Cela faisait plusieur que
Myoki devait me prouver sa valeur pour devenir une prétendante en tant que gérante d'un club BDSM, que je compte construire en ville secrètement. Bien sûr, je ne confie pas ce genre de responsabilité à n'importe qui et surtout pas à une soumise de première ordre.
Ses instructions furent simples : trouver et dresser une femelle pour qu'elle devienne une mère porteuse de mon héritage. Enfin, simple en apparence, car elle devait dresser une femelle spéciale qui n'a pas de gène bénin et un corps digne de ma présence pour en faire une succube parfaite.
Malheureusement pour elle, un échec cuisant s'est fait savoir et ma déception assez grande. Elle qui me montrait une telle volonté, obéissance et fierté, la voila entrain de supplier mon pardon d'avoir été si faible et s'être fait refouler comme une vulgaire chienne pauvre.
Son manque d'entraînement dans la domination, et être aussi pressée d'avoir des responsabilité pour me faire honneur, l'ont conduit à ma déception ainsi qu'à la punition qu'elle subit en ce moment même. Je ne m'attendais pas, non plus, à ce qu'elle réussisse du premier coup, mais à se faire jeter de la sorte... Était la mauvaise surprise qu'elle n'aurait pas dû me ramener.
Myoki... si tu savais comme je suis peinée que tu ai échouée aussi lamentablement. Lui dis-je, étant accroupie, complétement nue devant elle.
Mai... Maitresse... pi-pitié, pardonnez moi... de mon échec impa... HAAAAN ! HAAAAAN !Alors qu'elle tente de me parler correctement, le
chien de Luxure se met à aller et venir dans sa chatte à une vitesse meurtrière pour les mortels, la bourrant comme une vulgaire femelle. Ce que je n'ai pas dit, c'est que la punition de Myoki est de devenir une des femelles des chiens de Luxures, dont j'en possède une vingtaine, et donc, cela fait plus de deux heures qu'elle se faisait prendre, en levrette, par ces bêtes de baise brute.
Deux heures à se faire labourer l'utérus et remplis dans une tournante bestiale. Dire que la vision me déplaît serait mentir, moi qui suis pratiquante de ce genre de partouze, et c'est pour cela que je branle deux de mes chiens vigoureusement pendant que je parle à leur nouvelle pondeuse, les faisant juter sur mes cuisses et son visage en extase et dégoût, son ventre bien rond de foutre virile.
Tu aurais pu éviter ça avant de revenir comme une vulgaire conne. Tu aurais pu la ramener et être qu'une simple succube à mon service qui à une nouvelle congénère. Mais, au final, tu es devenue la putain de mes chiens, devant se faire engrosser en continue et jusqu'à la fin des temps.De là, elle pousse un hurlement de plaisir brutale, jouissant son orgasme à même le sol tout comme les trois clébards l'arrose de sperme avant de se retirer pour laisser la place à d'autres.
Dans un moment de paix, plus ou moins, Myoko, rouge comme une tomate et la langue pendant tellement qu'elle est loin, lâche quelques mots qui me fait sourire grandement.
Chambre... rituel... pour vous....'vec elle... Mai... Maitresse..Enfin une bonne nouvelle de sa part, elle a pris le temps d'installer le rituel qui m'invoque pour que je puisse venir les rejoindre. On peut dire que, là, si c'est vrai, je vais...
Mh ? Tu dis donc vrai... Tu as installé le rituel, Brave femelle. Mais c'est trop tard pour que je te pardonne.Comment je sais qu'elle dit vrai ? Car mon corps se parcourt de frissons charnel et que ma chatte, peu excitée depuis le début, mouille toute seule en subissant des caresses inconnues. Très pratique ces rituels, tant qu'elle reste dans le cercle tracée, je peux sentir tout ce que cette femme, celle qui a jetée Myoko, se fait ou subit. Elle m'a l'air très chaude, d'ailleurs.
Sans plus de bavardage, je me lève et sort de la cours des chiens pour me retrouver seule dans le couloir. Curiosité, je me laisse submergé par une brûme mauvâtre et fini par être dans le coin le plus sombre de l'endroit où se trouve ma prochaine esclave à bites.
Mais, à peine, j'arrive que la vision que j'ai de celle-ci me fait saliver d'avance et bander en un rien de temps, ma trique atteignant ses soixante centimètres. Une telle paire de nichons et ces gémissements me rendent déjà bien perverse, je peux dire que Myoko a très bien choisi sa victime.
Je ne peux qu'être chaudement contente et follement excitée pour ça, mais je reste dans le noir pour le moment, laissant cette blonde à la poitrine monstrueuse se faire du bien avant d'intervenir.
Alors que la jeune femme va atteindre l'orgasme, je finis par prendre la parole, toujours cachée dans le noir de la pièce.
Alors, c'est donc toi qui as dégagé ma subordonnée ? Pourtant, tu m'as l'air en manque de sexe pour être dans un tel état.Je laisse un petit rire moqueur m'échapper avant de me lécher les lèvres, jouant sur le faite qu'elle ne me voit pas pour que cela soit plus diversifiant et cela m'amuse de voir le choque dans les regards quand on voit ma véritable apparence.
Allons, ne t'arrête pas en si bon chemin, toi, qui as osé envoyer chier la messagére de ton nouvel avenir.Alors qu'elle ne peut voir que mes yeux, en amende, turquoise, je fais apparaître discrètement un long fouet en cuir dans ma main droite, venant l'abattre sur le gros téton gauche de la salope en chaleur. Le bruit du fouet fait un claquement qui résonne dans toute la pièce et vibrer ce gros nichon à l'air appétissant.