MIKI
Se faire enculer par Maman Yuko était un plaisir exquis. La neko, qui se sentait alors
vraiment comme une salope, hurlait de douleur et de joie. Ses seins remuaient le long de la table, et elle relevait la tête pour s’observer devant le miroir. Ses petites joues étaient toutes rouges, et Maman Yuko se dressait au-dessus d’elle, la défonçant sévèrement, sans relâche, si belle, si dominatrice dans sa tenue rouge en latex. Elle dominait Miki par sa stature, et enfonçait sa grosse verge le plus loin possible.
«
NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAANNNNNNNNNNNNN !!! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNN !! » hurlait la petite Miki en se tortillant sur la table.
Cette dernière grinçait et remuait, les ongles de Miki s’enfonçant dans cette dernière, remuant frénétiquement. À chaque fois, ce gode grossissait pour lui écarteler son cul. La douleur était totale, la remplissant intégralement, empêchant son cerveau de réfléchir à quoi que ce soit d’autre que cette verge plantée en elle comme un fanion dans le cul. La petite Miki tremblait dans tous les sens du terme, ronronnant comme une usine à gaz, s’abandonnant totalement aux désirs voraces de sa Maman. Une Maman violente et dure, et qui, tout en défonçant Miki, se faisait également défoncer. Quand la petite neko fermait les yeux, elle s’imaginait la scène, voyant leurs deux beaux bassins taper l’un à l’autre, les verges s’enfonçant dans un corps comme dans l’autre, les reliant ensemble. C’était... Elle trouvait ça
tellement beau, tellement... Tellement
mraw !!
Le gode de Maman Yuko s’enfonça profondément en elle, faisant silencieusement couiner Miki. Elle en avait presque des larmes aux yeux, mais, pour rien au monde, elle n’aurait voulu échanger sa place avec une autre femme. Oh que non ! Maîtresse Mélinda l’avait très bien formé, et, comme bien d’autres esclaves, Miki adorait qu’on lui défonce son petit cul. C’en était à ce point qu’au sein du harem, la sodomie semblait parfois être une relation sexuelle encore plus normale qu’un simple coït. Son cul la faisait souffrir, et Maman Yuko s’écrasa sur elle, plaquant la neko contre la table. Miki soupira en gémissant, sa queue caudale remuant légèrement le long des jambes de sa Maman, qui lui couina encore. Miki frissonna de plaisir quand elle lui avoua être sa «
pute chérie », et qu’elle continuerait encore à l’enculer, tous les jours... Pour Miki, qui détestait plus que tout la solitude, et qu’on ne s’occupe pas d’elle, c’était du pain béni à entendre.
Elle gémit quand le gode se retira de ses fesses, puis Maman Yuko se mit à la mordre. Miki se mit à gémir à nouveau, se pinçant les lèvres, mouillant comme une petite folle, salissant la table. Elle n’en pouvait plus, et elle avait profité de cette sodomie pour jouir, son corps se frottant contre la table, son clitoris glissant dessus. Quand on était une spécialiste du voyeurisme et du fétichisme, et qu’on s’amusait à vous regarder des scènes de sexe pendant des heures sans pouvoir rien faire, on apprenait à utiliser n’importe quelle occasion pour jouir, et Miki s’était déjà lâchée. Une flaque de cyprine s’étalait progressivement sur le sol, et se faire mordre le cul l’excitait tout particulièrement, l’amenant à avoir un second orgasme. Miki soupirait lentement, puis Maman Yuko la retourna ensuite, se dressant au-dessus d’elle.
«
Nyyyuuu... Maman Yuko est... Si belle... » avoua Miki en rougissant.
Elle était même
magnifique. Miki écarta les jambes, des jambes trempées. Sa combinaison en latex était salie. Maman Yuko s’allongea contre elle, et enfonça sa verge artificielle en elle. Cette dernière s’enfonça sans peine dans la fleur intime de Miki, tant les pétales de son sexe étaient ouvertes. Elle soupira, et tendit ses mains, agrippant la nuque de sa Maman. Elle se rapprocha d’elle, mais ne l’embrassa pas, ses lèvres se frôlant ensemble. Elle voulait l’entendre hurler... Et Miki ne tarda pas à hurler. Son cul lui faisait terriblement mal, comme s’il était en feu, et la pénétration de Maman Yuko n’avait rien de romantique. C’était brutal et violent, confirmant bien que le sexe, avant tout, était une relation de
violence. Miki couinait contre sa Maman, et cette dernière faisait remuer la table en la défonçant, relevant bien haut tout son corps, avant de l’abattre d’un coup sec.
