Prénom : Ileïs
Nom : At Deühn
Âge : 20 ans
Sexe : Femme
Race : Humaine / Sorcière
Métier : Concierge au lycée de Seikusu
Orientation sexuelle : N'importe quoi
Situation de départ : Aucune expérience
Histoire
Les six écoles de magie, d'anciennes institutions oubliées depuis des siècles, datant de l'époque où les sorcières étaient encore nombreuses et craintes. C'est ici que les apprenties sorcières arrivaient pour se former et peut-être, un jour, atteindre le rang de maîtresse d'une ou plusieurs des six voies :
- La voie de la chair : Manipulations corporelles, invocations de créatures, clonage, altérations sensorielles, etc.
- La voie de l'esprit : Manipulations mentales, télékinésie, invocation d'esprits, divination, etc.
- La voie de l'acier : Forgeage d'armes magiques, création de golems mécaniques, maîtrise des énergies, etc.
- La voie des éléments : Maîtrise de l'eau, du feu, de l'air et de la terre.
- La voie de la préservation : Sorts de soin, barrières magiques, sorts d'entrave, annulation de magie, etc.
- La voie interdite, voie Divine : Recherche de l'immortalité et de pouvoirs divins.
La sixième voie est celle qui a provoqué la fin de cet âge d'or de la sorcellerie. En cherchant à empiéter sur le domaine des Dieux, les sorcières qui s'étaient ainsi fourvoyées s'étaient elles-mêmes condamnées. Les Dieux n'avaient que faire des gesticulations des mortels, non, le danger venait d'ailleurs, il venait de l'Ordre Immaculé. Ce dernier ne pouvait plus tolérer les expériences maléfiques auxquelles se prêtaient les sorcières et les laisser atteindre l'immortalité serait une erreur stratégique aux conséquences potentiellement dramatiques. Une grande croisade fut organisée, l'Ordre mobilisant une armée disproportionnée pour en finir au plus vite. Pour chaque sorcière dix paladins attaquaient leurs écoles, face à cette écrasante supériorité numérique qu'importe la puissance des sorts, ce n'était qu'une question de temps. L'école divine fut la première à être détruite et toutes celles qui en avaient appris les secrets furent exécutées sans procès, la suivante fut l'école de l'esprit et ainsi de suite. La dernière école à résister fut l'école de la préservation qui disposait de puissants sortilèges défensifs. L'une des maîtresses de cette école s'appelait Seilam At Deühn, experte du déphasage, une technique défensive qui consistait à se réfugier entre deux dimensions parallèles pour être insensible à toute attaque. C'était un sort de très haut niveau, maîtrisé par une poignée de sorcières au sein de leur école et la moindre erreur dans son exécution pouvait entraîner la mort.
Quoi qu'il en soit elle a réussi à survivre et à fuir sur Terre, elle oublia l'Ordre pour se consacrer à une tâche plus importante : la transmission de son savoir. Elle avait réussi à sauver quelques grimoires de grande valeur : Deux grimoires de l'école de la chair, un de l'école de l'acier, sept grimoires de l'école de la préservation à laquelle elle appartenait et un grimoire de l'école des éléments. D'autres survivantes avaient dû en cacher d'autres sur Terra et la Terre, sans parler des bibliothèques secrètes des six écoles qui avaient justement été construites au cas où les écoles seraient détruites. Mais impossible de savoir si elles n'avaient pas elles aussi été détruites, donc dans le doute il fallait préserver tout ce qui pouvait l'être. Un seul problème se posait, elle n'était pas éternelle et elle ne pourrait pas veiller sur ces ouvrages jusqu'au jour où l'Ordre Immaculé se désintéresserait des survivantes de la croisade. Il n'y avait pas 36 solutions, il lui fallait des descendantes, elles hériteraient de ses pouvoirs et des ouvrages qu'elle avait réussis à conserver.
De nos jours, quelque part au Japon :"ILEÏS ? ... ILEÏS ? TU AS FINI LES CARTONS DU GRENIER ?""J'arrive maman, j'arrive ... Je fais quoi des vieux bouquins avec les inscriptions bizarres ?""Hum, ils ont l'air d'avoir de la valeur ?""Aucune idée, vu leur état ça m'étonnerait. Tu sais comment ils se sont retrouvés ici ?""Non, il faut dire que grand-mère aimait bien accumuler les cochonneries."Ileïs At Deühn, 20 ans, célibataire, diplômée l'année dernière et vivant de petits boulots depuis, habite toujours chez sa mère qui est en train de déménager pour se rendre à Seikusu. Voilà le résumé de ma situation actuelle, le reste ne présente que peu d'intérêt pour être honnête.
