Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ulrik

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
Les alentours de la ville / Re : Voyage surprise [Ulrik]
« le: lundi 05 novembre 2018, 00:32:01 »
« Alors, c’est ça, la rune magique ?
 -  Tu ne nous fais pas confiance ?
 -  Depuis quand devrais-je vous faire confiance ? »

Entre ses doigts, Ulrik faisait tournoyer la gemme. C’était une sorte de pierre précieuse, qui scintillait entre ses doigts. Le pirate de l’espace l’observa sans rien dire. La magie n’était pas quelque chose qui lui parlait beaucoup. Originaire de l’Empire de Gordan, il n’était pas habitué à ce genre de choses. C’était une sorte de sorcellerie ancestrale, antique, mais il avait déjà entendu parler de la magie au cours de ses pérégrinations spéciales. Ulrik hocha doucement la tête, et lança la gemme en l’air. Les hommes face à lui écarquillèrent les yeux sous la surprise, avant que la gemme ne retombe dans sa main. Il serra alors, et sentit la gemme s’illuminer entre ses doigts.

Le pire serait qu’il revienne avec une gemme factice, mais son employeur avait été très clair sur les techniques permettant de s’assurer de la viabilité de l’objet magique. Ulrik avait beau être un indépendant, et n’appartenir à aucune guilde, il avait, somme toute, son code, ses principes, et il avait trop peu de clients pour les tromper. Ce voyage sur Terre était d’ailleurs dangereux, car il violait les accords galactiques en se rendant sur un monde n’appartenant pas aux systèmes stellaires reconnus par les différentes conventions en cours au sein de la Base Spatiale. Autrement dit, il se livrait à de la contrebande avec des systèmes non autorisés, de surcroît situés dans une autre dimension parallèle. D’un autre côté, il existait autour de Terra de multiples failles spatiotemporelles permettant de sauter de sa dimension à celle-ci. Il n’avait ensuite plus qu’à utiliser les appareils de furtivité de son vaisseau pour éviter de se faire repérer par les satellites artificiels de ce monde, ainsi que par leurs radars et leurs antennes, pour pouvoir se poser.

Face à lui, dans cette cabane en bois isolée au milieu de la forêt, les criminels attendaient que le mercenaire accepte le caillou. C’était une transaction banale et classique. Son employeur souhaitait faire l’acquisition de cette gemme magique, une pierre précieuse élémentaire permettant, d’après ce qu’Ulrik avait compris, de générer des sorts multiples en magie élémentaire. Ulrik n’y comprenait pas grand-chose, mais, dès lors que son employeur était prêt à le payer pour qu’il aille négocier la transaction, Ulrik n’en demandait pas davantage.

Les Yakuzas attendirent donc. Ulrik hocha doucement la tête.

« Ça m’a l’air convenable…
 -  Vous doutiez de nous ?
 -  Je croyais que nous avions déjà eu cette conversation sur la confiance réciproque à accorder les uns aux autres… »

Les Yakuzas grommelèrent doucement, puis l’un s’avança. Il avait une chemise blanche légèrement ouverte et des lunettes fumées bleues.

« Ça suffit, les conneries ! Tu as l’argent ?
 -  Je t’aime bien, toi, tu as le mérite d’être direct.
 -  L’argent. »

Ulrik hocha doucement la tête, et se redressa.

« Okay, okay ! On se détend, les gars ! C’est vrai, vous avez l’air tout tendu ! »

Le mercenaire s’approcha d’une mallette, et la souleva, puis l’ouvrit, révélant plusieurs liasses dedans.

« Je vous laisse compter. »

Ulrik s’écarta lentement, enfonçant ses mains dans ses poches, et laissa les Yakuzas compter les billets, les vérifiant pour s’assurer qu’ils étaient authentiques. Ulrik les laissa faire, peu inquiet. Il avait fait des transactions dans des endroits bien plus dangereux, et avec des partenaires bien moins fiables. Ils comptèrent soigneusement les billets, puis hochèrent la tête.

« Au plaisir de faire affaire de nouveau avec vous, Messieurs ! »

Ulrik sortit ensuite. La transaction s’était plutôt bien passée, et il rejoignit donc son vaisseau. Ce dernier était posé sur une plaine, invisible… Mais, quand il s’approcha, le mercenaire fronça les sourcils en voyant que le brouilleur furtif était désactivé, et que son vaisseau était là… Et verrouillé.

*Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?!*

Dans la nuit, Ulrik ne voyait pas forcément grand-chose, et sortit son pistolet de sa ceinture, actionnant la lampe-torche de la visière, puis le pointa en avant.

