Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Elizabeth Ostwick

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Elizabeth Ostwick

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: vendredi 15 mars 2019, 08:54:57 »
Choupette se laissa guider par sa maîtresse, poussant un long gémissement quand cette dernière lui enfila une culotte pour le moins spéciale. Choupette était certaine de jouir plusieurs fois avec une pareille installation entre les cuisses ! Sans parler du fait qu'elle se rendait au manoir de sa nouvelle maîtresse, ce qui ne fit que renforcer son excitation. La jeune esper s'imaginait déjà maltraitée de toutes sortes, humiliée, réduite à l'état d'une simple chienne. Choupette était née pour cela après tout. C'est donc à quatre pattes qu'elle traversa le couloir, laissant couler derrière elle une longue traînée de mouille et de cyprine coulant de sa culotte.

- Hmmm... waf! waf !

Gémit-elle dans les couloirs comme sa maîtresse le lui avait ordonné. La belle esper était fière d'être soumise à Mélinda, et fière de s'exposer ainsi, repoussant les limites de la perversité. La chienne se contorsionna plusieurs fois, tremblante, signe qu'elle atteignit l'orgasme plusieurs fois grâce aux vibromasseurs insérés dans sa chatte. Elle se laissa caresser, accepta même les fessées en souriant, heureuse que l'on ne la traite que comme ce qu'elle était: une simple chienne en manque de soumission hardcore.

Une fois entrée dans la limousine, choupette s'installa sur le sol entre les jambes de sa maîtresse pour pouvoir la lécher avec plus d'aisance, exécutant alors son ordre en partant d'en bas pour remonter lentement vers le haut, laissant glisser sa langue le long des jambes de sa belle maitresse alors qu'elle inondait lentement le sol du véhicule avec la quantité de cyprine s'écoulant de sa vulve.

- Hmmmm.... j'ai été vendue à une secte sataniste quand j'étais petite ! On m'a violée, battue... hmmmm... humiliée, j'étais un déchet à leurs yeux. Même si j'ai réussi à m'enfuir et à me venger, je dois admettre que je me suis bien ennuyée une fois libre ! La liberté ne m'a rien apportée, wouf !

Choupette ne semblait pas peinée par son récit, elle n'en avait pas honte. Mélinda pu relever que le corps de Choupette n'avait pourtant aucune séquelle, sans doute était-ce dû à son étrange pouvoir

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: lundi 08 octobre 2018, 21:24:57 »
A l'entente de sa récompense pour ses durs efforts, Choupette sauta de joie. Avoir trouvé une maîtresse digne d'elle était déjà une grande satisfaction, devenir sa chienne personnelle était la consécration. Choupette s'imaginait déjà parader aux côtés de Mélinda au sein de son manoir, à quatre pattes comme la chienne qu'elle aimait être. Choupette avait besoin d'être enviée, admirée, et reconnue tel qu'elle aimait l'être. Comme la dernière des marchandises, luxueuse certes, mais indigne d'un quelconque traitement humain. Et devenir la marchandise d'une maîtresse aussi belle qu'énergique était un rêve qu'elle poursuivait depuis de nombreuses années. Choupette ne put retenir sa réjouissance davantage, et s'exprima et frottant la tête contre la cuisse de Mélinda.

- Hmmm... maîtresse...

La chienne s'autorisa à parler, peut-être allait-elle être punie pour cela, mais elle n'en avait cure. Choupette aimait parfois s'exprimer avec des mots, en dépit de son comportement animal. Peut-être était-ce la petite part d'humanité qu'elle gardait en elle depuis toujours, depuis que cette secte satanique lui avait volé son corps et sa vie. Choupette, anciennement Elizabeth, en gardait des séquelles irréversibles avec lesquelles elle avait appris à vivre malgré elle. Devenir une chienne, un objet sexuel, un simple trou bon à accueillir n'importe quoi était pour elle sa seule manière de se sentir vivre, en plus d'avoir développé une très forte libido. Après tout, cette envie permanente de sexe ne pouvait pas qu'être une simple conséquence de son passé. Choupette aimait réellement le sexe, et tout ce qui y touchait. Et par extension, elle aimait Mélinda. La jeune chienne était bien entendu incapable d'éprouver un réel amour, n'aimant Mélinda que comme un chien ou un esclave aimerait son maître.

