Mission suicide ? [Jill Valentine]

Ce devait être un cauchemar, un vrai ! Ces êtres étaient bizarres, horrible, sans pitié. Ma fierté était quelque peu partie après qu'elle me fit un sourire et son sexe se bandait encore plus lorsque je l'insultais. Je sentais une forme qui se formait dans mon dos, l'autre femme était revenu, elle me forçait à relever ma tête pour que le sexe de sa mère revienne dans ma gueule. Elle caressait une de mes fesses. Sans me contrôler, je gémis sous se contacte.

- Quand Mère en aura fini avec toi, et qu’elle se reposera, je te passerais dessus... Alors, économise ton énergie, ma beauté...

Merde, alors cette soirée allait plutôt se passer en plusieurs jours . Elle giflait mon cul, ayant la bouche pleine, mon cri fut étouffé. Cette fois si, Sarah entrait son sexe encore plus profond, j'allais me faire exploser la gorge ! Je pleurais, c'était vraiment désagréable la gorge profonde. Vingt secondes de souffrance plus tard, elle retirait son sexe. Je geignais, j'étouffais, je toussais, j'étais pathétique ! Elle me donnait l'ordre de la lécher. Je la regardais un regard plein d'eau et je l'écoutais enfin, je mis ma langue contre son gland pour le titiller et ensuite je le fis de son long. Thorne, de son côté, s'amusait à tripoter mes seins en titillant mes auréoles de chair rose qui devint dure tout d'un coup. Elle m'annonçait, toujours dans l'oreille, que j'allais me faire violée pendant des jours ... Des jours ? Bon, c'était la fin pour moi. J'espérais que mon marshal viendrait à mon aide pendant ce temps. Je faisais une mine découragée en arrêtant de faire du bien à Kerrigan. J'étais trop préoccupé ... des jours ? Bon sang !

Sarah avait couché avec de nombreuses Tekhanes. La Fourmilière comprenait une espèce de banque de données d’humains capturés, essentiellement des femmes, dont on laissait leurs tenues moulantes le plus longtemps possible. Sans arrêt, elles étaient violées, humiliées, souillées, jusqu’à ce que leurs corps lâchent, des drogues et des substances formiennes leur permettant de tenir le choc. Toutes, naturellement, ne réagissaient pas de la même manière. Certaines perdaient rapidement la raison, tandis que d’autres étaient bien plus endurantes. Sarah, de ce qu’elle put rapidement voir, comprit que Jill ne devait pas être une adepte du sexe, et encore moins des gorges profondes. Quelle infamie ! C’était, pour les Formiens, un incompréhensible paradoxe qu’une race aussi belle que celle des Terriens soit aussi coincée sur les rapports sexuels. Ceci remettait en cause certains principes chers aux Formiens, selon lesquels la beauté physique était liée à l’activité sexuelle. Dans ce monde, le sexe, nécessaire à la vie, était perçu comme quelque chose de tabou, de dangereux.

Jill avait le choix, une chose que Sarah aimait bien faire chez ses proies, quand elle en avait l’occasion. C’était sans doute un autre relent de son humanité, mais elle préférait que la pondeuse soit consentante. Le consentement était difficile à obtenir, et elle justifiait ce point de vue en considérant qu’une pondeuse dans un bon état psychologique fournirait de meilleurs bébés, et serait surtout plus apte à enfanter encore et encore. Jill pleurait à moitié, mais sut être suffisamment intelligente pour ne pas risquer une nouvelle punition, et se rapprocha du sexe violet de Sarah, ce sexe qui titillait ses lèvres, caressait son nez. Elle l’embrassa, tendrement, en position de soumise, avouant implicitement son impuissance, et se remettant à la pitié de son bourreau. La pitié était un mot inconnu des Formiens, un sentiment incompatible avec une logique darwinienne, où les faibles étaient voués à disparaître. La langue de Jill remuait timidement le long de la belle verge de Sarah, qui se sentit frissonner. Elle regardait Jill, indifférente à ses sanglots, ne pensant qu’à cette langue qui remuait le long de son membre.

