Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Conduire en état d'ébriété, c'est mauvais pour le permis [Nathan Joyce]

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Catalina Taylor

Humain(e)

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Ces soirées mondaines étaient d'un ennui. Catalina passait d'un groupe à l'autre, sans réellement s'intégrer aux discussions. Son japonais n'était pas parfait encore. Et puis, elle n'en ressentait nulle envie. La barrière de la langue n'étant donc pas la seule responsable. Non, ce soir, elle avait juste envie de boire un coup, de faire acte de présence, de boire un coup, de signer un chèque à elle-ne-savait quel organisme de charité, de boire un coup, et s'en aller. Et de boire un coup chez elle, en observant la vue de la ville depuis son balcon.

C'est donc une coupe de champagne à la main qu'elle traversait la salle. Au bout d'une heure, elle sortit son chéquier, se renseigna sur l'organisme de charité, et signa un chèque d'une valeur assez importante. Peu, par rapport à ce qu'elle possédait, mais impressionnant pour les autres. Elle but encore deux coupes de champagnes avant de se décider à quitter la soirée, après trois heures de présence. Et six coupes de champagne en tout.

Ivre, elle sentait la chaleur sur ses joues. Son châle noir, à frange, glissait sur ses épaules nues. Les fines bretelles de sa robe, dans les tons rouges orangés, glissaient également. Elle chassa une mèche qui tombait sur son front, et tendit son ticket au voiturier. Peu après, elle prenait le volant. Ses escarpins aux pieds, elle mit le contact. Puis, mal à l'aise, elle ôta ses talons, et s'installa pieds nus pour démarrer. C'était déjà mieux.

Elle avait hâte de se retrouver chez elle. De pouvoir aller sur son balcon, au dernier étage, et de prendre un verre de vin en observant les lumières de la ville. Elle était bien, dans son penthouse qui occupait les deux derniers étages de l'immeuble. Située plein centre, en plus, elle avait une vue dégagée sur tout le panorama.

Ignorant le léger tournis qui la prenait, Cat' s'engagea sur la route principale. Avec un peu de musique américaine dans le lecteur CD, elle se sentit bien. Si bien, qu'elle monta le volume. Et elle roula sereinement, savourant le cocon chaleureux que provoquait l'alcool chez elle.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:30:13 par Catalina Taylor »
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Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

« Vous savez, Joyce, la vie, c’est comme une montagne russe... Il y a des virages, des pentes, des hauts, et des bas... »

Nathan avait du se retenir de ne pas étrangler cet enfoiré de fils de pute de commissaire quand il lui avait annoncé qu’il quittait provisoirement les affaires criminelles pour rejoindre la voie de garage par excellence du métier de policier : être affecté à la circulation. Entre ça et la rubrique des chiens écrasés et des vols de sucette, Nathan avait subi une belle chute. Le commissaire avait justifié ça par une nécessité de roulement de services, par la hausse des infractions liées à la circulation, et blablabla... L’inspecteur n’était pas dupe. Il savait que son dossier n’était pas parfait. Il souffrait toujours d’une attirance à l’alcool, et avait quelques bavures dans son dossier, comme des interrogatoires un peu trop musclés, ou des arrestations un peu brutales. Il avait déjà subi des procédures pour brutalité policière, mais il avait un bon chiffre à son actif, et avait aidé à coincer quelques criminels, allant de simples dealers à des meurtriers. Malheureusement, sa dernière enquête l’avait amené à flirter d’un peu trop près avec la criminalité organisée. Les Yakuzas avaient de puissants alliés, des politiques et des fonctionnaires qui les soutenaient, et ils avaient choisi de calmer les ardeurs de Nathan Joyce à remonter la filière d’un trafic de drogues. Il enquêtait là-dessus depuis des semaines, en compagnie d’autres agents. Ils avaient fait du repérage, cuisiné à plusieurs reprises clients et dealers, commencé à trouver des fournisseurs, des agents corrompus... Le fait que Nathan ait été affecté à la circulation était presque un honneur, mais il ne comptait pas en rester là. On voulait juste retarder son enquête, mais il ne désespérait pas de faire tomber tous ces corrompus... À commencer par son cher commissaire, qu’il enverrait volontiers derrière les barreaux.

En attendant, sa mission était de contrôler la circulation pour voir si les automobilistes n’était pas ivre. Comme la plupart des autres pays, le Japon avait, suite aux accidents mortels impliquant l’alcool, durci sa législation et sa politique répressive à l’égard des conducteurs. Le pays avait créé une agence spéciale chargée de s’occuper du respect des règles de circulation, l’Agence Nationale de Police. Nathan s’était plongé dans les formulaires administratifs, afin de comprendre le fonctionnement du système répressif, qui se basait sur un système de points. Plus la note était élevée, plus l’addition était lourde. Par rapport à des pays comme la France, la législation était encore plus lourde au Japon, car on gagnait 6 points dès qu’on avait entre 0 et 0.15 grammes par litre dans le sang, ce qui correspondait à une suspension possible du permis pour une durée allant de 1 à 6 mois. Bien sûr, conduire en état d’alcoolémie exposait aussi l’automobiliste à des peines, pouvant aller jusqu’à trois ans d’emprisonnement, et une amende de 500 000 yens.

Nathan faisait partie d’un barrage routier, arrêtant les automobilistes sur un boulevard assez animé, et souvent utilisé en fin de soirée par des individus venant de restaurants, ou rentrant chez eux. La mairie de Seikusu avait entendu renforcer les contrôles après avoir constaté une hausse des accidents. Nathan se trouvait donc dehors, à faire le clampin, dans un uniforme de policier, et venait de laisser passer une voiture, lorsqu’une autre s’approchait. Il s’avança lentement, en tendant sa main, la brandissant en l’air, et en faisant signe à l’automobiliste de se garer sur le côté.

Il s’avança vers le véhicule, et constata, quand la vitre s’abaissa, que le chauffeur était en réalité une femme, et qu’elle était plutôt bien roulée, avec une superbe robe de soirée.

*Woow, jackpot, Nate !* s’exclamait instantanément, en lui, la Bête.

Avec la frustration d’être à la circulation, Nathan avait senti la Bête reprendre du poil de la bête (sans mauvais jeu de mots). Le symbiote voulait sortir de là, se réveiller, reprendre les devants, et, comme toujours, Nathan avait du mal à le retenir... Surtout quand la créature, qui avait des gènes formiens, était face à une belle femme.

« Bonsoir, Madame... Policier Nathan Joyce. Puis-je voir les papiers du véhicule, s’il-vous-plaît ? »

Il lui montra sa plaque, et la rangea ensuite dans sa veste.

Elle était ivre, il le savait déjà. Cependant, Nathan savait que les règles étaient faites pour être violées, surtout dans une ville corrompue, et il envisageait déjà de se faire plaisir, en faisant quelque chose qu’on ne cessait de lui reprocher... Abuser de sa position.

Cette fois-ci, il comptait bien en profiter.
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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Elle roulait, insouciante, en chantonnant. Cat' se sentait joyeuse, à présent qu'elle avait quitté l'atmosphère étouffante de la soirée.