*Il y a quelqu’un qui s’est pointé… D’autres Yakuzas ?*

Intrigué, Ulrik s’approcha de la soute, et  appuya sur un levier d’urgence. Une alarme résonna, et il s’écarta, tandis que la soute s’ouvrait lentement.

Et, alors qu’il commençait à essayer d’assembler les bouts, Ulrik entendit des éclats de voix… Ainsi que des aboiements de chiens venant de la ferme qu’il avait quitté.

Il ne faisait aucun doute que les Yakuzas l’avaient poursuivi ici !

2
*Devra aller visiter P.U.R.E... Par curiosité scientifique*

Re-Bienvenue !

3
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: samedi 23 avril 2016, 23:14:50 »
Ulrik n’aurait jamais cru tomber sur une telle bombe en allant dans un monde aussi primitif. Plus il était avec cette fée, et plus elle le surprenait. Certes, il avait compris que sa connaissance du sexe était très parcellaire, mais, quand on voyait la fascination qu’elle avait pour son chibre, et le talent inné dont elle faisait preuve en s’attaquant à son sexe, Ulrik avait du mal à voir en elle une pure innocente. Du moins, il était partagé. Certes, il sentait en elle l’innocence, naïve et touchante, mais il sentait aussi autre chose. Elle suçait son sexe avec un tel talent qu’elle réveillait encore son érection, et lui, pauvre homme, incapable de retenir les élans fougueux de cette femme, crispait ses mains sur ses cheveux. Comment expliquer une telle fascination pour le sperme ? De ce qu’il avait cru comprendre, c’était en réalité plutôt infect à boire, mais elle, au contraire, elle se prélassait de la moindre petite goutte de ce nectar. Était-ce commun, aux fées, ou juste propre à cette mystérieuse Clochette ? Elle qui avait semblé vouloir le tuer en perdant sa petite clochette se révélait maintenant être d’une incroyable docilité. Un changement de comportement aussi incompréhensible que... Jouissif.

Et puis, en-dehors de toutes ces questions, Ulrik ne serait jamais contre une fellation. Elle s’enfonçait en lui, et il avait de plus en plus de mal à se concentrer, à penser de manière cohérente. Le sexe était comme une force ancestrale qui remplissait la toile de ses pensées, une peinture blanche qui noyait toutes les faïences et tous les dégradés pour ne laisser subsister que l’être préhistorique qui se dissimulait en lui. Ses soupirs profonds trahissaient autant son excitation que ses mains serrant les doux cheveux de la fée que sa queue qui remuait dans sa bouche, tapant parfois dans sa gorge.

Il sentait la langue de la femme glisser sur sa queue, ses lèvres se comprimer sur sa chair, la femme aspirant l’air, amenant sa salive à frotter sur sa queue, puis le raclement de ses belles dents... Autant de sensations exquises qui le dominaient. Il se forçait à la regarder, baissant la tête, voyant cette belle tête remuer entre ses cuisses, totalement concentrée sur sa tâche. Aucun regard complice, aucun air de connivence, comme pour s’assurer qu’Ulrik prenait son pied. Non, son plaisir, en l’état actuel des choses, était accessoire. Est-ce que Clochette le suçait vraiment par perversion, ou parce qu’elle voulait encore boire de ce sperme ? Ulrik aurait honnêtement penché pour un mélange des deux, avec une prédominance de la faim.

« Hmmm... Ma petite chérie, haaa... Vas-y, vas-y... »

Ulrik sentait la femme tirer sur sa queue, qui devenait plus grosse, plus douloureuse, lui donnant l’impression d’être un volcan en éruption. La lave en fusion allait bientôt éclater, droit dans la bouche de la femme. La fée filait d’avant en arrière, enfonçant sa queue aussi loin que possible par moment.

Le temps défila rapidement, pendant que son vaisseau, en pilotage automatique, s’arrêta dans l’espace, ouvrant ainsi les panneaux, le temps que ses moteurs se refroidissent. Ulrik sentit l’orgasme le traverser quand le vaisseau se mit en vol stationnaire. Sa respiration devenait plus lourde, plus hachée, et le jet fusa, venant éclabousser la belle bouche de la femme.

« Oh, bon sang... Haa, Clochette... ! »

Ulrik reprenait lentement son souffle. Cette fée, cette foutue fée... Dieu, elle allait la tuer ! De la sueur commençait à couler le long de son corps, et Clochette lui avoua que c’était fort, comme « la sève d’un arbre ».

