Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Conduire en état d'ébriété, c'est mauvais pour le permis [Nathan Joyce]

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Catalina Taylor

Humain(e)

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Le jet de douche surprit Nathan, mais la sensuelle brune agenouillée à ses pieds n'en reçut que quelques gouttelettes. Pas assez pour la détourner de son entreprise en tout cas. Car elle redoubla d'ardeur, ses mains venant emprisonner les délicates bourses encore remplies de l'homme, les massant, les cajolant avec tendresse, avec passion.

Le regard levé vers son amant, Catalina gémit langoureusement. Elle laissait sa langue jouer contre le mandrin qui filait dans sa gorge, à un rythme qui devenait plus soutenu, et elle ferma finalement les yeux, profitant de la sensation délicieuse de sentir cette puissante virilité venir se loger au fond de sa gorge à un rythme irrégulier.

« Ah, Catalina... C’est si bon, ça ! »

Oui, c'était aussi très bon pour elle. Elle adorait sentir entre ses lèvres une verge dressée. Elle appréciait d'aspirer cette chair palpitante en elle, provoquant le plaisir des hommes. Elle ne cessait pourtant pas de prendre soin de ces testicules qui étaient souvent délaissées. Sa main était douce, mais ferme. Elle savait ce qu'elle faisait.

Finalement, elle dû poser ses mains de part et d'autres des cuisses de Nathan pour se retenir, alors que la vitesse des coups de reins de l'homme s'était accrue. Elle respirait par le nez, resserrant encore ses lèvres autour du sexe érigé. Elle voulait le sentir venir, le sentir se répandre dans sa gorge. Une fellation, ce n'était pas simplement sucer, pour elle. C'était le sentir s'abandonner entre ses lèvres, c'était recueillir ces gorgées épaisses de sperme, et les savourer. Elle gémissait toujours, de façon étouffée, et ses mains grimpèrent doucement, venant agripper le fessier musclé du policier.

Il n'y avait pas besoin d'un autre encouragement pensait-elle, tandis que l'eau gouttait plus fréquemment sur elle, et que la chaleur du jet faisait naître de la buée dans la cabine de douche assez large pour les deux amants. Elle mouillait également, et laissa une de ses mains quitter son appui pour venir frotter contre son intimité, chatouillant tendrement sa perle des plaisirs, et la hissant de nouveau dans les sphères d'un orgasme tout proche, sensible comme elle était.

Bientôt, elle enfonça son index en elle, puis son majeur. Et, au même rythme que les coups de reins de Nathan, elle se faisait plaisir, gémissant plus fort, s'agrippant de plus belle à lui.

« Hm... Hmmm... »

Les vagues de plaisir revenaient avec violence, déferlant en elle comme un raz-de-marée de sensations brûlantes, plaisantes. Elle était aux portes de l'orgasme, une nouvelle fois, et tandis que le policier baisait sa bouche avec ardeur, elle se pénétrait que quelques doigts, sans oublier son clitoris.

Dieu qu'elle aimait ça. Elle ne pourrait jamais devenir une de ces abstinentes, qui restaient désespérément chastes. Elle ne pourrait pas non plus devenir lesbienne. Elle adorait trop avoir une virilité puissante et raidie par l'excitation en elle, ou entre ses lèvres, pour s'en passer. Elle aimait trop parcourir de ses doigts, ou de ses lèvres, un torse d'homme bien fait, musclé et si chaud... Ce n'est pas seulement leurs mandrins, qu'elle aimait, auxquels elle était accroc. C'était l'homme dans sa totalité. La puissance et la testostérone qui se dégageait d'eux. Ce charisme si particulier... Elle aimait les hommes, à un niveau primaire. Bestial. Ils évoquaient en eux la femme dans toute sa splendeur. Elle se sentait comblée, avec un homme, bien plus qu'elle ne saurait le dire. Surtout si, au plus profond d'elle-même, elle ressentait leur domination.

Ces pensées eurent raison de sa résistance. Dans un gémissement plus fort, toujours étouffé, elle jouit une nouvelle fois. Elle s'arqua contre les jambes de Nathan, serrant ses lèvres un peu plus fort.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:36:35 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Ah, aaaaah !! Il en aurait poussé des jurons tant ce qu’il sentait était bon ! Le fait de la baiser, oui, car il était bien en train de le faire, en remuant aussi voracement sa queue en elle, mais... Nathan appréciait surtout le fait de se sentir enfin apaisé, de ne rien entendre de la Bête. Quand il couchait avec une femme, il retrouvait enfin sa liberté, il bénéficiait enfin de sa paix d’esprit, d’une certaine forme de félicité, et, dans les moments précédent l’orgasme, il acquérait suffisamment de lucidité pour se convaincre de se débarrasser de ce monstre, d’abandonner la Bête. Cette lucidité était fermement ancrée en lui, mais disparaissait à chaque fois quand sa crème jaillissait. Ce liquide blanchâtre et gluant ne comprenait pas que ses spermatozoïdes, il avalait également tout son courage et toute sa détermination à redevenir un homme normal, en noyant ses déterminations derrière de faux-semblants.

Il sentait que Catalina se faisait plaisir, se caressant en même temps, utilisant l’une de ses mains pour se doigter. L’eau jaillissait sur eux, recouvrant les deux amants, les avalant dans un carcan chaud de plaisir. Ses mains se crispaient sur les cheveux de la femme, il soupirait de plus en plus, son membre se tordant en elle, s’enfonçant comme un serpent prêt à claquer dans sa bouche pour ne plus en sortir. Oh, ce qu’il pouvait aimer ça ! Une bonne vieille fellation, un plaisir intense et jouissif, humain et transcendant. Son corps remuait d’avant en arrière, son membre s’enfonçant en elle, tapant contre sa gorge, avant de revenir, pour repartir. Elle n’avait plus le choix, cette fois :il l’avait embarqué de force dans leur numéro. Un tour dans le Bolid’, une séance de remue-manège, sensations fortes garanties ! Son sexe était l’animation de la soirée, un petit bout de chair source de vie.

*Fascinant, quand on y pense...*

Mais, pour l’heure, il ne pensait qu’à l’acte en lui-même. Sa tête était penchée vers la femme, vers cette masse de cheveux qui entourait son membre. Il la plaquait contre lui, savourant sa présence, savourant le son de ses gémissements diffus. Il remuait encore plus fort, et ne restait guère silencieux. Il fallait qu’il expulse ce plaisir. Il ressentait en lui le besoin de hurler, de frapper, de déchirer, de détruire. Sexe et violence... Car le sexe restait fondamentalement une sorte de violence, un plaisir douloureux, la preuve que, dans ce monde, tous les opposés étaient liés entre eux, l’ensemble formant une alchimie complexe, un tissu qui le dépassait avec des nœuds et des points communs.

