Welcome to the ARK - [Ariman]

Ariman avait suffisamment absorbé de pièces détachés provenant de la salle de torture et s'appreta à remonter quand un mutant fit irruption dans la pièce. Quand il vis l'Oblitérator la mâchoire de sa face bestiale s'ouvrit. Il était stupéfait quelques secondes avant de pousser un hurlement d'alerte en se saisissant de son fusil. L'Obliterator fut sur lui avant qu'il ai le temps de lever son arme et il l'éventra avec une pointe à piston industrielle transperçant le bide et la cage thoracique du mutant de part en part.

Ariman se saisit de la pétoire de sa victime un gros canon scier au moment ou un mutant regarda ce qui ce passe en haut d'un escalier. Ariman tira une décharge sur le mutant mais rata sa cible. Récupérant les munition en arrachant le ceinturon de cartouche du mutant mort Ariman monta les escaliers alors que des cris ce fit entendre.

Il fut accueillis par une grêle de plombs. Les mutants c'étaient retrancher derrière des caisse arrosèrent copieusement l'Oblitérator qui leva son bras pour se protéger la tête. Malgré le fait qu'il est un peu gêner Ariman tira une décharge non pas sur les mutants mais un bidon à carburant derrière eux. L'explosion dans un petit local fit du dégât pas assez dangereuse pour l'Oblitérator mais les mutant à proximité se prirent l'explosion de plein fouet et de la viande repeignis les murs.

 Ariman repris sa route et semblait être dans le second sous sol du bâtiment. Il pouvait entendre de l'agitation. Avec l'explosion c'était certain que les mutants allaient se rendre compte qu'il était encore vivant. Il devrait trouver le cœur et fuir le plus rapidement possible. Le hic c'est que son détecteur était en panne. Il allait falloir un peu de temps pour que l'informatique se remet en état ce qui forçait Ariman à chercher à l'ancienne. Mais alors qu'il arriva vers l'escalier se trouvant au rez de chaussé une surprise de taille l'attendit.

Plusieurs mutant gisaient raide mort sur les marches et dans le sous sol. L'un d'entre eux avait le visage complètement fondu. Il restait un mutant affreusement bodybuilder et aux dents taillés en pointes en train de se battre et poignarder avec un grand couteau...

Ariman passa de la surprise à un rictus et fonça.

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Le mutant bestial arracha sa lame du bras de Mirna et leva sa lame en poussant un rugissant et bavant en même temps quand tout à coup il disparu du champs de vision de Mirna et la pression du mutant aussi comme par magie. A demi étouffé elle tomba au sol n'ayant pas compris ce qui c'était passé. Quelques chose semblait l'avoir frappé au flanc à grande vitesse comme si il avait heurter un tramway fou.

Mirna tourna la tête et vis que le mutant musclé était au prise avec le monstre de chair et métal mais son armure semblait différente comme si il avait fusionné avec de nombreuses pièce métallique. L'impact de l'Oblitérator avait plusieurs os du mutant qui tenta de le poignarder avec sa lame mais elle se brisa sur l'armure d'Ariman qui abatis ses deux poings massifs sur le crâne du mutant et le réduisit en bouille.

Ariman poussa un grognement satisfait et fit volte face pour avancer droit vers Mirna.

- Je pensait que j'aurais du fouiller tout cet endroit pour te trouver mais j'ai eu de la chance finalement. Es tu venue ici pour vivre ou mourir petite sourie ? Demanda t'il.

La lame lui échappa des mains alors que le mutant, l'écume aux lèvres, s'apprêtait à se jeter sur elle. Soudain, elle sentit un coup de vent qui la renversa, la faisant tomber sur le sol froid et humide alors qu'elle laissa échapper un cri de surprise. Mirna s'écarta en rampant, se traînant à l'écart de la scène, faisant racler ses bottes empruntées contre le sol. Le colosse de chair et d'acier se tenait à quelques pas d'elle, brisant les os du mutant avait de réduire la tête de celui-ci à l'état d'une fine bouillie. Haletante, elle s'écarta un peu plus du monstre, le regardant avec des yeux écarquillés.

