chaise et mit de la distance entre lui et moi, il préféra se venger sur un livre. Mon maître allait mal, cela se voyait, aussi j'utilisai mon intuition, enfin je l'appel comme-ça, mais mon ancien moi avait apparemment la faculté de savoir à quoi pensait une personne en analysant les moindres détails. J'en avais héritée, même si c'était très dure pour moi de le faire.

De son aura glacial, je présumais qu'il avais du perdre quelqu'un d'important il y a peu. Ses yeux dévoilaient qu'il était en train de penser à quelque chose qui semblait me viser. Il était impossible qu'il sache que j'allais partir ce soir dans la nuit.

Pourquoi fuir ? Je ne voulais pas qu'il souffre encore de me faire du mal ou qu'il tente en vain de me rendre heureuse. Son malaise quand il m'avais giflé était resté gravé en moi, il était trop doux pour avoir une esclave comme moi et même si il disait vouloir me prendre comme un objet, son esprit ne le supporterais pas. Il n'avait rien d'un maître, il était plutôt une personne voulant prendre soin de ces esclaves.

Aussi la fuite permettrais de le calmer et de se trouver une esclave qui ne l'obligerais pas à se forcer. Mon maître ferma les yeux et me dit expressément que j'aurais beau m'enfuir, il me rattraperais et que je serais son sujet d'étude.

Puis il sembla tomber dans un état de sommeil éveillé, cela ne pouvait pas échapper à mes yeux entrainés, soit mon maître feintait de dormir, soit il voulait me garder à l'œil pour que je ne fasse pas de bêtise. Je regarde discrètement autour de moi et vit l'échelle. Pour moi deux possibilité était envisageable, le première était de fuir en utilisant l'échelle, mais rien ne dit qu'il y avait un mécanisme pour m'empêcher de monter, la seconde, plus dangereuse, était d'utiliser les fissures et les inégalité des murs pour escalader, mais une mauvaise prise aurait signé ma mort. Pour moi la fuite était un moyen de rendre service à mon maître, mais je n'attendrais que le soir, quand la lune sera clair.

Je ramena mes jambes sur ma poitrine, les enlaçant avec mes mains et  attendit cinq minutes en regardant mon maître, toujours en demi-réveil. Puis je me leva, une esclave devait toujours trouver de quoi s'occuper, en plus des corvée que son maître donnaient. Je fit le tour de la "salle" et trouva pleins de chose à faire, je releva les manche de ma robe et commença à arracher les mauvaise herbes, qui auraient tué les fleurs. Comme j'étais encore dans ma tenue d'esclave et à quatre patte, mon maître pouvait voir mes fesse et mon dos qui se moulais avec la robe.

Cela ne me prit même pas trois minutes, je voulut sentir l'odeur d'une fleur rouge avec une corolle jaune et à cet instant mon corps me fit encore mal, mais cette fois c'était encore plus douloureux. Je me coucha sur le côté et tenta de calmer la douleur, je ferme les yeux, mais la douleur est tellement intense que je n'arrive pas à me concentrer et la douleur commençait à devenir insupportable. J'essaye d'articuler une phrase, mais un murmure en sortait.

- Maître aidez moi .

De l'extérieur on voyait une aura irrégulière qui, loin de converger vers la douleur, semblait en sortir, le ki de Fiela s'emballait. Ce phénomène n'est pas rare, quand le ki est trop présent il doit s'évacuer et cela engendre des lésions souvent bénigne, mais comme Fiela n'avait pas connaissance de cette énergie en elle, elle ne savait pas la relâcher périodiquement et dans une situation comme celle-ci, le déchargement de son corps pouvait causer de très grave lésion, voir, si le taux de ki était trop important, causer la perte irréversible d'un sens.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 19 mardi 14 juillet 2009, 01:21:55

Je ne pris pas longtemps avant de me calmer. Lorsque ça se produit, un simple moment de silence me suffisait. Doucement, j’ouvre les yeux pour regarder l’esclave que j’avais nommé Abigaëlle dont le désir apparent était, pour ma grande déception, réellement de partir. Je soupirai, repliant une jambe sur ma poitrine, le talon sur le bord de la chaise, passant un bras autour pour la garder à cet endroit. Je n’avais plus les réflexes pervers que j’avais du temps où j’étais adolescent, alors, voir les fesses de mon esclave au travers de son habit bien trop fin ne me faisait pas grand-chose… enfin, presque. J’aurais pu rougir, mais je ne pouvais pas le faire, tout simplement parce que mon corps ne le pouvait pas. Au bout d’un moment à la regarder arracher les mauvaises herbes, je remarquai un truc inhabituel. L’aura d’émeraude devenait complètement dingue. Le corps d’Abigaëlle ne pouvait plus contenir cette énergie. La jeune femme se mit sur le sol et m’appelait à l’aide. Sans hésiter, je me levai d’un bond et je me ruai vers elle.

