Le proverbe disait de ne pas se fier aux apparences... Et le proverbe avait pleinement raison. Mélinda, malgré son apparence de jeune adolescente, pouvait se transformer en un véritable démon sexuel. Elle devait cela à ses facultés vampiriques, à la capacité qu’elle avait de contrôler son sang, d’en réguler le flux, afin de lui permettre d’augmenter l’intensité de ses coups de reins. Elle pouvait ainsi donner à cette levrette un tournant bien plus intense, et en fit la démonstration, sodomisant brutalement, et sans ménagement aucun, le corps de Choupette. Sa chienne se mit à alterner entre soupirs, hurlements, et délicieux aboiements. Elle jouait pleinement son rôle, celui qui consistait à se déshumaniser, à profiter de l’aliénation de soi que le sexe procurait pour jouer un rôle dégradant et humiliant. Oui, oui, cette traînée aux gros seins recherchait une belle Maîtresse sadique, cruelle et autoritaire ? Ah, on pouvait dire qu’elle était plutôt bien tombée avec Mélinda ! La vampire la pénétrait brutalement, accélérant le rythme, amplifiant l’intensité de ses coups, griffant le cul de Choupette, et le giflant ensuite.
« Là, hmmm... Sa-Salope, hmmm... !! Sale pute, haaaa... Sale pute !! »
Mélinda soupirait longuement. Cette sodomie était douloureuse pour elle, car sa queue s’enfonçait dans un conduit trop étroit pour permettre un passage serein. Sa queue souffrait donc, et cette souffrance participait à un véritable cercle vicieux incitant Mélinda à battre davantage Choupette, à l’insulter pour se donner du courage. Elle continuait ainsi à la prendre, à la baiser énergiquement, par le biais de puissants coups de reins, qui faisaient remuer le corps de Choupette d’avant en arrière. Ainsi, même malgré la différence de gabarit (car Choupette était un peu plus grande que Mélinda, et avait une poitrine plus épaisse que la sienne), c’était bien la vampire qui dominait la scène... La vampire, qui, nimbée dans sa tenue de latex, la prenait vigoureusement, étalant cela sur la longueur.
Indéniablement, Mélinda était douée, douée et expérimentée, car il le fallait pour tenir ainsi le rythme. Les minutes défilaient, le latex crissait, et la queue de la vampire continuait à pourfendre son amante. Concentrée, Mélinda s’appliquait. Elle la sodomisait bien comme il fallait, motivée par ses hurlements, giflant de nouveau le cul de Choupette quand celle-ci lui semblait être en train de dormir... Ou tirait brusquement sur la laisse de sa chienne, soulevant ainsi son corps, et l’étranglant un peu. Mélinda alternait ainsi les plaisirs, qui se concentraient tous autour de la douleur, de la souffrance que le sexe impliquait, et du plaisir intense et vibrant qui en ressortait.
« Choupette... Oh, Choupette, hmmm... !! Ma délicieuse salope de chienne, hnnn... À moi, rien qu’à moi... ! »
Et le temps filait, les minutes s’absorbant tandis que Mélinda poursuivait cette longue sodomie !