Au loin, elle aperçut des sirènes. Un barrage. Merde, pensa-t-elle instinctivement. Même quand on était clean, les flics, ça n'était pas rassurant. Et là, elle avait bu. Elle ralentit, avant de s'arrêter. Si ça se trouve, ça passerait. Si ça se trouve, les flics ne verraient pas l'ivresse dans ses yeux.

Apercevant l'homme qui s'approchait de sa voiture, Catalina sourit légèrement, de façon affable, et ouvrit la vitre de sa voiture.

« Bonsoir, Madame... Policier Nathan Joyce. Puis-je voir les papiers du véhicule, s’il-vous-plaît ? »

Le regard de la jeune femme s'attarda à peine sur la plaque, et elle dévisagea plutôt l'homme. C'était un occidental, il n'y avait aucun doute. C'était l'un des premiers qu'elle croisait depuis son arrivée. Plutôt agréable. Ça changeait de l'habituel mine impassible des japonais.

« Bonsoir monsieur l'agent. »

Elle se pencha pour ouvrir la boîte à gant et en sortir la carte grise, la carte de l'assurance et tout le reste. Elle laissa le manuel d'utilisation sur le siège passager, et tendit le reste à l'agent de police. Elle sortit aussi son permis et reposa la pochette qu'elle avait emmené pour faire office de sac à main.

« Et voici mon permis. »

Se radossant au siège conducteur, Catalina posa un coude sur la portière, et plaça son menton sur sa paume. Histoire d'éviter le léger tremblement qui la prenait. Adrénaline, alcool... Mauvais mélange.

« Il y a un problème ? »

Sa voix avait des accents chaleureux, et il était évident pour une personne sobre de voir qu'elle n'était pas en pleine possession de ses moyens.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:30:50 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Comme il faisait sombre, Nathan en profita, et sortit une petite lampe-torche de son uniforme, l’utilisant pour éclairer le visage de la femme, tandis qu’elle allait chercher ses papiers... Le temps qu’elle se penche sur la boîte à gants, le flic en profita pour se rincer l’œil, admirant son superbe décolleté, ses seins volumineux. La Bête gémit sous son ventre, et il sut alors qu’il aurait des regrets en la laissant filer. Il voyait les yeux légèrement embués de la femme. Des signes d’alcool. De plus, il sentait qu’elle avait bu, soit parce qu’il était lui-même un alcoolique, soit parce que la Bête, avec ses sens affinés, sentait l’haleine chargée d’alcool de la femme, et disait inconsciemment à Nathan qu’elle était au-dessus de la ligne rouge, et qu’il y avait un moyen d’en profiter, de s’imposer sur elle. Il récupéra les papiers qu’elle lui tendait, et la vit poser son bras sur la portière, posant son menton sur sa paume.

*Ma parole, Nattie-boy, cette salope te fait du charme !* s’exclama la voix perverse et rieuse de la Bête, dans son franc-parler habituel.

L’agent resta neutre. Il observa les papiers, notant le nom : Catalina Taylor. 27 ans. Il nota aussi son adresse. Au Japon, le système d’adresse était très différent des autres pays. Les rues n’avaient pas de noms, et le système reposait sur un ensemble de chiffres, chaque chiffre indiquant une circonscription. C’était déroutant, mais, une fois qu’on comprenait le système, on voyait à quel point il était efficace. Il sut donc qu’elle vivait à proximité, et qu’il y avait donc très peu de chances, vu la faible circulation, qu’elle ait un accident. Une idée commençait à germer dans sa tête. Risquée, dangereuse, mais elle était Occidentale. C’était donc une compatriote, il devait bien l’aider.

*Et elle est bonne, aussi, poursuivit la Bête.
Ferme-là..., soupira mentalement Nathan.
Hey, Nattie-boy, y a aucun mal à reconnaître ce qui est vrai !*

Ses papiers étaient en règle.

« Il y a un problème ? » demanda-t-elle alors, sur un ton chaleureux, que Nathan trouva immédiatement sensuel.

Il réfléchit encore, quelques secondes, puis lui rendit ses papiers.

« Pour vos papiers ? Non. Pour vous ? Oui. Théoriquement, je suis censé... Vous faire souffler dans ce petit dispositif... Mais je pense que nous savons tous les deux ce qui se passera si vous soufflez dedans, n’est-ce pas ? »

Il lui avait montré un alcootest électronique, qui ressemblait à une espèce de boîtier noir avec un écran digital, et un endroit où souffler. Nathan retira son casque, et se pencha vers elle.

« Et quelque chose me dit que, vu votre taux, votre voiture sera réquisitionné, et vous serez envoyée en cellule de dégrisement pour la nuit... Et je peux vous faire le film d’ici. Votre belle robe de soirée sera froissée, il y a des risques pour que votre belle voiture soit abîmée, et, tout ce que nous risquons de gagner, c’est une jeune femme outrée qui fera appel à son avocat pour poursuivre la police en dommages-intérêts. Aussi ai-je une alternative à vous soumettre... »

Nathan laissa planer quelques secondes. Il se doutait que cette femme devait se demander sur quelle espèce de policier taré elle était tombée. Il se rapprocha un peu d’elle, comme pour lui faire une confidence, tout en profitant de ce rapprochement pour respirer son odeur.

« Je vous laisse passer, vous rentrez chez vous indemne, je termine dans quinze minutes mon service, et je viens vous voir pour m’assurer que vous êtes bien assise chez vous. Vous comprenez, il serait insupportable pour moi de me dire que j’ai laissé une jeune femme comme vous foutre en l’air une si belle voiture en fauchant un parcmètre... Si je ne suis pas sûr que vous êtes bien chez vous, et en sûreté, je risque de ne pas en dormir la nuit... Et, en tant que citoyenne zélée que vous êtes assurément, vous ne voudriez pas qu’un policier exténué passe une mauvaise nuit, n’est-ce pas ? Qu’en dites-vous ? »

Il avait balancé cette phrase interrogative avec un léger sourire, qu’il se voulait charmeur... À la Sean Connery. Elle pouvait tout à fait prendre ça comme une invitation à sortir, mais Nathan lui faisait aussi une belle fleur.

Plutôt galant, non ?
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« Pour vos papiers ? Non. Pour vous ? Oui. Théoriquement, je suis censé... Vous faire souffler dans ce petit dispositif... Mais je pense que nous savons tous les deux ce qui se passera si vous soufflez dedans, n’est-ce pas ? »

Quand il montra l'alcootest, Catalina se mordit la lèvre. Merde, pensa-t-elle. C'était fichu pour elle, si jamais elle soufflait. Elle esquissa un sourire discret, consciente que la question n'appelait pas vraiment à une réponse. Elle plissa également les yeux, à cause de la torche, mais quand il se pencha vers elle, ce fut mieux. Elle ne put s'empêcher de le dévisager dans la pénombre, savourant un visage loin du stéréotype japonais.

