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« Allez, Éclipse, allez ! »
Le beau cheval noir, destrier de guerre, s’élançait à toute allure entre les arbres, et Alice, se cramponnant à la salle, tapait encore avec ses jambes, l’encourageant à galoper encore plus vite ! Double, triple, quadruple galop s’il le fallait ! Alice avait toujours adoré la vitesse, et elle avait toujours adoré chevaucher son fier cheval. En fait, Alice avait longtemps été un cas désespéré pour son père. Aucun talent pour le maniement de l’épée, l’archerie, ou même la magie... Pour une nation guerrière comme pouvait l’être Sylvandell, tout ça n’était tout de même pas très glorieux ! Alice avait en revanche toujours aimé l’équitation. Elle avait initialement commencé avec un poney, et on avait fini par lui offrir Éclipse. Ce cheval avait connu la guerre, avait porté un courageux chevalier ashnardien le long des superforts nexusiens, avant d’être tué. Éclipse avait survécu, et avait fini par être acheté par un Commandeur de Sylvandell, qui l’avait offert à la jeune Princesse.
Portant aujourd’hui un pantalon en cuir, des gants en cuir, un manteau noir, et une tenue légère, une élégante chemise médiévale blanche, elle profitait de l’après-midi pour faire un tour en cheval, et était descendue dans la vallée de Sylvandell. Elle gambadait ainsi, apercevant ici et là des villages, des hameaux, saluant de la main quelques paysans en train de labourer leurs terres, ou de promener leurs bêtes. Elle passa aussi à côté d’un camp de bûcherons, et sourit à leur intention, tout en continuant à filer. Ici, à Sylvandell, les Sylvandins étaient habitués de la Princesse, la petite tornade qui filait à dos d’Éclipse.
Alice aimait beaucoup Sylvandell depuis la partie basse. La vallée de Sylvandell était une grande étendue de lande perdue au milieu de montagnes. À gauche, à droite, au fond de la vallée, des barrières rocailleuses et montagneuses. Le matin, quand le soleil se levait, le spectacle était vraiment magnifique. Le genre de choses dont la jeune tête blonde n’arrivait pas à se lasser, et qui l’amenait donc à continuer à se promener, rapidement, joyeusement, heureuse et enjouée.
« Woooow... !! »
Le cheval s’enfonça dans une nouvelle forêt, et Alice, qui gloussait joyeusement, entendit soudain des bruits rapides venant de la droite. Le temps qu’elle tourne la tête, elle poussa un cri en voyant un sanglier s’approcher. Éclipse se cabra immédiatement, et releva ses pattes avant en hennissant, soulevant son impressionnant corps. Déstabilisée, Alice sentit la gravité l’appeler, et remua nerveusement et inutilement des bras.
« HÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎ... !! »
Alice tomba la tête à l’envers, droit sur les fesses, avant de cligner les yeux, pendant qu’Éclipse se déplaça légèrement.
Elle ne pouvait alors pas savoir qu’elle n’était pas seule...
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En voila une drôle de situation ! Quelques heures plus tôt, Link, envoyé en mission par le Haut-Gouvernement Sylvandell, s'était arrêté dans un petit village de pêcheurs afin d'obtenir des informations sur sa cible. Après l'avoir identifié, une violente altercation avait éclatée entre les deux hommes, l'individu à la cape noir s'étant enfuit en direction de la forêt où il se trouvait actuellement. Seulement...Voila, il avait tout simplement et purement perdu sa trace. Impossible de retrouver sa trace à travers tous ces arbres, d'ailleurs même les traces de son cheval s'étaient arrêtés en plein milieu de la piste, comme s'il s'était volatilisé. Sceptique, Link avait décidé d'enquêter et de rester à l'intérieur de cette forêt. Elle était pleine de vie, et regorgeait de ressources, alors il décida de s'y arrêter quelques instants pour chasser un peu et récupérer du gibier pour le dîner. Alors qu'il était à la recherche de ce sanglier qui venait de s'enfuir, il entendit un cheval poussé un hennissement et du grabuge provenant de quelques pas à l'ouest. Peut être s'agissait-il de sa cible ? Link accourut aussi vite qu'il le put, en galopant sur cette jument brune qui lui était si fidèle : Epona était avec lui depuis le début, et même en entrant dans ce Royaume elle n'avait pas quitté son maître, toujours aussi fidèle et aimable avec lui. Bref, quel ne fut pas sa réaction lorsqu'il remarqua une belle jeune fille en chemise médiévale qui venait de tombe sur les fesses. L'Hylien qui semblait être apparut de nul part arriva vers elle, chassant le sanglier avec son épée qui s'enfuit assez raidement. Il lui tendit sa main, affichant un sourire bienveillant. Il ne s'était pas attendu à une telle rencontre, encore moins ici. Que pouvait-elle bien faire en ces lieux ?
« Bel après midi pour une balade n'est-ce-pas ? Néanmoins...Les sangliers par ici sont assez sauvages et brutaux, alors je vous suggère de voyager équipée.
Enchanté, mon nom est Link. Vous voulez un peu d'aide ? »
Pour ce genre de mission, Link se montrait toujours sous la forme physique la plus convaincante : celle d'un jeune homme adulte, équipé d'une plaque d'armure et d'une tenue marron-verte. Le blondinet possédait un fourreau bleuté était équipé à sa ceinture, à l'intérieur duquel il rangea sa fidèle Master Sword, tandis qu'Epona, toujours d'un tempérament calme, s'approchait de la Princesse. Elle savait reconnaître les "bonnes personnes", et là ça apparut plutôt net pour Link : elle n'était pas mal intentionnée, et il était de son devoir de ne pas la laisser ici. Et avec un peu de chance il retrouverait même sa cible ! Décidément, on faisait toujours de belles rencontres en forêt.
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Ouch, ça faisait mal aux fesses ! Alice gormmela après cette mauvaise chute, et entendit des sabots. Quelqu’un s’approcha d’elle, et cette présence suffit à faire déguerpir le redoutable sanglier. Alice, de son côté, grognait sur place, et vit une main s’approcher d’elle. Elle la saisit, et s’en servit pour se redresser, tout en massant les fesses avec son autre main. Une chute comme ça, c’était quand même douloureux ! Bien sûr, elle n’en voulait pas vraiment à Éclipse, c’était elle qui fonçait à bride abattue, et ce dans une forêt assez profonde. La vallée de Sylvandell était plus grande que ce qu’on pensait, avec quelques forêts assez sinueuses ici et là, et pas aussi paisibles qu’on le voudrait.
« Hum... Merci pour votre aide, Monsieur... »
L’homme lui précisa s’appeler Link, et Alice le jaugea alors. Elle comprit vite, à son armure, son fourreau, son épée, ou son cheval, qu’il n’était pas un simple bûcheron, mais en vit pas non plus le blason de Sylvandell sur son armure. Elle fronça alors les sourcils en voyant ses oreilles pointues. Il n’y avait pas de compagnies elfiques au sein de Sylvandell. Alice était bien placée pour le savoir, puisqu’elle était la Princesse du royaume. Elle connaissait très bien l’armée, ses effectifs, et les troupes la composant. C’est bien pour cette raison qu’Alice savait que cet individu ne faisait pas partie de ses soldats.
Elle lui sourit donc, et comprit visiblement que l’homme ne savait pas à qui elle avait affaire, ce dont elle s’amusait parfois à jouer. À force de vivre sur Terre, où le nom des Korvander ne signifiait rien, Alice prenait goût à la facétie, à cacher le fait qu’elle était une Princesse. Ici, à Sylvandell, elle ne craignait rien, même si elle savait que son père la faisait toujours suivre. Elle était la Princesse héritière, après tout !
« Mon cheval a juste été surpris par ce sanglier, Monsieur Link, rassurez-vous, je sais grimper dessus. Mais, au fait... Je m’appelle Alice. »
Alice lui sourit encore, sourire onctueux et délicieux, ravissant et plein de charmes. Impossible d’y lutter... Impossible ! Elle grimpa rapidement sur son cheval, et frémit légèrement en sentant ses fesses se poser sur la selle, son popotin protestant un peu au passage.
« Que venez-vous faire dans nos contrées, Monsieur Link ? » demanda-t-elle ensuite.
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Un sacré sourire...C'était ce que Link se dit au moment où la princesse remonta sur la selle de son cheval. Sans doute que son fessier devait être douloureux après une telle chute,
et il ne s'en rappelait que trop bien : combien de fois dans son enfance il avait du s'y reprendre à maintes fois pour rester en équilibre sur un cheval qui ne voulait pas entendre parler de lui ? Ce ne fut que plus tard, lorsqu'il apprit à jouer de cet instrument à vent, l'ocarina, qu'il réussit à maîtriser sa monture, sensible au souffle musical de cet objet. L'Hylien sembla se perdre quelques secondes dans le regard de celle qui répondait au doux nom d'Alice. Elle venait de le remercier, et tenta de le rassurer — ou de se rassurer soi même ? — annonçant le fait qu'elle savait bien grimper sur son cheval et qu'il n'y avait point d'inquiétude à avoir. Pourtant, Link se serait senti bien mal d'arrêter la conversation là, et de laisser la jeune fille en proie à un cheval effrayé par les sangliers et sans doute aussi capricieux qu'Epona il y a plusieurs années. Quittant ses rêveries en croisant de nouveau le regard de la jeune fille dont il ne suspectait pas le moindre du monde qu'il s'agissait d'une princesse, l'Hylien lui répondit sur un ton bienveillant :
« Eh bien...Je suis en mission spéciale si je puis dire. Je travaille pour la famille royale depuis peu. Ils entretiennent quelques liens avec mon pays d'origine, alors, j'imagine qu'ils m'ont convoqués pour bénéficier eux aussi de mes services...Hum oui j'imagine. Bref, j'ai perdu la trace de celui que je cherchais dans ces bois et je suis tombé sur vous... » Link marqua une pause dans son monologue. Cela faisait peut être trop d'information pour elle ? En tout cas, depuis tout à l'heure, il avait bien du mal à résister au charme de sa silhouette et à son regard ravageur, partagé entre douceur et malice. L'Hylien souhaitait en savoir plus sur cette jeune fille et qui sait, si cela lui permettrait d'obtenir plus d'informations au sujet de la personne qu'il recherchait, alors il n'était pas contre. Il secoua les rennes de sa monture afin qu'Epona se place face à elle, et lui proposa sur un ton qui se voulait plus protecteur que charmeur.
« La sortie de cette forêt n'est pas bien loin, vous voulez peut être que je vous accompagne Alice ? De toute façon, je dois rentrer me reposer moi aussi, la journée a été longue, et ça fait un moment que je suis ici. J'ai promis de ramener avant la tombée de la nuit du gibier à quelqu'un. »
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Link, Link... Où diable avait-elle déjà entendu ce nom ? Le nom lui était familier, en réalité... Et, alors qu’elle y songeait, la réponse vint tout naturellement d’elle-même.
*Zelda !*
Il y a quelques semaines, la jeune Princesse avait fait partie d’une délégation qui s’était rendue auprès d’un château qui avait mystérieusement fait irruption sur une plaine à la frontière d’Ashnard*. Hyrule... Alice s’y était rendue, et avait passé du temps en compagnie de la Princesse Zelda, qui lui avait expliqué qu’elle était la détentrice d’une partie de la Triforce, les deux autres porteurs étant Ganondorf, un mage noir responsable du transfert d’Hyrule, et Link... Mais ce Link était-il le même que celui dont Zelda lui avait parlé ?
D’un autre côté, il n’y avait pas beaucoup de Link sur Terra, mais l’hypothèse troubla un peu Alice. Elle ne répondit ainsi pas tout de suite au jeune homme, réfléchissant dans sa tête, et finit par revenir d’elle-même à la réalité, lorsqu’elle réalisa qu’il lui avait posé une question.
« Hein... Oh... Euh... Oui, raccompagnez-moi donc, Monsieur Link ! »
Une fois qu’ils arriveraient près d’une auberge ou de n’importe quel hameau, Link devrait réaliser que la jeune blonde au sourire espiègle devant lui était tout, sauf une simple aristocrate. Tandis que les deux chevaux s’ébrouaient, et avançaient le long du sentier, Alice étant juste derrière Link, cette dernière continua à réfléchir, creusant cette hypothèse dans sa tête. Plutôt que de lui en parler directement, elle continua à le cuisiner, et reprit :
« Pour quelle raison la famille royale vous-a-t-elle embauché ? Quel monstre devez-vous combattre ? »
Il s’agissait probablement d’un appel d’offres pour chasser les monstres dans les grottes de Sylvandell, afin de pouvoir les réaménager.
« Vous êtes un mercenaire itinérant, c’est ça ? » s’enquit-elle également.
* : Cf. RP « Le siège d’Hyrule[url] » (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=20586.0).
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C'était donc d'accord. Cette "Alice" que Link venait de rencontrer accepta sa compagnie avec une certaine bienveillance, et tous deux commencèrent à se diriger,g grâce à leurs montures, en direction du village le plus proche qui se trouvait en bordure de la forêt. Au départ, ce fut assez silencieux, chacun étant plongés dans ses pensées. Link se préoccupait pas mal de savoir où le fugitif avait pu fuir et à quel moment il avait perdu précisément sa trace, tandis que du côté de Alice, elle se posait des questions sur la Princesse Zelda qu'elle avait rencontrée, sans que l'Hylien ne sache vraiment qu'ils avaient été en contact. Durant leur courte balade, celle que Link ne suspectait pas être une princesse lui posa plusieurs questions sur les raisons de sa présence et son statut. Des questions assez précises qui éveillèrent elles aussi la curiosité de l'Elfe qui tourna la tête dans sa direction pour lui répondre.
« Un mercenaire itinérant ? Hum, oui on peut dire ça. J'ai décidé de quitter mon pays d'origine pour découvrir de nouvelles contrées. Pour pouvoir me permettre un tel voyage j'accorde mes services de bretteur à différents Royaumes. C'est assez dangereux comme mode de vie, mais ça me convient.
Si je peux aider en même temps que je voyage, alors ça me rend heureux. »
Voila, il venait d'expliquer avec plus de détails pourquoi il avait décider de quitter Hyrule sans trop citer son royaume d'origine. Après tout, mieux valait garder quelques secrets, il ne la connaissait pas assez pour lui vouer toute sa confiance. Aussi, lui avait-elle posé une autre question sur ce qu'il était habitué à affronter, et Link arrêta son cheval quelques instants pour lui faire face. Elle avait l'air de se montrer assez impressionnée par ses talents, pourtant lui, ne trouvait que c'était rien d'exceptionnel. Il lui répondit donc de la manière la plus franche possible .
« Généralement, on me recrute pour des missions d'importance diverse. Cela va de la chasse, à la traque de criminels en fuite comme c'est le cas actuellement. Quand un Royaume ne se sent pas en sécurité en raison de la recrudescence de monstres ces derniers temps, on me demande de mener une expédition pour en repousser un maximum. Je ne pense pas que vous voulez connaître les détails Alice, mais certaines batailles sont plus dangereuses que d'autres en fonction des créatures... » fit-il en marquant un temps de pause suivit d'un sourire ravageur, le tout dans le but de la rassurer. Une fois cela dit, il se retourna de nouveau : le soleil était en train de se coucher et disparaissait peu à peu derrière une haute colline. La bonne nouvelle ? C'était que l'auberge la plus proche était désormais à portée de vue ! Il allait pouvoir retrouver sa chambre et livrer son gibier au tenant de l'auberge. Mais il n'allait pas tarder à découvrir qui était réellement cette Alice, pour ensuite un moment qu'il n'allait pas regretter ~.
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Le duo se rapprochait du petit village de Bruine-En-Chêne. Un petit village sylvandin typique, avec quelques cultures, des potagers, de l’élevage… Rien d’exceptionnel, rien d’inoubliable. La campagne profonde sylvandine. Sylvandell était un royaume guerrier, mais surtout une terre campagnarde. Certes, la Couronne était en train de réaménager les grottes pour permettre le développement d’une activité industrielle, et il existait des gisements de pierre à flanc de montagnes, mais, globalement, mis à part la capitale même, Sylvandell était composée de villages oubliables. Bruine-En-Chêne avait toutefois pour elle d’offrir une sympathique auberge, avec du délicieux ragoût de sanglier.
Alice, qui était sur le point de rebrousser chemin initialement pour retourner au Château, suivit néanmoins ce mystérieux Link, intriguée. S’agissait-il de l’homme dont Zelda lui avait parlé ? Difficile à dire, car il ne précisait pas d’où il venait, se présentant comme un « bretteur », et embauché ici pour chasser un criminel.
*Ah ? Qui donc ?*
Comme toute communauté, Sylvandell connaissait son lot de criminels, de traîtres, de déserteurs, de bandits et de brigands. Ils étaient traqués, chassés, mais bien présents, et la Couronne mettait parfois des primes sur leur tête. Néanmoins, ce n’était pas la Couronne en personne qui gérait ça. Concrètement, chaque candidat intéressé venait avec la prime, et apportait avec lui la cible recherché pour obtenir récompense.
Intriguée, Alice n’eut pas l’occasion de lui en demander plus, car ils arrivèrent hors de la forêt. Bruine-En-Chêne se dressait là, avec une palissade en bois, et un grand chêne central, qui avait donné au village son nom. Néanmoins, et juste avant de rentrer, Alice fit à ce dernier quelques réflexions :
« Oh, vous seriez surprise de savoir tout ce que je connais pour ce qui est des détails… »
Des propos bien mystérieux, s’accompagnant d’un sourire amusé, puis la Princesse s’approcha. Deux gardes tenaient le corps de garde, et, à son approche, s’inclinèrent respectueusement.
« Majesté !
- C’est un honneur ! »
Alice ne regarda pas Link, s’amusant de sa réaction. « Majesté » ? Le reste était à l’avenant, car, quand Alice entra, au pas, les gens, occupés à faire leurs lessives, les enfants à jouer, s’arrêtèrent brusquement. Un murmure enfla autour d’Alice, qui leva la main en les saluant, souriant de toutes ses dents.
« Princesse Alice !
- La Princesse, c’est la Princesse ! »
Difficile de prétendre rester discrète, maintenant… Alice sauta de son cheval, arrivant à côté de plusieurs enfants, et attrapa sur le sol un ours en peluche qui avait été abandonné par une petite-fille. Se courbant légèrement, Alice le lui tendit en souriant.
« Tiens, ma chérie, je crois que tu as perdu ça… »
Nerveuse, la petite se recroquevilla derrière son aîné, également tout rouge. Alice sourit encore.
« Tu es son grand-frère ? »
Hochement nerveux de la tête. Le sourire d’Alice s’accrut, et elle lui déposa l’ours en peluche sur le torse. Nerveusement, le petit garçon l’agrippa.
« Toi, tu es amoureux de moi, non ? »
Le jeune homme se transforma en pivoine sur place.