Cette masse était terrifiante... et impressionnante. Pas étonnant qu'il avait réussi à se tirer d'un aussi mauvais bas. Son corps était un enchevêtrement complexe d'inanimé et de chair qu'il pouvait, apparemment modeler à souhait. Elle déglutit, continuant à fixer le monstre qui lui avait ravi son existence avec un mélange de haine et de peur. Au moins il lui avait sauver la peau, sachant pertinemment qu'elle n'en serait pas là sans lui et qu'il avait toujours intérêt à garder le Cœur si il n'avait pas reçu sa gratification (et pire) de la part du Conte.

« Vi...vivre. » répondit-t-elle en tremblant. Les mots qui suivirent étaient pesés avec soin. Il fallait qu'elle se tire d'ici et qu'elle le veuille ou non il était sa seule chance de salut. « T'as besoin de moi. Cette bâtisse est truffé d'hommes de ce.. "Conte" et j'ai plus d'un atout dans ma manche mine de rien » grogna-t-elle, sans s’embarrasser d'un inutile vouvoiement.  Mirna prit une profonde inspiration avant de se jeter à l'eau. Elle reniait tout : l'Arche, son existence, sa vie. Il n'y avait plus rien si ce n'était des coupables dans tout les camps. La jeune femme avait toujours été une fille pragmatique, assimilant les enseignements de l'Arche qui était le vernis d'un caractère moins docile. Même si elle n'avait pu démontrer ce talent au cours de sa jeune vie : c'était une survivante. Et elle avait raison. Il avait besoin d'elle, que ça soit pour partir de ces terres maudites, quitter cette bâtisse, ou bien obtenir réparation vis à vis de la tromperie du Conte.  « Mettons... on arrive à partir d'ici... qu'est-ce qu'il va m'arriver ? » continua-t-elle le cœur au bord des lèvres.

- Bien ! C'est ce que je voulait entendre. Dit l'Oblitérator qui tira le cannon scier et la ceinture de cartouche qu'il lança à Mirna. Ariman ramassa tout les cannon à plasma et les fusionna dans ses bras. Mirna posa une question mais l'Oblitérator la coupa.

- Ne perd pas ton temps à parler. Parler en ses lieux est une perte de temps et synonyme de mort. Ramasse tout ce que tu peu pour te défendre et te protéger et suis moi nous avons peu de temps avant qu'ils se décident de descendre ! Tu te lamentera plus tard ! Ordonna t'il sèchement.

L'Oblitérator laissa à la filles trentes secondes le temps qu'elle fouille les corps. Même sans cannon à plasma les gardes avaient plusieurs armes et affaires lui pouvant être utile. Le plus maigre des trois avait même un arc et un carquois remplis de flèches. Les trentes secondes passé elle fut contrainte de suivre l'Oblitérator.

Maintenant qu'il avait récupérer le coeur Ariman n'avait plus besoins de remonter jusqu'à la demeure. Il se trouvait au deuxième sous sol ce qui signifiait qu'il était pas loin du garage ou était entreposer les véhicules. Trouvant la bonne direction Ariman généra un perce muraille et transperça le mur dans un bruit d'enfer. Le béton ne résista pas la force de l'Oblitérator qui passa à travers le mur et se retrouva face à trois mutant dont une sentinelle géante.

Le monstre géant poussa un feulement et se rua sur Ariman alors que les deux mécano mutants se saisirent de grosse clef mais hésitèrent à attaquer quand Ariman para le gourdin du monstre se moitié cybernétisés avec sa foreuse et l'envoya ensuite vadinguer sur un établis remplis d'outils pour enfin lui exploser la tête d'un tir de plasma.

