Après avoir servi de rat de laboratoire, Ulrik avait pu constater que l’un des effets secondaires de ces expériences avait été un accroissement de son sexe, ce qui était lié à une augmentation de son rythme sanguin et de ses pulsations électriques. Ulrik n’avait pas tout compris, si ce n’est que, maintenant, il avait un sexe assez massif. Sans être excessif, il pouvait se targuer d’avoir une superbe verge, et cette poupée de latex, qui avait l’air d’être un croisement entre une pute et une psychopathe sadique, excitait son membre avec force, le durcissant amplement. Elle était face à son chibre, et, avant de le prendre entre ses lèvres, en palpa la matière, l’éprouvant avec ses doigts de latex. Sentir cette peau délicieuse sur son sexe le faisait trembler, et sa main se raffermit sur la chevelure bleue de la femme, la pressant, tandis qu’elle continuait à caresser ce sexe, l’emprisonnant entre ses doigts. Un léger soupir s’échappa de ses lèvres, et il remua un peu son corps, ses fesses heurtant le mur carrelé. La main de Lulu s’amusait sur son sexe, glissant dessus, de bas en haut, allant à la base de son sexe, avant de remonter. Elle savait y faire, et, si elle prenait son temps, c’était sans doute parce qu’elle voyait ce vit comme un gros gâteau, un repas délicieux, à savourer longuement, et avec appétit, afin de n’en rien gaspiller.
Une fois sa main utilisée, elle la remplaça par ses lèvres, tout en titillant ses testicules. Fermant les yeux, Ulrik soupira longuement, entre ses lèvres entrouvertes, basculant sa tête en arrière. Elle heurta le mur, et chacune de ses mains se posa sur la tête de Lulu. Ce latex... Il adorait le sentir sur sa peau, glisser sur elle, excitant son membre, remuant dessus. Et sa bouche... Ses lèvres étaient merveilleuses, sa salive filant sur son membre, le faisant plonger dans un liquide délicieux. Continuant à soupirer, Ulrik caressait les cheveux de la femme, se cramponnant à ses mèches, la laissant faire, sans chercher à la repousser, ou à la forcer à agir. Elle prenait son temps, et il aimait ça... Quand c’était long et sensuel, quand on prenait le temps... Comme pour faire monter toute la tension, avant de la relâcher d’un coup.
Elle prenait son temps, glissant le long de sa queue, l’enfournant de plus en plus. Se faire sucer, c’était vraiment le pied. Il n’y avait pas à dire, Ulrik adorait ça, et il bandait littéralement en sentant cette salope glisser sur son sexe. Elle y allait lentement, pour l’exciter, pour réveiller ce côté brutal et dominateur que les femmes aimaient souvent chez les hommes. Ulrik avait appris à le savoir, à force de se balader dans l’espace, et de croiser les minettes. Officiellement, elles rêvaient toutes de l’homme calme et mûr, celui qui avait de l’oseille, des beaux vêtements, mais, profondément, hommes et femmes restaient des bêtes primitives... Et une bête primitive aimait quand c’était ardent, quand ça remuait et que c’était violent. Or, le sexe avait pour lui de rappeler aux gens leur caractère primitif, car il n’y avait rien de plus primitif que le fait de baiser. Ulrik se laissait aller, mais il savait où Lulu voulait en venir. Elle prenait son temps, le titillant, l’excitant, pour qu’il la défonce. Un sourire amusé éclaira son visage, alors qu’il ramena sa figure en avant, observant cette belle femme.
Lentement, elle retirait sa bouche de son sexe. Il était chaud, pulsant, recouvert de sa salive, et le bourlingueur raffermit sa prise sur les cheveux de la femme, et entreprit alors de la baiser. Il remua son bassin, et enfonça son sexe en elle, puis ramena ce dernier en arrière, et l’enfonça encore. Le geste n’était pas très compliqué, mais très intense, se renforçant progressivement. Ulrik soupirait sous l’effort, enfonçant son sexe toujours plus loin. Plus les gestes se prolongeaient, plus il était facile d’enfoncer sa queue en elle. Son membre se perdait dans sa bouche, tapant contre sa gorge, glissant, remuant, frappant, crachotant en elle, dans sa salive, tandis que ses mains l’immobilisaient. Elles étaient fermes, veillant ainsi à ce que la femme ne bouge pas. Parfois, il arrêtait les mouvements pendant quelques secondes, en enfonçant son sexe aussi loin qu’il était possible de le faire dans sa bouche, si bien que ses testicules heurtaient le menton de la femme. Il restait alors ainsi pendant quelques secondes, savourant ce contact, en oubliant presque de respirer, avant de reprendre, sur un rythme toujours plus fort, toujours plus rapide.
Les dents de la femme raclaient contre son membre, et les minutes continuèrent à défiler. De la sueur coulait le long du torse d’Ulrik, qui avait chaud, son corps en proie à une activité physique particulièrement intense.
« Hum... Haaaa... »
Il poussa un léger soupir, et continua à donner des coups de reins, baisant de plus en plus fortement la bouche de la femme, l’empêchant très certainement de pouvoir boire sa salive, son sexe se faisant de plus en plus agressif. C’est dans ce scénario qu’Ulrik finit par se déverser en elle, donnant des coups de reins un peu plus forts en jouissant, avant de lentement se calmer, son rythme décroissant, tandis qu’il continuait à larguer des giclées de sperme dans sa bouche.
Il se calma progressivement. Son sexe avait légèrement dégrossi sous l’effet de cette érection, mais il tint rapidement à rassurer la belle femme :
« C’est bon de jouir en toi... Mais j’en ai pas encore fini totalement avec toi, rassure-toi... Loin de là, même. Tu mérites d’être honorée comme il se doit, ma belle. »