Je continuai à la violer dans la ruelle sombre, lui élargissant son orrifice du bas des reins sans retenue, écartant bien ses fesses avec mes mains, n'hésitant pas à les frapper avec force, leur donnant une teinte rouge et irrités. Finalement la jeune victime commençai à se piloner elle même le long du manche qui la pénétrait. Ses gémissements devinrent de moins en moins controler et se firent entendre quand je massai sa poitrine avidement, tirant sur ses tétons aussi fort que possible. Je prenais un pied fou à ce moment là, me trouvant sur le point de jouir. Mais cette fois elle ne l'avalerai pas, je repassa dans son vagin, et lacha ma semence à l'intérieur, lui faisant un honneur ultime au passage, car si elle avait de la chance, un bébé divin pousserai dans son ventre de mortelle.
Après m'être retiré je remonta mon pantalon et nous commencions à rentrer dans notre demeure, après ces journées d'humiliation incessante et cette baise qui venait d'avoir lieu elle allait avoir le droit de découvrir une autre de mes demeures, plus particulière que la précédente. En attendant je l'autorisai à me prendre le bras et nous marchâmes dans la rue, la laissant sans aucune pudeur à la vue générale. Certains étaient choqués, d'autres à leur regard transpirait l'excitation et l'envie. Je voyais bien à la démanche de Pauline qu'elle semblait honteuse, surtout que du sperme coulait le long de ses jambes, laissant des traces au sol.
Une fois rentrés je la conduisit dans sa chambre et m'endormit à coté d'elle, lui ordonnant si elle en ressentais l'envie durant la nuit de s'occuper de mon sexe pendant mon sommeil. Je laissais mes yeux se fermer, laissant la jeune femme fantasmer sur cette soirée.