Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 30 jeudi 01 mai 2014, 16:20:52

Lucrezia pouvait sentir toute la fougue de cette homme se déversait dans sa chatte, en une incontrôlable valse de vas et viens.
Elle avait l'impression de former avec lui une sorte de tandem mécanique, une sex-machine infernale, le piston et la pièce bien huilée, enfin, un truc pas catholique... Enfin, vous me direz, avec Lucrezia, il n'y a pas grand chose de chrétiens. Dans toute la pièce on pouvait entendre un véritable orchestre orgasmosyphosymphonique*, un mélange obscène entre les râles puissant du bel homme et les gémissement pervers de notre Duchesse, un cocktail agrémenté de claquements et de glissements salasses, ceux du vit de cet homme, dans la Psycho-Doudoune à Lulu et enfin, il y avait le "nik, nik" incessants, provenant du vieux matelas crasseux de la tueuse. Cet homme... Lulu ne ce l'expliquait pas. Il était juste... Merde ! La langue française, aussi riche soit elle, ne pourra jamais trouver d'adjectif concret, pour décrire ce type, cet espèce de blondinet venu de nul part et qui prend tout ce qui viens.

Ahhh aaaah... ouiii... ouh.. ouh... oh !

Oui... "oh !" C'est là ce que Lucrezia laissa s'échapper, lorsque ce beau mâle vint à doucement ce retirer de sa chatte. Que faisait il, bon sang de bistouri ! à peine lulu eut elle le temps de regarder par dessus son épaule que, HOP ! L'homme la retourna d'un coup sur le matelas, en mode "crêpe au fruits de mers".

Aaaah.. Je... Ouuuuh...

Lucrezia le sentit ce remettre en elle, mais d'une manière plus... Sensuelle. Oui, c'est ça, sensuelle ! Sentir cet homme auprès d'elle, ne fit qu'attiser une fois de plus, la flamme de notre tueuse, sentir sa peaux, son cœur... Tendrement, Lucrezia vint à caler son visage dans le cou de son amant, devenant alors beaucoup plus douce et câline... Oui, câline... Lucrezia, malgré l'intense violence de cet homme, était tout d'un coup entrain de devenir plus douce, enlaçant délicatement le corps de cet homme, entourant le bassin de l'inconnu à l'aide des ses jambes, tout en lui prodiguant une multitudes de petit bisous dans le cou. Ce simple changement de position, avait semble t'il, aussi changé la Duchesse, la faisant passer de "chienne en chaleur" à "gentille femme câline"... Oui, c'est pas toujours clair dans la tête à Lulu. En réalité, cela faisait bien longtemps qu'un homme n'avait pas baisé Lulu ainsi, notre pauvre Duchesse avait oubliée comment cela pouvait être, un bon vieux missionnaire, le truc basique...

Haaa... Haaa... Ou... M... Mon Amour... Que... Ha...

Le sueur de ce type lui gouttait dessus, elle sentais son râle puissant, son souffle chaud sur sa peaux et ses inébranlable coups de reins qui lui dilatait la chatte comme pas deux. Le gland de ce mec tapais violemment contre le col utérin de Lucrezia, lui extirpant à chaque coup, un gémissement digne des plus grande simulatrice au monde ! Sauf que là... Bas elle simulait pas notre Duchesse, mais alors, pas du tout ! OOOh grand non ! Là, c'était l'extase ! Chacun des vas et viens qu'il faisait, envoyait un million de petit frissons à Lucrezia, qui quant à elle, affairait à contracter ses muscles vaginaux, enserrant le sexe de son homme d'une manière de plus délicieuse ! Elle sentais que ça venait, elle voulait que ça dure mais...

Je... Nyyy... Je, haaaa... Bordel dé... désolé ! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

Et hop... Lulu lacha son orgasme dans un immense râle de plaisir, avant de totalement ce laisser tomber sur le matelas, en proie à plusieurs spasme de plaisir.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 31 samedi 03 mai 2014, 01:52:12

Cette salope était chaude comme un putain de soleil sur le point de faire une supernovae. Il la prenait encore, encore et encore, et il pensait que sa queue devait être bien rouge, à force de tant servir. Le Gordanien était en train de relever l’honneur de son ancien Empire, prenant cette femme cintrée avec une passion sans cesse renouvelée. Il fallait dire qu’elle avait tout, physiquement, de la parfaite Gordanienne. Il n’aimait pas les femmes maigres, les bras cassés anorexiques, et les préférait bien en chair, exactement comme elle. Elle avait de grosses cuisses, des seins énormes, et était plutôt grande. La baiser était magnifique, comme s’enfiler constamment une saloperie de croisement entre un top-model et une soldate. L’homme n’y allait pas par quatre chemins, la prenant avec la même obsession. Il grognait et soupirait, en la sentant se serrer contre son corps. Ses seins s’enfonçaient contre son torse, ses doigts gantés glissaient sur sa nuque, sa bouche longeait son visage, et lui-même se prenait à retourner palper les formes généreuses de sa poitrine, pressant un sein tout en continuant à remuer ses reins. Elle l’emprisonnait, se serrait contre lui, marquant un changement de rythme. Il ne l’insultait plus, préférant uniquement se concentrer sur le simple fait de la baiser. Tout contre lui, il respirait la douceur de ce corps féminin, sa beauté, en oubliant presque l’intense perversité de cette scène. Il ne la connaissait pas plus que ça, et, pourtant, il avait l’impression, en ce moment, que cette femme faisait partie intégrante de sa vie. C’était con, mais c’était ce qu’il ressentait, en ce moment.

Il lui empoigna à nouveau les cheveux, et tira légèrement sur sa tignasse, faisant basculer un peu sa tête en arrière, et continua à la prendre ainsi. Elle l’appela « mon amour », un surnom assez curieux... Mais qui ne le choqua pas outre mesure. Lui-même, en ce moment, alors qu’il l’enfournait comme la pire des truies, se sentait pris d’une sorte d’élan d’affection pour elle. Il ne fallait pas croire qu’il la haïssait, après tout ; autrement, il ne serait pas en train de lui déboîter la chatte. Ulrik donnait en effet de grands coups de reins, de plus en plus solides, emportant à chaque fois le corps de la Lulu, sous l’effet de leurs chairs collées ensemble. Elle ignorait son nom, il ignorait qui elle était, mais, là, à l’abri de la société, à l’abri de l’espace et du temps, dans une sorte de bulle parallèle qui n’avait été faite que pour eux, Ulrik sentait bien qu’il y avait quelque chose avec cette femme. Quoi donc, il n’aurait su l’expliquer précisément, mais il le ressentait, tout simplement. L’homme continuait à la prendre, sans relâche, remuant en elle, et, si elle se mit à jouir, il ne le sentit guère, enfiévré qu’il était dans son œuvre.

