Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les terres sauvages / Re : Vois plus loin que ce que tu regardes. [Guillot de Belloy]
« Dernier message par Guillot de Belloy le jeudi 04 décembre 2025, 07:17:24 »
« Je suis une vampire. » Les mots avaient glacé le sang du Cocagnard d’un seul coup, et il avait certainement pâli nettement. Sans doute Calypso, avec ses sens ultradéveloppés, capta-t-elle le saut du cœur et la tension panique soudaine. Pourtant, le blond n’attaqua pas. Il n’attaqua pas car il croyait en la bonté, et il voulait l’entendre quand elle assurait ne boire que du sang animal.

« C’est… C’est très inattendu. »

Il tentait de rester brave et ferme, mais ça lui était impossible. La tension était clairement présente. Pourtant, il l’écoutait, et il l’entendit quand elle parla d’autre chose rôdant dans les environs. Il tiqua, la considérant avec sa stature, sa pâleur particulière et son apparente faiblesse. Bien sûr, tout cela pouvait n’être que la pâleur d’un vampire et de la comédie, mais il sentait l’honnêteté dans ses paroles.

Il tiqua, discrètement, et écouta attentivement, même si sur ses gardes. Il considérait vraiment ses options. Peut-être était-elle honnête, mais qui lui disait qu’elle ne profiterait pas de son dos tourné ? Pour une suceuse de sang en manque, un gars vigoureux comme lui qui ne faisait pas attention, c’était un festin de roi à s’en rendre malade. Mais il était là pour protéger le village et, si elle n’était pour rien dans les enlèvements, alors…

Et puis, il comprit : elle était sincère en disant ne boire que du sang animal. Sinon, elle ne serait pas dans cet état. Il avait vu peu de faune par ici, sans doute chassée par la même peur de cette chose qu’elle évoquait. Elle aurait pu se jeter sur un agonisant ou subtiliser un petit chasseur pour se requinquer, mais elle n’en avait rien fait. Soit elle était vraiment mauvaise à ça, soit elle était sérieuse dans sa démarche.

Alors, le Cocagnard prit une lourde décision. Il décida de lui faire confiance, et il relâcha la poignée de son épée pour le lui démontrer. Il restait un peu tendu et sur ses gardes, mais il n’était plus prêt à tirer l’arme au clair contre elle. Lentement, son regard fixé dans le sien, il essaya de comprendre.

« D’accord. Je veux bien vous croire, Calypso. Mais, cette chose… Vous avez bien dû la voir, pour en être si effrayée ? Dites-moi à quoi ça ressemble. J’aurai peut-être une idée de sa nature. »
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Les contrées du Chaos / Re : La salade magique [PV Guillot/Deidre/Lucian]
« Dernier message par Guillot de Belloy le jeudi 04 décembre 2025, 07:02:11 »
Sa présentation faite, Guillot n’eut pas longtemps à attendre avant que le moufflon ne lui réponde. Apparemment quelque peu froissé par son qualificatif de pyromane, qui n’avait rien d’insultant et n’était qu’une appréciation de ce qu’il avait vu de ses talents, celui-ci se mit en tête d’exposer de manière assez brute et fleurie son identité et ses arts, le paladin ne le corrigeant que d’un « Guillot » lorsqu’il se trompa sur son nom, avant de réaliser que cela ne changerait rien.

Kan tenta de faire arbitre, mais il fut bien vite décontenancé. Guillot lui sourit avant de se retourner vers Barbak, et il lui hocha la tête dignement.

« Mes excuses si je vous ai froissé, Barbak, fils de Barbeuk et Karagwyr. Si vos actes suivent vos paroles, je suis certain que nous saurons trouver l’un et l’autre un bon compagnon de route. »

Ce fut ensuite le tour de Deirdre, qui n’y alla pas par quatre chemins et tira au paladin un hochement de tête surpris. Ange et fée, voilà un mélange bien inattendu et certainement rare. Il avait entendu des histoires d’Anges tombant sur Terra pour quelque mission ou après quelque faute, mais il n’avait jamais vu quelqu’un qui soit ne serait-ce qu’en partie angélique. Il était, décidément, entouré d’illustres, lui, fils de baron cocagnard.

Puis, elle entreprit quelque récit, apparemment rituel, et Guillot garda le silence, l’observant d’un air sobre, baissant le regard en recueillement, mais le tournant quand même vers les autres comme pour leur demander si c’était chose commune. Elle passa de l’un à l’autre, et cette fois encore Kan en prit pour son grade. Le chevalier se sentit un peu désolé pour leur guide et commanditaire. Mais il fut attentif quand elle décrivit succinctement ce qu’ils venaient d’affronter. Une arme magique. Oui. On disait que les Terres du Chaos en étaient pleines, armes échappées et oubliées, ou conséquences collatérales de combats magiques intenses. Certains disaient aussi qu’Ashnard répandait volontairement ces hordes monstrueuses, mais personne ne pouvait être si mauvais. Si ?

Cette commandante, en tout cas, affectait toute la gravitas d’un officier d’expérience. Elle rangea Kan durement, mais honnêtement, sans cruauté, et, cette fois, Guillot ne fut pas désolé pour lui. Elle avait raison, et le Terranide le savait aussi, même s’il était contrarié.

Et puis, elle avait servi le repas. Un vrai repas de campagne, fait avec la prise du jour. En l’occurrence, une arme magique. Rien que ça ! Guillot en était tout excité. Il inspecta le bouillon avec un intérêt gourmand, mais releva la tête quand Deirdre sembla appeler quelqu’un à prendre le relais. Il regarda à droite et à gauche. On l’observait. Alors, il se racla la gorge et parla à la nuit.

« Guillot, enfant de Cocagne, et… euh… prêt à protéger tous ceux qui en auraient besoin ! »

Il n’était pas convaincu. Il avait même essayé de lever son poing en l’air, mais il se sentit bête. Il rabaissa la tête dans un autre raclement de gorge et croisa le regard de Lucian, qui n’avait pas encore parlé, et détourna le sien passivement.