Je finissais d'enfourner ces vieux bouquins dans un carton avant de le tartiner de bande adhésive, direction le camion, direction notre nouveau chez nous. J'avais hâte de quitter notre maison à la campagne, elle était loin de tout et le boulot se faisait de plus en plus rare par ici. En comparaison Seikusu était une ville bien plus vivante et remplie d'opportunités, le jour et la nuit. Bon j'admets que quitter la maison de mon enfance, le parc où je jouais et où j'avais appris à faire du vélo avec grand-père, l'école où j'avais fait tourner la maîtresse en bourrique pendant des années, me faisait un petit pincement au coeur. Toutes les bonnes choses ont une fin je suppose, j'espérais juste que j'allais me plaire à notre destination et trouver un travail sympathique. Je suis restée quelques secondes dehors, le temps de dire au revoir aux voisins qui avaient toujours été là pour nous et qui allaient me manquer, puis je suis grimpée dans la voiture, suivant le camion qui transportait nos biens.
L'installation à Seikusu s'est bien passée, les voisins sont venus se présenter, un charmant petit couple de retraités qui collectionnaient des pots de moutarde depuis soixante ans. Après un rapide cours sur l'évolution de la moutarde à travers les âges, nous avons pu déballer les cartons pour aménager notre appartement. C'était petit mais, intelligemment agencé, à deux pas de tous les commerces dont nous avions besoin, fini les longs trajets pour faire la moindre petite course. Bon il y avait aussi quelques désagréments, notamment la voisine du dessus dont la chambre était juste au-dessus de la mienne. Chaque soir, elle ramenait un homme différent chez elle et faisait grincer son lit une bonne partie de la nuit en couinant des "Oh oui ! Oh oui !" que je vous retranscris sans enthousiasme. Les joies de la vie en ville. Quelques cartons ne furent pas déballés, parmi eux celui qui contenait les vieux bouquins aux symboles bizarres, entreposé dans ma chambre en attendant de savoir quoi en faire. Curieuse j'ai déballé le carton avant de me coucher, prenant le premier livre des deux mains pour le poser sur mon lit et regarder ce qu'il y avait dedans. C'était quand même un sacré pavé, pourquoi écrire un aussi gros livre avec des symboles incompréhensibles ? Avais-je pensé trop vite avant de me rendre compte que je comprenais ce qui était écrit : "École de la chair - Invocations et modifications avancées". Troublée j'ai ouvert le livre, ça parlait de magie, d'invoquer des créatures et de les utiliser. J'avais du mal à y croire, mais je ne comprenais pas pourquoi j'étais capable de comprendre une écriture que je n'avais jamais vue avant. J'ai feuilleté les pages, m'arrêtant sur un sort au hasard : "Invocation d'un loup de combat" et j'ai prononcé à voix basse la formule associée au sort :
"Tar'elm ko sifar ët !"À ma grande surprise, un cercle composé de plusieurs symboles s'est formé juste au-dessus du sol et des os ont commencé à apparaître. Les os se sont rapidement couverts de chair, j'ai vu les tendons, les muscles se créer rapidement sous mes yeux, pour prendre finalement la forme d'un gros loup blanc avec des symboles rouges tracés sur le pelage. (
http://i39.servimg.com/u/f39/15/09/57/81/cf139911.jpg ) Il s'est docilement assis devant moi, attendant sans doute un ordre, il penchait la tête sur le côté, se demandant sans doute pourquoi j'étais si surprise de le voir alors que je l'avais invoqué. Au moins ce qui était sûr, c'est que ce livre n'était pas une mauvaise plaisanterie, ça fonctionnait réellement. J'ai pensé à voix haute :
"Bon, j'espère qu'il y a un moyen de te renvoyer de là d'où tu viens. Tu as l'air très gentil mais, maman ne voudra pas d'un gros toutou comme toi en appartement."Spontanément le loup s'est avancé vers moi, il a tourné les pages du livre du bout de son museau jusqu'à ce que la page où le sort de renvoi était inscrit apparaisse. Visiblement il comprenait tout ce que je racontais, plutôt pratique. J'ai prononcé la formule à voix haute :