« Putain, ce que t’es BONNE, Cata’ ! Haaa, ce que je peux aimer ça !! BORDEL !! T’en veux encore, HEIN ?! ENCORE !! »

Il hurlait dans la douche, et parler lui donnait encore plus envie de la défoncer, renforçant sa rage... Car, à ce stade-là, plaisir et violence n’étaient plus que des synonymes, les deux lignes distinctes se rejoignant, s’enlaçant, fusionnant en elle pour former cette sensation indistincte et indécise qu’était le sexe. Une négation totale de la notion de « civilisation », un rappel permanent que l’Homme, fondamental, restait un Animal, une Bête sauvage et primaire. C’était un pont vers la barbarie, une fenêtre ouverte vers le chaos et l’anarchie, une fenêtre qu’on fermait presque tout le temps, car, quand elle s’ouvrait, elle était comme la vanne d’un barrage, balançant un flot incompressible, menaçant de se rompre à tout moment, vous berçant par ces douces sensations. Nathan les ressentait, ces pulsions. Elles remontaient par sa verge, mais se diffusaient dans tout son corps, comme si une bombe venait d’exploser en lui, remplissant tout son corps, l’inondant totalement. Il ne faisait plus qu’un avec cette sensation, s’y noyant totalement... Et, ce faisant, l’Homme et l’Animal s’assemblaient, acceptant mutuellement leurs intrinsèques différences, pour se transcender et disparaître.

Du bout des doigts, il caressait les plumes des Anges. Ses mains se serrèrent contre la tête de la femme, il cessa de crier dessus, et bascula sa tête en arrière, peinant à retenir sa salive. Tout se suspendit quand il sentit la vague frapper dans son sexe, comme si elle venait de débouler à toute allure, et, en réalisant qu’elle s’apprêtait à sortir, mettait soudain un coup de frein, sollicitant l’accord final de son propriétaire... Un accord que Nathan donna par un ultime coup de reins. Cette seconde d’éternité disparut, et Nathan, pour un bref moment, connut le bonheur. Sa douleur disparut, de même que cette sensation d’aliénation. L’Animal mourut avec ce sperme qui filait dans la gorge chaude de Catalina, et il reprit le contrôle, se déversant en elle pendant de longues secondes. Ah, si c’était bon, de se vider ainsi, de s’abandonner, de balancer tout le surplus.

« Haaa !! »

Grâce à la Bête, il pouvait jouir assez généreusement, ce qu’il fit en ce moment même, jouissant tellement que sa queue finit par sortir de la bouche de la femme, et aspergea son visage. Sous l’effet du plaisir, il serra tellement les cheveux de sa belle que, quand il retira sa main, quelques cheveux s’étaient emmêlés entre ses doigts. La séance se termina donc en une belle éjaculation faciale, Nathan balançant quelques giclées sur son visage...

...Puis, comme si le plaisir venait de l’assommer, l’homme tomba à la renverse, et s’assit sur le sol de la douche, juste devant la femme, la respiration lourde, son dos heurtant le rebord de la cabine.

« Oh, la vache... » réussit-il à dire en voyant le visage de la jeune femme.

Il soupira encore, et se posa une main sur son front, en secouant la tête.

« Dé... Désolé, Catalina... Je crois que je me suis un peu emballé... »
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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« Putain, ce que t’es BONNE, Cata’ ! Haaa, ce que je peux aimer ça !! BORDEL !! T’en veux encore, HEIN ?! ENCORE !! »

Absorbée par sa tâche, et par le plaisir qu'elle se donnait tout en faisant plaisir à Nathan, Catalina avait les yeux fermés. Gémissante, elle suçait avec application l'organe mâle qui allait et venait entre ses lèvres serrées. Elle se délectait de le sentir palpiter, le sang affluant en masse dans cette extrémité si sensible du corps masculin. Elle le sentait au bout de sa résistance.

« Haaa !! »

Elle rouvrit brièvement les yeux, à temps pour le voir rejeter sa tête en arrière, et elle sentit peu après se répandre entre ses lèvres. Le sperme chaud vint couler dans sa gorge, en grosse gorgées. Trop grosses, même, car des filets de spermes s'écoulèrent du coin des lèvres de la brune.

Le sexe tendu échappa soudain à l'étreinte des lèvres de la veuve, et elle ferma les yeux en sentant les giclées de semences couvrir son visage. Elle avala promptement ce qui se trouvait sur sa langue, et se lécha les lèvres par la suite, lorsque Nathan finit par s'asseoir lourdement sur le sol de la douche. L'eau rinça un peu le visage de Catalina, et elle put ouvrir les yeux sans sentir la substance crémeuse coller à ses paupières.

« Oh, la vache... »

Un sourire égaya son visage que l'eau rinçait, et retira sa main d'entre ses cuisses. Elle rit légèrement, et offrit son visage au jet d'eau chaude, démêlant ainsi ses cheveux que la fougue de son amant avait un peu emmêlés. Elle ne lui en voulait pas. Elle avait pris son pied également, et elle adorait sentir les hommes rendre les armes sous sa langue experte.

« Dé... Désolé, Catalina... Je crois que je me suis un peu emballé... »

Elle rit de nouveau, et se rapprocha de lui, venant lui déposer de tendres baisers au creux de son cou, remontant vers sa mâchoire, sa joue, et finissant par l'embrasser réellement, scellant leurs lèvres, et taquinant les siennes de sa langue pour l'inviter à jouer avec elle.

Elle finit par rompre le contact, et se redressa, les jambes légèrement flageolantes. Elle sourit au policier, et déplaça un gel douche pour femme, parfum grenade, laissant voir un flacon de gel douche pour homme non entamé. Acheté depuis quelques temps déjà. Mais elle n'avait jamais invité d'hommes chez elle depuis son installation au Japon. C'était un "au cas où", qui se révélait plutôt utile pour ce soir. Parce qu'elle se doutait bien que les hommes n'aimaient guère sentir le gel douche pour femme pour aller au boulot, ou boire un verre avec des amis.

« Et si on prenait une vraie douche, maintenant ? »

Son regard pétillait, et elle attrapa le flacon avant de revenir s'agenouiller face à Nathan. Elle ôta la pellicule de sécurité du gel douche, et l'ouvrit alors, en versant un peu dans sa main. La frottant à sa seconde main, elle se rapprocha un peu plus de l'officier de police, et commença à lui frictionner tendrement les épaules, le laissant reprendre après toutes ces émotions. Elle descendit vers son torse, le savonnant avec patience et douceur, puis fit ses bras, ses mains...