*Curieuse comparaison...*

Le Gordanien resta silencieux, avant que l’attention très versatile de Clochette ne se tourne vers autre chose : le spectacle féérique des étoiles dans lesquels le vaisseau était. Un champ d’étoiles qui brillaient dans l’obscurité, un spectacle magnifique et terrible. Mais Ulrik lui, outre les étoiles, vit surtout le petit cul de Clochette, qui se dandinait devant ses yeux. Infatigable, la fée était toute serrée contre la vitre, ce qui donna à Ulrik, outre des envies, une idée.

Elle se retourna à nouveau, dos contre la vie, avec un sourire éblouissant, et Ulrik se releva alors.

« C’est ça, ma chérie... L’espace. Je parie que, là d’où tu viens, tu n’as jamais dû voir un spectacle pareil, hein ? La nuit, quand le soleil n’éclaire plus ta planète, tu les vois en levant la tête. Ici... »

Ulrik appuya sur un bouton de sa console, et, immédiatement, d’autres murs s’abaissèrent. Le vaisseau disposait d’une vue panoramique, et, comme ils étaient au beau milieu de l’espace, il n’y avait rien à craindre à abaisser les murs. Ces derniers se retirèrent donc du cockpit. Le sol, le plafond, le mur, il ne resta plus que le pupitre pour rappeler qu’ils n’étaient pas dans l’espace... Mais, outre ça, les deux amants flottaient littéralement dans l’espace.

« Des étoiles partout... »

Il y en avait partout, et on voyait même, au loin, d’immenses nébuleuses, ressemblant à d’immenses nuages qui flottaient à l’horizon. Sous eux, l’étoile de ce système les éclairait, et on pouvait également voir, toujours sous eux, une grosse planète, une géante gazeuse entourée d’anneaux.

Ulrik laissa à Clochette le temps d’observer ça, puis se rapprocha d’elle, et, en lui souriant doucement, caressa délicatement son visage.

« C’est magnifique, hein ? Pour autant, il y a une chose qui est encore plus superbe ici... Toi. »

Plus séducteur qu’on aurait pu le croire, Ulrik caressa ensuite le menton de la femme, soulevant un peu son visage, le maintenant entre deux doigts, puis alla tendrement l’embrasser. Leurs lèvres se collèrent mutuellement pendant quelques secondes, puis Ulrik rompit le baiser.

« On va faire autre chose, ma beauté... »

Ulrik aurait pu la sodomiser, mais il se disait que Clochette était encore un peu trop... Jeune pour ça. Au lieu de ça, le mercenaire, qui sentait son envie revenir, choisit de se coucher sur le sol.

« Assieds-toi sur moi... Ou, plus précisément, sur mon sexe. Empale-toi dessus, ma belle, et jouis au milieu des étoiles... Car il faut que je te dise quelque chose de très important concernant le sexe d’un homme. »

Le mercenaire laissa passer quelques secondes, comme pour montrer que son explication était sérieuse, puis reprit :

« Un sexe d’homme n’aime pas être à l’air libre. Quand on le sort de notre pantalon, il faut vite qu’il rentre dans quelque chose, ou il prend froid... »

4
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: vendredi 01 avril 2016, 21:46:06 »
Qu’est-ce que c’était que ce délire ? Ce tas de conneries qui semblaient sortir d’un roman à l’eau-de-rose pour adolescente prépubère en manque de cul ? Un pays où on ne vieillissait pas ? Une putain de crèche ? Un sortilège permettant de rester indéfiniment jeune parce que les adultes crevaient ? Dieu ! Qu’est-ce que c’était que ces blagues ? Ulrik était peut-être un peu trop rationnel pour affronter la magie si frontalement, sans aucune protection. En tout cas, Clochette avait récupéré sa fée, et semblait plus apaisée, ce qui lui laissa le temps de récupérer une sorte de gel, et de l’appliquer sur sa plaie. Le mercenaire attrapa sa délicieuse jambe, d’une douceur incroyable. En la caressant, il ressentait ce qu’il avait déjà ressenti tantôt, quand ils avaient fait l’amour : la douceur innée de cette femme. Une douceur incroyable et magnifique. Fort heureusement, la plaie était superficielle, et il vaporisa le gel. Ce genre de trucs, ça fonctionnait pour les blessures légères. Clochette ne sembla même rien remarquer, tant son regard était fixé sur le sexe de l’homme.

C’était dur à croire, mais, après son érection, il bandait encore. Ulrik était un Gordanien, et, de base, les Gordaniens étaient formés pour être très endurants. Cette endurance se retrouvait dans le sexe, et était renforcée par les expériences génétiques qu’il avait subi entre les mains de ses anciens maîtres. Guère aveugle, l’homme constata donc que Clochette était effectivement très attirée par sa queue, et, après avoir pansé sa plaie, il se redressa un peu, et finit en réalité assis sur les fesses, légèrement poussé par Clochette, qui alla renifler son sexe. Chacun des doux mots de la fille transpirait d’une incroyable innocence, celle dont les hommes ne pouvaient que rêver dans leurs rêves les plus fous. Soit on fantasmait sur la femme fatale, soit sur la jeune femme, douce, frêle, et fragile, ce que, en ce moment, la fée incarnait.

