Identité : Je me nommais Iris Furette. Maintenant je porte un nom démoniaque, que je n'arrive pas à dire. Il s'écrit Androlphith voulant dire « Brûlée par la Lumière et vêtue des Ténèbres ».
Âge : Je suis morte à 28 ans, ayant vécu par la suite environs 12 ans en tant qu'être des ténèbres. Ce faisant j'ai 40 ans d'existence, même si je souhaiterais oublier tous et recommencer à zéro, en tant qu'humaine.
Sexe : Je suis restée une femme, même si je me pose la question si femelle ne serait pas mieux vu ma race actuelle.
Race : J'étais humaine. Suite à ma mort, je suis devenue une créature des ténèbres, un démon. Mon cercle infernal est celui de l'hérésie, ayant conscience de mes pêchés, acceptant ce jugement, ce cercle fut mon lieu de renaissance.
Sexualité : Je pus goûter, de mon vivant aux plaisirs offerts par les humains et les humaines. Je ne peux dire si la balance penche vers l'exemple sociale ou celle naissante mais fragile.
Physique : Par ma renaissance, en tant que démon, je fus châtiée, mon corps fut changé. De mes cheveux bruns, elles sont devenue d'un vert turquoise repoussant. Mes yeux marrons sont comme des sphères d'or, où ne jaillit aucune flamme, ayant prit soin de perdre ce qui causa ma perte, ma vue. Mes oreilles sont humaines, mais plus aucun son ne pourra les atteindre, les ayant percés à ma renaissance. Mon odorat est aussi sensible qu'une simple fleur. De ma bouche on pourrait voir des dents blanches, une langue. De ma gorge ne pourra jaillir ce qui effondra la tour de Babel, ayant bu l'eau du Styx, les âmes défunte ayant emporter ma voix.
Mon corps mesure cinq pieds, pour un poids inhumain, je pèse dans les 10 kilogrammes. Rien de bien alarmant, car je suis une créature des ténèbres, le poids n'est pas si important pour des êtres imaginaires. L'Enfer est un lieu où la logique n'existe pas.
Je me drape de vêtement couvrant, pour dissimuler toutes les taillades que je me suis faites sur mon corps, les traces noires des brûlures en plongeant mes jambes et mes bras dans les flammes infernales. J'ai enlaidis ce corps, ne cachant pas les cornes que j'ai sur ma tête, des cornes ayant une malformation, selon les autres démons.
Une maigre poitrine, un corps frêle, pas d'ailes ou de queue. Une tare, voilà ce que je suis.
Mais cela me convient.
Caractère : J'étais une humaine pleine de vie, se donnant toujours à fond, même pour des bêtises, des choses sans valeur. Je ne cherchais qu'à apporter du bonheur aux autres, oubliant une chose importante, mon propre bonheur. Peut-être mon étoile n'était pas avec moi durant ma vie d'humaine, peut-être étais-je une simple idiote désirait simplement un peu de bonheur.
Je ne l'ai appris qu'à ma mort. J'étais une âme qui ne pouvais exister dans cet époque.
C'est pour cela qu'à présent je n'attends plus rien de la vie, je n'attend plus aucun bonheur, je n'attends qu'une chose, un repos éternel, un repos où je ne pourrais plus rien ressentir, un repos où mon âme n'aura plus à souffrir, ni se torturer.
Je ne peut qu'attendre, souffrante et agonisante sous les insultes et les coups des autres. Je ne peux en vouloir à ses âmes pour autant, étant l'une des rares à les tuer, encore et encore, pour soulager leurs souffrances, ne pouvant retenir des larmes à chaque fois que je pense à mes tentatives ratée. Car si je les tues, ils refusent de me tuer, encore et encore.
Mon âme ne porte plus aucun éclat, car elle ne me ferait que plus mal, elle me brûlerait d'un faux espoir.
Je n'ai que deux souhait, que l'on m'apporte la mort véritable et définitive ou que l'on efface tout pour renaître en humaine, même si je me doute me retrouver ici à ma mort, encore et encore.
Une âme trop pure vint à me demander, par la pensée, si vivre dans l'obscurité et le silence n'était pas oppressant. Pour moi, ne plus rien entendre, ne plus rien voir, ne plus rien sentir, ne plus rien ressentir de mes mains et pieds, ne plus rien pouvoir dire … tout cela m'apaise, je n'ai plus à me soucier, devenant comme un simple décors, une simple plante ou un simple minerais.