« C’est Lucian Kalvenhaar. C’est un Démon. »

Son sang fit un tour, mais, si celui-ci était là, c’était sans doute parce qu’il était digne de confiance et pas si mauvais, n’est-ce pas ? Un peu perturbé, Guillot eut du mal à décrocher son regard de lui tandis qu’il entamait son dîner.
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Les alentours de la ville / Re : Pour le biquet de Harley
« Dernier message par Vance Dax le jeudi 04 décembre 2025, 06:39:24 »
Lance ignorait s’il préférait Harley ainsi, immobile et passive, ou animée et fébrile. On disait que le calme précédait la tempête, et il espérait que ça ne serait pas le cas, ici. Il s’attendait à recevoir un coup de maillet à son tour à n’importe quel moment. S’il n’avait pas encore de cheveux blanc, il allait sûrement gagner son premier sur cette assignation, et il ne serait pas volé. Le delirium manifeste de la jeune femme rendait la situation extrêmement volatile, et particulièrement tendue.

Mais, après tout, n’avait-il pas proposé ce plan, et convaincu son patron d’y adhérer ? Oui, il allait y gagner, et il croyait assez en lui-même pour se convaincre qu’il avait fait le bon choix. Alors, comme face à un prédateur menaçant de se jeter à sa gorge au moindre signe de peur, il restait aussi calme que possible, de manière improbable, par pur instinct de survie.

Même lorsqu’elle accepta son offre, il ne se sentit pas rassuré. Il la savait agile et très forte. Il ne doutait pas que cette femme ait la capacité de le battre au corps-à-corps, même s’il était particulièrement bon lui-même. Il n’allait ni se surestimer, ni la sous-estimer. Cette philosophie l’avait gardé en vie jusqu’à aujourd’hui, au contraire des deux hommes qui l’accompagnaient.

« Très bien, accorda-t-il à la folle en contournant le maillet sanglant qui venait de fracturer le béton en tombant. Nous allons prendre un hélicoptère ensemble. C’est l’affaire d’une heure de route. »

Peut-être dormirait-elle à bord. Il en doutait. Elle semblait surexcitée, et d’autant plus depuis que la perspective de voir son Joker se profilait. Vraiment, il espérait que le patron saurait la gérer. Il n’en doutait pas vraiment, mais elle était juste bien plus imprévisible et atteinte qu’il ne l’avait escompté. Il s’attendait à voir une personne atteinte d’un trouble de l’identité sévère, pas… ça.

Il la guida à l’extérieur, passa un appel sur sa radio et, bien vite, un bruit d’hélice caractéristique se fit entendre, tandis qu’un élégant ACH160, non pas que Harley puisse en apprécier la qualité et le confort, sans doute, apparaissait pour venir se poser dans la cour désaffectée.

Lance s’avança, et faillit proposer son aide à Harley avant de se raviser, la laissant grimper souplement d’un bond à bord avant de suivre. Le casque sur les oreilles, Lance n’eut pas besoin d’entendre clairement la question du pilote pour répondre :

« On y va. »

Ils y iraient seuls, oui. Ainsi, l’engin décolla et les portes se refermèrent, et, une fois à une altitude suffisante, l’appareil commença à accélérer franchement, poussant à une vitesse excédant largement les 250km/h après quelques minutes à peine de vol. De son côté, Lance essayait de se concentrer sur le panorama, se donnant un air concentré, comme s’il guettait un signe de danger, quand le vrai danger se trouvait face à lui. Finalement, il n’y tint pas, et il tourna le regard vers Harley pour la voir en train de le fixer, les yeux fixes, son casque semblant être un accessoire futile sur la tête d’une poupée inanimée ultraréaliste, et un frisson dévala son échine.

« Je pense que je vais essayer de dormir un peu, dit-il machinalement. Le trajet ira plus vite comme ça. Vous devriez essayer. »

Bien sûr, il n’allait pas réussir à dormir. Pas là. Pas sans somnifère non plus. Mine de rien, deux de ses hommes venaient de mourir d’une des pires façons possibles, et c’était quelque chose qu’il n’allait pas oublier. En tentant de fermer les yeux, il voyait leurs visages se superposer à leurs dépouilles grotesques.
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Les alentours de la ville / Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina
« Dernier message par Vance Dax le jeudi 04 décembre 2025, 06:14:56 »
Une réalité de la vie de Vance était qu’il était amené à croiser des gens très divers, et des femmes en particulier. Son profil pouvait séduire tout type de créature, de la mieux mise à la plus mal fagotée. Ce qu’il avait appris, cependant, était que les femmes avaient toutes la même bête en elles, et qu’elles finissaient toutes dans les mêmes états. Alors, il ne se concentrait plus depuis longtemps sur les apparences, et il ne s’embarrassait pas d’imaginer quoi que ce soit de spécial pour qui que ce soit. Ce qu’il cherchait, par contre, c’était des femmes capables d’assumer entièrement leur côté animal et de s’y complaire totalement. En cela, Catalina passait pour une prodige, celle-ci ne faisant à aucun moment mine de vouloir se dérober à sa vue ou à la situation, ou à devoir commenter leurs actes, ou s’excuser pour son appétit. Certaines l’auraient fait, de peur d’être considérées comme des salopes, mais elle avait clairement réalisé, elle, que ce n’était pas un mal d’en être une, et que personne ne devrait proférer ce mot hors d’échanges scabreux et à dessein. Elle était femme accomplie, tout simplement.

En tout cas, ils n’avaient plus fière allure. Aucun d’eux. Et si Vance était évidemment moins débraillé que Catalina, les dégâts se cantonnant surtout à sa braguette, son entrejambe, et à la fine couche baveuse de rouge à lèvres qu’il pourrait cacher à l’intérieur de son pantalon une fois fermé, il exposait des signes différents, comme une certaine rougeur au visage, un air légèrement absent, comme flottant, maintenant que le pic de sa jouissance avait fini de le marteler en ne laissant derrière lui qu’un vide et une hébétude parfaitement normaux, mais bien visibles à qui savait regarder.