Thorne, mentalement reliée à sa Mère, agissait comme une sorte d’excitant, comme une sorte de complice pour guider Jill. L’expérience avait prouvé à Sarah que ce système était parfois très efficace, dans la mesure où, curieusement, les humains, capables de créer de puissantes armes et d’énormes bâtiments, ne comprenaient pas les choses les plus basiques. Il y avait vraiment des paradoxes inexplicables ! L’humanité était une erreur, une distorsion de la nature, un ensemble de contradictions qu’il convenait de pacifier, de guider, de diriger. Jill arrêta alors de lécher son sexe, et Sarah pencha la tête. Elle semblait... Désespérée.

« Pour nous, Formiens, les humains sont des enfants qu’il convient d’éduquer. Toute base d’un système éducatif est le principe de la récompense et de la sanction. »

Jill refusait d’obéir. Ceci donnait lieu à une sanction. Thorne agit à nouveau, remettant sa main sur le menton de Jill, pour l’immobiliser, et le sexe de Sarah se posa contre les lèvres de Jill, s’écrabouillant dessus, ses mains se plaquant sur les joues de Jill, empêchant cette dernière de bouger. Le sexe finit ainsi par se glisser à nouveau dans ses lèvres, donnant lieu à une autre gorge profonde, qui fut un peu plus longue, et pendant laquelle Sarah s’amusa à littéralement baiser la gueule de Jill. Son sexe remua d’avant en arrière, furieusement, glissant sur ses dents et sa langue, et elle termina en l’enfonçant le plus loin possible, sa carapace en chitine venant à nouveau taper contre les lèvres de Jill, tandis que l’extrémité de sa queue se glissait dans sa gorge. Sarah resta ainsi une quinzaine de secondes, puis retira à nouveau sa queue. Elle attendit plusieurs secondes, avant de donner de nouveaux ordres :

« Recommence, et mets-y plus de conviction. Autrement, je t’enfoncerais mon sexe jusqu’à te faire vomir. »

- Pour nous, Formiens, les humains sont des enfants qu’il convient d’éduquer. Toute base d’un système éducatif est le principe de la récompense et de la sanction.

 Bla, bla,bla ! Une enfant ? Pfff, cette femme agissait comme si nous, les humains, étions une race dominée et qu'elle se devait d'obéir à leur maître les Formiens. Excusez-moi, question, est-ce qu'une humaine avec tous ses droits ont l'obligeance d'être inférieure au Formiens et obligez de se faire violer pour pondre des espèces de truc dégueulasse ? Pour les Formiens, la réponse était surement oui, mais moi je trouvais sa tellement absurde et cruelle. Ceci dit, je ne respectais en aucun cas les Formiens en ce moment. De quoi me faire taper les doigts par ceux-ci !

Thorne, l'autre derrière moi, me reprit la tête pendant mon moment de réflexion.

« Non, non ! Je n'ai rien fais putain... Pitié pas ça ! »

Et sans écouter mes paroles, Kerrigan me plaquait les joues pour m'empêcher de bouger me faisant une autre gorge profonde. J'avais envie de vomir, elle faisait des vas et viens en même temps et cela durait plus longtemps. Je tentais de crier en même temps. Mais sans espoir, sa queue violette prenait toute la place bordel ! Lorsqu'elle retirait sa queue après qu'elle me l'ait enfoncé dans la gorge : j'étais épuisée, j'avais mal à la tête étourdie, je voyais floue, autour de moi le monde bougeait sans arrêt : il tournait même ! Elle devait le voir, je tombais face contre sol. Mais elle semblait indifférant et elle prit ma crinière me donnant un autre ordre. Quelle salope, elle me demandait de recommencer. Mais je ne voulais pas mettre ce truc dans ma bouche, j'étais dégouté. Mais je le fis pareillement pour ne pas risquer une autre gorge profonde. Je léchais son sexe avec plus de conviction, je rentrais même son gland dans ma bouche quelquefois pour le titiller. Elle était mieux d'être heureuse !

Suffisait-il d’une vulgaire gorge profonde que cette femme s’effondre ? Sarah aurait cru qu’elle serait plus résistante... Il fallait croire qu’elle avait mis la main sur son point faible... Après sa nouvelle (et sûrement pas dernière) gorge profonde, Jill manqua tomber sur le sol, avant que Sarah ne la réveille. Elle devait probablement comprendre à quoi elle s’exposait en continuant à se révolter. Prenant son courage à deux mains, Jill alla donc lécher le sexe violet de Sarah, en faisant preuve d’un peu plus de conviction. Sa langue venait glisser le long du sexe de Sarah, qui libéra la tête de Jill, atténuant un peu la forte pression qu’elle exerçait sur sa tête. Jill continua à lécher sa queue avec envie, et la Reine des Lames se mit à soupirer faiblement, tandis que Thorne récompensa Jill en caressant son intimité, à travers sa combinaison. Elle caressait ses lèvres intimes, remontant avec son ongle noir pointu sur sa peau. Sarah eut même le plaisir de sentir les lèvres de Jill attraper son sexe.