Il déglutit devant les questions qu’elle posait, les léchouilles qu’elle faisait, autant de gestes délicats et anodins, mais qui provoquaient en lui moult frissons.

« Hmmm... Putain, ma belle, haaa... »

C’était le cas de le dire ; elle avait des lèvres de fée. Et, curieusement, l’odeur de son sexe, pas plus que son sperme, ne la rebutaient, alors que, de ce qu’il en savait, le sperme n’était pas réputé pour avoir un très bon goût. Elle avait néanmoins posé pléthore de questions, et Ulrik ne s’en souvenait pas de la moitié, d’autant plus qu’elle commençait à le pomper, ce qui avait aussi pour effet de noyer ses pensées.

« Oh, putain, hummm... T’es douée, ma chérie, hm... »

Avec sa main libre, il caressait ses cheveux, crispant ses doigts dessus, tandis qu’elle continuait, inlassablement, à le sucer. Et, ce faisant, son sexe, qui avait alors une légère érection, se mit à grossir, à enfler, et à durcir.

« C’est... C’est le sexe, Clochette. Un... Un plaisir réservé aux adultes, ma beauté. C’est normal de... D’aimer ça, mais... Il n’y a que les adultes qui aiment ça... Et... Hm... Le liquide qui s’en échappe, c’est... C’est du sperme. Il sort de mon sexe quand j’atteins l’orgasme, mais toi, ton liquide, il sort... Quand tu éprouves du plaisir. »

Ouais, parler quand on se faisait sucer... ‘Clairement pas une mince affaire. Le bourlingueur faisait du mieux qu’il le pouvait.

« Vas-y, suce... Suce encore, respire par le nez, Clochette. Tu... Tu peux lécher aussi, et... Utiliser tes dents pour mordiller... Un peu. Ressens la dureté de ma queue, sens comme tu me fais plaisir, et, plus tu pomperas, plus tu pourras goûter à... À mon sperme... »

C’est visiblement ce qu’elle voulait... Et lui, et bien, si on lui offrait l’opportunité de jouir dans la bouche d’une femme magnifique, il ne serait sûrement pas contre !

5
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: mercredi 30 mars 2016, 02:21:35 »
Dieu, que cette nana était belle ! Le rustre Ulrik n’arrivait pas à croire qu’il avait une telle beauté chez lui, dans son minable vaisseau. Elle, elle méritait un palais, un carrosse, un vaisseau de luxe avec des baies vitrées immenses, pas cette espèce de tas de boue et de plomb ! Ulrik aurait presque été lui en voler un. C’était fou… Plus il la regardait, plus il la trouvait belle, et, alors qu’il venait de jouir en elle, il se sentait bien partant pour un second tour. Clochette était une fée… Ulrik n’aurait jamais cru que ces créatures existaient. Là d’où il venait, Gordan, un Empire fondé sur l’armée et la raison, ce genre d’êtres folkloriques avaient depuis longtemps disparu… Mais mon Dieu, qu’elle était belle ! Il était tellement absorbé par sa beauté qu’il ne réalisa pas immédiatement qu’elle venait de péter un câble… Avant qu’elle ne s’affaisse sur le sol, et ne s’ouvre le genou.

*Merde !*

Assis sur un fauteuil de navigation, Ulrik se redressa, voulant se porter vers elle, mais elle se mit alors à s’énerver, en lui assonant qu’il l’avait drogue, qu’il mentait… Que l’amour n’existait pas, et que, en réalité, tout ce qu’il voulait, c’était lui voler sa clochette.

« Quoi ? »

Ulrik, médusé, cligna des yeux, avant de voir la fameuse clochette. Elle était sur un rebord, dans un coin, et, en voulant la récupérer, Clochette s’était cassée la figure. Et, en prenant une forme plus humaine, elle avait visiblement oublié qu’elle avait un corps fragile. Toujours nu, le bourlingueur s’approcha d’elle avant de s’arrêter. Une fée… Peut-être que ça avait des pouvoirs magiques ? Genre… Comme le transformer en nain de jardin. La fille avait l’air sérieuse, et Ulrik laissa passer quelques secondes, avant de parler :

« Écoute, ma beauté, j’ai un vaisseau spatial… Qu’est-ce que tu veux que je fasse d’une clochette ? Je m’en fous, de ta clochette ! Je t’ai pris dans mon vaisseau parce que, et je crois que je peux le dire, t’es roulée comme dix Gondoriennes à la fois. Merde, j’ai jamais vu une nana aussi belle que toi, ma beauté, alors… Même là, alors que tu me regardes avec des yeux de tueuse, j’ai envie de t’embrasser, de baiser tout ton corps. T’as vu comment je bande, merde ? Comment tu peux croire que je t’ai pris juste pour une clochette à la con ? »

Ulrik soupira encore, hésitant à venir la caresser.