Elle arma l'arme, attachant la ceinture de cartouche autour de sa taille. La jeune femme répondit par un hochement de tête, les yeux dans le vague alors qu'elle se baissa pour farfouiller les cadavres en quête d'armes ou d'objets récupérables. Lorsque ses doigts effleurèrent un carquois, elle laissa échapper un soupir de tristesse avant de se ressaisir. Il ceignit bientôt sa taille alors qu'elle laissa l'arc le temps de terminer ses recherches. Elle trouva un autre poignard, une fiole de liquide étrange (puant et opaque), des mitaines de cuir paré de bout de métal acéré aux jointures. Mirna mis la main sur un pistolet de manufacture grossière, et un large poignard de la taille de son bras, qu'elle attacha dans son dos à proximité du carquois. Le reste des objets n'étaient pas dignes d’intérêt alors elle se releva et reprit l'arc.

Le géant se mit en route, elle s'empressa de le suivre, aveuglement sans savoir où ce chemin la mènerait. Le sous-sol était nettement plus vaste que ce qu'elle pensait et bientôt ils arrivèrent vers un lien un peu plus éclairé ou l'on pouvait apercevoir quelques véhicules. Elle se dissimula derrière l'homme, ce qui n'était pas vraiment difficile vu sa taille, alors qu'il transperça le mur. Celui-ci ploya, puis explosa presque à son passage, révélant trois mutants. Il s'occupa du monstre baraqué (bien heureusement) alors que l'attention de la jeune fille se reporta sur les trois mécaniciens. L'un d'eux se rua vers elle brandissant sa clé à molette, enfin décidé à attaquer vu le destin de leur camarade, suivi par les deux autres. Mirna évita avec adresse le coup sortant la longue lame de son fourreau pour la planter dans son torse. Il émit un vague gargouillis avant de tomber sur le sol. Elle para le coup de son camarade avec la même arme qui fut envoyer plusieurs mètres plus loin par le choc, la clé bien trop grosse par rapport à celle-ci. La jeune femme hurla quand le second lui donna un coup sur l'épaule, la déboîtant presque. Elle esquiva, fonça vers celui-ci afin de le faire tomber au sol. Elle se saisit du canon scié et lui fit exploser le visage, désormais mélange de chair et d'éclats d'os. Mirna bondit évitant le survivant, le visant avec son fusil alors qu'il s'arrêta soudainement. Pas vraiment courageux apparemment.

Le mutant leva les mains en signe de reddition, mais Ariman cria.

- Tue le ! La pitié n'existe pas ici. Si tu le laisse vivre il te tuera un jour ou avertira ceux qui nous traque ! Dit il avant de reporter son attention sur les véhicules et laissa la fille décider quoi faire du mutant.

Ariman fit le tour du garage et finis par trouver ce qu'il recherche. En arrivant aux désolations l'Oblitérator avait entreposé quelques affaires dans ce garage et voila un ans que cela traine dans un coin dissimulé derrière une pile de tonneaux et de déchets. Il tira la grosse machine emballé sous une bâche blindée et fit sauter les boulons explosif pour libérer la machine de son emballage. Il pris ensuite un casque trainant  sur un établis et monta sur la machine.

Mirna entendit un grondement de moteur et vis Ariman juché sur une moto de guerre imposante aux allures agressive. Deux énormes cannons était fixé à l'avant de la moto et l'engin était aussi gros que son propriétaire.



- Il est temps de partir. Monte ! Ordonna t'il après avoir lancer le casque de moto à la fille et attendit qu'elle monte à l'avant de la moto entre les cuisse du monstre pour plus de stabilité. Ariman était si gros que si elle montait à l'arrière elle n'aurait aucun moyen de s'accrocher.

Sans une seconde supplémentaire d'hésitation, elle appuya sur la détente, envoyant valdinguer le cadavre inanimé et troué du mutant à quelques mètres. Mirna s'approcha pour vérifier qu'il était bien mort, plantant la lame qu'elle avait récupéré sur le sol dans son crâne avant de rejoindre l'homme. Après un tour de la vaste pièce, il mit la main sur un des véhicules, apparemment familier pour lui, qu'il découvrit de la bâche blindée qui la recouvrait. Elle leva la tête vers le conducteur : la bête était aussi immense que lui, rien à voir avec les véhicules qu'elle avait pu voir sur l'Arche. Elle exhibait une apparence menaçante, gavée d'armes et de plaques. Le moteur se mit à rugir et elle dépêcha de s'en approcher.

