Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le dimanche 30 novembre 2025, 22:00:01 »
"Hadrian, puis-je essayer… Quelque chose ?"
"Essayer qu-"

Encore une fois, comme toujours, Cypress le prit de court. Elle ne le laissa même pas l'interroger, et la position changea dans une succession de gestes assez rapide pour qu'il n'eut pas le temps de s'y opposer.

Il aurait pu continuer contre le gré de la jeune femme, et de la voir se faire violence à ses caresses lui arracha ce même inexplicable sentiment de frustration que les animaux ressentaient à se faire arracher un jouet, un sentiment qu'il réprima immédiatement derrière ce masque de gracieuseté qu'il utilisait si fréquemment. Il remarqua notamment l'effort qu'il lui prit d'utiliser ce masque avec Cypress, comme s'il se sentait mal de lui mentir. Il prit une note mentale d'adresser ce problème plus tard.

Il se retrouva donc assis sur le banc, et vit cette jeune femme poser un genou à sa droite, et un autre à sa gauche, se rapprochant encore jusqu'à ce que leur corps se touchent de nouveau. Il leva la tête pour la regarder, et recueillit sur les lèvres s'abaissant vers lui un autre baiser passionné. S'y abandonnant, le vampire dégusta les lèvres et la langue de cette jeune femme, alors que ses mains, réchauffées par l'eau chaude de la douche, se posa sur ses cuisses, et les remonta lentement jusqu'à ses hanches, non sans faire un arrêt fort mérité sur cette croupe ronde et voluptueuses pour un délicat, mais mérité, pétrissage. Une fois sur les hanches, il la soutint, autant qu'elle le laissa la soutenir.

" Je ne vais pas mentir en disant que j’en ai toujours rêvé, mais… Je suis curieuse… Des sensations qui changeraient dans cette position…"

"Eh bien, il n'y a qu'une façon de le savoir, autre que la théorie," dit-il sur le même ton susurrant.

Il la tira doucement vers le bas, jusqu'à ce qu'elle soit bien assise sur lui, son membre, naturellement dressé vers le plafond, glissant sous elle, le gland traçant la raie de ses fesses avant de s'arrêter au bas de son dos, jusqu'à ce que le visage de Cypress soit devant le sien. Il remarqua, cette fois-ci, la différence de taille, car malgré le fait qu'elle était assise sur ses cuisses, le visage de la jeune femme était de nouveau plus bas que le sien. À peine, mais quand même. Cela le fit un peu sourire.

Il se pencha donc sur elle et s'empara de ses lèvres de nouveau.

Les mains du vampire quittèrent les hanches de la gorgone et descendit jusqu'à ses fesses pour reprendre le pétrissage de tantôt, ses doigts tâtant et massant cette chaire tendre et, pourtant, il détectait du muscle non négligeable. Peut-être le résultat du port des talons hauts, ou encore du gym. Il se rendit compte, encore une fois, qu'il ne savait pas grand-chose de cette jeune et élégante créature au-delà de ce qu'elle lui en avait brièvement dit, et de ce qu'il avait vaguement lu sur un rapport.

Les mains soulevèrent doucement les fesses de Cypress, la relevant sur les genoux, et le sexe du vampire se retrouva de nouveau sous elle. Comptant un peu sur sa capacité à se tenir d'elle-même, les mains d'Hadrian remontèrent sur ses hanches, et il ajusta légèrement l'angle pour que son sexe soit bien aligné avec le sien et, des mains, la poussa vers le bas, faisant fléchir les genoux de la jeune femme jusqu'à ce que sa virilité se presse à sa fleur, puis s'enfonce lentement en elle alors qu'il la fait descendre toujours plus bas.

Encore une fois, la chaleur et le plaisir du coït enveloppa son membre turgescent, enflammant ses sens et lui arrachant un soupir de plaisir. Il l'embrassa encore une fois, avant de poser son front contre l'épaule de Cypress.

"Vous me donnez chaud, Cypress," dit-il, incapable de décrire plus exactement cette sensation de bien-être qui se répendait en lui.

