Cette salope était chaude comme un putain de soleil sur le point de faire une supernovae. Il la prenait encore, encore et encore, et il pensait que sa queue devait être bien rouge, à force de tant servir. Le Gordanien était en train de relever l’honneur de son ancien Empire, prenant cette femme cintrée avec une passion sans cesse renouvelée. Il fallait dire qu’elle avait tout, physiquement, de la parfaite Gordanienne. Il n’aimait pas les femmes maigres, les bras cassés anorexiques, et les préférait bien en chair, exactement comme elle. Elle avait de grosses cuisses, des seins énormes, et était plutôt grande. La baiser était magnifique, comme s’enfiler constamment une saloperie de croisement entre un top-model et une soldate. L’homme n’y allait pas par quatre chemins, la prenant avec la même obsession. Il grognait et soupirait, en la sentant se serrer contre son corps. Ses seins s’enfonçaient contre son torse, ses doigts gantés glissaient sur sa nuque, sa bouche longeait son visage, et lui-même se prenait à retourner palper les formes généreuses de sa poitrine, pressant un sein tout en continuant à remuer ses reins. Elle l’emprisonnait, se serrait contre lui, marquant un changement de rythme. Il ne l’insultait plus, préférant uniquement se concentrer sur le simple fait de la baiser. Tout contre lui, il respirait la douceur de ce corps féminin, sa beauté, en oubliant presque l’intense perversité de cette scène. Il ne la connaissait pas plus que ça, et, pourtant, il avait l’impression, en ce moment, que cette femme faisait partie intégrante de sa vie. C’était con, mais c’était ce qu’il ressentait, en ce moment.
Il lui empoigna à nouveau les cheveux, et tira légèrement sur sa tignasse, faisant basculer un peu sa tête en arrière, et continua à la prendre ainsi. Elle l’appela « mon amour », un surnom assez curieux... Mais qui ne le choqua pas outre mesure. Lui-même, en ce moment, alors qu’il l’enfournait comme la pire des truies, se sentait pris d’une sorte d’élan d’affection pour elle. Il ne fallait pas croire qu’il la haïssait, après tout ; autrement, il ne serait pas en train de lui déboîter la chatte. Ulrik donnait en effet de grands coups de reins, de plus en plus solides, emportant à chaque fois le corps de la Lulu, sous l’effet de leurs chairs collées ensemble. Elle ignorait son nom, il ignorait qui elle était, mais, là, à l’abri de la société, à l’abri de l’espace et du temps, dans une sorte de bulle parallèle qui n’avait été faite que pour eux, Ulrik sentait bien qu’il y avait quelque chose avec cette femme. Quoi donc, il n’aurait su l’expliquer précisément, mais il le ressentait, tout simplement. L’homme continuait à la prendre, sans relâche, remuant en elle, et, si elle se mit à jouir, il ne le sentit guère, enfiévré qu’il était dans son œuvre.
L’homme ne tarda pas à l’embrasser à nouveau, rompant le baiser, pour y revenir ensuite, comme une sorte de naufragé qui aurait besoin de prendre sa bouffée d’air. Il vint ensuite, parfois, lui mordiller le cou, et continuait à remuer en elle. Ah, cette mouille... Sentir toute cette putain de cyprine autour de lui le faisait bander sec, mais il commençait aussi à fatiguer, sentant ses muscles se crisper, alors qu’il continuait à la prendre, sa jouissance se faisant attendre. Le bourlingueur soupirait, l’embrassant sur la joue, frissonnant quand les gants frais et les collants froids heurtaient son corps.
Usant de son corps, il inversa à nouveau les choses, et choisit de s’asseoir, emmenant la femme avec lui. Lulu se retrouva ainsi au-dessus de lui, ses seins à hauteur de la bouche de l’homme. Elle était comme assise à califourchon sur lui, avec le membre d’Ulrik planté en elle.
« Danse... Putain, danse sur moi, ma belle... »
Il parlait d’une voix faible, en respirant lourdement, et posa une main sur la croupe de la femme, pressant ses fesses, tandis que l’autre vint gratter son dos, ses ongles glissant sur sa peau trempée et humide. Les cuisses de l’homme étaient également inondées, que ce soit de sueur ou de mouille.
Mais, putain, c’était bon ! Oh oui, bénie soit cette salope, peu importe qui elle soit !