Elle attrapa le casque de moto, qu'elle observa hagarde quelques instants avant de s'empresser de le mettre. Il était large, bien trop large, mais tenait assez et lui offrait protection en cas de tir ou de chute. C'était le plus important. Elle rejoignit la moto, et se glissa sur le devant, toute petite face à la masse du conducteur. Ses doigts se refermèrent sur des protubérances creuses sur l'avant de la moto, lui permettant de se tenir sans trop de problème pour éviter une quelconque chute lorsqu'elle irait à tout allure. Sans un mot, elle attendit que le type ne démarre l'engin. Bientôt, la jeune femme serait hors de cet endroit maudit. Elle essayait de se concentrer sur ça et de ne pas penser à ce qui suivrait.

Ariman fit sauter la porte du garage avec les bolters jumelés à l'avant de sa machine et partis sur les chapeau de roues jaillissant comme un diable face au mutants en patrouilles ou se rendant dans la bâtisse pour les chercher. L'engin d'Ariman était d'une puissance terrifiante car il culbuta, écrasa et trancha plusieurs mutants lui barrant sa route. Une sentinelle géante et plusieurs gardes voulus leur barrer la sortie une fois arrivé du coté de la grille de sortie de la propriété mais il fut promptement abattus par un tir de bolter dont les obus firent de trous dans leur carcasse.  Ariman se servis des cadavres entassés comme une rampe et sauta ensuite de l'autre coté de l'épaisse grille. pour se retrouver dans la basse ville sous les cris et les tir des mutants enragés. Il semblait qu'il entendait les hurlement de rage du conte.

Après avoir traversé la basse ville en semant la panique Ariman se retrouva hors de la ville dans les désolations dans une plaine iradiée dont le sol était craquelé et semblant être coupé en lamelle. Ariman et sa passagère restèrent silencieux un long moment. Ariman voulait mettre le plus de distance possible entre lui et la citée de Sek. Il était clair que le seigneur sorcier allait certainement envoyer ses hordes à leur poursuite néanmoins le temps qu'ils se prépare Ariman avait pris un sacré avance.

Au bout d'un long moment Ariman rejoignit une route formé de plusieurs plaques de fer fusionné les une contre les autres. Ariman se rendit compte qu'il avait rejoint le secteur des marais toxique. Une forteresse en ruine se trouvais là Ariman quitta donc la route pour rejoindre la forteresse  via un chemin de pierre en mauvais états mais qui permettait de ne pas patauger dans le marais. Ce fut une fois à l'interrieur de la forteresse qu'il stoppa et descendit de moto.

Elle serra le métal qui lui permettait de agripper au véhicule infernal, s'entaillant les paumes. Qu'importe. Elle ne ressentait presque plus rien après que son corps ait tremblé de par des douleurs bien plus atroces. L'air vicié lui piquait pratiquement plus les poumons, et elle respirait désormais avec moins de gêne. Ceux qui tentaient de stopper l'engin furent vite dévorer, trancher par ce monstre mécanique. Les autres essuyaient les tirs. C'était un carnage affreux, terrible. Mais au fond, Mirna ressentait une joie furieuse en voyant ces créatures être massacré, elle jubilait presque. C'était une mince vengeance, surtout vu qu'elle fuyait cette ville avec celui qui l'avait arraché à son monde. Sa tête se balançait de droite à gauche sous la vitesse. Elle serra les dents, se pliant pour encaisser les chocs.

