MIKI
Après la courte apparition de Katarina, qui retourna ensuite s’occuper plus fermement de Yuka, à tel point que les deux femmes s’isolèrent dans une pièce annexe, Miki se retrouva seule avec Yuko. Venant récemment de jouir, la neko se sentait un peu mieux, mais elle avait tellement souffert, tantôt, que son état était encore très instable, très précaire. Elle ressentait toujours en elle cette
soif intime, une soif qui venait la titiller, la harceler, toujours là, presque constante. Les choses se compliquèrent quand Yuko vint à l’embrasser. Miki gémit de plaisir en sentant les belles lèvres de sa Maîtresse, qui lui demanda ensuite si elle était prête à retirer son masque et ses lunettes. Miki, rougissant légèrement, hocha légèrement la tête.
«
Miki endossera tous les rôles que sa Maîtresse veut... » souffla cette dernière.
C’était aussi simple que ça. Fidèle et dévouée, Miki comptait bien obéir à chacun des fantasmes de Maîtresse Yuko, parce qu’elle était tout simplement sa Maîtresse. Mais, pour l’heure, Maîtresse Yuko n’avait qu’une chose en tête : fesser Miki. Tenant la laisse, elle s’assit sur un confortable tabouret, et Miki, à cette idée, se sentit mouiller sur place, et un ronronnement vint trahir le plaisir instantané qu’elle reçut à l’idée d’être
battue. Miki n’était effectivement pas une femme très normale, car l’idée de se faire battre, loin de la réfréner, ne faisait que l’exciter solidement. Impossible de l’expliquer rationnellement, elle trouvait juste ça...
Bandant. Elle avait à nouveau le feu au cul, et se rapprocha rapidement, sa queue poilue remuant joyeusement dans son dos. Miki vint ainsi se poser sur les confortables cuisses de la femme, savourant l’odeur du latex, ainsi que de cette belle peau, et posa ses jambes sur le sol, bombant bien son petit cul, afin de l’exposer aux gifles de sa Maîtresse.
Cette dernière lui proposa alors de retirer son bas, d’exhiber clairement ses fesses, tandis qu’elle-même retirerait ce gant si élégant, afin de pouvoir mieux la battre, de sentir mieux la douleur. Miki en frissonna, poussant un petit miaulement, mais, avant même qu’elle ne puisse répondre, Maîtresse Yuko la gifla. Elle claqua ses fesses, comme si elle était la maman d’une mauvaise fille qui venait de faire des bêtises, et qui méritait bien une petite correction.
«
Nyyyyyyyyyyyyuuuu !! » miaula joyeusement l’intéressée en sentant sa queue se redresser.
Tout son corps en frissonna, et elle sentit ses griffes tirer sur ses gants, caressant la peau et le collant de la femme. Miki ne pouvait voir le sourire de la femme, mais, en revanche, elle sentit ses mains s’abattre en rafale sur son cul. Encore et encore. Elle remontait, et Miki sentait le sifflement de l’air, les quelques secondes entre le moment où la douleur traînait sur son cul, et celui où la douleur éclaterait. Elle se préparait mentalement, serrant un peu les fesses, appréhendant et sollicitant ce moment. La fessée venait ensuite, forte, et Miki couinait à chaque fois, ses ronronnements vibrant dans l’air.
Les claques s’abattirent pendant de longues minutes, sans arrêt, Maîtresse Yuko semblant prise dans une véritable frénésie, y allant à chaque fois de plus en plus fort. À chaque fois, le corps de Miki commençait à remuer d’avant en arrière, et elle miaulait, sa salive coulant parfois sur la jambe de Maîtresse Yuko, son corps se frottant contre elle, glissant sur sa peau, se frottant contre le tabouret. Elle était ans la peau de la petite fille battue par sa mère, de l’esclave fouettée par sa Maîtresse, et elle ne pouvait pas nier détester ça. Au contraire, même.
«
Haaaaaaaaaan-Haaaaaaaaaaaaaaaaaaannn !! »
La queue de Miki remuait dans tous les sens, fouettant l’air, et, à force de se frotter contre la cuisse de sa Maîtresse, elle poussa un long miaulement. Sa combinaison était encore en train de s’humecter, et l’orgasme finit par venir. Elle jouit tandis que le bas de sa combinaison se mit à glisser, dévoilant alors ses fesses, deux petits bouts qui commençaient à rougir sous le contact des doigts de Yuko. On pouvait alors entendre, dans la pièce, le bruit des claques de Yuko sur sa chair, surmontant les ronronnements intenses, les gémissements de plaisir, et les couinements de douleur que Miki était en train de pousser.
KATARINA
«
Là, ma belle, là... Ce ne sera plus très long, maintenant... Il fallait que je t’habille correctement pour la suite de notre aventure... »
Le ton qu’employait Katarina était à la fois moqueur et malicieux. Elle avait emmené Yuka à part, afin de n’être plus dérangée par sa sœur, et avait changé les règles. Yuka n’était plus une petite chienne, elle était désormais une victime, une
proie. Katarina l’avait emmené dans ce qu’elle appelait son cabinet personnel, et Yuka y était entrée avec un bandeau noir autour des yeux. Cette pièce était bien plus petite, et Katarina avait fermé, derrière elle, la porte, puis avait ordonné à Yuka de s’asseoir sur un confortable fauteuil en cuir noir. Katarina lui avait ensuite mis un
gag ball sur les lèvres, puis avait vérifié que le bandeau avait été bien fixé, et avait commencé à s’habiller, puis à la déshabiller, et à la rhabiller ensuite
Son cabinet était appelé ainsi parce qu’il fonctionnait comme un cabinet, avec un fauteuil pour ausculter la patiente. Un examen sexuel intense, qu’elle réservait aux clients qui arrivaient à avoir ses bonnes grâces. Katarina prenait tout son temps, faisant monter le suspens. Elle attacha Yuka en lui ordonnant de lever les bras, nouant ses poignets ensemble par de solides cordes, après avoir recouvert ses mains et ses avant-bras de longs gants noirs en latex. Elle avait ensuite relevé chacune de ses jambes, les bloquant à l’aide de liens et d’attelles. Elle avait auparavant recouvert ses jambes de longs collants noirs, également en latex.
Maintenant, Katarina s’était lentement déshabillée, faisant claquer ses gants noirs en les enfilant, laissant ainsi le soin à Yuka de travailler son imagination. Katarina se retourna ensuite, et observa sa proie, une fois qu’elle l’avait habillé.
Yuka était plutôt belle ainsi. Elle avait retiré son
gag ball pour un bandeau avec un gode noir, et l’avait habillé à l’aide de vêtements en latex. Elle-même avait choisi des vêtements appropriés : des gants, des collants, et un corset noir en latex, et tenait dans la main une petite télécommande.
«
Prête ? Ceci n’est que le commencement... »
Elle appuya sur la télécommande, et le vibromasseur planté dans l’intimité de Yuka se mit à vibrer rapidement, rejoint par le vibromasseur planté dans son fondement. C’était un dispositif tekhan, qui valait une petite fortune sur le marché noir, mais que Katarina avait réussi à se procurer, grâce à l’assistance de Maîtresse Mélinda.
Les deux vibromasseurs émettaient également des impulsions électriques, et Katarina enclencha ce mode, répandant dans le corps de la femme des ondes électriques, afin de la torturer un peu.
Elle était là pour se faire torturer, après tout.