«
MRRRRRRRRRRRRRRRRRAAAAWWW !!! MIAAAAAAAAAAAAAAAAAHHAAAAANNNNNNNNNN !! OUUUUUUUUUUUUUUUUUUIIII-HAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN !!! NYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYUUUUUUUUUUUUUUUUU !!! »
Elle hurlait à s’en dégommer la gorge, sa petite main s’agrippant aux cheveux de la femme. Maman Yuko était plus musclée qu’elle, et la défonçait allègrement, lui explosant la chatte. Maman Yuko lui dit alors qu’elle voulait qu’elles jouissent ensemble... Ce qui, pour le coup, était râpé. Miki était tellement excitée qu’elle avait déjà atteint un troisième orgasme, mais semblait prête à en redemander encore, à devenir une véritable neko-fontaine en aspergeant le corps de sa Maman et la table. Elle était une vilaine fille, mais c’était plus fort qu’elle.
Ce qu’elle ressentait était tout simplement trop bon, et on pouvait voir sa langue se mettre à pendre sous les assauts répétés de Maman Yuko, sa salive sortant parfois de sa bouche. Elle ronronnait bien entendu furieusement.
Et elle mouillait comme une catin.
KATARINA
Venant de loin, Katarina entendit sa salope préférée hurler. Elle tourna la tête en urinant, sa main gantée agrippant fermement les cheveux de Yuka. Uriner sur ses esclaves était un truc qu’elle aimait bien faire, une manière délicieuse de les humilier et de les rabaisser au statut de «
moins-que-rien »... Ce qu’ils étaient en couchant avec elle. Gourmande, Yuka ne tarda pas à implorer à nouveau sa Maîtresse... Et se reçut un coup de cravache sur la joue, laissant une belle marque rouge.
«
Combien de fois devrais-je te frapper... Combien de fois devrais-je te punir pour... Pour que... Tu... Comprennes... Que c’est MOI... Qui donne... Les... ORDRES ! »
La cravache s’était abattue à plusieurs reprises supplémentaires sur chacune des joues de la femme, faisant siffler ses oreilles. Il y avait quelque chose de libérateur dans la violence, et on ne pouvait vraiment le comprendre que quand on foutait une raclée à quelqu’un. L’adrénaline s’emparait de vous, et avait un terrible effet dopant et annihilateur. Un délectable sentiment d’omnipuissance s’emparait de vous, au fur et à mesure que vous flanquiez des coups à l’individu qui est en face de vous, que ce soit un vulgaire quidam, ou une petite soumise.
Katarina se retourna, laissant Yuka reprendre son souffle, mais eut tout de même la tendance de lui mettre sur la bouche un
gag-ball. Elle le serra fort, puis se rapprocha de son placard, et sortit un fouet, et détacha ensuite Yuka, puis changea encore un peu sa configuration. Elle récupéra le
gag ball, mais mit un bandeau noir sur les yeux de Yuka, l’attachant solidement à l’arrière de sa nuque.
«
Laisse-toi faire, ma petite salope, je vais te corriger bien comme il faut. »
Katarina poussa Yuka, et l’aida à s’installer sur un
chevalet, attachant ses mains sous ce dernier, ses pieds bien écartés, lui offrant une vue magnifique sur son bassin. Yuka consentit alors à lui retirer les deux godes, et, comme elle s’y attendait, un jet de mouille se mit à fuser de l’intimité de son esclave, salissant le sol.
«
Quelle traînée... Tu me salis tout ! »
Ça méritait bien une petite
punition, surtout quand ce cul était si généreusement offert. Katarina attrapa, non plus une cravache, mais un fouet, et, pendant une bonne minute, elle fouetta à nouveau Yuka, l’insultant copieusement entre chaque coup de fouet. Le fouet claquait sur son dos, ses jambes, mais se concentrait principalement sur son cul, rebondissant sur chacune des deux belles fesses de la femme.
«
SALOPE !! TRAÎNÉE !! PUTE !! SALE CHIENNE !! PUTE !! PUTE !! PUUUUUTE !!! »
Qu’on ose dire, ensuite, que les femmes étaient douces entre elles !
Katarina cessa de la fouetter, et se concentra ensuite un peu. Elle posa ses mains gantées sur le bassin de la femme, et une verge se mit à pousser de son corps, venant taper contre les fesses de la femme.
«
Haaan !! Je me sens mieux quand je l’ai sorti !! »
Pinçant les fesses de la femme, elle poursuivit ensuite :
«
Comme je suis gentille, je vais te faire une fleur... Choisis quelle partie de ton anatomie tu veux que ma verge défonce : ton cul, ou ta petite fleur. Ton autre trou sera rempli par l’un de mes godes, afin que tu sois comblée, ma petite salope adorée. »
Si, avec ça, sa salope ne s’asseyait pas sur un énorme coussin rembourré en sortant d’ici...