Ils étaient enfin sortis. Elle pouvait désormais observer les désolations. Le spectacle était écrasant, les routes étaient dans un sale état, jaunis, craquelés. La jeune femme pressa un peu plus ses mains sur les accroches qui lui permettaient de tenir alors qu'elle tournait la tête pour observer le paysage. Jamais il ne lui aurait été possible de penser qu'un jour elle foulerait ces terres désolées. Jamais.

Bientôt, ils s'engouffrèrent dans un environnement bien différent. De nouvelles odeurs vinrent frapper les sens de la jeune femme, qui tressaillit, s'adaptant rapidement. Étrangement, ces terres lui plaisaient plus que la Cité du Conte. Au moins, elle en était sortie. Le véhicule, avec ses passagers, s'enfonça dans une grande bâtisse avant de s'arrêter. Le grondement qui lui martelaient les tympans depuis leur départ cessa. Elle descendit aussi de la moto puis fit quelques pas, engourdie par le trajet et le rythme effréné. «Et maintenant ? » Sa voix ne tremblait plus. La gêne, la peur, l'effroi s'étaient dissoute, remplacée par une lassitude teinté de rage. « ET MAINTENANT ?!!  » hurla-t-elle à l'adresse du colosse.  « Réponds ! Qu'est-ce qu'il va m'arriver ?!! QU'EST-CE QUE... ?!!   »

Elle perdait ses mots tentant, dans sa fureur, de trouver quelque chose à dire.  « Je n'ai nul part où aller.  » dit-t-elle hagarde, plus pour elle-même que pour son interlocuteur. La réalité venait de la frapper durement. Peut-être... peut-être... Son canon scié était toujours accroché le long de sa cuisse. Elle pouvait s'en saisir presser la détente et ça en serait fini. Elle serait en paix auprès de ses camarades. Ses yeux s'embuèrent alors que sa main se posa sur l'arme. En elle luttait farouchement le désir de survivre... et celui d'être en paix.

Ariman fit quelques pas pour se détendre les muscles sourd au supplique de la femme jusqu'à ce qu'il entendit un déclic. Il se tourna pour voir la femme saisir le canon scier et hésiter à retourner l'arme contre elle. Ariman s'avança et lui envoya une baffe en se retenant pour ne pas lui arracher la tête et la souleva par le col.

- Je croyait que tu voulait vivre. Voila bien quelque chose représentatif de la lâcheté c'est une solution beaucoup trop facile. De toute manière même si tu t'était fait sauter la tête le cœur t'aurait peu être ramener à la vie. La vie c'est aussi la souffrance mais tu as vécus beaucoup trop longtemps dans le confort de ton arche pour avoir fait l'expérience du véritable monde. Tu es une faible qui c'est cru forte. Dit Ariman qui lâchât la jeune femme.

- Si tu as encore de la considération pour ceux qui survivent en haut il est temps pour toi d'apprendre à t'endurcir et de payer de ton sang, de ton corps et même de ton cul si tu veux les sauver. Nous n'avons que trois semaines avant que les moteurs auxiliaires de l'Arche ne lâche, quatre si les mécanicien sont bon. Dit Ariman dont les mots avaient l'air de surprendre la femme.

L'Oblitérator regarda le canon scier au sol.

- Après libre à toi de te faire sauter la tête. Cela fera bien chier Sek si tu parviens à t'ôter la vie mais je doute que même dans la mort tu ne sera pas en paix après avoir causer des millier de morts à cause de ta lâcheté. Dit il avec un sourire cruel.

- Tu as donc le choix la lâcheté où la souffrance. La mort et la vie. Je vais attendre dans ce bâtiment ton choix. Si tu décide de vivre il va falloir que tu me le prouve. Dit il avant de partir dans un bâtiment en ruine. Une fois à l'intérieur il attendit dans les ténèbres le choix de la fille.

Le canon visait sa tête, elle n'aurait qu'à plier son doigts et... L'intervention du type la surprit. La gifle lui fit cracher un peu de sang, la renversant sur le sol au passage tellement la force du type était soudaine. Les paroles lui firent autant d'effet qu'un coup de poignard. Elle était lâche, honteuse d'avoir penser à un échappatoire aussi facile, aussi... couard. Elle n'avait même pas pensé à la possibilité que l'artefact ne la laisserait pas mourir aussi facilement.