« Tu ne perds jamais le nord, s’amusa-t-il en riant tandis qu’il se dandinait pour ranger son attirail et refermer sa braguette. On ne dira pas que j’ai été un profiteur. »

Tranquillement, il ouvrit le fameux minibar, sélectionnant une petite bouteille de whisky et une autre de vodka tandis que leur limousine s’insérait sur le parking de l’hôtel, tournant devant la réception pour les déposer devant et déclencher l’apparat classique de ce genre de lieux, avec un voiturier déçu de voir un véhicule avec chauffeur, et un majordome trop mielleux à la porte, qui reçut néanmoins son billet de l’homme. Pas de regards surpris, ou d’airs transis : ces gens recevaient régulièrement du beau monde et, pour ce qui était de leur état, là aussi, ils en voyaient passer d’autres.

Pendant leur petit trajet en ascenseur, il s’était permis de libérer docilement son bras de la prise légère de la brune pour le glisser dans son dos, sa large main gagnant ses reins avant de s’aventurer à ses fesses, comme s’ils étaient deux adolescents indécents cherchant à montrer publiquement leur affirmation sexuelle. En soi, c’est surtout qu’il affirmait ses intentions par rapport à elle. Il revint à ses reins à leur arrivée, marcher étant plus pratique ainsi, et il la suivit sans un mot, notant quand même le numéro 286 avant d’entrer à son invitation.

En parfaite hôtesse, Catalina lui fit faire le tour des lieux, et Vance ne manqua pas de noter tant le luxe de la suite que la quantité d’équipements très arrangeants s’y trouvant. Ils auraient, clairement, l’occasion de s’amuser plus que de raison. Mais ils finirent déjà leur cheminement au salon, Vance laissant ses bouteilles emportées sur la table basse tandis que Catalina s’affairait au minibar, imperturbable malgré son maquillage déjà ruiné et le naturel des courbes plantureuses qui bougeaient de manière peu propices à la concentration dans son tailleur.

D’ailleurs, il n’avait pas tout de suite répondu à sa petite énumération, et il se réveilla soudainement, réalisant l’effet hypnotique que son postérieur dénudé et bien intentionnellement offert à sa vue avait eu sur lui. Ah ! Il se connaissait pourtant bien. Il pouvait jouir dans une bouche, mais il n’était jamais rassasié sans un con. Et s’il pouvait avoir de tout et se resservir, il n’était jamais homme à se dérober non plus. Sa nature le dominait et un sourire entendu passa sur ses lèvres tandis qu’il se relevait du canapé.

« Sers-moi donc un whisky, si tu veux bien. »

Il la laissa faire tout en se dirigeant doucement vers elle, s’avançant à pas de loups vers sa croupe cambrée alors qu’elle s’occupait de préparer leurs verres. Elle pouvait sans doute le voir approcher en reflet, mais elle n’en affecta rien de visible, et il finit par se porter jusqu’à elle, une main à ses hanches, l’autre empoignant une fesse brièvement avant de la claquer fermement, mais sans trop de violence non plus. Son aine vint se coller à sa croupe et le bulbe mollasson de son entrejambe se mettait déjà à témoigner d’une vigueur renouvelée, épaississant et durcissant nettement contre elle tandis qu’il lui soufflait :

« Tu crois qu’on va réussir à le boire, ce verre ? »
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Randal Dragunov le mercredi 03 décembre 2025, 23:28:02 »
Avec toutes ces jeunes femmes qui tournent autour de lui, Randal n'a que l'embarras du choix pour rendre la situation plus stimulante pour tout le monde. Y compris pour Céleste malgré qu'elle ne soit pas intéressée par la gente féminine. Le corps de la belle sorcière n'a plus énormément de secrets pour lui. Ses besoins, comment les satisfaire... Ca il sait comment s'en occuper. Et la chose se confirme rapidement quand elle atteint l'orgasme avant lui une fois de plus. De son côté, l'homme pouvait tenir encore un moment avant d'arriver au même stade car il avait donné de sa personne à plusieurs reprises au court de cette journée. L'éjaculation allait forcément lui demander plus de temps et de stimulation à force de reproduire la chose. Contrairement aux hommes, les femmes peuvent profiter pleinement de la chose à répétition.

L'épais chibre couvert de veines grotesque à cause de son excitation débordante écarte l'anus de Céleste comme jamais il n'avait pu y parvenir jusque là en dépit de leurs multiples coucheries. Ce soir est spécial pour le couple de nombreuses façons. En tout cas l'imposant personnage s'amuse à retourner avec vigueur dans son anus qui ne sait plus si il se repli ou se fait écarter de force à cause des stimulations répétés. La force d'aspiration de son orifice fait tout pour lui indiquer qu'il ne veut pas le voir sortir de si tôt. Dans un souci de faire plaisir à sa partenaire, un nouveau coup de rein vient la ravager sous les regards stupéfaits des trois spectatrices.


- Arrête de loucher sur ma bite et filme son visage aussi.


Jusque là le visage de Céleste était plus souvent coincé dans le cuir du canapé. Alors pour l'aider Randal lâche la crinière qu'il tenait avec fermeté jusque là pour poser sa paume sous le menton de la sorcière jusqu'à ce que son visage puisse être capturé par l'écran. Mais cela ne lui suffit pas. Alors pour rendre l'image plus excitante aux yeux de la vendeuse il glisse son pouce dans la bouche chaude et humide de sa victime plus que consentante afin qu'elle le suce.
Le tout accompagné de mouvements amples mais plus lent de son bassin car il continue de l'enculer sans ménagement. Jusque que cette fois il veut profiter du moment en s'enfonçant plus lentement jusqu'à la garde. Approchant, collant, son pubis contre sa croupe si parfaite et sur laquelle il se frotter quelques secondes pour repartir en arrière et revenir de plus belle quand seul son gland restera coincé don son trou. La chose dure plusieurs secondes. Ce changement de rythme a pour objectif de provoquer une envie chez elle qu'il comblera quand il reviendra la sodomiser fort.


Et l'imagination de Randal ne s'arrête par là. D'un regard et d'un signe de la tête il fait comprendre à la rouquine et son amie Shana qui prenaient du plaisir ensemble de les rejoindre. Au début elles hésitent quelques secondes avant de hausser les épaules.
Les jeunes femmes se lèvent et viennent se placer à le droite du couple. Ce petit interlude passé seules n'a pas été gaspillé vu qu'elles sont toutes les deux à moitié nues pour mieux se caresser l'une et l'autre. Et une main vient rapidement se glisser dans la culotte de la rouquine qui répond avec un couinement qui surprend la blonde.