« N-Non, Ma… Ma… Majesté… !! »
Alice gloussa, et lui ébouriffa les cheveux, puis déposa un baiser sur son front, faisant manquer plusieurs battements au cœur du brave pousse.
« Veille bien sur ta sœur, d’accord ? »
L’intéressé ne put guère qu’hocher la tête de nouveau. Alice se retourna ensuite vers Link, et lui sourit encore.
« Je crois que j’ai oublié de me présenter… Techniquement, vous travaillez pour moi. »
Le moins qu’on puisse dire, c’est que la belle blonde était populaire !
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Voila donc qu'ils étaient en train de se rapprocher de Bruine-En-Chêne, ce petit village où Link s'était arrêté quelques heures pour pouvoir récupérer. Il y avait noué en très peu de temps des liens avec les habitants, notamment le tenancier de l'auberge où il séjournait : il avait rapidement remarqué ses talents de chasseur et lui avait ainsi proposé de séjourner gratuitement contre le simple service de ramener à manger. Après tout, ceux qui travaillaient pour la famille royale étaient censés être très bien accueillis dans les contrées du Royaume, mais l'Hylien comprenait que certains en souffrent. Il trouvait donc cela normal de payer une sorte de dette en retour d'un toit pour la nuit. Alors qu'il se disait qu'il allait enfin pouvoir se reposer, et qu'il avait mené sa mission quant à ramener la jeune fille qu'il avait rencontré dans ces bois en ces lieux, l'Elfe observa la scène qui ne manqua pas de lui retourner le sang. Si on lui avait dit une telle chose, il ne l'aurait sûrement pas cru : les soldats venaient de s'incliner à l'arrivée de la demoiselle. Déjà, ce fut une première surprise pour Link qui en écarquilla les yeux. Elle devait être drôlement importante pour le village pour que les gardes la laissent passer ainsi, sans doute était-elle la fille du chef du village ? Mais rapidement, cette théorie s'effondra lorsque ce groupe de d'enfants l'accostèrent en l'appelant par son véritable statut : "Princesse".
« Mais...Non...Impossible... » murmura Link qui n'en croyait pas ses yeux. Est ce qu'il venait véritablement de sauver une princesse dans ses bois ?
Malgré la surprise de taille, il tenta de rester le plus humble et stoïque possible. Elle avait un charme incroyable et pour une princesse, Link trouvait qu'elle s'aventurait bien loin, hors des terres de son domaine. Aaah...Sans doute la fougue de la jeunesse. En tout cas, ce qui était sûr, c'était qu'ici, elle avait l'air vraiment respectée et aimée de tous. Aucun signe hostile, simplement un accueil de taille. Cela fit sourire l'Hylien qui ne put s'empêcher de repenser à la Princesse Zelda devant une telle scène. En l'observant faire, il pouvait tout à fait voir qu'elle rayonnait de bonté et de gentillesse envers les autres. Et ça, l'Elfe y était très sensible. Link descendit de sa monture après que les gardes aient compris qu'il venait d'escorter la princesse et qu'il était lui aussi attesté de la famille royale, et marcha jusqu'à Alice, tandis qu'il portait sur ses épaules, un lourd sac.
« Un "oubli", hein ? Je dois avouer que je suis assez surpris. Les femmes sont toujours pleines de ressources et de surprises ! » fit l'Hylien en riant de bon cœur. Il n'osait pas lui dire, mais cela le rassurait de l'avoir rencontré. Qui sait ce qu'elle aurait pu croisé comme danger à l'intérieur de cette forêt.
« Eh bien, maintenant que l'on est enfin ici, je vais aller rendre mon dû à cette auberge. La nuit ne va pas tarder à se pointer, et je ne pense pas que ce serait une bonne idée de repartir chez vous, "Princesse". Vous serez plus en sécurité dans le village et puis...Tout le monde à l'air de vous aimer ! Si vous avez besoin de moi, vous saurez où me trouver. » fit l'Elfe en lui renvoyant un magnifique sourire, qui éclaira tout son visage. Au moins ici , elle serait en sécurité, c'était certain. Après cette courte discussion, Link hocha la tête puis se retira, se dirigeant vers l'auberge. L'accueil y fut tout aussi bon : il échangea le sanglier contre sa nuitée et monta dans sa chambre pour s'y reposer.
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Alice aimait bien la discrétion. Elle se rendait souvent sur Terre pour ça, parce que, là-bas, au Japon, Sylvandell ne signifiait absolument rien. Mais, en même temps, il était quand même gratifiant et très plaisant de se retrouver au milieu de ses villageois, où elle se savait très populaire. Les Korvander n’avaient jamais eu la réputation d’être des souverains tendres. Mais elle, elle était le « Joyau de Sylvandell », une véritable Princesse issue de contes de fées. Estomaqué, Link se remit peu à peu de sa surprise, amusant Alice, qui continuait néanmoins à réfléchir sur lui. Elle se rappelait de sa conversation avec la Princesse Zelda, de ce « Link » qui avait disparu. Alice lui avait demandé de lui en parler, et Zelda avait décrit un jeune homme qui ressemblait étrangement à celui-ci... Mais la jeune tête blonde savait aussi que le monde pouvait parfois se montrer très petit !
Elle laissa Link filer à l’auberge, le saluant, et, tout en continuant à discuter avec les garçons, et à se renseigner auprès des aînés, réfléchit sur Link. Comme d’habitude, elle laissa plusieurs mèches de cheveux aux jeunes enfants. C’était une tradition pour les enfants, on disait que les cheveux princiers chassaient les mauvais esprits. Alice se rendit ensuite finalement à l’auberge, et l’aubergiste, en la voyant, manqua en renverser le lait de chèvre qu’il tenait entre ses mains.
« Ma... Majesté... Mais qu’est-ce qui me vaut, mais qu’est-ce que je, mais par quel mi, je... Euh...
- Allons, ce n’est rien...
- Je... Euh... Eh bien, c’est un honneur, je... euh... Vous voulez que j’dise aux grouillots de se tirer, vous serez peut-être mieux... »
Et, sans attendre davantage, l’aubergiste se racla la gorge, et parla d’une voix forte :
« ALLEZ ! FOUTEZ LE CAMP, BANDE DE RAMASSE-MERDES ! »
Alice rougit confusément, et secoua la tête précipitamment.
« Hein ? Non, non, restez là ! »
L’aubergiste déglutit lentement, nerveux, et Alice se rapprocha de lui, en lui faisant son sourire le plus charmant.
« Je cherche des informations sur le jeune homme qui a tué le sanglier... »
L’homme ne savait toutefois pas grand-chose, mais Alice eut au moins la confirmation qu’il ne venait pas de Sylvandell. Elle demanda aux autres clients, qui répliquèrent également ne l’avoir jamais vu. Intriguée, Alice finit par grimper à l’étage. Elle portait sa belle robe blanche avec ses gants blancs, et rejoignit rapidement sa chambre, puis toqua à la porte de cette dernière, avant de l’ouvrir.
« Excusez-moi, Messire Link... »
Elle rougit soudain en voyant que l’homme était torse nu. Il venait d’allumer le feu de cheminée, visiblement pour dormir, et était en train d’enfiler une chemise de nuit. Alice rougit légèrement.
« Oh... Pardonnez-moi ! » s’exclama-t-elle.
Alice entreprit alors de refermer la porte...
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Cette chambre était bien trop grande pour lui. C'était sans doute ce qui l'avait frappé en premier lorsque le Héros d'Hyrule était rentré à l'intérieur de cette chambre. L'Elfe y avait laissé ses affaires, et constata avec le sourire que bien heureusement, elles étaient toujours là. Il avait ouvert une sorte de journal pour y faire son rapport. Chaque jour, il devait consigner ce qu'il avait réalisé comme tâches afin que son recruteur sache qu'il effectuait réellement sa mission. C'était quelque chose d'assez ennuyant à faire mais au final, cela lui permettait à lui-même de se rendre compte qu'il n'était pas là pour rien...Et qu'il avançait dans sa quête. Quelle idée de poursuivre un tel voleur dans une forêt ! Il s'en voulait d'avoir perdu sa trace, mais demain, sans doute...Qu'il le rattraperait. Pour l'heure, il allait falloir se reposer, reprendre des forces, et bien dormir. Alors, il avait entrepris d'allumer un feu de cheminé, parce que tout de même, c'était ce qu'il considérait comme étant le plus relaxant, le plus à même de lui faire du bien après une si longue journée. L'Elfe se leva de sa chaise sur laquelle il s'était assis pour écrire son rapport, s'étira en levant les bras, puis utilisa sa magie pour allumer le feu de bois qui se trouvait dans la cheminée. Après quoi il commença à ôter ses vêtements...
...Mais ce fut justement à ce moment précis que quelqu'un ouvrit la porte. Link était sans doute perdu dans ses pensées car il ne l'avait même pas entendu frapper ! Quelle surprise ! Lorsqu'il entendit sa voix, il comprit qu'il s'agissait de la Princesse, et qu'elle arrivait peut être au mauvais moment...Ou peut être pas. Il comprit au ton de sa voix qu'elle était désolée, et commença à refermer la porte. Link attrapa la poignée, et l'ouvrit dans son sens. Il était torse nu, un torse recouvert de nombreuses cicatrices dues à ses batailles. L'une d'elles, partant de son cou jusqu'à son abdomen, était sans doute la plus voyante, et la plus intriguante : elle ressemblait à une brûlure et à des traces de morsures. Sans doute avait il faillit perdre la vie concernant ce combat. Il la regarda en faisant toujours ce sourire, oubliant presque qu'il s'agissait d'une Princesse.
« Oh...Mais ça ne fait rien voyons ! Vous vouliez peut être me dire quelque chose ? Venez, entrez. » lui demanda t'il, en ouvrant la porte, l'accueillant dans cette pièce à l'air réchauffé par la chaleur des braises. Link termina d'enfiler sa chemise de nuit, puis alla verser un verre d'un breuvage local d'Hyrule, particulièrement apprécié là où il venait. Il tendit le gobelet vers la princesse, puis l'invita à s'asseoir sur son lit, tandis que lui opta pour la chaise pour l'écouter.
« Tenez, goûtez-moi ça, vous m'en direz des nouvelles ! »
En lui tendant le verre, il ne manqua pas de croiser son regard. Les vêtements qu'elle portait lui taillait une silhouette tellement fine et magnifique, qu'il était difficile de résister à un tel charme.
Il comprenait pourquoi quelque part, en plus de son aspect coquet et de sa douceur, les habitants l'appréciaient. Ce soir là, il était l'un des rares chanceux à pouvoir accueillir une Princesse dans sa chambre.
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Link retint la jeune Princesse, et ouvrit la porte en grand. Celle-ci rougit légèrement en ayant le torse nu de Link sous le nez, et nota bien évidemment la présence des quelques cicatrices. Dans une nation guerrière comme l’était Sylvandell, les cicatrices étaient toutefois plutôt bien vues. Elles étaient la preuve que le guerrier qui se présentait comme tel était bien un guerrier. Néanmoins,t même si la curiosité d’en savoir plus sur l’origine de ces cicatrices lui brûlait les lèvres, elle ne dit rien, et le remercia de l’accepter dans sa chambre.
« Me… Merci à vous, Monsieur Link, mais je ne voudrais pas abuser… »
Toutefois, le guerrier ne semblait guère gêné par sa présence, bien au contraire. Il referma la porte derrière elle, et elle regarda brièvement autour d’elle. Link voyageait avec peu d’affaires, de sorte que la chambre, assez grande, faisait assez vide. Un guerrier itinérant, sans attaches et sans familles… La théorie d’Alice pouvait-elle seulement être vraie ? Tout ça semblait totalement délirant. Mais, après tout, Alice savait que le monde était petit, et qu’il n’y avait pas beaucoup de gens qui s’appelaient Link.
Le jeune homme lui tendit alors un breuvage, et Alice le remercia. Elle était assise sur le lit, et lui face à elle, sur une chaise. Un moment relativement intime, renforcé par la pénombre des lieux.
« Merci… »
Elle attrapa le verre, et en but un peu. La jeune femme portait ce soir une tenue assez légère, tout comme Link, ce qui ne faisait que mettre en valeur ses généreuses formes. Là, Link pouvait comprendre pourquoi la Princesse héritière de Sylvandell était surnommée « Joyau de Sylvandell ». Une véritable beauté issue d’un conte de fées, avec une poitrine généreuse, mais qui n’était pas non plus difforme, de sorte qu’il se dégageait de tout son corps une magnifique harmonie. Alice avala alors le liquide… Et fronça lentement les sourcils. Ce breuvage, ce goût… Cet arrière-goût chaud qui se diluait dans sa gorge.
*Ça me rappelle les boissons que la Princesse Zelda m’a fait boire à Hyrule…*
Alice se pinça doucement les lèvres, et observa alors Link, pour dire rapidement :
« C’est… C’est délicieux. »
Toutefois, outre le goût du breuvage, elle avait autre chose à dire, et fronça légèrement les sourcils, avant de rajouter :
« J’ai bu un breuvage similaire lors d’un séjour au royaume d’Hyrule. Est-ce que ce nom vous dit quelque chose ? Avez-vous déjà entendu parler de la Princesse Zelda ? Car elle ne tarissait pas d’éloges sur un certain Link… »
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Avec un petit sourire en coin, l'Hylien continuait d'observer la princesse qui se trouvait en face de lui. Elle avait l'air d'apprécier, c'était tant mieux. En Sylvandell, il était compliqué de trouver une telle mixture, et il était vrai que lorsqu'on en raffolait, après, c'était bien difficile d'en trouver, surtout par ici. L'Hylien écouta attentivement ce que le « Joyau de Sylvandell » avait à dire, tout en constatant qu'en cette période là de l'année, la Princesse était habillée bien légèrement. Peut être avait-elle elle aussi une cheminée dans sa chambre, ce qui augmentait potentiellement la chaleur des lieux. Ou alors...L'Hylien sorti brusquement de ses rêveries lorsqu'il entendit le nom de "Princesse Zelda". Ça alors...Quelqu'un qui la connaissait ! Aussitôt, l'Elfe répliqua, tout en riant de bon cœur.
« Ça alors ! Je ne pensais pas que les relations entre nos deux Royaumes étaient si proches ! Vous la connaissez donc... »
Cette simple anecdote venait d'illuminer le visage de l'Elfe. Il avait vécu tellement d'aventures en sa compagnie, ou plutôt, il avait fait en sorte de la sauver tellement de fois qu'il n'avait pas vraiment fait en sorte de compter le total de ces missions. Il expliqua à Alice qu'il avait été nommé en quelque sorte "le chevalier le plus haut gradé" du Royaume, et "bras droit" de la Famille Royale. Une réelle confiance s'était installée entre lui et la famille royale, alors qu'il avait vécu toute son enfance en ignorant qu'il était un Hylien. Il n'avait point connu ses parents, décédés durant la guerre qui avait ravagé son pays, avant finalement que grâce à la Lumière de la Triforce, les Ténèbres guidées par le peuple du désert ne se tarissent. Ils s'étaient déplacés, quittant la surface d'Hyrule pour s'attaquer à d'autres terres, et l'Hylien expliqua alors qu'en quelque sorte, c'était la raison de sa présence ici : non pas que Sylvandell en était directement menacé, mais un jour ou l'autre, cela pouvait arriver. Alors il veillait à écarter et désamorcer les conflits le plus possible, avant que cela n'arrive. Ses blessures elles aussi, elles venaient de là.
« Pendant très longtemps, je me suis battu à ses côtés pour le bien de notre pays...A présent, je suis prêt à en servir d'autres, tout comme le votre, Princesse. Et je suis ravi de savoir que vous aimez beaucoup notre contrée, je ne m'attendais pas à ce que quelqu'un connaissent Hyrule ! Aujourd'hui, je n'ai plus vraiment de contact avec la Princesse d'Hyrule, mais vous savez...Votre bonne humeur, le sourire sur votre visage et votre bonté.
...
Sur de nombreux points, vous m'y faites pensez. Je ne vous connais que depuis aujourd'hui, mais je ne pense pas me tromper en affirmant ceci : vous êtes une princesse au grand coeur, et c'est tout à votre honneur. »
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Comme quoi, le monde était parfois petit, et Link ne cacha pas sa surprise en apprenant qu’Alice connaissait Hyrule et la Princesse Zelda... Mais, manifestement, Link n’était pas au courant que son royaume avait connu quelques changements depuis l’époque où il l’avait quitté. Il lui parla de la Triforce, un concept qui était maintenant familier à Alice, la Princesse Zelda lui en ayant parlé en long, en large et en travers. Et, pendant qu’il parlait, Alice croisa machinalement les jambes, un geste anodin, mais non empreint d’une certaine sensualité, puisqu’il releva sa courte robe, dévoilant davantage ses belles cuisses. Le Joyau l’écouta silencieusement, cherchant comment lui dire qu’Hyrule s’était subitement beaucoup rapprochée de Sylvandell, la ville ayant été téléportée d’un bout de Terra à un autre, atterrissant devant les frontières d’Ashnard*. Elle allait le lui dire, quand Link la complimenta sur sa beauté... Ou, plutôt, sur sa « bonté ».
Alice rigola légèrement en rougissant un peu.
« Eh bien... Toi, tu sais parler aux Princesses, Link. Zelda ne tarissait pas d’éloges sur toi, en effet... »
La jeune femme venait de passer du vouvoiement de rigueur au tutoiement, témoignant d’une certaine forme de proximité entre eux. Elle reprit ensuite :
« Pour ton information, Hyrule a été téléportée près de nos terres... Enfin, près de l’Empire. Il y a pas mal de lieues entre Sylvandell et l’emplacement nouveau d’Hyrule... Mais Zelda va bien, et ta ville aussi. Elle espère juste te revoir bientôt... En fait, je crois que tu lui manques. »
Alice pouvait aussi renvoyer les compliments, elle n’était pas dénuée de talents verbaux !
« Un chevalier brave et héroïque, qui a toujours été là pour elle, pour combattre en son nom... »
La tête blonde sourit à nouveau, les yeux brillants de malice, et reprit ensuite :
« ...Et aussi mignon que ce qu’elle m’en a dit... Ou peut-être que c’est juste moi qui craque sur les garçons aux oreilles pointues. »
* : Cf. RP « Le siège d’Hyrule (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=20586.0) ».