Je savais ce qui se passait. Elle n’arrivait pas à relâcher d’elle-même ce ki pour évacuer le surplus trop important. Je savais également que si elle ne le relâchait pas bientôt, elle allait être très endommagée. C’était le moment de l’aider. Doucement, je lui relevai la tête vers moi et je plongeai mon regard dans le sien et aussitôt, de petits éclairs verts quittèrent ses yeux vers les miens. Je sentais l’énergie qui n’était pas la mienne entrer en moi et je m’occupai de la relâcher pour elle. L’énergie verte qui émanait de moi se dispersa et quelques fentes s’ouvrirent dans ma chair, tellement c’était beaucoup. Comment avait-elle pu garder une aussi formidable énergie en elle sans exploser? Les déchirures sur ma chair se dévoilaient sous ma chemise blanche, maintenant que le sang y perlait. *Ca… ca ne guérit pas!?* C’était la première fois que mes blessures ne se régénéraient pas. Mais qu’est-ce qui vient d’arriver? Je pris un moment pour réfléchir. D’après moi, l’énergie que j’ai accueillie puis rejetée a peut-être temporairement neutralisé mon pouvoir de régénération. Bah, comme quoi tout arrive au mauvais moment, je soupirai et je laissai mon sang sortir de ma chair sans même y prêter attention, une fiole remplie du liquide de régénération sanguine étant dans ma poche, je n’avais rien à craindre. Je regardais mon esclave, ma respiration un peu accélérée par la douleur que je m’efforçai d’oublier, avec attention.

-Après ça, tu veux que je te laisse partir? T’es dingue. Tu risques de crever plus qu’autre chose.

Ma voix semblait indifférente, mais en faite, j’avais plutôt envie de lui demander si elle allait bien, si elle ne souffrait plus, mais je savais qu’elle le prendrait mal, comme si je ne la traitais pas comme une esclave et ca renforcerait son envie de partir. Moi, je ne voulais pas qu’elle s’éloigne. Je n’avais vraiment pas envie d’être seul à nouveau. Je la soulevai dans mes bras, la portai dans le lit, la glissai sous les chaudes couvertures. Avant de me détourner d’elle, je lui fis une pichenette sur le front. C’était sa punition pour m’avoir tiré de mes pensées pour lui sauver la peau.

-Maintenant, tu me dois ta santé, Abigaëlle. Et ce que je veux, en échange, c’est ta présence auprès de moi… repose-toi, maintenant.

J’allai faire un pas quand je tombai à genoux, pratiquement vidé de mon sang. Je fouillai dans ma poche pour la potion, la sortit, mais elle était presque vide… le bouchon avait foutu le camp. Je portai le reste à ma bouche et je le bus. Aussitôt, le sang se fit plus dense dans mes veines.

-Avant de dormir, viens panser les blessures de ton maître.
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 20 mardi 14 juillet 2009, 09:01:50

Je sent que mon maître vient vers moi, j'étais très faible et il me prit la tête pour établir un contact visuel et vit avec étonnement que quelque chose de vert se dirige vers les yeux de mon maître et apaise ma douleur et lui inflige des blessures sur le torse. Quand il me sermonna je baissa la tête en marmonnant.

- Je suis désolée maître.

Décidément je n'en ratais pas une avec ce maître. Il me prit et me dépose sur le lit rabattant els couvertures chaudes sur moi, puis il me donna un petit coup avec son doigt sur le front, qui plissa un peu, en me disant que je lui devais la santé et qu'il voulait que je reste avec lui, cet accidents avait bouleversé mes plans, je ne serais jamais prête pour ce soir et j'avais une dette à payer avant de vouloir éventuellement partir.