- Choupette sera toujours la pour votre queue !

Lui lança t-elle alors qu'elle s'enfonça un doigt dans l'anus pour en ressortir un filament de semence, qu'elle avala goulûment. Choupette accordait beaucoup d'importance à ce genre de geste, signifiant qu'elle appartenait désormais corps et âme à sa maîtresse, et rien qu'à elle. Si Mélinda décidait de partager Choupette avec les autres, celle-ci accepterait sans rechigner, mais n'oublierait jamais sa véritable maîtresse, la plus belle des vampires de ce monde. Désormais, une nouvelle vie commençait pour elle, une vie ou elle pourrait enfin se sentir épanouie.

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: lundi 01 octobre 2018, 12:50:29 »
Choupette, en plus d'être effectivement plus voluptueuse que sa maîtresse, n'avait rien à lui envier en terme d'endurance. La jeune femme était née ainsi, capable de se "recharger" sans cesse, en faisant une véritable machine dédiée à l'assouvissement des désirs sexuels les plus profonds. Cependant, si la jeune femme pouvait effacer la fatigue en quelques secondes, elle la ressentait bel et bien à mesure que ce rapport bestial approchait de sa conclusion. Mélinda semblait incroyablement violente et énergique, déchaînée tout autant qu'elle. La douleur mêlée au plaisir que ressentait Elizabeth la fit hurler de plus belle, alors que le point d'orgue fut atteint lorsque la vampire déchargea son foutre en elle.

- Aaaaah... aaaah... aahouuuuuuuuu !

Hurla t-elle comme une bonne chienne, toujours impliquée dans son rôle malgré l'euphorie intense qui s'était emparée d'elle. Choupette apprécia particulièrement le fait que sa maîtresse ne la laissa pas s'effondrer, maintenant fermement la laisse pour son plus grand plaisir. Les filaments de foutre venant remplir son anus s'accumulèrent au fond de celui-ci, Choupette comptait d'ailleurs bien garder la semence de Mélinda au chaud en elle jusqu'à nouvel ordre. Pour la jeune chienne, ce sperme était un véritable cadeau !

- Haaa... hmm.... hihihihihi !

Possédée, Choupette se cambra un peu plus en arrière jusqu'à sentir la poitrine de Mélinda dans son dos, dans une position plus qu'obscène et effectua quelques va et viens dans son intimité pour pouvoir éjaculer une quantité importante de cyprine, voulant exposer l'étendue de sa luxure aux yeux de sa maîtresse.

- Wouf !

Sans discontinuer, Choupette retourna sur ses quatre pattes et fixa Mélinda en souriant, comme si elle attendait la suite. Cette femme était véritablement insatiable.

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: lundi 01 octobre 2018, 10:34:30 »
Elizabeth, submergée par les exigences de sa nouvelle maîtresse, fit cependant de son mieux pour obéir. La jeune femme était après tout magnifiquement efficace lorsqu'il s'agissait d'agir comme une chienne. Ainsi, la belle blonde tira la langue, souriante, lorsque la belle Sophiana lui cracha dans la bouche. Il s'agirait de ne pas en perdre une goutte ! La jeune femme lui suce également le doigt sans discuter, enroulant sa langue autour de l'index de Sophiana.

- Hmmm.... mwaaaaaah...

La belle blonde s'attela ensuite à continuer de laver sa maîtresse, frottant sa chatte contre les beaux pieds de la démone tout en pressant ses énormes seins contre ses jambes. La sensation de ses mamelons frottant contre la peau de Sophiana lui procura des frissons de plaisir.