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Les yeux de Link roulèrent lorsqu'Alice lui confia qu'entre princesse, elles avaient l'air d'avoir beaucoup parlé de lui. Pourquoi fallait-il qu'il se retrouve au centre d'une telle conversation ? A cette simple pensée, les joues de l'Hylien virèrent au rose, lui qui n'était pas habitué à avoir autant d'éloge. Qu'avaient-elles pu dire d'autre de quoi avaient-elles parler exactement ? Du fait qu'il avait affronté maintes fois Ganon ? Du fait qu'il s'était battu au péril de sa vie ? De ses autres aventures par delà les frontières d'Hyrule ? Difficile de savoir. Cela faisait bien longtemps que Link était en vadrouille à présent. Lorsqu'il essaya de braquer de nouveau son regard sur la Princesse, il remarqua qu'elle avait croiser les jambes et que cette simple scène continuait de séduire l'Elfe. Alors que Link continuait de se poser mille questions, elle passa au tutoiement. Une nouvelle surprise, puisque...C'était assez rare pour une telle personne de son rang. Même pour Zelda il lui avait fallut du temps par exemple ! Lorsqu'elle lui expliqua que Hyrule s'était comme "déplacé" près des terres de Sylvandell, l'Hylien écarquilla les sourcils : c'était vraiment possible ? Comment ? En tout cas, si c'était bien vrai, cela expliquait au final les relations entre leurs deux pays, assez proche.
« Ce que vous me dites, Princesse, m'étonne beaucoup...Hyrule s'est..."déplacé" ? Mais au moins, je suis rassuré de savoir que tout est en ordre. Je pense qu'il est important que nos deux Royaumes soient en bonne relation, il y a tant à faire et en travaillant ensemble, il sera plus simple d'y arriver ! »
Ce qui allait suivre allait simplement et purement clouer le bec de Link sur place. Elle était en train de citer les paroles de la Princesse d'Hyrule avant finalement de se les réapproprier, et d'avouer que Link ne la laissait pas de marbre. Il...Il lui plaisait ? C'était à cause...ou plutôt..."grâce" à ses oreilles ? Link balbutia quelque chose d'incompréhensible, avant de rougir finalement. Là il se posa une véritable question : où devait-il se cacher ? Sous le lit ? Partir de la chambre ? Ou plutôt...Réagir tout autrement, en tant qu'homme, et montrer qu'il n'avait pas été insensible à ce genre de compliments ? Difficile d'avoir autant de réparti dans un tel moment n'est-ce-pas ? Link risqua de nouveau d'observer son regard et de se perdre à l'intérieur. C'était comme s'il se sentait happé par une force mystérieuse. Elle était vraiment magnifique, et la pose qu'elle prenait n'arrangeait pas les choses. Un petit silence s'installa, avant finalement que l'Hylien se risque à lui prendre ses mains. Elles étaient douces et sentaient bon. Lentement et délicatement, il les rapprocha de lui, tandis qu'elle, pouvait ressentir sa chaleur. Link lui fit à nouveau un sourire à moitié confus, et à moitié euphorique.
« Je...Je suis comme ça avec les Princesses...J'essaye de les défendre au péril de ma vie...Mais...Vous savez...Je ne dépend plus de Hyrule à présent et...
...
Est-ce-que l'on vous a déjà dit que vous étiez magnifique ?... »
Oups. Voila, ça l'avait échappé. A force de ne plus savoir quoi lui dire pour répondre à son compliment, Link lui en avait renvoyé un, aussi directement que possible. C'était peut être là une énorme erreur, d'autant plus que lui en revanche, n'arrivait pas à ne pas la vouvoyer. De nouveau, ses joues se mirent à rougirent, en s'inquiétant de la suite.
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Alice esquissa un léger sourire devant la gêne manifeste de Link… Ainsi que devant son calme olympien. Apprendre qu’Hyrule s’était déplacée d’un bout à l’autre de Terra ne sembla pas, en effet, le perturber plus que ça. Un calme à toute épreuve, mais qui se justifiait peut-être par l’attrait soudain que le jeune homme ressentait en voyant les cuisses de la Princesse, ou en constatant qu’elle s’était assise très près de lui. Une scène cocasse, du genre à faire bouillonner les esprits et les cœurs. Alice l’observa encore, ses yeux pétillants d’une étrange malice.
*Un grand guerrier, mais assez timide avec les femmes…*
Voilà qui avait en tout cas le mérite de changer des habituelles brutes épaisses qu’on trouvait à la cour de Sylvandell ! Des individus imbus d’eux-mêmes, enchaînant les plaisanteries grivoises, les rots et les pets, dans la salle de banquet. Des scènes souvent très gênantes pour la délicate fleur blanche qui se trouvait en ce moment devant l’Hyrulien. Confus, ce dernier se contenta de dire que tout semblait aller pour le mieux, et termina en avouant, les joues rouges, que la Princesse était « magnifique ».
Ce compliment ne manqua pas d’amener sur les tendres lèvres de la tête blonde un doux rire cristallin. Elle répliqua ensuite rapidement, se mordillant brièvement les lèvres sous l’effet de l’amusement :
« Eh bien, on dit de moi que je suis le ‘‘Joyau de Sylvandell’’, donc… Je suppose que ça doit y correspondre… »
Elle se tut pendant quelques secondes, consciente que la nervosité de l’Hyrulien allait sûrement l’empêcher de faire quoi que ce soit. Amusée, Alice prolongea encore son supplice de quelques secondes, sachant très bien qu’elle était arrivée dans la zone sensible, ce moment où tout était susceptible de basculer… Et où tout allait basculer.
Elle renchérit donc :
« Néanmoins, c’est toujours agréable à entendre, surtout venant d’un jeune homme si mignon… »
Alice n’était également pas avare en matière de compliments, et esquissa un nouveau sourire devant Link, avant de se rapprocher encore de lui. Sa main se posa sur son torse, et elle continua à légèrement sourire, remontant sa main doucement le long de sa chemise.
« Zelda m’a dit que tu étais plus apte à tuer des araignées géantes qu’à séduire les femmes… Mais ça fait partie de ton charme. »
Elle se pencha alors vers lui, et, tout en serrant légèrement ses doigts sur son torse, apposa ses lèvres aux siennes, dans un tendre et agréable baiser, son corps venant doucement se blottir au sien…
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Une véritable fleur se trouvait devant Link et cela commençait à faire un petit moment d'ailleurs. Il venait de franchir un pas lorsqu'il lui avoua qu'il la trouvait magnifique. Au départ pris de panique par ce premier aveu, l'Elfe essaya ensuite de se rassurer : quelque part, elle était habituée à recevoir des compliments qui allaient dans ce sens non ? Alors...il n'avait peut être pas à rougir autant comme il le faisait présentement. L'Elfe plongea sa main dans ses cheveux pour se recoiffer, signe typique qui montrait sa gêne. Il lui jeta un regard furtif et constata que elle, ne le lâchait pas du regard. Décidément, il se sentait véritablement envoûté par une telle beauté. Elle appuya d'ailleurs ce simple fait en lui affirmant qu'on la surnommait le Joyau de Sylvandell. Il s'agissait là bel et bien d'une véritable beauté, une vraie pierre précieuse. Ce nom lui seyait très bien. Et en effet, bien que le blondinet n'avait pas froid aux yeux pour protéger les siens ou le pays qu'il servait, pour parler avec les femmes c'était tout autre chose. Il n'était pas particulièrement doué. Il cherchait souvent ses mots, il pouvait se montrer maladroit et...Hhaaaaa ! Mais...Qu'est-ce-qui lui prenait ?!
Le temps sembla s'arrêta pendant quelques courtes secondes.
Sa main venait de se poser contre son torse, et il put ressentir cette douceur incroyable qu'elle avait en elle. Alors qu'elle s'amusait avec lui, elle lui confia que comme lui l'était avec elle, elle était charmée par son statut. Tout en s'appuyant contre lui, Link partagea avec elle un baiser qu'il n'avait même pas soupçonné venir jusqu'ici. Le temps s'arrêta de nouveau, plus longtemps encore cette fois-ci. Son cœur venait de faire un bond à tout rompre dans sa poitrine tandis que sa chaleur s'ajouta à la sienne, et c'est alors qu'il fut transporté dans un tout autre univers, comme si...Comme si pendant quelques minutes, il n'était plus en Sylvandell et que elle, n'était pas la Princesse de ce Royaume. Link à son tour, perdant peu à peu du contrôle, se laissa partir et ferma les yeux pour prolonger délicatement le délicieux baiser qu'il était en train de partager avec elle. Glissant lentement ses doigts dans sa chevelure dorée, l'Hylien s'avança peu à peu vers elle jusqu'à se coller contre son corps, et l'amener contre le mur d'en face. Inutile de préciser que concernant la proximité de leurs corps, elle pouvait aisément sentir qu'elle n'était pas sans lui faire de l'effet. Link pourtant, n'en dis mot, et continua de l'observer, avec un air à la fois tendre et protecteur. Alors qu'il se mit de nouveau à caresser sa chevelure, il lui confia un secret qui venait d'éclore en lui.
« ...Vous avez sans doute besoin de quelqu'un pour veiller sur vous Princesse...Et je suis prêt à accepter ce rôle...De n'importe quelle façon que vous souhaiterez... »
Autant le dire : il avait l'impression que son cerveau venait de court-circuiter, passant d'une minute à l'autre du garçon timide au séducteur qui avait peine à réaliser ce qui venait de se passer. Alors que ses doigts étaient encore sur son torse, Link échangea avec elle de nouveau un regard complice et cette fois-ci ce fut lui qui se montra entreprenant en apposant ses lèvres contre les siennes et en posant ses mains chaudes autour de ses vêtements. Qu'importe ce qui allait se passer à présent, l'Hylien ne se posait plus aucune question : ce qui comptait, c'était qu'elle se sente en sécurité...Avec lui.
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Outre ses rougeurs, son hésitation, les perles qui luisaient dans ses yeux, Alice constata clairement qu’elle plaisait à Link en sentant un signe avant-coureur, une tension nerveuse qui partait de ses cuisses, une agréable raideur charnelle qu’il lui plaisait, dans ce genre de situations, de sentir. Un léger sourire perla en conséquence sur ses lèvres, tandis que Link, ému, s’était rapproché d’elle. À voir son visage, le jeune homme devait vivre un véritable « rêve éveillé ». Alice avait aussi quelques rougeurs, mais il fallait bien reconnaître que l’époque où elle était une grande nerveuse ne connaissant rien au sexe était quelque peu révolue. La jeune fille avait mûri, avait grandi, et le sexe n’était pas une grande inconnue effrayante. Link la fit ensuite de nouveau sourire, en proposant de devenir son garde du corps, assurant qu’une telle beauté avait besoin de protection.
« Ah oui ? » répliqua-t-elle rapidement, amusée par cette proposition.
L’homme l’embrassa ensuite. Un baiser nerveux, maladroit, mais empreint de passion, qui confirma à la jeune femme qu’il devait être moins expérimenté qu’elle… Tout en étant aussi un rude guerrier. Zelda n’avait pas tari d’éloges sur Link, lui contant ses multiples exploits dans les terres d’Hyrule. Un guerrier légendaire, une véritable figure nationale chez eux, qui avait maintes fois défait Ganondorf, et accompli des quêtes extraordinaires, explorant des donjons hantés, des forêts maudites, sauvant le royaume du vil mage à plusieurs reprises. Ce paradoxe entre un guerrier talentueux et un amant inexpérimenté avait toujours plu à Alice, puisqu’elle-même était l’exacte opposée. Alice ne savait pas se battre, ce qui était tout de même très handicapant dans une nation guerrière, mais, en matière de sexe, elle avait eu suffisamment d’amants et d’amantes talentueuses pour découvrir et explorer avec délice ce vaste univers rose.
Ils s’embrassèrent donc encore, la main gantée d’Alice se serrant sur son épaule, l’autre continuant à palper le torse du jeune homme à travers sa chemise. Faire monter lentement le désir, c’était quelque chose qu’elle savait faire, et la jeune femme adorait autant les préliminaires que l’acte central. Sentir les esprits s’échauffer, les corps s’enflammer, voilà un véritable délice dont elle n’arrivait tout simplement pas à se lasser.
« En l’état, je ne vais pas que vous demander de veiller sur moi, brave Link… » enchaîna-t-elle après le baiser.
Elle s’écarta un peu, venant s’asseoir au milieu du lit, et posa ses deux mains en appui sur le lit, mettant ainsi sa poitrine en valeur. Une lueur joueuse dansait toujours dans ses yeux, et elle sourit encore :
« Veiller sur moi est un sport de tous les instants, vous savez… »
Alice pencha légèrement la tête sur le côté, et rajouta ensuite, pour le défier :
« Tu es sûr de pouvoir être à la hauteur ? »
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Comment en était-il arrivé là ? De la Princesse qui s'était présenté comme une véritable pierre précieuse emplie de pûreté, voilà qu'elle se dévoilait au guerrier d'Hyrule comme étant particulièrement joueuse. Une telle proposition se refusait-elle ? L'Elfe, bien que toujours peu à l'aise au début de ce genre de proposition, savait se montrer entreprenant et prendre de l'assurance au fur et à mesure que la relation allait évoluer. Une telle invitation ne se refusait pas. Il remarqua qu'une flamme de malice était en train de danser dans ses yeux, et ressentir ses doigts palper le long de son torse le faisant tout autant palpiter. Lui renvoyant un sourire, l'Hylien s'approcha lentement du lit, avec les joues quelque peu rosées. Elle lui parlait de la protéger, de sport, et d'être à la hauteur. Des mots qui firent tout de suite sens chez lui.
« J'imagine...que ce serait dommage de s'en priver. »
Lui renvoya-t-il avec de nouveau un grand sourire joueur. L'Hylien s'approcha délicatement de son corps et plus précisément de son cou qu'il commença à humer, avant de faire passer ses doigts de nouveau délicatement dans sa chevelure. Son autre main, elle, alla se poser sur son ventre avant de remonter lentement mais assurément le tissu qu'elle portait, jusqu'à atteindre sa poitrine. Il commença à la malaxer et à jouer avec, tandis que ses lèvres se collèrent de nouveau contre les siennes. Dans la chaleur de ce moment, Link s'appuya de nouveau contre elle qui était assise, pour finalement se montrer plus dominateur que prévu, et s'allonger sur elle. La main qui était placée dans ses cheveux se déplaça peu à peu le long de son échine, jusqu'à atteindre ses cuisses et de faire ensuite lentement glisser ses doigts de la sorte, comme s'il eût été un pianiste de renom. Ses caresses n'avaient là qu'une seule ambition : faire monter la température qu'ils avaient commencer tous les deux à élever. L'Elfe se mit à lui mordre la lèvre, puis lui montrer un appétit qui n'allait sans doute pas manquer de la surprendre. Serait-elle tout aussi entreprenante que lui ? C'était la question qu'il se posait en ce moment. Il ne pensait toutefois pas se méprendre en se disant qu'elle venait de lui faire des avances, et que passer une folle nuit avec lui, c'était quelque chose qu'elle souhaitait au final. L'Hylien se stoppa quelques instants pour observer la profondeur de ses yeux à l'intérieur desquels il continuait à se perdre.
« Ne vous a ton jamais dis qu'il ne fallait pas sous-estimer un guerrier comme moi ? »
L'Hylien attrapa sa chemise et la laissa tomber sur le lit, la laissant constater les nombreuses cicatrices qu'il avait, et dont elle n'avait pas pu bien profiter quelques instants plus tôt. A présent, il s'offrait à elle, tout comme il espérait qu'elle allait s'offrir à elle.
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Alice cachait plutôt bien son jeu. Avec ses vêtements blancs, son corps angélique, elle n’avait aucune difficulté à véhiculer une image de pureté absolue… Ce que, d’un certain point de vue, elle était toujours. Sa passion pour le sexe ne l’avait pas rendue immonde, ou cruelle. Il y avait toujours, en elle, une part d’innocence, mais qui était juste contrebalancée par une forte perversion. Son éveil sexuel avait été motivé par des personnes expertes en la matière : Cirillia, la sorceleuse qui veillait sur elle, Mélinda Warren, sa meilleure amie vampirique, Tinuviel Lastrim, une elfe de soleil qui dirigeait un harem isolé… Autant de personnes qui avaient démontré que le beau sexe pouvait se montrer infiniment plus pervers que ce qu’on pouvait imaginer, et Alice n’avait fait que suivre ce mouvement. Tout cela la conduisait entre les bras du beau Link… Ça, et le fait qu’elle avait toujours ressenti un petit quelque chose envers les elfes.
*Ceci dit, les Hyliens ne sont pas des elfes, Zelda me l’a suffisamment dit pour que cela s’imprègne en moi…*
Leurs oreilles pointues étaient trompeuses ! Pour l’heure, elle sentait doucement le désir croître en elle, au fur et à mesure que Link l’embrassait, allant jusqu’à mordre sa lèvre inférieure, la serrant entre ses doigts, lui arrachant moult frissons. Il tira dessus, faisant délicieusement gémir Alice, qui se dandina sur place, serrant ses doigts sur son corps. Nerveuse, elle sentait une tension croître entre ses cuisses, la virilité contenue de Link, qui ne demandait qu’à s’exprimer. Ensemble, le désir montait lentement, inexorablement, irrésistible. Impossible de vouloir le repousser, Alice l’acceptait au contraire pleinement.
Soupirant longuement, elle papillonna des yeux en l’observant, et le vit ensuite retirer sa chemise. Alice vit alors son magnifique torse, glabre. Les cicatrices ne firent que l’exciter davantage, l’amenant à se mordiller les lèvres. Ses délicats doigts gantés caressèrent tendrement les lignes de quelques cicatrices, tandis qu’elle se mit à commenter :
« Ici, à Sylvandell, les cicatrices sont des preuves de fierté, le signe que vous êtes un guerrier ayant combattu et défié la Mort. Chaque cicatrice a une histoire à raconter… »
Elle poussa alors, et Link tomba à la renverse, s’allongeant sur le dos. Alice se mit alors à califourchon sur lui, et posa ses deux mains sur son torse, caressant sa peau, remontant dessus, et se courba en avant, restant allongée sur lui. Elle ne visait pas ses lèvres, et, tout en se couchant, elle creusa son corps, amenant ses fesses à heurter le sexe de l’homme, encore retenu sous son pantalon en toile. Sa bouche se posa sur son torse, et elle aventura sa langue le long des fines lignes de sa peau, glissant sur les cicatrices.
Sa main se déplaça alors, et caressa son pantalon, jouant avec les lacets, défaisant un peu les nœuds qui s’y trouvaient. Puis sa main se déplaça sous le pantalon, et elle sentit, contre ses doigts, la virilité de Link, et serra ses doigts dessus.
« Là… Je te fais de l’effet, Link… Je ne peux pas sous-estimer une telle masse, mais je reste convaincue que les pensées que tu ressens à mon égard sont indignes de celles qu’un preux chevalier devrait ressentir envers sa Princesse… »
Elle lécha son téton en disant cela, et mordilla à son tour sa peau.
