Je ne me fatiguais pas, d'ailleurs, je n'ai jamais connu l'épuisement. Je n'étais pas humain non plus, donc je pouvais continuer durant toute la nuit à la perforer. Mais, cela ne faisait pas partie de mes plans. Mon esclave en voulait davantage alors qu'elle venait de jouir deux fois de suite. Était-ce une nymphomane ? Moi, personnellement, j'étais comme neuf, prêt à la faire jouir une troisième fois mais, je n'étais pas assez dingue pour y passer toute la nuit. Elle était bonne, sans doute. Son petit corps, sa chatte serrée, son joli cul bien rond, ses petits seins qui pointaient. Elle était sacrément bonne. Mais, il fallait que je parte. J'allais lui faire jouir une nouvelle fois, la dernière, qui serait sans doute la meilleure.
-Aaah ouais...Tu es toute mouillée. Faisons cette dernière virée, une virée anale. Ta mouille va gicler à nouveau pendant que je vais maltraiter ton cul. Dis moi, dis moi que tu n'es qu'une esclave, chienne, en chaleur...ça va m'exciter afin de mieux te défoncer. Vas-y !!!
Le dernier mot s'accompagna d'une claque sur son cul. L'autre main la tenait par les cheveux, la tirant vers l'arrière, j'enlevai ma queue toujours aussi dure et dressée, baignée de cyprine, je l'enfonçais entre ses fesses. Ce fut avec une telle vitesse que je sentais ma verge se perdre en elle. Son trou de cul s'était considérablement élargi afin de mieux recevoir mon énorme bâton de chair. Je laissais son corps s'étaler sur le sol, en la relâchant, puis la seconde suivante, ma queue s'enfonçait à nouveau dans son trou. Mon corps se retrouva collé au sien. Je prenais un malin plaisir à pousser à chaque fois plus loin, plus fort et plus rapidement.
-T'aimes ça hein ? T'aimes te faire défoncer...
Je la soulevais du sol en empoignant ses seins, et ainsi ses pieds étaient posés sur les miens, son dos contre mon buste. Je pinçai ses tétons puis la soulevant par la taille, je l'aidais à mieux s'empaler sur ma queue à chaque fois. Oh putain...son cul qui tremblotait sous mes coups de reins. C'était la meilleure sensation. Mes mains glissèrent jusqu'au niveau de son bassin et je la soulevais tout en enfouissant deux doigts dans sa chatte chaude et mouillée. Je maltraitais son cul de mes fulgurantes pénétrations, ses seins balotaient alors que ses tétons pointaient, durs et gonflés ! Je pressai un doigt contre son clitoris tout en caressant les lèvres de mes autres doigts.
-Couine ! Ne te retiens pas...jouis !
Elle pouvait sentir ma semence se vider en elle, son cul était rempli de foutre. Une bonne quantité s'échappa de son orifice et coula sur ses jambes.