« Et quelque chose me dit que, vu votre taux, votre voiture sera réquisitionné, et vous serez envoyée en cellule de dégrisement pour la nuit... Et je peux vous faire le film d’ici. Votre belle robe de soirée sera froissée, il y a des risques pour que votre belle voiture soit abîmée, et, tout ce que nous risquons de gagner, c’est une jeune femme outrée qui fera appel à son avocat pour poursuivre la police en dommages-intérêts. Aussi ai-je une alternative à vous soumettre... »

Il était très proche d'elle à cet instant. Elle ressentais un frisson d'excitation. L'adrénaline de l'interdit, l'alcool, l'anticipation, la curiosité... Quelle était donc cette alternative qu'il proposait ? Parce qu'il est vrai que s'il était consciencieux, ça craignait un max pour elle.

« Je vous laisse passer, vous rentrez chez vous indemne, je termine dans quinze minutes mon service, et je viens vous voir pour m’assurer que vous êtes bien assise chez vous. Vous comprenez, il serait insupportable pour moi de me dire que j’ai laissé une jeune femme comme vous foutre en l’air une si belle voiture en fauchant un parcmètre... Si je ne suis pas sûr que vous êtes bien chez vous, et en sûreté, je risque de ne pas en dormir la nuit... Et, en tant que citoyenne zélée que vous êtes assurément, vous ne voudriez pas qu’un policier exténué passe une mauvaise nuit, n’est-ce pas ? Qu’en dites-vous ? »

C'était pour le moins inattendu. Et ça laissait tant de possibilité à imaginer... L'esprit enfiévré par l'alcool, Catalina réprima tant bien que mal les alternatives les plus osées. L'effet de l'uniforme sans doute. C'était l'un des nombreux fantasmes de la jeune femme. Elle qui n'avait eu affaire qu'à des hommes d'affaires dans toute sa vie... Que ce soit un pompier, un flic ou un militaire, elle adorait l'unforme.

« Et bien, je suis heureuse que vous me proposiez cette alternative, agent Joyce. Il est vrai qu'éviter les désagréments m'arrange bien. Et je serais un monstre si je vous laissais passer une mauvaise nuit. Donc, ça marche pour moi. »

Elle lui sourit à nouveau.

« Je présume que vous avez mon adresse, sur les papiers de la voiture. Je vous attends donc dans une vingtaine de minutes ? Vous désirez que je prépare un café ou- Elle s'interrompit un instant, la main devant la bouche. Elle allait un peu vite en besgne là. Hm. A tout à l'heure monsieur l'agent. »

Elle sourit, et attendit qu'il lui rende ses papiers, et qu'il la laisse passer. Elle irait ensuite chez elle, comme prévu. Mais elle ne boirait pas un verre de vin sur son balcon en observant la ville. Ou peut-être pas toute seule. Devrait-elle se changer ? Se vêtir plus ? Ou moins...

Catalina essaya de chasser de sa tête les pensées déplacées qui lui venaient. Ce n'était sans doute pas ce qu'il avait en tête, n'est-ce pas ? Il était juste un policier vraiment soucieux de sa sécurité, et qui la laissait sans doute passer parce que ses courbes généreuses l'amadouait un peu. Et puis, peut-être était-ce uniquement parce qu'elle était américaine. Oui, ça devait être ça. C'est tout.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:31:05 par Catalina Taylor »
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Il pouvait la sentir hésiter, sentir la curiosité dans son esprit, comme si elle se demandait si elle n’était pas en train de rêver. Nathan aurait presque pu lire dans son esprit. Comment allait-elle réagir ? S’outrer de voir qu’un policier lui faisait une fleur ? Sérieusement, vous y croyez ?! Elle savait qu’elle avait fauté. Quand un type tombe sur un flic sympa qui promet de ne pas l’envoyer en prison, ou de ne pas lui pourrir la vie, on avait tendance à accepter. Par principe. De plus... Et bien, c’était peut-être un peu présomptueux pour l’heure, et c’était sans doute une pensée motivée par la Bête, mais Nathan était en train de se dire que cette nana flashait sur lui. Il n’y avait rien de concret, aucun élément qui puisse avancer une telle chose, mais il le sentait. De la même manière qu’un homme avait l’impression de se sentir irrésistible quand une femme lui souriait, Nathan était en train de se dire qu’il y avait moyen de passer une agréable soirée avec elle. Sous son uniforme, il sentit une tension se former, et, sous son crâne, la Bête se mit à soupirer, s’imaginant défoncer cette femme dans sa voiture, la prendre sauvagement, dans sa robe de soirée moulante, en l’entendant hurler.

Le fait est qu’elle n’hésita pas très longtemps avant de saisir sa chance.

« Et bien, je suis heureuse que vous me proposiez cette alternative, agent Joyce. Il est vrai qu'éviter les désagréments m'arrange bien. Et je serais un monstre si je vous laissais passer une mauvaise nuit. Donc, ça marche pour moi. »

Son sourire enjôleur lui donnait envie de lui rouler une pelle tout de suite, et ce d’autant plus qu’il s’était légèrement penché vers elle. Les yeux de Catalina pétillaient, et elle alla jusqu’à lui demander si elle voulait qu’il lui prépare un café, avant de se mordre les lèvres... Ce mordillement qui suffisait à emballer les hommes. Chaude comme la braise, cette nana !

*Oooooooohh, Nathan, si tu la laisses passer, celle-là, crois-moi que j’irais me décharger dans un tout un bordel et que des putes vont méchamment avoir mal au cul !*

Pour une fois, la Bête et Nathan semblaient être sur la même longueur d’onde, mais ce fut avec un léger sourire et un ton se voulant à la fois professionnel et chaleureux que Nathan lui répondit :

« Tout ira bien, Madame Taylor. Ne vous donnez pas la peine de me faire un café. Je suis flic, ma voiture est remplie de thermos, après tout ! À tout à l’heure, donc... »

Il lui rendit ses papiers, puis se redressa, et fit signe aux autres policiers qu’elle était clean. La procédure idéale imposait souvent un second contrôle, par un autre agent, car il y avait toujours un risque de tomber sur un flic qui fausserait vos résultats. Avec un éthylotest électronique, c’était facile. Il fallait toujours attendre une minute entre chaque utilisation, le temps que l’appareil se purge de l’air précédent, et, de même, il fallait bien penser à nettoyer le bouchon, pour éviter que les calculs ne soient faussés. Si une personne soufflait dedans, alors que le compte à rebours n’était pas passé, elle pouvait être détectée comme ivre, alors qu’elle n’avait pas bu. En théorie, donc, un second contrôle était requis. En pratique, les agents de la circulation, surtout le soir, avaient juste envie de rentrer chez eux, et on laissa donc passer la voiture. Nathan la regarda partir, l’esprit embrumé par le visage de cette femme, par son corps, par cette robe qui moulait son corps et offrait une vue saisissante sur ses seins.

Il continua à contrôler quelques automobilistes, jusqu’à ce que son service soit terminé. Il salua ses collègues, remonta dans sa voiture, puis fit démarrer le moteur de sa voiture. C’était une voiture de service, avec une bande noire, et il s’avança, rejoignant rapidement le quartier où vivait Catalina. Aucun accident, elle semblait être bien rentrée chez elle, et il se gara le long du trottoir, hésitant quelques secondes. Ce n’était pas professionnel... mais ses hésitations furent vitre balayées. Le plus probable était qu’elle ne réponde pas à l’interphone, de toute manière. Il sortit de sa voiture, vissant sur son crâne sa casquette de policier, et se rapprocha du porche.