- Je peux détruire ou modifier tout ce que je touche, maîtresse !

Lui dit-elle naturellement. Malgré son pouvoir monstrueux, il ne lui viendrait jamais à l'esprit de l'utiliser sur quelqu'un qu'elle considère comme sa maîtresse. Et de toute manière, les créatures magiques trop puissantes ne sont pas affectées par son pouvoir d'esper. Sophiana étant visiblement une démone, elle n'avait rien à craindre ! Elle laissa d'ailleurs la salive de cette dernière couler sur son visage sans la nettoyer, toujours aussi souriante.

- Aaaaah... vos couilles, madame... elles sont si grosses ! Si bonnes !

Elizabeth les suça, les lécha, les aspira entre ses lèvres pour mieux les goûter, une expression perverse au visage. Il lui fallut beaucoup de courage pour se retenir de sucer directement la queue de Sophiana, mais elle se devait d'être une bonne chienne obéissante !

- J'ai été violée depuis mon enfance dans une secte satanique maîtresse ! Mais depuis, je me suis préservée pour vous !

Dit-elle alors que sa mouille dégoulinait sur les pieds de Sophiana.


5
Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 20:49:07 »
Elizabeth comprend vite qu'elle a affaire au genre de femmes qu'elle aime, dominatrices et violentes, sans aucun état d'âme. Sans parler de ces somptueuses ailes noires et de cette trique d'enfer... Elizabeth allait sûrement prendre beaucoup de plaisir à être une chienne, cela faisait si longtemps... retrouver ces sensations la ravissait déjà.

- Hiiii !

Elizabeth pousse un petit cri en recevant le coup de fouet sur sa magnifique poitrine, et utilise son pouvoir pour refermer la blessure. La jeune femme n'en reste pas moins excitée par la violence, mais ses seins sont un véritable trésor pour elle. Des cadeaux des cieux qu'elle ne chérira jamais assez pour exprimer ô combien elle y tient. Néanmoins, la jeune femme se laisse traîner au sol, excitée par ce genre de traitement. Une moins que rien, voilà ce qu'elle est. Une chienne. Elle sursaute légèrement lorsque le fouet claque à côté de son oreille, soumise.

- Oui, maîtresse ! Je suis votre pute !

Elizabeth lorgne quelques instants la sublime queue de la démone, excitée par une telle masse de chair veineuse. Elle doit bien faire... 60 centimètres ! La belle jeune femme n'a qu'une seule hâte: se faire pourfendre, baiser à n'en plus pouvoir, par cette magnifique queue. Mais pour l'heure, son devoir est ailleurs. Il faut laver les jambes de maîtresse, comme elle le lui a demandé. La jeune femme se contente de sourire, euphorique, alors qu'elle lèche la goutte de pré-sperme tombée à la commissure de ses lèvres.

- Hmm... aaah... de si belles jambes maîtresse...

Dit-elle avant de les lécher soigneusement pour la laver, tout en se masturbant plus bas, laissant sa chatte trempée dégouliner de mouille sur le sol.

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 18:41:29 »
Elizabeth continua de se masturber de plus en plus vigoureusement, pensant être seule dans la pièce. La jeune femme n'aurait jamais exposé son corps dénudé si facilement, et se serait encore moins masturbée. Elizabeth était ainsi, sélective et élitiste, capricieuse à un niveau maladif. Si la jeune femme avait été violée des milliers de fois alors même qu'elle était à peine en age d'avoir ses règles, elle était désormais devenue une belle jeune femme maîtresse d'elle-même et de ses relations. C'était à elle de décider de qui méritait de lui faire l'amour, de la soumettre, de la traiter comme la chienne qu'elle aimait être. Après tout, ses viols consécutifs lui avaient laissé de nombreuses séquelles mentales, sans doute était-elle à considérer comme folle. Au moins, son pouvoir lui conférait une beauté et fraîcheur éternelle. En effet, Elizabeth pouvant modifier chaque cellule de son corps à sa guise, la jeune femme gardait perpétuellement le corps d'une vierge spécifiquement dans le but de ressentir la douleur à chaque nouveau rapport comme au premier jour. En revanche, son corps avait pour habitude de produire une quantité hallucinante de fluides corporels, ce qu'il n'allait pas tarder à témoigner... jusqu'à ce qu'une voix se fit entendre.