- Aaaahnnnn ! Même ses mains sont si grandes.
- C'est vrai ? J'ai envie de vérifier.
- Ah oui ? Attends...
- Mnnnnn !
- Alors ? T'as l'air d'apprécier. Tu sers les cuisses.
- P-Pas du tout.



La main libre de Randal passe d'une culotte à l'autre et il peut glisser sans la moindre difficulté deux doigts dans leurs chattes trempées. Les deux jeunes femmes semblent même être très réceptives à ses caresses car elles s'étaient chauffées mutuellement tout en jouant avec son sperme après son éjaculation sur leurs visages.
Jouer avec elles de cette façon n'a pas pour unique but de l'amuser. Non, sa bite frétille et gonfle d'excitation à chaque fois qu'il vient visiter l'intimité de l'une d'elle alors qu'elle est bien ancrée dans le cul de la sorcière.


- Venez ! Approchez-vous ! Toutes les deux.


Curieuses de voir ce qu'il peut bien avoir en tête, elles s'exécutent sans broncher. Et là, les doigts couverts de cyprine tirent sur le soutien-gorge de la rouquine pour en libérer un de ses énormes seins qui rebondit de haut en bas sous l'effet du tissu baissé de force. Ce qui a pour effet de tendre encore plus la queue du mafieux qui effectue un mouvement avec son bassin pour tenter de soulever le corps de sa moitié si cela était possible. Et sa bite reste tendue, dure et gonflée comme jamais quand il vient malaxer le nichon désormais dévoilé. Par moments il vient même le prendre dans sa bouche quand la rouquine se rapproche assez de lui.

Avec toute cette vigueur a disposition, il est temps de revenir enculer Céleste comme une brute pour lui provoquer un second orgasme. Et rien ne lui sera épargné durant les cinq minutes qui suivront. La façon avec laquelle il s'enfonce en elle est encore plus brutale qu'avant. Si la blonde était choquée par ce qu'elle voyait, elle ne sera pas déçue du voyage d'ici à la fin de leur baise groupée.

Lui ouvrir le cul ne sera pas qu'une menace en l'air. Il va finir par y arriver à force d'insister sur son pauvre œillet et il aura plusieurs témoins pour confirmer qu'il y est parvenu. Et ce n'est qu'après lui avoir offert un nouvel orgasme que la suite de son plan peut se dérouler. Bien sûr, rien n'est réellement anticipé. Chaque décision est improvisé sous le feu de l'action.


- J'espère que t'es pas encore épuisée car je commence à peine. Et tant que je bande, tu ne quitteras pas cette pièce.


Cette fois il glisse un bras sous le ventre de la sorcière pour la ramener vers lui sans jamais sortir de son anus brûlant. Quelques secondes lui sont nécessaire pour se retrouver en position assise, elle, dos collé contre son torse. Sa bite va servir de barre de pôle dance et son cul dansera dessus. Dans une version un peu pimentée. Et pas question de la faire attendre pour perdre en intensité. A peine sont-ils en position qu'il pose ses mains sur les fines hanches de la belle créature à la peau caramel pour l'aider à lever son corps et le faire redescendre pour s'empaler sur ce long et épais bout de viande qui va revenir lui déchirer les parois du rectum.

D'une voix marquée par le plaisir, il tremble un peu entre deux respirations pour donner son prochain ordre aux jeunes femmes qui ne savaient pas trop si elles devaient reprendre leurs caresses ou les rejoindre d'elles-même.


- A vous de décider qui, mais j'en veux une à quatre pattes pour me sucer les couilles et l'autre sur le canapé à ma droite.
- Je prends le canapé.
- Okay ! Mais on échange après.
- Peut-être.



Très rapidement les filles prennent leur place devant les commentaires bien sales de leur copine blonde qui profite de la situation sans participer. De toute manière, en terme de participation il y a déjà de quoi faire. Shana a grimpé sur le canapé en se mettant à genoux dessus dans la direction de Randal. Sans attendre qu'on le lui demande, elle a ouvert et retiré son soutif pour montrer sa généreuse poitrine qui va rapidement finir entre les lèvres du mâle à ses côtés.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le mercredi 03 décembre 2025, 21:26:50 »
Mon calme s'est envolé depuis un bon moment désormais. Tout ce que je me contente de faire c'est de ressentir depuis que cette sauvage m'a sautée dessus. Entendre sa voix avait pour habitude de me faire monter les nerfs. Sauf que là c'est mon excitation qui grimpe en flèche à la place. Alors la sentir mouiller autant rien qu'en se faisant pilonner contre un mur comme une chienne ne risque pas de m'aider à baiser le rythme ou penser à la suite des évènements. Anticiper un mouvement plus de 5 secondes dans le futur relève du miracle.


- C'est que le premier, ouais !


Sa petite chatte étroite ne suffit pas à me calmer suffisamment pour que le rythme de mes coups de reins en pâtissent. Est-ce que mon corps est simplement guidé par mon envie de la dominer ou est-ce qu'il reste encore un peu de ma rancune dans le mélange ? Dans l'un comme dans l'autre, elle va prendre cher aussi longtemps que je banderai. Je l'ai décidé et je vais m'y tenir.


- Un costume ça se change.


Les mots ont du mal à sortir de ma bouche car je respire de plus en plus lourdement. Chaque syllabe est accompagnée d'un coup de butoir violent en elle alors qu'un large sourire satisfait déforme mon visage. Ce soir les rôles sont échangés. Et cela ne changera pas. En tout cas ce n'est pas l'impression qu'elle donne vu la façon avec laquelle elle me regarde depuis un moment déjà.
Certains muscles de mon corps commencent à me tirer à cause de notre position. Mais je continue à laisse mon bassin effectuer ses mouvements de pendule pour s'enfoncer en elle aussi fort et vite que possible dans ce tunnel ou chaque son résonne et ou de la poussière ne cesse de tomber ici et là avec les vibrations provoquées par nos corps.