« Hum... Voilà qui est mieux... »

Elle posa à nouveau une main sur la tête de Jill, mais ce fut pour la caresser, frottant avec ses ongles sa tête et ses oreilles. Elle sentait Jill embrasser son sexe, le lécher, et le prendre en bouche, et elle ne dit rien, continuant à la laisser faire. Des secondes, on passa ainsi à plusieurs minutes. Sarah continuait à tendrement caresser la tête de Jill, et Thorne embrassa à nouveau la belle femme dans la nuque, tout en continuant à frotter ses mains contre ses parties intimes. Ses seins remuaient également le long du dos de Jill, l’ensemble formant une ambiance assez sensuelle. Les Formiens autour des trois femmes se délectaient de cette scène, tout en devant forcément ronger leurs freins.

« C’est mieux ainsi, non, Jill ? demanda Thorne, sans nécessairement attendre une réponse. Continue, ne t’arrête pas en si bon chemin. Utilise tes mains, alise-toi aller, domine ce sexe qui te fait peur... »

Les humains avaient une propension naturelle au sexe. C’était bien normal, car le sexe servait à féconder. Tout ce qu’il fallait, c’était conduire les proies de Sarah à accepter cette attirance, dans tout ce que cette acceptation impliquait. Elle était donc relativement confiante, car elle sentait peu à peu Jill être absorbée dans sa tâche.

Heureuse ? Elle soupirait de plaisir, je me disais que c'était un bon point pour moi. Thorne me caressait mon intimité à travers cette combinaison moulante qui mettait en valeur mes jolies formes rebondies. Je tenais le sexe de Kerrigan entre ma main droite en ce moment. Je sentais mes jambes se cambrer et mon intimité s'humidifier lorsqu'elle entrait un doigt à travers l'uniforme de la B.S.A.A dans mon orifice. Je gémissais et recommençais mon travail quand Sarah semblait s'impatienter.

- Hum... Voilà qui est mieux...

Elle posait sa main sur ma tête, j'eus une crainte quelque seconde pensant qu'elle voudrait encore me faire une gorge profonde mais à la place, elle caressait tendrement mes cheveux. Je frissonnais en continuant mon travail, c'était doux pour une fois ! Avant qu'elle ne me donne l'ordre de le faire, je commençais ma fellation sous le regard des fors miens, c'était honteux quand même, se faire penser pour une salope ! Je continuais ma fellation entourant le sexe de Kerrigan avec ma langue mouiller de salive et de liquide pré-éjaculatoire.

Jill commençait à comprendre les règles du jeu. Et elle y prenait goût. Ses discrets gémissements en témoignaient, indiquant qu’elle devait être en train de mouiller. Ce n’était pas étonnant, Thorne avait un véritable talent au niveau de ses doigts. Elle continuait à caresser l’intimité de Jill, pressant toujours l’un de ses seins, tandis que l’agente se concentrait sur le gros sexe de la Reine des Lames, alternant entre masturbations et baisers. Il n’y avait qu’une verge, aucune testicule. Rien d’autre qu’un long bâton violet avec une veine qui filait le long de cette dernière. Jill commença à faire, à sa manière, une fellation, et les mains de Sarah continuaient à caresser sa belle tête. Un peu de semence s’échappa du sexe de Sarah, qui frissonna de plaisir. Le sexe... Pour les Formiens, c’était le plaisir suprême, l’incarnation de la vie.

« Vas-y, ma beauté, continue, susurrait Thorne dans son oreille. Mouille, laisse-toi aller... C’est ainsi que nous te voulons, c’est ainsi que Mère apprécie ses concubines... »

Et Thorne, tout en parlant, continuait à titiller son intimité. Les secondes continuèrent à s’écouler, avant que Thorne ne retire ses mains, et ne prennent celle de Jill, tendrement, mais fermement, pour les approcher du dos de Sarah, les amenant sur les fesses de cette dernière.