Silencieusement, elle ramassa le canon scié pour le glisser dans son holster. « J'ai fais mon choix.  » Sa voix était calme et posée. « Le... Protocole du Gardien n'est effectué qu'en cas de situation désespérée. Lorsqu'il est effectué, la population... restante... évacue les lieux, tout comme les mécaniciens. Malheureusement, si ceux-ci sont morts. Il faudrait procéder au reste de l'évacuation mais nous manquons de vaisseaux.  » Elle prit une profonde inspiration. « La plupart des gens auxquels j'avais dédié ma vie sont morts. Tout mes camarades sont morts. Il n'y a plus rien pour moi là bas.  » Des sentiments contradictoires affectaient son jugement, mais la vérité perçait au fond de tout cela. Mais, Mirna devait retourner là bas, elle avait manquer de faillir à son devoir mais il lui laissait une possibilité de se rattraper. « Tu m'aiderais... à retourner là bas ? Pourquoi ?   » demanda-t-elle avec suspicion.

« Qu'y gagne tu dans cette affaire ? Surtout si tu laisses échapper le Cœur.  » Elle doutait que son aide pèserait à ce point dans la balance, il fallait bien obtenir quelque chose. « Si, si... vous m'aidez à évacuer les survivants de la Cité... de leur trouver un asile autres que sur ces terres... que voulez-vous en échange ?   » continua-t-elle en le regardant fixement.

Ariman stoppa et tourna la tête. Elle avait visiblement fait son choix mais lui demanda pourquoi et qu'es qu'il avait à gagner en l'aidant.

- Rien du tout mis la part la satisfaction d'avoir gâcher les plans d'un seigneur démon et son larbin mutant avec peu être des compensation sexuelle en échange de mon aide Ahahah !

Ariman se retourna.

- Néanmoins oublie l'idée de retourner à l'arche c'est Sek qui dispose d'une flotte volante et j'ai étudier l'artefact. Si j'en crois à ce que j'ai calculer que maintenant que l'Artefact est lier à toi il n'est plus possible de le retirer pour réparer les dégâts en outre l'atmosphère toxique est basé sur toute la planète. Sans respirateur ton peuple mourra dans d'atroces souffrances. Néanmoins je sait qu'il existe un moyen de les sauver. L'artefact est aussi un dispositif très ancien qui fait fonctionner une machinerie que vos ancêtre ont construit il y as des siècles bien avant que la guerre ne transforme cet endroit en désolation. Si le cœur peu faire fonctionner cette machine elle permettra de purifier l'atmosphère corrompue des désolations. Une forme de terraformation climatique. Dit Ariman en croisant les bras.

- Le voyage va être long et très dangereux jusqu'au coin occidental de la planète. Dont il va falloir que je t'apprend les bases de la survie dans les désolation que je n'ai pas un boulet à tirer mais il faudra aussi que tu apprend à te débrouiller seule. Déjà va te reposer quelques heures. Nous reprendrons notre chemin en direction de la route de Voidorak jusqu'à Drakstaar ! Ordonna Ariman.

Peu lui importait. Mirna offrirait tout ce qu'il lui restait tant qu'elle pourrait espérer un futur pour son peuple. Sa volonté, son corps, sa vie... tout cela n'avait que peu de valeur, elle céderait tout à cet homme tant que, dans son esprit, le souvenir de ce qu'elle avait connu rester intact et continuait à vivre avec les survivants de l'Arche.