L’homme ne tarda pas à l’embrasser à nouveau, rompant le baiser, pour y revenir ensuite, comme une sorte de naufragé qui aurait besoin de prendre sa bouffée d’air. Il vint ensuite, parfois, lui mordiller le cou, et continuait à remuer en elle. Ah, cette mouille... Sentir toute cette putain de cyprine autour de lui le faisait bander sec, mais il commençait aussi à fatiguer, sentant ses muscles se crisper, alors qu’il continuait à la prendre, sa jouissance se faisant attendre. Le bourlingueur soupirait, l’embrassant sur la joue, frissonnant quand les gants frais et les collants froids heurtaient son corps.

Usant de son corps, il inversa à nouveau les choses, et choisit de s’asseoir, emmenant la femme avec lui. Lulu se retrouva ainsi au-dessus de lui, ses seins à hauteur de la bouche de l’homme. Elle était comme assise à califourchon sur lui, avec le membre d’Ulrik planté en elle.

« Danse... Putain, danse sur moi, ma belle... »

Il parlait d’une voix faible, en respirant lourdement, et posa une main sur la croupe de la femme, pressant ses fesses, tandis que l’autre vint gratter son dos, ses ongles glissant sur sa peau trempée et humide. Les cuisses de l’homme étaient également inondées, que ce soit de sueur ou de mouille.

Mais, putain, c’était bon ! Oh oui, bénie soit cette salope, peu importe qui elle soit !
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 32 dimanche 18 mai 2014, 18:56:15

Après le bel orgasme qu'elle venait d'avoir, Lulu ce sentait toute vaporeuse, toute flottante, comme une putain de petite plume qui virevolterait au grès du vent, juste au dessus d'une mer de cyprine, don les vague et les roulements, viendrait à poétiquement s'écraser sur une plage de cocaïne, où les arbres serais de grands pieds de marijuana violet, tout ça sublimer par un ciel au couleurs crépusculaire... Ouai... Lulu, elle en à trop pris ! C'est pourtant ce qu'elle voyait en fermant ses yeux... N'est ce pas magnifique ? Enfin bref, Lulu, elle était bien et... L'homme aussi, d'ailleurs ce dernier n'en avait pas encore fini, il continuait à prendre notre tueuse et ce sans relâche, sans faillir, comme un vrai de vrai ! Un putain de salaud d'étalons intergalactique ! Et ouai ma gueule !

Aaaaah... Ah...

Lulu était encore en proie au frissons procurés par son orgasme et ce à tel point, qu'elle ne remarqua même pas que le bonhomme se mis à la changer de position, elle était à ce moment précis, aussi animée qu'une poupée gonflable, c'est dire !
Mais seigneur... Que c'était bon ! Elle pouvait encore le sentir en elle, lui et son putain de mat, ce braquemart monstrueux qui glisse en elle depuis... Bordel, elle n'aurais su dire depuis combien de minutes, leurs ébats duraient. Chaque caresse, chaque délicat petit effleurement était comme décuplait par dix, c'était exactement comme ci elle était entrain de ce faire pilonner les rein, par l'ange Gabriel lui même ! Enfin... Faudrait expliquer pourquoi l'ange Gab' ferais ça, ou sinon j'en connais une elle va criser...

« Danse... Putain, danse sur moi, ma belle... »

Ceci dit, Lulu se mis à trémousser son popotin, se déhanchant faiblement au rythme des puissants coups de rein d'cet homme.
Elle dandinait gentiment son jolie cul, un cul que ce type ne cessais d'éprouver, comme ci ce cul, c'est deux putain de bout d'viandes exercer sur cette homme, une quelconque attractions  presque divine ! Elle sentais ses mains, ses doigts, tripoter avec fougue ses fesses pendant que le vit de ce beau mal lui pilonner le col de la manière le plus délicieuse qu'il soit.
Tout doucement, Lulu fini par tranquillement venir poser sa tête contre le torse virile de son amant en soupirant d'aise, lâchant de petits gémissements tout à fait adorables et typiquement féminins. Elle avait les mains posées sur les pectoraux de cet homme, don la forte respiration ainsi que les vas et viens, berçait gentiment notre tueuse. Doucement, elle clignait des yeux en respirant faiblement... Elle était collée à lui et elle aimait ça. On est bien loin de ses dernières mésaventure dans la Toussaint, n'est ce pas ? Vous savez, celle qui c'est soldée par trois coups de feu et une chute dans les égouts.*

Haaa... Lâchât elle faiblement, avant de venir embrasser son amant sur le bouche.



[HRP] * référence : Traitement médical particulier.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 33 mardi 20 mai 2014, 01:57:53

Cette femme était bonne. S’il fallait un mot pour la résumer, ce serait ça : bonne à en crever par terre. Il la baisait sans relâche, probablement comme il n’avait encore jamais baisé quelqu’un d’autre. Est-ce que ça venait de ce décor glauque ? De cette lueur de démence qu’il devinait dans ses yeux ? Oh putain de salope, il avait envie de la baiser, encore et encore, de se perdre en elle !Il était fatigué, oui, crever à avoir envie d’en dormir toute la saloperie de journée, mais... C’était plus fort que lui, comme s’il était en train de défoncer une saloperie de drogue du cul. Elle dansait sur elle, en sueur, et il caressait ses hanches, sentant le latex glisser contre lui,, voyant les seins énormes de cette femme remuer sous son nez. Elle dansait sur son corps, sa verge se perdant en elle, là où elle devait être, bien au chaud, baignant dans le foutre de cette salope. Ulrik la regardait en soupirant, et la laissa se rapprocher d’elle. Ils s’embrassèrent à nouveau, et l’homme soupira de plaisir, tirant sur les lèvres bleuâtres de la femme.

Les coups de bassin de Lulur alentirent alors qu’elle s’écrasait contre lui. Il la laissait faire, sentant le contact rassurant et froid du latex sur ses pectoraux. Il posa ses mains sur les fesses de Lulu, les pressant, les malaxant, les écartant l’une de l’autre, tout en répondant à son baiser. Qu’elle y aille plus lentement n’était pas si dérangeant que ça, car Ulrik avait tellement joui qu’il se sentait apaisé... S’il continuait à lui faire l’amour, c’était avant tout par perversion mentale, et non pour soulager un quelconque besoin de physique de soulager ses couilles en elle. Il lui tira donc sur les lèvres, tout en crispant ses mains sur son cul. S’il savait qui était cette femme, ce qu’elle avait réellement fait, il n’aurait jamais cru que c’était bien la Duchesse qu’il était en train de labourer.