"Erat !"Et le loup a disparu aussi sec, comme par ... Non je n'ai rien dit. Je ne me suis pas arrêtée au loup, je me suis amusée à invoquer la moitié du bouquin dans ma chambre. Y compris une véritable licorne, je pourrais raconter ça à mes futures amies, enfin non, il ne valait mieux pas. Puis, je suis arrivé à la fin de ce chapitre, passant à des rituels plus complexes. Le premier rituel était à moitié effacé par un liquide qui avait été renversé sur les pages, enfin, la marche à suivre était intacte mais, la description du sort était illisible. J'ai cru reconnaître certains mots : "Serpent", "Cracher", "Imposant", "Irréversible", mais rien de précis. J'ai donc supposé que ça voulait dire que c'était un rituel pour invoquer un serpent imposant, crachant son venin comme les cobras et irréversible ... Peut-être que ça concernait les effets du venin ? Genre : "Cause des lésions irréversibles ...". Bref, la marche à suivre ! Il faut de la poudre blanche, peu importe sa composition il faut juste qu'elle soit blanche, ok, on doit avoir de la farine aucun soucis. Six bougies, il me semble qu'on en a un paquet pour les coupures de courant donc ça aussi c'est bon. Une goutte de mon sang, un peu de désinfectant et une aiguille à coudre devrait suffire pour ça. Il fallait que je sois complètement nue pendant le rituel et que je trace plusieurs symboles sur mon corps avec un liquide rouge, hum, il doit nous rester de la sauce tomate. Système D magique.
J'ai rassemblé tous les éléments nécessaires au rituel dans ma chambre, même si la situation pouvait prêter à sourire j'ai préparé tout cela avec attention, me concentrant pour ne rien oublier. De toute façon j'avais invoqué plein d'animaux bizarres ce soir et aucun n'avait posé de problème, je ne risquais pas grand-chose. Alors si en plus je le faisais sérieusement, il n'y avait aucune raison d'avoir peur et en plus c'était l'occasion d'apprendre de nouvelles choses. Me servant d'une corde comme compas, j'ai tracé un hexagone, comme demandé dans le livre. Puis j'ai placé chaque bougie à un angle du polygone avant de les allumer. Il fallait que je dépose une goutte de mon sang sur chaque bougie avant de tracer l'hexagone avec la farine, puis que je me mette nue et que je trace les symboles à la sauce tomate sur mon corps. J'ai tout fait exactement comme dans le livre, aucun doute là-dessus j'ai parfaitement suivi les instructions. J'ai mémorisé la formule avant d'entrer dans l'hexagone, nue et recouverte des symboles de rigueur, je me suis placée au centre de la figure, à genoux, puis j'ai dit :
"Pelam ot sis gera tulum ët !"Brusquement j'ai senti mon corps se vider de toute énergie, impossible de bouger, impossible de parler, je ne pouvais rien faire. Des tentacules noires se sont matérialisées tout autour de moi, sortant de l'hexagone comme s'il s'agissait d'une sorte de portail. Ils se sont enroulés autour de mon corps, avant de pénétrer le moindre de mes orifices, mon vagin, mon anus, ma bouche, mes narines, même dans mes oreilles ... Je les ai senti chasser l'air de mes poumons et les remplir, pareil avec mon estomac et mes autres organes. Ils se sont infiltrés partout où ils le pouvaient avant que je ne perde connaissance. Lorsque je suis revenue à moi, les tentacules avaient disparu, les bougies étaient éteintes, la farine éparpillée, mon bas-ventre me faisait atrocement mal et ... Et j'avais un énorme pénis entre les cuisses ! C'est alors que je me suis rappelée que dans la langue du livre, serpent et pénis s'écrivaient avec le même mot, pareil pour cracher et éjaculation, mais ce qui m'inquiétait vraiment c'était le "irréversible". J'ai aussi remarqué que j'avais maintenant un petit tatouage en forme de coeur sur le bas-ventre avec le symbole qui signifiait "éjaculation", comme dans le livre, avec un petit point en plus sur le côté. Tandis que j'examinais l'étrange marque, un second point est apparu à côté du premier, plus gros, j'espérais juste que ça ne signifiait rien de mauvais pour moi. Peut-être une jauge pour me dire quand je devais éjaculer avec mon nouveau membre ? Ça y ressemblait fort en tout cas. Mais je n'avais pas le temps d'essayer de comprendre, j'ai pris le bouquin et j'ai récité toutes les formules d'annulation écrites dedans :