- Qu... que faites vous ici ? Que v... hm... aaaaaaaaaah...

Trop tard, l'orgasme vint s'emparer de son corps alors même que la jeune femme allait s'offusquer de la présence d'une inconnue. Sa chatte éjacula un bon litre -littéralement- de cyprine, dans un puissant jet venant éclabousser les murs et le plafond de la chambre. Elizabeth poussa un long râle de plaisir, surélevant le bassin quelques instants, avant de retomber lourdement sur le lit, amorphe. Cependant, le coup de fouet de Sophiana l'extirpa bien vite de sa torpeur, si bien qu'Elizabeth utilisa son pouvoir pour se retrouver en pleine forme. Il était impossible pour elle de se fatiguer, et encore moins de se laisser faire... du moins, tant qu'elle n'avait pas affaire à une véritable maîtresse digne de ce nom.

- C'est vous la fameuse maîtresse qui m'a envoyé cette femme ? Je ne baise pas avec des subordonnées !

Elizabeth lui adressa un sourire arrogant, peut-être bien qu'elle serait digne de la traiter comme une chienne, elle.

7
Centre-ville de Seikusu / Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: samedi 29 septembre 2018, 14:39:23 »
Elizabeth se réveilla dans une belle chambre d'hôtel luxueuse, surement hors de prix. Apathique, la jeune femme humecta ses lèvres, la bouche pâteuse et les yeux embrumés. Que s'était-il passé ? Elle se souvenait seulement d'être venue en pensant trouver une maitresse digne d'elle, mais s'était retrouvée en compagnie d'une toute autre femme. Une prétendante sensée "tester" sa légitimité auprès de Sophiana. Elizabeth avait naturellement refusé de coucher avec, n'offrant son corps de rêve qu'aux femmes quelle jugeait légitimes. Une femme aussi belle qu'autoritaire, ne se limitant pas aux moeurs ou au politiquement correct. Voilà le genre de femmes que désirait Elizabeth, une femme n'ayant pas peur de repousser les limites de son corps quitte a atteindre un point de non retour en terme de débauche. Pour elle, il était déjà trop tard de toute façon. Son pouvoir lui assurait une jeunesse et un corps parfait éternellement, alors pourquoi s'imposer des limites ? Tant qu'elle restait vivante, la jeune femme continuerait de chercher une bonne maitresse.

- Ou... Ou suis-je...

Se demanda-t-elle à elle-même, ne parvenant pas à voir si quelqu'un d'autre se situait dans la pièce à ses cotés. Incapable de sortir du lit pour le moment, Elizabeth émergea lentement avant de se rendre compte qu'elle ne portait pas de soutien gorge, exposant donc a l'air libre sa poitrine monstrueusement développée. Quelque chose semblait clocher ici, sans qu'elle ne puisse mettre le doigt dessus. Mais, par dessus tout, la jeune femme ressentait une intense frustration sexuelle saisissant l'entièreté de son corps. Passer plusieurs années sans aucun type de rapport sexuel éveillait forcément sa libido maladive, si bien qu'elle fut prise d'une envie furieuse d'apaiser ses pulsions en glissant ses doigts sous la fine culotte de dentelle rose qu'elle portait. Elizabeth n'avait pas pour habitude de se soulager seule, mais cette pratique s'avérait parfois nécessaire a sa survie. Ainsi, le corps ruisselant de sueur, Elizabeth joua de ses doigts pour apaiser cette luxure ardente qui s'était emparée d'elle, accélérant la cadence à un rythme endiablé.