Elle se blottissait contre son torse, et il remuait lentement ses jambes sur le matelas rapiécé. Conservant une main sur ses fesses, il remonta l’autre pour caresser ses cheveux.

« Hum... Ma petite beauté... Une vraie salope comme je les aime... Là d’où je viens... Toute la caserne te serait passée dessus, ma belle... »

Les Gordaniens avaient un rapport très simple avec le sexe. Il était interdit d’avorter, même si l’enfant résultait d’un viol. La mère refusant d’avoir un enfant pouvait le transmettre aux orphelinats militaires, où il serait soldat. Par ailleurs, tous les civils, hommes comme femmes, avaient un devoir d’hospitalité avec les militaires gordaniens, qui impliquaient de leur faire l’amour s’ils le souhaitaient, dans l’objectif de procréer. Parfois, des civils venaient se plaindre d’avoir été violés, mais les juges entendaient rarement ces plaintes. Une civile ne pouvait que se sentir honorée de sentir en elle la semence généreuse d’un soldat, et le viol n’était admis que dans des cas rarissimes et violents.

Il la conservait contre lui, sentant ses seins heurter son torse, et lui donna de petites gifles sur el cul.

« Allez, hummm... Remue, ma belle... Dis-toi que je suis ton cheval, et toi ma cow girl... Alors... Fais un rodéo du cul, ma salope, et laisse l’étalon te défoncer... »

Ulrik n’était pas du genre à être modeste, surtout après avoir joui plusieurs fois dans le corps de cette femme, et avoir senti tout son désir, toute l’envie qu’elle éprouvait à son égard. Il gifla à nouveau ses fesses, comme pour la motiver.

« Allez, traînée, DANSE ! »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 34 jeudi 22 mai 2014, 14:30:43

Là, collé à cette homme, Lulu ce sentait vraiment bien, au chaud, tout contre se torse virile... Ouai, il y a pas à dire, Lulu n'était pas totalement devenue un monstre, elle avait toujours au fond d'elle cette petite part de femme qui fait toute la différence, ce petit coté fragile qui laisse totalement de coter la face monstrueuse et bouchère de la Duchesse. Enfaîte, à ce moment précis, c'était bel et bien Mademoiselle Lucrezia.H.P Nietzshe qui était contre cet homme, Une belle femme, tout simplement. Elle sentait bien que son amant en voulait plus... Mais elle, bas elle commençait à avoir les paupières lourdes, non pas qu'elle voulait que l'histoire s'arrête là, oh grand non ! Elle voulait... Dormir, sombrer dans la torpeur avec cet inconnu, dont elle ne connaissait même pas le nom. Notre "gentille" tueuse bailla un petit coup avant de lentement se remettre à bouger son bassin, les petite fessées de ce cher monsieur X n'avait même plus d'effet, Lulu avait jouis et voilà qu'à présent, elle  sentait venir le marchant de sable. Toutefois, elle ne voulait pas stopper l'acte maintenant, elle voulait le laisser jouir, se vider les couille une bonne fois pour toutes.

La tête contre les pectoraux de son amant, les yeux mis clos et l'index au bord des lèvres, Lulu était toujours dans son espèce d'état de "trance", quelque part entre le monde des rêve et le cercle de la luxure, c'était... C'était un peut magique tout ça, d'ailleurs, toute cette soiré l'était, un mec, qui tombe du ciel et qui vient prendre notre Lulu comme elle ne s'est jamais fait prendre auparavant, ce sentir si proche d'un homme... Oui, ça faisait bien longtemps... Cette force, cette puissance, cette virilité... Lucrezia ce sentait vraiment toute petite pour le coup. Elle avait presque l'impression de sortir avec ce type... Mais ça, soit devait être dans son cerveau malade.

Ha... Je...

Doucement , Lulu caressait du bout des doigts le corps de son amant pendant que ce dernier continuait de la prendre, empoignant toujours ça belle paire de fesses. Puis... D'un coup, on sait pas trop pourquoi, Lulu vint à ce décoller de cet homme et... Elle vint à se tripoter les seins juste devant lui, les amenant contre ses belle lèvres bleutée, suçotant ses mamelons avec grâce et poésie, alternant le gauche et le droit... Sur que là, le bonhomme devait avoir un belle vue. Lucrezia jouait avec ses nichons de manière aguicheuse, elle était complètement ailleurs, cependant, elle savait tout de même ce qu'elle faisait, elle savait que ça allait encore plus motiver son bonhomme et d'ailleurs, elle compter bien lui en faire profiter.

Tiens mon doudou... Suce moi les seins... Dit elle en lui tendant ses deux beau tétons.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 35 vendredi 23 mai 2014, 02:06:25

Lulu planait, Ulrik le sentait... Car il planait aussi. Il n’était pas un homme inépuisable, juste... Endurant. Et son endurance arrivait à son terme. Il ignorait qui était cette femme, et il savait qu’il n’en parlerait à personne. Honnêtement, qui le croirait ? Ce qu’il vivait était l’une de ces histoires dingues, trop dingues pour être racontées. Personne ne le croirait s’il en parlait. On le prendrait pour un dingue, et, de toute manière, il ne voyait personne à qui le raconter. Ça, c’était juste trop délirant pour être raconté à quelqu’un. Il le conserverait bien sagement pour lui, tout en se disant qu’il ne verrait plus la Terre comme avant. Les mouvements de la femme étaient plus lents, comme si son corps souple aux formes très généreuses accusait le coup de toutes les fois où il l’avait prise. Elle était épuisée, comme lui, et il la vit alors, sans prévenir, se relever.

Le sexe d’Ulrik se retrouva au froid, et il se redressa légèrement, la respiration haletante. Les seins de cette femme étaient si lourds qu’elle s’amusait à embrasser ses propres mamelons, relevant sa poitrine à l’aide de ses gants noirs. La vue de ce latex provoqua un nouveau frisson en lui. Sa queue était bien tendue, lui faisant mal, et il la pressa entre ses doigts, serrant fort, gémissant silencieusement au contact apaisant et délicieux qu’il ressentit en venant ainsi la prendre. Ça faisait du bien, mais c’était bien insuffisant pour le contenter. À quoi est-ce que cette salope était en train de jouer ? Leurs regards se croisèrent, et elle lui expliqua alors ce qu’elle avait en tête :

« Tiens mon doudou... Suce moi les seins... »

Joignant le geste à la parole, elle guida ses seins vers lui. Ulrik la regarda silencieusement, mais, plutôt que de se relever, il posa une main sur la jambe de Lulu... Et la renversa. La femme tomba sur le matelas, à côté de lui, et il se redressa, venant empoigner dans sa main l’un de ses seins, le pinçant fermement, coinçant son téton entre son pouce et son index. Il le sentit se durcir, et un sourire vorace éclaira ses lèvres, alors que son regard vint à croiser celui de la femme.