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« Chaque cicatrice a une histoire à raconter… »
L'Hylien restait parfaitement attentif à ce que la Princesse avait à lui dire, alors que son état semblait devenir de plus en plus imprévisible. Les marques sur son corps avaient l'air de la convaincre du sérieux de sa situation : il avait été maintes fois confrontés à la mort, et pourtant, à chaque fois, il s'en était tiré. Il savait pertinemment qu'un jour, il aurait peut être moins de chance. Mais ce jour n'était pas encore venu, et il pouvait profiter pleinement d'un moment comme celui ci, qui lui offrirait bien de quoi se reposer entre deux batailles. Alors que ses doigts étaient en train de se balader sur son torse, la Princesse décida de s'allonger sur lui. Des frissons inattendus s'emparèrent du corps de l'Elfe qui ne s'était absolument pas attendu à une telle surprise de la part de la belle blonde. Elle s'était même amusée à faire glisser sa langue le long de son torse, lui procurant une sensation de bien être à chaque fois qu'il put ressentir son souffle chaud contre lui. Elle venait de lui défaire son pantalon et commença à sérieusement jouer avec lui, faisant monter un peu plus la tension. Elle était en train de s'attaquer pleinement à lui, faisant monter un peu plus le désir à chaque secondes. Qu'est-ce-qu'il pouvait bien répondre à une telle attaque de sa part ? Peu importe l'équipement qu'il pouvait posséder, peu importe sa vaillance, ou combien de duels il avait pu mener...Là, il se trouvait véritablement désarmée contre une si belle créature, à la fois pûreté le jour, et véritable démone à cet instant. L'Elfe senti son coeur bondir dans sa poitrine et lâcha un léger soupir qui témoignait de cette sensation de bien être à ce moment là. Elle était en train de deviner ce à quoi il était en train de penser, mais lorsqu'elle lui partagea ceci, ce fut avant tout sur un ton rempli de malice. L'Hylien posa de nouveau ses lèvres contre les siennes, faisant glisser lentement ses doigts le long du tissu de sa robe qui lui recouvrait son corps. De nouveau, il vint à lui mordre avec sensibilité ses lèvres, tout en laissant ses doigts effleurer son visage à l'allure d'ange. Finalement, il lui répondit, sur un ton qui était accompagné de toute sa chaleur.
« Je suis certain que même si je ne ressemble plus à ce preux chevalier dont vous parlez...La suite ne devrait pas vous déplaire, Princesse... »
Posant une main contre son fessier, il glissa l'autre sous le tissu de sa robe, pour lui caresser avec douceur son ventre. Alors qu'il appuyait davantage son corps contre le sien et qu'il en vint à lui faire partager sa chaleur en soufflant contre son cou, Link attrapa le bord du vêtement de la Princesse, et il le retira aussitôt, admirant ensuite ses courbes et sa volupté tandis qu'elle avait conservée les gants qui recouvraient ses doigts emprunts de sagesse et de beauté. Un ange passa, puis il se mit à lui confier :
« ...Impossible de vous dire à quel point je vous trouve sublime...Ce que je désire là, tout de suite, c'est de prendre soin du joyau que vous êtes... »
Accompagnant sa phrase avec un air assez entreprenant, l'Elfe laissa sa langue parcourir délicatement ses lèvres, alors que ses doigts effleurèrent le centre de sa culotte qui commença à rassembler la manifestation de son désir. Une sensation particulièrement agréable pour celle qui pouvait d'ailleurs constater que la "masse" qu'elle était en train d'effleurer était petit à petit en train de prendre sensiblement du volume. Bientôt, il lui montrerait la valeur d'un Guerrier, et l'amour qu'il pouvait porter à sa Princesse. L'Elfe ajouta une petite pression avec deux de ses doigts et attendit de voir sa réaction, voir jusqu'où elle irait...
Qui d'elle ou de lui craquerait le premier ou la première ?
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Ensemble, ils étaient en train de se découvrir, de s’explorer mutuellement. Alice aimait toujours autant les elfes, qu’ils soient de sexe féminin ou masculin. Et, même si Link n’était pas un elfe à proprement parler, il en avait quand même l’apparence. Elle le sentait contre lui, et la Princesse laissa les mains assurées, fermes et tendres de l’homme soulever sa robe, tout en la caressant. Link put la sentir frémir, et même gémir, quand ses mains se posèrent sur ses fesses, malaxant son postérieur. Elle rougit légèrement, et se pinça les lèvres, tout en laissant l’homme soulever sa nuisette, après avoir continué à caresser son corps. Ses caresses sur son ventre, sur ses fesses, tout ça ne manquait pas de furieusement l’exciter. Le désir montait progressivement en elle, et elle se retrouva finalement les seins à l’air. Alice ne portait plus que sa fine culotte blanche, avec un petit nœud papillon rose, et ses gants et collants, également blancs. La Princesse observa ensuite Link, son corps collé au sien, sentant le souffle de l’elfe contre le sien.
« Ohhh... Link... » soupira-t-elle.
Elle lui sourit encore, et répondit à son baiser, posant sa main sur sa nuque, et se déplaça lentement. Elle resta avec son corps collé contre le sien, mais écarta les jambes, s’appuyant avec ses genoux sur le lit, et continua à appuyer son corps contre le sien. Elle sentait avec plaisir sa virilité, écoutait l’homme lui dire combien elle la trouvait « sublime ». La tête blonde sourit à nouveau, et caressa avec son autre main son torse, descendant lentement jusqu’à sa culotte, et n’hésita pas.
Sa main se glissa dessous, et elle serra le sexe de l’homme, le sentant pulser contre ses doigts. La jeune femme le palpa lentement, et tira dessus, relevant sa queue.
« Hmmm-hmmm... Oui, il faut prendre soin de moi, Chevalier... » minauda-t-elle.
Joueuse, elle se déplaça encore, et relâcha le sexe de l’homme, puis s’allongea alors à côté de lui, se couchant sur le ventre. Une magnifique vision. Elle s’appuyait sur ses bras croisés, et tourna la tête vers le jeune homme, lui souriant une nouvelle fois, malicieuse, lueur joueuse dans le regard.
« Occupe-toi donc encore de mon corps, Link... Je veux sentir tes doigts, ta langue, tes lèvres sur moi... Et surtout... »
Elle leva une main, et désigna du bout du doigt son fessier :
« ...Ici... » glissa-t-elle, avant de se pincer les lèvres.
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Devant de telles avances, Link ne fut évidemment pas insensible. La jolie princesse souhaitait donc que son jeune Chevalier prenne soin d'elle ? Alors que celle-ci se montrait particulièrement réactive à la moindre de ses caresses, l'Elfe pouvait sentir la taille de son membre augmenter au fur et à mesure ses doigts délicats étaient en train de s'occuper de lui. Autant dire que l'ambiance à l'intérieur de cette chambre était en train de se réchauffer, et il espérait que personne n'allait les surprendre. Car ce qu'il s'apprêtait à faire, peut être que cela allait changer à tout jamais sa relation avec Sylvandell. L'Hylien se rapprocha d'elle, croisant son regard joueur, lorsqu'elle lui partagea son envie d'être sienne. Le désir venait d'augmenter, et l'Elfe entoura son cou avec ses bras, posant sa tête contre son front, ne manqua pas de lui faire décrocher de nouveau un sourire. Peut être d'ailleurs que ce fut ce même désir qui lui fit ne plus la vouvoyer comme il le faisait jusqu'ici. Après tout, il était temps de passer aux choses plus sérieuses.
« Alors comme ça tu veux que je prenne soin de toi ? Laisse moi te dire une bonne chose...Je vais te montrer à quel point je peux t'appartenir... » lui répondit l'Hylien accompagné d'un souffle chaud qu'elle pouvait ressentir contre ses lèvres. L'Hylien posa ses lèvres contre les siennes, un baiser savoureux et passionné qui témoignait du désir naissant que les deux individus étaient en train de partager. Ses doigts effleurèrent de nouveau les courbes parfaites de son corps, tandis qu'il se mit petit à petit à lui mordre les lèvres puis son cou lorsqu'il eut terminé de l'embrasser. Appuyant avec ses doigts contre la surface de sa culotte, l'Hylien ne manqua pas de faire passer ces derniers à l'intérieur pour la doigter comme la Princesse en rêver. Se montrant particulièrement efficace avec les mouvements qu'il effectuait du bout des doigts, l'Hylien se coucha sur elle, lui faisant ressentir son sexe contre le sien. Il était en train de mettre le feu aux poudres et n'avait qu'une hâte : que tout cela devienne particulièrement explosif ! La Princesse allait sûrement en redemander, et l'Elfe serait là pour combler la moindre de ses attentes.
Lui était son repas, elle, son délice. ♥ ~
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Alice n’avait pourtant jamais été attirée, étant enfante, par les elfes. Certes, elle lisait les contes et les légendes sur leur beauté, mais le seul elfe qu’elle avait connu, étant jeune, était l’Omniprêtre, un elfe âgé et mutilé, avec des cicatrices, des rides, et un œil de verre. Elle avait donc longtemps été terrifiée par les elfes, mais avait fini par comprendre qu’ils n’étaient pas aussi laids que l’Omniprêtre. Et, d’ailleurs, Link n’était pas un elfe, mais un Hylien... Zelda le lui avait souvent répété pour qu’elle le comprenne bien ! Pour autant, elle faisait toujours le rapprochement... Et, pour l’heure, au-delà de ces considérations raciales, Alice sentait surtout son cœur s’emballer fiévreusement. Link se pencha sur elle, et l’embrassa à nouveau. Elle soupira contre ses lèvres, son corps se relâchant progressivement, et posa sa main sur ses cheveux, crispant ses doigts gantés dessus, et se tortilla lentement sur place, avant de gémir encore en sentant son sexe caresser ses cuisses.
Sur ce lit, ils allaient être à l’étroit, mais ça ne dérangeait nullement Alice, qui se serrait au corps de l’homme, et déplaça ses mains, caressant son dos, glissant sur sa peau. Et, dès que le baiser se rompit, elle lui sourit tendrement, et se pinça encore les lèvres :
« Vas-y, Link... Prends-moi, mon beau, mais... Ne me ménage pas, surtout. Montre-moi la vigueur des Hyliens ! »
Elle le motivait à sa manière, et frotta son corps contre le sien, écartant les jambes. Elle portait certes sa nuisette, mais cette dernière était courte. Il fallait toutefois lui retirer sa culotte. Alice aurait pu le faire elle-même, mais...
« J’aime sentir tes doigts sur ma culotte, Link... Mon preux chevalier, enlève-là moi, et... »
Alice approcha ses lèvres de son oreille, et lécha cette dernière, avant de murmurer les ultimes mots libérateurs :
« Baise-moi. »
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Voila que la Princesse se montrait désormais à l'Elfe comme l'incarnation même de la perversité dont la beauté avait jusqu'ici plutôt bien réussie à cacher. Lorsqu'elle se détendit sur le lit et qu'elle fit quelque peu virevolter ses cheveux, Link voyait en elle une véritable déesse de la beauté : sa Déesse. Le baiser qu'il venait d'échanger avec elle fut tout bonnement délicieux, et l'Elfe aurait menti s'il ne s'était pas senti prêt à recommencer avec elle pour recommencer un moment d'une telle douceur. Lorsqu'elle se rapprocha de nouveau vers lui, elle lui demanda, non, le supplia de ne pas se ménager, de lui montrer tout ce qu'il savait faire. Eh bien, comment pouvait-il refuser une telle demande de la part d'une si charmante demoiselle ? Elle avait le sourire aux lèvres, et continuait d’arborer ce sourire malicieux qui lui allait si bien. L'Elfe lui renvoya son sourire, profitant du fait qu'elle frottait son corps contre le sien. Sa peau si frêle lui donna des frissons supplémentaire, alors qu'il lui retira finalement sa nuisette. Lorsqu'elle lui murmura à son oreille les deux mots magiques, une nouvelle vague de frisson s'empara du petit corps de l'Elfe. Elle voulait se faire sauter, là, tout de suite, par ce Chevalier qui l'avait secouru et pourtant, qu'elle ne connaissait pas très bien encore. Si l'Hylien ignorait les conséquences que pourrait avoir leurs ébats, il était sûr d'une chose : s'envoyer en l'air avec une telle Princesse, ça n'avait pas de prix.
« ...Je pourrais répondre au moindre de tes désirs...Si tel est ton souhait...Alors dans ce cas... »
Il lui attrapa les jambes, cessant sa douceur pour paraître de plus en plus entreprenant et intéressé. Attrapant le rebord de sa culotte en dentelle, l'Hylien fit glisser cette dernière le long de ses cuisses, révélant sur celle-ci quelques preuves de son excitation. Tout en se léchant les lèvres, l'Hylien présenta son membre vigoureux à la demoiselle qu'il embrassa fougueusement : ni une, ni deux, voila qu'il fut rentré en elle aussi facilement qu'on eût pénétrer quelque chose dans du beurre. Roulant soigneusement sa langue autour de la sienne, l'Elfe lâcha un soupir chaleureux contre son cou, puis donna quelques coups de hanche pour l'entamer comme elle le lui avait demander. L'Elfe serra ses bras autour de son corps, lui faisant comprendre qu'elle était sienne et que désormais, elle allait goûter aux joies de ce vice avec lui. De nouveau, de délicieux frissons parcoururent le corps du Guerrier, tandis qu'il la prit en missionnaire, comme lui après tout, était son petite soldat. Il finit par lui attraper ses cuisses, les levant avec souplesse, pour que ses mouvements aient encore plus de souplesse. Il était prêt à lui faire l'amour, encore et encore...
...Jusqu'au bout de la nuit !
« ..HHhh....Hm....♥ ~ »
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Link allait vite comprendre que le désir sexuel d’Alice était à la hauteur de sa beauté : exceptionnel. Elle n’était pas «le « Joyau de Sylvandell » pour rien, et ça, l’homme allait le comprendre au cours de la nuit. Les Korvander étaient connus pour être de redoutables amants et d’excellents guerriers, inépuisables, et ce en raison du sang dragonique qui coulait dans leurs veines. Mais, chez Alice, il fallait aussi reconnaître qu’elle avait eu d’excellentes formatrices dans le domaine du sexe. L’élève avait depuis longtemps rattrapé ses maîtresses improvisées, et, en l’état, l’appétence naturelle d’Alice pour les elfes se retrouvait de nouveau. Elle laissa donc Link la déshabiller, et frémit quand ses doigts, élégants, mais non moins nerveux, tirèrent sur sa culotte. Le sous-vêtement enlevé révéla une intimité imberbe, finement épilée, et légèrement trempée, délicieusement humide, une ouverture prête à absorber ce qui viendrait en elle.
« L-Link, haaaa... !! »
Le sexe de l’homme se perdit en elle, dans son corps, et la fit longuement gémir. Sa tête s’enfonça contre l’oreiller, et elle laissa un long frisson la traverser, délectable et jouissif. Link la prit avec joie, s’enfonçant en elle, son corps fusionnant au sien, la chair claquant contre la chair. La Princesse ne portait plus que ses collants et ses gants, fins, élégants. Sa main se serra sur les cheveux de l’homme, et elle gémit encore, le lit craquant doucement, puis, quand elle sentit les mains de l’homme sur ses cuisses, elle releva les jambes, et les enroula autour du dos de l’homme, à hauteur de son bassin et de ses fesses.
Alice gémit encore, serrant ses doigts sur sa nuque, son corps remuant en harmonie avec le sien. L’HYlien était un très bon partenaire. Comme toujours, Alice craquait devant le charme des elfes, et elle lui sourit donc, avant de l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche, accompagnant autant que possible ses coups de reins, la sensation délectable et jouissive de ce membre niché en elle. Des vagues successives qui la transportaient, un plaisir inné qui se répandait en elle, comme si ce tronc érectile répandait en elle d’épaisses branches de joies, qui se répandaient dans tout son organisme.
« Ouiii, L-Link, haaa... Mon preux chevalier, hmmm... Bai... Baise-moi bien fort, haaaa... Hmmmmm, ouiii... !! » gémit-elle encore.
Par tous les Dragons, que c’était bon !
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Alors que la délicieuse sensation de deux corps qui échangeaient ce moment exquis se faisait de plus en plus ressentir, Link commençait à peine à montrer ce dont il était réellement capable. La princesse haletait, au fur et à mesure qu'il faisait varier la cadence de ses mouvements. Le jeune homme passa ses doigts dans ses cheveux dorés au moment où elle venait de poser ses douces lèvres contre les siennes. La sensation était si douce...Si parfaite ! Alors qu'il se croyait sur un petit nuage, la Princesse vint le résonner, en lui quémandant de continuer, de ne pas s'arrêter, et d'y aller toujours plus fort. Le torse imposant de l'Elfe se dressa au dessus d'elle telle une menace, et l'Hylien commença à se retirer pour finalement la pénétrer encore plus en profondeur, donnant des coups de bassin comme jamais il ne l'avait fait. Elle était si délicieuse, qu'il devait au moins se mettre à sa hauteur ! Tandis que son jus de bonheur commençait à perler dans son antre, l'Hylien plaça son visage entre sa poitrine et y posa sa langue avant de remonter le long de son corps, jusqu'à se placer au niveau de son cou et de lui croquer ce dernier.
« Hhhhh...Hhhhh...Princesse.... »
Des gouttes de sueur commençaient à se former au niveau de son corps, tandis que plus que jamais, Alice se dévoilait être la créature fantasmée cachée de ses rêves. Lui attrapant fermement ses fesses, Link lui fit ouvrir ses cuisses pour lui faire ressentir plus que jamais sa virilité, qui en plus d'avoir une taille conséquente, arpentait sans la moindre hésitation son ouverture. De la salive coulait de ses lèvres sous le feu de l'excitation, et l'Elfe l'embrassa à nouveau, gémissant à son rythme, au fur et à mesure que leurs deux corps se chauffaient et se réchauffaient. Nombre de frissons parcouraient leurs deux corps, à tel point que l'Hylien oubliait où il se trouvait en ce moment : rien ne comptait plus qu'elle, vu combien c'était bon et enivrant comme moment. De nouveau, l'Elfe laissa ses doigts glisser le long de ses cuisses, alors qu'il était en train de se calmer pour repartir de plus belle. Il l'observa dans les yeux pendant un moment. Et c'est alors qu'il lui avoua quelque chose, qu'il ne suspectait pas dire jusqu'ici.
« ...Tu es tellement sublime...Je crois que cela va être bien compliqué de ne pas tomber amoureux...Mmh... ♥ »
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Les deux amants se livraient une danse effrénée, un rodéo phénoménal. Ils faisaient l’amour avec énergie et envie, et Alice ne pouvait qu’apprécier les multiples coups de reins de son amant. Link s’avérait être aussi beau que passionné, et, très clairement, sentir son corps massif s’abattre contre le sien, l’écraser, la recouvrant de sa sueur et de sa chaleur, tout ça la faisait trembler. Elle se tortillait sur place, essayant d’écarter les cuisses autant que possible, mais aussi de se cramponner à lui. Ses jambes le ceinturaient donc régulièrement, à chaque fois qu’il semblait trop s’éloigner, et il pouvait se régaler du spectacle magnifique du visage de la Princesse irradiant de plaisir. Celle-ci se dandinait sur place, poussant de nouveaux soupirs, sentant le membre de Link continuer à la ravager, à s’enfoncer en elle, déformant ses cuisses, la prenant. Ils fusionnaient, leurs corps à l’unisson ne faisant plus qu’un tandis que l’Hylien, imperturbable, multipliait ses bourrades.
