Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Maeilera le dimanche 23 novembre 2025, 16:47:28 »
Allez go, je suis sure que c'est Soyeux haha
Plus sérieusement, un rp ?
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 23 novembre 2025, 13:57:15 »
Le corps humain est une machine incroyable. Même une personne que l'on déteste véhément peut vous faire ressentir des choses incroyables lorsqu'elle s'y prend de la bonne manière. Avant chaque giclée, lors d'une fraction de seconde, je peux presque sentir ma bite gonfler en pompant le sperme qui se déverse ensuite dans la bouche de cette folle furieuse qui en redemande toujours plus. Ma main a beau se presser sur son crâne pour la forcer à avaler quitte à s'en étouffer. Et elle, elle avale. Encore et encore alors que ça déborde de tous les côtés.


- Urrrrgh ! Mffffff !


Je me surprend à grogner comme un sanglier en rut à chaque fois que je pousse mes hanches vers son visage que je tire vers moi. Tout est fait pour ne pas la lâcher avant de me vider dans sa gorge et que le goût de mon sperme lui reste en mémoire pour des jours entier. Tout comme nos rencontres qui m'ont laissé des souvenirs amers. Un autre soupir m'échappe, les lèvres pressées l'une contre l'autre, alors que je la regarde libérer ma queue luisante et souillée de sa bouche déformée.
D'ordinaire un homme perd en solidité et en vigueur après une éjaculation. Sauf qu'elle fait tout pour l'empêcher. Ce regard obscène qui pue le sexe est dirigé vers moi pour me montrer à quel point elle aime ça. Allant jusqu'à s'amuser avec d'épais filets formés par un cocktail de salive et de sperme. C'est tellement crade... J'adore ça.

Après un tel spectacle elle n'a pas besoin de jouer avec moi en me déshabillant sur place. Ma trique ne risque pas de disparaître ou de diminuer. Peut-être même que ma bite est encore plus dure qu'avant car le petit courant d'air qui règne sur ma peau humide le fait tressauter d'envie.


- Généreuse ? Moi je dirais en chaleur. Cette fois je vais te baiser si fort que tu pourrais plus marcher pour sortir d'ici.


Avec ma main libre je saisis sa cuisse droite pour la lever et la plaquer contre moi. Pourquoi attendre ? Baiser habiller est même encore plus excitant que de se mettre à poil. Mais mon objectif principal est ailleurs. Quitte à dévoiler nos envies, je ne vois aucune raison de cacher ce que j'ai en tête.


- Ce soir je vais me vider dans tous tes trous. Les remplir jusqu'à ce que ça déborde.  Et quand ce sera fait, je finirais en venant repeindre ta jolie petite gueule d'ange avec mon sperme.


La jambe de la blonde levée et bloquée, ma main arrache sa culotte de force sans lui demander son avis. Avec un peu de difficulté étant donné ma position et mon bras bloqué, je parviens à placer mon gland encore sale à l'entrée de sa vulve. Pas d'attente, pas de frottage sur ses lèvres pour la préparer. Ma grosse queue la poignarde aussi sèchement qu'elle l'a fait avec sa gorge plus tôt.
A peine dedans, je glisse de nouveau ma main sur sa cuisse qui me sert à garder l'équilibre dans cette position plutôt inconfortable. C'est une fournaise là-dedans. Heureusement pour cette nympho qu'elle mouillait déjà pour me permettre d'entrer sans difficulté car sinon elle l'aurait senti passer.


- Quel genre de nana mouille autant en pompant une bite ? Putain !


Mon bassin remue de façon à faire se soulever son petit corps fragile. Je veux qu'elle ressente toute ma puissance dans chacun des coups de rein que je vais lui mettre. Que les coups répétés de mon gland au fond de son trou résonnent jusque dans son cerveau.
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le dimanche 23 novembre 2025, 12:39:15 »
Un sourire étire ses lippes quand Randal revient vers elle et paye le barman. Elle confirme qu’elle s’est bien amusée, sans en dévoiler plus. Elle ne parle pas non plus en anglais, pour garder la surprise. Quand il glisse son pouce entre ses lèvres, sa langue vient directement à sa rencontre, le flattant comme elle le ferait de son gland. Son regard sombre brille dans l’atmosphère tamisée du bar et il peut sans doute y lire la concupiscence qui ne quitte jamais vraiment ses prunelles quand il est dans les parages.