« J’ai une trique d’enfer... Et tout ce que tu me proposes, c’est de te sucer les seins ? Petite pute... Tu veux que je joue avec tes nibards, hein, ma chérie ? J’ai une meilleure idée ! »

Il ponctua cette phrase en pinçant un peu plus fort son téton, et se redressa alors. Il se plaça au-dessus d’elle, et glissa son sexe entre ses seins. Puisque leur rodéo devait se terminer ainsi, autant qu’il se termine dans un ultime éclat de jouissance et de sperme. Il attrapa les seins de cette femme, les tenant par leurs tétons, et se mit à les remuer, tout en s’asseyant à califourchon sur elle, son torse en avant. Son membre se mit à remuer contre sa peau, heurtant ses mamelons, s’enfonçant entre ses seins, son monceau de chair englouti en elle. Sa respiration était haletante, précipitée, des gouttes de sueur coulaient de son menton pour tomber sur le corps de la femme, et il continua à remuer son sexe, encore et encore, jusqu’à finir par jouir.

« Haaa... Bordel !! »

Il ferma brièvement les yeux, s’abandonnant une ultime fois à la jouissance, et son sperme éclaboussa le menton de la femme, ses seins, et son torse. Ulrik se retira alors, légèrement sonné, et, en essayant de se relever, s’affala à son tour sur le matelas. Il se retint en posant un bras en arrière, restant ainsi simplement assis, face à la femme, qui semblait comme écrasée sur le sol.

« Merde, ma chérie, tu m’as tué... »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 36 dimanche 25 mai 2014, 16:02:07

C'est à ce demander si cet homme était increvable, à peine notre pauvre lulu venait elle de gentiment lui demander de la téter que, lui, cet inconnu et bas il la refit tomber sur le matelas, alors que la pauvre avait déjà du mal à faire la liaison entre ses neurones... Enfin bon, c'est pas bien grave. Le bel amant de notre tueuse psychopathe avait tout de même un homme dévouez et galant au fond, titillant avec amour l'un des deux énormes monts de chair de notre tueuse, jouant avec son téton rose, le durcissant à l'aide de son pouce et son index. L'appétit de cet homme était insatiable ! Diantre que notre tueuse était bien tombée pour une fois... Oui, c'est ce qu'elle se disait... Elle se disait qu'elle avait eu de la chance de tomber sur lui, aussi fou que cela puisse paraître. Les yeux mis clos, les cheveux ébouriffés et le corps en sueur, notre Lulu se sentit défaillir, quand son amant vint à lui fourrer sa queue entre les seins, sentir une fois de plus cette énorme verges entre ses nibards c'était... C'était vraiment bon, elle savait comment tout cela aller ce finir, mais seigneur... Que c'était bon !

Aaaah... aaah... ouiiiii....

Le claquement des chairs se faisait une fois de plus fortement entendre dans la pièce, ce mêlant, comme toujours, au faibles gémissement de la tueuse. Lulu avait les yeux mi-clos et son regard était quelque peut vide... Absent... La drogue, le sexe, la fatigue, tout ça était entrain d'emmener notre Duchesse et ce n'est surement pas le beaux faciale de son amant qui allait la faire revenir.

  Haaa... Bordel !!

Et hop ! Un milliard de p'tit bonhommes allèrent violemment s'écraser sur le torse, le visage et le menton de notre Lulu qui,  comme vous devez vous en doutez, eut la présence d'esprit d'ouvrir légèrement la bouche, afin d'y recevoir un peut de la délicieuse semence de cet homme. Suite à ça... Et bien... Pas grand chose en faite... Lucrezia était là, affalée sur le matelas, comme une vulgaire poupée gonflable et lui... Bas il la regardais... Après cinq petites minutes, Lucrezia eut le courage de ce relever, ou plutôt, de ce mettre à quatre patte sur le matelas, ce collant ensuite son amant de manière lente et quelque peut maladroite. Tendrement, notre tueuse vint à poser ses lèvres bleutée sur le sexe de son homme, nettoyant avec dévotion son petit soldat engourdie, le prenant entièrement en bouche avant d'ensuite le lécher avec amour, avalant le mélange sperme/cyprine avec gourmandise. Puis, après ça... Lucrezia vint à doucement ce coller à son amant, posant délicatement sa tête contre ce torse virile et luisant de sueur. Elle prit une grande inspiration... Elle ferma brièvement les yeux et...

Reste avec moi pour cette nuit... Ça fait ci longtemps que je... N'ais pas dormis avec un homme...

Le contact chaud et animal de ce torse musclé, les pulsations de son cœur... Oui, tous cela, Lucrezia ne l'avait pas vécue de puis longtemps, c'était... C'était bon, chaud, protecteur... C'était doux et reposant, tout simplement. Elle laissa fuir un autre petit soupir et lentement elle commençait à tomber dans le sommeil.


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 37 mercredi 28 mai 2014, 02:05:06

Il avait laissé sa signature, sa marque : des tâches blanches qui avaient éclaté sur le torse de cette femme en latex. Sa respiration était lourde, et rester éveillé, comme il le faisait en ce moment, était difficile. Son esprit tourbillonnait dans sa tête, ses jambes étaient devenues lourdes, faibles, et son torse se soulevait et s’abaissait. Même lui commençait à accuser le contrecoup de cette tornade de baise et de sexe. C’était le calme plat dans son falzar, son p’tit champion était crevé, après cette dernière giclée. Tout son chargeur était parti, et Ulrik n’aspirait maintenant qu’à reposer son corps. Que resterait-il de cette séance ? Sans doute rien. Il se doutait que si, dans deux semaines, il revenait ici, il n’y aurait personne. Ça avait juste été un heureux hasard, un troublant concours de circonstances. Il était tombé sur cette femme dans les chiottes d’une station de métro désaffectée. Peu importe les raisons qui avaient amené cette nana ici, il lui avait ramoné tout le corps, de haut en bas, et chacun des deux n’avait rien à y redire. Ça avait été bref, intense, comme une délicieuse parenthèse rose dans ses voyages de contrebande et ses affaires variées. Oh, il ne se plaignait pas, et il aurait été insolent pour lui de le faire. L’homme reprenait son souffle, et la sentit alors se rapprocher. Les prolongations ? Non, simplement le retour aux vestiaires.

