La résistance de l’humaine n’était plus qu’un souvenir lointain. Jill avait plutôt bien résisté, en réalité. Heureusement, la Reine des Lames était une femme particulièrement patiente, et qui appréciait maintenant de voir l’humaine se laisser faire. Le plaisir irradiait dans le corps de la belle femme aux formes magnifiques. Elle avait toujours sa combinaison, une tenue tendre et moulante que Sarah se refusait à enlever. Impatiente, Jill avait été jusqu’à supplier Sarah de retourner la prendre quand elle avait retiré son sexe.
«
Ne t’en fais pas, Jill, ceci n’est qu’un commencement... » entreprit de la rassurer Sarah.
Les Formiens étaient des spécialises du gangbang, après tout. Une humaine qui était violée par eux perdait souvent la vie sous l’effort physique intense que son corps devait livrer pour satisfaire tous ceux qui la prenaient. Mais, avec Jill, ce serait différent. Sarah comptait bien la ménager, et être bienveillante avec elle. Son corps le méritait, et, bien qu’elle ait été un peu rebelle, elle avait fini par admettre cette chose fondamentale et simple, selon laquelle l’être humain était avant tout un animal sexuel. Réprimer ses pulsions, c’était pour Sarah une preuve forte qu’on était dément. La Reine des Lames posa ses mains sur les fesses de la femme, son délicieux postérieur.
Son fondement l’attirait de plus en plus, et, vu la manière dont Jill avait remué ses fesses, comme une petite catin en manque, il ne faisait aucun doute que l’humaine désirait se faire prendre par là. Autour d’elles, le nid improvisé de Sarah Kerrigan commençait à se réveiller, et, jaillissant du plafond, un tentacule s’enroula délicatement autour du cou de Jill, formant comme une laisse organique, qui permettait de retenir cette dernière dans cette position de chienne. Une posture qui convenait très bien aux humaines, rappelant à chaque fois la supériorité naturelle des Formiens sur les êtres humains. Pour Sarah, les humains devaient être uniquement des esclaves sexuels. Ils n’avaient aucune conscience de groupe, aucun communautarisme. Même des rats étaient plus solidaires qu’eux !
Leur seul intérêt, en réalité, se résumait à ce corps que l’Annexienne baisait allégrement, enfonçant son énorme queue, son sexe violet tendu et assoiffé. Elle partait à l’assaut, avide de chair et de sensations. Le tentacule qui serrait le cou de Jill n’essayait pas de l’étrangler, et un autre s’approcha, son extrémité recourbée en forme de verge, faisant à Jill une fellation, qui l’accepta volontiers. Sarah, qui était reliée à toutes les créatures de sa Horde, put sentir, à travers le tentacule, l’absence totale de résistance de la part de l’humaine.
*
Il est donc temps de passer aux choses sérieuses !* estima la Reine des Lames.
Elle continuait à garder son sexe dans l’intimité de Jill, mais une autre personne s’approcha. C’était la fille de Sarah, la Formienne qui avait conduit Jill ici,
Thorne. Voir ainsi sa mère s’amuser avait passablement échaudé les instincts de Thorne, qui avait envie d’intervenir. Elle se rapprocha donc, sur le flanc de Jill, et posa l’une de ses mains le long de son dos, caressant colonne vertébrale à travers le tissu de la combinaison.
«
Mère t’aime beaucoup, sussurra-t-elle dans le creux de l’oreille de Jill.
Tu as le droit d’en être fière, te faire l’amour est un grand honneur qu’elle te fait. »
Elle embrassa Jill sur le côté, puis entreprit de se déplacer, ayant envie d’agir, de soulager cette tension qui s’accumulait en elle. Le tentacule sur le cou de Jill se resserra, la tirant en arrière, et Thorne put ainsi attraper les mains de Jill, les écartant, sans que cette dernière ne tombe. Sn dos se creusa délicieusement, et Thorne se glissa sous son corps.
«
Pose tes mains sur mon corps, Jill... »
Joignant le geste à la parole, Thorne attrapa les poignets de Jill, l’amenant à caresser l’espèce de texture noirâtre qui recouvrait la peau humanoïde de Thorne. Cette seconde couche noirâtre se concentrait massivement à hauteur de son bassin, et une bosse ne tarda pas à émerger et à grossir, formant une longue verge noirâtre, alors que la peau noirâtre de Thorne l’aidait à se blottir contre le corps de Jill, en hauteur. Elle l’embrassait sur la joue, et mordillait ensuite le bout du tentacule qui pénétrait Jill.
Sarah retira son membre de l’intimité de Jill après avoir eu un second orgasme, mais ne la fit pas attendre trop longtemps. Son membre se glissa dans son fondement, dans ce petit trou étroit et dont les Formiens raffolaient. Son intimité dégoulinante ne resta pas délaissée très longtemps, car le sexe de Thorne vint se glisser en elle, avec force.
Là, Jill pouvait prétendre être comblée.