« Clochette, je… J’suis pas en train que je t’aime, okay ? L’amour, ça vient pas si facilement, mais… Je t’apprécie, ça, c’est clair. Et tu t’es ouvert le genou, ma belle… Alors, à moins que tu aies des sorts de guérison instantanée, il vaut mieux qu’on aille à l’infirmerie… Et, comme tu peux pas marcher… Je peux te porter… »

Le bourlingueur reprit ensuite, en récupérant la clochette, à côté d’elle, et la lança vers la femme. Elle rebondit à côté de sa tête.

« Tu vois ? Je n’en veux pas, de ta clochette… Elle a quoi de si spéciale, ta clochette, d’ailleurs ? »

6
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 09 août 2015, 18:33:30 »
Je me demande à qui ce "bourlingueur de l'espace" fait référence ;D

Belel carte de visite ^^

(Et belle référence à BCS, aussi !)

7
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 02 août 2015, 21:14:17 »
Je sens que je t'ai brisé le cœur en partant ;D

Le fait qu'il y ait une carotte sur ton image signifie sûrement que la Duchesse, avec Ulrik, serait devenue une bonne petite cuisinière... Et qu'elle recevrait régulièrement une récompense pour son labeur <3

8
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 28 mai 2015, 00:42:59 »
Citation de: Lucrezia
Vient ce la raconter avec son nouvelle avatar colorisé par Ludoz (lemme) :3

* Ulrik approuve.



00h42

9
* Ulrik approuve.

10
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 26 avril 2015, 16:59:06 »
Les beaux mecs doivent savoir se faire désirer, très chère.

11
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 26 avril 2015, 16:54:04 »
Tant d'appels à se faire baiser comme une grosse truie...

Je te manque tant que ça 8) ?

12
One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: mardi 24 février 2015, 23:09:26 »
Ulrik avait tiré son coup, et son sexe devint un peu plus flasque, comme à chaque fois. La loi de la montagne russe, éternelle pour un homme : le sexe montait, puis redescendait, et remontait ensuite. Même un Gordanien ne pouvait pas y échapper. Cependant, dans le cas d’Ulrik, même après avoir tiré son coup, son membre restait encore assez impressionnant. C’était une conséquence d’un héritage génétique chargé. Les Gordaniens étaient conçus pour être des amants solides et efficaces, afin de s’assurer de pouvoir procréer, et ainsi de pouvoir engrosser les femmes, et obtenir de futurs soldats. Il y avait une certaine logique, marquée dans leur code génétique, après des millénaires et des millénaires d’une société marquée par l’omnipotence d’une junte militaire. Ulrik se tenait face à cette femme, et il la vit caresser son membre, délicatement. Elle avait bu tout son sperme, et la petite autochtone semblait un peu sur le carreau, si tant est qu’elle prononça une erreur fatale.

Devant lui, agenouillée, avec ce beau petit corps de pute qui lui donnait envie de lui déboîter le cul, de le défoncer comme si un trente-six tonnes avec quatre remorques voulaient forcer le passage sur une autoroute, elle lui laissa le libre choix d’user de son corps de salope comme il l’entendait :

« Cela dit... Il y a encore une multitude de choses que tu peux me faire mon beau... Et je suis certaine que t'es un mec qui as plein d'imagination non ? »

Il sourit lentement, et hocha la tête, une main venant caresser les cheveux de la femme, glissant dessus :

« Ouais... Mais je croyais que c’était toi la professionnelle, petite pute... Et là, tu me laisses le choix de savoir comment je fais pour te défoncer ? C’est pas une forme d’escroquerie, ça, hum ? »

Reprenant son souffle, une lueur perverse dans les yeux, il serra alors les cheveux de la femme, et s’en servit pour la relever. Petite, elle était pour lui, homme musclé et bâti comme un charpentier, aussi lourde qu’une plume. Il la souleva donc, puis relâcha sa main de ses cheveux, pour la pousser contre le mur. Le dos de Sarah heurta ce dernier, provoquant un choc sourd, et l’une de ses mains vint pincer l’un de ses seins, titillant son téton, appuyant solidement dessus. Il sentait cette masse de chair, volumineuse, ce corps palpitant... Mais il ne voulait pas juste la baiser.