Elle lui laissa sa signature, en nettoyant son membre. Son sexe avait décru de taille, mais il ne risquait pas de jouer la montagne russe, cette fois. Même les braves avaient droit au sommeil des justes, mais il la laissa faire. Quel homme aurait refusé une fellation ? Sûrement pas lui. Elle nettoyait son membre, et, quand elle se retira, il était juste couvert de salive, alors qu’elle s’affalait lentement contre lui, ses lourds seins heurtant son torse.

« Reste avec moi pour cette nuit... Ça fait si longtemps que je... N'ai pas dormi avec un homme... » implora-t-elle.

Il aurait pu en demander plus... Savoir ce qu’elle faisait ici, qui est-ce qu’elle fuyait, mais, d’une part, il n’était pas forcément sûr d’aimer cette réponse, et, d’autre part, elle était en train de dormir. Et puis, de toute manière, il n’avait pas envie de jacter. Sa bouche était pâteuse, et il répondit en posant une main sur la nuque de la femme, la plaquant contre son corps, son autre main venant tendrement caresser son corps. Il allait rester avec elle, oui. Il lui devait bien ça, après tout. Elle lui avait offert une superbe séance, et il avait, de toute manière, besoin de se reposer. Il la sentit s’endormir contre lui, et bascula sa tête en arrière, sur le rebord du matelas. Ce corps chaud blotti contre le sien l’accompagna également dans ses songes. Le militaire dormit cependant bien moins que la femme, se contentant juste de somnoler.

Combien de temps restait-il ici ? Quelques minutes ? Quelques heures ? Entre les deux ? Impossible à dire, car il n’y avait pas beaucoup de référents temporels ici. Aucune horloge, aucune montre. Leur chaleur corporelle décroissait lentement. Cette station de métro n’était pas chauffée, et elle était plongée dans la pénombre. Un endroit à vous rendre marteau, pour peu que vous ayez un peu d’imagination. Il ne se voyait pas rester là des jours.

Même pour les beaux yeux de cette femme fatale en latex.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 38 jeudi 12 juin 2014, 14:23:42

Qu'elle était bien, notre Duchesse contre cet homme, au chaud, tendrement blottie contre son torse musclé et luisant, bercée au rythme de ses pulsation cardiaque et de sa respiration... Oui, Lucrezia n'avait pas eu ce genre de contacte depuis longtemps, cet homme était presque un cadeaux du ciel pour elle, un putain d'ange de la baise, venue tout droit du paradis de la queue et des fesses, rien que pour la labourer. Pour l'heure, Lulu dormait tranquillement contre lui et rien d'autre en ce monde n'aurait put la déranger... D'ailleurs, durant son sommeil, Lucrezia n'eu pas droit à l'un de ses éternel flashback, triste, sombre et malsain... Non, pour une fois, elle dormait d'un sommeil doux et paisible, tout simplement.Au fond, le remède à la folie de Lucrezia, c'est peut être un homme... Cet homme ?... Nan... Ca serait trop beau, trop "good, and fucking WTF happy end !", des années et des années d'études en psychiatrie, n'ont jamais totalement sauvée l'esprit d'un tueur sériel, alors c'est surement pas une montagne de muscle et un manche à couilles qui réussiront... Et admettons que cela la calme pour un temps, l'histoire à démontrée et ce, à bien des reprises, qu'un tueur de la trempe de Lucrezia, recommencera toujours ses atrocités... Même au confins d'un autre univers...

Les tueurs en séries sont des prédateurs, même mis en cage, ils n'oublient jamais le gout du sang et l'ivresse du meurtre... Les garder en captivité requiers une attention de tous les instants, le moindre écart, la moindre petite faute... Et le cauchemars recommence. La folie de la Duchesse a était décrite comme "insoignable", cinq meurtres après son évasions, des dizaines de psychiatres ont écrit sur elle et sa soi disant "mort" n'a rien arrangée, conférences, romans, thèse, études... Le cas "Nietzshe" a était traité sous à peut prêt toutes les coutures et c'est dans sa mort, qu'elle a fait le plus de bien... Enfin, mort... C'est un grand mot... Son cadavre n'ayant pas était retrouvé, les rumeurs et la crainte plane toujours plus ou moins à Seikusu, même ci, les gens aime dire que "La Duchesse est morte et elle ne reviendra jamais !".

Hmmm...mmm..

Délicatement, à la manière d'une jolie fleur, Lulu sortis de sa torpeur. Elle ouvrit doucement les yeux, faisant lentement battre ses paupières... Elle était toujours sur le torse de cet homme et... Ce dernier était déjà réveillé semble t'il, avait il dormis ? Lucrezia l'ignorait... Mais toujours est il, elle était bien heureuse qu'il soit encore là.
Lentement, la tueuse se redressa, de sorte à laisser le champs libre à son amant, elle était alors à genoux sur le matelas, la tête embrumée par le sommeil. Notre Lulu lâchât un léger bâillement en se frottant l'oeil droit, visiblement, elle avait encore la tête dans le cul.

Coucou joli c...

Cet alors que là, dans le silence de la pièce... L'estomac de Lulu se mit à gargouiller. Et là, comme Lulu c'est une femme prude et gentille... Elle se mise à rougir. Mignon ? Je vous rappelle que l'on parle d'une femme qui violerait votre petite soeur si elle la voyait, donc non, mignon n'est pas le terme. Disons plutôt que, pour le coup, Lulu se sentie gênée d'avoir des gargouillis au ventre, enfin, il faut la comprendre aussi... Elle avait surement faim...

Je... Heu...

Elle chercha à fuir le regard de son amant, tendis que ses joue se mirent à rosirent de plus en plus... Pour le coup, c'était assez comique comme situation.