« C'était vraiment bon, d'être du bon côté de la loi, glissa-t-elle, malicieuse. Après toutes ces émotions, que dirais-tu d'un bon verre de soda, de jus d'orange ou d'eau ? Ou même un café, un whisky, du vin... ? »

La nuit n'était pas encore finie. Ils avaient au moins six heures encore, avant que l'aube ne se lève. Amplement le temps de se reposer un peu avant de reprendre les jeux.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:36:50 par Catalina Taylor »
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Nathan Joyce

E.S.P.er

La Bête était calmée. Nathan le sentait, en lui. Elle était apaisée, silencieuse, lui offrant un moment de sérénité... Et de culpabilité. Il aurait du se sentir heureux, mais il se sentait surtout hagard. Ce n’était pas lui qui avait baisé ainsi cette femme... Lui, il n’aurait jamais été voir une femme qu’il ne connaissait pas simplement pour un plan cul. C’était dégradant, c’était humiliant, rabaissant. Il n’était pas comme ça... Mais la Bête, si. Et, les rares fois où elle lui accordait enfin un peu de répit, il ne pouvait que se maudire pour son incapacité à la contrôler. Elle contrôlait son « ça », cette partie de l’inconscient correspondant à la zone du plaisir selon les topiques de Freud. Les scientifiques du SHIELD le lui avaient expliqué en détail. Le symbiote influait sur les parties profondément inconscientes du cerveau, qui correspondaient à toutes les zones de plaisir, à des parties primaires et incontrôlables de la psyché humaine. Tout ce que Nathan avait retenu de ce charabia, c’est que les stimulations de plaisir intense le rendaient vulnérables... Autrement dit, les jolies nanas et les culs bien roulés.

Elle se pressait contre lui, embrassant son cou, puis rapprochant ses lèvres des siennes. Le policier se laissait faire, un peu ailleurs, un peu hagard. C’était un moment de lucidité, mais il ne savait pas quoi en faire... D’ici quelques minutes, tout ou plus, la Bête se réveillerait. Sa soif se réveillerait, et cette femme n’allait pas l’aider à se calmer.

*Pourquoi a-t-il fallu que je ne tombe pas sur un boudin ?!*

Elle était aussi perverse que belle. Il la vit s’emparer du gel douche, s’en mettant délicatement sur le corps, lui tournant le dos, lui offrant le spectacle magnifique de ses fesses, faisant déglutir le pauvre policier, qui. Elle le massa tendrement avec le gel douche, en petite femme épanouie. Il ne lisait aucune honte dans le regard de cette femme, ou dans son comportement. Nathan lui avait violemment fait l’amour, et, pour une raison inexplicable... Elle l’avait apparemment apprécié. Il ne trouvait rien à dire à cela, si ce n’est que les femmes lui étaient toujours incompréhensibles. Nathan ne disait toujours rien, et elle le massait. Sa tête alla se reposer contre le rebord de la douche, et il lui sourit à nouveau.

La femme se mit ensuite à parler, l’invitant à faire autre chose... Et Nathan sauta sur l’occasion.

« Du jus d’orange... Pourquoi pas ? Il vaut mieux que j’évite de boire. »

Dans sa situation, même l’alcool pouvait encore réveiller la Bête, et il ne voulait pas que cette soirée improbable se termine en un viol sauvage... Car il se sentait tout à fait capable de baiser cette femme sauvagement, de la réduire au simple état d’objet sexuel sous les pulsions violentes et barbares de la Bête.

Nathan se releva donc, et embrassa la femme sur les lèvres, massant ses tendres épaules, puis la laissa sortir, évitant de loucher sur son insolent fessier. Il sortit à son tour, et se dépêcha d’attraper une serviette, la lui tendant, avant de trouver un moyen de se justifier :

« Je ne voudrais pas que tu salopes ton appartement en mettant de la flotte partout... »

Galant, après tout... Et c’était surtout un bon moyen d’éviter de regarder sa poitrine, ses formes, et de songer encore à toutes les manières possibles de la prendre. Lui-même s’enroula dans une serviette, en sentant son sexe le titiller. En fermant les yeux, il s’imagina en train de la prendre contre le mur, de l’entendre hurler, sentant encore le goût de ses lèvres sur sa bouche.

*Incorrigible...*
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« Du jus d’orange... Pourquoi pas ? Il vaut mieux que j’évite de boire. »

Souriante, et ayant également envie de jus d'orange pour se désaltérer, Catalina posa un pied en dehors de la douche après le baiser tendre du policier, mouillant le tapis qui était devant. Quand elle se retourna, Nathan était également sorti, et lui tendait obligeamment une des grandes serviettes éponge qu'elle possédait.

« Je ne voudrais pas que tu salopes ton appartement en mettant de la flotte partout... »

Un petit rire lui échappa à nouveau. Presque un gloussement. Décidément, ce soir, elle ressemblait à une lycéenne à son premier rencard sérieux. Posant une main sur ses lèvres, elle fit courir son regard sur le corps parfait de son amant. Elle avait encore du mal à croire qu'elle s'était abandonnée si totalement avec un inconnu. Mais loin d'elle l'idée de regretter ce qu'il s'était passé. Elle chérirait ses instants, comme les meilleurs de son existence. Oh, elle avait déjà eu du plaisir avec un homme, mais là, ce soir... C'était inédit. Délicieux à en mourir. Elle pourrait presque en devenir accroc.

Mais elle doutait que l'homme désire la revoir après. Ce devait être l'histoire d'une nuit. Et cette nuit, la brune allait s'arranger pour qu'elle dure aussi longtemps que plaisir, pour profiter un maximum de la chance qui lui était offerte. Elle ne voulait pas en perdre une miette, même si elle sentait que son corps était malgré tout épuisé. Légèrement revigoré par la douche, oui, mais comme ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu une relation sexuelle avec quelqu'un, se remettre dans le bain était un peu dur. Aussi dur que les abdominaux d'acier de ce policier, ma foi, songea-t-elle en voyant la serviette masquer le corps parfait de Nathan.

Elle profita du fait qu'il ait les yeux fermés pour graver ses traits dans sa mémoire, admirant la ligne puissante de sa mâchoire, la virilité de ses larges épaules... Elle s'imaginait lovée contre lui la nuit quand elle secoua la tête. Elle ne pouvait pas se permettre de songer à de telles images. Ça ne se produirait jamais, de toute façon. Il allait reprendre sa vie quand le soleil se lèverait, et elle s'efforcerait d'en faire de même.

« Du jus d'orange alors. Viens, suis-moi. »

Pieds nus, Catalina descendit les marches de l'escalier, venant se glisser derrière le bar pour ouvrir le frigo. Elle en sortit une bouteille en verre. Du jus d'orange pressé à la main, datant de la veille. Encore frais et fruité, délicieusement sucré. Elle se pencha vers ses placard pour prendre deux verres, et les posa sur le comptoir. Elle versa le jus d'orange dedans, tenant sa serviette qui se dénouait, et referma la bouteille.

Elle ré-enroula la serviette autour de son corps, glissant le bout contre sa peau pour la maintenir, et prit son verre.

« J'espère que vous apprécierez, il est pressé à la main. »

Un sourire s'étalait sur ses lèvres. Elle se demandait s'il serait encore partant pour un second (plutôt un cinquième) round dans la chambre. Son regard brillait de malice et de désir quand elle posa ses yeux sur lui, à tel point qu'il était facile de savoir à quoi elle pensait.