Ulrik avait d’autres idées derrière la tête, et il se plaqua contre elle, sa bouche s’approchant de son oreille, venant murmurer quelques chaudes et provocatrices paroles à son intention :

« Je t’ai choisi, toi, et pas toutes ces putes décérébrées, parce que je sentais qu’il y avait en toi le souffle et une flamme qu’il n’y avait pas chez ces poubelles délavées... »

Il s’écarta d’elle, et s’aventura dans le salon, puis s’assit sur un fauteuil, face à elle, écartant suffisamment ses jambes pour qu’elle puisse voir sa verge, toujours à plat, pendant mollement vers le bas. Il avait récupéré son porte-feuilles, et sortit une nouvelle lasse de billets, qu’il posa sur le bureau.

« Je te laisse un quart d’heure pour réveiller mon excitation... Montre-moi de quoi tu es capable... Mais ne touche pas à mon sexe. »

Ulrik voulait la voir dandiner du cul.

Avec tout ce latex sur elle, elle était une superbe poupée, non ?

13
One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 21:25:22 »
Fougueux et endurant, Ulrik remuait en elle, avec la bestialité d’un taureau enragé. On payait pour ce qu’on avait, et, comme il l’avait dit en entrée de jeu à Sarah, elle allait mériter sons alaire de cette nuit. Elle avait excité l’homme, l’avait chauffé, avec le talent d’une succube, et il laissait maintenant libre cours à son plaisir. Ses mains s’appuyaient sur la tête de la femme, et c’était désormais lui qui donnait le tempo, un rythme rapide et frénétique, avec sa queue massive qui remuait en elle, d’avant en arrière. Il lui baisait sa belle petite bouche d’amour, remuant dans sa magnifique figure, d’avant en arrière, donnant des mouvements saccadés, de plus en plus rapides. Son sexe tapait régulièrement contre sa gorge, et, quand il ralentissait le rythme, c’était uniquement pour avoir le plaisir de sentir sa queue s’enfoncer en elle. Clairement, il la prenait comme s’il voulait la violer, tirant sur ses cheveux, baisant cette petite pute, la traitant comme ce qu’elle était : une salope qu’il avait payé pour la déboîter. La sueur coulait le long de son corps, ses muscles bandés lui servant de soutien, et son membre filait en elle, d’avant en arrière.

Le bourlingueur soupirait, fermant les yeux à plusieurs reprises, reprenant son souffle. C’était un véritable exercice physique, et, comme Sarah pouvait peut-être le sentir, il était point de larguer sa décharge. En lui, le plaisir avait encore grimpé sur l’échelle du désir. Si 10 représentait la jouissance, le moment où il pourrait enfin se vider, il venait de dépasser le neuvième échelon, et s’approchait à toute allure du dixième, comme une moto lancée à toute allure sur une autoroute, et que rien ne pourrait arrêter. Les couinements et les suffocations de Sarah, semblables à des gémissements de douleur et de peur, loin de le repousser, loin de réfréner son ardeur, ne faisaient, au contraire, que l’exciter davantage. D’avant en arrière, il la prenait sans ménagement, remuant en elle, sauvagement, fougueusement.

« Hunn... Hunnn !! »

C’était l’heure du mâle dominateur, de l’homme-Alpha, ne pensant qu’à la satisfaction de son propre plaisir. Ses doigts se crispaient sur les cheveux de la femme, ses mains couvertes de sueur se collant à ses cheveux. Elle n’était désormais plus qu’une poupée de chiffon face à lui, pliée devant ses coups de reins, ses mouvements rapides et puissants... Et le plaisir vint, frappant à toute allure... Il sentit la vague remonter dans sa verge, et sentit la respiration lui manquer. Ulrik en oublia de respirer, et s’enfonça alors profondément en elle, donnant des coups de reins supplémentaires, en éjaculant... Et, comme on pouvait s’y attendre d’un Gordanien, sa jouissance était imposante. L’homme se vida donc en elle, balançant des chapelets de foutre dans sa gorge chaude, sa queue tressautant et rebondissant. Il balança sa crème, son sperme chaud et gluant, filant en arrière, continuant à jouir, encore et encore, ses mains se crispant encore sur ses cheveux, tremblant nerveusement, s’enfonçant dans ses cheveux, les tirant sous l’effet d’un plaisir sauvage et dominateur qui l’envahissait totalement.