Il se demanda si c'était également son cas, et donc il leva les yeux vers le visage de la jeune femme pour y lire son expression.

Il posa ensuite un baiser sur ses lèvres.

"Serait-ce déplacé de vouloir vous regarder explorer vos sensations?"

Autrement dit; il voulait la voir prendre son pied, la voir rechercher et saisir ce plaisir de ses propres actions, plutôt que de les lui prodiguer. L'idée de la voir danser sur lui, et se stimuler pour son propre plaisir et les expressions que ce beau visage lui montrerait enflammait encore plus l'esprit du vampire.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Ryo le dimanche 30 novembre 2025, 20:05:23 »
Ryo manque sortir de sa voie et emboutir une camionnette arrivant en face. La Mustang fait une embardée, vrille de travers, se rétablie et freine à bloc pour s’arrêter près d’un abri bus heureusement vide.

« Putain de merde ! »

Cora n’est pas en mesure de lui glisser une blague de magicien de sous le manteau. Elle est limite stone est tient plus à cet instant de l’épave que de la fille capable de produire n’importe quoi d’intelligent. Ce qu’elle vient de faire, c’est de l’inné et ça pue les emmerdes à plein nez. Des cas comme elle, Ryo en a côtoyé quelque uns. Seikusu est une cité particulière, il s’y passe des trucs. En coulisse, il se raconte des trucs qu’il faut appréhender avec prudence et que même les pires des tordus évitent d’aborder. Le gouvernement est dans le coup, les services secrets de nombreux pays aussi donc, à ce niveau-là de jeu, Ryo n’est rien du tout. Le flic a déjà eu à faire avec une folle dingue de la gâchette increvable qui se régénérait dès qu’elle saignait. Il a buté une créature qui n’aurait jamais dû sortir d’un film d’horreur et il a aussi baisé une vampire mais ça, il préfère l’oublier. Ces faits remontent à quelques temps déjà et il s’était promis de s’en tenir éloigné. A chaque fois, ces aventures ont merdé et il a sévèrement morflé.

Mais là, c’est dans sa caisse que ça arrive et putain de merde, avec la nénette qui lui sert de vide-burnes en ce moment ! Donc, fais chier !
Maintenant, Ryo, il réfléchit vite et l’explication miteuse de Cora l’aide à prendre sa décision. Là, le mieux serait de la balancer dans le port, emballée dans un sac lesté, mais elle a du bol : sa tare peut être utile.

« Hey, cool ! C’te surprise que tu me fais. J’ai failli nous tuer. »

Une clope, ça reste une clope. Un billet de cent dollars, c’est autre chose. Si ce qu’elle dit est vrai, dans deux mois ils sont il est millionnaire et se la coule douce dans un coin peinard où personne voudra le buter.

« Ah ouais ? Vraiment ? Et ça marche donc avec à peu près tout ton truc ? »

Parce qu’il ne faut pas se créer de faux espoirs non plus… En plus, c’est louche non ? Qu’est ce qu’elle fout comme laborantine à tenter de grapiller trois sous alors qu’elle détient un trésor qui pourrait faire d’elle … un truc énorme.

« Le dire à quelqu’un ? Non ma chérie, tu m’es trop précieuse pour que je te fasse du mal. »

C’est discutable après la soirée qu’ils viennent de passer mais elle n’est pas en mesure de le contredire. Elle a déjà du mal à parler …

« Moi je trouve ça cool. J’y crois aux mutants. J’ai toujours dis que l’humanité avait besoin d’évoluer de la bonne manière et maintenant que je te connais, toi et notre petit secret à nous deux, je ne me suis pas trompé. »

Putain ce qu’il raconte comme merde, c’est minable mais au point où  il en est, il pourrait mettre un nez rouge pour la faire rire si elle le voulait. Heureusement qu’il la tient sous sa coupe …

« Je serais muet comme une tombe bébé. Mais pour fêter cette nouvelle, on va faire un détour chez un pote à moi qui vend de la premium. Tu mérites ce qui se fait de mieux. »

Le pote, c’est Yoshi, qui se procure de la blanche directement sur le continent d’en face, à la source, sans passer par la case mélange. Elle est pure et à user avec précaution. Son gramme, Ryo il le paie une fortune mais bon … il s’en branle, c’est pour la bonne cause. De retour dans la caisse, Cora n’a pas bougé.