Puis je le vit s'affaisser sur ces genoux, je sortie des couvertures, avant même qui me le dise, déboutonna sa chemise et examina les blessures, elles n'étaient pas trop nombreuse et elles saignaient car elle étaient sur le passage de canaux sanguin qui avaient un grande pression. Je regardai autour de moi et voie des bandages, et des cotons, mais pas de désinfectant, je m'approcha des plaies en pose ma langue, avec de la salive, c'était le meilleur désinfectant que j'ai à disposition, je crut voir une faible étincelle apparaitre quand ma langue entrai en contact avec sa blessure. J'imbibe de salive les coton que je plaçent sur les plaies et fit un bandage parfait sur le torse de mon maître. Il pouvait se mouvoir sans que cela le gêne et c'était assez serré pour permettre un bon rétablissement, je lui prit un bras que je mit sur mes épaule et l'amena sur le lit, la santé de mon maître était plus important que la mienne. Je rabat les couverture en lui disant.

- Veuillez resté allongé jusqu'à ce soir mon maître,  si vous voulez quelque chose dites le et je le ferais à votre place.

Je remarqua que quelque chose de chaud parcourait mon poignet. Je releva la manche et vit un drôle de signe, il ressemblait à une succession de flamme qui s'enroulaient chacun sur eux même de manière différente, le tous encerclais mon poignet. Me sentant faible, je m'allongea sur le sol et sans que je m'en rende compte je m'endormit.

N'ayant aucune connaissance en alchimie je ne savait pas que cela voulais dire "corps divin". D'après des rumeurs, un alchimiste aurait fait une transmutation pour permettre un jour d'enfermer une déesse ou une reine démon dans un corps, cette action lui avait couté la vie ainsi que celui de sa femme, on ne sait pas où est passez leur fille. On raconte qu'une déesse se laissa enfermer dans le corps de la fille pour lui prodiguer les soins d'une mère et que cette humaine pourrait un jour avoir le rang de déesse  ou de reine des démons en éveillant ces pouvoir latents, mais ce n'était que des bruits de couloir jusqu'à présent. La Fiela de maintenant était tous ce qu'il y avait d'humain ou presque.

En tous cas cela expliquerait plein de chose comme la quantité de ki en elle ou le fait que la régénération des blessure de Kamui soit deux fois plus rapide que sa régénération normal, ainsi que la faiblesse du corps de l'esclave.

Kamui put observer aussi un changement d'aura, pendant une fraction de seconde il devint dorée et retourna ensuite sous sa couleur d'émeraude, mes blessures avaient quand à eus disparut, dans la position où je m'étais endormit on aurait dit un ange étant tombé de son paradis. Mon corps étaient une peu à l'air à cause d'un petit vent tourbillonnant qui releva un peu ma robe, mais la végétation du sol offrait chaleur, donc ma peau ne frissonna pas.

Je n'eus pas le plaisir de rêver, je m'agitais dans mon sommeil, je commençais à faire le cauchemar que je redoutais. Je suis dans un espace envahit par les ténèbres, puis je vois le katana, qui semble m'appeler, mais je n'entend pas le nom, puis il y a un bruit de cassure et un crie inonde ces ténèbres. Je me réveil en sursaut et en sueur, mon corps tremblant encore de ce mauvais rêve. A force j'étais habitué au manque de sommeil, mais j'avais aussi l'habitude de verser quelque larmes pour le katana comme-ci c'était d'important à mes yeux, mais je sécha vite ces larmes, c'était stupide de pleurer un armes qui se brisait.
« Modifié: mardi 14 juillet 2009, 10:49:35 par Fiela »

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 21 mardi 14 juillet 2009, 16:18:30