Il ne tarda pas à trouver son nom. Son cœur s’emballait dans sa poitrine, et il appuya sur le bouton, pendant quelques secondes, avant de le relâcher, se sentant un peu dans la peau d’un jeune lycéen venant voir sa copine pour son premier rendez-vous, avec l’espoir de pouvoir, enfin, passer une chaude nuit avec ses bras.

C’était l’instant de vérité, et la tension du public était à son comble dans les gradins. La Dame allait-elle répondre à l’appel du chevalier servant ? Que de suspens !
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« Tout ira bien, Madame Taylor. Ne vous donnez pas la peine de me faire un café. Je suis flic, ma voiture est remplie de thermos, après tout ! À tout à l’heure, donc... »

La jeune femme lui sourit en récupérant ses papiers, et passa le barrage de police sans encombre. Elle roula encore quelques minutes, et appuya sur le bip, ouvrant le garage souterrain. Là, comme à son habitude, elle prit la descente relativement vite, avant d'aller se garer à sa place, au niveau -4.

Récupérant ses affaires, incluant donc son manteau, son sac, et quelques papiers, elle sortit de la voiture et appela l'ascenseur. Le châle glissa à nouveau sur ses épaules, mais elle le laissa. Malgré un petit frisson, comme l'air était frais au -4. Bientôt, elle entra dans l'ascenseur. Elle composa le code permettant d'accéder au dernier étage, et appuya sur le bouton. Le numéro 13.

Étrange, d'ailleurs, comme le chiffre treize semblait la suivre. Mariée treize fois. Veuve treize fois. Etage numéro treize. Elle se demandait si ce n'était pas un chiffre porte-bonheur ou quelque chose comme ça.

Ses pensées s'évaporèrent quand les portes de l'ascenseur s'ouvrit sur son étage. L'alcool lui fit tourner un peu la tête quand elle fit un pas, mais le malaise disparut vite. Le parquet bougea légèrement quand elle s'avança. Elle déposa son châle sur une chaise. L'ascenseur donnait sur le séjour. En face, une baie vitrée, et une terrasse avec un balcon. La cuisine, à gauche, vaste espace équipé, était séparée du séjour par un bar "à l'américaine". Et le salon, à droite, avec un confortable canapé, et un écran plat dernière génération. Posant son sac et son manteau sur la table en verre du séjour, Catalina alla prendre une bouteille de vin dans un placard, et sortit deux verres à pieds. Au cas où.

Elle se servit un verre de vin, en songeant qu'elle irait bien prendre une douche à l'étage. Mais elle repensa à l'agent Joyce, qui devait venir. Allait-il vraiment oser ? Ou était-ce juste une manière de flirter ? Elle aimerait vraiment qu'il vienne, et en même temps, elle l'appréhendait. Elle n'avait pas renouer avec des hommes depuis sa dernière mission.

Allant ouvrir la baie vitrée, son verre à la main, elle sentait son coeur battre assez vite dans sa poitrine. Elle s'accouda au balcon, et observa la ville. Lentement, elle descendit son verre de vin. Retournant à la cuisine, elle venait de s'en servir un autre quand l'interphone sonna. Immédiatement, une bouffée de chaleur embrasa ses joues. C'était lui ?

Elle alla face à l'ascenseur. L'interphone était équipé d'une caméra. Catalina put ainsi voir que c'était bien le policier. En uniforme, toujours. Sans qu'elle ne puisse le contrôler, un sourire étira ses lèvres. Elle appuya sur le bouton pour ouvrir, et répondit en même temps :

« Treizième étage, agent Joyce. Le code de l'ascenseur est 74 85 1 C. A tout de suite... »

Sa voix avait prit des accents charmeurs. Cela faisait décidément trop longtemps qu'elle n'avait pas flirté avec quelqu'un. Et ça lui manquait, son corps se rappelait à son bon souvenir. Ses hormones aussi. Elle ne sut que faire en attendant. Alors, machinalement, elle retourna sur la terrasse, s'accoudant à nouveau au balcon. Dos à l'ascenseur. S'il voulait se servir un verre de vin, la bouteille et le verre vide étaient en évidence, posés sur le bar.

Un frisson parcourut son dos tandis qu'elle entendit les portes de l'ascenseur s'ouvrir avec le petit "ding" caractéristique. Ce ne pouvait être que lui. L'ascenseur ne montait au treizième qu'avec le code.

Pour se donner une contenance, Catalina but une longue gorgée de vin. Un vin rouge, sirupeux, qui montait vite à la tête. Associé au champagne bu précédemment, ça relançait l'ivresse de la jeune femme, qui s'était un peu dissipée.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:31:23 par Catalina Taylor »
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Il ignorait qu’il y avait un dispositif de vidéosurveillance, et, avec sa casquette vissée sur le crâne, il était impossible de voir son visage. On voyait son uniforme, c’est tout, et il était suspendu à l’interphone. Tout ça était ridicule, tout simplement. Tout ce qu’il allait gagner, c’était de se recevoir un vent. Il serait bon pour rentrer chez lui, se branler dans son studio minable en songeant à la robe de paillettes de cette fille. Comment avait-il pu être aussi idiot ? C’était la faute de la Bête, ça ! Elle était comme un gamin s’enflammant pour un rien. Un simple baiser sur la joue, un simple sourire, et voilà que la Bête s’imaginait une partouze fleurie et intense. Non, c’était un fake, voilà tout. Elle lui avait sorti la première adresse possible pour se débarrasser de lui. Il suffisait de voir sa robe, ce quartier, sa bagnole... Une nana friquée. Elle flirtait avec des avocats, des banquiers, des juges, pas des vulgaires grouillots qui...

C’est à cet instant que la voix de la femme jaillit à travers l’interphone, cette petite voix sensuelle et mielleuse, qu’il était capable de reconnaître entre mille.

« Treizième étage, agent Joyce. Le code de l'ascenseur est 74 85 1 C. A tout de suite... »

Ce « à tout de suite » glissa le long de ses oreilles comme une délicieuse invitation, comme un appel à la plus perverse des lubricités. Il entendit le bip de la porte qui s’ouvrit, et la poussa, pénétrant dans le hall. L’endroit était très cossu, très chic, et il avait maintenant une érection. Ouais, la Bête bandait sévère dans sa tête. Un code... Ça signifiait que c’était un ascenseur privé, et que, donc, par conséquent, il était tombé sur une nana vraiment friquée... La Bête aimait ça. Les riches étaient doués, mais ça sentait aussi l’entourloupe. Peut-être qu’il devenait parano’, mais qu’est-ce qu’une femme riche pouvait bien faire avec un simple flic ? Elle devait déjà avoir une foule d’amants à disposition.

*Mais aucune comme nous, Nattie-boy ! Allez, fais pas ta morue, et grimpe ! J’espère que t’es pas superstitieux, héhé... Car je compte bien me vider ce soir !*

Nathan grimpa dans l’ascenseur, et indiqua le treizième. Le pavé numérique demanda alors un code, et il rentra les chiffres donnés par Catalina. C’était un ascenseur élégant, et il s’envola doucement, jusqu’à s’ouvrir directement dans le salon de la femme.