Gémissant longuement, Alice caressait ses cheveux, se crispait à sa nuque, et, quand il posa ses mains sur ses fesses, en appui, elle gémit encore, mouillant furieusement, tandis que l’homme la prenait.
« Li-Link, haaaaa... Haaaaa... !! »
Que pouvait-elle faire d’autre ? Que pouvait-elle rêver d’autre que cette séance de sexe crapuleuse dans l’auberge ? Là, avec Link, elle se sentait bien, heureuse, tout simplement apaisée, sentant son amant multiplier les coups de reins sur sa personne, alternant entre des moments de repos et d’autres où il la prenait sèchement. Et le lit, sous leurs ébats, craquait tendrement. L’esprit s’emballait, les corps fiévreux se frottaient, la chair claquait contre la chair... Et, finalement, Link glissa qu’il était amoureux d’elle.
Alice le regarda en souriant, et, plutôt que de répondre à ce qui, selon elle, n’était que le fruit naissant de cette passion sexuelle, elle donna un coup de reins, et renversa les rôles. Link se retrouva sous elle, et elle se redressa, se mettant à califourchon sur lui, s’empalant sur sa queue, et soupira longuement.
« Haaa, Link.. Le fruit de ton désir, hmmm... Ta queue est... Si grosse, haaaa, si massive, hnnn... !! »
Alice aimait ça, et elle continua à danser sur lui, s’empalant profondément sur son vit, le lit continuant doucement à craquer au fur et à mesure que les deux amants continuaient leur danse endiablée...
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Le grand méchant loup. Bien que Link paraisse d'apparence tout autre, il était tel un loup s'attaquant vivement à sa proie en ce moment même. Non pas que le rôle lui déplaisait, bien au contraire : quelque part, il aimait être dominateur, surtout avec les femmes. Ce sentiment de puissance, ça le transcendait tout simplement. Depuis qu'ils avaient commencé, les frissons qu'il ressentait étaient des plus uniques, des plus exquis. Parfois, il l'embrassait dans le cou, d'autre fois encore il laissait ses doigts glisser le long de son corps, les laissant se balader jusque entre ses cheveux. Il fut sans doute un peu déçu qu'elle ne réagisse pas face à sa déclaration, mais il était, il est vrai, compliqué pour eux d'avoir une réflexion et une analyse claire de ce qu'il était en train de se passer.
« Alice... »
Chuchotant chaleureusement son prénom entre deux mouvements secs, la Princesse décida qu'il était temps pour elle de prendre le contrôle. Elle se retrouva au dessus de lui, et s'empara vigoureusement, dans une position qui lui laissait une belle vue sur ses formes, et sur le plaisir qu'elle était en train de se donner. Tout cela excitait au plus haut point l'Hylien qui l'accompagna dans ses mouvements au fur et à mesure qu'elle montait de haut en en bas. L'Elfe lui attrapa ses doigts gantés pour lui donner des mouvements encore plus amples, au fur et à mesure qu'il sentait leurs fluides se mélanger. Link poussa de nouveau un râle, plus qu'un gémissement tant le plaisir fut prononcé, et il se mit à lui donner une claque contre ses cuisses. Pas trop fort bien sûr, mais juste assez pour la stimuler. Ses deux mains se placèrent de part et d'autres de celle ci, et il entama une série de chevauchement énergique, dans le seul et unique but de la faire jouir. Le corps musclé et désormais transpirant de l'Elfe était sans doute une agréable vision comme elle était au dessus : elle pourrait donc craquer dessus le moment venu. Alors que ses mouvements redoublèrent d'intensité et qu'elle pu ressentir comme un liquide chaud la traverser au rythme de puissants jets et d'un membre qui se dressait vigoureusement, l'Elfe soupira fortement tout en lui tenant son royal fessier.
« ...Hmm...J'ai envie de te faire passer la plus belle des nuits que tu n'as jamais eu...J'ai envie que tu sois ma chose...J'ai envie de voir ce que ça fait de soumettre une Princesse aussi ravissante que toi...
...J'espère que tu t'amuses bien ♥ »
-
Alice dansait sur le corps de son amant aux oreilles pointues. Elle aimait clairement ça, sentir cette belle verge qui s’enfonçait énergiquement en elle, qui se perdait dans son corps. Des soupirs s’échappaient de ses lèvres, et elle rougissait furieusement, sentant, encore et encore, les coups de reins de l’homme. Même si elle avait inversé les rôles, et qu’elle le dominait, Link essayait quand même, à sa manière, de lui donner le change, de l’accompagner dans ses mouvements. La jeune femme s’empalait généreusement sur sa verge, sentant les mains de l’elfe se déplacer, agrippant les siennes, joignant ses doigts aux siens, avant de se déplacer, et la gifla sur la cuisse. Elle soupira donc, rougissant sur place, et se dandina sur place, laissant de nouveaux soupirs s’échapper avec plaisir de ses lèvres.
« Haaaannn... Oooohhh, Link, haaaaa... »
L’homme devait probablement avoir l’impression de rêver, vu le corps qui était sur lui. Alice mouillait généreusement, les joues rougies, le plaisir continuant à monter en elle, à croître dans son corps. Elle continuait à se laisser aller, exprimant son plaisir, sans que les claques de Link ne semblent l’avoir dérangé... Mais, de toute manière, Alice était partie, dans un état secondaire, rejoignant les dernières strates du plaisir. Esquissant de nouveaux soupirs, elle se pinça les lèvres, et sentit le plaisir monter encore. Là, là... Ça y est, elle avait rejoint le point de non-retour.
Elle gémit encore longuement, sa tête filant vers l’arrière, et pinça les lèvres. Elle ferma les yeux, et l’orgasme la traversa. La mouille fusa plus généreusement, recouvrant la queue de l’homme, et les cris d’Alice moururent dans une série de couinements. La tête redressée vers l’arrière, elle griffa le torse de l’homme en jouissant, s’appuyant sur ses pectoraux, sentant une épaisse vague blanche la traverser, comme un plaisir incandescent qui explosa en elle, se diluant dans tout son corps, la transportant pendant quelques secondes... Avant de finalement la relâcher.
« Hmmmm... »
Un vertige la saisit, et Alice tomba en avant, s’écrasant sur le torse de Link. Le membre de l’homme était toujours planté en elle, recouvert de semence, et la Princesse resta silencieuse. Pendant un certain temps, tout ce qu’on put entendre d’elle fut une série de soupirs, tandis qu’elle reprenait son souffle.
« Haaaa... Hmmmm... »
Frottant son visage contre le torse de l’homme, elle se reposait dessus, et déposa plusieurs baisers dessus. Finalement, au bout de plusieurs minutes, la tête blonde, les cheveux en bataille, releva doucement son corps, une main en appui sur son torse, et lui sourit malicieusement.
« Dis-moi... Est-ce que tu ne m’aurais pas... Giflé... Pendant nos ébats ? »
-
« Hmm...Votre majesté... »
A en croire les gémissements de la Princesse, l'Elfe s'était montré particulièrement performant : Alice n'allait sans doute pas regretter son choix d'avoir été voir le bel Elfe pour le séduire. Alors que les deux étaient désormais épuisés et que Link avait particulièrement apprécié ce moment, un échange de baisers suivit : Alice remonta légèrement sur son torse, tandis que l'Elfe laissait ses doigts caresser son visage. Une merveille pareille, il n'en existait que trop peu en ce monde. Et il avait eu le privilège d'y goûter. Link ignorait où tout cela allait le mener et repensa à ce qu'il lui avait dit un peu plus tôt : il était tombé sous son charme, cela était certain, mais en était-il vraiment amoureux ? Si oui, alors cela l'amènerait sans doute vers "autre chose" encore. Lorsqu'elle s'appuya sur son torse et que lui fit glisser ses doigts le long de son dos pour la masser, elle lui posa une question qui le fit quelque peu rougir. Alors il décida de répondre, et en même temps de lui donner la satisfaction de répondre en même temps à une autre question qu'elle devait sûrement se poser : avait-il été honnête avec elle ?
« Eh bien...J'ai sûrement dû me laisser aller...Voila ce qui arrive quand on joue avec moi. Mais j'espère que tout cela vous aura plu, Princesse ! »
Qu'allait-il se passer à présent ? Allait-elle repartir dans sa chambre comme si de rien n'était ou...rester encore un peu en sa compagnie ? A condition qu'elle l'appréciait. Link ébouriffa ses cheveux en bataille, ce qui l'amusait fortement, et lui renvoya un de ses fameux sourires. Oui, il l'avait peut être gifler pendant leurs ébats, mais elle lui avait permis de lâcher prise. Et ça, il lui était tout bonnement reconnaissant. C'est avec une grande tendresse qu'il posa son front contre le sien pour l'observer avec silence pendant quelques minutes et apprécier son reflet à l'intérieur du sien. Elle était vraiment magnifique !
« Ça ne me dérangerait pas que tu restes encore ici un peu...Après tout, nous n'avons pas eu le temps de mieux nous connaître. »
Link resta sage quelques secondes supplémentaire puis décida de l'embrasser une nouvelle fois. A quoi bon rester ainsi quand vous aviez en face de vous la plus séduisante de toutes les femmes ? Il lui caressa la cuisse avec délicatesse pour s'empara de sa poitrine pour lui donner l'impression qu'il serait prêt à tout pour veiller sur elle. Qu'elle soit replonger dans leurs pêchés ou qu'elle veuille discuter, l'Elfe était prêt à se dédier à elle.
-
Habillée ou nue, prenant la pose ou après avoir fait l’amour, Alice restait ce qu’on disait d’elle : un joyau. Couchée sur le lit, les joues rougies, une lueur de désir dans les yeux, ses longs cheveux blonds légèrement défaits, des mèches rebelles venant glisser parfois devant ses yeux, il se dégageait d’elle une beauté sauvage, passionnelle, loin de cette beauté douce et timide qui se dégageait habituellement d’elle. Oui, Alice était vraiment une superbe créature, une femme visuellement magnifique. Elle pouvait comprendre que Link tombe amoureux d’elle, et elle espérait sincèrement qu’il ne se formaliserait pas d’apprendre qu’elle était fiancée... À un autre elfe ! Peut-être devrait-elle le lui dire ? Au moins, elle éviterait qu’il ne fantasme trop. À Ashnard, la fidélité était rarement entendue comme sexuelle. À quoi fallait-il s’attendre, de la part d’une nation composée en grande partie de démons ?
Elle sourit donc à l’homme, et caressa son visage, avant qu’il ne l’embrasse. Il revint brièvement sur sa fessée, et elle resta silencieuse, préférant goûter à ses lèvres. Il enchaîna ensuite, en demandant qu’elle reste ici. Amusée, Alice répondit simplement :
« Je te rassure, je ne compte pas me promener à poil dans une auberge ce soir. Je reste avec toi dans ce lit jusqu’au matin, Link. »
Elle caressait son torse, et retourna frotter son corps au sien, l’embrassant tendrement, amoureusement, collant son corps au sien, ses seins s’enfonçant contre son torse. Un baiser assez long, qui témoignait du fait qu’Alice avait bel et bien en elle le sang du Dragon. Elle ne s’épuisait pas si facilement, et, si ses ancêtres avaient trouvé une vigueur exceptionnelle dans la guerre, elle, cette vigueur s’exprimait clairement dans le sexe. Après ce baiser, la Princesse revint alors sur la gifle, moqueuse :
« Et, pour ta gifle... Elle m’a un peu dérangé quand même... »
Que voulait-elle dire par là ? L’idée de décevoir une femme pareille était sans doute horrible, tant on l’imaginait ensemencer vos rêves. Alice reprit alors, en pinçant le téton de Link, tout en se redressant légèrement, un sourire malicieux sur les lèvres :
« Je m’attendais à en recevoir plus... » confia-t-elle alors.
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Même décoiffée, Alice restait une créature belle et séduisante. L'Elfe resta là, pendant quelques secondes à l'observer dans les yeux, afin de profiter un peu plus de cette beauté qui ne cessait de le séduire. Alice le rassura et lui indiqua qu'elle resterait avec lui dans ce lit, jusqu'au petit matin. Il était vrai qu'il n'était vraiment pas une bonne idée que d'aller rejoindre sa chambre à une heure pareille surtout si elle se faisait surprendre. Il était plus sage de rester ici, avec l'Elfe, et cela n'allait surtout pas le déplaire. Esquissant un sourire, Link lui prit les mains et la regarda de nouveau en lui renvoyant un sourire. La belle se mit à l'embrasser de nouveau, fougeusement. De cette façon, il avait tendance à en oublier les soucis qu'il avait autour, ou même la mission qu'il avait accepté pour ce royaume. Oui en fait, Alice avait le don de charmer les hommes et de leur faire oublier ce qui était le plus important pour eux. Elle revint ensuite de nouveau sur la gifle, l'aguichant, et sous entendant qu'elle rêvait de mieux.
« Ah parce que...Tu en voudrais..."Plus" ? » questionna l'Elfe en levant un sourcil assez curieux, qui lui était tout à fait destiné.
Approchant ses mains contre son royal fessier, Link lui donna le privilège de goûter une nouvelle fois à ses lèvres, mais cette fois ci, un peu plus, puisqu'il en profita pour les lui mordre délicatement. Tombant de nouveau sur elle pour se placer au dessus et l'observer, l'Hylien lui chuchota dans l'oreille qu'il serait prêt absolument à tout lui donner et à satisfaire ses désirs, son appétit sexuel, peut importe combien ce dernier était important. Il fit glisser ses doigts le long de ses cuisses, afin de savoir si elle souhaitait de nouveau remettre les couverts.
« Tu sais...Si tu me donnes une deuxième chance, sans doute que je pourrais répondre à ta requête...
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Oui, Alice était très douée pour brouiller les pistes. Croyait-on voir en elle une jeune femme naïve et timide qu’on découvrait en réalité une créature passionnée, une femme pleine d’énergie, et empreinte d’une perversion insoupçonnable. Joueuse, elle s’amusait de la surprise de Link, s’en gaussant doucement. Comment l’Hylien avait pu s’attendre à ça ? Il aurait fallu qu’il croise Alice il y a encore quelques années. Là, la jeune femme n’aurait rien osé entreprendre, elle aurait rougi benoîtement devant l’elfe, et n’aurait jamais été dans sa chambre, ni n’aurait osé proposer des choses si indécentes avec lui. Elle se déplaça donc, un sourire malicieux sur les lèvres, et se retourna donc doucement, se couchant sur le flanc, lui présentant son dos, sa chevelure blonde qui basculait vers le lit... Mais aussi la délicieuse forme rebondie de ses fesses, de sa silhouette magnifique.
« À ton avis, Link ? Il faut finir ce qu’on entreprend... »
Elle le sentit ensuite se rapprocher, et poussa en avant, se couchant sur le ventre, bras croisés en appui sur sa tête, et se dandina légèrement, se pinçant les lèvres en sentant les lèvres de Link sur son derrière. Elle ferma les yeux en soupirant doucement, et gémit ensuite quand les dents de Link glissèrent contre sa peau, mordillant sa chair, lui arrachant quelques soupirs.
« Hmmm... ! »
L’homme savait s’y prendre, et était doucement en train de l’exciter, se montrant un peu plus autoritaire, un peu plus... Mâle, masculin... Viril. Alice se pinça doucement les lèvres, et commença à lentement se redresser, en prenant appui sur ses bras. Elle se mit ainsi progressivement à quatre pattes, et serra ses doigts sur le matelas, se pinçant légèrement les lèvres. Alice l’observa ensuite, et laissa passer quelques secondes, comme pour laisser le temps à Link de réfléchir, avant de finalement lui parler :
« C’est un bon début, Link... Continue comme ça, vas-y... »
Pouvant se montrer vulgaire, elle rajouta ensuite, une lueur sensuelle et malicieuse brûlant dans les prunelles de ses yeux :
« J’adore qu’on s’occupe de mon cul... »
Très clairement, c’était une autre Alice qui semblait se réveiller dans le lit du bel elfe !
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La pose dans laquelle se tenait la princesse était absolument sublime. Link l'adorait et la désirait à la fois. Elle venait de se mettre à quatre pattes, une position particulièrement aguicheuse qui lui procurait de nombreuses sensations délicieuses. Alors qu'elle lui réclamait quelque chose de particulièrement viril, Link décida de prendre les choses en main. Cette fois-ci, elle allait comprendre à qui elle avait affaire. Lentement, il se déplaça jusqu'à ses lèvres, pour lui souffler, tandis que ses mains se baladèrent jusqu'à ses fesses :
« Je vais prendre soin de toi comme il se doit... »
Link, entièrement nu comme un ver, attrapa ses hanches avec ses deux mains et les ouvrit quelque peu, pour caresser sa fleur encore toute humide, en même temps qu'il se mit à lui dévorer le cou, laissant sa langue passer plusieurs fois contre celui-ci. L'Elfe se leva un instant et alla se placer derrière elle. Cette fois ci, son but était simple, et il allait se formuler de la façon suivante. Il lui fit donc, en posant ses lèvres à son oreille :
« ...Vous ramonez, Princesse, sera un véritable plaisir... »
Usant à la fois de paroles vulgaires et d'autres plus distinguées, Link saisit son penis et l'approcha de son orifice anal. Son membre, particulièrement durcit, eut du mal à rentrer au départ, mais alors qu'il la fit gémir en faisant passer ses doigts sous elle pour lui caresser sa partie intime, lors d'un sursaut, le tout rentra finalement et il entendit la belle demoiselle pousser un cri. Link fit un mouvement de va et bien, puis recommença une deuxième, une troisième puis plusieurs fois sans s'arrêter. S'appuyant contre le matelas qui ne cessait de couiner, Link posa ensuite sa main sur son dos pour lui attraper délicatement les cheveux et les tirer en arrière vers lui. La culbutant avec énergie, voilà qu'elle allait prendre son pied avec lui. Il lui chuchota de nouveau dans l'oreille, entre deux soupirs particulièrement délicieux.
« ...Et voici ce qu'un Héros peut faire à sa Princesse... »
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C’est ce qu’on appelait mûrir, disait-on. Alice était désormais une femme pleinement accomplie, qui ne se refusait rien, aucun plaisir, même insolent et... Inavouable. Et c’était bel et bien le cas d’une sodomie. Un plaisir secret. Jadis, Alice n’aurait jamais cru pouvoir ressentir du plaisir par là, et il avait fallu qu’on le lui montre concrètement pour qu’elle le comprenne. La belle Princesse frissonnait donc sur place en position. Là, à quatre pattes, elle était tout simplement magnifique. Sa longue chevelure blonde tombait le long de son dos, et, avec ses formes anguleuses, elle ressemblait à une vraie panthère sexuelle, prête à sentir les assauts énergiques et intenses de son amant. Oh, oh, comme elle avait hâte ! Le plaisir remontait d’ores et déjà en elle, fusant dans sa poitrine, dans tout le reste de son corps. Ses mains se crispèrent sur le lit quand elle sentit la langue de Link préparer le passage, ses mains se serrer contre elle. L’homme ne pouvait refuser une telle offre, il y aurait eu là-dedans quelque chose de criminel. Alice s’en mordilla les lèvres, et poussa un léger gémissement.