Effectivement, je n’avais jamais prévu de me blesser ainsi. Je me suis toujours reposé sur mon pouvoir pour me régénérer dans les cas d’ouverture de ma chair, mais là, il me fait défaut. J’ai sentit Abigaëlle se précipiter sur moi. Elle examina mes blessures. À cause le fait que j’ai manqué de mourir, je l’ai inquiétée et elle s’occupa de moi. Comme désinfectant, elle alla, pour mon surprenant rougissement, lécher mes plaies, comme l’aurait fait un chat. Étrangement, chaque contact de sa langue sur ma peau me faisait frissonner. Un filament électrique parcourait mon corps, comme si sa salive m’anesthésiait. Lorsqu’elle eut fini de me soigner, elle m’aida à me lever et elle m’allongea sur mon lit pour, à mon plus profond agacement, se coucher elle-même sur le sol. Elle ne prit même pas une seconde pour s’endormir. Aussitôt, je tendis le bras, l’agrippait par la robe qui se rompit. Je grommelai, mais c’est quoi cette plaisanterie? Elle se retrouva nue, me rendant tout rouge. Donc, puisque je ne pouvais pas la laisser sur le sol encore moi que la seconde précédente, je m’assois, la soulevai dans mes bras et l’attirai sous les couvertures. Je vis à ce moment-là quelque chose sur son poignet. Quelque chose que je n’ai pas vu depuis un sacré bout de temps. Cette fille… est une alchimiste-née. Ce sceau est la preuve que quelque chose a été scellé en elle. Je ne pouvais dire si c’était bien ou mal, ce qu’elle gardait en elle, mais en tout cas, cette chose lui fait du mal. Ce que je vis alors à ce moment-là me tétanisa d’admiration. Une belle aura dorée, comme si une déesse venait de s’infiltrer en elle pour la faire rayonner. J’étais tout simplement émerveillé. La lueur s’estompa aussi vite qu’elle est arrivée. J’étais tout ce qu’il y a de plus étonné par ce que je venais de voir. Ai-je halluciné?

Cependant, je sentais une espèce de jalousie en moi. Moi, qui a du travailler pendant deux ans pour avoir la puissance que j’aie acquise, un alchimiste-né peut me surpasser en quelques heures. Certes, je ne l’empêcherai pas d’apprendre les secrets qui sont son héritage… dans la mesure où ce qu’elle apprend ne risque pas de la tuer ou de détruire quelque chose. Après tout, même une fille d’alchimiste doit apprendre les bases, soit le principe de l’échange équivalent et les lois qui sont connaître, détruire et reconstruire la matière. Je la sentis commencer à s’agiter dans son sommeil. Je la serrai contre moi, conscient bizarrement qu’elle faisait un cauchemar. Je ne la réveillai cependant pas, car dans c’est dans ces cauchemars qu’on affronte ce qui nous fait peur et comme quoi je cauchemarde souvent… Comme un enfant qui voit un truc horrible dans ses rêves; à force de le voir, il devrait être capable de ne plus en avoir peur du tout, même s’il le voit en réalité.

La lune était maintenant bien haute dans le ciel. Ce qui allait se passer, je n’en étais pas sur. Elle ne m’a pas encore donné sa réponse définitive. J’avais très envie de la garder à mes cotés et peut-être d’en faire mon apprentie, si elle le désire. Tout comme Xatiav l’a fait avec moi, je lui montrerai ce qu’elle peut regarder et ce qu’elle ne peut pas regarder. Je l’emmènerai à la montagne et je lui ferai lire l’infinité de bouquins qui y étaient. Dans ses gênes, je savais qu’elle pouvait déchiffrer d’elle-même la langue d’Éden, ce serait si simple pour elle de tout comprendre, car sa capacité d’assimilation ne faisait aucun doute, elle apprendrait vite. Imaginez ce que nous pourrions faire ensemble… en espérant qu’elle ne soit pas claustrophobe, puisque les espaces sont très sombres et elle n’y verra pas grand-chose, puisqu’elle n’est pas un monstre… en fait, c’était surtout ce que je lui enviait. Être humain et ne pas avoir à me poser sans cesse la question : Que suis-je?

J’attends maintenant son réveil, qu’elle me donne sa réponse et ses désirs.
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 22 mardi 14 juillet 2009, 17:49:44

Pendant dix minute mon esprit était dans le brouillard. J'essaye en vains de comprendre mon cauchemar, pour qu'il cesse de me tourmenter toutes les nuits. J'avais l'impression que quelque chose voulait entrer dans ma tête, j'entendais une berceuse qui restait gravée dans ma tête même si je ne comprenais absolument rien de qu'elle disait.

Une fois mon esprit pleinement éveillé, je constate qu'il me manquait quelque chose, ma robe et j'étais sur le lit de mon maître, de plus j'avais l'impression que l'on m'avait prit mon poignet où était apparut la drôle de marque. Je me retourna lentement et vit mon maître qui me regardait, comme-ci il  attendait un réponse.

Je me rappela que je lui avais demandé un délai pour lui dire ma réponse, dans ces yeux je pouvais voir qu'il savait quelque chose à propos de cette marque. Je pose mes bras autour du cou de mon maître et dit.

- Je veux rester avec vous toutes ma vie maître Kamui.