« Ce n’est pas ici qu’il faut être pudique, Jill... Masse-lui les fesses, Mère aime ça... Et enfonce le sexe dans ta bouche... »

Thorne donnait des conseils, mais qui étaient en réalité des ordres. Sarah était excitée, et elle se cambra un peu en sentant les mains de Jill sur son postérieur, glissant sur sa chitine. Cette partie de son corps était moins résistante que le reste de son corps, plus souple, plus tendre, mais ce n’était pas pour autant une texture qui rappelait la peau humaine. Sarah n’avait plus rien d’humain, physiquement parlant. Et ses mains continuaient à caresser les cheveux de Jill, rabattant ses mèches de cheveux derrière ses oreilles, sa queue se glissant toujours un peu plus, au fur et à mesure des mouvements successifs des deux femmes. De plus en plus tendue, Sarah gémissait volontiers, et Thorne, agissant rapidement, retourna caresser le sexe de Jill à travers sa combinaison, enfonçant un doigt dedans, mettant à rude épreuve la résistance de la combinaison. Il fallait l’exciter pour qu’elle ne soit pas aussi coincée. La Reine des Lames aurait très bien pu droguer la jeune femme, ce qui était souvent une manière très efficace d’avoir affaire à des perverses, mais elle préférait, dans la mesure du possible, que ce soit naturel, une sorte d’engouement instinctif.

Un sourire sur les lèvres, Sarah continuait à la caresser, la grattant avec ses longs ongles.

Lorsque j'essayais d'aller masser ce sachet que d'habitude les hommes portaient, je fus surprise de ne pas en trouver, il n'y avait qu'une grosse queue violette devant mon nez. Kerrigan semblait amusée de ma réaction, moi, je retournais à ma fellation m'appliquant à entourer son sexe volumineux de ma petite langue. Thorne me susurrait à l'oreille de me laisser aller, de mouiller comme une chienne, mais ce n'était pas mon choix, l'excitation prenait toujours le dessus ! Oui je l'avouais, je me retenais quelque peu, je voulais garder ma dignité et ne pas me soumettre si facilement.

Je fus surprise lorsque je sentis Thorne s'arrêter dans mes pensées c'était : Non, continus ... Mais elle prenait mes mains pour les amener aux fesses de Sarah pour que je les masse. Au début, je n'étais pas sûre certes, mais je finis par obéir aux ordres de Thorne qui recommençait rapidement à me caresser, me doigter quelquefois. Elle allait surement déchirer mon uniforme de ses ongles ! Moi, je mouillais pathétiquement. Je mis la bite violette de la belle Kerrigan qui se cambrais le plus profond que je pouvais. Je sortis par la suite suçotant son gland en goutant le peu de sperme qui coulait de son orifice.

Docile et soumise, Jill se rendait progressivement compte d’une évidence simple : elle ne pouvait rien faire, et nullement se soustraire au jugement de la Reine des Lames. Il fallait faire contre mauvaise fortune bon cœur, et s’incliner respectueusement, en reconnaissant la supériorité de Sarah. Elle promenait ses mains sur le postérieur de l’Annexienne, qui frissonnait de plaisir, tandis que Thorne, fidèle à son poste, continuait à faire plaisir à la belle femme, se débrouillant pour ne pas déchirer son uniforme. Habituée au sexe, Thorne faisait preuve d’un grand contrôle sur elle-même, et ce bien qu’elle soit très excitée. Le plaisir de sa mère se mélangeait au sien, et elle mouillait délicieusement. Elle continuait à frotter l’intimité de la jeune femme, sans relâche, son autre main continuant à jouer avec les seins de Jill. Sarah lui caressait la tête, et les minutes s’écoulèrent ainsi, son sexe gonflant et se durcissant. Sarah avait basculé sa tête en arrière, afin de soupirer et de gémir, et son sexe, toujours un peu plus, s’enfonçait entre les lèvres d’une Jill qui y était désormais bien moins hostile.