« Tiens, envoie-toi ça, une pointe suffit, doucement, pas plus. »

L’effet est sidérant et avant qu’elle ne sorte une connerie stupide de plus, il la prend par la nuque et amène sa tête entre ses cuisses. Il vient de se libérer, qu’importe qu’elle flaire le jap’ à plein nez. Il a besoin de réfléchir et ne veut pas l’entendre. Y’a un peu de route pour rentrer au loft. Là, il la foutra au lit, l’enculera à sec peut être, et se projettera dans le futur. Un futur bien doré …
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Saël Thorne le dimanche 30 novembre 2025, 16:22:48 »
Que ma VDD m'excuse, je suis troublée par ma VDD.  :D Je suis votre homme si vous souhaitez être ma partenaire d'entraînement pour se battre.
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Les contrées du Chaos / Re : La salade magique [PV Guillot/Deidre/Lucian]
« Dernier message par Deirdre le dimanche 30 novembre 2025, 16:17:01 »
La sang-mêlé se redresse sans un bruit, secouant la poussière noire qui s’accroche encore à ses ailes. Elle observe Guillot un bref instant : la franchise brute dans ses yeux, la modestie crispée dans ses épaules. Tout en lui donne l’impression d’un homme qui avance même quand le sol tremble sous ses pieds, et qui ne triche jamais avec la droiture.

Elle s’avance alors, droite, le visage éclairé par la lueur mourante du brasier.
Deirdre. Ancienne Commandante de la Guilde des Mercenaires d’Argent… et hybride ange-fée.

La jeune femme incline légèrement la tête.
Ravie de faire votre connaissance, Paladin Guillot de Belloy.

Le ton est simple, mais solide ; une présentation sans ostentation, coupée au fil d’une lame nette.
Déjà, elle se détourne. Ses mains s’activent.

Elle ramasse des branches sèches, effleure quelques feuilles encore vertes. Kan en apporte d’autres, discret mais prompt. En quelques mouvements précis, un nouveau foyer naît, plus stable, plus sûr. Les flammes s’élèvent dans un crépitement doux, enfin capables de rivaliser avec l’obscurité des Contrées du Chaos.

Deirdre s’accroupit, sort les ustensiles qu’ils ont encore, prépare un bouillon dont la vapeur atténue peu à peu les relents brûlés de la créature abattue.

Lorsque chacun trouve place autour du feu, elle inspire, et sa voix se déploie, claire, douce, presque fragile : Un chant énochien.

Les syllabes célestes roulent comme des perles anciennes, lumineuses, irréelles :
Zodramé… Tal’shiran véan, frères d’acier, cœurs liés, dans l’ombre comme dans la flamme…

La mélodie flotte sans effort dans l’air qui se reconstruit après la tempête magique. Et tandis qu’elle chante, ses yeux glissent sur chacun :

Barbak, d’abord, insolent, excessif, mais authentique, presque incandescent de loyauté brute. Une entière confiance envers lui.

Guillot, jeune paladin encore neuf pour ce monde, mais animé d’une lumière sincère, presque têtue, qui pourrait devenir redoutable avec le temps.

Lucian, tendu comme une lame sortant du forgeage, précis, fermé, ciselé de danger parfaitement maîtrisé.

Kan, terranide fragile sous ses bravades, paraissant trop jeune sous le poids des responsabilités, trop précieux pour être sacrifié à une veille inutile.

Le chant s’éteint sur une note claire, courte, chuchotée. Deirdre rouvre les yeux, et ses deux wakizashis brillent contre ses hanches, lames nues, jamais gardées en fourreau. La dague angélique repose contre son flanc, tenue seulement par la pression de sa ceinture.

