Il semblait bien que Link n’était pas le digne porteur de la Triforce pour rien. La Princesse Zelda avait expliqué à Alice que Link portait la Triforce du Courage, là où elle-même portait celle de la Sagesse. Alice pouvait ainsi le sentir remuer encore en elle, remplaçant son sexe par sa langue. La jeune femme se mit à gémir, sentant la langue de Link jouer en elle. Il goûtait à son jus, à un mélange de foutre et de cyprine, tout en continuant à la faire soupirer. Dehors, l’aube commençait à pointer le bout de son nez, mais les deux amants effrénés continuaient encore à s’envoyer en l’air, sans qu’aucun des deux ne semble vouloir en terminer. À ce stade, Alice ne pouvait qu’admettre qu’elle avait un gros attrait envers les elfes. Après tout, Melendil, son futur mari, était aussi un elfe, et, même si Zelda lui avait dit à plusieurs reprises qu’elle était une Hyrulienne, et non une elfe... Le fait est que la ressemblance était suffisamment troublante pour qu’elle confonde.
« Oh, Link, hmm... »
Le jeune homme cessa de la lécher. Il avait titillé son bouton de plaisir à plusieurs reprises, lui arrachant de longs soupirs, parfois même de légers cris, et embrassa ensuite son ventre, remontant dessus, jusqu’à l’embrasser. Alice répondit à son baiser, posant sa main sur sa nuque, et écarta les jambes, laissant ce dernier remplacer sa langue par ses doigts. Chacun des baisers de Link était délicieux, un régal, surtout vu son état d’excitation. C’était comme si les sensations ressenties par Alice étaient décuplées, et l’homme continua son office, l’embrassant longuement.
Alice avait tout oublié cette nuit, pour le seul autel du sexe, au seul nom du plaisir physique, purement bestial. L’elfe était énergique, insatiable, et elle sentait encore, contre ses cuisses, une belle bosse, la pointe de son sexe en érection. Il attrapa ensuite Alice, et recommença à la pénétrer.
« Li-LINK, haaaann... !! »
Elle se tenait sur lui, et dansait sur son corps, à califourchon sur son corps, et continua à gémir, à hurler, même, tandis que Link la faisait rebondir sur ses jambes. La Princesse aurait pu ressentir un coup de fatigue, mais l’adrénaline se mit à nouveau à battre en elle. Ses joues rouges, son corps en sueur, ses cheveux en bataille... Une véritable furie qui se dandinait sur une belle queue.
« O-Oui, haaa... Bai-Baise-moi, Link, hmmm... Baise-moi encore ! »
Alice continuait à gémir, à haleter, et se déplaça à son tour. Link se mit à la prendre encore, et les deux se retrouvèrent debout. Link la prit contre le mur, et Alice enroula ses jambes autour de sa taille, s’appuyant sur son corps. L’homme la prenait fortement, tant et si bien qu’un tableau accroché au mur tomba au sol. La Princesse griffait le dos de Link en s’appuyant à lui, gémissant encore, et jouit une nouvelle fois dans ces conditions, prise contre le mur. Sa mouille fusait le long de ses cuisses, et elle embrassa encore Link, collant son corps contre le sien, soupirant longuement.
« Oh, Link... » soupira-t-elle encore.
Il était doué, et c’était si bon, si bon... Alice aurait voulu que cette séance avec lui ne se termine jamais !