Le sexe était toujours magnifique à voir. C’était l’expression de la passion, du désir, l’attraction et l’alchimie des corps, un spectacle délectable et magnifique. Mélinda et Vanillia s’absorbèrent dans la contemplation de cette séance. La belle Luna était prise d’assaut par la puissante Terranide des îles. Nylla avait fini par s’asseoir sur le lit, et Luna était assise à califourchon sur elle, plaquée contre son corps, la vigoureuse trique de Nylla s’enfonçant en elle. Luna en couinait et en gémissait, son corps sautillant de haut en bas, couinant, laissant même parfois quelques larmes s’échapper, tant cette pénétration était intense. Tenant ses cheveux d’une main, Nylla n’hésitait pas à venir goulûment l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche, et posa son autre main sur ses fesses, pinçant et giflant le cul de cette petite beauté, tout en continuant à la bourrer. C’était… Un spectacle intense et jouissif.
Mélinda put voir les yeux de sa femme, totalement absorbés par ce spectacle, mais elle finit par la rappeler à la réalité, en venant l’embrasser. Il était temps qu’elles agissent, car elles n’étaient pas simplement ici pour regarder les autres faire l’amour. Vanillia avait déjà couché avec plusieurs des amies proches de Mélinda, comme Alice, ou encore les Karistal. Il lui restait maintenant à rencontrer plus intimement sa mécène, la puissante démone qui les avait mariés. Le duo marcha main dans la main sur le lit, voyant ici et là des couples s’envoyer en l’air, jusqu’à se rapprocher de leur amie.
Samara était là, allongée contre une série de coussins, et était manifestement bien entourée. À côté d’elle, il y avait
Kazuha, sa fidèle servante blonde, qui avait, elle aussi, une verge. Elle enfonçait sa queue dans la bouche de sa Maîtresse, soupirant de plaisir en sentant les délicieuses lèvres de la démone pomper son dard. Et Samara avait, elle aussi, une superbe trique, qui était avalée par l’une des esclaves de Mélinda, une jeune femme dans une belle combinaison moulante de motarde, originaire de la Terre,
Masae.
Quand Samara les vit, elle retira sa bouche de la queue de Kazuha, et se retourna vers elles, tendant ses bras.
«
C’est maintenant que vous venez me voir, mes chéries ? »
Elle esquissa un sourire ravi, et Mélinda l’embrassa sur les lèvres, puis Vanillia fit ensuite de même, mais Samara conserva la femme près d’elle. Pendant ce temps, Masae continuait à sucer longuement Samara, sans interruption. Même si Samara n’était pas la Maîtresse des lieux, tout le monde, ici, savait qu’elle était la gardienne de Mélinda, sa mécène et protectrice. Elle avait donc un statut très particulier au sein du harem, et lui obéir, au demeurant, ne gênait nullement les esclaves, tant Samara était belle et perverse.
«
Nous avons été abordées par beaucoup de personnes désireuses de nous féliciter pour notre union, Samara, mais… Il était indispensable que je vienne te remercier. C’est grâce à toi que je suis mariée, après tout… -
Tu sais combien je t’apprécie, non ? Pour toi, je suis prête à faire ce genre de cérémonies… Surtout si cela donne lieu à de telles orgies… »
Samara se retourna vers Vanillia, pendant que Mélinda s’était lovée contre le flanc de la démone, caressant l’un de ses seins. L’Archimage portait encore sa longue tunique noire, et sa main caressa le visage de Vanillia, un doigt s’enfonçant contre ses lèvres.
«
Et toi, alors ? Es-tu prête à être la femme de Mélinda ? Enfin, je demande ça, mais… Il faudrait plutôt demander ça à tes hanches. C’est que c’est très éprouvant, d’être proche de cette petite furie, tu sais… Mais c’est pour ça qu’on l’adore… Non ? »