« Ce n’est pas que je ne les aime pas, ces minettes, sourit-elle en glissant de son tabouret. C’est que je n’ai aucun attrait pour la gent féminine. Et leurs mains sur mon corps ne me plaisaient pas du tout, faisant au contraire retomber tout désir qui était monté, explique la sorcière d’un ton distrait alors que son regard ne quitte pas la silhouette du colosse. »

Glissant son bras sous le sien, la brune l’accompagne tandis qu’il traverse la rue pour retrouver le trio de jeunes femmes qui semblent enthousiastes à l’idée de la suite du programme. L’immortelle lui offre un sourire entendu alors qu’il promet qu’elle aura de quoi compenser sa patience quand il en aura fini avec les demoiselles. Elle le laisse rejoindre le trio qui est déjà en train de commencer les festivités, accompagné d’une tape sur ses fesses musclées et d’un rictus on ne peut plus pervers.

Pendant qu’il se joint aux jeunes femmes, la pratiquante vaudou trouve un petit fauteuil pour s’installer. Elle s’y alanguit, une jambe posée sur un accoudoir, et porte le regard sur le quatuor qui se créé sous ses yeux. Si elle préfère d’ordinaire participer activement dans ce genre d’activités tant qu’il n’y a que des hommes, une part d’elle se satisfait tout à fait d’être simple spectatrice. Et la manière dont elle s’est installée sur le fauteuil indique bien qu’elle ne compte pas passer le temps à juste regarder. La localisation du fauteuil est choisie avec soin également, s’assurant non seulement une bonne vue sur le spectacle, mais offrant au protagoniste principale un accès direct pour observer Céleste entretenir le désir qui brûle dans ses veines.

Installée confortablement, elle ne fait que regarder dans un premier temps. Elle observe alors que la queue épaisse du malfrat disparaît sous les lèvres avides des trois jeunes femmes. Leurs rouge à lèvres de teintes différentes s’y mélange sur la peau douce du chibre qu’elles dévorent. Les trois couleurs de cheveux qui se massent devant l’entrejambe de Randal rendent le tableau encore plus exotique. Et même si l’épaisseur du vît turgescent de son amant peut impressionner, elle remarque que toutes les trois fournissent de gros efforts pour en avaler une bonne partie.

« L’alignement de la trachée est important, conseille alors la sorcière, en anglais, tandis que ses prunelles dévorent la silhouette du colosse avec un amusement non dissimulé, attendant de voir sa réaction en l’entendant parler le dialecte de ces lieux. »
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le dimanche 23 novembre 2025, 11:42:43 »
Diligemment, Calamity avalait et flattait la trique de Tank qu'elle s'était appropriée sans demander. Elle savait qu'il aimait qu'elle s'en occupe comme elle le faisait, même s'il appréciait moins la partie où elle le laissait prêt à être cueilli par les flics. Mais elle attendait encore qu'il réveille son côté dominateur pour profiter pleinement de l'expérience.

Elle n'eut pas à attendre longtemps, cela dit. Il sorti finalement de son hébétude pour prendre les rênes. Et le regard brillant qu'elle dirigeait à son encontre semblait le remercier alors même qu'il venait cogner durement contre sa gorge, prenant un rythme plus brutal que ce qu'elle avait initié.

La main contre son crâne se faisait ferme et autoritaire. A genoux devant lui, les cuisses écartées et sa fleur suintant du plaisir qu'il déclenchait chez elle, Présage laissait entendre à quel point elle aimait ça, à quel point elle voulait sa queue effectivement, à grands renforts de gémissements qui s'étouffaient contre la masse de chair qui venait déformer sa gorge, ses joues.

Elle sentait la salive s'amasser au coin de ses lèvres, mousser devant la puissance et férocité des coups de reins dont Tank la gratifiait. Elle sentait ces fluides couler contre son menton, goutter contre son décolleté. Respirant par le nez, par à-coups, l’héroïne ne pouvait que subir alors que ses mains s'agrippaient aux hanches masculines pour se maintenir ou continuaient à flatter les bourses pleines qu'elle espérait bien vider cette fois-ci. Mais elle subissait avec délice cet assaut sauvage entre ses lèvres, contre sa gorge.

 Ses grands yeux de saphir, mouillés de larmes mais si expressifs, s'efforçaient de ne pas le lâcher du regard. De communiquer à quel point il la comblait en ravageant sa gorge accueillante. Et à quel point elle brûlait de le sentir se déverser en elle.

Ce qui ne tarda pas à arriver, d'ailleurs. Le nez bloqué contre son aine, Calamity eut la joie de sentir des jets de foutre chaud couler dans sa gorge alors qu'elle peinait à déglutir autour de la queue plantée en elle. Il était généreux avec la dose et la blonde sentait le sperme qui venait jusqu’à couler à la commissure de ses lèvres, joignant les épais filets de salive qui s'y trouvaient encore.