« Oh... Link... »
Elle sentit ensuite ses mains se serrer sur ses fesses, puis frémit au contact d’une tige de chair qui titilla son corps. Un sursaut dans sa poitrine, un soupir retenu, puis une main qui se déplaça. Elle ne voyait rien, mais elle sentait tout, et son corps réagissait en conséquence, se préparant à une vague jouissive de bonheur. Une onde qui allait la traverser et ne la laisserait certainement pas indemne. Mais, dans une telle situation, avait-on envie de finir indemne ? Elle soupira, puis déglutit quand elle sentit la queue de Link forcer le passage. Ses yeux se fermèrent, puis la douleur remonta brusquement en elle, comme un coup de fouet vitrifiant ses organes.
Nouveau soupir, puis une nouvelle vague, et le soupir se transforma en un cri.
« Haaaa... !! »
Rapidement, un second cri vint franchir ses lèvres. Son corps se recouvrait à nouveau de rouge, tandis qu’elle bandait ses muscles, comme pour se donner du courage, sentant ses parois anales s’écarter sous la présence de ce membre, se dilatant progressivement pour en faciliter le passage. Un nouveau cri la traversa, tandis qu’elle refermait les yeux, visualisant la scène, imaginant ce bel amant en train de la bourrer, de la prendre comme une vulgaire chienne... Image aussi excitante qu’indécente, l’insolence pure ! Mais une image si bonne, si agréable, si délectable... Alice en hurla encore, serrant davantage ses doigts sur le lit, et couina ensuite.
La douleur s’implantait en elle, comme un drapeau pour marquer que son corps était sous contrôle, mais en s’accompagnant aussi d’une doucereuse et élégante vague de plaisir.
« Hmmm... Haaaaaaaaannn... Li-Link, haaaa... En-Encore, hmmm... ! Encore... !! »
Comment refuser ce plaisir ? Comment lui dire « non » ? C’était impossible !
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Bénéficier d'une telle position privilégiée pour pouvoir en admirer tout l'attirail de la Princesse, était d'un plaisir sans nom. Allongée à quatre pattes devant lui, l'Elfe la tenait fermement, tandis qu'une main venait de se poser sur l'une de ses fesses et dont il en profita d'ailleurs pour lui donner une tape dont elle se rappellerait. Le plaisir d'Alice monta d'un cran lorsque l'Elfe commença à enfoncer son membre à l'intérieur des murs de sa chair, et qu'elle poussa un long et doux soupir. Ressentait-elle la douleur ? Prenait-elle du plaisir au moins ? En abimant un tel joyau, il était certains que le héros allait se sentir bien coupable, mais là n'était pas la question : si ils étaient bel et bien en train de faire tout cela tous les deux, c'était parce qu'ils en avaient bels et bien envie. Ainsi, la Princesse se mit à hurler encore, serrant le lit, tandis que l'Elfe remua frénétiquement son bassin, tandis qu'il se tortillait sur place en pinçant ses lèvres. Le plaisir était tel qu'une vague de plaisir n'allait pas tarder à le submerger. Pour empêcher cela, il saisit la crinière d'or de la belle, l'attira vers lui en la serrant, puis lui chuchota à l'oreille des mots dont elle se rappellerait.
« Je vais te faire crier de plaisir de telle manière à ce que tu te rappelles de mon passage... »
Lui fit le jeune homme, alors que de nouveau, il enfouit son membre durcit en elle. Avec ces dernières paroles, on pouvait clairement affirmer que le jeune homme venait de perdre contrôle. Et quel plaisir de lui réserver tout cela, alors que la Princesse était en train de se tordre sur elle même, au rythme de ce qu'il lui faisait subir. C'était sans doute la plus belle beauté du Royaume, et la plus belle femme qu'il avait pu connaître. Les conséquences de cet acte seraient peut être terribles mais il s'en fichait : là, il lui faisait prendre son pieds, et elle aussi. Entre deux gémissements, il lui répéta qu'elle était d'une beauté sans nom, et accéléra ses mouvements, la bourrant comme jamais, alors qu'il venait de lui griffer son dos, pour finalement lui donner une nouvelle fessée digne des plus grands films pornographiques. Attrapant fermement son royal fessier, Link accéléra ses mouvements en sentant l'excitation monter progressivement. Il ne savait pas vraiment par quel trou il allait lui déverser son jus d'amour mais une chose était sûre : elle était en train d'adorer, tandis que son souffle à lui se réchauffait et s'accélérait aussi.
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Alice avait offert à Link l’accès à la dernière partie de son corps, la plus intime : son fondement. Elle lui ouvrait l’accès, et sentit le bel elfe se cramponner à elle, avant d’aller jusqu’à la gifler, tout en enfonçant son sexe en elle. Une vague de douleur traversa le corps de la Princesse, s’accompagnant en même temps d’une vague de plaisir intense. Fermant les yeux, Alice gémit longuement, et les rouvrit, papillonnant des yeux, couinant sur place. L’elfe la prenait, et elle sentit sa main tirer sur ses cheveux, la soulevant un peu.
« Hmmmm... !! »
Link avait pu réaliser que la jeune tête blonde n’était pas contre de la violence dans le sexe, loin s’en faut. Il la relâcha, et continua encore à la bourrer, accélérant le rythme, et la gifla encore, la faisant gémir une nouvelle fois.
« Haaaaaaaaaaannn... !! Hnnnnnnnnn... !! »
Des hurlements de plaisir s’échappaient de ses lèvres, et elle laissa donc Link agir, accélérant le rythme, meurtrissant sa chair, la pénétrant douloureusement. L’homme se déchaînait, emporté dans cette spirale qui l’amenait à être toujours plus rapide, à s’enfoncer toujours plus profondément. Alice savait qu’une sodomie était douloureuse pour les deux sexes, tant pour la femme, qui subissait, que pour l’homme, qui devait forcer le passage dans un conduit étroit. Chacun de ses coups de reins déformait un peu plus les parois anales d’Alice, mais, pour autant, ce frottement, la compression de sa verge, tout ça devait le stimuler, le rendre plus violent, au fur et à mesure que sa queue la labourait, la dominait outrageusement. C’était l’attrait préhistorique des corps, une force fondamentale contre laquelle on ne pouvait pas lutter, l’expression du désir. Un désir sauvage, débridé, libéré de toute entrave, qui déferla dans leurs corps.
Alice hurla encore, le temps passant rapidement, se diluant au fur et à mesure qu’elle sentait la trique de l’homme en elle. Sa mouille glissait le long de ses cuisses, et, encore et encore, elle sentit l’Hylien la prendre. Il amplifiait le rythme, il la giflait encore, comme pour mieux évacuer la douleur qu’il ressentait en lui. Alice, de son côté, avait aussi mal, et hurla à nouveau :
« Vas-y, hmmm... ! Encore, haaaa... !! Encule-moi, hmmm... !! Baise-moi, comme si j’étais ta sale chienne !! Haaaaaa... !! Tu-Tu aimes ça, h-hein, hmmm... Haaaaaa... »
La salive coulait parfois de ses lèvres, filant sur son menton pour tomber ensuite sur son lit, accompagnant les gouttes de sueur qui glissaient de son corps.
« Ouuuuuiii... !! BAISE-MOI !! Haaaaaaaaa... !! Je... Haaaannn... !! JE SUIS TA SALOPE, HAAAA !! »
Sous l’effet de ce plaisir explosif, c’était une toute autre femme qui se dévoilait, une véritable tigresse, une femme sauvage, passionnelle, qui aurait pu flamboyer sur place !
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« Alors...Alors...Est-ce-que tu aimes cet autre facette de moi ?! »
La question était bien stupide tant la réponse était évidente ! Link était particulièrement en train de dominer son Altesse Royale qui n'en pouvait plus de ce que le grand Elfe était en train de lui réserver. Alors qu'elle se tenait là, à quatre pattes devant lui, l'Hylien n'avait qu'un envie : continuer de la labourer encore et encore. Ses gémissements résonnaient à ses oreilles comme des mélodies douces qui venaient lui caresser tous ses sens. Elle avait certes mal mais elle aimait particulièrement ce qu'il lui faisait en ce moment même. Elle se mit à l'insulter, à lui donner des ordres ! Et bien sûr, cela était pour son plus grand plaisir puisqu'il en eut des frissons et continua de plus bel. Le lit était en train de rebondir et de craquer au rythme de leurs ébats. Link l'attrapa soudainement pour lui tenir ses cheveux et faire glisser son membre sous elle, pour une levrette qu'elle n'allait pas oublier. Elle était en sueur et lui aussi : et le supplice n'était pas prêt de s'arrêter, tant il mit une deuxième fournée en sentant le plaisir toujours plus intense grandir en lui. Son jus de bonheur perla, goutta en elle, jusqu'à finalement la recouvrir dans un orgasme qui fit trembler les murs de la chambre, autant pour lui que pour elle. Mais Link ne s'arrêta pas pour autant et reparti de plus bel, en l'embrassant fougeusement, fou de désir, et de se taper la plus belle femme de tout le Royaume. Oh oui elle avait affaire là à un tout autre chevalier, celui même qui n'allait plus lui demander son avis si elle voulait continuer de se faire défoncer ainsi. La queue de l'homme se mit à gonfler de nouveau lorsque l'Elfe croisa son regard à la fois si innocent et si malicieux. Le miroir de son âme était particulier, comme si mille et un vices se cachaient à l'intérieur du corps de la jeune femme. L'Hylien se mit à la doigter, puis recommença de plus bel ses mouvements de va et viens, en lui confiant entre plusieurs gémissements :
« C'est vraiment la nuit la plus dingue que je passe...Je n'ai jamais eu autant de plaisir avec quelqu'un...Est-ce-que vous en voulez encore Princesse ? »
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Du sexe intensif, comme Alice l’aimait ! Le jeune et délicat Link, cet Hylien qui semblait si embarrassé et si nerveux à l’idée d’être en compagnie de la Princesse de Sylvandell, ne semblait plus être qu’un lointain souvenir. Lui, cet elfe si sûr de lui, appartenant à cette race qu’on disait si sage, laissait parler ses pulsions, son agressivité, pour un résultat détonant et tout simplement explosif. Le résultat était incroyable, plein d’entrain, d’énergie, de force et de puissance. Alice ne pouvait qu’être comblée tandis que Link, imperturbable, bourrait son fondement sans ménagement.
« Hmmm… Li… Link, haaaa… Link !! » répétait l’héroïque Princesse.
L’Hylien lui empoigna les cheveux. Il devenait violent, brutal, et claqua encore le cul de la Princesse, qui ne demandait bien évidemment que ça. Oh oui, comme c’était bon ! Intense, jouissif à souhait ! Link y allait sans relâche, multipliant les coups de reins, plantant son mât au fond d’elle, la dominant tel un explorateur conquérant qui poserait son fanion sur une île sauvage domptée. Dire qu’il y a à peine quelques heures, ces deux-là ne se connaissaient nullement, et baisaient maintenant comme des hyènes… Parfois, oui, c’était à se demander ce qui animait Alice, si, à tout hasard, dans la longue lignée des Korvander, du sang de succube ne se serait pas glissé en elle.
Link finit par jouir copieusement, au bout de longues minutes de ce traitement intensif. Alice ne hurlait même plus, elle subissait en poussant de longs soupirs, des couinements suraigus, jusqu’à se relâcher à son tour. Un nouvel orgasme qui la traversa, particulièrement bon, car la belle tête blonde était friande des orgasmes anaux. Elle humidifia ses cuisses et le lit, et s’écroula ensuite sur ce dernier, le corps en sueur, les cheveux en bataille… Et sentit alors Link la retourner.
« L-Link, haaaa… »
Le sexe de l’Hylien avait légèrement dégrossi, mais sans que l’envie de ce dernier ne semble diminuer pour autant. Alice se retrouva donc sur le dos, couchée au milieu du lit, et lui sourit doucement. Une frange sauvage barrait une partie de son visage, recouvrant partiellement l’un de ses yeux, puis l’homme retourna l’enfourner, son membre s’enfonçant en elle, dans une intimité ruisselante. Alice releva ses mains, empoignant la nuque de l’homme, griffant sa peau, et soupira encore.
« Ohhhh, Link, tu… Haaaa… Tu es in-Incroyable… ! »
Cette vitalité était-elle liée à la nature des Hyliens ? Propre à Link ? Alice n’en savait rien, mais il était évident qu’elle appréciait pleinement cette ardeur, cette énergie que l’homme témoignait dans leur puissante relation.
« Hmmm… Il… Haaaa… Il aurait fallu me demander ça a… A-Avant d’y retourner, haaaannn… »
Elle était flattée qu’il soit à ce point emballé par elle, par cette nuit, même si elle pouvait le comprendre. Elle déplaça en tout cas son autre main, et la posa sur le postérieur de l’homme, serrant ses doigts dessus, pinçant son cul en souriant malicieusement.
« Encore, Link, haaaa… Le-Le feu du Dragon bouillonne en moi, haaaa, tu sais… Hmmm… Je… Haaaaannn… !! »
Un ultime soupir l’empêcha d’achever la phrase que, tant bien que mal, Alice essayait de formuler.
Mais qu’importe ? Le seul élément à retenir, c’est qu’elle était entièrement comblée par tout ce qu’elle subissait !
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Le plus étonnant pour Link, ce n'était sans doute pas de se retrouver dans une chambre d'auberge bien loin de chez lui. Ce n'était pas non plus de se retrouver face à quelqu'un qui avait du sang royal ou même encore de dragon. C'était de pouvoir recommencer encore et encore ses galipettes, sans ressentir la satiété qui lui permettrait de s'arrêter. Glissant ses doigts dans les cheveux de la Princesse, Link l'écouta plusieurs fois lui parler, gémir, et s'humidifier, alors qu'elle était totalement sous son contrôle. Une bien bonne nouvelle, lui qui manquait au départ de confiance avec les filles et qui ne savait même pas comment s'y prendre ! Elle aimait ses intentions, et lui, aimait son corps, et pouvoir la contrôler ainsi. Les deux enflammés étaient toujours dans cette position intime, l'une couchée devant, tandis que lui, la culbutait par derrière, lui faisant ressentir sa verge autant que cela se pouvait. L'Elfe pris une nouvelle bouffée d'air, ayant du mal à se contrôler, il s'arrêta quelques instants pour l'observer dans ses yeux turquoises qui lui rappelait les plages de la Grande Baie.
« ...Un jour, lors de mes voyages...J'ai rencontré un voyageur qui était perdu. Il cherchait son chemin. Je lui ai dis que c'était en regardant les étoiles souvent, que l'on finissait par être guidé, par trouver ce que l'on cherche. J'ai l'impression d'être guidé moi aussi lorsque je vous regarde, Princesse... »
Lorsqu'il le souhaitait, l'Hylien pouvait réellement tenir des propos profonds, et qui montrait la profondeur des sentiments qu'il pouvait ressentir lorsqu'il vivait des moments aussi forts et sincères avec quelqu'un. Resserrant son emprise autour d'elle, il fit pianoter ses doigts le long de son dos, en le griffant ensuite tout le long jusqu'à revenir vers ses fesses et de les empoigner. Link s'approcha de ses oreilles et lui chuchota, tout en s'amusant à se retirer en elle lentement.
« Pensez-vous sincèrement que j'ai besoin de votre permission...Hmmm... »
Link lui attrapa les poignets, tout en lui mordant le cou tel l'aurait fait un vampire à sa bien aimé, il la retourna pour qu'elle soit sur le dos, et lui grimpa dessus, plus dominateur que jamais, lui maintenant les poignets fermement, tandis que ses jambes musclées tenaient captives ses jambes. Son penis, gonflé par l'excitation et l'envie de lui procurer un plaisir incommensurable gagna en taille, même s'il venait de juter quelques secondes plus tôt. Il traversa son orifice, tel un bélier l'aurait fait pour défoncer les Portes de l'Interdit. Alors que la chaleur de la pièce se faisait de plus en plus étouffante, Link y trouva là un certain intérêt. Il se mit à gémir lui aussi, se calant au rythme de sa respiration qui devenait de plus en plus sacadée. Une énergie nouvelle l'entourait, et on aurait pu croire à une illusion lorsque quelque chose en forme de Loup entoura l'Hylien, avant finalement de disparaître quelques secondes plus tard. Lorsqu'il senti que la friandise n'allait pas tarder à arriver, l'Elfe se stoppa net, retira le tout, attrapa ses cheveux, la fit se redresser, et empoigna son membre entre ses lèvres pour que le tout descende au plus profond de sa gorge. Link y ressenti un plaisir plaisir et une profonde satisfaction de l'avoir fait danser jusqu'au bout de la nuit, alors que dehors, les oiseaux recommençaient désormais à chanter.
« HHhhmmm...Princesse.... »
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Quelle énergie, quelle vigueur ! Alice avait souvent le talent inné de renforcer la libido de ses partenaires, mais elle se demandait si ce n’était pas lié à leurs natures profondes. Link descendait des elfes, et Alice avait du sang de dragon dans les veines. Or, traditionnellement, les elfes et les dragons formaient des espèces antagonistes et complémentaires. Les elfes avaient pendant longtemps traqué et tué les dragons, tandis que d’autres elfes avaient compris qu’ils pouvaient les dresser, les dompter, et les utiliser au combat. Alors, peut-être que, inconsciemment, au-delà de l’attraction naturelle des corps, il y avait cette relation profonde... Ou alors, c’est que Link était un amant exceptionnel. Après tout, Zelda lui avait dit que Link était un grand héros national, doté d’une énergie exceptionnelle.
L’Hylien continuait à la prendre dans le dos, et, devenant plus autoritaire, la retourna brusquement. Leurs corps étaient en sueur, et Alice gémit, sentant ses mains retenir ses poignets. Il s’abattit sur elle, et la pénétra énergiquement, fourrant sa queue dans sa chatte, lui arrachant des soupirs supplémentaires.
« Hmmm... Hmmmm... !! Li... Link, haaaaa... !! »
Alice ferma les yeux, et l’homme l’embrassa encore. Sa queue devenait lourde, bien tendue, grosse et énergique, la labourant violemment. Une énergie incroyable, faisant craquer le lit, et claquer leurs chairs. Alice gémit une nouvelle fois, et mouillait frénétiquement. Elle s’attendait à ce que Link ne jouisse, surtout qu’elle sentit une espèce de curieuse aura magique l’entourer. Un halo doré qui brilla autour de lui, et fit scintiller la croix dorée qu’elle portait à son cou. La Princesse était toutefois dans un état secondaire, bien trop ancrée dans le plaisir pour pouvoir comprendre ce qu’elle voyait.
