Et Mélinda n'avait sûrement pas fini de sentir le sang d'Elizabeth s'emballer ainsi. Rien qu'à penser à ce qu'elle allait lui faire ce soir, Elizabeth en mouilla son entrejambe. Cela faisait si longtemps qu'elle se retenait, recherchant la maîtresse parfaite, repoussant systématiquement les avances des autres... parfois à regret. La jeune femme avait besoin de sexe, besoin d'être une chienne, et cette longue année sans rapports avait été tout bonnement interminable. Cette soirée allait marquer le début d'une longue vie d'esclave, c'est bien ce qu'espérait Elizabeth. La jeune femme, désormais chienne, était impatiente de commencer, elle n'en pouvait plus. Mais une bonne chienne ne proteste pas, elle ne parle pas non plus de ses envies. Une bonne chienne obéit ! La jeune femme accepta donc sans broncher son petit surnom, très mignon par ailleurs. Choupette ? Elle allait désormais se nommer ainsi, peut-être pour l'éternité, qui sait. Elizabeth ne savait pas quel rapport entretenait Mélinda avec ce prénom, et cela importait peu. Désormais, Choupette était née.
Et alors qu'elle se redressa pour se mettre à quatre pattes, haletante puisqu'elle pouvait enfin respirer normalement, la jeune femme ouvrit la bouche... et fut stoppée net par Mélinda. Les chiennes ne parlent pas. C'est vrai... et Elizabeth ne savait pas quoi en penser. La jeune femme était très, très expressive lors de ses débats, tant oralement que corporellement. Elle n'était pas certaine de pouvoir contenir ses cris de jouissance, ni ses petites phrases vulgaires en plein coeur de l'action. Elle allait néanmoins essayer ! Une bonne chienne obéit, et elle en était une assurément. Il allait sûrement être difficile de convaincre Mélinda au vu du nombre d'esclaves qu'elle possédait, mais choupette allait faire de son mieux pour devenir une esclave d'exception pour sa maîtresse. Aucune limite, aucune retenue, la luxure et l'humiliation avant tout. C'est donc tout naturellement que la jeune chienne poussa un petit aboiement pour approuver la décision de sa maîtresse.
- Waf !
Suite à cela, Choupette accueillit sa maîtresse sur son dos, et commença à faire le tour de la pièce à quatre pattes. Elle se devait d'être irréprochable, et adopta donc une allure ni trop rapide ni trop lente, essayant de faire au mieux. Sa monstrueuse poitrine traînait d'ailleurs au sol, ce qui la fatiguait considérablement. La jeune femme ne s'était jamais réellement habituée à cette paire de seins qui s'était mise à grandir lorsqu'elle avait atteint ses quinze ans, et ils lui causaient beaucoup de douleurs au dos. Ainsi positionnée, à quatre pattes, les traîner n'était que plus difficile, mais la jeune femme en retira satisfaction. Malgré les douleurs occasionnées, ses seins restaient une fierté, et sentir ses mamelons frotter ainsi contre le sol de la pièce lui procuraient au moins autant de plaisir que de jouer la chienne !
- Wouf wouf !