Elle fixe alors Guillot, dont le regard reste hanté par ce qu’ils ont affronté.
Vous vouliez savoir qui nous sommes… mais permettez que je commence par ce que c’était.”

Elle désigne du menton les restes noircis que les braises font encore grésiller.
Cette chose n’était pas un monstre ordinaire. C’était une aberration ancienne. Quelque chose ressemblant fort à ma terre d’origine.

Un silence tombe, lourd. Même Barbak cesse de marmonner contre un caillou.
Ce genre d’horreurs existait pendant les guerres sacrées. Quand on forgeait des armes vivantes pour détruire les paladins et les mages.

Elle attrape un fragment calciné, le brise entre ses doigts. Les fibres internes luisent faiblement, comme si la sève cherchait encore à mordre.
Elles respirent la magie. La goûtent. La reconnaissent. Et elles dévorent tout ce qui leur ressemble : la Lumière d’un paladin… l’Arcane d’un mage… et l’essence d’un être comme moi.

Sa voix se fait plus basse, grave :
Elles ne sont pas naturelles. Elles imitent le végétal, mais leurs fibres…

Elle montre les veines internes.
…sont tressées comme des nerfs fabriqués, mêlés à du sang.

Elle laisse tomber le fragment, qui roule dans la terre.
Voilà pourquoi elle s’est jetée sur vous trois. Voilà pourquoi mon vent a faibli. Et voilà pourquoi elle a brûlé si vite : ces choses n’existent pas pour durer. Elles existent pour tuer.

Le silence qui suit n’est pas écrasant, il est réfléchi, presque initiatique.

Puis elle se tourne vers Kan.
Kan. Avec tout le respect du monde… vous ne prendrez aucun tour de garde.”

Le guide sursaute, prêt à protester. Elle continue, posée mais impériale :
Votre place est de nous mener à travers ces terres, pas de nous protéger de leurs ombres. Vous êtes nos yeux. Pas notre rempart. Et si vous vous épuisez, nous serons aveugles.

La sang mêlé ponctue d’un regard, un vrai regard de commandante. Kan se tait, avalant sa réplique.

Deirdre se tourne vers les autres.
Personne ne veille seul. Pas ici. Les Contrées du Chaos ont des oreilles. Croyez-moi, je me suis déjà battue en ces terres. Et quelque chose sait que nous sommes passés.

Ses ailes frémissent involontairement, un souvenir nerveux du drain magique qui l’a traversée.
Je prends le premier tour. Avec qui le souhaite.

Elle observe tour à tour Lucian, Guillot… puis Barbak. Ce dernier croque dans une patate brûlante avec l’air de chercher la bagarre contre le tubercule lui-même.

Un souffle amusé glisse des lèvres de l’ange-fée.
Mon mouflon adoré… si tu veilles avec quelqu’un, évites d’invoquer des flammes. Les arbres ne nous le pardonneraient pas deux fois.

Elle saisit la louche, sert chacun avec un calme méthodique.

La vapeur du bouillon s’élève, ronde, apaisante, comme si elle voulait envelopper leurs nerfs encore en tension.
Mangez. La nuit sera longue. Et elle écoutera tout ce que nous dirons.

La jeune femme relève le menton, un éclat d’assurance dans le regard.
Alors autant lui apprendre nos noms. Le nom de ceux qui vont réussir cette quête !
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Anéa le dimanche 30 novembre 2025, 12:47:29 »
Oui mais si mon VDD ne joue pas le jeu ici...  ::)
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Les contrées du Chaos / Re : La salade magique [PV Guillot/Deidre/Lucian]
« Dernier message par Barbak le dimanche 30 novembre 2025, 11:10:49 »
L'aspirant chevalier fit un compliment qui laissa Barbak perplexe.

Hoy me lad! Est ce que j'ai l'air d'un pyromane?