Quand, enfin, le flot se tarit, quand la blonde sentit le criminel relâcher la pression de sa main contre son crâne, elle releva la tête. Libérant enfin le chibre épais après en avoir aspiré la moindre parcelle à mesure qu'elle redressait la tête, la jeune femme haletait mais paraissait très heureuse d'avoir reçu toute cette attention. Avec un sourire en coin, la belle récolta même la salive mêlée au sperme qui avait coulé et suça ses doigts avec un air des plus salaces.

Indécente, avec ses lèvres rougies, ses yeux larmoyants et ses cheveux emmêlés par la main de Tank, Calamity n'en avait pourtant pas fini avec lui. La dernière fois, ils avaient été interrompus alors que les flics se montraient plus efficaces que prévu. Cette fois, dans ces tunnels oubliés, il n'y avait pas ce risque. Et elle comptait bien en tirer avantage pour se retrouver remplie par le criminel de tous les côtés et de toutes les façons imaginables.

« Tu en avais bien besoin, mmh ? Ronronna-t-elle après s’être nettoyée de façon tout aussi obscène qu'elle avait été souillée. Ne t’inquiètes pas, c'est loin d’être fini. Les flics ne risquent pas de débarquer alors que l'apéritif est à peine commencé. »

Et, avec un petit sourire prédateur, elle vint se coller à lui, ses mains parcourant le corps mâle tout en défaisant habilement les attaches qu'elles pouvaient trouver pour dévoiler le colosse dans toute sa splendeur, tel Adam au premier jour. Ses lèvres venaient le taquiner tandis qu'elle faisait glisser le fourreau de l'immense épée pour le poser délicatement par terre.

« Comme c'est de ma faute si tu t'es retrouvé ainsi plein la dernière fois, je vais me vais me faire pardonner. Je te laisse choisir l’ordre et la manière dont tu vas me remplir. Ça te conviens, mon cher Tank ? »

Quand elle eut fini de le mettre à nu comme elle le pouvait, la blonde lui offrit un sourire radieux. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour venir lui mordiller le lobe de l'oreille.

« Je te laisse même le choix de si tu me veux en tenue d'Ève ou bien si tu préfères me souiller avec ma tenue. Ne suis-je pas généreuse, mmh ? »
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 23 novembre 2025, 10:00:08 »
La façon avec laquelle Céleste regardait Randal avant de se faufiler dans un endroit plus discret en compagnie de ses victime était assez équivoque. Cela avait même assez amusé le mâle bien entouré de laisser entrer un doigt dans le petit cul de la blonde qui a bondit de surprise sous les ricanements de ses deux amies. Et la rouquine n'était pas en reste. Son sein bondissait hors de saut haut quand l'homme qui jouait avec sa poitrine décida de ne plus avoir envie de sentir le tissu frotter contre l'arrière de sa main pendant qu'il tentait de s'amuser avec ses tétons.


- J'y crois pas ! Elle est super grosse alors qu'il bande pas encore.
- J't'avais prévenue.
- Mais... Merde, quoi ! C'est un truc de fou.
- Ah ouais ? Il est si bien monté que ça ?
- Je te jure. Mes doigts arrivent pas à en faire le tour.
- Naaaannn, tu me fais marcher.
- T'as qu'à vérifier si tu me crois pas.
- Avec plaisir. Mnnnnnn !



Les mains de la femme aux cheveux bleus dansent avec la même sensualité et audace pour faire le chemin inverse en direction du pantalon qui commence à être encore fréquenté qu'un hôtel de passe. Ça entre et sort de là-dedans comme dans un moulin. S'il n'avait pas les mains déjà bien occupées, la brute épaisse aurait aidé ses camarades de jeu sans la moindre hésitation.


- La vache, t'avais raison.
- Pourquoi j'aurais menti là-dessus ?
- J'sais pas moi.
- Pourtant vous avez vu la vidéo.



Toutes ces remarques flattent avec brio l'égo de l'imposant mafieux qui finit par intervenir quand les 3 jeunes femmes décident enfin de se taire pour couiner quand il appuie de manière plus vite avec ses doigts sur leurs corps. Les sons peuvent
bien être masqués par la musique que les réactions de leur corps parlent d'eux-même.


- J'ai comme l'impression que vous avez envie de faire une nouvelle sextape.
- Grave ! On a fait qu'imaginer la chose car jamais on se serait imaginées tomber sur toi ce soir.
- Et vous avez imaginé quoi ?
- Un duel entre filles pour savoir qui pouvait en avaler le plus.
- C'est un jeu entre nous. On adore se lancer des défis. Du genre qui va faire jouir son mec le plus souvent.
- Qui sera la plus rapide à se taper 3 mecs de suite.
- Et pour être à égalité, il arrive qu'on fasse ça au gloryhole d'un sexshop.