*Woow !*

Sympa… Il s’avança lentement, et vit que la femme était à la terrasse, lui tournant le dos… Dans sa robe de soirée, cette superbe robe ouverte dans son dos, et qui moulait son adorable petit cul à la perfection. Il y avait même un bar, avec une bouteille d’alcool, et un verre. Du bordeaux... Les Français avaient toujours été doués pour ça. Nathan s’avança lentement, hésitant à boire, mais il préférait avoir les mains libres, et, toujours sans rien dire, s’avança lentement. Elle était joueuse, il le sentait, et la Bête grondait en lui. Plus aucune hésitation possible maintenant, tous les feux étaient au vert. Lentement, l’homme rejoignit la terrasse, et se rapprocha du dos de la femme. Elle avait un corps magnifique, des hanches parfaites, et il se rapprocha encore, toujours plus près, jusqu’à ce qu’elle puisse sentir sa respiration, contre sa nuque.

Ses mains caressèrent ses hanches, éprouvant cette délicieuse robe, filant du haut vers le bas. Il se contenta de caresser la robe, mais en profita pour presser un peu ses mains, sentant sa peau chaude, tendre. Il l’imaginait douce, et continuait à respirer près d’elle, sans rien dire, se demandant si elle ressentait son érection contre elle. Impossible de la réfréner.

« Vous savez, Mademoiselle Taylor, il est dangereux d’ouvrir sa porte à n’importe qui… Peut-être que le gentil policier qui vous a aidé tantôt n’est peut-être pas aussi gentil que ça... Mais il est ravi de voir que vous êtes rentrée à bon port. »
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Le Ding de l’ascenseur informa Catalina de l’arrivée du policier. Un frisson couru le long de son dos. Anticipation. Excitation. Peur aussi. C’est un peu l’interdit. Flirter avec un flic, pour laisser passer l’ébriété… Un interdit bien excitant.

Elle le sentit approcher, plus qu’elle ne l’entendit. Ses sens étaient en alerte. Sur-éveillés. La chaleur du corps de son invité se propagea soudain à elle. Il était tout près. Il était derrière elle. La chair de poule couvrit son dos, marquant l’émotion qui s’emparait d’elle. Son esprit était peut-être brouillé par l’alcool, mais son corps était bel et bien éveillé. La respiration de l’homme dans sa nuque la fit frissonner à nouveau. Elle pencha même légèrement la tête, comme pour l’inviter à continuer. A aller plus loin.

Et puis ses mains. Son souffle se coupa un instant, quand il commença à effleurer le tissu de sa robe. Elle ferma les yeux, savourant le contact tiède qui courait le long de ses flancs. Il était si près qu’elle sentait son excitation. C’était palpable. Il avait au moins autant envie qu’elle. Car elle ne doutait plus de ce qui allait se passer. Catalina connaissait bien ces instants, préludes à une activité très plaisante. Elle serra plus fermement le verre à pied presque vide, et la voix masculine la fit vibrer. La chaleur de ses reins semblait intense.

« Vous savez, Mademoiselle Taylor, il est dangereux d’ouvrir sa porte à n’importe qui… Peut-être que le gentil policier qui vous a aidé tantôt n’est peut-être pas aussi gentil que ça... Mais il est ravi de voir que vous êtes rentrée à bon port. »

Un soupir lui échappa. Elle se recula légèrement, touchant à présent le corps du flic. Son dos contre son torse. Ses fesses contre son excitation. Elle se tourna ensuite, d’un mouvement fluide. Comme si c’était naturel, pour elle, d’être toujours gracieuse et ensorcelante.

« Vous savez, agent Joyce, il est dangereux de venir chez une inconnue. Peut-être que la femme un peu ivre que vous avez laissé passer un peu plus tôt n’est pas si innocente que ça. Mais elle est ravie de constater que votre esprit est apaisé… »

Elle lui retourna ses paroles, avec un petit sourire malicieux. Elle était si proche de lui. Sa poitrine était presque collée contre son torse. Mais elle était légèrement arquée, le dos posé contre la balustrade. Elle finit la dernière gorgée de son verre, et s’échappa agilement de l’étreinte de l’homme.

Elle déposa le verre sur le bar, et ses doigts effleurèrent le châle avant qu’elle ne retourne sur la terrasse. Son regard brillait. Alcool. Malice. Excitation.

« Vous… Vous voulez visiter ? »

Elle parlait de l’appartement, bien sûr, mais le sens pouvait aussi changer, selon comment on voulait interpréter les choses.

« Ici, c’est la terrasse. Vue superbe. Derrière nous, c’est le salon/salle à manger/cuisine. Vaste et agréable. Et à l’étage… La salle de bain, spacieuse. Et la chambre. Confortable. Intime. »

Catalina brûlait d’envie d’en arriver au moment où il la prenait sauvagement. Sur la terrasse, sur le bar, sur le canapé, dans la douche, dans le lit… Peu importait. Partout, s’il était endurant. Elle était chaude. Vraiment. La chaleur de ses reins se propageait. Elle ne rêvait que de le sentir contre elle à nouveau. En elle. Avec ou sans vêtements. Peu importait.

« A moins que vous ne désiriez… Rentre vous coucher. Maintenant que vous êtes rassuré… »

Mais faites-moi l’amour sauvagement avant, voulut-elle ajouter.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:31:35 par Catalina Taylor »
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"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

« Vous savez, agent Joyce, il est dangereux de venir chez une inconnue. Peut-être que la femme un peu ivre que vous avez laissé passer un peu plus tôt n’est pas si innocente que ça. Mais elle est ravie de constater que votre esprit est apaisé… »

Hum... Une femme provocante. Génial. Nathan sentit son excitation croître encore, ce qui, chez lui, comme chez n’importe quel homme normalement constitué, s’exprima par un accroissement de sa tension entre ses jambes, tension qui ne pouvait que s’accroître, vu la manière dont la sensuelle dame ivre se frottait à lui, et dont ses fesses ondulaient contre son bassin. Nathan était conquis, et son souffle s’amplifia légèrement, rauque et accéléré. Face à son dos, il devinait sa silhouette magnifique, et il voyait toute la force et toute la puissance du beau sexe, qui méritait alors pleinement cette appellation. Elle avait un corps de rêve, une silhouette fine et souple, et cette robe... Cette belle petite robe de soirée moulait son corps à tel point qu’on en frôlait l’indécence. Il aurait presque pu lui coller sur le dos un délit de racolage passif.