Il laissa planer un silence. La carcasse fumante ainsi que le bordel qu'il avait foutu tout autour de lui sans compter le fait que ses excentricité de cracheur de feu à faillit incendier la foret tout entière donnait une réponse évidente mais il secoua la tête tout en posant sa hache sur son épaule.

Je ne suis ni un pyromane ni un magicien! Je suis Barbak fils du dieu Barbeuk et du coeur de la montagne naine de Karagwyr. Moi non plus je ne sait rien de toi chevalier Guizmo, mais sache que je suis un fervent serviteur de l'hédonisme et de la sacro sainte patate de forain dans la bouche! Je suis un homme d'honneur qui n'as que faire des rondes jambes et des faux semblants, je méprise les masques et les hypocrites. Les civilités ne sont que balivernes, les mots ne sont que poussière dispersées au vent! Si tu veux me connaitre preux chevalier, ce ne sera pas à travers quelquechose d'aussi inconsistant que des mots! Si tu veux me connaitre, cela sera au travers des mes actes! Si tu veux savoir avec qui tu te bats, tu le saura dans le feu de la bataille. Ce n'est qu'a ce moment et à ce moment précis que toi et moi sauront si l'autre couvrira ses arrières.

Kan se racla la gorge et admit son ressentit

-Ahem! Même si Sieur Barbak manque clairement d'élégance et d'éducation...

-J'encule ton élégance dans l'oreille avec du paprika! rétorqua Barbak

-...Il reste néanmoins une personne fiable sur qui l'on peut compter Souffla t'il exaspéré en se massant l'arête du nez

-Moi aussi je t'adore mon grand!

Les nains ont la réputation d'avoir une loyauté aussi inébranlable que la pierre et le fait qu'il s'entend comme chien et chat... ou plutot comme mouflon et renard avec Kan montre qu'il n'est pas du genre à revenir sur sa parole même s'il à des différents avec une personne. Mais il parle sans détour, s'il est contrarié il balance des insultes, quand il est heureux il sourit à pleines dents. Chacun de ses sentiments et émotions sont facilement lisible sur son visage.

Chacune de ses expressions étaient si extrêmes qu'elles étaient facilement devinable. Quand il doute, cela se voit, tout comme quand il est méfiant. Il serait très certainement le pire joueur de poker de tout les temps. Il est quelqu'un d'entier. Stupide, imprudent, impulsif, grossier mais tous savait que sa loyauté et son bon coeur n'avait pas de limites.
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Le coin du chalant / Les idées sauvages d'une Cata (ou toute autre CT selon les idées)
« Dernier message par Catalina Taylor le samedi 29 novembre 2025, 19:38:35 »
Bon. Pour ne pas polluer le récap et que je puisse continuer à poster derrière à chaque nouveau compte...  ;D

Donc ! S'il y en a qui seraient tentés d'incarner les frères Dalton alors que ces derniers viennent de braquer une banque et tente d'échapper au shérif, je peux proposer un tout nouveau personnage qui n'a pas de fiche mais qui bravera la section des One-Shot pour se faire kidnapper par ces mécréants. Je vous présente donc Calpurnia Tanner, qui préfère qu'on l'appelle Callie, la fille du shérif judicieusement en train de retirer des fonds au moment du braquage.

Pour ce sujet, j'accepte les réponses à la suite ou les MPs, ou même sur Discord. Je signalerais ici quand la place sera prise.

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Prélude / Re : Lapi-mielle [Vanéalidée !]
« Dernier message par Mielle le samedi 29 novembre 2025, 15:30:45 »
Merci j'ai hâte de découvrir le forum et écrire dessus
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Cora Travers le samedi 29 novembre 2025, 14:21:22 »
La blonde est dans une sorte d’état second. La drogue inhalée en début de soirée doit commencer à retomber. Elle n’a plus le feu au cul, et ne rêve que d’aller sous la douche pour se rincer, se savonner et ôter ces odeurs qui imprègnent sa peau et ce qui reste de sa robe. Elle ne désire rien de plus qu’un bon shampoing pour retirer ce qui souille sa crinière rose pâle. Elle ne sait même pas comment elle fait pour mettre un pied devant l’autre, chancelant en suivant Ryo pour sortir du restaurant. Elle ne voit pas le personnel qui fait mine d’être occupé pour ne pas avoir l’air indiscret.