Quelle chance elle avait eu, quand même, de tomber sur lui.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:37:05 par Catalina Taylor »
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Ils redescendirent au rez-de-chaussée de son appartement, et, tout en se faisant, Nathan se demandait distraitement comment cette femme pouvait se payer un tel appartement en centre-ville. Un héritage fructueux ? Ou autre chose ? Seikusu était une ville remplie de criminels, d’individus dangereux, corrompus... Et elle, elle était belle, magnifique, tellement belle qu’il lui donnerait le Paradis sans concession. Ils se retrouvèrent dans sa cuisine, et le pauvre policier ne savait plus où il en était, partagé qu’il était entre la honte d’avoir ainsi besogné cette femme et la Bête, qui le sermonnait pour être si gauche, si lent à comprendre de simples vérités : les femmes humaines n’étaient bonnes qu’à recevoir son foutre. Des salopes nympho ! Pour la Bête, cette constatation n’avait rien de misogyne, elle était juste la conséquence normale d’une culture brimant les pulsions naturelles des êtres humains. Le sexe était au cœur de l’humanité, et, pourtant, il était proscrit par les grandes doctrines du monde. La conséquence logique de ce constat était que les femmes étaient inconsciemment frustrées, et qu’il fallait les sauter pour qu’elles se sentent mieux, pour qu’elles ne se sentent pas vides.

*Honnêtement, Nattie-boy, je ne comprends pas pourquoi ça te choque... C’est pourtant logique et évident. Vous êtes une espèce belle, ce n’est pas sans raison... Si vous étiez moins stupides, vous auriez compris que la clef de votre bonheur réside dans la parfaite harmonie entre la satisfaction physique et l’épanouissement intellectuel. Vous avez favorisé le second en opposant le premier, en voyant dans le rapport sexuel quelque chose de primitif, d’archaïque, de barbare... Et pourtant, vous avez développé les rapports sexuels. C’est ce grand paradoxe que je ne m’explique pas, et qui fait que, malgré mon jugement, je trouve ton espèce fascinante, car, en un sens, votre masochisme a entraîné une certaine forme de perversion. Vois-tu, j’irais même jusqu’à dire que c’est grâce à ça que vous avez évolué, en masquant votre raison première d’être : survivre par la procréation.*

Les raisonnements philosophiques de la Bête ne l’intéressaient pas, et il remercia Catalina en attrapant le verre de jus d’orange, mais ne fut nullement dupe en croisant le regard de la belle. Il y lisait l’envie, le désir, et la Bête, en son for intérieur, se mit à ricaner, sa virilité venant à se réveiller. Elle ne regrettait rien, au contraire, et semblait vouloir un deuxième round.

« J'espère que vous apprécierez, il est pressé à la main. »

Pressé à la main... Il ferma brièvement les yeux devant l’allusion sexuelle que cette expression venait de faire, et le but.

« Délicieux... »

Toujours mieux que l’alcool. Nathan reposa le verre sur la table, et se racla lentement la gorge.

*Tu vois bien, Nattie-boy ? Tes scrupules sont ridicules, ils sont le fruit d’une construction artificielle visant à nier vos passions profondes ! Mâle ! Femelle ! Bâton, trou, tu veux que je te fasse un dessin, bordel ?! Elle veut BAISER, NOUS voulons BAISER !! Et t’es pas un PUTAIN d’EUNUQUE ! Bordel, ne me dis pas que c’est encore à cause de Sylvie ! Cette SALOPE nous a abandonnés !*

Nathan serra les dents, ses doigts se crispant sur le verre.

*Ne parle pas d’elle comme ça, salopard...
Elle est pire que nous... Je l’entends qui se moque de nous à chaque fois. Elle, elle a pleinement accepté son héritage, et...
Et elle est devenue une putain de psychopathe qui bouffe ses victimes !
Seulement ceux incapables de la satisfaire. Tu trouves ça horrible, mais c’est comme ça que nous fonctionnons. Un homme qui ne fait pas jouir une femme ne mérite pas de vivre, car les hommes n’existent que pour engrosser les femmes. Pourquoi conserver le privilège de la vie, si on est pas capables d’en profiter ?
Tu vois, c’est là que nous nous différencions, toi et moi... La vie est un droit, pas un privilège.
Oh, je t’en prie, épargne-moi les beaux discours idéalistes, je ne suis pas un gamin !
*

Quand Nathan dialoguait comme ça, avec lui-même, il avait l’impression de plonger à pieds joints dans la plus profonde des folies. Un vrai schizophrène sur pattes, obligé de se shooter à l’alcool pour ne plus entendre cette saloperie de voix vicieuse en lui. Nathan s’humecta les lèvres, et la regarda à nouveau, déglutissant légèrement.

« Je... Euh... Vous... Vous avez vraiment aimé ce... Ce qu’on a fait tout à l’heure ?! »

Nerveusement, il but encore un peu du contenu de son verre.
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« Délicieux... »

Un sourire monta jusqu'aux yeux de la Veuve Noire, et elle se rendit compte après-coup que sa phrase précédente n'était pas dénuée de sous-entendu. Elle faillit rire doucement, mais réprima cette pulsion en buvant une grande gorgée de jus d'orange. Frais, il la désaltéra mieux qu'un verre de vin. Et puis, après la douche, c'était un délice revigorant.

L'air soudain grave du policier alerta Catalina. Posant son verre sur le comptoir, elle l'observa avec une pointe de crainte. Il semblait furieux, et en même temps, perturbé.

« Nathan ? Hasarda-elle à mi-voix. »

Elle n'osa pas continuer, remarquant les doigts qui se serraient autour du verre. Inconsciente de l'échange qu'il avait en lui avec la bête, la brune reprit son verre le temps d'une gorgée, se demandant soudain ce qu'elle devait faire.

Et puis, soudain, le regard du policier revint à son amante, et elle fut soulagée. Elle n'aurait pas à appeler une ambulance, ou les pompiers, parce que Nathan serait devenu fou. Elle n'aurait pas non plus à se débarrasser de lui, au cas où il découvrirait qui elle était. Elle ne pourrait pas le tuer. Elle ne s'en sentirait pas la force. Comment éliminer un homme qui vous a donné autant de plaisir ? Surtout que ce n'était pas pour quelqu'un. Elle ne se serait jamais abandonnée autant avec un contrat. C'était personnel, et elle ne voulait pas avoir à se débattre avec sa conscience ou avec la justice.

« Je... Euh... Vous... Vous avez vraiment aimé ce... Ce qu’on a fait tout à l’heure ?! »

La question la laissa interdite un instant. Elle darda ses prunelles interrogatrices dans les siennes, se demandant s'il était sérieux. Et l'air qu'il arborait, la nervosité qui s'emparait de lui, ça ne laissait aucun doute. Avait-il des problèmes de confiance en soi ? Il lui avait paru tout à fait sûr de lui, un peu plus tôt...