Je comprends mieux le plaisir du vrai silence, plongé dans un monde noire où je suis la seule présente, où je peux passer un temps indéfinissable à penser, penser et encore penser.
Histoire : Plus le temps passe, plus je m'oublie, j'oublie par fragment, laissant mon cerveau, lui aussi dépérir.
Quand j'étais une simple humaine, je me nommais Iris Furette. J'étais une simple française, dans une famille simple, vivant de façon simple, n'étant ni trop riche, ni trop pauvre, une vie simple et moyenne dans mon pays. Ma mère était couturière, mon père était un vendeur. Deux métiers qui ne payaient pas autant que l'on pourrait le croire, mais ils avaient fini par avoir une maison. Un an … non, deux ans plus tard, je vins à naître, une jeune fille pleine de vie. Je fus née dans la tranche du calendrier de floraison des iris, donnant mon prénom.
Comme toute les filles, je fus éduquée pour devenir dans le futur une bonne femme de foyer, développant, comme toute fille, une certaine sensibilité. Cette sensibilité fut certainement développé davantage dans mon enfance, subissant chaque semaines, puis chaque soirs les cris de mes parents.
J'étais devenue hyper-sensible à la colère, à la tension et cela vint rapidement à me rendre peu bavarde et très réactive quand je sentais cette pression m'étrangler, me faire suffoquer. Toute petite je vins à découvrir les méfaits de l'anxiété et sans doute avais-je peur que cette suffocation me tue.
C'est à l'âge de sept ans que mes parents décidèrent de ses séparer, ce fut un choc pour moi, mais ce monde allait être plus violent que ça.
Quand les parents des enfants apprennent qu'une jeune fille silencieuse et un peu solitaire vit avec un seul parent, ils éloignent davantage leurs enfants, interdit d'aller parler à cette fille, comme si elle avait une maladie contagieuse. Cela me fait rire jaune en repensant à ses adultes qui se plie à des préjugés et veulent sauvegarder leurs images à tout prix. Peut-être que cette société aurait put m'éviter tant de tourment, si les individus la composant auraient été plus fière et moins peureux.
J'ai vécu avec ma mère, qui vint rapidement à sombrer dans l'alcoolisme, quand elle n'était pas au travail. J'étais devenue un parasite à ses yeux, l'aide financière de mon père me garantissant le fait qu'elle ne me jette pas dehors. Au cours de mon parcourt scolaire, je fus un souffre-douleur, mais je ne pouvais me rebeller, changer d'établissement avait un coût, tant financier que social et cela n'allait pas changer le fait que je n'avais qu'une mère comme parents.
C'est à l'âge de 19 ans que je vins à quitter ma mère, elle n'eut aucun propos chaleureux, car j'avais fuis ce foyer qui me consumait à petit feu. J'avais un travail en tant que secrétaire. Comme j'étais assez jolie, on me flattait, on m'utilisait pour faire de la publicité à l'entreprise, j'étais un simple pion dans la main du directeur, qui devint entreprenant.
Neuf mois plus tard je vins à quitter l'entreprise, je ne pouvais rester dans un lieu où j'avais la sensation d'être une brebi entourée par des loups affamés.
Je fis de nombreux petit boulot, l'aide financière de mon père m'aidait à loger dans des hôtels, quand je ne pouvais trouver un logement décent. Avec du recul, je ne connaissais pas beaucoup mon père, il était toujours très mystérieux, partait souvent pour des « voyages d'affaires », ne revenant que plusieurs jours après et ramenant des statuettes d'animaux en bois. Où que je sois, il arrivait à m'envoyer une statuette en guise de cadeau d'anniversaire.
Je fus donc très triste en apprenant sa mort. Le notaire avait son testament, me laissant en héritage une maison dans la ville de Seikusu au Japon, un compte en banque contenant une somme affolante et des actions, permettant un apport régulier. Je pris donc l'avion vers le Japon, une fois la maîtrise de la langue principale faite. Je fus bien accueilli, mon père n'avait pas dit dans son testament que des serviteurs et servantes étaient présent.
Je vins donc à découvrir quelques vérité derrière mon père. Il était du genre à se diriger vers l'occulte, ayant une grande bibliothèque dédié à cela. Je vins à lire un premier livre et très vite, je vins à étudier ce qui avait réellement prit du temps pour mon père, la magie. Une partie de l'argent légué vint des organismes caritatives, j'avais trop d'argent pour une vie et je ne pouvais qu'être heureuse en en faisant profiter d'autres.