Arrivée devant la voiture, Cora cille alors que Ryo semble hésiter. Hagarde, pas vraiment en état de réfléchir intensément, elle se contente de l’observer, puis de l’attendre quand il retourne dans le restaurant. Enfin, prudemment, elle s’installe sur la nappe qu’il vient de mettre pour protéger ses sièges. Et ramène bien vite ses genoux contre sa poitrine en craignant de salir le tapis de sol où gisent ses escarpins -propres- abandonnés.

Les félicitations de son amant lui tirent un sourire -fatigué- et elle lève pour main pour la glisser contre sa cuisse. Avant d’être fermement repoussée. Pinçant les lèvres pour masquer l’expression trahie que le rejet provoque chez elle, elle tourne les yeux vers la route devant elle. Le compliment qui suit lui tire un sourire faible, mais elle a bien compris qu’elle doit garder ses distances tant qu’elle n’a pas pris une douche.

Du coin de l’œil, elle voit le flic sortir une cigarette -lui donnant envie de s’en griller une aussi- puis marquer un temps d’arrêt avant de jurer. Elle tourne les yeux, curieuse, et voit qu’il ne reste qu’une seule cigarette dans le paquet froissé. Elle regarde dans la boîte à gant -du bout des doigts pour ne rien salir- mais revient bredouille.

Pendant un moment, c’est le silence dans la voiture. Puis l’esprit embrumé de la mutante a un déclic. Une exclamation surprise lui échappe alors qu’elle se tourne à moitié vers Ryo.

« Oh, j’peux pas croire que j’ai oublié de te montrer ! Um… Tu l’dis à personne, hein ? J’sais pas pourquoi j’peux faire ça mais… »

Elle saisit délicatement la clope entre les ongles de son majeur et de son pouce, faisant signe à son amant d’être patient. Elle s’essuie l’autre main contre la nappe avant de poser la cigarette dans sa paume et de refermer délicatement les doigts autour. Les yeux fermés, la blonde se concentre. Elle a eu le temps de s’entraîner tout en recherchant sa mutation. Et pour un objet aussi petit qu’une clope, l’énergie dépensée est moindre. Mais Cora est rincée.

Quand elle écarte les doigts, elle révèle alors deux cigarettes dans sa paume là où il n’y en avait qu’une. Et un bout d’une troisième.

« Mh. J’n’ai plus assez de jus, marmonne-t-elle en jetant le filtre de la troisième par la fenêtre ouverte. »

Puis elle présente la deuxième clope à son amant, une expression fière d’elle malgré son épuisement et son maquillage ruiné.

« Quand j’suis pas fatiguée, j’peux dupliquer des paquets entiers, ou encore des objets plus gros. Des fois même en plusieurs exemplaires ! Mais faut pas que les gens sachent. Ils vont m’prendre pour une mutante… P’tet que j’en suis une, j’sais pas. J’ai découvert qu’j’pouvais faire ça quand j’étais ado… »

Ses grands yeux bleus, malgré le noir autour, suppliaient Ryo de garder ça pour lui. Elle ne voulait pas avoir à le fuir, à quitter le pays parce qu’il déciderait de la révéler aux yeux du mondes. Elle ne voulait pas finir cobaye. Elle ne voulait pas le quitter non plus, et pas seulement parce qu’il la fournissait en coke ou qu’il était le meilleur amant qu’elle ait jamais eu.

« Tu diras rien à personne, hein ? »
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le samedi 29 novembre 2025, 13:42:34 »
« Par le plancton de Pontos ! Siffla Melantho en s’écartant rapidement du couple qui avaient l’air prêt à remettre ça. Je ne veux plus jamais revivre ça ! »

SI un serpent pouvait avoir un air dégoûté, Melantho en serait la tête d’affiche. Si Cypress n’était pas obligée de sentir l’odeur de cadavre qui émanait d’Hadrian, ses ancêtres n’avaient pas le choix. Même l’odeur du savon et de l’eau claire ne parvenait pas à atténuer ce qui était, pour les anciennes gorgones, une puanteur.