8
Le métro et la gare / Je n'ai pas besoin d'aide ! [Kõya]
« le: samedi 29 septembre 2018, 10:12:00 »
Prendre le métro de nuit n'était pas chose commune pour la jeune femme. En fait, sortir de chez elle tout court était peu courant. Elizabeth avait pour habitude de ne s'aventurer qu'au lycée, restant à l'internat le soir. Néanmoins, lors des vacances, la jeune femme était bien obligée de rentrer chez elle dans son petit appartement. Si elle était venue à Seikutsu pour trouver une maîtresse digne de ses fantasmes, elle n'en restait pas moins une femme réservée de par son récent passé. S'évader d'une secte satanique laissait beaucoup de séquelles après tout, spécifiquement mentales. Et, en cette soirée, Elizabeth avait fait l'erreur de sortir tardivement. Sans vraiment savoir pourquoi, la jeune femme avait eu envie de rompre avec la solitude du quotidien, de croiser des gens... mais son imprudence eut raison d'elle. Outre son manque de sociabilité, Elizabeth ne sortait pas pour éviter de croiser d'autres membres de la secte. Beaucoup étaient morts lors de son évasion, ce qui, immanquablement, laissaient une certaine rancœur aux survivants. Elizabeth avait bien conscience d'être sur la corde raide, que ces derniers la cherchaient, et qu'ils finiraient tôt ou tard pour la trouver. Au moins était-elle en sécurité au lycée... mais lors des vacances, la jeune femme n'avait nul part ou se mettre à l'abri. Rester chez elle était donc la seule option possible, face à cette bande de déséquilibrés mentaux. Ces derniers étaient certes bien peu organisés, mais connaissaient très bien Elizabeth et son pouvoir. N'importe qui confronté à elle n'aurait que très peu de chances, à moins d'avoir de l'obsidienne... et c'est précisément ce que possédaient ses poursuivants. Ceux-ci l'avaient prise en embuscade au détour d'une ruelle, armés de poignards en obsidienne. La jeune femme était parvenue à en désassembler plus d'un, ne laissait qu'un tas de chair sanguinolente sur le sol à la place de leurs cadavres, mais s'était inévitablement faite poignarder. Visiblement assez de fois pour ne plus pouvoir rejoindre son appartement à temps. Le peu de survivants, pensant en avoir terminé tout en voulant éviter d'en découdre davantage, s'étaient enfuis sans demander leur reste, laissant une Elizabeth agonisante sur place.

Ne voulant pas rester dans une ruelle hors de vue, là ou personne ne pourrait la trouver, la jeune femme puisa dans le peu de forces qu'il lui restaient pour chercher un endroit passant, un endroit ou quelqu'un pourrait l'aider. Titubant au hasard dans les rues sombres, Elizabeth cherchait désespérément de l'aide sans parvenir à croiser qui que ce soit. Sa gorge nouée l'empêchait d'appeler à l'aide, et ses jambes se mirent à flancher de plus en plus. Ses blessures étaient trop profondes, son abdomen perdant une quantité importante de sang. Ses facultés régénératrices ne pouvaient pas fonctionner après des blessures d'armes faites d'obsidienne. Était-ce réellement de cette manière qu'elle allait finir ? Baignait dans son propre sang, dans une rue déserte, seule au monde ? Cette pensée la rendit plus triste qu'elle ne le fut jamais. Elizabeth pensait ne pas craindre la mort, mais force était de constater... que celle-ci la terrifiait.

- Aaaaah... aaa... l'aide...

Dans un dernier élan d'espoir, la jeune femme se dirigea vers une bouche de métro, pensant y trouver quelqu'un. Il y allait forcément y avoir quelqu'un. Il lui suffisait juste de toucher une personne, n'importe qui, de quoi avoir de la matière pour se régénérer... mais ses jambes flanchèrent alors qu'elle descendait les escaliers à tâtons. La jeune femme dégringola de plusieurs mètres jusqu'à sa destination pour finalement se heurter violemment au quai du métro. Agonisante, la jeune femme constata qu'il n'y avait personne dans son champ de vision. Ainsi, elle allait mourir. La fin était proche. Il fallait bien s'y faire... de toute manière, elle ne pouvait plus bouger. Ce métro totalement vide, dont les marches blanches étaient maculées de la longue traînée de sang qu'Elizabeth avait laissé derrière elle... allait être son tombeau.