Jusqu'à l'âge de 28 ans, je fis de petit boulot, je ne voulais pas vivre uniquement des dons de mon père, je devais travailler pour que cet argent me soit partiellement dû. Un serviteur et une servante me permirent de me sortir à chaque fois que mon employeur avait la main trop baladeuse, m'instruisant sur la loi et comment l'employer pour me protéger, à défaut de savoir me défendre physiquement.
J'aurais pu continuer cette vie paisible, si je n'avais pas vécu cette nuit d'orage. Il y avait un véritable déluge et je n'ai pensé qu'à protéger des fleurs que j'avais acheté, désobéissant à mes serviteurs et servantes qui me disaient de rester au sec. Cette nuit là j'ai croisé le regard d'une créature qui ne devait pas exister. Je l'ai fuit, courant jusqu'à ce que je tombe sur un sol sable et chaud, le choc thermique troubla ma vision et je vis une immense mâchoire s'ouvrir et se refermer sur ma tête, sentant ses crocs perforer ma chaire avant que ma tête ne soit, tout bonnement, arrachée du reste de mon corps.
Je vins à être devant des êtres angéliques. Il s'agissait du Jugement dernier, ce jugement qui condamne ou bénit les âmes.
Les archanges vinrent à me questionner sur ma vie, me faisant voir une vérité que j'avais sans cesse dissimulé sous des actions bénéfique et aussi un mensonge. Je n'avais pas prit le temps de regarder mon âme ou plutôt, je ne désirais pas le voir. Les archanges vinrent à discuter et je vins à demander d'aller en Enfer. Ils cherchèrent à questionner cette décision, répondant que si j'avais mentit tout ma vie, alors je n'avais pas le droit au Paradis.
La décision fut rendu et je fus enregistrée dans le cercle de l'hérésie. Débuta ainsi ma vie en tant que démon mineur.
Là où se portait mon regard, mes oreilles, mon odorat. Tout autour de moi était d'une profonde tristesse, une tristesse qui fit écho à celle qui me rongeait de l'intérieur. Les trois premiers mois j'essayais d'enfermer mon cœur dans un bloc de glace, mais ne pouvant, le faire, je vins à me percer les tympans, pour ne plus entendre les gémissements. Au bout d'un an je vins à prendre l'eau du Styx pour la boire, espérant mourir, mais seule ma voix mourut. Je ne pouvais me jeter dans le Styx, une barrière invisible m'empêchant cela. Au bout de la deuxième année, je vins à tuer ma première âme, elle n'allait pas réellement mourir, mais paru plus calme, plus sereine. J'ai fait plusieurs tentatives sur ma personne, tentant la pendaison, mais à chaque fois je renaissais aussi triste et peinée.
Lors de mon trente deuxième anniversaire, j'ai tenté de me jeter dans les flammes, mais je ne pus rester dedans, la douleur étant trop importante, je perdis les sensations du touché pour les membres brûlés.
L'odeur de ce cercle était insupportable, si bien que je pris des braises et vint à inspirer la poussière incandescente. La douleur perdura quelques heures, mais après je me sentie bien mieux, ne sentant plus aucune odeur.
Étant une âme morte, je n'avais pas besoin de me nourrir, de boire ou de dormir.
Jusqu'à ce jour je suis restée contre, ce qui semble être un rocher, attendant, attendant, encore et encore.
Résistance : - Magie utilisée par un démon.
- Effets néfastes d'une chose venant de l'Enfer (créature, nourriture, liquide, etc.)
Immunité : - A la lumière (magique ou non)
- Au son (magique ou non)
- Aux odeurs (magique ou non)
/!\ Les effets, style somnolence/aphrodisiaque/ autres, font effet, seule la perception de l'odeur est contrée.Vulnérabilité :- Magie des anges
- Sort de magie blanche
- Sort de magie rose
- Sort de changement d'état (somnolence, nausée, paralysie, etc.)
Pouvoir latent :(liste non-exhaustive)
- Vole du malheur.
- Magie noire (nécromancie)/rouge (lié à la colère et le feu).
- Ki (utilisation de l'énergie vitale comme une source magique).
- Capacité de médium.
- Invocation d'un
Basilic spectral.
Orientation personnage : (liste non-exhaustive)
- Démon de la colère
- Fantôme
- Esclave
- Réincarnation