« Modifié: jeudi 12 juin 2014, 14:31:11 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 39 lundi 16 juin 2014, 01:20:44

Ulrik se situait entre l’éveil et le sommeil, dans un état intermédiaire. Il errait, fermant les yeux, ses paupières lourdes, avant de les rouvrir, clignant à plusieurs reprises, s’absentant en caressant machinalement le corps de cette fille. Ses mains glissaient sur ses cheveux, sa nuque, et son dos, alors que, blottie contre lui, elle dormait paisiblement. Cette journée était folle, complètement hallucinante, et notre homme se remettait peu à peu de ses émotions. Il s’était tapé cette fille, dans tous les sens possibles, et son corps en était à demander pitié après le récital. C’était l’heure du repos, des soupirs et des mouvements légers du corps. Lulu dormait contre lui, et elle ne savait toujours pas son nom... Était-ce si important, à ce stade ? S’il avait encore été dans l’armée, il l’aurait amené avec lui, afin qu’elle puisse accoucher de beaux soldats gordaniens qui partiraient mourir bravement et fièrement pour l’Empire. Au lieu de ça, il allait partir d’ici, la laisser se reposer, et l’oublier, avec l’intime conviction que, si jamais il revenait ici, il ne resterait aucune trace de cette femme. L’avait-il rêvé ? Tout ça semblait tellement irréel... Quand il serait de retour dans son vaisseau, est-ce qu’il arriverait à se convaincre que tout ça n’avait été qu’un songe ? N’éprouverait-il ainsi aucun regret à se séparer de cette fille ?

*Elle ne serait pas dans un tel endroit si elle ne cherchait pas à fuir quelqu’un...*

C’était évident, maintenant. Couché sur ce matelas rapiécé, il voyait le plafond, parcouru de fissures, poussiéreux, il voyait les rats et les animaux des égouts sortant de trous dans les murs, les araignées se dissimulant dans les coins. On ne se rendait pas volontairement dans un tel coin. Elle cherchait à fuir une menace. Ulrik se sentirait-il suffisamment chevaleresque pour l’aider ? Il l’ignorait. Le contrebandier était plutôt du genre à se dire que chacun devait s’occuper de ses propres emmerdes sans faire chier les autres. Cependant, c’était un joli coup... En gros, Ulrik hésitait. Allait-il rester fidèle à sa ligne, ou prendre des risques avec cette nana ?

Il hésitait, et cette dernière continua à se tortiller, commençant à se réveiller. Elle se redressa lentement, et leurs regards se croisèrent. Elle se frotta un œil en bâillant à s’en décrocher la mâchoire, ayant visiblement bien dormi, et, comme pour l’aider à se réveiller, son estomac se mit à gargouiller, la coupant dans sa phrase.

« Je... Heu... »

Quand on savait vraiment qui était la Duchesse, cette image ne manquait pas de piquant, mais Ulrik pouvait encore brandir la carte de l’ignorance. Il y avait quelque chose d’anormal avec cette fille. Ça, il le sentait bien, mais il était alors bien incapable d’en dire plus sur elle. Ulrik se rapprocha d’elle, et l’embrassa tendrement, avant de se relever.

« Yo, cocotte, répliqua-t-il. Il me semble que tout l’exercice de tantôt t’a éreinté... Tu veux casser la croûte ? »

Le pauvre homme ne savait pas trop quoi dire, ni quoi faire, et avait sorti la première chose qui lui venait à l’esprit.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 40 jeudi 19 juin 2014, 23:15:54

« Yo, cocotte, Il me semble que tout l’exercice de tantôt t’a éreinté... Tu veux casser la croûte ? »

Au vue du bruit que venait de faire son petit bedon... Oui, elle avait faim, elle avait même foutrement les croc notre tueuse ! Sauf que, le hic... C'est qu'elle ne pouvait pas remonter à la surface... Enfin, ci, elle l'avait même déjà fait, pour voler sa tenue de latex par exemple. Et ouai mon pote ! Elle l'avait volée dans un sexshop, au alentour de 2h30 du mat, pendant que le gérant ce faisait une pute dans l'arière boutique ! Enfin, là, Lulu se voyait mal sortir de toute manière... Et puis merde, elle a un bonhomme à porter de mains, alors, tant qu'a faire...

Je... Ouai... Dit, tu pourrais pas me ramener un p'tit truc à manger... et à boire aussi... Hm ?

Lulu avait vraiment la dalle et elle espérait vraiment que ce mec allait lui ramener de quoi manger... Elle avait là, un petit coté veuve noire... Pas la catégorie de tueuses en série, mais bel et bien l'araignée... Le meutre en moins. Car Lulu, forte heureusement, ne comptait pas tuer se cher monsieur, lui offrir son cul une seconde fois, peut être, mais le tuer, à ça nan. Elle n'en avait pas envie.

La belle se rapprocha de son homme, avant d'amoureusement lui rendre son baiser, plaquant ses deux mains contre le torse virile, de ce mâle d'un soir.

S'il te plait... Je taillerais une pipe si tu veux...


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 41 dimanche 22 juin 2014, 01:50:51

Elle avait envie de grailler, et, manifestement, son réfrigérateur était vide... Si tant est qu’elle ait un frigo. Comment faisait-elle pour bouffer ? Elle se nourrissait de rats et de toiles d’araignée ? Ulrik n’avait rien vu qui, de près ou de loin, s’apparente à la bouffe, et c’est ce qui, naturellement, amena Lulu à lui quémander de lui ramener à manger. Surpris par cette demande, son corps frissonna quand la femme l’embrassa tendrement, se pressant contre lui. Il répondit à son baiser, torse nu, l’enlaçant tendrement. Les mains de cette femme se serrèrent contre son torse, et leur bref baiser se rompit vite, avant qu’Ulrik ne sente l’érection revenir.

« S'il te plait... Je taillerais une pipe si tu veux... » souffla-t-elle ensuite.

Le bourlingueur esquissa un léger sourire. Il la repoussa, caressant ses épaules, remontant ensuite sur ses joues, les frottant avec ses mains. Notre pirate de l’espace hocha lentement la tête.

« Okay, joli cœur, tu sais comment me convaincre... Le temps que je revienne, retrouve ta robe de latex, et enfile-là... Avec les gants et les collants. »

Il l’embrassa à nouveau, et enfila quelques vêtements, avant de sortir. Il retrouva rapidement son brassard technologique, et l’alluma. Une représentation tridimensionnelle des égouts se mit en place. La carte fonctionnait grâce à l’ordinateur de bord de son vaisseau, diffusant des ondes radio qui rebondissaient contre les murs, permettant ainsi de dessiner une carte. Il ne comptait pas aller à la surface, car il ignorait tout de ce monde, mais Ulrik avait son plan. Le bourlingueur s’avança vers son vaisseau, et mit une demi-heure à y retourner. Personne ne vint le déranger, et il n’était pas claustrophobe, ce qui faisait qu’il s’avançait sans peur le long des égouts et des cavernes souterraines.