Il soupira à nouveau, et jouit encore dans sa bouche, balançant de nombreuses giclées, sentant, à chaque fois, le plaisir revenir, sentant à chaque fois des secousses supplémentaires dans son sexe. Il se vida en elle, généreusement, longuement, et il était probable qu’elle ne puisse pas avaler tout ce sperme d’un coup. Ulrik termina au bout d’une bonne minute de jouissance, soixante secondes pendant lesquelles il se vida en elle, ralentissant lentement le rythme, sa queue décroissant faiblement. Elle restait toujours longue et légèrement durcie, mais avait perdu de sa superbe. Il soupira profondément, et ses doigts cessèrent de tenir douloureusement les cheveux de la femme. Il la maintint toutefois contre lui encore quelques secondes, en reprenant son souffle, caressant tendrement, doucement, ses beaux cheveux.

« Haaa... Haaaa... »

La respiration lourde, Ulrik ferma les yeux. Son sexe barbotait dans son propre sperme, formant comme un petit bassin dans la bouche de la femme.

« Bois tout, ma chérie... Doucement, tranquillement... Reprends tes forces, et bois toute ma généreuse crème, elle n’est rien que pour toi et pour ta belle petite bouche de suceuse professionnelle... »

Dans la bouche d’Ulrik, c’était un compliment.

14
One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 19:28:13 »
C’était une belle pièce, et la femme s’y attaquait encore, avec plus de passion, et plus d’acharnement. Excité comme jamais, Ulrik serrait ses doigts autour de sa masse de cheveux, et la sentait remuer contre lui, sa langue glissant sur sa queue. Il aimait bien ça, les fellations... Il n’y avait aucune raison particulière à ça, mais c’était un truc qu’il aimait bien, tout simplement... Se tenir comme ça, devant une femme, agenouillée, qui vous astiquait le poireau, c’était dantesque. Sa main se crispait sur ses cheveux, et elle la sentait forcer, jusqu’à tenter une gorge profonde. Les mains d’Ulrik se crispèrent autour d’elle, serrant sur ses cheveux, le plaisir éclatant en lui avec force. Sa queue tapa contre sa gorge, s’enfonçant en elle, et il sentit ses testicules taper contre les lèvres de la femme. La petite pute gémissait et couinait, devant accepter un énorme monceau en elle. Le vit d’Ulrik était gros et imposant, et, quand elle se recula, il la laissa faire. Il put ainsi voir que son membre était couvert de salive, tout chaud, tout bouillonnant, et elle se mit à éternuer, toussotant en reprenant son souffle. Les joues rouges, elle reprenait son souffle, s’expliquant en lui disant qu’il était gros...

Cet aveu fit sourire Ulrik, qui caressa à nouveau les cheveux de la femme, tendrement.

« Peut-être que tu as eu les yeux plus gros que le ventre en m’acceptant comme client, ma chérie... »

Il la provoquait volontairement, en allant sur le terrain où il savait que ça avait des chances de faire mouche : ses performances sexuelles. Vu comment elle aimait le sexe, elle devait avoir un certain point d’orgue à être une pute talentueuse, une prostituée qui faisait toujours jouir ses clients, même s’ils étaient totalement incompétents, avec des couilles molles et flasques. Lui, au contraire, était un grand amant, une bête du pieu... C’était prétentieux de se décrire ainsi, mais, à défaut d’avoir réussi à faire quelque chose de sa vie, Ulrik se consolait en se disant que, pour ces Terriennes, il était un bon amant.

Face à elle, il attendait son retour, et elle recommença à le sucer. Ses gémissements, les bruits de mastication de sa bouche, de sa langue glissant sur sa queue... Autant de sensations magiques. Elle n’avait plus besoin de s’aider de ses mains, les posant simplement sur ses fesses, en appui. Ulrik n’était pas gêné pour ça. Vu son comportement brutal et bourrin, on aurait pu le prendre pour un macho, mais c’était, encore une fois, mal connaître le comportement et la psychologie des Gordaniens. L’égalité des sexes était affirmée à Gordan, et vue comme quelque chose de normal. Pour Ulrik, il se devait d’être capable d’endurer ce qu’il infligeait à d’autres. En somme, sentir les mains de la petite sur ses fesses était magnifique, et il comprit rapidement qu’elle avait quelques envies profondes, en approchant l’un de ses doigts de sa rondelle.

« Hmmm... Petite gourmande... »

Le temps défilait rapidement, Ulrik ne jouissant toujours pas. Il était endurant, et voulait offrir à cette femme une belle fellation. Pendant des minutes et des minutes, elle s’amusait donc à le sucer, remuant le long de son sexe, et il tira sur ses cheveux quand elle enfonça un doigt dans son fondement. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, soupirant longuement, et commença alors à remuer son bassin, d’avant en arrière, son sexe s’enfonçant un peu plus profondément en elle. Il s’aida ensuite de son autre main, les posa sur la tête de la femme, et, ce faisant, remua d’avant en arrière, donnant le rythme, suivant les mouvements de bouche de cette ado’. Son corps le démangeait maintenant, formant comme des boules nerveuses qui remuaient dans son corps, et il y allait de plus en plus vite, remuant en elle.