"Erat ! Kan dor mët ! Erat tu'ul ! Otom zar ët ! Erat pelam mët !"La dernière avait fonctionné, l'énorme pénis avait disparu immédiatement d'entre mes jambes. Mais le soulagement fut de très courte durée, car après quelques secondes mon nouveau membre est réapparu de lui-même. J'ai répété la formule de nombreuses fois, à chaque fois ce foutu pénis revenait comme si ne rien était. J'ai relu attentivement la page de l'incantation d'annulation et j'ai compris pourquoi j'avais lu le mot "irréversible" : "Attention, certaines modifications corporelles sont permanentes, même de puissants sorts d'annulation ne pourront rien y faire. Afin d'éviter une erreur d'incantation nous y avons systématiquement joins un rituel précis à accomplir.". Je n'ai jamais eu autant envie de me frapper la tête contre un mur de toute ma vie. J'allais devoir vivre jusqu'à la fin de mes jours avec ce truc qui pendouillait entre mes cuisses.
Il m'a fallu quelques jours pour bien comprendre comment mon nouveau sexe fonctionnait. Il avait besoin d'éjaculer au moins deux fois par jour, si ce n'était pas le cas je ressentais une intense douleur au niveau du bas-ventre. Probablement à cause du réservoir de sperme qui devait être plein à craquer. Lorsque mon tatouage affichait six points sur la jauge c'est que l'éjaculation devait avoir lieu le plus vite possible pour éviter la douleur. J'ai également remarqué que je n'arrivais plus ni à uriner, ni à déféquer, ma théorie étant que les deux se retrouvaient dans ma nouvelle poche de sperme et qu'ils y étaient transformés en sperme par je-ne-sais-quel sortilège à la con. Remarquez ça c'est plutôt un point positif de ne plus avoir besoin d'aller aux WC. Je l'ai mesuré aussi, 18cm au repos et 28cm en érection, une belle bête, dix centimètres de plus et je pouvais toucher ma rotule avec elle. J'ai mesuré mon éjaculation aussi et j'étais capable de sortir un bon litre de foutre chaud sans aucun soucis. Mais je ne vous ai pas encore dit le pire, ce fameux litre, il ne sort pas en une seule fois, ce serait trop simple ! Non, il sort par petites giclées, tout doucement et c'est une véritable torture, je peux rester plus de dix minutes à jouir en boucle, sans pouvoir m'arrêter. En tout cas il fallait que je cache cette chose, je me suis donc fabriquée une sorte de harnais spécial pour maintenir le monstre entre mes cuisses quoi qu'il arrive.
Après cet incident j'ai redoublé de prudence avec la magie, préférant garder ces livres dans un coin de ma chambre sans y toucher. Qui sait quelles autres catastrophes je pourrais déclencher avec tout ça ? Je me suis fait à l'idée que j'allais devoir vivre avec deux sexes, car oui, mon vagin n'avait pas disparu pour autant, aussi bizarre que cela puisse paraître. Il fallait que je reprenne une vie normale, faire comme si ne rien était et surtout cacher cette chose à tout prix. Que diraient les gens s'ils savaient que j'avais cette chose sous mes vêtements ? Hors de question d'en parler, à qui que ce soit. J'ai donc recommencé à chercher du travail, j'ai fait quelques petits boulots, livrer des pizzas, remplacer une secrétaire malade, faire les rayons dans un supermarché, etc. Jusqu'à ce que je postule pour un emploi de concierge au lycée de Seikusu et que je sois embauchée. Enfin un emploi stable et dans un lieu vivant en plus, parfait tout ça. Depuis j'ai trouvé ma petite routine, je commence la journée par une bonne petite branlette matinale histoire de me vider avant d'aller au boulot, douche, petit-déjeuner, brossage de dents, habillage, boulot, boulot, boulot, casse-croûte de midi, boulot, boulot, boulot, se poser dans le canapé devant la télé, manger et on finit par la branlette du soir avant d'aller dormir. En priant pour qu'aucun événement inattendu ne brise cette routine, mais dans cette ville c'est en demander un peu trop.