« Marché conclu. » trancha-t-elle.  Ce plan lui paraissait impossible. Pouvait... pouvait-t-on vraiment purifier l'air ? Était-ce un piège ? Cela était peu probable. Elle avait honte, elle la Gardienne, de ne pas connaître cet aspect du Cœur. Ses joues rosirent de par cette gêne. Peut-être n'avait-t-on eut connaissance de cela ? Peut-être était-ce mieux de laisser les terres désolées et de profiter de ce paradis ? Les anciens n'avaient pas hésiter à leur cacher de nombreuses chose par le passer... à leur insu. Elle frémit lorsqu'il annonça que le Cœur était lié à elle de façon permanente. Au fond, elle le savait. Mais l'entendre prononcé par une personne autre... C'était encore plus certain, et définitif.  « Comment devra-t-on procéder pour effectuer cette... terraformation climatique  ? » demanda-t-elle avant de le laisser continuer.

« J'apprends vite et je ne suis pas un poids. » répondit-t-elle un peu sèchement. « Peut-être n'ai-je connu que le confort de l'Arche mais contrairement à une grande partie de mes citoyens, j'ai appris à m'adapter. Le Gardien n'est pas choisi par hasard. » Elle avait murmuré ces derniers mots, comme pour se convaincre. Mais c'était bien une réalité. Mirna n'était pas prête à aller se reposer. « Une fois l'air purifié... Il reste les désolations, les mutants, les êtres comme ce.. Conte. Je veut juste savoir : est-ce qu'ils auront une chance de survivre ? » Elle oscillait légèrement, relevant la tête le fixant.

« Il nous faudra des ressources, et les vaisseaux de secours de l'Arche restent fragiles, s'ils restent ici grâce à l'air purifié il faudra beaucoup, ils seront rapidement à court de vivres. » Elle respirait doucement, choisissant ses mots. « Nous n'avons plus rien, mais ça tu le sais je... s'il est possible que tu fournisses tout cela, que mon peuple soit en sécurité, je resterais avec toi. Tu pourras disposer du Cœur et de moi. Compte tenu de sa valeur, même synchroniser, je suppose que cela est équitable. » Si ses prédictions étaient bonnes, la machinerie dont il avait parler n'était pas le seul secret que recelait ses terres, il était possible que le Cœur permette d'accèder à de nombreuses choses. Les efforts que cette proposition avait exigé d'elle étaient colossaux, elle se retenait de trembler avec peine, se tenant toujours droite devant lui.

Puis, Mirna partit déposer ses affaires dans un coin, reposant armes et équipements avant de s'adosser contre le mur histoire de chercher un peu le sommeil.

La fille était vraiment bavarde. Ariman coupa court à ses questions et lui ordonna de dormir. L'Oblitérator se mis ensuite à réfléchir sur ce gâchis. Un ans il avait perdu un ans pour avoir été finalement été arnaqué et manqué d'être tuer par Sek. Il avait eu vraiment de la chance d'avoir pus lui échapper en reprenant le bien qu'il convoitait mais maintenant l'Oblitérator n'avait qu'une chose en tête. Se venger.

Naturellement c'était une certitude que Sek allait envoyer ses sbires pour essayer de tuer Ariman et récupérer le cœur  c'était même une certitude qu'il provoque des guerres inter clan avec les autres royaumes et les barbares de la route rien que pour récupérer le cœur. Retourner à l'Arche était aussi trop dangereux car ce serait là bas où l'armée de Sek serait aller si Ariman c'était enfuis par la voie des airs. En prenant la route à travers les désolations Ariman brouillait les pistes.

Sek était loin d'être stupide toutefois. Il savait que le Cœur avait d'autre fonctions. Tôt ou tard il va comprendre le plan d'Ariman et y envoyer ses troupes. Il fallait donc faire vite.

Trois heures plus tard l'Obliterator réveilla la fille et reprirent la route en direction de Voidorak et il ne tardèrent pas à trouver la route en atteignant un croisement ou se dressait un autel en l'honneur d'un antique dieux de la guerre. Soudainement Ariman freina et poussa un juron. Un groupe d'homme bête se trouvais au milieux de la route. Ils étaient revêtus de capes poussiéreuse. Ils étaient grand plutôt massifs mais assez vieux. Leur cicatrices montraient qu'ils avait fait autrefois la guerre ou ont eux leurs lot de conflits. Ils étaient pourtant pas agressif limite surpris l'un d'entre eux leva la main en signe de paix et s'approcha de la moto de guerre.