Cet échange a pour effet d'éveiller l'excitation de Randal. En même temps il était en train de se faire caresser par 3 femmes en même temps. Aucun mec avec un corps fonctionnel serait resté de marbre dans une situation identique. Chaque main le titille à un endroit différent, à un rythme différent et avec une envie ou une pression différente. Ce mélange de sensations en plein milieu de la foule le fait frissonner d'envie. Toute cette chaleur et cette faim de sexe dégagée par ces femmes envahit très vite la piste de danse tel une pandémie hautement contagieuse.


- Avec moi il sera pas question d'aller au Gloryhole.
- Pourquoi ? Tu as peur que ta copine ne sache pas où te retrouver ?
- Je veux voir vos bouches se déformer de mes propres yeux.
- Mnnnnn ! Arrête, tu vas me faire mouiller.
- On attend quoi pour y aller ?
- Que sa copine revienne.
- Pourquoi ? Elle a pas l'air de nous apprécier.
- Sans doute. Mais je suis certaine que ça va l'exciter à fond si il a un public.
- Il y a des jours où je me demande où tu vas chercher tout ça.
- Disons juste que je garde une oreille attentive quand je sors.



A tour de rôle les trois copines embrassent leur séduisant partenaire en continuant de se frotter contre lui pour le tenir au chaud. Elles lui racontent comment se sont passées leurs dernières rencontres directement dans ses oreilles pour ne pas que tout le monde sache à quel point elles sont délurées alors que leur gestuelle est plus qu'équivoque. Ce petit jeu dure le temps nécessaire jusqu'à ce que Céleste revienne de sa petite interlude.



- Ah, je la vois. Elle est revenue.
- Vite, va la voir. On t'attendra juste en face, BG.



Aussitôt demandé, les mains très actives quittent son pantalon qui n'avait jamais vu autant d'activité sous son tissu à ce jour. Elles lui font un petit coucou de la main en quittant les lieux pour rejoindre le prochain visiblement. Tandis que Randal se dirige au bar pour rejoindre Céleste et payer la première note de la soirée. Une fois assez proche de la belle sorcière il lui sourit.


- Alors, tu t'es bien amusée ?


Le ton de sa voix est chaleureux, un poil taquin même, alors qu'il tend une carte de crédit au barman pour lui faire comprendre qu'il est temps de payer la note. Après le bip de confirmation de l'encaissement, il range la carte dans son portefeuille et pose la main sur le visage de la sorcière qu'il caresse tendrement tout en glissant son pouce épais entre ses lèvres sucrées à cause du cocktail. D'un mouvement bien maîtrisé il le fait entrer et sortir délicatement pour mimer une fellation. Une chose qu'elle connait et pratiquement avec perfection, comme elle l'a démontré à maintes reprises désormais.


- Les filles m'attendent et elles insistent pour que tu sois là. Je pense que c'est une très bonne idée même si tu n'aimes pas leur présence. Fais-moi confiance, tu seras la première à en profiter le moment venu.


Comme convenu, le couple quitte les lieux et traverse la rue pour se trouver face à un immeuble qui se trouve sur la rue d'en face. Cela ressemble à un studio de danse. C'est ici que travaille la rousse incendiaire et elle a un double des clés dont elle se sert quand elle n'a pas envie d'attendre de rentrer chez elle avec un plan cul.
Le petit groupe est conduit à l'arrière étant donné que la devanture est en verre. Cette fois c'est la blonde qui s'amuse à expliquer qu'elles ne sont pas contre le fait d'être vues. Par contre cela pourrait faire renvoyer leur copine.


- C'est bon, on sera tranquilles ici ?
- Ouais !



Les filles commencent à se rouler des pelles baveuses sous le regard de Randal et de Céleste. Avant de les rejoindre, l'homme s'approche de sa partenaire habituelle pour lui expliquer que dès qu'il aura terminé avec elles, ce sera son tour en lui promettant une petite surprise au passage. Cela devrait l'aider à ronger son frein et éviter qu'elle lobotomise, ou pire, quelqu'un au passage.

Tout ça est bien joli, mais quelqu'un commence à avoir un début d'érection avec toute cette attention portée sans aller au bout. Un grand sourire sur le visage, Randal se lèche les lèvres et pose ses lunettes de soleil sur une table à proximité pour ensuite s'approcher du trio. Ses mains se posent sur les premières épaules qu'il peut atteindre et appuie suffisamment fort dessus pour leur faire comprendre que leur place est désormais plus bas. Au niveau du sol.
Les femmes obéissent en continuant de s'embrasser dans des sons humides qui ne sont interrompus que par le zip de sa braguette qui s'ouvre après qu'il ait débouclé sa ceinture. D'un geste habile du pouce il tire sur son boxer et libère son membre qu'elles trouvaient déjà toutes si épais plus tôt pour le glisser entre leurs lèvres.
Les paires de deux d'entre elles coulissent de chaque côté de sa hampe, tandis que le dessous de sa queue vient se frotter avec son gland sur le visage de la troisième.