Elle s’était retournée contre lui, et, de son dos, il put apercevoir le devant, magnifique. Ses yeux ne s’écarquillèrent pas comme ceux d’un dalleux en manque, ou comme un jeune adolescent prépubère qui aurait un mal incroyable à dissimuler son érection, mais ils bougèrent suffisamment pour qu’il soit impossible de se méprendre. Ses mains caressaient toujours la texture de cette robe, éprouvant sous cette fine couche la douceur et la chaleur de sa peau. Elle était belle, agréable à palper, délicieuse au toucher, et elle se déroba alors à lui, lui demandant s’il voulait visiter. Il se contenta de légèrement sourire, hochant brièvement la tête, confirmant rapidement :

« Vous êtes mon hôte, montrez-moi. »

La terrasse comprenait un bar. Tout témoignait une femme aisée, bénéficiant d’un fort revenu. En d’autres circonstances, il aurait pu mener une enquête là-dessus. Dans sa tête, des questions circulaient déjà, malgré l’alcool, malgré le fait qu’il avait envie de la baiser dans tous les sens possibles. Riche héritage ? Maîtrise des actions boursières ? Un amant en politique qui entretenait une maîtresse richissime ? Fille d’un Yakuza, peut-être ? Il était sûr qu’il y avait anguille sous roche, il le sentait, mais il s’en foutait. Il était agent à la circulation, après tout. Le temps que sa mise à pied se termine, les enquêtes criminelles, ça ne signifiait rien pour lui. Il nota l’insistance de la femme sur le mot « intime », la manière sensuelle et magnifique dont ses lèvres remuaient, dont sa bouche se déplaçait pour former des mots, continuant à le charmer.

Elle était chaude comme la braise, et lui aussi, et il savait que c’était à lui d’agir. La Bête le lui soufflait. Il était l’homme, le macho, et elle avait envie de se faire tringler. Ce n’était pas que lié à l’alcool. L’alcool n’avait été qu’un faire-valoir pour le faire monter ici, il en était convaincu.

« A moins que vous ne désiriez… Rentrer vous coucher. Maintenant que vous êtes rassuré… » lâcha-t-elle alors, comme pour le tenter.

Il sourit en se rapprochant, et posa sa main, non pas sur ses vêtements, mais sur sa joue, caressant sa peau, son pouce venant se frotter contre ses lèvres. Il la poussa légèrement, et les fesses de Catalina heurtèrent la balustrade de la terrasse. Dans le dos de cette femme, la ville. Elle était acculée entre le vide et lui, et son autre main alla caresser le haut de ses jambes, glissant vers l’extrémité de la robe, filant dans un espace où cette dernière était fendue pour caresser sa peau, sous cette dernière.

« Je pourrais, oui... Mais je suis un flic consciencieux, Madame Taylor. Vous êtes suffisamment ivre pour inviter un inconnu chez vous, quelqu’un qui, en voyant un appartement qui semble appartenir à une femme aussi fortunée, pourrait avoir bien des idées mal placées. Il me semble plus sage de rester pour vous surveiller... »

Nathan continuait à jouer le jeu, mais ce n’était qu’un effet de manche, un moyen de se rapprocher davantage d’elle. Sa bouche se pencha, et il l’embrassa alors, la relevant avec sa main positionnée sur sa jambe, pour l’écraser contre la balustrade. Sa main qui était sur sa joue se déplaça pour agripper ses cheveux, y trouvant là un autre appui, en se posant sur sa nuque, et il s’aplatit contre elle, l’embrassant chaudement. Ses seins s’enfonçaient contre son torse comme des tisons ardents, sa propre verge poussait à travers le pantalon de son uniforme, heurtant l’intimité de cette femme, et il avança sa main sur le bas de son corps, palpant ses fesses, appuyant dessus.

« ...Car j’ai le net sentiment que vous n’êtes pas vraiment une femme de bonne vertu, reprit-il après cet échange. Et qu’il va vous falloir que je vous montre que la police ne rigole pas avec ça ici. »

Autant s’imprégner dans le rôle du policier, il était bien placé pour savoir que l’uniforme de policier était quelque chose qui pouvait, sexuellement parlant, être excitant... Surtout quand c’était porté par une belle nénétte à l’accueil, mais, à défaut, Nathan pouvait très bien s’en sortir. Au moins, il trouverait un intérêt à cet uniforme, comme ça. Comme pour confirmer ses intentions, il s’approcha de l’oreille de la femme, et murmura :

« Je vais vous baiser, Madame Taylor. Toute la foutue nuit. Sur cette terrasse. Sur votre bar. Avec votre alcool. En prenant un bain. Nous allons faire le tour de votre appartement, ensemble, et je vous baiserai toute la nuit. »

Il était prétentieux, mais la Bête était là.

Il pouvait se permettre de l’être.
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Catalina Taylor

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Ce jeu de séduction plaisait grandement à Catalina. Elle n'avait pas flirté ainsi, surtout en étant sûre de conclure par une activité bien plaisante, depuis longtemps. Elle se montrait audacieuse, et sensuelle. Elle aimait sentir le regard de l'homme sur elle, et se sentir désirée.

Son regard accrocha celui du policier quand il se rapprocha. Un délicieux frisson courut le longt de sa nuque quand il posa sa main contre sa joue. Elle entrouvrit les lèvres, captivée par cette lueur qu'elle voyait danser dans les yeux de Nathan. Elle se laissa docilement pousser contre la rambarde, savourant le frisson d'adrénaline qui montait. Elle était un peu comme sa prisonnière. Mais elle était également captive de ses sens.

« Je pourrais, oui... Mais je suis un flic consciencieux, Madame Taylor. Vous êtes suffisamment ivre pour inviter un inconnu chez vous, quelqu’un qui, en voyant un appartement qui semble appartenir à une femme aussi fortunée, pourrait avoir bien des idées mal placées. Il me semble plus sage de rester pour vous surveiller... »

Elle avait un peu appuyée sa joue contre la main qui caressait sa peau. Dans son regard brillait de l'excitation, et du désir à l'état brut. Elle ferma les paupières instinctivement quand les lèvres de l'agent Joyce vinrent contre les siennes. Elle accueillit le baiser avec fièvre, répondant avec au moins autant de passion qu'il mettait à l'embrasser.

« ...Car j’ai le net sentiment que vous n’êtes pas vraiment une femme de bonne vertu, reprit-il après cet échange. Et qu’il va vous falloir que je vous montre que la police ne rigole pas avec ça ici.

Elle reprit son souffle, pressant son corps contre celui de Nathan, et un sourire étira ses lèvres.

« Je vais vous baiser, Madame Taylor. Toute la foutue nuit. Sur cette terrasse. Sur votre bar. Avec votre alcool. En prenant un bain. Nous allons faire le tour de votre appartement, ensemble, et je vous baiserai toute la nuit. »

Elle frissonna de nouveau, et sa main droite passa dans la nuque du policier, comme pour l'emprisonner contre elle.

« Que d'enthousiasme, agent Joyce. Où voulez-vous commencer ? Sur la terrasse ? »

Pour Catalina, la terrasse semblait bien. Elle retira agilement ses escarpins, en profitant pour faire glisser sa jambe nue sur celle de Nathan. Allumeuse. Affamée. Attirante.

Ses mains s'activèrent également. Elle aimait bien l'uniforme, mais elle désirait encore plus voir ce qu'il cachait, ce qu'elle devinait en explorant le corps de l'homme. Ses doigts alertes firent sauter les boutons, et toutes les entraves qui maintenant le haut de l'uniforme. Sa bouche gourmande vint flatter l'ossature de la mâchoire. Elle se pressait contre lui avec une passion grandissante, avec le feu dans ses reins, et le regard lubrique, mutin.