Link se retira alors brusquement, et tira sur le corps d’Alice, qui se retrouva à genoux devant lui, ouvrit la bouche, et goba sa verge.
« HMMMMMMM... !! »
Yeux clos, les joues rougies, elle sentit la queue de Link se relâcher en elle. Plusieurs giclées de sperme, et elle serra ses mains sur ses cuisses, laissant l’homme jouir copieusement en elle, remplissant sa gorge. Il se relâcha énergiquement, goulûment, et Alice resta ensuite sur place pendant plusieurs secondes, avalant le sperme de l’homme, déglutissant sur place. Elle écarta ensuite sa bouche de sa queue, et sourit doucement, voyant, ici et là, des traces de sperme dessus.
Se pinçant doucement les lèvres, la tête blonde lécha alors ce sperme, venant le nettoyer. Dehors, les premières lueurs de l’aurore annonçaient le soleil naissant.
« Hmmm... Tu réalises que tu m’as baisé toute la nuit, Link ? »
Elle parlait tout en embrassant et en léchant son sexe, sa délicieuse bouche glissant avec amour sur sa queue trempée. Ses joues s’y frottaient parfois aussi, et elle se redressa ensuite, venant s’asseoir contre lui, une jambe à gauche et une autre à droite, enroulant ses bras autour de sa nuque, pour lui offrir un nouveau baiser, très tendre, très agréable.
« Qu’est-ce qui te plaît le plus sur mon corps, dis-moi, mon chéri ? »
Alice lui sourit encore tendrement, et l’embrassa une seconde fois :
« Je suis sûre que c’est mon cul... »
-
Progressivement, le jour commençait à se lever et les premiers rayons du soleil vinrent caresser les joues de l'Elfe qui était essouflé, trempé, au moins pareillement que la Princesse dont il venait d'épouser les formes et le corps. Ce fut un moment particulièrement exquis, et Link le reconnaissait, sans aucun doute son meilleur coup. Elle l'observa s'asseoir, toujours avec cette sensualité qui lui allait si bien, puis il profita de ce nouveau baiser qu'elle vint lui donner, de nombreux frissons parcourant l'échine de l'Elfe qui vint jouer avec ses doigts. Il ignorait si elle avait encore envie d'aller au Paradis ou si il fallait qu'elle entre, car après tout, elle devait avoir bien des choses ennuyantes à régler, comme la politique de son propre pays. Mais lorsqu'elle vint contre lui pour l'embrasser, et lui dire que son royal fessier lui plaisait, Link ne pu s'empêcher de poser sa main contre son dernier, et de lui donner une fessée telle qu'elle le méritait sûrement. Il lui répondit alors :
« ...Je crois que vous avez un don certain pour apprivoiser les hommes, Princesse. »
De nouveau, Link alla se perdre dans la profondeur de ses yeux puis fit tomber son regard au niveau de sa poitrine. Elle était si ronde, si parfaite. Il n'aimait pas bien les poitrines qui retombaient trop mais la sienne était tout simplement parfaite. Suite à cela, l'Hylien eut envie de poser à son tour une question à celle qui était en train de faire chavirer son coeur, et ce, pour plusieurs raisons. Il posa une nouvelle main sur ses cuisses et commença à faire remonter délicatement ses doigts.
« Et vous Princesse...Dites moi...Qu'est ce qui vous plait le plus chez moi ? Serait-ce ce que j'ai réussi à vous démontrer... »
Lentement mais sûrement, ses doigts commencèrent à courir le long de ses jambes jusqu'à remonter jusqu'à son ventre, et l'Elfe se mit sur ses genoux, comme pour en savoir plus sur elle, comme un enfant qui irait prononcer des secrets à sa mère. Link lui faisait face, et lui fit un sourire de plus en plus coquin, au fur et à mesure que le soleil, lui, se levait.
« ...Ou ce que vous pourriez imaginer de ce que je pourrais faire de plus, pour vous...♥. »
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Il était difficile à croire qu’ils avaient effectivement fait l’amour toute la nuit... Et qu’Alice n’en était pas plus fatiguée que ça. Oh, elle dormirait sûrement quand l’excitation retomberait, mais, après tout, elle avait en elle un sang particulier, celui du Dragon d’Or. Un sang qui boostait son énergie, son endurance, et qui faisait qu’elle ne se fatiguait pas aussi vite qu’un être humain normal. Elle retrouvait rapidement son énergie, sa vitalité, comme si son organisme se nettoyait de lui-même au bout de quelques instants. Elle l’observait donc, voyant le regard de Link coulisser sur ses formes. Il avait encore palpé ses fesses, et contempla sans gêne sa belle poitrine. Deux beaux seins nus, bien ronds, qui se dressaient devant lui. Avec les premières lueurs de l’aube, les premiers rayons du soleil qui illuminaient la peau de la Princesse, magnifiaient encore plus son corps. Un rayon perlait ainsi sur ses seins, éclairant l’un de ses tétons, et l’autre sur ses cuisses, à hauteur de son intimité.
Les cheveux légèrement en bataille, elle vit Link se redresser, et comprit rapidement, à ses attouchements et à ses baisers, que l’elfe fougueux n’en avait pas encore fini avec elle. La main de la Princesse remonta, et caressa doucement sa joue, son pouce glissant tendrement contre ses lèvres.
« Hum... Cela va te surprendre, Link, mais, petite, j’ai toujours eu peur des elfes. Je... Je vous trouvais laids et effrayants... »
Elle se tut pendant quelques secondes, avant de poursuivre :
« L’Omniprêtre de Sylvandell était le seul elfe que je connaisse, et il est très différent de toi. Quand j’ai vu que les elfes étaient au contraire très beaux, je me suis mis à les apprécier fortement. Mais toi, Link, tu es, non seulement très beau, mais aussi particulièrement endurant. Je ne sais pas si cela vient du fait que tu es originaire d’Hyrule, ou parce que tu es l’un des hôtes de la Triforce, mais... Je dois admettre que tu m’as fait passer une sacrée nuit, Link ! »
Sincère, Alice se pencha alors ver lui, et posa sa main sur son épaule, avant de l’embrasser tendrement.
« Quant à tes prestations... Je crois que tu pourrais faire un excellent chevalier avec ta grosse épée, mais, vu que nous sommes tous les deux nus, je pense qu’il doit s’agir d’une autre épée... »
Malicieuse, sa main glissa le long du corps de Link, mais ce fut surtout son genou qui remonta, et vint caresser son sexe, appuyant doucement dessus, comme pour mieux le sentir contre elle. Alice se pinça doucement les lèvres, puis l’embrassa encore sur les lèvres. Elle mordilla alors sa lèvre inférieure, tirant délicatement dessus, puis se frotta encore contre lui.
Quand on jouait avec le feu, avec une Korvander, on finissait vite par s’en brûler les doigts.
« Plante-là encore en moi, Link... » demanda-t-elle d’une voix douce.
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Alors comme cela, la Princesse avait l'air d'en redemander ? Eh bien elle allait être servie ? Link était un Elfe, par conséquent son endurance pouvait revenir rapidement, surtout après un effort physique aussi intense. L'Hylien la regarda droit dans les yeux un petit instant, non pas sans cacher un petit sourire, alors que son membre recommençait à durcir peu à peu. Elle venait de lui confier discrètement dans l'oreille, qu'elle le trouvait vraiment beau, alors qu'avant les Elfes la repoussait, en raison de ses origines liés aux Draconiens. Elle fit remonter son genou contre lui, et se frotta comme l'aurait fait une chienne en chaleur. Link s'approcha de son oreille, tout en posant une main contre son torse encore chaud pour lui susurer quelque chose.
« Eh bien si tu en redemandes...Je peux répondre au moindre de tes désirs...Crois moi, tu me rends complètement dingue toi aussi... »
L'Hylien devait bien l'avouer : même s'il essayait de se montrer dominant au possible, elle le renversait totalement. Il se redressa alors, passa ses doigts le long de ses deux cuisses, et commença à la masser. Tout en ne la quittant pas du regard, il lui jeta un regard complice qu'il lui avait déjà donné un peu plus tôt, et c'est alors qu'il plongea deux de ses doigts en elle pour la masturber. La elle se redressa d'un bond, mais Link fit pression avec son autre main contre son ventre pour la garder contre le lit, avant finalement de grimper sur elle et de rentrer en elle, tout comme il aurait pu ranger son épée à l'intérieur de son précieux fourreau. Il se recoiffa rapidement les cheveux en passant une main à l'intérieur - il était tout de même coquet, rappelons-le - et ne manqua pas de la complimenter sur son apparence.
« Sachez, Princesse, que vous attisez en moi un feu certain. J'ai envie de vous faire l'amour encore et encore, jusqu'à en fracasser le ciel. J'aimerais que vous vous souveniez de moi, comme Link, votre Chevalier, qui vous aura fait passer la plus belle et intense des nuits.. »
Après ces paroles sensuelles, l'Elfe lui croqua les lèvres comme on aurait pu croquer dans du chocolat, attrapa ses cuisses, les leva en l'air, et la fourra au départ peu profondément avant finalement d'accélérer la cadence. Il était fou d'elle et comptait bien lui faire comprendre, même si cela revenait à la rendre complètement hystérique.
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Alice n’aurait jamais cru que cet homme puisse être un amant si doué... Mais était-ce si surprenant ? Les elfes avaient la réputation, derrière leur calme apparent, d’être des individus très passionnés. Leur beauté devait bien servir à quelque chose, et, même si Link n’était pas vraiment un elfe, mais davantage un Hylien, il semblait clairement avoir une endurance surnaturelle. Mais, après tout, vu les louanges que la Princesse Zelda vouait à Link, il se devait bien d’être à la hauteur de sa réputation. Alors que l’aube se levait, Link caressa intimement la Princesse, puis la cloua de nouveau au lit, avant d’aller la pénétrer. La jeune femme gémit encore, et ferma les yeux pendant quelques secondes, savourant cette sensation, le membre de l’Hylien en elle. Sa main se serra sur ses cheveux, les empoignant fermement, et elle alla l’embrasser en retour, répondant à ses lèvres, collant son corps en sueur contre le sien. Les mouvements de Link étaient plus lents, sa peau était en sueur, et leurs corps, concrètement, se frottaient ensemble.
« Mmmhm... »
La Princesse cligna des yeux à plusieurs reprises, reprenant ses esprits, avant de sentir encore l’homme s’enfoncer en elle. Link accélérait progressivement le rythme, lui parlant encore, lui expliquant combien il l’aimait, et elle sourit. Le feu du Dragon bouillonnait dans les veines de la Princesse, et elle l’embrassa à nouveau, caressant sa nuque, et posa son autre main au milieu du dos de Link, griffant sa peau à travers ses doigts gantés, descendant encore pour masser ses fesses. Elle gémissait de plaisir, son corps remuant contre le sien, contre ce bel amant qui, inlassablement, continuait à la pénétrer.
Link se déplaça alors, retrouvant son énergie, et souleva les cuisses d’Alice. Ses jambes se retrouvèrent en l’air, et elle posa ses mains sur le lit, serrant les draps, avant de sentir sa queue revenir en elle. Ses gémissements se murent en hurlements, et elle se dandina sur place, sentant la virilité de l’homme la pilonner, ses mains s’appuyant sur ses cuisses. Fort heureusement, Alice était une femme relativement souple, ce qui permit à l’homme de la prendre dans cette position.
« Li-LINK, haaaa... LINK !! »
En soi, Alice aurait bien voulu lui répondre, lui décréter également quelques mots gentils, mais... Elle n’était vraiment pas en état de le faire. L’homme était trop talentueux, il la besognait furieusement, accélérant le rythme, retrouvant son énergie. Han, quel homme, quel homme ! Elle se demandait si ce dernier était inépuisable ou non, et recommençait à mouiller, à sentir la machine du désir se relancer, le carburant remplir à nouveau ses veines. Encore, la tornade du plaisir s’abattit sur elle, et la jeune Princesse savoura pleinement cette exquise sensation qui venait l’enivrer, hurlant de plaisir.
« Ouuuui, hmmmm... !! LIINNK !!! Haaaa... BAI-BAISE-MOI ENCORE, HMMM... !! »
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Le guerrier d'Hyrule commençait à transpirer sérieusement. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il était en forme malgré ces plusieurs heures à lui faire l'amour, et il en redemandait encore, tout comme si la flamme du dragon venait aussi de naître en lui. Avec ses pulsions sexuelles certaines, il comptait bien lui faire connaître le plus grand des plaisirs. Ses mouvements accélèrent de nouveau, empêchant la Princesse de prononcer la moindre parole. Ses doigts gantés se crispaient sur les draps et ses tétons pointaient pour exprimer sa satisfaction. Alors qu'elle venait de jouir une nouvelle fois, l'Elfe lui attrapa les cuisses et ne lui laissa pas le temps de prononcer la moindre parole : il avait faim, très faim. Et c'est ainsi qu'il plaça son visage contre son entrée secrète et qu'il se mit à se satisfaire du jus qui coulait en elle en grande quantité. Sa langue commença à frotter délicatement la zone sensible de la Princesse, puis l'Elfe y appliqua une petite pression avant finalement de faire tournoyer le tout comme un véritable ouragan qui allait se décharner sur sa peau. L'Hylien resserra son emprise sur ses jambes puis remonta sa langue le long de son ventre jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser, avant de retourner dans sa caverne de plaisir et de la doigter en même temps : d'abord un doigt, puis deux, attendant d'elle qu'elle réagisse aux différentes techniques qu'il utilisait pour lui faire procurer du plaisir.
« Vous êtes à moi Princesse, et j'ai envie de vous honorer, encore et encore...Je vais vous donner ce que vous souhaitez avoir, croyez moi... »
Link l'attrapa pour la mettre sur ses jambes, à califourchon, puis la pénétra à nouveau, aussi fort que son sexe était dressé. Il la pénétra fortement une première fois, puis recommença de nouveau tout en libérant des orgasmes qui rivalisaient presque avec la douce mélodie qu'elle était en train de lui chanter. Il n'y aurait pas cru si on lui avait dit qu'un jour il connaitrait un tel plaisir. L'Elfe voulait encore et encore lui en donner, autant de son breuvage qu'il pouvait lui en fournir. Alors, tout en la tenant entre ses bras, il se mit à accélérer...à accélérer encore et encore, comme un chauffard sur la route...De telle manière à ce que son corps entier vibre, et qu'elle n'ait connue jamais un tel plaisir. Link laissa éclater son bonheur pour continua pour que ça soit à son tour, qu'elle ait des spasmes.
« HHHHHHHHHHHHMMMMMMMMMM !!!! PRINCESSE ♥ !!! OUI !!!! OOOOH OUIIIII ! ENCORE !!! JE VEUX VOUS EN DONNER ENCORE !!! »
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Il semblait bien que Link n’était pas le digne porteur de la Triforce pour rien. La Princesse Zelda avait expliqué à Alice que Link portait la Triforce du Courage, là où elle-même portait celle de la Sagesse. Alice pouvait ainsi le sentir remuer encore en elle, remplaçant son sexe par sa langue. La jeune femme se mit à gémir, sentant la langue de Link jouer en elle. Il goûtait à son jus, à un mélange de foutre et de cyprine, tout en continuant à la faire soupirer. Dehors, l’aube commençait à pointer le bout de son nez, mais les deux amants effrénés continuaient encore à s’envoyer en l’air, sans qu’aucun des deux ne semble vouloir en terminer. À ce stade, Alice ne pouvait qu’admettre qu’elle avait un gros attrait envers les elfes. Après tout, Melendil, son futur mari, était aussi un elfe, et, même si Zelda lui avait dit à plusieurs reprises qu’elle était une Hyrulienne, et non une elfe... Le fait est que la ressemblance était suffisamment troublante pour qu’elle confonde.
« Oh, Link, hmm... »
Le jeune homme cessa de la lécher. Il avait titillé son bouton de plaisir à plusieurs reprises, lui arrachant de longs soupirs, parfois même de légers cris, et embrassa ensuite son ventre, remontant dessus, jusqu’à l’embrasser. Alice répondit à son baiser, posant sa main sur sa nuque, et écarta les jambes, laissant ce dernier remplacer sa langue par ses doigts. Chacun des baisers de Link était délicieux, un régal, surtout vu son état d’excitation. C’était comme si les sensations ressenties par Alice étaient décuplées, et l’homme continua son office, l’embrassant longuement.
Alice avait tout oublié cette nuit, pour le seul autel du sexe, au seul nom du plaisir physique, purement bestial. L’elfe était énergique, insatiable, et elle sentait encore, contre ses cuisses, une belle bosse, la pointe de son sexe en érection. Il attrapa ensuite Alice, et recommença à la pénétrer.
« Li-LINK, haaaann... !! »
Elle se tenait sur lui, et dansait sur son corps, à califourchon sur son corps, et continua à gémir, à hurler, même, tandis que Link la faisait rebondir sur ses jambes. La Princesse aurait pu ressentir un coup de fatigue, mais l’adrénaline se mit à nouveau à battre en elle. Ses joues rouges, son corps en sueur, ses cheveux en bataille... Une véritable furie qui se dandinait sur une belle queue.
« O-Oui, haaa... Bai-Baise-moi, Link, hmmm... Baise-moi encore ! »
Alice continuait à gémir, à haleter, et se déplaça à son tour. Link se mit à la prendre encore, et les deux se retrouvèrent debout. Link la prit contre le mur, et Alice enroula ses jambes autour de sa taille, s’appuyant sur son corps. L’homme la prenait fortement, tant et si bien qu’un tableau accroché au mur tomba au sol. La Princesse griffait le dos de Link en s’appuyant à lui, gémissant encore, et jouit une nouvelle fois dans ces conditions, prise contre le mur. Sa mouille fusait le long de ses cuisses, et elle embrassa encore Link, collant son corps contre le sien, soupirant longuement.
« Oh, Link... » soupira-t-elle encore.
Il était doué, et c’était si bon, si bon... Alice aurait voulu que cette séance avec lui ne se termine jamais !