- Alors que toi... Je vais te remettre à ta place ce soir. Et ça va commencer très rapidement.


Faire durer les choses est clairement dans l'ordre du possible si je calme le rythme. Sauf que mon objectif est ailleurs. Quoique... C'est une idée à creuser. Pas tout de suite, mais plus tard peut-être. Là, sur l'instant T, je carbure comme une machine pour faire gémir aussi fort que possible la belle blonde que tout le monde pense si innocente. Son visage défiguré par le plaisir et l'orgasme ferait tomber des gens de leur chaise par dizaines si ils la voyaient.

Quand je sens la sauce monter une nouvelle fois je ne me retiens pas un instant et je ne la préviens pas non plus d'une quelconque manière. Ce n'est que par la biais d'un énième coup de rein surpuissant qui soulève tout son petit corps frêle que le liquide chaud et gélatineux qu'elle a pu savourer plus tôt commence à s'expulser dans sa chatte trempée. Ma main s'ancre dans la peau tonique de son petit cul comme pour y imprimer son empreinte afin qu'elle y reste gravée des jours durant.

Chaque jet fait tressauter ma queue qui repousse subtilement ses parois serrées qui massent la peau sensible et veinée de mon membre avec pour objectif de récupérer chaque goutte de ce précieux nectar. Les muscles de mon bras me brûlent désormais à force de la tenir alors que je viens redonner un nouveau coup de rein qui fait gicler le sperme qui dégouline de sa fente trop pleine. Tous les coups suivant font éclabousser le liquide blanc dans toutes les directions.
Me vider en elle est tellement bon. Même si je ne vais pas lui offrir ce plaisir de le savoir en l'exprimant oralement. Non, j'ai un nouveau statut à assumer en devenant le dominant permanent de cette relation.


- T'aimes autant te faire remplir la chatte que la bouche. Je peux le voir dans tes yeux.


Avec autant de délicatesse que je me suis enfoncé en elle jusque là, je me retire rapidement en offrant un peu de répit à ma main qui la gardait en place. Ma queue reste sale. Une bonne partie de mon gland est encore couverte de sperme et un petit filet épais continue d'en dégouliner pour souiller le sol. Cette petite démonstration devrait avoir fait son effet auprès d'elle.


- Ne va pas t'imaginer que c'était le remplissage dont je t'avais parlé. On ne fait que commencer. Mais tu vas me détacher et on va aller ailleurs pour continuer.


De la main je lui saisis le visage au niveau du menton en baissant mon regard dans sa direction. J'ai assez de force dans les doigts pour maintenir une poigne ferme, mais pas trop dure non plus. Juste ce qu'il faut.


- Je n'ai même pas encore commencé à te souiller comme tu le mérites. mais ça va vite arriver, rassures-toi. Et... Oui, on va faire ça chez toi. Ce sera plus drôle de marquer mon territoire là-bas.


J'ignore si ça va marcher même si je suis plutôt optimiste. Cette nymphomane semble insatiable. Tout ça risque de se retourner contre moi si je me foire. La tentation est trop grande. J'ai envie de tenter ma chance et de voir jusqu'où je peux aller avec elle en prenant les devants.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Cora Travers le mercredi 03 décembre 2025, 13:23:05 »
Quand sa peau est rouge à cause de la température de l'eau, et fripée à force de rester sous le jet, Cora se relève enfin. Avec difficulté. Elle ferme les robinets et pose un instant le front contre le carrelage de la douche, le temps de souffler. Puis, s'efforçant de ne pas glisser en sortant, elle s'enroule dans une grande serviette éponge blanche avant de sécher ses cheveux avec une plus petite. La fatigue est là, ainsi que les retombées de la drogue. Ryo n'est pas venu la rejoindre et, quelque part, elle le comprend. Elle a tendance à être plutôt insatiable niveau sexe, même après cette soirée. En évitant soigneusement de croiser sa réflexion dans le miroir, Cora se brosse les dents vigoureusement.

L’esprit embrumé autant par les contrecoups de la coke et de la fatigue, la mutante descend finalement rejoindre son amant, l'embrassant avec affection et tendresse. Ses yeux effleurent l'enveloppe qu'il lui montre, mais elle n'esquisse pas un geste pour aller la prendre, préférant venir se lover dans les bras du flic, toujours avec la serviette qui la couvrait.

La tête blonde se pose contre l'épaule de Ryo alors qu'il la porte pour l'emmener dans la chambre. Ses prunelles myosotis se lèvent vers lui alors qu'elle esquisse un sourire en coin, vite contrôlé quand il devance ses pensées et refuse gentiment. Ce sont ces petits gestes, cette considération qu'il lui témoigne, qui font que Cora ne semble pas vouloir cesser de le fréquenter. Ça, et le sexe, bien entendu. Il comprend ce qu'elle veut et le lui offre sans se faire prier.

Après un « Bonne nuit » murmuré quand il la dépose sur le lit, elle glisse rapidement dans les bras de Morphée, ne bougeant que pour se blottir contre lui quand Ryo vient ensuite se coucher plus tard.

Le lendemain, elle ne se réveille pas quand le flic sort du lit. Mais elle commence doucement à émerger peu après, plissant les yeux à cause de la luminosité, se cachant la tête sous l'oreiller en grondant sourdement. Elle reste un moment comme ça, à mi-chemin entre l'inconscience et le réveil, somnolant, rêvant de choses sans queues ni têtes. C'est la voix de son amant qui la sort enfin de cet entre-deux, et l'odeur du petit déjeuner. Elle hésite entre avoir la nausée et être affamée, ayant l'impression d'avoir une gueule de bois carabinée. Et la voix de l'homme résonne dans son crâne, déclenchant un martèlement entre ses tempes.

« Oooh, shit… Pas si fort… Supplie-t-elle d'une voix éraillée, étouffée par l'oreiller. »

Étirant doucement chacun de ses membres, son dos et son cou, elle se défait finalement de l'étreinte hasardeuse des draps pour se redresser dans le lit. Et le regrette aussitôt alors que sa vision tangue et que som crâne rugit de son sang qui afflue, qui circule dans ses veines.