9
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: mardi 25 septembre 2018, 21:44:49 »
Choupette semblait réellement insatiable, de par la nature de son pouvoir et de son expérience. La belle petite chienne à la longue crinière blonde ne demandait qu'à être maltraitée, et espérait mériter son rôle d'esclave dans cette chambre pour ensuite pouvoir finir ses jours au manoir de sa maîtresse Mélinda, en tant que vide couilles favorite. Ses deux fesses claquaient de plus en plus fort contre le bassin de sa belle maîtresse vampirique, qui semblait plus appliquée que jamais à lui détruire l'anus. A un tel point que son sexe, à l'étroit dans l'anus serré de Choupette, agissait progressivement comme une ventouse sur celui-ci. Une scène qui la comblait de joie, en tant que grande fétichiste des rapports brutaux, sales, repoussant jusqu'aux limites de son propre corps. Choupette ne désirait que cela.

- Hmmmmmm ! Hmmmm ! Wouuuuf ! Wouf wouf wouf !

Un liquide commençant à abonder entre ses jambes signala que l'orgasme était proche, Choupette ayant une expression corporelle très prononcée. Cette dernière aimait certes uriner à tout va, mais la quantité de cyprine qu'elle pouvait expulser de sa vulve la rendait tout aussi fière de son corps et de sa perversion. Son opulente poitrine n'était d'ailleurs pas en reste, évacuant les derniers litres de lait contenus dans ses seins, tout comme sa cyprine plus bas. Choupette redoubla d'efforts pour s'empaler d'elle même sur l'engin de sa maîtresse au rythme de ses coups de reins, doublement plus motivée lorsqu'elle tira sur sa laisse pour l'étrangler.  Pourvu que Mélinda redouble d'intensité pour le grand final, de sorte à ce que sa petite chienne ne puisse plus se déplacer qu'avec des béquilles !

- Aaaaah.... aaaaaaaah... Wouuuuuuf !

Choupette était sur le point de jouir, comme elle ne l'avait jamais fait avant !

10
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: vendredi 14 septembre 2018, 21:48:52 »
Choupette se mit à gémir en sentant la cravache s'abattre sur sa croupe, ce qui ne fit que l'exciter davantage. La petite chienne blonde ne demandait qu'à être punie comme d'habitude, et c'était peut-être dans ce but que la jeune femme avait parlé comme une humaine. Choupette avait beau chercher la soumission, une soumission passive ne l'intéressait pas le moins du monde ! Une esclave obéissante avait vite fait d'être oubliée et rangée sur le côté, alors qu'une petite impertinente comme elle récolterait beaucoup d'attention à n'en point douter...

Mais pour l'heure, lorsque Mélinda décida d'entrer en elle afin de la gratifier de puissants coups de reins, Choupette obéit. Il serait idiot de se rebeller au cours d'un si bon moment, elle ne cherchait absolument pas à gâcher cette sodomie si intense que son anus serré ne pouvait que se dilater progressivement. Son merveilleux fessier bombé semblait avoir été fait pour cela, tout autant que son anus. A chaque va et viens, ses fesses moelleuses s'en allaient claquer contre le bassin de sa maîtresse, alors même que Choupette aboyait de plaisir en bavant tout son bonheur sur le sol.

- Haaaaaan.... haaaan... wouf, wouf ! Wouuuuf !

Choupette n'espérait qu'une chose: que les choses ne s'arrêtent pas là !