- Hooo, quelqu'un est impatient de se faire pomper on dirait.
- Et dire qu'il bande pas encore.
- On va vite y remédier les filles.
- Je veux voir si elle sera aussi grosse que sur la vidéo.
- Mince, la vidéo, j'ai failli oublier. Tu veux filmer ?



Inutile de poser la question deux fois à Randal qui s'exécute en récupérant son portable dans sa poche de chemise. La première image est sa queue posée sur le visage de la belle aux cheveux bleus pendant que ses deux copines collent leur langue de chaque côté en la faisant remonter le plus lentement possible afin de le chauffer.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le dimanche 23 novembre 2025, 01:35:18 »
« Oh ! S'exclama la brune quand les jets se mirent en route et les assaillirent de tout côtés. »

Ce jet d'eau qui s'était faufilé entre ses cuisses lui avait fait tout drôle. Surprise, mais du genre agréable. Pendant les quelques secondes que ça avait duré, le vampire avait pu sentir le dos de la gorgone s'appuyer un peu plus contre son torse tandis qu'elle était presque émoustillée de plus belle alors que l'eau chaude frappait contre son intimité encore sensible.

Un petit rire lui échappa tandis qu'il réglait la puissance et la direction des jets. L'eau sur se lunettes ne lui rendait pas la vision facile, mais il valait mieux ce petit inconfort que de risquer de se retrouver avec un Hadrian de marbre. La jeune femme prit place sur le banc et ses prunelles, derrières les gouttes qui perlaient sur les verres teintés, caressaient la forme du vampire avec une certaine affection. Il prenait soin d'elle alors qu'il n'y était pas obligé. Il ne s'outrageait pas devant les serpents qui dansaient presque sous la pluie de la douche. Il était son kidnappeur et pourtant, même sans la donnée sexuelle de l'équation, il s'occupait d'elle un peu comme un protecteur. Comme un petit-ami le ferait, imaginait-elle distraitement alors qu'il frottait l'éponge savonneuse contre ses jambes.

Le petit cœur de Cypress manqua quelques battements quand il abandonna l'éponge et que ses mains vinrent encercler ses hanches. Elle résista à l’envie de regarder par-dessus les verres pleins de gouttes d'eau et pencha la tête pour plonger son regard dans le sien alors qu'il la rapprochait de lui. Elle frissonna agréablement, ses lèvres s'étirant en un petit sourire mutin.

« Je ne l'ai jamais été, je crois, réplique-t-elle en laissant la paume de ses mains flatter les épaules de l'homme. Mais peut-être que… Um… Je pourrais essayer également ? »

Plutôt que de buter sur le tutoiement ou le vouvoiement, l’étudiante s'est décidée pour une phrase neutre de ces termes qualificatifs. Ses doigts se glissent dans la chevelure sombre du vampire, les démêlant doucement sous l'eau qui les rendaient dociles. La pulpe de ses doigts vint alors masser doucement le crâne masculin, décrivant de larges cercles concentriques. En poussant un peu de ses mains, la belle amena Hadrian à caler sa tête sur la poitrine arrogante qui s'offrait à lui. Si le désir ardent qui la faisait pointer plus tôt s'était apaisé, elle restait néanmoins haute et délicieusement ferme au toucher.

Ses lèvres, jusque là mordillées par l'arrondi de ses dents, se posèrent avec douceur contre le front de son ravisseur pendant un instant, ses mains continuant leur massage du crâne avec autant d'engouement qu'elle en avait mis pour découvrir son sexe en érection plus tôt.

« Je crois que vous avez marqué pas mal de point auprès de mes ancêtres, souffla-t-elle en penchant la tête pour être au niveau d'une oreille, abandonnant la lutte et reprenant le vouvoiement. Elles se tiennent tranquille et à distance, ce qui est déjà un bon indice. Et elles adore la douche façon pluie. »

Avec un petit soupir satisfait, la gorgone fait glisser une main contre la nuque de l'homme, continuant les massages de l’autre. Ses jambes, qui s'étaient écartées pour le laisser s'installer entre elles, se resserrèrent alors autour de ses flancs, de sa taille. Déjà, malgré son périnée probablement encore un peu engourdi et sensible, elle ressentait les frémissements de désir qui couraient dans ses veines. Quitte à être endolorie le lendemain, elle se disait qu'elle ferait bien de goûter à plusieurs itérations du pêché de chair, du fruit défendu.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le samedi 22 novembre 2025, 17:28:24 »
Les sons de succion que fait sa bouche humide qui pompe ma queue avec avidité me donne des frissons dans tout le corps. Garder les yeux fermés donne l'impression que les sensations procurées par la blonde sont décuplées. Plus les secondes avancent et moins je retiens mon plaisir.