Caractère
Ileïs est joyeuse et optimiste ! Tu t'es cassé les deux jambes, on t'a volé ta voiture, ton goûter, ta femme, tes enfants, ton chien bobby et ton médecin vient de t'appeler pour t'annoncer que tu souffres d'un cancer en phase terminale ? Ce n'est pas grave ! Viens positiver avec la concierge du lycée ! Pour être honnête elle est même parfois franchement insouciante, elle ne voit pas le mal comme on dit par chez nous. Elle ne le voit tellement pas que le simple fait de faire du mal à son prochain ne lui viendrait probablement pas à l'esprit même si le sort du monde (des mondes?) en dépendait. Cependant, comme on dit aussi par chez nous : "l'Enfer est pavé de bonnes intentions". Ainsi parfois elle provoquera des catastrophes qui vous feront vraiment, mais alors vraiment, chier. Mais ce n'est pas de sa faute, elle avait de bonnes intentions. Par contre, toute joie mise de côté, elle et le sexe ce n'est pas trop ça, surtout depuis que zigounette fait partie de l'équation. Excessivement pudique, timide et honteuse de ce qu'elle trimballe entre les pattes, n'espérez pas la convaincre facilement d'accepter vos avances. Ce n'est pas qu'elle n'a pas envie, loin de là, mais elle ne peut pas. Comme toute concierge qui se respecte, elle passe son temps à parler de tout ce qu'elle a vu dans la journée et elle en voit des choses. Quoi qu'il en soit, peut-être trouvera-t-elle un mentor pour lui apprendre à ne pas faire n'importe quoi avec ses bouquins. Et peut-être qu'après, prenant conscience du passé de sa famille, cherchera-t-elle les autres grimoires éparpillés sur Terre et Terra. Mais pour l'instant elle a surtout besoin qu'on l'aide à ne plus avoir honte de sa particularité et rien que ça c'est loin d'être gagné.
Physique
Accent de gens bourrés ? Paré ! Attitude de beauf ? Parée ! : Dans la vie, y'a quatre sortes de femmes ! Celles qui sont moches parce qu'elles sont trop maigres, celles qui sont moches parce qu'elles sont trop grosses (la majorité à les écouter), celles qui sont ultra-moches parce que par miracle elles cumulent les inconvénients des deux et celles qui sont trop bonnes parce qu'elles cumulent les avantages. Bah elle, elle cumule les avantages. Hanches bien larges, fesses rebondis, taille assez fine, BOOBS et jolis pitis membres tout fins qu'on a envie de se faire caresser avec eux. Et elle a des lunettes aussi,
parce que les lunettes c'est trop sexy parce qu'elle voit mal sans elles. Sa peau est blanche et douce, en plus elle met même du parfum parce que le parfum ça sent bon. Si vous voulez une description détaillée de sa quéquette c'est dans l'histoire, ça vous donnera une bonne raison de la lire en entier. Le seul truc que je rajouterais c'est qu'elle dispose des deux sexes, un pénis de 28cm de long en érection et juste en dessous son vagin qui est toujours là. Ce qui donne quelque chose ressemblant à ceci : (image hentai
https://cs.sankakucomplex.com/data/48/d9/48d9ecdfc3c33eadf5868ece377b767e.png?4080864 ). Une futanari ne peut pas accueillir un pénis plus gros que le sien dans son vagin en entier, c'est aussi le cas d'Ilëis qui ne pourra accueillir en entier que des membres de moins de 28cm. Pour son tatouage sur le bas-ventre, il est juste au-dessus de son pénis et ressemble à une sorte de cœur, avec un symbole bizarre dedans et six petits points au-dessus. (Un truc dans ce genre-là quoi :
http://i39.servimg.com/u/f39/15/09/57/81/images10.jpg ) Sinon elle a les cheveux longs et ondulés, châtain clair et des yeux noisettes. Elle est plutôt grande et niveau fringues ce sera plutôt pull à col roulé et pantalons pas moulants, l'avatar c'est juste pour vous attirer et ça marche.
Autres : L'auteur (putain "auteur" quoi !) s'est bien marré en écrivant la fiche et espère que vous avez aimé.
Comment avez vous connu le forum : Double compte de Léo.
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non