« Rappelles-moi de ne pas prendre deux fois de la coke dans la même soirée, mmh ? Demande-t-elle à mi-voix en se tenant la tête, assise sur le bord du lit. »

Se massant doucement les tempes, Cora finit par se lever difficilement, tâtonnant pour trouver ce petit kimono noir en dentelle et s'enrouler dedans, serrant la ceinture autour de sa taille fine.

Pieds nus, la jeune femme rejoint finalement son amant, venant se blottir contre lui avec un petit soupir de satisfaction en ressentant son corps puissant contre sa poitrine.

« Bonjour, vous… Souffle-t-elle finalement en levant la tête vers lui pour lui offrir un sourire affectueux. »

Elle ignore sciemment les évènements de la veille, préférant se concentrer sur l’instant présent. Ses mains viennent se glisser contre le torse de Ryo, remontant pour se faufiler sur sa nuque et l'encourager à baisser la tête pour un baiser.

« Tu es levé depuis longtemps, pour avoir ainsi préparé le petit déjeuner ? Demande-t-elle ensuite en restant lovée contre lui, essayant d'ignorer l'orchestre qui a décidé de jouer de la batterie dans son crâne. »
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Ryo le mercredi 03 décembre 2025, 10:26:20 »
Deux infos importantes clôturaient cette longue journée. La première, Ryo venait de s'emparer d'un beau pactole qui lui assurerait un bon train de vie tant que le business de l'élu pourri tournerait.La seule chose qu'il avait à faire, c'était de surveiller l'activité de la police dans son secteur et d'orienter les flics trop curieux sur des pistes foireuses ou tenues par les concurrents du quartier de la Toussaint. En soi, ce n'était pas grand chose car les policiers affectés dans les commissariats locaux veillaient plus à ne pas être emmerdés qu'à vraiment faire leur boulot. La Toussaint était le furoncle de Seikusu et tant que les activités crapuleuses ne débordaient pas trop sur le reste de la ville, personne ne s'en souciait vraiment.
Avec tout ce pognon, il allait pouvoir offrir à Cora des ... Quoi ? Le grand flic secoue la tête et s'allume une clope en se dirigeant vers la grande baie vitrée à partir de laquelle il peut contempler les toits du quartier. Ce n'est pas une vision de rêve mais c'est là qu'il vit. L'homme a les sourcils froncés. L'introspection, ce n'est pas son truc mais quand même, il pense pas mal à Cora en images autres qu'objet sexuel bon à tout faire. Cette dérive ne fait pas partie du plan initial et les changements de cap de dernier instant, ce n'est pas bon. Il n'aime pas ça. Ses réactions montrent bien que l'américaine dispose elle aussi d'une certaine forme de main-mise sur lui. Ce qui l'amène évidemment à considérer la deuxième information: l'aptitude de Cora à dupliquer des objets. Là, faut vraiment être prudent car elle a lâché l'info sous l’effet des drogues et alcools ingurgités. Il ne faudrait pas que cela se reproduise avec quelqu'un d'autre.
Trop la shooter reviendrait à l'orienter vers sa fin, ce qui est maintenant totalement exclu. Mais ne plus la contrôler par ce biais reviendrait à prendre le risque de la voir s'émanciper, et cela aussi est totalement exclu. Donc, il faudrait qu'elle adhère à ce mode de vie qu'il lui a imposé. Pas simple.

Cora reste trois plombes sous la douche et Ryo ne la rejoint pas. Va falloir qu'elle redescende en pression sinon elle pourrait claquer nerveusement. Et puis lui aussi, il arrive au bout de ses capacités. Il n'est pas un surhomme question cul et pour aujourd'hui, il a atteint ses limites.

Quand elle apparait, il l'accueille avec un baiser et lui montre une enveloppe sur la table.

"Ta rémunération pour ta performance. Tu pourrais gagner bien plus si tu t'engages sur ce genre de trucs."

Y'a un paquet de fric là. Ce n'est rien pour un type comme Ryo pour un citoyen lambda, ça représente un bol d'air confortable.

Après, il la porte jusqu'au pieu tout en décryptant son regard.

"Je sais ce dont u as envie mais je serais le dernier des connards si j'acceptais. Là, tu vas pieuter et demain, on parle. Et pas de coke ce soir car pour aujourd'hui, ça suffit. C'est un petit plaisir qu'il faut savoir gérer, et là je t'y aide."

Tu parles ...

Mais ouais, dès demain, la poudre, ce sera limité. Il va falloir que Cora travaille à accepter une toute petite dose de fonctionnement genre après le petit déj, ou avant le boulot. Pas plus. Les écarts pourraient être autorisés par Ryo si nécessaire ou pour évènements comme le soir-même. Son plan: très simple. Ils se foutent en couple et elle crèche chez lui. Il l'a à l’œil. Les connards du coin sauront qu'elle est à lui et feront pas chier, et leur petit secret sera bien gardé à la Toussaint où les informations circulent plus vite qu'à la NSA.
Et pour bien verrouiller le tout, il peut s'arranger avec un type qu'il connait au service de  l'immigration pour mettre un coup de pression à Cora si elle en venait à vouloir sortir de sa descente aux Enfers. Enfin, ils n'en étaient pas là.

Parce que là, Cora ronque et il est probable qu'elle ne bougera pas avant un moment. Ryo lui aussi poireaute sous la douche. Comment va t'il gérer le don de Cora? Trop de fric d'un coup, c'est pas simple à blanchir non plus et ça attire l'attention et les convoitises. Va falloir être malin.
Après, il la rejoint et pieu et il ne l'encule pas à sec. Il s'endort tout simplement pour ne se réveiller qu'à une heure avancée de la matinée suivante. Le cadavre à ses côtés ferait honte à un gros allemand entrain de rôtir sur la plage. Cora ressemble à un épouvantail, sur le dos, bras et jambes écartés, tout en vrac, mais trop craquante. Putain arrête ça!

Café, 'tit déj, tout est prêt, comme dans les films. L'amoureuse transie sera réveillée par l'odeur du pain grillée et du café ... et si nécessaire aura un médoc pour calmer la tempête qui laboure son cerveau.