- Aaaah ! Merde... C'est trop bon. Continue !


Le dernier ordre est accompagné d'une pression de ma main sur son crâne pour la faire revenir vers moi sans lui demander son avis. Et je veux la voir s'étouffer sur ma bite. Je ne suis pas surpris de constater qu'elle me regarde droit dans les yeux. Cette sale nympho en manque doit être aux anges en me contrôlant par le bout de la queue avec sa bouche qui a dû en voir passer des queues avant la mienne. Quitte à ce que les choses finissent mal pour moi, il est hors de question que je ne rentabilise pas chaque seconde passée dans cet endroit pourri.


- Tu veux ma queue ? Je vais t'la donner !


Ses pupilles bleues qui se plissent quand j'appuie trop fort sur son crâne. Humides à cause des enchaînements que je lui fait subir de force. Qui pourrait résister à ce regard embrasé de salope ? Je peux lire dedans sans aucune difficulté. Elle aime ça. Elle aime jouer à la soumise. Elle aime qu'on l'a traite comme une chose car elle en retire un immense plaisir.

Cette main qui me chatouille et masse les couilles depuis tout à l'heure me fait remuer les hanches sans que je n'y fasse gaffe. Bien souvent les femmes se contentent de pomper comme des aspirateurs alors qu'elle... Elle... Elle t'offre la totale à chaque fois. De l'écume s'accumule sur ses lèvres car je ne lui laisse plus le temps d'avaler sa salive. Le liquide fluide au début devient plus épais et visqueux. Allant jusqu'à lui coller au menton et aux joues quand je fais claquer mon pubis brutalement et à répétition contre son petit visage délicat.

Ma bite est tellement dure, tellement gonflée, que sa bouche est pleine. Par moments je m'amuse à faire basculer sa tête sur la gauche pour déformer sa joue en appuyant dedans avec mon gland. La voir se faire souiller est tellement agréable et satisfaisant. Je me sens tout puissant alors que j'ai une main attachée dans le dos. Et quand je repars lui baiser la gueule, le trop-plein de salive gicle de sa bouche de manière vulgaire et dégoûtante.


- Aaaah, putain ! Je vais jouir ! Ta bouche de garce va enfin servir à quelque chose.


Après ce qui s'est passé lors de notre dernière rencontre je n'ai pas éjaculé une fois. Dans ma tête le fait de jouir me faisait penser à ces flics qui m'avaient chopés dans la foulée. Plus terrible tue-la-trique, j'en connais pas à ce jour. Alors entre sa bouche chaude et humide, sa main qui manipule mes couilles comme si elle voulait me les vider et mon envie de me venger, je vais pas me gêner pour la souiller comme la dernière des putes.

Je ne la préviens même pas quand j'écrase son crâne de toutes mes forces entre mes cuisses au moment de l'explosion.


- Kuuuuh ! Arrrrrggggh !


Mon bassin est attiré de quelques centimètres vers le sol alors que je gicle comme rarement ça a pu m'arriver avant. Une épaisse pâte gélatineuse s'échappe de ma queue par flots entier pour repeindre et remplir la bouche de la blonde sans que je lui laisse l'opportunité de prendre de l'air. Elle va avaler. Avaler à s'en étouffer ou voir mon sperme lui ressortir par les narines.
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Lyli le samedi 22 novembre 2025, 17:27:37 »
Pour la science !! Heu je ne sais pas, tu voudrais quoi d'une sirène ? Je te laisse toucher mon revêtement écailleux moulant ? : x c'est comme une seconde peau, c'est super agréable et pas du tout poisseux ! @Maeilera
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Maeilera le samedi 22 novembre 2025, 15:44:02 »
Et bien on peut en discuter ... je reçois quoi en change ? @Lyli
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le samedi 22 novembre 2025, 15:06:43 »
Céleste continue d’observer de loin. Son verre à la main, elle ne paraît pas le moins du monde dérangée que son amant profite de la présence de ces trois créatures déjà enivrées. Si elle est territoriale, elle sait aussi se montrer généreuse. Et ce n’est pas tant pour les jeunes femmes que sa générosité est axée que pour le colosse qui en profite à pleines mains si ses yeux ne la trompent pas.