- Voyageur ! Pardon de te gêner ! Nous vieux et faible. Nous demander charité pour manger. Nous rendre service en échange ! Demanda l'homme bête mutant devant un Ariman impassible.

La jeune femme ne peina pas à trouver le sommeil. Pour la première fois depuis ce qui lui semblait être une éternité, en réalité à peine une journée complète, elle parvint à lâcher prise et à s'endormir. Le colosse n'avait pas répondu à ses questions, mais peu importait. La réponse viendrait en temps voulu et il faudrait désormais qu'elle ne pense qu'à l'instant et non pas à ce qui se profilait à l'horizon. Elle inspira doucement alors qu'elle s'enfonçait dans le sommeil.

Le lendemain, pendant quelques instants avant d'ouvrir les yeux elle s'attendit à se retrouver dans le confort de son lit, là haut dans l'Arche. La dure réalité la frappa lorsqu'il la réveilla. Il ne lui fallut pas longtemps pour s'y adapter, bondissant sur ses pieds afin de remettre son équipement et de s'armer. De nouveaux paysages filèrent devant ses yeux alors qu'ils se dirigeaient rapidement vers leur destination. Ils stoppèrent devant un vaste autel destiné à elle ne savait quel divinité (supposition bien entendu). Lorsqu'il freina soudainement, elle aperçu la raison de leur arrêt brutal. L'un de ces êtres mi-bête, mi-homme. Mirna écouta, à l'instar du conducteur la requête qu'ils firent. Ses yeux se détournèrent des grandes silhouettes. Que pouvait-t-elle y faire ? Elle n'avait rien si ce n'était les frusques sur son dos et ses armes. « Ils ont parlé d'un service... ils peuvent être utiles ? » marmonna-t-elle à son compagnon. Elle les regardait, méfiante, prête à dégainer si quelque chose allait de travers. Après tout ces terres s'étaient montrées dangereuses à son égard, elle ne tenait pas à relâcher son attention.

Ariman regarda attentivement les hommes bête et vis qu'ils avaient sur eux la rune du seigneur des crânes. Ses hommes bêtes étaient vieux et fatiguer mais étaient visiblement les gardiens de l'autel. Ils avaient visiblement pour objectif de le garder et veiller à ce qu'ils ne soient pas profaner. Ils allaient mourir tôt ou tard mais pas sans combattre contre le temps.

Ariman descendit de moto après avoir fouiller dans sa sacoche et donna des nutribarre au viel homme bête et pris quelques minutes pour prier devant l'autel du seigneur des crâne avant de revenir et demander quelques informations. Il appris notamment les rumeurs que dans les environs...

Une monstruosité de métal ravage la région. Une armée de chevalier du chaos épaulés par des sorciers tentent de l'arrêter.

Un vaisseau triangulaire xénos c'est crasher il y as peu une bande de nomades est allez voir mais il n'y as eu qu'un seul humain qui est revenu mortellement blessé et as parler de monstruosité Alien avant de succomber de ses blessures.

Une tribu d'Amazone ont perdu leur unique male reproducteur et sont en maraude sur la route à la recherche du candidat parfait. Ses femmes sont sauvage et d'une cruauté inouïe.

Ce fut tout ce que Ariman pus apprendre des rumeurs. Après avoir été bénis par le gardien de l'autel l'Obliterator remonta sur sa moto et redémarra. Au court du voyage il parla.

- Quand on voyage dans les désolations il faut avant tout connaître les rumeurs trainant dans les environs certaines sont fausse et sont un ramassis de connerie hurler par les fous. Par contre d'autres son vrais et peuvent tuer. Pour survivre il faut toujours être à l'écoute. Les Désolations sont un monde sans pitié mais quand on connaît bien leurs habitants et leur coutumes on peu ce faciliter la vie. Dit il.