Elle essayait de parler, mais sans parvenir à émettre autre chose que des borborygmes et des soupirs. Ulrik était un amant entreprenant, dur et exigeant. Allongé à nouveau sur elle, il soupirait à son contact, savourant sa délicieuse odeur. Elle était belle, magnifique, et, quand elle découvrit l’accès à ses seins, Ulrik ne tarda pas à pencher sa tête dessus. Elle lui avait fait un suçon, pinçant sa nuque, déposant sa marque, et sa salive chaude restait sur le corps de l’homme. Il appréciait le contact de cette femme, ce mélange entre la douceur d’une chaude peau féminine et l’agréable froideur du latex. L’ensemble était délicieusement confortable, et le bourlingueur se rapprocha de ses seins, suçant l’un d’entre eux à hauteur du téton, le titillant amoureusement, avec une attention témoignant de sa grande délicatesse et de son désir vibrant de lui faire l’amour. Il la pénétrait encore, mais il était un peu plus lent qu’auparavant, regagnant peu à peu sa force, sentant la fatigue engourdir tous ses muscles. Même lui commençait à fatiguer, et il ignorait quelle était vraiment la force qui le poussait à agir de la sorte.
Ils échangèrent un nouveau baiser quand l’homme releva la tête. Il posa une main sur ses cheveux, tirant légèrement sur ces derniers.
« Hurrrmpff !! » grogna-t-il.
C’est de cette manière qu’il lui répondait, remuant en elle, la pénétrant avec plaisir. Sur ce point, il n’y avait pas à tortiller du cul : sentir sa queue en elle était un moment délicieux, extrêmement jouissif. De fait, il ne voyait pas meilleur autre endroit pour mettre son sexe que le con d’une femme.
« Oui, ma belle…, répliqua-t-il. Hum…. C’est si bon de te baiser… Hunnnn… Ma-ma salope... !! »
Il y allait de plus en plus vite, mais ce rythme n’égalait sûrement pas ses premières pénétrations. Il accusait le coup, et retourna l’embrasser, sur le cou, puis à nouveau sur les seins, sa langue remuant sur son téton, son autre main allant pincer l’autre sein, le malaxant à hauteur du téton. Il enfonçait ses doigts contre cette bosse, la remuant et la malaxant, serrant cette chair. Elle continuait à lécher l’autre sein, s’y attaquant délicieusement, sa verge tendue. Comme il appréciait ça, de sentir cette femme le serrer contre elle. On aurait presque pu croire que c’était une mère faisant un câlin à son enfant… Si ce n’est que, dans le cas présent, le « fils » en question était un amant dominateur qui continuait à la prendre lourdement, sans relâche.
L’homme n’allait pas jouir tout de suite, oscillant entre la fatigue et le plaisir, le contraignant parfois à s’arrêter. Il haletait alors, comme s’il était un asthmatique, et l’embrassait alors pour se détendre, pour récupérer un peu de force. Ulrik s’étala alors contre elle, et sa main se posa sur ses fesses, remontant sous sa robe. Il déplaça ensuite l’autre, et pressa l’autre fesses de Lucrezia. Ses lèvres se posèrent contre les siennes, Ulrik reprit son souffle… Et durcit alors ses mouvements, ses mains se crispant fermement sur le cul de la femme. Il se blottissait contre elle, et son corps remontait d’avant en arrière, sa queue tapant contre le fond de son trou, heurtant son clitoris, la faisant encore couiner.
Oh oui, il adorait ça, bordel ! Sentir cette femme trembler contre lui, la sentir gémir en se tortillant contre son corps, la sentir haleter et trembler de plaisir. Oh, tout ça était merveilleux ! Ulrik ne se retenait pas de la prendre encore, encore et encore, sa salive glissant parfois de ses lèvres pour tomber sur le visage de la femme. Il avait cessé de l’embrasser, et son front heurtait le sien, glissant contre sa tête chaude. Sa queue était tendue, de plus en plus douloureuse, et il grognait, haletant en soupirant.
« Puuuuuuuuuuuuutaaaainnn… Haaaaaaaaaaa… »
Il ferma les yeux, de la sueur coulant abondamment de son corps. Il posa finalement l’une de ses mains sur le lit, à côté de la tête de la femme, l’autre restant crispé sur ses fesses, et il continua à la prendre, de plus en plus profondément, gémissant…
…Jusqu’à ce que, enfin, la jouissance ne l’appelle, et qu’il ne balance dans son corps des giclées de sperme. C’était si intense, si bon, qu’il en aurait presque chialé !