Avec un peu de retard, dû à la surprise, elle lui répondit :

« Comment ? Tu... Vous ne... Bien sûr que j'ai aimé, Nathan... Je... Je ne me serais jamais laissé aller avec autant de plaisir si je n'avais pas aimé. Avez-vous... Des problèmes ? »

Elle ne comprenait pas. Comment pouvait-il douter du plaisir qu'elle avait eu ? Elle en redemanderais encore, d'ailleurs, si le moment n'était pas aussi grave. Posant son verre sur le comptoir, elle contourna celui-ci pour venir près du policier. Elle l'obligea à pivoter pour lui faire face, et l'une de ses mains se posa délicatement sur la joue de l'homme alors qu'elle se haussait sur la pointe des pieds pour embrasser chastement ses lèvres et murmurer d'une voix douce :

« Je vous garantis que je vous aurais mis à la porte dans la seconde si je n'avais pas été satisfaite, monsieur l'agent. »

Un sourire éclaira ses lèvres tandis qu'elle revenait l'embrasser, délicatement, et que ses mains enserraient le visage de l'homme avec chaleur. Elle colla son corps contre celui de son amant, sa serviette se défaisant et glissant au sol, emportant au passage celle de Nathan. Plaquée contre lui, ses courbes s'inscrivant parfaitement dans celle de l'homme, elle s'efforçait de le réconforter, d'apaiser ses craintes.

« Vous voulez venir vous reposer en haut, Nathan ? »

Elle se faisait tendre et câline, attentive aux réactions du brun. Ce revirement la laissait un peu chamboulée, mais elle n'allait pas le mettre dehors ainsi, alors qu'ils venaient de passer une très, très bonne soirée.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:40:08 par Catalina Taylor »
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Nathan Joyce

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« Avez-vous... Des problèmes ? »

Des problèmes... Mis à part avoir involontairement servi de rat de laboratoire, porter un symbiote extraterrestre avec l’intelligence d’un homme de Cro-Magnon, et avoir sa femme devenue une psychopathe meurtrière tuant ses amants comme une espèce de mante religieuse, tout allait bien... Si on négligeait aussi le fait qu’il vive dans un appartement miteux, ainsi que sa légère addiction à l’alcool... Non, vraiment, tout allait comme sur des roulettes ! Il ne pouvait rien lui dire sans passer pour un cinglé, et c’était bien ce trouble qui l’amenait à ne pas voir les fausses notes du décor, à endormir ce fameux radar du flic qui faisait fureur dans les séries télévisées, et qui constituait la légende de la police... S’il avait un sixième sens, celui-ci se résumait en ce moment à essayer voir les nibards de cette femme tandis qu’elle se rapprochait de lui.

Catalina avait bien senti qu’il se passait quelque chose, Nathan l’avait perçu dans l’intonation de sa voix. Elle se pencha alors, et, comme pour chasser un mauvais rêve, vint l’embrasser. Ce fut efficace... Peut-être pas dans le sens voulu par le policier, mais il y eut du résultat. En lui, la Bête en profita pour se rappeler à ses bons souvenirs, pour toquer à la porte de son esprit. Nathan, comme mû par un réflexe inconnu, se redressa, partageant avec elle un autre baiser, ses mains se rapprochant de son dos, à peu près au même moment que celui où sa serviette se mit à glisser, tombant sur le sol. Toute nue, elle se retrouva contre l’homme, dont la serviette glissa également, comme par enchantement... Un mouvement en réalité instillé par la Bête qui bouillonnait sur lui, et les deux amants se retrouvèrent nus l’un contre l’autre, le chaste baiser de Catalina se transformant en une passe érotique intense, la main de Nathan agrippant ses cheveux, ses lèvres se plaquant férocement à la sienne, partageant un long échange de salives et de langues. Son autre main glissait le long de son dos, appréciant la courbure de son corps, sa chute de reins... Une créature magnifique, presque trop belle pour être honnête.

Il la regarda après ce baiser, sentant une boule se diluer dans sa gorge. Ses lèvres s’entrouvrirent un peu, à la recherche de paroles à prononcer. Ce fut finalement elle qui parla en premier, prenant l’initiative :

« Vous voulez venir vous reposer en haut, Nathan ? »

Nathan n’hésita plus. Le doute était laissé derrière lui quand une belle femme se tenait dans ses bras. Sa main caressait ses cheveux, ses doigts s’y entortillant brièvement, tirant un peu dessus, comme pour s’amuser... Et que dire de la sensation de ses seins s’aplatissant contre sa peau ? Elle était magnifique, cette femme ! Il ne pouvait décidément pas s’en lasser.

« Je ne saurais refuser ton invitation, Catalina... Et... Ne t’en fais pas pour tout à l’heure, c’est juste que... Certaines de mes anciennes amantes ont parfois pu être surpris de ma... Vigueur spontanée. »

C’était très « autoflatteur » comme explication, mais l’humilité n’avait jamais vraiment été la marque de fabrique du pensionnaire préhistorique qui sommeillait dans son organisme, et qui se plaisait continuellement à lui rappeler toute sa force.

« Je te suis, glissa-t-il ensuite en venant embrasser sa nuque, humant sa bonne odeur, frottant ses lèvres contre cette peau douce et tendre. Conduis-moi à ton antre... »
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Il semblait s'apaiser, après le baiser que lui avait prodigué la veuve. Tant mieux, pensa-t-elle. Elle n'aimait pas l'idée de l'avoir plongée dans une tourmente de ses émotions.

« Je ne saurais refuser ton invitation, Catalina... Et... Ne t’en fais pas pour tout à l’heure, c’est juste que... Certaines de mes anciennes amantes ont parfois pu être surpris de ma... Vigueur spontanée. »

Un petit rire lui échappa, alors que ses mains caressaient avec une passion non feinte le corps de l'homme. Son regard descendit jusqu'à cette "vigueur" dont il parlait, et secoua la tête. Elle était certes surprise, mais dans le bon sens du terme. C'était flatteur pour elle, par ailleurs, de savoir qu'elle était capable de susciter une telle réaction. Ses mains glissaient alors sur le corps du policier tandis qu'il reprenait :

« Je te suis. Conduis-moi à ton antre... »

Étouffant un soupire, elle prit ses mains entre les siennes, et le tira vers elle, avec elle. Ils remontèrent les escaliers, la jeune femme accentuant volontairement le balancement de ses hanches pour le seul plaisir de Nathan, et ne tardèrent pas à atteindre le haut. La salle de bain était toujours allumée. Mais grâce à un dispositif astucieux, dès qu'ils entrèrent dans la chambre, la lumière bascula de la douche encore humide au lustre au-dessus du lit.

Catalina lâcha alors les mains de son amant, et le poussa doucement vers le lit. Somptueux, et immense, le lit était un berceau parfait pour des acrobaties charnelles. Pile ce qu'avait en tête l'adorable veuve qui grimpait à présent sur le matelas, et s'avançait vers Nathan d'une démarche féline, à quatre pattes. Elle embrassa chaque parcelle de peau à sa disposition, et vint finalement le chevaucher, s'installant à califourchon sur ses cuisses.