« Mère est tellement heureuse, c’est un tel bonheur de la voir ainsi... Sois-en fière, humaine, tu feras une parfaite concubine... »

Thorne relâcha le sein qu’elle pétrissait, et caressa désormais le ventre de la femme, tendrement. Là où elle enfanterait la vie, et donnerait naissance à de nouveaux Formiens qui viendraient gonfler les rangs de la Horde de Sarah. Elle lui frotta donc le ventre, tandis que la queue de Sarah se rapprochait du point de rupture. Elle plaqua à nouveau ses mains sur la tête de Jill, l’immobilisant, et eut une érection. Yeux clos, Sarah soupira faiblement, donnant des coups de bassin, balançant à chaque secousse des giclées de sperme. Elle jouit assez longuement, pendant une bonne minute, comme à son habitude, et s’arrêta, un peu de sperme s’échappant des lèvres de Jill. La main de Thorne se glissa alors sous les lèvres de la jeune femme, afin de capturer ce sperme, de ne pas perdre une goutte de ce précieux nectar. Les joues de Jill étaient gonflées, mais elle ne pouvait pas se retirer, car Sarah maintenait son étreinte sur sa tête, son membre toujours aussi gros en elle.

« Bois toute cette semence, Jill... Prends ton temps, mais bois tout. »

Thorne continuait à caresser son intimité. Du fait de sa mouille, la combinaison était bien plus étanche, et cette dernière s’enfonçait dans son sexe, frottant contre ses parois. Les mains de Sarah caressaient à nouveau les cheveux de Jill, glissant le long de ses mèches, tout en veillant à ce qu’elle ne tente pas de sortir. Elle ne disait rien, préférant entendre les soupirs et les bruits de mastication que Jill faisait en avalant cette grosse quantité de sperme. Elle lui caressait tendrement les cheveux, avec une sorte d’instinct maternel. Jill était désormais officiellement sa concubine. Elle ne reverrait pas le jour de si tôt, c’était une certitude.

Elle plaçait doucement mes cheveux derrière mes oreilles et moi je caressais ses jolies fesses rebondies et les griffais de temps à autre pour la faire frissonner. Je commençais à m'habituer à faire toujours les mêmes va et viens. C'était devenu las pour moi, très las. Mais je n'arrêtais pas cependant, ne pas risquer une autre de ses gorges profonde douloureuse et à vomir. Thorne était contente de voir sa mère si heureuse. Elle était vraiment en amour avec sa mère ou quoi .

Thorne délaissait le sein qu'elle massait si bien à l'instant pour caresser mon ventre d'athlète, certes mon entrainement m'avait beaucoup aidé à avoir un corps beau et bien développer comme celui-là ! Le sexe de Sarah, qui avec sa queue était un peu moins encombrant se durcit tout d'un coup et du sperme sortait de son sexe à chaque secousse qu'elle faisait. J'avais les yeux grands ouverts de surprise. Il y en avait beaucoup trop ! Lorsque j'essayais de m'éloigner pour cracher le sperme, Kerrigan me tenait la tête. Une minute passait et elle n'avait plus de sperme, j'avais les joues bien remplies !

- Bois toute cette semence, Jill... Prends ton temps, mais bois tout.

Que j'avale du sperme ? Oh non ! Je secouais la tête et Thorne intervenu toujours gardant une main contre mon intimité pour la titiller et caresser. Elle prenait ma gorge et la soulevait toujours le sexe de Kerrigan dans ma gueule, elle me forçait à avaler cette chose en prenant les gouttes qui débordaient de ma gueule de ses doigts pour les lécher. J'avalais touuuuut, absolument tout le liquide. Deux minutes plus tard, j'avais fini de prendre mon " repas " et je tombais aux pieds de Sarah une fois de plus, toussant, pendant que Thorne caressait toujours mon intimité qui ne cessait pas de fournir de sa cyprine.

Un autre acte de résistance qui ne surprit pas vraiment Sarah. Elle commençait à cerner Jill, la voyant comme une femme qui ne faisait pas de choses que les humains, dans leur grande et incompréhensible logique, considérait comme « dégradants » et « répugnants ». Les Formiens étaient naturellement bien plus libres. Voyant Jill hésiter, Thorne agit, lui pinçant le nez pour la forcer à boire, ou basculant sa tête en arrière, afin que le sperme glisse. Elle ne pouvait rien faire. Jill était comme une poupée de chair entre les deux femmes, incapable de résister. D’une main experte, Thorne la contraignait à boire, sans jamais arrêter de la doigter, appliquant fidèlement les ordres de Mère, qui était pour elle une espèce de Déesse. On pouvait entendre Jill gémir, alors qu’elle commençait à boire. Sarah ne disait rien, souriant en observant ce moment. Le vice et la perversion, deux éléments que les Formiens adoraient tout particulièrement. Il fallut à Jill plusieurs minutes pour tout avaler, et Sarah fit disparaître son sexe, tandis que Thorne la relâchait, sans retirer sa main de son sexe. Jill toussait, se remettant de ses émotions, et Sarah l’observait silencieusement, réfléchissant à la suite des évènements.