11
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: mercredi 29 août 2018, 18:43:43 »
Choupette appréciait être soumise, il lui arrivait donc de désobéir un peu pour mériter un rappel à l'ordre... bien que cette fois-ci, cette petite bourde n'était pas volontaire ! La jeune chienne avait simplement réclamé sans réfléchir, et se délectait des claques de Mélinda sans s'en plaindre. Chaque acte de violence et de mépris envers sa personne l'emplissait de joie, jusqu'à humidifier son entrejambe à n'en plus pouvoir. Ainsi, Choupette prévoyait de mériter quelques punitions de plus à l'avenir, sans aller trop loin bien sûr. Elle ne voulait pas manquer de respect à sa merveilleuse maîtresse !

- Ouille, aïe, ouille ! Pardon maîtresse, choupette est une vilaine chienne !

Gémit-elle, les joues rouges et les yeux humides. Mélinda put néanmoins remarquer la cyprine s'échappant de l'entrejambe de la chienne, signe que cette petite punition avait son effet. La belle blonde plaqua ensuite le torse au sol, laissant son imposante poitrine se plier, et releva le bassin pour lui présenter son magnifique cul bombé, presque né pour être sodomisé. Ses deux fesses faisaient de magnifiques poignées, idéales pour les agripper pendant l'acte.

- Baiser, baiser, baiser !

Gémit elle en tournant la tête vers Mélinda, bavant au sol, le visage euphorique. Elizabeth pissa même une nouvelle fois au sol comme la sale traînée qu'elle était, trempée, complètement possédée. Ce n'était pas une femme qui lui présentait son cul, mais une véritable chienne.

12
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: mardi 21 août 2018, 19:24:36 »
- Hmmm... Haaaan... maîtresse...

Choupette fut subjuguée par les lippées de Mélinda, honorée qu'elle boive son délicieux lait. Ainsi avait-elle la confirmation d'être à la hauteur ! Quel privilège d'être tétée ainsi, comme une maman ! Mais Choupette n'en restait pas moins une chienne. Aussi, lorsque Mélinda la questionna, elle lui révéla naturellement son pouvoir. Un pouvoir pouvant sembler effrayant, mais qu'elle n'utilisait jamais contre les gens. Du moins en temps normal. De toute manière, les créatures magiques puissantes n'avaient rien à en craindre.

- Choupette peut modifier son corps et tout ce qu'elle touche !

Dit-elle, grand sourire, les joues roses. Choupette était fière de ce pouvoir que la nature lui avait donné, et elle comptait bien le mettre à profit. La jeune femme pouvait ainsi livrer des performances sexuelles époustouflantes, n'ayant pas de limites. Les désirs de Mélinda étaient la seule chose qui lui importait en ce bas monde, avec le sexe.

- Baisez moi le cul maîtresse !

La supplia t-elle, bavant au passage, avide de sa queue.

13
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: lundi 13 août 2018, 15:40:44 »
Choupette était heureuse ainsi, et le faisait bien assez savoir. La jeune femme en voulait toujours plus, tremblante, l'intimité ruisselante de mouille et de pisse. Beaucoup auraient été dégoûtés par ceci, mais pas sa maîtresse. Ce qui la conforta davantage dans sa conviction d'avoir trouvé la maîtresse qu'il lui fallait, une femme prête à lui faire subir tous les sévices possibles sans aucun remords.

- Aaaaaah oui... de la pisse, du foutre et de la mouille... s'il vous plaît maîtresse !

Son fessier rebondit se déformait sous les claques de Mélinda à mesure que celle-ci frappait, émettant de petites vagues. Choupette n'avait même pas eu besoin de faire de sport pour acquérir un corps pareil, puisque son pouvoir lui permettait de le modifier à volonté. En outre, la jeune chienne en jouait sans arrêt, peut-être allait-elle même intéresser Mélinda avec cette capacité. La jeune femme ne manqua d'ailleurs pas de remplir ses seins de lait pour pouvoir mieux exprimer son amour des fluides corporels, laissant le liquide blanc s'échapper de ses tétons sans même qu'ils ne soient pressés par quoi que ce soit. Choupette aimait la pisse, certes, mais le délicieux lait qu'elle pouvait produire comme une vache la satisfaisait tout autant.