A côté, un jeune homme tente de la draguer. Il parle, et elle ne comprend rien. Elle ne dit pas un mot, ne quittant pas Randal du regard, alors que son voisin commence à glisser une main sous la veste en jean, caressant son dos exposé par le court crop-top.

« […] Si j’étais toi, ma jolie, je le lâcherais direct ! Et je me vengerais en me tapant tous les mecs du coin ! Tu sais, j’ai quelques amis qui seraient intéressés pour t’aider à te venger. Moi aussi, bien entendu, mais une femme telle que toi… On ne serait pas trop de trois pour rendre ton petit-ami jaloux. En plus, il est en train de peloter trois nanas, alors ça ne serait que justice, tu sais ? […] »

La brune tourne brièvement la tête vers le bar quand elle a fini son verre, ignorant l’homme à ses côtés et la main qui descend dans son dos pour venir palper sa croupe pour l’instant posée sur le tabouret haut. Elle agite son verre, et le barman comprend. En quelques secondes, il a échangé le vide contre un plein, notant le cocktail sur la note de Randal.

En cherchant à revenir observer le mafieux, le regard de la sorcière croise celui du jeune homme qui déploie tout son arsenal de flirt pour la séduire. En vain. L’immortelle ne comprends pas un traître mot de ce qu’il dit. Mais une idée fait son chemin dans sa tête. Elle n’avait, après tout, cessé de penser à ce sortilège de traduction dans recoin de son esprit. Son regard revenant sur le colosse qui est littéralement encerclé, Céleste lui offre un clin d’œil lubrique autant que malicieux. Puis elle revient à ce jeune homme, dont les deux amis se tenaient non loin et l’encourageaient vulgairement.

Sans décrocher un mot, la belle intima au bellâtre de se taire. Un index posé sur ses lèvres pour l’empêcher de prononcer un son, elle boit une longue gorgée du cocktail. Avec un hochement de tête décisif, elle repose le verre et se tourne complètement vers son admirateur. La main dans son dos glisse sur sa hanche avec le mouvement. Assise sur le tabouret, la brune est cependant à peine à la hauteur de son prétendant. Mais ça suffira pour le moment.

Ses doigts viennent encadrer la mâchoire du jeune homme alors que ses prunelles sombres ne quittent pas les yeux noisette. De sa main libre, du bout des ongles, elle vient tracer ce qui pourraient être des arabesques distraites contre le t-shirt moulant de l’homme. En réalité, ce sont des runes. Et quand elle a fini, son esprit peut pénétrer celui de l’insouciant mortel.

Etrangement, même si elle ne parle pas un mot de sa langue, les pensées qu’elle peut entendre son compréhensibles. Elle avait deviné les intentions du jeune homme même sans comprendre ce qu’il disait, ses pensées le confirme. Et un sourire prédateur étire ses lippes alors qu’elle se penche pour venir embrasser sa proie son prétendant. Ses lèvres se font d’abord douces, taquines. Puis sa langue quémande l’entrée, et elle s’enhardit. Bientôt, l’immortelle dévore presque les lèvres du jeune homme, ses dents venant même mordre suffisamment fort pour en tirer une goutte de sang.

Le bellâtre s’écarte d’un coup, choqué par la douleur. Mais son regard s’embrume vite alors que l’esprit de la sorcière parasite ses pensées. Elle lui intime de ramener ses amis, et de l’emmener dans la petite ruelle à côté du bar. Elle implante l’idée qu’ils vont avoir droit à un traitement de roi tandis qu’elle « se venge » de Randal. La goutte de sang que la sorcière garde sur la langue lui permet d’influencer plus durablement l’esprit faible dont elle s’est rendue maîtresse.

Avec un sourire amusé vers le colosse toujours empêtré dans les trois jeunes femmes, Céleste suit le trio qui passe par la porte derrière le bar. Ils semblent être des habitués du lieu, et de ce genre de plan, car le barman se contente de lever les yeux au ciel tandis que le videur leur ouvre même la porte en revenant de sa pause cigarette.

Une fois dehors, la belle pousse l’instigateur de ce plan contre le mur pour venir assaillir ses lèvres de nouveau. Ses mains viennent s’affairer à l’aider à déballer sa virilité tandis qu’un corps vient se coller dans son dos. L’esprit toujours fermement planté dans celui du jeune homme, elle voit par ses yeux que les deux amis la reluquent avec envie et ont déjà sorti leurs queues. Avec un sourire, et une main autour du sexe déjà raide de sa proie, Céleste s’agenouille. Sa croupe gainée de cuir synthétique attire le regard des deux autres et ils manquent l’expression béate de leur ami quand sa queue se fait avaler sans préambule par la tentatrice.