Ryo traine un peu en calebard et t-shirt, il ne bosse pas aujourd'hui.

Il a son mug à la main et contemple depuis sa position préférée ce quartier qui est le sien.

"Hey salut Frankenstein! Ça va là-haut? Ça tape pas trop fort dans la boite?"
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Les alentours de la ville / Re : L'Ombre du passé [Saël Thorne]
« Dernier message par Saël Thorne le mardi 02 décembre 2025, 21:39:21 »
Anéa parle, et ses mots pourraient être des lames si sa voix n’était pas si familière.

Tsaphkiel incline très légèrement la tête, l’ombre de ses cheveux sombres glissant sur sa joue. Son regard mordoré évite le sien une seconde, pas par gêne, ni par honte… mais parce qu’il sait trop bien ce que ses yeux reconnaissent quand ils rencontrent les siens. Une vérité qu’il n’est pas encore certain d’avoir le droit de regarder en face.

Quand elle se moque de lui, de son aura, de son épée, du ridicule d’être “discret” ici, un souffle lui échappe. Pas un rire. Pas vraiment. Plutôt une exhalation qui appelle la sincérité.
Ce n’est pas moi qui ai choisi l’endroit où je descendrais.

Sa voix est calme, posée, d’une douceur intransigeante.
Le point d’arrimage m’a simplement… laissé ici. Le hasard, ou ce qu’il en reste.

Il relève lentement les yeux vers elle, juste assez pour accrocher son regard avant de le laisser glisser ailleurs, par pudeur plus que par prudence.
Et pour le reste… Méniel a pris les dispositions nécessaires. Là-Haut, tout le monde croit que je suis dans mes quartiers, ou en audience. Personne ne sait que je suis sur Terre.

Un silence. Court. Dense.

Puis, sans détour :
Et je suis venu pour toi.

Le Gardien du Jugement Silencieux ne dit pas pour t’abattre. Il n’en a ni la posture, ni l’intention, ni même l’ombre du geste.
Non pour couper ton souffle… mais pour rétablir l’Équilibre qui t’a été arraché.

Il la suit quand elle contourne, quand elle frôle son épaule. Un contact si infime qu’aucun humain ne l’aurait senti. Eux si.

Sur le chemin, il observe tout. Les différents moyens de locomotion. Les enseignes. La circulation des passants. Les différentes manières de s’habiller. Les différentes teintes de lumière. Chaque artère de la ville, chaque odeur d’asphalte, de terre, de pluie, comme s’il devait mémoriser une carte invisible. On ne sait jamais… la Terre n’a pas la constance du Ciel.

Quand celle en qui il avait le plus confiance parmi les Archanges dit que son ciel est “bas” maintenant, il l’écoute sans broncher, puis répond avec une fermeté douce, presque chaleureuse :
Le haut et le bas ne sont que des directions. Il y a du bon et du mauvais partout, Anéa. Ce ne sont pas les lieux qui décident… mais ce qu’on en fait.

Il la laisse entrer seule dans l’immeuble, par respect, ou peut-être par intuition. Et juste après qu’elle a disparu dans les étages, il ferme les yeux et appelle mentalement :
Méniel.

Sa pensée traverse la trame céleste, ténue, sacrée, un fil d’ambre dans l’immense. Il ignore si son scribe peut entendre si loin, mais il essaye.
Je l’ai trouvée. L’Archange guerrière. Anéa. Je dois vérifier ce qu’elle est devenue. Reste en alerte, mais ne fais rien. Pas encore.

L’air crépite autour de lui une seconde… Puis s’apaise. Pas de réponse, mais une impression. Comme une fidélité intime qui lui revient, chaude et discrète.


Celle pour qui il aurait arrêté de contrôler ses émotions, réapparaît.

Le regard de glace heurte celui d’ambre. Et, malgré lui, une tension lui traverse la poitrine. Pas de désir,  pas encore, mais cette sensation de retrouver quelque chose qui n’aurait jamais dû être perdu.

Il apprécie. Oui. Ce regard droit. Ce regard vrai.

Lorsqu’elle hoche la tête pour signifier leur départ, une ombre passe dans les yeux du Prince. Une nuance de douleur.

Il n’a plus ses ailes. Il les a laissées au seuil du monde pour descendre jusqu’à elle.

Alors il inspire. Profondément. Il lui faut un peu de temps. Et la lumière craque d’un coup derrière ses omoplates.

Son dos se cambre, imperceptiblement, alors que les cicatrices argentées se rouvrent, que les muscles se soulèvent sous la peau, qu’un sifflement humide perce la chair céleste. Les rémiges s’extirpent, longues, lisses, sombres comme une nuit sans étoiles, tandis que le tissu humain se déchire en silence autour d’elles.

La douleur est fine, intense, métallique, presque musicale. Il ne la montre pas. Il n’en a jamais montré aucune.

Ses ailes jaillissent, s’étendent, battent l’air, et l’Archange se met à la suivre, se maintenant toujours derrière elle. Toujours à distance respectueuse. Mais sans jamais perdre sa vitesse.

Ils volent longtemps. L’océan exhale son sel, son froid, ses embruns épicés. L’air gifle, le vent chante, la lumière danse.

Habomai apparaît. Un plateau sauvage, vaste comme un souffle ancien.

Tsaphkiel se pose derrière elle, et la terre glisse sous ses pieds un bref instant. Un déséquilibre, discret, humain presque.

Il ferme les yeux une seconde. Il savoure.  L’air marin. La mousse. Le parfum minéral du monde. Si différent du Ciel. Lorsqu’il les rouvre, Anéa est là, en train de s’incliner avec une révérence digne d’une cour perdue depuis mille ans.

Il croit d’abord à l’ironie. Il n’a jamais aimé qu’on ploie devant lui. Alors il s’incline à son tour. Plus bas. Plus gracieux.

Pas pour le rang. Pour elle.

En se redressant, un sourire très fin traverse son visage. Sa duelliste pourrait croire que c’est le plaisir du duel. Ce ne l’est pas. Pas vraiment.

C’est le plaisir. Simple, pur, presque douloureux, de la retrouver.