Une fois à l’intérieur, le bourlingueur trouva le réfrigérateur de l’appareil, et l’ouvrit. Il y avait quelques rations militaires gordaniennes, mais il savait que les femmes non-Gordaniennes avaient le palais délicat... Et lui-même trouvait ça dégueulasse. Il opta pour des aliments récupérés sur d’autres planètes, et se retourna. Dans le fond, il aurait tout à fait pu conduire cette femme ici. Curieusement, cette idée revenait encore dans son esprit, même s’il savait qu’elle était idiote, et complètement farfelue. Il la chassa vite, et retourna vers son antre.

Il aurait également pu partir et l’abandonner là, mais... Peut-être bien qu’il s’était attaché à cette poupée en latex un peu plus qu’il ne l’aurait cru. Il tenait dans sa main une sorte de plateau plastifiée avec un système électronique intégré permettant de réchauffer le plat. Ulrik retourna rapidement dans la station de métro, et fit chauffer le plat, qui comprenait aussi des couverts intégrés dans un rangement sur le côté.

« Je pense que tu devrais aimer ça, ma chérie... »

La revoir dans sa robe en latex provoquerait sûrement une nouvelle érection chez lui.

Mais ce n’était pas spécialement pour le déranger.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 42 lundi 23 juin 2014, 14:40:09

« Okay, joli cœur, tu sais comment me convaincre... Le temps que je revienne, retrouve ta robe de latex, et enfile-là... Avec les gants et les collants. »

Lucrezia fit un petit hochement  de tête en signe d’acquisition, avant d’allègrement se mettre à mater son amant entrain de se rhabiller devant elle. Dieu qu'il était beau, comme mec ! Si lulu avait était moins barge et un poil plus intègre, pour sur qu'elle l'aurait suivis ! Mais... vue qu'elle est complètement tarée et que son quotient émotionnel est pas terrible... Bas... Elle restera surement là, jusqu'à ce que son esprit de frappadingue lui dicte de remonter à la surface pour éviscérer de pauvre pute au coin d'une ruelle.

L'homme renfila donc ses vêtements, avant de se diriger vers la porte, ce tournant un dernière vers Lucrezia. Cette dernière lui adressa un petit clin d’œil, avant que cet homme d'un soir ne referme la porte derrière lui. Suite à cela... Et bien Lulu se releva doucement en ce frottant légèrement les paupières de sa main droite. Elle se dirigea ensuite vers le lavabo où était disposée sa petite sacoche Notre Lulu se regarda rapidement dans le miroir, avant de se mettre à faire couler l'eau Elle en prit un peu un creux de ses mains avant de s'humidifier abonde ment le visage, histoire de se rafraîchir un peu les idées. La tueuse farfouillat ensuite dans sa petite sacoche, afin d'en sortir un petit paquet de lingettes entamées. Elle en prit une, qu'elle passa rapidement sous l'eau, avant de l'utiliser pour se rafraîchir le minou et le derrière... Car entre nous, quitte à jouer les prolongations, autant repartir sur des bases propres. Doucement, gracieusement, Lucrezia fit descendre la lingette sur son corps nue, partant de ses seins, passant par son ventre, finissant alors au niveau de son intimité. Le gestes était gracieux, doux, emplie de désir et de passions. Lulu était vraiment une belle femme... La voir ainsi avait de quoi vous faire oubliez sa folie.

Haaaannn... Haaa... Ouuii..hmmm... Soupirât elle en continuant son petit nettoyage gracile et coquin.

Après une petite dizaines de minutes et cinq, six lingettes d'usées, Lulu se décidât enfin à remettre son uniforme de latex. Cependant, il faut savoir que, Lulu n'utilise pas que des lingettes pour ce laver, elle à aussi dans sa sacoche un gant de toilette et un savon, qu'elle utilise pour faire un nettoyage complet, là, c'était juste un petit rafraîchissement rapide, car, après tout, Lulu savait qu'elle allait s'en remettre du partout.

Devant le miroir, Lucrezia se recoiffa un peut, elle remit un bout de noir à lèvres ainsi qu'un bout de eyeshadow. Elle sniffa un peu de poudre et hop ! Elle était d'aplomb notre Lulu ! Prête à ce refaire cravacher le cul ! D'ailleurs, quitte à refaire des choses cochonnes... Autant se remettre l'espace d'un moment, dans la peau d'un métier qu'elle à longuement côtoyé, le métier d'infirmière !

Oh  yes ! ça c'est de l'idée ma cochonne ! Lâchât elle, toute contente d'avoir trouvée un truc qui pimentera un peu la suite des événements!... Enfin, vous me direz, il n'y à là, rien de vraiment très innovent là dedans mais... Bref, c'est Lulu quoi.

Elle attendue alors son amant, patiemment étendue sur le matelas rapiécé. Et ce fut après une demi-heure, trois quart d'heure d'attente, qu'elle le vit enfin revenir auprès d'elle, avec un plateau dans les mains.

How... Wow...

Lulu, pour le coup, était... étonait de le voir revenir avec un plateau repas, elle s'était attendue à un bête sandwich et à une misérable bouteille d'eau... Mais non, là, elle avait carrement droit à un plateau repas !

Je... How, Habituellement ce sont les infirmières qui apporte les plateaux repas aux patients... Pas le contraire, fufufu ! Lachat elle, langoureusement en faisant glisser son index sur le matelas.

Elle avait faim, oui... Faim de nourriture et de sexe !

« Modifié: lundi 23 juin 2014, 16:20:20 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Ulrik

E.S.P.er

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 43 mercredi 25 juin 2014, 01:12:35

Il s’attendait presque à ce qu’il n’y ait personne quand il reviendrait. Tout ça semblait tellement... Surréaliste. Initialement, il était juste venu délivrer un paquet, et il s’était retrouvé à ramoner toute la tuyauterie d’une poupée en latex aux cheveux bleus dans des toilettes miteux. Même pour lui, c’était un peu fort... Pourtant, Ulrik en avait vu des vertes et des pas mûres, en explorant l’espace. Il s’avançait lentement, retraversant ces couloirs sombres et étroits, qui donneraient envie à n’importe quel claustrophobe de pousser des hurlements paniqués. C’était un endroit flippant, rappelant au bourlingueur les avant-postes gordaniens. Il y avait des couloirs aussi étroits, qui faisaient office de goulot d’étranglement contre d’éventuels envahisseurs, des lance-flammes étant dissimulés dans les coins, ou des dispositifs permettant d’émettre des rayons lasers meurtriers. Rien de tout ça ici, fort heureusement.