Puis je l'embrassa avec douceur et sensualité, cela dura deux minute, ma jambe droite remonta doucement vers son corps. Je voyais bien que ma réponse lui avait plus, alors je me permit de demander.

- Vous savez ce que c'est maître ?

Je lui montra ma marque au poignet. De tous les langages que j'avais apprit, aucun ne me permettait de comprendre ce que c'était, même les sceaux n'avaient pas ces formes, je ne savait pas encore que j'allais entrer dans un autre monde où tous était possible à condition de garder équilibrer le balancier de la nature.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 23 mardi 14 juillet 2009, 19:10:07

Elle s’était réveillée au bout d’un moment. Après un moment pour qu’elle recouvre ses sens, elle m’a regardé. Elle a du voir quelque chose dans mes yeux, parce qu’elle n’a pas hésité très longtemps à me dire qu’elle voulait rester à mes cotés pour toujours avant de m’embrasser. Je figeai un moment, surpris, puis je passai mes bras autour d’elle en lui rendant ce baiser bien plus doux quand elle le faisait d’elle-même. Le baiser dura un moment et j’en perdis pour la première fois depuis longtemps la notion du temps. Je ne savais pas s’il était plus lent ou si c’était moi qui étais plus rapide, mais il me semblait que tout était au ralenti. Les baisers volontaires me faisaient encore cet effet, même si je ne voulais plus y croire. Elle me posa alors une question, concernant les symboles sur son poignet. Je soupirai de soulagement, j’avais eu peur qu’elle me demande pourquoi elle était nue. Je pris doucement le poignet de mon esclave.

-Il s’agit d’un sceau et d’un message. Il signifie : Corps divin. Ce qui veut dire qu’en toi, il y a quelque chose de puissant, qui pourrait t’accorder la place d’une déesse ou une reine maléfique… et même d’une maîtresse de l’équilibre, si tu le souhaites.

Je souris, amusé. J’étais devenu une sorte de professeur, c’était bizarre. D’habitude, c’est moi qui n’arrête pas de poser des questions et là, je réponds à une des questions qui m’a été la plus longue à trouver la réponse. J’ai toujours voulu savoir si la transmutation d’énergie ou d’entités étaient possibles, j’en avais maintenant la preuve vivant

-Ca veut dire que tu es aussi l’enfant d’un alchimiste. De par ton sang, tu es à même ma supérieure. Une haute-née. Si tu le désires, je t’apprendrai à te servir du don de ton parent qui possède le don de transmutation.

Ce qui voulait dire que dans un certain sens, elle pouvait me demander certaines choses et j’étais obligé de l’aider. Par exemple, si elle voulait apprendre l’alchimie, lire mes recherches, etc, je devais le faire. Je restais cependant son maître vis-à-vis des choses normales, comme la cuisine, les travaux normaux, quoi. Elle est peut-être la dernière fille d’alchimiste sur cette terre. Moi, j’ai appris l’alchimie, elle ne coule pas dans mes veines et est donc moins puissante chez moi que chez elle. Doucement, je posai mes mains de chaque coté de ma belle esclave, soulevant mon tronc au-dessus d’elle. Je la regarde dans les yeux.

-Qu’en dis-tu? Ca t’intéresse?
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 24 mardi 14 juillet 2009, 19:48:32

Mon maître me prit délicatement mon poignet. D'après ce que mon maître me dit j'avais en moi une grande puissance, mais je ne comprit pas trop la différence entre une déesse, une reine maléfiques et surtout une maîtresse de l'équilibre. Ce que je savais maintenant c'est que j'aurais le choix de devenir un esclave plus  forte et que je pourrais mieux protéger mon maître.

Mon maître me dit que j'étais l'enfant d'un alchimiste et de se fait j'étais supérieure à mon maître, il me proposa même d'apprendre à m'en servir, il se mit au dessus de moi et me demanda si j'étais intéressée. J'ouvre la bouche en pensant à ma réponse, mais la phrase qui sortie fut tout autre.

- L'alchimie c'est une forme de magie, non ? C'est quoi la différence entre une déesse, une reine maléfique et une dame de l'équilibre ?

Je me rendit compte que j'étais un peu trop curieuse et préféra me taire. Il fallait cela dit que je réponde à la question de mon maître.