« Ha ! S’exclama Echione avec ce qui pouvait passer pour un rire dans sa posture. Tu vois ce que ça fait, maintenant ! Tu ressens ce qu’on a dû ressentir quand tu t’étais mise en tête d’avoir une liaison avec ton suceur de sang ! »

Cypress essaya de les ignorer pour se concentrer sur Hadrian, amusée malgré elle. Ses mains se resserrèrent autour de la nuque masculine tandis qu’elle revenait pour un autre baiser, pour d’autres caresses de ses lèvres fraîches contre sa peau toujours brûlante. Sans sourciller, la brune offrit de nouveau sa gorge quand il glissa contre sa peau pour l’embrasser, adorant les frissons qu’il déclenchait sur cette partie apparemment sensible de son anatomie.

Le dos fermement collé au dossier, l’étudiante n’était pas avare en soupirs de délices sous le traitement que lui offrait Hadrian. Ses mains n’étaient pas en reste non plus, vaquant sur ses épaules, ses bras, dans son dos ou contre son torse, caressantes et taquines, comme si elles cherchaient à s’imprégner de sa silhouette pour pouvoir la sculpter les yeux fermés ensuite.

Elle soupirait son nom dès qu’une pointe de plaisir se faisait plus pernicieuse et insidieuse, son corps réagissant presque avec empressement à chacune des sollicitations. Ses cuisses se serrèrent autour des hanches du vampire, le forçant presque à se coller contre son intimité de nouveau suintante malgré la douche. Elle s’appuyait contre le dossier pour onduler son bassin, cherchant le contact, la friction, alors que sa tête était rejetée en arrière pour mieux profiter des lèvres qui couraient contre sa peau.

Peut-être qu’effectivement, dans l’extase du moment, Cypress ne serait jamais capable de s’arrêter. Mais, dans ce cas, elle n’y voyait pas d’inconvénient. Du moment qu’elle continuait à vivre sa vie sans être indûment dérangée par ces pulsions charnelles, elle pouvait bien les satisfaire de temps à autres de manière toute aussi exquise que pour ces premières fois.

« Hadrian, souffla finalement la gorgone d’une voix déjà haletante. Puis-je essayer… Quelque chose ? »

Son regard était assombri de plus belle par le désir, par le plaisir qui s’insinuaient dans chaque pore de sa peau. Sur ses lèvres rougies, un sourire curieux s’y était logé. Sans forcément attendre la réponse du vampire, elle le repoussa doucement pour se décoller du mur. Ses mains ne le quittèrent jamais alors qu’elles l’enjoignaient à manœuvrer de sorte qu’il se retrouve assis à la place qu’elle occupait jusque-là.

Cette pulsion d’audace, peut-être encouragée par les souvenirs de ses ancêtres dont elle avait rêvé étant plus jeune, la guide pour s’installer à califourchon sur le vampire. Elle revient l’embrasser, glissant ses mains de chaque côté de sa nuque, alors qu’elle s’aide de ses genoux posés sur le siège pour onduler doucement contre lui, pour frotter son intimité affamée -bien que légèrement endolorie- contre le bas-ventre d’Hadrian.

« Je ne vais pas mentir en disant que j’en ai toujours rêvé, mais… Je suis curieuse… Des sensations qui changeraient dans cette position… Susurre-t-elle contre ses lèvres, ses yeux plongeant dans l’écarlate de ceux du mâle qu’elle coinçait entre ses cuisses. »

Ses reins s’arquèrent alors qu’elle écrasait sa poitrine contre son torse, que ses boucles brunes -alourdies par l’eau- glissaient sur la peau pâle de son amant. Elle soupira dans son cou en venant l’y mordiller doucement, joueuse, attisant autant son propre désir qu’elle voulait le faire pour le sien.
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