C’est ainsi que notre homme retourna dans les chiottes... Probablement l’endroit le plus romantique de l’univers. Quelle chance y avait-il de trouver, dans des foutues toilettes abandonnées, une femme en latex qui avait envie de se faire tringler comme si elle était la dernière des putes ? Ulrik ouvrit la porte, s’attendant presque à ne voir personne, et à se dire que tout ce qu’il avait vécu jusqu’à maintenant n’avait été que le fruit de son imagination, et l’expression de sa situation de manque de femmes. Les longs voyages spatiaux qu’il faisait duraient aisément des semaines, et, pendant toute cette période, il ne pouvait que rester en pilotage manuel quand le corps d’une femme lui manquait.

Pourtant, elle était bien là. Magnifique, sensuelle, désirable, allongée sur son vieux matelas pourri, en glissant son doigt sur ce dernier.

« Je... How, Habituellement ce sont les infirmières qui apporte les plateaux repas aux patients... Pas le contraire, fufufu ! »

Ulrik haussa légèrement la tête sous l’effet de la surprise. Pour lui, ce qu’il lui amenait correspondait à un repas, tout simplement. Mine de rien, c’était plus rapide à préparer qu’un sandwich, puisqu’il suffisait juste d’appuyer sur un bouton. Mais... Les infirmières ? Ulrik réalisa alors qu’il avait une érection, déformant légèrement son bas. Naturellement, il savait ce qu’était une infirmière. Les Gordaniens en avaient aussi, mais elles étaient bien différentes de ces Terriennes. Elles portaient de lourdes armures quand elles agissaient sur le front, et soignaient les blessés à l’aide de machines dans les hôpitaux.

« Hum... Disons que c’est la reconnaissance du patient pour les traitements apportés par son infirmière à le soigner. »

S’agissant de la Duchesse, la phrase était très ironique, mais Ulrik ne pouvait pas savoir qu’elle sauvait rarement des vies... C’était, en réalité, plutôt le contraire. Ignorance culturelle oblige, lui ne voyait en cette femme qu’une simple partenaire sexuelle, une femme qui, pour d’obscures raisons, avait choisi de s’enterrer ici. Oh, il soupçonnait bien quelque chose de louche, mais rien d’aussi grave que la réalité. Pour l’heure, notre homme déposa le plateau dans un coin, et se déshabilla sous les yeux de la femme, finissant à nouveau nu, avec son sexe dressé. Sa main masturbait ce dernier, étranglant ce monceau de chair entre ses doigts. Le Gordanien s’avança vers elle, rejoignant le matelas.

« Mais je crois que j’ai encore besoin d’une analyse corporelle... Je sens comme une certaine tension entre les cuisses. »

Le message était clair : il voulait une petite fellation matinale, car c’était idéal pour commencer la journée.

N’est-ce pas ?
« Modifié: lundi 30 juin 2014, 17:28:18 par Ulrik »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]

Réponse 44 lundi 30 juin 2014, 17:23:25

« Hum... Disons que c’est la reconnaissance du patient pour les traitements apportés par son infirmière à le soigner. »

Cette phrase fit gentiment sourire notre Duchesse, langoureusement affalée sur son matelas. Cette homme était vraiment quelqu'un de bien, il était rare de voir un homme capable de ramener de la nourriture à une femme qu'il ne connaissait que depuis deux , trois heures... Oui... C'était vraisemblablement un gentleman ce... Ce... Tiens, Lulu en y repensant bien, venait de remarquer qu'elle ne connaissait pas le nom de ce bel étalons... Ce n'était pas en soi quelque chose de très important mais bon... Vous me dirait, quitte à baiser avec un homme que l'on peut voir en entier, autant savoir au moins son nom. Toutefois, le dit étalons ne laissa pas vraiment le temps à notre Duchesse, de lui demander son nom, car bien bien vite, il posa le plateau non loin du matelas, avant de finalement ce remettre à nue devant notre tueuse.

Qu...
« Mais je crois que j’ai encore besoin d’une analyse corporelle... Je sens comme une certaine tension entre les cuisses. »

Oui... Avant de taper dans le plateau repas, Lulu allait devoir sucer la belle queue de cet homme, qui  pointait fièrement devant son nez. Lucrezia se mit alors à genoux devant lui, prête à lui dégorger le poireau comme jamais.

Bien, bien, bien... Je pense savoir quel est votre problème... Lâchât elle avec un petit sourire malicieux, avant d'attraper le sexe de l'inconnue d'un mains délicate.
C'est un afflue de sang, un peut trop important au niveau de votre pénis, mon cher. le seul remède que je puisse vous prescrire est une bonne pipe en bonne et due forme, pipe que je m’efforcerais de faire avec amour et dévotion, tel est mon rôle d'infirmière.~♥

Et hop ! à peine eut elle fini sa phrase, qu'elle ouvrit grand sa bouche afin de venir faire tapoter le gland de l'homme sur sa langue, langue qu'elle vint ensuite à faire glisser sur toute la hampe de ce sexe turgescent et chaud. Dieu que Lucrezia aimait sucer... La fellation avait pour elle quelque chose de très érotique et de particulièrement bon. Un peu comme... Et bien comme la version adulte du suçage de pouce... Ouai, c'est pas franchement terrible comme comparaison, mais Lulu voyais sa comme ça elle. sentir se membre chaud et palpitant dans sa bouche, avait pour effet de l’apaiser et de lui prodiguer du plaisir et savoir qu'au final elle allait avoir droit à une bonne lapé de foutre chaud, ne faisait qu'attiser son envie de sucer. La langue ne notre Duchesse ce faisait habile et joueuse, passant dans chaque petit recoin de sexe de cet homme, titillant amoureusement son gland, caressant avec douceur ses bourse chaudes et gorgées de nectar blanc, tendis que les lèvres noires ne la tueuse laissait quelque petites traces sombre un peut partout sur ce membre en érection. Lucrezia laissa quelque temps la queue de ce bel homme afin de lui sucer un peu les bourses, tout en lui branlant vigoureusement le manche, puis, elle remonta au niveau de son gland en léchant allègrement cette belle verge, de la hampe jusqu'au sommet du gland, finissant alors par un petit baiser plein de tendresse et de douceur.

Au faite, à qui suis je entrain de pomper le dard ? Hm ? Dit elle avec un petit sourire en coin.

Sans quitter son homme du regard, Lulu repris son sexe en bouche, avec encore plus d'appétit que tout à l'heure, crisant ses joues en imprimant un langoureux mouvement de vas et viens sur cette belle bite de trente centimètres. Elle ignorait ce que cet homme allait lui faire ensuite... Elle avait juste envie d'une chose, ce refaire tringler comme une chienne !



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