Elle paraissait peut-être angélique, quand on la croisait dans la rue, en journée, mais Catalina était en effet loin de l'image de la jeune femme vertueuse qu'elle entretenait. Elle était tigresse. Elle était déchaînée. Elle était sulfureuse et voluptueuse.
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:32:09 par Catalina Taylor »
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Nathan Joyce

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« Que d'enthousiasme, agent Joyce. Où voulez-vous commencer ? Sur la terrasse ? »

Les choses allaient vite entre eux, mais ce n’était pas pour lui déplaire. Il aimait ça, au contraire. Nathan la sentit se rapprocher de lui, titillant son uniforme, défaisant les boutons, se pressant contre son corps, sa délicieuse poitrine se frottant contre lui. De même, il sentit la jambe de la femme caresser son corps, glissant délicatement dessus. Lentement, elle le chauffait, l’excitant, avec ce doigté si particulier, si féminin. Il humait son odeur, il savourait sa perversion, cette sensualité. Tout allait vite, oui, mais ça ne le dérangeait pas. Au contraire, ça contribuait à l’exciter. Coucher avec une belle inconnue, c’était un beau fantasme, qui ferait plaisir à Nathan ainsi qu’à la Bête. La créature était silencieuse, en ce moment, car elle était comblée. Le sexe était sa grande raison de vivre, et elle n’avait donc aucune raison de reprocher à Nathan de se rapprocher d’une femme aussi belle, avec un regard aussi lubrique.

Le policier lui répondit pas un autre baiser, en se faisant plus pressant, sa main agrippant à nouveau la nuque de Catalina, saisissant ses cheveux. Elle avait ouvert sa veste de policier, permettant de voir, dessous, un simple tee-shirt blanc. Son membre tendu était excité par ce que cette femme faisait, par le talent dont elle faisait preuve pour le chauffer, et il caressait avec sa robe, en remuant contre elle. Sa langue joua dans la bouche de la femme, il s’écrasa contre la rambarde de la terrasse, posant sa main sur cette dernière, goûtant à sa délicieuse bouche en conservant les yeux clos, soupirant avec elle. Le baiser fut délicieux, savoureux, il goûta à l’odeur de cette créature, à la saveur de ses lèvres, et rompit ensuite le baiser, de peu. Son nez se frotta contre celui de la femme, et, avec la main tenant le parapet, il la déplaça pour empoigner son sein, le pressant à travers cette robe, soulevant son sein, le faisant passer par-dessus sa robe, qui glissa lentement.

Ronds et fermes, comme il les aimait. L’homme s’amusait à en pincer un, coinçant le téton entre son pouce et son index. Il frissonnait, ému devant ce spectacle. Cette femme était tout simplement magnifique. Oui, il était sous le charme, oui, il était conquis, et oui, il avait une envie terrifiante de la prendre. Elle n’était nullement contre cette idée, continuant à jouer avec lui, à le titiller, à le provoquer. Ils étaient sur la même longueur d’onde.

Sa main délaissa le sein de cette femme, et il la glissa sous sa jupe, caressant sa peau, la griffant, la redressant, baissant sa tête pour aller suçoter son sein. Il le mordilla jouant avec, déposant sa salive dessus, sa langue titillant le téton, remuant sur cette masse de chair, sur cette délicieuse bosse. Son sexe continuait à l’élancer, et il tira sur le sous-vêtement de cette femme, aidant cette dernière à enrouler ses jambes autour de sa taille pour s’y soutenir. Sa main dénoua sa ceinture, défit les boutons de son pantalon.

Nathan portait encore son uniforme, sa position était maladroite, et il réussit à raffermir sa position en posant une main sur les fesses de Catalina, s’y servant comme soutien.

« La terrasse, ouais... C’est... Humm... Un bon début, ma belle... »

L’envie venait d’exploser en lui. Elle était tout simplement trop belle, trop irrésistible. Il ne pouvait pas faire autrement que la prendre. Son sexe à l’air libre fut guidé par l’une de ses mains, filant sous sa robe de soirée. Il n’avait même pas eu le temps d’attendre de la déshabiller... Peut-être bien, dans le fond, que, inconsciemment, la Bête agissait en lui.

Nathan pénétra Catalina, et poussa un profond soupir quand son membre se perdit dans le corps de cette dernière.
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Son souffle court, son regard aux pupilles dilatées, la pointe dur de ses tétons et l'humidité qui se faisait plus présente entre ses cuisses, tout en Catalina indiquait une excitation, un désir puissant envers Nathan. Une envie de sexe importante. Un désir dévastateur. Enivrantes sensations...

Le baiser se faisait passionné, sexy. Catalina entourait la nuque de l'homme avec un bras, le second s'enroulant autour de sa taille. Elle se cambrait pour se coller à lui, appréciant la dureté qui se dessinait contre son ventre, son entrecuisse. Elle jouait avec la langue de Nathan, elle jouait contre son corps. Elle fermait les yeux, plaquée conre lui.

Quand il saisit son sein, elle laissa échapper un gémissement. Nez contre nez pratiquement, elle frissonnait de nouveau. Soupirant, elle laissa ses lèvres glisser contre la joue de l'homme. Quand il commença à les agacer de sa bouche, de sa langue, elle laissa sa tête s'incliner vers l'arrière, pressant son corps contre lui. Elle aimait ça, oh oui, et elle en voulait plus encore.

Dès qu'il commença à descendre le tanga noir qu'elle avait, son cœur manqua un battement. Naturellement, ses jambes s'enroulèrent autour de lui, avec un peu d'aide de sa part. Son souffle s'accélèra et une bouffée de chaleur lui monta aux joues.

« La terrasse, ouais... C’est... Humm... Un bon début, ma belle... »

Elle n'eut pas le temps de lui répondre. Elle eut le souffle coupé quand il se pressa contre elle, et qu'il s'introduisit en elle, écartant ses chairs, l'emplissant de sa présence. Les yeux fermés, elle émit un bruit de gorge satisfait. C'était si bon de sentir à nouveau un homme contre elle, en elle... Tellement bon qu'elle niche sa tête dans le cou du policier, s'accrochant à son uniforme, pressant sa poitrine contre son tee-shirt blanc, contre son torse puissant.

Un peu maladroitement, elle commença à onduler son bassin, à le faire bouger en elle. Elle ne faisait pas des mouvements d'une grande amplitude, mais elle se
 plaisait à le sentir en elle, profondément. Le jeu de séduction, c'était bien, c'était amusant, séduisant, excitant. Mais la suite était encore meilleur. Le feu de ses reins se nourrissait de la présence de Nathan pour s'apaiser. Pour exploser.

Catalina n'était plus que chair, plaisir, désir. Tentation et passion. Plus rien n'existait, sinon leur deux corps imbriqués, et les sensations en résultant.

