Maintenant qu’Helena et Karen s’étaient avoués leur amour réciproque, il était temps de passer à des festivités plus sérieuses. Karen lui avait fait joyeusement l’amour, et, fort heureusement, Huntress n’en avait pas encore fini. Au contraire, Helena voulait maintenant faire vivre son fantasme, et se mit en position, parlant alors d’une voix larmoyante. Karen ne put que sourire, reconnaissait bien là ce que ses parents disaient sur la mère d’Helena, une grande actrice... Visiblement, Helena avait hérité de ce talent, et la femme sourit en la voyant.
«
Oh, Helena... »
Karen caressa son visage, et l’embrassa sur les lèvres.
«
Tu joues très bien, mais, si tu veux que nous jouions à ça... Il faut des costumes appropriés ! »
Power Girl lui sourit encore, et s’empressa de lui mettre un bandeau autour des yeux, afin de conserver la surprise intacte. Se mordillant les lèvres, elle se déplaça ensuite, usant de sa super-vitesse, ce qui fit qu’elle revint très rapidement, dans une nouvelle tenue. Elle entreprit alors de déshabiller Helena intégralement, puis la rhabilla, sans que cette dernière ne puisse voir.
«
Laisse-toi faire, ma chérie, je vais t’habiller bien comme il faut... »
Une fois les deux femmes prêtes, Karen attrapa Helena dans ses bras, et se déplaça dans une autre pièce de sa villa, la pièce se rapprochant le plus d’une salle de cours : une salle de réunion, avec, au fond, un grand tableau vert. Elle se déplaça à nouveau, récupérant un bureau en bois, qu’elle souleva à bout de bras sans problème, pour le poser à côté du tableau, puis se pinça les lèvres.
*
Maintenant, tout est prêt...*
De la main, elle fit sauter le bandeau de sa belle amante.
Karen portait un costume sombre, à la fois élégant et beau, tandis qu’Helena, elle, avait une tenue d’écolière, avec de longs collants blancs, une minijupe rouge, et un très court corset blanc, ses bras retenus à l’arrière par de longs gants en cuir attachés avec des sangles, et reliés à un collier autour de son cou. Souriant malicieusement, Karen l’observait, bras croisés, se félicitant intérieurement du
superbe tableau que les deux femmes représentaient.
Quelques secondes passèrent, avant que Karen, ayant des talons aiguilles, ne les claque sur le sol en s’avançant vers son « élève », tenant à la main une règle.
«
Alors, comme ça, petite Helena, lâcha-t-elle alors sur un ton autoritaire,
tu n’as pas fait tes devoirs ? Tu crois que l’éducation scolaire est un sujet qui doit être pris à la légère ? Que tu peux le traiter avec frivolité ? »
Le ton était autoritaire, certes, mais non moins empreint d’une certaine forme de sensualité. Elle releva la femme, et frappa alors ses fesses avec sa règle.
«
Oui, tu mérites une bonne grosse fessée, petite traînée ! »