Tandis que son esprit paralyse et formate quelque peu celui du jeune homme, ses ongles s’occupent de griffer ses cuisses, traçant des runes de façon plus durables. Elle le suce, avec appétit qui plus est, mais ne perd pas de vue son objectif. Bientôt, les gouttes de sang qui perlent sont léchées par une langue avide qui a relâché le chibre tressautant, empêchant sa cible d’arriver à l’éjaculation. Elle n’a même pas à se tourner qu’une seconde queue se présente à ses lèvres désœuvrées. Elle répète le même manège, contrôlant beaucoup moins cet esprit neuf dans lequel elle se plonge après s’être assurée de la docilité du premier. Mais ce second jeune homme semble apprécier quand les femmes montrent leurs griffes parce que les runes tracées ne font qu’accélérer le moment où la sorcière doit le relâcher pour qu’il ne vienne pas remplir sa gorge accueillante.

Enfin, c’est au tour du troisième. Cette fois, Céleste s’assure que son regard ne quitte pas le sien pour éviter un rejet de son esprit quand elle commencera à marquer la chair tendre de sa cuisse. Tandis que les deux autres restent dos au mur, la tête rejeté en arrière en se remettant de leurs émotions, elle se focalise sur le dernier. Bientôt, tous les trois sont marqués et au bord de l’orgasme.

Ne perdant pas de temps, l’immortelle attrape les hanches du dernier pour le forcer à s’allonger sur le sol. Prestement, lestement, elle se retrouve à le chevaucher après avoir retiré son sous-vêtement. D’un regard, elle intime au deuxième de venir s’agenouiller derrière elle et de s’installer confortablement. Excitée comme elle l’était par la situation, et par les attentions du mafieux plus tôt, il est facile pour sa proie de venir s’introduire entre ses reins, séparés de la queue de son pote par une fine barrière de chair. Enfin, se redressant, l’exotique sorcière vient capturer le dernier chibre entre ses lèvres, entamant les hostilités d’un coup de rein qui fit grogner les deux fermement plantés en elle.

Ils étaient si près de l’orgasme que la chevauchée ne dure pas. L’indécente immortelle à le plaisir de se retrouvée remplie de chaque côté. Et, tout en avalant goulûment, ses yeux se ferment alors que son esprit s’empare des trois hommes qu’elle vide telle une succube. Dans leurs pensées, ils peuvent entendre un chant rituel entonné de sa voix chaude tandis qu’elle continue d’onduler sur eux, de les traire de la moindre portion de leur foutre. Ses ongles tirent de nouveau du sang, griffant le torse dénudé de celui qu’elle chevauche. Ce n’est pas une partie du rituel, mais la brune n’en a cure.

Son rythme accélère alors qu’elle force mentalement les jeunes hommes à lui donner toujours plus même s’ils sont vidés. Bientôt, elle se crispe, se raidit. Le chant s’interrompt dans leurs esprits alors que l’orgasme de la belle les submerge aussi bien physiquement que mentalement. Et au moment de cet orgasme, Céleste emmagasine alors toute la connaissance de la langue qu’elle a si soigneusement sélectionné pendant qu’elle faisait monter le plaisir.

En contrepartie, le trio sera béat pendant le reste de la nuit le temps que leurs esprits se remettent de la violation qu’ils ont subi. Mais, si tout s’est déroulé comme elle l’avait prévu, il n’y aurait aucune autre séquelle de leur côté. Et du sien… Non seulement elle aura apprécié cette petite interlude, mais elle aura gagné la connaissance de la langue et pourra enfin comprendre ce qui se dit, ou ce qu’elle peut lire. On ne sait jamais, ça pourrait être utile.

Finalement satisfaite, l’immortelle nettoie les fluides qui la couvre et qui couvrent ses amants sacrificiels. Elle se relève, se réajuste, remet sa culotte, et les laisse avachis dans la ruelle avec un air stupidement comblé sur les traits. Un sourire flottant sur ses lippes gonflées, elle toc à la porte de service. Le vigile passe la tête, son regard balayant la scène, et il la laisse rentrer de nouveau avec un rictus goguenard. Il allait clairement se foutre de la gueules des trois séducteurs. Mais ce n’était pas son problème à elle.

D’un pas chaloupé, la sorcière de nouveau propre sur elle vient reprendre sa place au bar. Et son verre, qu’elle ne tarde pas à vider de nouveau avant d’en redemander un. Verbalement cette fois. Puis son regard repart en quête du colosse, se demandant s’il est toujours sur la piste de danse avec les trois jeunes filles ou s’il a aussi trouvé un endroit discret pour se faire plaisir.
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