Sans un mot, il retire sa veste noire, aux reflets mats. Puis ses gants prunes, glissants comme de la soie froide. Puis sa chemise, que le vent marin saisit aussitôt. Enfin, il défait ses cheveux, qui tombent en cascade sombre jusqu’entre ses omoplates et dansent dans la brise. Il reste torse nu, en pantalon, laissant ainsi une marque inconnue de l’ancienne guerrière. Une ligne noire-bleutée au reflet argenté de son bras gauche à son dos en passant par son coeur. Une marque qui palpite doucement, vivante.
Il ne le fait pas pour impressionner. Ni pour provoquer.

C’est un réflexe ancien. Un automatisme guerrier. Sans armure, tout tissu devient un obstacle aux mouvements.

Il avance de quelques pas, serein, presque nu sous le ciel pâle. Son torse sculpté par des siècles de discipline céleste brille légèrement sous la lumière. Ses ailes replient leur envergure, absorbées lentement jusqu’à disparaître en un frisson de lumière.

Il croise enfin son regard. Sans hypocrisie. Sans détour.

La voix de la jeune femme venait à peine de mourir dans l’air que Tsaphkiel la fixait déjà avec une intensité trop calme pour être rassurante.

Un souffle traversa les ruines, poussière, cendres, odeur métallique de pierre chauffée au soleil, et fit trembler les mèches de ses cheveux pâles. Ses ailes sombres se déployèrent légèrement, non pour menacer… mais comme un réflexe ancestral de domination silencieuse.

L’Archange ne dit rien au début.  Il observe. Comment elle respire. La manière dont ses mains restent visibles. Le léger tremblement que même un soldat aguerri ne peut masquer après des années d’exil. Le cœur qui cogne, perceptible dans l’air pour une créature comme lui.

Puis il bouge.

Ce n’est pas une mise en garde. Ce n’est pas un avertissement. C’est un test pur, brut, instinctif. Le genre de test que seules des guerrières comme Anéa savent décoder avant même de réagir.

Ses doigts se posent sur la garde de son épée. Un cliquetis de métal contre cuir, sec, précis, fend l’air.
Il feinte une posture bien particulière… Celle qui pourrait faire penser que sa lame décrira une trajectoire nette, en couronne puis en taille, de droite à gauche. Un coup qui aurait décapité n’importe quel soldat. Cependant, à la dernière seconde, celui qui se fait passer comme étant Saël Thorne, effectue un tout autre geste. Un mouvement ascendant en diagonale et de gauche à droite.

Il ne la touche pas. Il ne cherche pas à la toucher. Il cherche son premier réflexe. La vérité d’un guerrier ne se lit jamais dans ses mots, mais dans le mouvement qui précède la pensée. Le métal s’arrête à quelques centimètres seulement de sa gorge.

Une vibration basse, presque inaudible, résonne encore dans la lame. Les ricochets de la puissance retenue.

Tsaphkiel la fixe, la pointe de son épée encore levée, l’expression indéchiffrable. Une rage froide sous-jacente. Une blessure qu’il refuse de nommer. Et une attente : montre-moi qui tu es devenue.

Lorsque sa voix tombe enfin, c’est avec un calme qui tranche autant que la lame.
Avant que je n’entende tes raisons…  Montre-moi si ton premier réflexe est encore celui d'un Archange… ou de quelqu’un qui a oublié qui elle était.

Pas d’accusation. Pas de douceur. Pas encore. Il se contient. Juste la vérité nue du Prince des Trônes.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le mardi 02 décembre 2025, 21:11:00 »
L’héroïne ne lâchait pas sa prise sur Tank, enivrée par le plaisir qu'il lui offrait. Elle était tout à fait partante pour finir incapable de marcher, pour peu qu’il la ramène chez elle -ou chez lui- afin de remettre le couvert autant de fois qu’il le pourrait. Elle n’avait peut-être qu’un pouvoir de prédiction, mais son organisme mutant était malgré tout plus endurant qu’une simple humaine.

Mais la seule chose qui sort quand elle ouvre la bouche, ce sont des gémissements, des cris d’extase alors qu’il prend possession de son intimité à grands coups de triques, qu’il la secoue sans ménagement sur son chibre épais. Présage n’est plus qu’un amas de nerfs électrisé par chaque coup de rein donné. Elle n’a plus rien d’héroïque ainsi malmenée, appréciant chaque instant de cette étreinte sauvage, brutale. Et elle ne peut que l’encourager, encore et encore, d’une voix qui se brise parfois alors que ses chairs se contractent autour de son amant.

« Aaa-aah, oui, Tank ! En-Encore ! Halète-t-elle avec difficulté. Remplis-moi, aaaah, partout ! »

Et alors qu’il commence à tenir sa croupe, à malaxer de sa main libre, la petite blonde s’arque contre le colosse, sa tête venant cogner le mur sans qu’elle ne s’en rende compte. L’orgasme est arrivé sans prévenir, à l’écouter lui dire à quelle sauce elle allait être mangé. Fulgurant, étourdissant. Le cri de jouissance s’étrangle dans sa gorge tandis qu’elle semble verrouillée contre le criminel, accrochée autant avec ses cuisses qu’avec ses bras.

« Haaa, Tank, putain… Exhale-t-elle finalement alors que son corps s’assouplissait de nouveau. Et d’un, mmh ? Plaisanta-t-elle, le souffle court, en ramenant son front contre le torse de son amant. »

Mais un orgasme était loin de la rassasier, bien entendu. Surtout avec le programme alléchant que lui avait promit l’homme. Et son regard clair, empli de lascivité alors qu’elle levait les yeux vers lui pour l’observer entre ses cils, l’indiquait tout aussi clairement que la manière dont ses reins repartaient déjà pour contrer chaque mouvement du malfrat, pour faire s’entrechoquer leurs bassins à chaque coups, tandis que sa cyprine coulait contre lui, gouttant au sol.

« Je vais tellement jouir que ton costume sera bon à changer, susurre-t-elle avec un sourire en coin, ses yeux roulants parfois dans leurs orbites alors que ses chairs sensibles étaient sollicitées encore et toujours. »
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