- Si cela ne vous ennuis pas, j'aimerais savoir ce que c'est et essayer de faire de mon mieux pour répondre à vos attentes

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 25 mardi 14 juillet 2009, 23:46:16

Je la regardai avec attention. Elle voulais que je lui explique mes précédentes explications. Je lui souris doucement et je m'assied donc à coté d'elle. Je restai un moment silencieux pour réfléchir à ce que je pourrais bien lui dire à ce sujet. Mon visage se crispa de concentration, mon esprit allant chercher un maximum d'information sur les quatres sujets que je devais lui donner. Je soupirai en me laissant tomber sur le matelas, ferma les yeux. Les informations s'affichaient sur mes paupières closes, comme si mes yeux étaient de mini-projecteurs. Les yeux fermés, je récitai ce que mes yeux avaient enregistré.

-L'alchimie est la science de l'échange équivalent. Nous ne pouvons créer quelques choses à partir de rien. La masse totale des ingrédients doit être obligatoirement la même que celle de l'objet une fois assemblé. Pour créer un objet, il faut connaître parfaitement les composants de celui-ci. L’alchimie est un outil, pas une arme.

Je regardais mon esclave avec un grand sourire. En fait, je crois fortement qu’elle ne s’en servira jamais à mauvais escient, j’en étais persuadé. Je me lançai ensuite dans une seconde explication. Les trois forces suprêmes qui régissaient le monde en une seule explication.

-Une divinité est une entité aux pouvoirs très élevés. Les divinités du bien cherchent le bénéfice du monde, tandis que celles du mal cherche sa destruction totale pour la refaire à leur image. Les divinités neutres, soit d’équilibre, agissent de leur propre chef, faisant le bien et le mal si elles le souhaitent, restant cependant des êtres vivants à l’abri des ravages du temps, mais vulnérable aux blessures de la chair.

Je lui souris.

-Personnellement, je te verrai plus en cette dernière.
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 26 mercredi 15 juillet 2009, 00:17:38

mon maître s'assit à côté de moi, puis partie en pleine réflexion avant de m'expliquer rapidement ce qu'était l'alchimie, même si cela semblait compliqué à comprendre, mon instinct me disait que j'apprendrais vite, une question naissa dans mon esprit, mais j'écoutai la suite. Puis une fois ceci fait je récapitula à voix haute pour montrer que j'avais assimilée.

- Une divinité à de grand pouvoir et ne vieillit pas, mais peut se faire blesser. Elle peut apporter la félicité, la destruction ou les deux. L'alchimie est une science qui nécessite un équilibre des composants et de la création.

Je me mit la mains sur mon crâne, même si c'était assimilé, cela avais du mal à passer. Je ne savais pas pourquoi, mais je me sentais un peu mal, comme-ci j'avais passez trois nuit dehors attacher nue à un arbre. j'inspire à fond et expire tous l'air de mes poumon, dix fois de suite, cela avait la propriété de alimenter au maximum mon cerveau et retirer le stress qui me bloquait un peu le cou.

- J'ai bien comprit le raisonnement de l'alchimie, mais j'aimerais savoir, si l'on peut créer des objets, pourquoi n'avez-vous pas fait une marionnette ou une humaine qui serait comme vous l'avez façonné.

Je ne savait pas encore, que par mes parole, j'avais mit le pied dans un sujet que les alchimistes considéraient comme tabou.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 27 mercredi 15 juillet 2009, 00:56:29

La transmutation humaine, le péché ultime, l’extrême interdiction du monde des alchimistes. Elle m’avait demandé pourquoi je ne l’ai pas exécutée pour façonner une humaine ou une marionnette qui faisait tout ce que je désirais, qui était exactement comme je le voulais. Cette simple question s’enfonça dans mon cœur et le déchira. Je regardai mon esclave, une tristesse infinie dans les yeux.  Comme un enfant qui avait de mauvais souvenir, j’aurais bien voulu aller me lover dans ses bras pour calmer les tremblements qui naissaient des sentiments éveillés en moi. Je détournai les yeux.

-Parce que ma fille, qui avait la capacité de transmutation, a tenté de se créer un petit frère… sur la demande de mon maître qui voulait se débarrasser de la créature qu’il a lui-même créée avant de partir à tout jamais. Ma fille est née de l’alchimie… et elle est morte de la même manière.

Je tremblais beaucoup, mais ca se calmait peu à peu. Les souvenirs s’effaçaient à nouveau de ma mémoire, car je forçais mon esprit à ne pas garder ces mauvaises pensées, mais pas assez pour que j’oublie ma mise en garde. Je pris délicatement le visage de ma petite Abigaëlle dans mes mains et je plongeais mon regard dans le sien avant de l’embrasser tendrement.