« Voici mon antre, comme tu dis. Un bon petit nid douillet... »

Tout en parlant d'une voix sensuelle, elle bougeait ses hanches et venait faire frotter le vît dressé contre son intimité. Elle l'aguichait de plus belle, et il pouvait parfaitement sentir que s'il était excité, c'était la même chose pour elle. Son intimité moite n'attendait que lui. Elle se dressa d'ailleurs un peu sur ses genoux, pour venir guider d'une main légère la lance de chair érigée vers sa fleur humide, pour venir s'y empaler avec une lenteur calculée. Elle ferma à demi les yeux en sentant le sexe progresser en elle, millimètres par millimètres, jusqu'à venir -enfin- taper au plus profond. Peau contre peau, il était imbriqué en elle comme s'ils ne formaient qu'une seule entité.

Et Catalina adorait cette sensation d'être ainsi comblée. Elle gémit longuement quand il arriva au fond, et se pencha vers lui, ses seins effleurant son torse avant de venir s'y écraser dès lors qu'elle l'embrassa avec passion. Pendant ce temps, ses hanches bougeaient, elles ondulaient, et des soupirs étouffés lui échappaient.

« Nathan, souffla-t-elle en relevant la tête, détachant ses lèvres des siennes. J'aime quand tu es en moi... »

Elle sourit, féline, et le rythme de ses balancements s'accentua, pour son plus grand plaisir, et sans doute celui de l'homme.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:40:22 par Catalina Taylor »
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De la cuisine, ils se retrouvèrent ainsi dans la chambre, les hésitations et les doutes de Nathan se diluant sous l’effet du plaisir sexuel... Et d’autres choses. Il ne comprenait pas trop, et il avait toujours le sentiment persistant que cette femme était trop belle et vivait dans un appartement trop grand pour être honnête. Nathan le policier était en train de lutter avec la Bête, et la Bête, en jouant avec les pulsions inconscientes et profondes de Nathan, était en train de prendre le dessus. Ils se retrouvèrent dans sa chambre, son sexe recommençant à lui faire mal, et l’homme se retrouva sur le rebord d’un grand lit, voyant Catalina face à lui, comme dans un rêve. Le policier déglutit lentement en voyant la femme se rapprocher, roulant magnifiquement des hanches, belle et prédatrice. Nathan était tellement subjugué qu’il ne trouvait rien à dire, se contentant de déglutir en la regardant s’approcher, puis se mettre surlui.

Chacun de ses mots était de velours, chacun de ses gestes le fascinait, et il sentit la Bête et lui fusionner à nouveau, s’accordant tous les deux sur ce même point ; cette femme était magnifique. Elle se mit à califourchon sur lui, et il se retrouva ensuite allongé sur le lit, ses pieds dépassant de ce dernier pour se poser sur le sol. La femme s’était empalée à la perfection sur son corps, ne lui offrant aucune échappatoire, aucune autre sortie que la vue de ses seins, que la vue de son corps, de ses courbes parfaites, de ses hanches divines. Un corps sculpté par la grâce et par la Beauté.

« Oh, Cata... Je vais finir par croire que tout ça est un rêve... »

Elle dansait sur lui, sa verge plantée en elle, et ses mains caressèrent ses hanches, glissant le long de sa peau, remontant de bas en haut. Il les leva pour pétrir un peu ses seins, tirant sur chacun de ses tétons, malaxant sa poitrine en écartant chacun de ses seins. Cette femme était d’une telle beauté qu’il ne pouvait qu’être subjugué par cette dernière. Elle remuait contre lui, faisant grincer le lit à chaque fois. Ses mains caressaient les fesses de la femme, les empoignant, et il soupirait de plaisir.

Pour être honnête, sentir cette femme sur lui était exquis. Là, il était vraiment heureux, ne pensant pour le coup à rien d’autre que le plaisir éclatant en lui. Là, il n’y avait plus d’hésitations, il n’y avait plus d’opposition entre lui, son instinct policier, et ses désirs. Il n’y avait plus qu’une sorte de félicité et de béatitude physique à l’idée de coucher avec cette femme. La Bête n’avait jamais été contre les femmes entreprenantes, et elle ne hurlait pas dans la tête de Nathan pour le forcer à agir. Non, elle se contentait de savourer, et, pour Nathan, c’était comme une saine libération, une belle délivrance... Le tout avec une femme magnifique. Ses mains se crispaient sur ses fesses, les malaxant, et son érection avait continué à croître, sa verge retrouvant sa longue taille épaisse et tendue.

« Hmmm... Cata, hmmmm !! Tu… Tu es si belle, comme ça… Danse, mon bébé, haaa… Danse ! »

Ouais, c’était ça, et rien de plus. Il voulait qu’elle danse contre son corps, et il poussa sur son dos, l’amenant à s’écraser contre lui, son corps se courbant en avant. Une main sur les fesses, l’autre sur sa nuque, il alla l’embrasser pendant quelques secondes, la bloquant, l’empêchant de pouvoir continuer à danser sur lui comme elle le voulait. Il enfonça sa langue dans sa bouche, jouant avec elle, puis la libéra, la laissant se redresser. En la maintenant contre lui, il l’avait immobilisé, et, par expérience, il savait que l’immobilisme, lors de l’acte sexuel, était particulièrement frustrant...

Ainsi, il espérait que la femme irait à vraiment se lâcher !
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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La brune était aux anges. Les yeux entrouverts, elle observait les réactions de son amant lorsqu'elle bougeait ses hanches contre lui, sur lui. Elle le sentait, dans toute sa masculinité, écarter ses chairs, la pénétrer au plus profond, laissant sa marque sur ses parois délicates. Catalina ne regrettait rien de cette nuit, et elle le lui montrait en ondulant suavement contre lu, ses doigts flattant chaque parcelle de son torse tandis qu'il s'occupait de sa poitrine.

Des gémissements franchissaient ses lèvres, tantôt plus graves, plus lascif, et tantôt plus aigu, plus incontrôlés. Elle s'arquait contre lui, offrant ses seins à ses attentions délicieuses, comme dans un rêve, ainsi qu'il le dit lui-même. Un sourire amusé glissa sur ses lèvres, alors qu'elle s'était relevée, ne gardant plus que le gland en elle, et elle l'embrassa comme il portait la main vers ses fesses, avant de le reprendre en elle tout entier, d'un coup, venant joindre leurs deux corps comme s'ils étaient sculptés pour cet instant là.

Elle donna un coup de fouet à son rythme, se montrant plus sauvage, plus rapide. Plus haletante même. Elle s'agrippa à ses épaules, bougeant ses reins presque frénétiquement, le regard baissé, plongé dans celui de Nathan. Sa main la plia soudain vers lui. Elle ne résista pas, lui offrant ses lèvres avec un plaisir non dissimulé. Elle mordilla les siennes, taquine, alors qu'une langue intruse venait jouer avec la sienne. Elle se fit câline, sensuelle.