Sans prévenir, la main de Thorne s’écarta alors de son bassin, et Sarah posa une main sur le front de Jill, forçant un peu, afin de la renverser sur le sol. Elle s’étala sur le dos, et Sarah s’assit sur elle, à califourchon, et posa ses deux mains sur ses seins, les pressant entre ses doigts. Elle lui sourit légèrement, et se pencha ver selle, sans rien dire, avant de poser chacune de ses mains sur ses joues.

« Ma belle Jill... Sache que ce foutre dans tes lèvres n’était qu’un avant-goût... »

Elle se pencha sur elle, s’allongeant sur son corps, et glissa une main sur les cheveux de Jill, avant de lentement glisser, se couchant sur le côté, où elle put encore l’embrasser. Leurs lèvres se pressèrent l’une contre l’autre, longuement, la langue de Sarah filant dans sa bouche, et, tout en l’embrassant, elle alla caresser l’intimité de Jill, ayant bien compris que cette dernière appréciait ça. Cette partie de sa combinaison était très humide. Thorne avait vraiment fait un délicieux travail. Le baiser dura plusieurs minutes, de longues minutes où Sarah s’amusa à presser ses lèvres contre elles de sa partenaire. Elle finit par le rompre, embrassant ensuite la joue de Jill.

« Comment te sens-tu, ma concubine ? As-tu envie de sexe, maintenant ? »

J'avais du mal à respirer pendant que Thorne me forçait à boire ce sperme, si dégoutant mais en même temps si bon ! J'avalais tout volontiers, disons qu'après cet exploit venant de ma part, je n'avais plus du tout faim pour une autre queue. J'avais trop bu de sperme. Le gout commençait légèrement à me tomber sur le corps après quelques gorgées. Cependant, Thorne commençait à me rendre folle à force de violer mon intimité de ses doigts très doués.

Thorne s'arrêtait subitement me réveillant de ce rêve agréable et sensuel, Kerrigan posait sa main contre mon front m'obligeant à tomber sur le sol, à la renverse.

- Ma belle Jill... Sache que ce foutre dans tes lèvres n’était qu’un avant-goût...

Elle se penchait vers moi, tenant ma mâchoire de deux doigts pour n'empêcher de bouger pour m'embrasser, un combat de langue se fit. Je commençais sérieusement à y prendre gout ! Ces nombreux baisers étaient si bons, sa bouche était agréable et ses lèvres douces comme mes fesses ! Bon, j'avouais que j'exagérais un peu ! Elle caressait mon intimité en feu, feu d'extase et d'envie.

- Comment te sens-tu, ma concubine ? As-tu envie de sexe, maintenant ?

Je n'eus que le choix de répondre d'un hochement de tête positif, j'en voulais ! Dieu que je le désirais !

Jill semblait avoir perdu l’usage de sa langue. Sarah sourit en la voyant relever la tête, confirmant qu’elle avait envie de sexe. Sans doute n’osait-elle pas l’avouer... Ou alors, le plaisir était tellement fort qu’elle n’arrivait pas à se concentrer. Sarah rompit son sourire, et libéra le sexe de la jeune femme, posant sa main sur son sein, et le pressa, tout en frottant son nez contre le sien. Elle faisait preuve d’une assez incroyable délicatesse à l’égard de la jeune femme. Ayant rompu son baiser, Sarah l’observait. Elle était vraiment très belle. Forte, et jolie. Cette Jill avait tout pour plaire. Elles allaient passer un très long moment ensemble.