« Oh... Je- Hm. Je peux vous... Appeler Nathan ? »
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:32:22 par Catalina Taylor »
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Ensemble, ils brûlaient les étapes. Nathan aimait ça. La culotte à dentelles de la femme glissa le long du haut de ses jambes, s’arrêtant à mi-chemin. L’homme la pénétrait, s’enfonçait en elle, se perdant dans son corps. Contre ses lèvres, il sentait l’haleine de la femme, une haleine imbibée d’alcool. Il l’embrassait en soupirant, remuant ses hanches, donnant des coups de reins, sans aucun autre appui pour la maintenir que ses bras. Une chance que notre homme soit musclé ! Et, surtout, qu’il ait en lui une créature herculéenne qui était volontiers en train de lui prêter main-forte. De cette manière, il pouvait soutenir la femme sans lâcher prise. Ça lui demandait de l’effort, mais, après tout, pour les beaux yeux d’une femme, il fallait bien savoir se sacrifier... Elle n’oublierait pas cette nuit, malgré l’alcool dans ses veines. Elle n’en avait pas assez pour ne pas avoir conscience de ce qu’elle faisait. Même sans alcool, ils l’auraient fait... L’alcool n’avait fait que jouer son rôle de désinhibiteur, en les amenant à sauter une grande partie des préliminaires.

Le corps de cette femme, l’intérieur de son être, était un gouffre délicieux dans lequel s’y plonger. Sa verge s’y trouvait bien, au chaud, très confortablement posée, et il continuait à la prendre, remuant assez lentement par rapport à ce qu’il voulait. Ce n’était qu’une ébauche, un prélude pour des jeux bien plus intenses, pour des ébats torrides et hystériques. Il lui réservait un traitement digne de ce nom. Son membre remuait en elle, sa main s’agrippait à ses cheveux, et l’autre fila sous sa robe de soirée, agrippant ses fesses, les pressant, tandis qu’elle ondulait contre lui, ses seins s’écrasant contre son corps. Collés l’un à l’autre, les amants étaient pris dans une danse enfiévrée, comme s’ils étaient deux jeunes amoureux incapables de pouvoir se déshabiller, incapables de pouvoir attendre de faire ça. Le désir avait explosé en lui sans qu’il ne se l’explique, et, en un sens, le fait qu’il ne connaisse rien de cette femme y contribuait. C’était le frisson de l’inconnu, la soif de la découverte. Il ne savait pas ce qu’elle faisait dans la vie, ni même son âge, si elle était mariée, si elle avait un mec, si c’était un appartement dans lequel elle couchait avec ses amants... Tout cet inconnu titillait son imagination, l’excitait, et il en profitait, car cette situation ne pouvait pas durer. S’ils étaient appelés à se retrouver, ils en finiraient par en savoir plus sur eux.

« Oh... Je- Hm. Je peux vous... Appeler Nathan ? » lui demanda la femme, entre deux soupirs.

Il soupira, sans répondre sur le coup, sa main glissant le long des fesses de Catalina pour soulever sa jambe. Elle était en train de glisser, et il la redressa, l’embrassant en mordant ses lèvres, tirant légèrement dessus, savourant ce contact mielleux. Une bouche magnifique, un corps de rêve. Tout ici semblait être une immense invitation au plaisir et à la débauche. Il se laissait aller, sans hésitation, et remuait de plus en plus. Nathan avait cependant désormais besoin d’un appui, car, plus ça allait, et plus il avait envie d’y aller fort. C’était aussi simple que ça, comme si une espèce de machine était progressivement en train de s’emballer, incapable de se réfréner.

« Hum... Tutoie-moi, si.. Si tu veux m’appeler Nathan, ma... Haaa... Ma belle ! »

Nathan reprenait son souffle, expirant à chaque coup, et se déplaça. Il ferma la porte vitrée de l’appartement en tendant une main pour l’appuyer, et plaqua Catalina contre cette dernière. La vitre était solide, et le corps de Catalina heurta cette dernière, rebondissant contre elle. Nathan remua plus énergiquement, maintenant qu’il avait un appui, et l’embrassa à nouveau, continuant à la prendre. Son pantalon continua à glisser, jusqu’à tomber sur le sol dans un cliquètement.

« Haaa... Catalina, haaa !! »

L’homme était comblé. Il était en train de coucher avec une femme contre la porte vitrée de sa terrasse.

Que demander de plus ?
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    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
« Hum... Tutoie-moi, si.. Si tu veux m’appeler Nathan, ma... Haaa... Ma belle ! »

Oh, oui, elle allait le tutoyer, l'appeler Nathan, ou comme bon lui semblerait. Elle gémirait son nom au moment de l'orgasme, et même avant. Catalina s'accrochait avec ferveur aux épaules de l'homme, accompagnant de son mieux le rythme qu'il imposait par ses allers et venues. Sa respiration sifflait, et elle fermait parfois les yeux en gémissant. Ses lèvres couraient contre la peau tendre du cou du policier, avant qu'elle n'y niche sa tête, soupirant fiévreusement.

Quand il la déplaça, et qu'elle sentit la fraîcheur de la vitre insonorisée de la baie vitrée, un gémissement plus aigu lui échappa.

« Haaa... Catalina, haaa !! »

Oh, ce qu'elle aimait quand il prononçait son nom ainsi. Elle frissonna, et s'agrippa un peu plus fort, s'adaptant au rythme plus effréné de ses coups de reins. Elle ne pouvait plus autant bouger qu'auparavant, mais elle appréciait cette sensation d'être bloquée, prisonnière. Elle entrouvrit ses lèvres avec joie, partageant le baiser avec fougue.

« Oh, Nathan... »

Son souffle se perdit dans le cou du policier alors qu'elle resserrait ses cuisses autour de lui. La chaleur de ses reins était telle qu'elle avait l'impression de brûler intérieurement. Oui, elle brûlait de désir, de plaisir, de passion. Hoquetant parfois le nom de l'homme, elle rejeta sa tête contre la baie vitrée, laissant ses sensations s'exprimer plus bruyamment. Elle était au dernier étage, elle se fichait de se faire entendre, de toute façon.

« Oui... Haaa... Nathan... »

Elle était bien contente d'être tombée sur lui au contrôle de police. Elle n'aurait pas été aussi audacieuse sinon, ou peut-être pas aussi comblée qu'elle ne l'était à cet instant.

Son tanga la gênait un peu, et elle s'accrocha plus fort à l'homme pour laisser retomber une de ses jambes. Le bout de tissu glissa le long de sa jambe, et elle s'en dépêtra pour revenir nouer ses jambes, plus confortablement, derrière les hanches de Nathan. Elle haletait doucement en sentant le plaisir enfler en elle, se répandre dans ses veines, dans ses membres...

Elle avait été si longtemps sans autant de plaisir, sans contact charnel intime, qu'elle se sentait s'envoler vers l'orgasme. Ses pensées se brouillaient, et Catalina contractait tous les muscles de son corps autour de Nathan. Mais qu'importe si elle se laissait aller maintenant, puisqu'ils allaient faire tout son appartement ?

Alors elle lâcha un cri, rauque, en sentant la chaleur familière de l'orgasme exploser en elle, la faisant griffer le tissu que le policier portait encore sur lui.

« Oui, Nathan ! Han... »
« Modifié: samedi 22 novembre 2014, 16:33:03 par Catalina Taylor »
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RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.


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Tags : policier erotique