-Ne transmutes rien sans que je sois là… parce que je ne veux pas qu’une autre personne vive cette chose affreuse qu’est la mort pas alchimie. Je ne veux plus jamais entendre ces affreux cris et te voir te faire avaler par la transmutation. Si juste un seul ingrédient te fait défaut, juste un, tu risques d’être dévorée pour combler le manque. Et… je ne tiens pas à te perdre…
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Fiela

Humain(e)

Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 28 mercredi 15 juillet 2009, 01:28:48

Je put remaruquer, que ma question avais dérangée et pire encore, il avait blessé mon maître. De son corps je pouvais voir des tremblements et ces yeux semblait refleter le néant, comme-ci à l'instatn même je l'avais tuée de tristesse.

Quand il m'expliqua ce qui était arrivé à sa fille, je posa une mains sur ma bouche pour cacher mon horreur, l'autre poing se serra tellement fort, que l'on pouvait entendre mes phalange craquer, si son maître avait été là, je l'aurait trucidé sur place. Ma vie importais peu, mais celle d'autrui était comme un frère ou une sœur. Je me calma quand il me prit le visage et m'embrassa, son baiser avait quelque chose de spécial.

Puis il me dit ce qu'il ne voulait pas que je fasse en utilisant un exemple assez fort pour me persuader du bon fondement de sa mise en garde. Je me lève et prit la tête de mon maître pour le déposer sur ma poitrine douce et réconfortante.

- Je suivrais votre enseignement à la lettre mon maître.

Kamui Meisa

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Re : La vente annuelle d'esclave de Nexus [PV Meisa Kamui]

Réponse 29 mercredi 15 juillet 2009, 08:31:08

Lorsqu’elle me serra contre elle, je sentis mon cœur faire un bond. Je restai surpris un moment, les yeux écarquillés par mon étonnement, mais… ce contact était doux. Cette douceur en laquelle je ne croyais pas se manifestait encore une fois et faisait résonner mon cœur. Je n’ai jamais connu une tendresse si sincère et si réelle. Elle était chaude et son cœur battait doucement, comme un feu accompagné d’une légère musique. Je fermai les yeux et je me laissai doucement aller contre elle, si bien là. Elle m’assura qu’elle suivra mon enseignement à la lettre, je me détendais donc entièrement. Finalement, je commençais à apprécier la vie de maître, il y avait pas mal d’avantages à cette nouvelle existence, d’un coté comme de l’autre. De plus, elle n’agirait jamais avec hypocrisie ou par intérêt personnel… du moins, je crois.

-Merci, Aby.

Je persistais à lui donner ce nom, alors qu’elle était une entité suprême vivante. Je désirais vraiment savoir son vrai nom, au lieu de l’appeler ainsi sans être sur qu’elle aime celui que je lui ai donné. Mais je trouvais qu’il lui allait bien, je ne sais pas pourquoi. Je restai un petit moment ainsi la tête sur son torse, puis je me souvins que, par ma faute, elle ne portait plus rien. Ni soutien-gorge, ni culotte. Elle était totalement nue et moi, j’avais la tête contre sa poitrine bien ferme. Je reculai doucement et je lui caressai la joue. La nuit était finalement bien tombée, car la lune, au-dessus de notre tête, illuminait l’endroit. La lueur réelle de l’astre… Je souris.

-Allons sur ma ferme, maintenant… Mais avant de partir… Pourrais-tu revêtir le kimono que je t’ai fait acheter? J’aimerais voir s’il te va bien.

En fait, je voulais surtout qu’elle se vêtît pour que je ne me laisse pas aller et que je finisse par littéralement lui sauter dessus pour lui faire l’amour même si elle n’est pas totalement consentante. J’avais détourné le regard pour diminuer la tentation mais, tel que je me connais comme homme, je ne sais pas si je pourrais résister bien longtemps à celle-ci. Après tout, j’ai fait deux années complètes d’abstinence, il était donc normal que le sexe me soit plutôt difficile à résister. Ce qui me gênait, c'était ses capacitées. Si elle pouvait lire mes pensées, elle allait me prendre pour un sale pervers.
« Modifié: mercredi 15 juillet 2009, 08:56:12 par Meisa Kamui »
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