« Très bien... »

Sarah s’intéressa dès lors à l’intimité de la jeune femme, penchant sa tête vers cette partie de son corps. Sa langue passa dessus, caressant cette partie de sa combinaison, alors qu’elle cherchait un moyen de l’ouvrir, de l’écarter. Elle trouva assez rapidement une discrète fermeture Éclair. Si jamais Jill avait besoin d’uriner, il fallait bien trouver un moyen qu’elle puisse le faire sans devoir se déshabiller. Sarah attrapa la fermeture, et la fit remonter, ce qui eut pour effet d’écarter les pans de la combinaison, révélant son intimité, bien propre, ainsi qu’un filet de cyprine. Ne disant rien, Sarah enfonça un doigt dans son intimité, le plus profondément possible, et toucha le clitoris de la jeune femme, le remuant, tout en observant son corps se tendre, et son visage témoignant d’un profond plaisir. La Reine des Lames continua à sourire, et remua son doigt dans la fente de Jill, avant de le retirer. Elle suça son doigt, poussant un soupir de plaisir, se sentant heureuse. Sarah mouillait également, tant elle aimait boire de la cyprine. C’était le liquide de la vie, après tout.

La Reine des Lames retourna ensuite prendre un peu de cyprine, et le posa sur les lèvres de Jill, glissant le long de ses lèvres. Personne ne la retenait, aucun tentacule ne l’immobilisait, car c’était inutile. Elle était volontairement soumise, piégée par son plaisir. Le plus gratifiant, c’était que Sarah n’avait usé d’aucune drogue pour la pervertir, rien d’autre que son talent.

« Goûte comme tu es bonne... Je vais te baiser, Jill. »

C’était une promesse. Autour d’elles, les Formiens avançaient, discrets, dissimulés dans l’ombre, et entre des colonnes. Elle était au centre de l’attention, comme une espèce de star. Le nid ne pensait qu’à s’accoupler avec Jill, afin de grossir les rangs de la Horde. Elle était autant une fin en soi qu’un moyen. Sarah continuait à la doigter, sans le truchement de la combinaison, glissant l’un de ses doigts en elle, faisant des mouvements du haut vers le bas.

« As-tu déjà été enceinte, Jill ? » s’enquit-elle.

Quelle délicatesse tout d'un coup ! Mon corps fut submergé de centaines de frissons. Elle frottait son nez contre le mien, j'étais hypnotisé par sa beauté formienne. On ne voyait pas ça tous les jours après tout ! Elle arrêtait de sourire et son baiser d'un temps à l'autre. Clic, claque en un claquement de doigt ! Elle me dévisageait de la tête aux pieds, un rictus au visage. Elle affirmait quelque chose, que je n'entendis qu'un peu, j'étais vraiment dans les nuages. Une langue contre mon intimité, au travers de la combinaison moulante que je portais, me réveillait à l'instant. Elle ouvrit ma fermeture éclair par la suite, ne disant toujours rien pour m'enfoncer un doigt dans mon intimité tout trempée. Un bruit mouillé retenti lorsqu'elle essayait d'y aller le plus loin possible. Je m'accrochais au sol, cambrant mes doigts.

Elle jouait à présent avec mon clitoris, ce qui me fit pencher ma tête vers l'arrière. J'éprouvais un tel plaisir à ses caresses, que moi-même je m'impressionnais seule. Elle affichait un sourire lorsque je lui demandais de continuer tellement c'était bon. Quelques instants par la suite, elle remuait son doigt pour mouiller ses doigts de mon nectar s'écoulant peu à peu. Elle suçait son doigt, fit la même action et me passait ses doigts. Elle voulait que je goute à MA cyprine . C'était étrange, je n'avais jamais gouté. J'obéissais sagement à son ordre et je léchais ses doigts qui s'étaient aventuré bien profondément dans mon entre humide.

Les autres fors s'avançaient vers nous deux, je ne les voyais pas, j'étais trop aveuglé par mon plaisir, à retenir mes gémissements en vain. Elle me donnait tellement de plaisir que je sentais que j'allais surement jouir bientôt, j'avais des yeux fiévreux, fiévreux d'envie ! Je devais même faire pitié avec ce regard de soumise parfaite.

- As-tu déjà été enceinte, Jill ?

« Non et ... Haan ... je ne souhaite pas le .. oh ... le devenir ! »

Pliée et vaincue, Jill s’offrait désormais à la Reine des Lames sans opposer la moindre forme de résistance. La dominant, l’Annexienne sentait des frissons de plaisir la parcourir. Un plaisir lié au sexe, mais aussi à ce sentiment de domination et de fierté qui s’emparait d’elle. Elle avait dompté cette petite femme rebelle, cette agente qui lui avait sournoisement craché dessus, et qui mouillait devant elle comme la pire des putes. Son regard n’exprimait plus qu’une franche envie de faire l’amour, elle n’avait plus rien de guerrier. Quel spectacle ravissant ! Sarah se régalait de la voir ainsi.