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Le faire si fort contre le mur était très pratique, surtout lorsque vous souhaitiez réveiller vos voisins. Mais Link n'y voyait là pas de problème. Au contraire, il prenait à ce moment même un malin plaisir à lui faire savourer le plus savoureux et pervers des vices : les joies du sexe. Lui même s'étonnait de ses compétences. Combien de fois avait-il jouit déjà ? Et elle, combien de fois cela lui était arrivé ? Il ne les comptait plus, tellement le plaisir était bon. L'Elfe accéléra les rythmes, tapant son corps contre le sien contre le mur, comme si il souhaitait ne faire qu'un avec, comme si il souhaitait fusionner avec la belle blonde. Celle-ci avait une poitrine tellement bien dessinée et généreuse...L'Elfe lui lécha les tétons avant de les mordiller, puis plaça ses ongles contre ses bas, avant de recommencer à la pénétrer encore une fois. Il pouvait ressentir combien celle-ci était humide, et ça n'en était qu'un plaisir supplémentaire. Link poussa un nouveau soupir, puis tomba avec elle dans le lit, complètement en sueur et épuisé, glissant ses doigts dans ses cheveux. Combien d'heures déjà s'étaient écoulées ? Elle lui avait fait totalement perdre la notion du temps. Et pour leur plus grand plaisir : ils avaient pris leur pied !
« Je n'ai jamais connu un tel régal...Alice, tu es vraiment magique...J'espère que lorsque tu vas quitté cette chambre, rien ne t'arrivera. Je ferais en sorte de veiller sur toi, de t'accompagner s'il le faut. Oh non plutôt, je le veux. Je veux rester à tes côtés. Ma mission n'a plus d'importance. Si nous restons ensemble, nous pourrons continuer à nous amuser ainsi sur tes propres terres. Nous pourrons nous amuser tous les deux, à l'abris des regards. Alors...Qu'en dis tu...Aimerais tu qu'on puisse se retrouver et continuer à le faire ? » lui demanda-t-il avec l'un de ses plus beaux sourires. Link avait eu la malchance de tomber amoureux dès l'instant qu'il avait compris qu'il lui plaisait. Le sang draconique qui coulait en ses veines lui donnait une personnalité exceptionnelle, et l'Elfe était bien désireux d'en savoir plus sur elle. Il plaça sa langue entre ses jambes, et commença à lécher délicatement, comme pour la nettoyer, et lui faire prendre encore un malin plaisir. Il était devenu un vrai démon du sexe ! Sa langue s'engouffra quelque peu, puis il se remit à la faire gémir, avant de s'arrêter, de relever la tête.
Elle était vraiment magnifique.
Et il venait de commencer. À l'aimer.
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Link était un amant redoutable, énergique, redoutable ! Il la pénétrait violemment contre le mur, comme une sorte d’ultime coup d’éclat dans leur nuit interminable. Tôt ou tard, la jeune Princesse allait devoir rattraper cette nuit perdue. Fort heureusement, Alice était une femme plus endurante que ce que son frêle corps pouvait montrer. Elle soupirait donc longuement, et Link s’attaqua à ses seins, mordillant ses tétons, frottant ses lèvres contre elle. Elle mouillait encore, et gémit longuement, ses mains se serrant sur ses cheveux.
« Li-Link, hmmm... LINK !! »
Dans un ultime hurlement, Alice s’abandonna encore. Un nouvel orgasme qui la traversa, la submergea, et elle s’écroula ensuite sur le lit, Link contre elle. La respiration lourde, la Princesse cligna des yeux à plusieurs reprises, et Link en profita alors... Pour lui faire une véritable déclaration. Alice le regarda silencieusement, hésitant sur la marche à suivre. Ses lèvres s’entrouvrirent pour lui répondre, mais, au même moment, Link, restant lové contre elle, approcha son visage de son sexe, et entreprit de le lui lécher, sa langue glissant sur son aine, ou sur son sexe.
Elle soupira doucement en fermant les yeux, se redressant sur ses avant-bras, puis caressa ses cheveux avec sa main.
« Et bien... J’en serais ravie, Link, oui... Je dois bien admettre que tu es un amant exceptionnel, hmmm... Et un guerrier redoutable, à ce qu’on m’a dit. Je serais folle de vouloir t’éloigner de moi, mais... »
La jeune femme était honnête, et elle sentait bien, chez Link, qu’il y avait autre chose, dans sa déclaration, que l’expression d’une profonde fidélité chevaleresque. Se pinçant nerveusement les lèvres, Alice rougit en hésitant un peu. Elle ne pouvait toutefois pas lui mentir et prendre le risque qu’il découvre la vérité ensuite.
« ...Je suis fiancée à un autre homme, Link. »
Alice soupira encore, avant de reprendre :
« Les mœurs sylvandines sont à l’image de celles d’Ashnard, beaucoup plus libres et moins restrictives qu’à Nexus... Mais il est important que tu saches que, si tu deviens mon amant, tu ne seras pas le seul. »
Dit comme ça, Alice ressemblait à une femme très gourmande, très loin de la princesse pure et chaste qu’on pouvait imaginer... Et qu’elle avait jadis été. Cependant, après avoir rencontré des personnes comme Tinuviel Lastrim (encore une elfe !), ou Mélinda Warren, Alice avait quelque peu évolué... Pour devenir une femme plus libre, bien moins décomplexée sur les questions sexuelles. Sa main caressait encore ses cheveux.
« Mais sache que j’adorerai que tu continues à régulièrement me baiser... Et peut-être même avec Melendil... » glissa-t-elle sur un ton plus bas, plus court, comme pour exprimer un fantasme qui la traversait régulièrement.
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Comme si quelqu'un souhaitait mettre fin à ses rêves, l'Hylien ne s'était pas attendu à une telle réponse de la part de la Princesse. Ainsi, elle était fiancée à quelqu'un d'autre, ce qu'elle avait d'ailleurs essayé de lui dire un peu plus tôt. Mais cette fois-ci, l'Elfe avait plusieurs noms, et comprit que la culture de laquelle était issue, ne reposait pas complètement sur la même monogamie que lui connaissait. C'était à la fois...intriguant et perturbant. L'Hylien souhaitait en savoir plus. Il l'enlaça dans ses bras, après avoir savouré ses longs soupirs et le point culminant qu'elle avait pu avoir. Le sommeil commençait à le gagner, et pourtant, il avait vraiment aimé cette expérience.
« Hmm je vois...Donc ça n'est pas vraiment un non, c'est même une proposition que tu me fais là ? J'ignore qui est cette personne, Melendil, dont tu me parles, mais je suis curieux de nouvelles expériences moi aussi...alors si tu m'amènes avec toi la rencontrer, peut être que nous pourrions nous lancer dans des projets qui semblent encore plus fou, qui sait... »
Voyager et découvrir de nouveaux lieux, c'était quelque chose que Link appréciait tout particulièrement. Mais cela était encore plus le cas lorsque cela concernait des nouvelles personnes, et des visages qui pourraient avoir un lien avec de nouvelles expériences. La peau d'Alice était douce, et il se mit à la caresser avant de la regarder en lui donnant un regard doux. Devenir son amant...mmh...oui c'était possible. Ils auraient un lien libre, tout en aimant. Cela pouvait s'avérer amusant.
« Oh tu sais, je respecte tes traditions, puisque après tout...Plus on est de fous, et plus on rit !..Et j'aimerais voyager en ta compagnie, ne serais-ce que pour connaitre Ashnard ou pouvoir aider en cas de problème.
Qu'en dis-tu ? J'aimerais vraiment faire en sorte que tu puisses compter sur moi... » fit-il avec un regard aussi doux que la soie, tout en posant sa tête contre la sienne. On aurait dit deux amants qui avaient passés une folle nuit.
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Alice avait tout à fait conscience de l’étrangeté de la chose, et elle se sentait un peu gênée de le proposer ainsi à Link. Aussi adorable et aussi talentueux pouvait-elle le trouver, son cœur était déjà pris, et elle se devait donc de le sortir des schémas réducteurs traditionnels qu’il pouvait avoir sur le couple. L’avantage d’avoir comme meilleure amie une vampire esclavagiste qui gérait un bordel, Mélinda Warren, c’était qu’Alice avait appris à avoir une visée mâture sur le sexe, et sur l’amour. Elle avait offert à Link un choix, et celui-ci, tout en réfléchissant, finit par se blottir contre elle, et par accepter cette situation. Et puis, surtout... Alice devait bien admettre que l’idée d’avoir Melendil et Link en même temps dans son lit, à la baiser sauvagement... Tout ça avait de quoi doucement l’exciter, et elle frotta son visage contre le sien, avant d’aller l’embrasser.
« Que serait une Princesse sans un preux Chevalier pour veiller sur elle, hein ? » demanda-t-elle après ce baiser.
Elle lui sourit encore, et l’embrassa une seconde fois, sa main caressant son torse, et elle fit durer le baiser pendant quelques secondes, soupirant longuement. La tentation était belle de lui faire l’amour encore une fois, mais il fallait aussi se montrer raisonnable... D’autant qu’ils avaient fait l’amour toute la nuit. Toutefois, plus Alice l’embrassait, et plus cette idée la lançait. Elle se positionna donc encore, et se redressa lentement, jusqu’à s’asseoir sur le corps de l’homme. Il était assis sur le rebord du lit, elle sur ses cuisses, et elle attrapa avec sa main le sexe de l’homme. Il était trempé, très humide, et elle le caressa doucement, avant de le relever un peu, pour le glisser entre ses lèvres intimes.
La femme gémit à nouveau, et enroula ses bras autour du cou de l’Hyrulien, avant d’aller l’embrasser. Ses lèvres se plaquèrent aux siennes, et elle se mit doucement à remuer dessus, de haut en bas, puis continua à danser sur lui. Alice y allait lentement, délicatement, savourant son corps. En soi, elle ne cherchait plus à combler une quelconque soif sexuelle, un éventuel manquement, mais... Juste à se faire plaisir. La Princesse continuait donc à danser sur son corps, tout en soupirant doucement.
« Oh, Link, mon beau et preux chevalier, hmmm... Haaaa... »
Qui sait ? Peut-être qu’elle pourrait l’emmener revoir la contrée d’Hyrule, maintenant que celle-ci avait émergé près d’Ashnard ? En tout cas, Alice ne voulait clairement pas se séparer de ce bel homme ! Elle continuait encore à danser sur lui, comme une manière de finir leur longue et folle soirée. Ensemble, ils copulaient en leur honneur, pour le sexe et pour leur passion mutuelle.
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Link ne s'était pas attendu à une réponse aussi positive de la part de la princesse. Elle semblait vraiment satisfaite de le savoir à ses côtés et qu'il souhaite poursuivre ses projets avec elle. L'Elfe savait qu'il allait devoir se montrer généreux. Montrer qu'il était capable de partager, de ne pas se tomber dans le cliché trop facile de la proie. Alice n'était pas à lui et en le serait peut être même jamais. Mais avec du recul, il pouvait facilement l'imaginer pouvoir la prendre tous les soirs, et lui donner le plaisir qu'elle souhaitait. Lorsqu'elle vint lui caresser son torse et grimper sur lui, pour satisfaire de nouvelles pulsions, l'Elfe lui renvoya un sourire. Elle ne pouvait pas s'empêcher de continuer à s'empaler sur lui, ce qui lui plaisait beaucoup. Les elfes étaient connues pour leur très grande endurance, et aussi, cela le ravissait-il de voir quelqu'un avec un aussi grand appétit. Au moins, ce n'était pas lui qui risquait de passer pour un pervers ! L'Elfe entremêla ses doigts dans ceux de la princesse qui était en train de bondir contre son corps et de pousser des petits gémissements. L'Elfe imaginait déjà un moyen de la torturer, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Il se demandait même si cela était possible de la faire venir jusqu'à un tel point !
« Mmmh...Dis moi Alice...Je suis curieux...Mais si j'ai compris, tu as eu déjà des expériences avec plusieurs personnes à la fois...Est-ce-que c'était bien ? Préfères tu les hommes ou les femmes ? Qu'aimerais-tu que l'on fasse ensemble ?... »
Décrochant un petit sourire, la verge de Link se durcit instantanément rien qu'à y penser. Il avait lui aussi envie de participer à ce genre d'orgie, choses qui se pratiquaient aussi en Hyrule mais dont on parlait peu. Et là, enfin, il avait une occasion d'assouvrir ses fantasmes et ses pêchés. Le garçon mignon et timide semblait avoir complètement disparu au profit de l'appétit de la Princesse. Il lui griffa les cuisses qu'il ouvrit, et commença à renforcer les mouvements de va-et-viens, tapant fort à l'intérieur de son vagin son membre. Le plaisir était en train de revenir, et l'Hylien laissa échapper plusieurs gémissements.
« ...Je t'avoue que penser à tout cela m'excite...On a eu beau le faire toute la nuit, plonger mon regard dans le tiens ne cesse de m'allumer...Je me demande ce que je pourrais faire de mieux si c'était avec ta copine ou ton amant...Si tu étais à nous...Tu aimerais peut être être attachée ? Ou alors tu es de nature dominatrice, et dans ce cas là, je suis tout à toi...
Alice...Dans tous les cas... je te veux... » fit-il tout en accélérant ses impulsions qui lui donnèrent de nouvelles décharges à l'intérieur de son vagin. Une discussion venait certes d'être lancée mais le plaisir lui, ne s'était toujours pas estompé !
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Le vice était quelque chose de contagieux. C’était comme une sorte de maladie rose, une douce pulsion qui s’emparait de vous, qui vous prenait petit à petit, sans pouvoir vous retenir. Pour Link, c’était comme s’il était face à une porte qui venait de s’ouvrir sur un champ infini de possibilités. Elle sourit donc quand, revenant sur l’idée d’une séance de sexe à plusieurs, il lui demanda si elle préférait les femmes ou les hommes. Alice se pinça les lèvres en gémissant, mettant un peu de temps avant de lui répondre. Fort heureusement, sous l’effet de la fatigue, leurs mouvements étaient plutôt lents, et, si elle prenait du temps, c’était avant tout pour trouver quoi lui répondre, puisqu’il lui avait quand même posé un certain nombre de questions :
« Je... Je suis totalement bisexuelle, Link... Hmmm... Aussi bien les hommes que les femmes, haaaa... Et oui, hmmm... Haaaa... C’était b-bien... »
Le lit continuait à doucement craquer sous leurs mouvements. Cette chambre était dans un piètre état, tout comme le lit. Autant dire qu’il allait falloir aérer lors de leur départ, car il y avait une forte odeur de renfermé, un mélange de sueur et de sexe, une odeur assez repoussante, mais dont ni Alice, ni Link, ne prenaient conscience. Ses mains se serraient sur ses épaules, et elle continuait à se laisser bercer par sa verge, qui enflait en elle, grossissant au fur et à mesure que l’esprit du jeune Hylien s’enflammait en imaginant sans aucun doute la tête blonde dans une multitude de positions et de fantasmes.
Quant à ce qu’ils feraient ensemble... Alice sourit à nouveau, et se pencha contre lui, venant l’embrasser tendrement, plaquant sa bouche contre la sienne. Un long baiser, assez fiévreux, son corps se collant contre les pectoraux de Link, sa bouche jouant amoureusement avec ses lèvres.
« Il y a plein de choses qu’on pourrait faire ensemble, Link... Tu vas vite comprendre que... Hmmm... Je suis une femme... Haaaa... T-Très gourmande ! »
Ça, Link n’en avait pour l’heure qu’un infime aperçu, une petite idée ! Alice gémit encore, ses onctueux soupirs emplissant l’air. Elle se frottait encore contre l’homme, soupirant et gémissant contre ses oreilles, frottant ensuite son nez dans le creux de son cou, se blottissant contre lui. Il évoqua alors le sadomasochisme, ou, plutôt, le bondage... Et elle répondit en gloussant légèrement, et en mordillant sa peau, puis poussa en avant, renversant Link sur le lit.
Il était temps de lui faire une nouvelle révélation, quelque chose qui allait sûrement continuer à le faire bander et à le faire rêver. Autant laisser un peu de mystère sur les goûts d’Alice en la matière, car elle avait une autre cartouche à utiliser, ce qu’elle fit, toujours avec un sourire malicieux sur le coin des lèvres :
« Ma meilleure amie, hmmm... Est une vampire esclavagiste qui dirige... Un harem de lu-luxe à la capitale... Elle m’a appris beaucoup de choses, Link, des choses que je serais ravie de partager avec toi... »
Elle lui mordilla alors les lèvres, tout doucement, pendant quelques secondes, avant de conclure, sur une petite voix douce et chantonnante, ses cheveux formant un rideau blond tombant autour du visage de Link :
« ...Si tu es prêt à t’enfoncer avec moi dans les voies insondables et délicieuses du vice et de la luxure, mon délicieux chéri... »
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C'était absolument parfait ! Alice venait de répondre positivement à sa question : comme elle l'avait dit, il s'agissait d'une femme gourmande qui ne cesserait d'en redemander. Son chevalier servant qu'il était donc devenu était donc prêt à la satisfaire de n'importe quelle manière, du moment que cela lui plairait et qu'elle en serait heureuse. Ses mouvements se faisaient plus amples et en même temps plus doux. La tête tournée en direction du plafond, Link fermait les yeux, respirait fort, et prenait beaucoup de plaisir dans cette douce tentative pour eux de se faire plaisir. Lorsqu'elle lui avoua que sa meilleure amie tenait un harem à la capitale, cela enflamma les yeux de l'Elfe. En se déplaçant dans ce genre de lieu, il allait sans dire qu'ils pourraient réaliser bon nombre de fantasmes. Car comme le disait le diction : plus l'on est de fous et plus l'on rit ! Cela n'avait jamais été aussi vrai, et l'Elfe avait déjà hâte de pouvoir goûter à ces réjouissances en compagnie de la belle Alice. Glissant ses doigts dans ses beaux cheveux lisses, l'Hylien continuait de remuer son bassin, afin de lui faire partager la sensation exquise d'un tel plaisir, et de la rendre plus que jamais soumise. Elle venait de nouveau de se blottir contre lui, l'Hylien goûtant à ses lèvres de nouveau, épousant ses formes, caressant ses cuisses et pelottant généreusement sa poitrine. Son sexe grandit une nouvelle fois en elle, et elle pouvait ressentir une intense envie de continuer à faire l'amour. Mais il était peut être temps de changer de lieu, qui sait ?
« ...Hhaaaa...Hmmm...Bien sûr, Princesse, que je suis prêt à vous suivre. J'aimerais découvrir ce genre de lieux avec vous, et que l'on ait une expérience là-bas...Faites-moi rêver, et montrez moi combien vous pouvez être sauvages... »
Link l'embrassa avec goût et passion puis leva enfin pour se rhabiller et lui tendre la main.
« Allons rendre une visite à votre copine...Moi qui voulait en profiter pour visiter les environs, j'aime aussi beaucoup ce genre d'attraction touristique, si vous voyez ce que je veux dire...J'ai envie de continuer à m'occuper de toi là bas...♥ » Link s'approcha d'elle qui s'était aussi relevée, la plaqua contre un mur pour lui tenir ses bras, et l'embrasser avec passion. Après quoi, il lui attrapa les cuisses, la souleva, et recommença à lui faire l'amour, tandis que son pantalon n'était pas encore remontée. Une fois cette petite gâterie supplémentaire terminée, ils se rendraient vers une destination qui promettait d'être bien amusante !
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FIN
~Suite ici (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=21627.0)...~