Elle voulu se redresser enfin, une fois que ses lèvres se furent dé-soudées, mais il la bloqua, et elle gémit, ne pouvant plus guère danser contre son corps. Elle le regarda, un sourire aux lèvres, et contracta ses muscles intimes, le serrant en elle, contre elle. Si elle n'avait plus autant d'amplitude dans ses mouvements, elle se montra néanmoins plus vive. Son bassin se soulevait un peu et venait cogner contre le sien, l'amenant plus profondément en elle. Elle agita lascivement ses reins, venant mordiller la chair de son amant au niveau du cou, des épaules. Elle gémissait plus fort, remuant autant qu'elle le pouvait.

« Oh, Nathan ! »

Son cri s'éleva comme elle venait de ramener ses hanches contre les siennes, féline, sauvage. Ses lèvres agacèrent celles du policier, ses dents les mordillèrent. Elle sourit soudain, relevant la tête.

« Est-ce que vous me mettez en état d'arrestation, Mr l'agent ? »

Le jeu reprenait ? Possible. Dommage que leurs affaires soient en bas. Elle aurait bien essayé les menottes. Un sourire coquin prit place sur ses lèvres tandis qu'elle venait embrasser à nouveau le brun, embrasée par leur étreinte.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:40:36 par Catalina Taylor »
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Assis sur le rebord du lit, Nathan retrouvait cette vigueur qu’il avait depuis qu’il avait croisé cette femme. Pourquoi avait-il donc hésité pendant un moment ? Lui-même peinait à le comprendre, mais il n’en était plus à se poser ce genre de questions. Il couchait de nouveau avec cette femme, une amante aussi insatiable que lui, qui dansait contre son corps. Il restait assis, la sentant contre lui, ses mains glissant le long de son dos. Elle était en sueur, et lui aussi. Ses soupirs et ses gémissements le berçaient, comme de douces caresses auditives. Son sexe lui faisait mal, tout son corps était sous tension, et, bon sang, ce qu’il pouvait aimer ça ! Nathan glissa une main en appui sur les fesses de la femme, suivant ainsi ses propres fantasmes et ceux de la Bête. Il aimait bien ça, les postérieurs bien fermes et bien réussis... Celui de Catalina était parfait, comme le reste de son corps, et elle continuait à danser, de plus en plus motivée, de plus en plus électrique. Elle se pencha alors vers lui, mordillant sa peau. Sa main se posa sur sa nuque, l’autre restant appuyée sur l’une de ses fesses, en soutien, se crispant sur cette chair moelleuse et tendre.

Ils s’embrassèrent tendrement, Catalina mordillant ses lèvres. Une tigresse, voilà ce qu’elle était... Et, aussi perverse soit la Bête, elle n’avait pas le pouvoir d’influer sur les autres. Cette perversion était celle de Catalina, qui faisait écho à la sienne. Il ne pouvait tout simplement pas se dire qu’elle ne voulait pas ça... Car c’était ce qu’elle recherchait. Ils s’embrassèrent donc avec passion, Nathan mordillant également sa lèvre inférieure, tirant dessus avant de la relâcher. Elle retourna se blottir contre lui, et le nargua à nouveau.

« Hum... »

Il répondit en bandant ses muscles, et partit sur le côté. Catalina s’étala au milieu du lit, et il attrapa chacune de ses mains, venant entrecroiser ses doigts dans les siens, levant ses bras, entraînant ceux de Cata avec les siens. Il s’écrasa contre elle, enfonçant d’un seul coup son membre en elle, son sexe partant le plus loin possible dans son antre intime, dans les tréfonds de son corps. Il souleva ensuite ses hanches en soupirant, vint frotter son nez contre celui de sa joue, respirant chaudement contre elle.

« Oui... Je crois qu’une petite catin mérite effectivement une grosse punition... Tu sais comment on appelle ça ? »

Il l’embrassa sur les lèvres, enfonçant sa langue dans sa bouche, venant jouer avec celle de la femme, leurs corps se blottissant l’un contre l’autre. Leur chaleur corporelle restait là, leur sueur se mélangeait. Des corps passionnés, beaux comme ceux d’anciens Dieux grecs. L’homme, musclé et solide. La femme, tendre, aux courbes raffinées. Il s’étalait sur elle, donnant des coups de reins en faisant grincer le lit, soupirant et gémissant après avoir rompu leur baiser.

« C’est de la corruption, sale vilaine... Je devrais te menotter contre ton lit pour pouvoir mieux... Huurrrmpfff... Te punir comme il se doit... »

Sa queue était douloureuse, émettant des ondes de douleur dans tout son corps, appelant à de plus en plus d’action, le contraignant à être, à son tour, de plus en plus brutal et sauvage. Plus il y allait, et plus il était tout simplement en train de la défoncer, haletant et grognant en agissant, ses gouttes de sueur glissant de son menton pour heurter le corps de son amante.
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Le baiser, passionné, ne faisait qu'attiser le feu de ses reins. Elle gémissait, soupirait, et se frottait contre lui dans discontinuer. Puis il renversa la situation, capturant ses mains dans une étreinte ferme. Ses doigts noués à ceux du policier, Catalina arqua le dos, l'accueillant en elle comme s'il était le messie. Elle gémit longuement alors qu'il s'enfonçait en elle d'une seule poussée, se contractant autour de sa présence rigide.

Le baiser reprit alors, et la brune ne fut pas en reste, jouant de sa langue contre la sienne, aspirant ce bout de chair souple, mordillant même, se montrant aussi féline qu'elle le pouvait. Elle aimait tellement le sentir contre elle... Son souffle erratique faisait se soulever sa poitrine contre le torse du policier, frottant ses tétons érigés contre ses pectoraux bien dessinés. La chaleur était presque intenable, mais dans ce contexte, elle était bienvenue. Elle contribuait à garder le brasier incandescent au creux de ses reins.

Un petit rire de gorge échappa à la veuve, tandis qu'il renforçait son rythme, la puissance de ses coups de reins... Elle sentait à nouveau son esprit se brouiller, et un sourire se glissa sur ses lèvres alors qu'elle répondait, d'une voix rendue rauque par le désir, par le plaisir :

« Oh oui... Punissez-moi monsieur l'agent. Je dois apprendre... Mmm... Que les agents de police de rigolent pas.... Aaah ! Avec l'application de la loi... »

Son corps se tordait sous le sien, ses jambes se nouant derrière celles du policier, alors que son bassin s'élevait, venant s'entrechoquer avec celui de Nathan. Elle ne pensait plus de façon cohérente, mais elle luttait pour pouvoir poursuivre ce petit jeu érotique sans flancher.

Non, sa perversion ne venait pas d'une quelconque influence. Elle venait d'une vie entière sans rapports charnels vraiment satisfaisant. Elle venait d'une longue période de frustration, sans même embrasser un homme. Elle venait de pair avec la nature profondément féline de la veuve. Qui sait, peut-être que si elle avait connu une jouissance pareille avant, elle n'aurait pas accepté de bosser en tant que tueuse à gage pour une organisation dont elle ignorait tout ?