« Non et ... Haan ... je ne souhaite pas le .. oh ... le devenir ! »

Encore une chose qu’elle ne comprenait pas... L’objectif de la vie était de se reproduire. Pourquoi diable les humains étaient-ils aussi réfractaires à cette idée ? Pour elle, il était incompréhensible qu’une femme ne désire pas, dès qu’elle soit en mesure de le faire, donner la vie. Chaque fois que Sarah faisait l’amour avec quelqu’un, c’était toujours dans la perspective d’avoir un descendant, un Formien qui rejoindrait ses forces. Vraiment, il y avait, chez les humains, des mystères qu’elle ne parvenait pas à s’expliquer. Elle fit à nouveau sortir son sexe masculin, ayant envie de passer aux choses sérieuses. Ce dernier pointa encore, une belle queue violette en érection, et Sarah se plaça au-dessus de Jill, une jambe de chaque côté. Le sexe de Sarah était encore plus gros que celui qu’elle avait sorti. Une véritable matraque qui se dressait fièrement entre ses cuisses. Quitte à être Formien, autant avoir un sexe monstrueux.

« Pourtant, tu es en bonne santé, en excellente constitution physique, et en âge d’enfanter... Et tu n’es pas stérile, je l’aurais senti. »

Des arguments imparables. Sarah retourna s’allonger sur Jill, l’écrasant sous son poids, et la pénétra, son sexe masculin semblant se diriger tout seul vers son intimité. Elle s’enfonça en elle, s’allongeant sur son corps, son sexe, énorme, se faufilant dans son intimité. Le sexe s’enfonça d’un seul coup, en profondeur, et elle commença à le remuer, tout en posant ses mains, pour commencer, sur le sol.

« Hunnn-huuunnnn... J’ai toujours aimé ça, Jill... Régale-moi de tes hurlements, et prépare-toi à avoir ton premier... Ton premier enfant... »

Et Sarah remuait, de haut en bas, s’enfonçant dans cette intimité humide. Son sexe était également trempé, puisqu’il sortait de son vagin, qui était trempé. Elle se mit ainsi à la pénétrer, s’écrasant sur elle, l’empêchant totalement de bouger, lui enfonçant dans le corps une queue hors norme.

Je n'en pouvais plus, je brûlais d'envie de me faire défoncer comme une chienne. Mon regard lui ? Il ne demandait que ça ! Je me faisais dominé et chose surprenante j'y prenais très étrangement goût. Je m'accrochais à la reine des lames qui faisait aller et venir ses doigts dans ma minette trempée. La cyprine s'écoulait jusqu'à mon anus, qui me fit sursauté. Sarah semblait apprécier le spectacle, grandement en plus ! Une petite jill Valentine dominé, gémissant à ses doigts parcourrant son orifice.

Non, je lui répondais non et elle ne semblait pas comprendre une miette ma réponse. D'ailleurs en plus de ne pas la comprendre, elle n'en fit rien du tout. Son membre violet refit surface, toujours bien dressé. Je me demandais bien comment pouvait-il encore y avoir autant de sang qui circule dans cette arme après une éjaculation pareille ! Sarah écartait un peu mes jambes arrêtant de me doigter, son sexe se dressait devant mon entrer. Oui j'avais envie de faire l'amour ! Mais surtout pas de porter un enfant ! Avoir neuf mois de congé de maternité : mon boulot ne me le permettrait jamais. Ma seule solution était de me débattre donc je le fis sans peine. Mais Kerrigan ne fut pas très contente, elle me giflait et tenait mes bras par ses mains et mes jambes par son poids contre le mien. Je disais non, non, non. Mais trop tard, son sexe s'enfonçait en moi, d'un seul coup, m'arrachant un cri. Plaisir ou douleur ? Seule moi le savait ! À chaque coup de reins, je criais /hurlais.

- Hunnn-huuunnnn... J’ai toujours aimé ça, Jill... Régale-moi de tes hurlements, et prépares-toi à avoir ton premier... Ton premier enfant...

« non... Non ! Je ne veux pas enfanter. Hmmn ! »