- Hmmm... j'attends de puis trop longtemps... Choupette veut être une bonne pute depuis toujours !

La chienne se cambra du mieux qu'elle put pour pouvoir présenter son cul à Mélinda, prouvant son besoin de sexe inconditionnel. Elle voulait être remplie, par tous les trous, à l'infini. Être exhibée devant une centaine de personnes comme une bête de foire, et se faire pisser dessus comme la dernière des chiennes.

14
One Shot / Re : Une curieuse rencontre [PV]
« le: lundi 13 août 2018, 01:13:18 »
D'une simple pression du doigt, Elizabeth appuya sur le ventre de son amante du jour. La jeune femme lui adressa un beau sourire, avant de lui susurrer à l'oreille d'une voix douce et sensuelle.

- Petit cadeau ma chérie.

Marlène commença tout d'abord par remarquer que sa beau brunissait à vue d’œil. Ses lèvres devinrent plus proéminentes, ses cheveux plus crépus, son fessier plus fourni également. Marlène venait tout simplement de changer d'ethnie, et de prendre quelques années de plus. Une belle femme noire venait de la remplacer, sûrement à sa grande surprise. Elizabeth appréciait les peaux foncées, ce qu'elle ne trouvait malheureusement pas beaucoup au Japon... alors pourquoi ne pas s'amuser à en créer ! Quand bien même cela serait temporaire, elle pouvait toujours s'amuser avec.

La jeune femme reposa Marlène au sol pour pouvoir mieux l'observer, son long membre toujours en érection, et lui malaxa les seins pour leur faire prendre un peu plus de volume également. Une chose était sûre, elle était très réussie !


15
Centre-ville de Seikusu / Re : Servitude [Elizabeth Ostwick]
« le: jeudi 09 août 2018, 19:05:31 »
Choupette se fit traîner par les cheveux comme une pute, hurlant dans la pièce de sa voix suraiguë. Choupette prenait du plaisir à se faire maltraiter, et voulait que Mélinda se sente puissante. C'est pourquoi elle se laissa attacher sur la croix sans discuter, le cul tourné vers sa maîtresse. Son entrejambe ruisselait encore en continu, clairement assoiffée de sexe et de domination. La nuit s'annonçait délicieusement longue. Elle sursauta même en entendant le fouet claquer l'air, signe qu'elle allait être punie comme il se doit. Au moins pouvait-elle s'exprimer à présent.

- Hmmm... oui maîtresse ! Je suis une pute, une chienne qui aime pisser comme une sale !

Lui dit-elle, avant d'être assaillie de violents coups de fouet, lui déchirant le dos. Elizabeth se mit à hurler des insanités vis à vis d'elle même, essayant au mieux de se rabaisser plus bas que terre, après tout c'est ce qui l'excitait. Mélinda la comblait de bonheur.

- AAAAAAAAH ! JE SUIS UNE PUTE, UNE GROSSE SALOPE DE CHIENNE ! UN TROU A BITES QUI N'EXISTE QUE POUR SE FAIRE REMPLIR, UNE GROSSE PUTE BONNE QU'A PISSER, MON CUL ET MA CHATTE NE SERVENT QU'A SE FAIRE ÉLARGIR PAR VOTRE QUEUE MAÎTRESSE !

Comme pour illustrer ses propos, Elizabeth pissa sur le sol, laissant le liquide jaunâtre couler sur la croix de saint André. Oui, Elle était une ondiniste convaincue, de par son passé. Uriner était pour elle une preuve de déshumanisation, un acte digne d'un animal, une preuve de saleté. C'est ce que la jeune femme aimait, car si elle voulait être belle et désirable hors du sexe, une fois en pleine acte, la jeune femme devenait un objet.

Pages: [1] 2 3 ... 6