Les pensées traversaient son esprit enfiévré, se bousculaient, se perdaient. Elle haletait, donnant elle aussi des coups de reins de plus en plus vite, de plus en plus brusquement. La douleur et le plaisir se mêlaient, alors qu'elle s'arquait une nouvelle fois, les pupilles agrandies par le désir, les joues rougies par le plaisir, le souffle court et les lèvres retroussées en un sourire délicieux, dévoilant ses dents blanches qui, par moment, mordillaient sa langue avec une moue coquine.

Ses cris se perdaient dans ses soupirs. Elle murmurait, ou gémissait, le nom du policier, frémissante, sur le point d'atteindre le point de non-retour. Elle était à point, mûre pour un nouvel orgasme dévastateur. Ses lèvres cherchaient parfois celles de Nathan, parfois son cou pour l'y mordiller. Ses doigts se serraient autour des siens tandis qu'elle tremblait de plaisir.
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Nathan Joyce

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Nathan était étalé contre elle, et les deux amants étaient imbriqués l’un dans l’autre, leurs corps fusionnant dans une saine et doucereuse union. C’était sensuel, ardent… Et pas aussi pervers que ça, à bien y réfléchir. Ils se contentaient de faire l’amour, comme deux amants fougueux. Leur mauvais scénario de film pornographique poursuivait avec délice. Dès qu’il avait vu cette femme dans sa voiture, la Bête avait réagi, la Bête avait voulu s’exprimer, et Nathan l’avait suivi. Ils se rejoignaient, cette femme plaisant aux deux, que ce soit pour son appétit sexuel,  ou pour cette manière raffinée qu’elle avait de s’habiller. Le policier sentait bien une entourloupe là-dessous, mais sa méfiance habituelle, si propre à l’esprit tortueux et paranoïaque d’un policier, était en train de s’effriter, de fondre comme neige au soleil. Seul le plaisir dominait, le plaisir exquis de coucher avec une femme en étant un homme, la joie de renouveler un plaisir préhistorique. Il sentait les seins de la femme s’enfoncer contre son torse, et le goût de ses lèvres, le frottement de ses jambes contre ses cuisses.

Le plaisir continuait à croître, et, au bout de plusieurs minutes, la femme finit par jouir. La Bête le sentit, et choisit également ce moment pour se déverser. Comme quoi, avoir ce monstre en soi était une bonne chose, et il pouvait se lâcher. La Bête contrôlait son état d’excitation, et put déterminer quand Catalina se mit à jouir. En temps normal, Nathan n’aurait rien senti d’autre que sa queue plantée dans son con, et un afflux de mouille autour de lui, lui donnant l’impression de baigner dans du liquide amniotique. Mais, là, la Bête, qui était entièrement tournée vers le sexe, et qui bénéficiait de réflexes améliorés, sentit une concentration de nectar plus importante, et comprit, à travers divers autres signes physiques que la femme émettait, qu’elle était excitée. Nathan s’abandonna donc en elle, balançant sa semence dans son corps, se déchargeant en elle, avant de soupirer longuement.

« Hmmmmmm… »

Nathan s’écrasa contre elle, s’affalant contre son corps tendre et chaud, et reprit son soufflé, sa poitrine ventilant énormément. Le policier ne cessait de coucher avec cette femme, et sentait que tout allait devenir plus pervers sous peu… Pour le coup, oui, leurs ébats allaient effectivement sombrer dans la perversion, et dans certains plaisirs sexuels déviants. Encore une fois, la Bête avait appris ce genre de choses grâce à l’imagination humaine. Le bondage était quelque chose à laquelle la Bête, relativement simple d’esprit, n’aurait jamais pu penser par elle-même. Nathan aurait pu se transformer devant elle, et son corps aurait pu générer des tentacules pour immobiliser Catalina, mais quelque chose lui disait que la femme était encore un peu trop inconnue pour ça… Il ne voulait pas lui provoquer une crise cardiaque !

Sa main caressait tendrement ses cheveux, glissant sur sa longue chevelure. Ils étaient en sueur, légèrement collés entre eux, et ses lèvres se posaient sur la nuque de la femme, mordillant un peu sa peau, remontant le long de sa peau, la léchant doucement. Petit moment de douceur, séance de détente, afin de se calmer… Mais pas de s’arrêter. Il avait bien compris que cette femme avait un appétit sexuel dévorant, et finit par redresser son visage, posant sa main sur l’épaule de la femme.

« Prête pour la suite, vilaine fille ? » demanda-t-il alors, d’une voix légèrement épuisée, essoufflée par le plaisir.
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Des étoiles explosaient sous ses paupières fermées. La brune était hors d'haleine, parcourue par des milliers de spasmes de plaisirs. Autant de petits chocs électriques qui la faisaient frémir et tressaillir au moindre contact avec le corps de son amant. C'est-à-dire, souvent. Pour ne pas dire, tout le temps. Elle oublia un instant qui elle était. Elle oublia son macabre passé, ses déboires avec son propre mariage et son compte en banque devenu immense. Elle oublia son présent, son loft, la soirée qu'elle avait passée au gala. Elle ne pensait plus qu'à Nathan, à son sexe qui glissait en elle avec férocité, à l'orgasme qui la dévastait. Elle ne pensa même pas au futur, à ce qui se passerait quand il serait temps pour le policier de s'en aller.

Perdue dans cette brume de plaisir, la femme haletait. Ses doigts se crispaient sur le corps puissant du mâle, alors que peu à peu, la jouissance refluait. Elle rouvrit les yeux, enlaçant le policier. Ses doigts se mirent à dessiner des arabesques sur son dos, tandis qu'il passait sa main dans la crinière encore humide de la douche, et sûrement de la sueur de leurs ébats, de la veuve. Elle gémit à nouveau, d'une voix un peu cassée, alors qu'il laissait ses lèvres papillonner sur sa peau sensible. Après un orgasme, ses zones érogènes étaient en fait son corps entier.

La peau recouverte de chair de poule à cause des frissons, Catalina redressa légèrement la tête, venant caler un bras derrière sa nuque. L'autre était toujours à cajoler les muscles du dos, bien sollicités, de son merveilleux amant. Elle lut dans son regard la promesse de la suite de leurs aventures, et elle se mordilla la lèvres, impatiente. Excitée.

« Oooh oui. Plus que prête, même, mon cher agent... »

Elle roula légèrement des épaules, soulageant ses muscles très sollicités, et ses prunelles brillèrent d'un éclat prédateur. Pour cette nuit, il était sien. Elle était sienne. Elle était prête à de nombreuses choses, jusqu'à ce qu'il soit temps pour lui de s'en aller. Mais cet instant n'était pas encore venu. La nuit était jeune. L'aube ne se lèverait pas avant au moins deux bonnes heures. Peut-être trois. La brune avait perdu la notion du temps. Mais le réveil, non loin d'eux, indiquait quatre heures du matin. Elle ne pouvait pas le voir, cependant.

« Tu as déjà une idée pour la suite du programme, Ô valeureux héros du peuple ? Demanda-t-elle en souriant. »

Elle s'étira, tel un chat. Ou plutôt, telle une chatte. Et elle lui offrit un sourire joueur, tendre et félin à la fois.
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.


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