Son objectif était de lui baiser méchamment la gueule.

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 18:08:48 »
Ce traitement préliminaire était délicieux, en plus d’être assez original. D’autres amantes auraient tout simplement pu sauter ce passage, afin de se concentrer d’emblée sur la fellation. Au lieu de ça, elle avait commencé par embrasser et lécher ses testicules, tout en le masturbant, amenant sa verge à se durcir encore plus, se dressant encore, enflant de quelques centimètres supplémentaires. Bien membré, le Gordanien se retrouva au bout de ces quelques minutes avec une trique monumentale. Son sexe se dressait douloureusement, vibrant un peu, tout dur, tout tendu. Sa queue avait soif d’elle, et elle continuait à lécher son sexe. Il adorait notamment quand ses lèvres filaient dans le creux constitué entre sa verge et ses testicules, et qu’elle s’y fourrait, léchant et tirant un peu sur sa peau. Cette partie-ci de son anatomie était très sensible, et il aurait pu avoir peur que la femme tire sur ses poils pubiens, ou ne lui fasse mal... Mais il lui faisait confiance. C’était d’autant plus curieux qu’Ulrik n’accordait pas facilement sa confiance à quelqu’un. Encore une fois, tout venait du regard, du regard de la jeune femme qu’il avait aperçu en l’abordant dans la ruelle. Elle se tenait là, à genoux, s’attaquant à son sexe, et l’embrassa une dernière fois, avant de s’écarter, se mettant face à ce sexe, dressé devant elle comme un pistolet chargé, le chargeur prêt à larguer toutes ses balles.

Serrant les poings, Ulrik avait chaud, et des plaques rouges glissaient le long de son corps. Le temps qu’elle retourne s’attaquer à son sexe, pour aborder la seconde partie de cette fantastique fellation, lui retira ses chaussures, et finit donc enfin totalement nu... Elle, elle portait toujours ses vêtements, et, pour l’heure, il n’avait pas envie de la désaper. Elle était sexy, comme ça, et elle ouvrit bien la bouche, faisant pointer sa belle langue rose.

« Oh ouais, soupira l’homme. Putain, viens, ma belle... »

Sa queue lui aurait volontiers fait passer tous les castings requis pour devenir acteur porno’. La pute avait droit à quelque chose de phénoménal, et l’égo d’Ulrik se plaisait à se dire que, comme pour Lulu, cette autre salope en latex, elle se languirait de lui... Certes, certes, il n’y avait aucune relation sérieuse entre eux, rien d’autre qu’une envie mutuelle de baiser, mais ça n’empêchait pas d’avoir de l’ambition. La femme, lentement, se rapprocha donc, et commença ses mouvements, posant sa belle bouche sur son sexe, tendant ses lèvres en avant, et remua d’avant en arrière. Ulrik posa ses deux mains sur le crâne de la femme, se crispant un peu dessus, veillant toutefois à ne pas appuyer trop fort. Oh, que c’était bion ! Elle avait tellement titillé son sexe, tellement joué avec son vit, que ce dernier était assoiffé, et Ulrik ferma les yeux en basculant sa tête en arrière, comme s’il était écrasé par une violente vague de plaisir qui vint le saisir. Il entendait cette petite prodige gémir et soupirer, ondulant d’avant en arrière, sa bouche et ses lèvres glissant sur sa hampe de chair. Lui se mit à l’observer, fasciné par le spectacle de ce corps remuant d’avant en arrière, par cette belle bouche ondulant sur sa queue, creusant ses joues en aspirant de l’air, suçant sa queue bien comme il fallait. Doué, elle l’était terriblement, et lui soupira profondément, sa poitrine se soulevant et s’abaissant.

Leurs regards se croisaient régulièrement, et, tout ce que Sarah pouvait voir de la part d’Ulrik, c’était de violentes vagues de plaisir et de désir, traversant son corps, remuant dans ses entrailles. Son membre pulsait et enflait en elle, et sa main se crispait sur sa délicieuse chevelure.

« Oooohhh... Oh ouais, ma belle... Là, continue... Ma queue, elle... Elle est à toi toute entière... »

Il lui faisait confiance pour s’en occuper le mieux possible. Leurs regards se croisaient régulièrement, et ses mains avaient tendance à s’enfoncer contre ses cheveux, de manière à veiller, instinctivement, à ce qu’elle ne s’éloigne pas trop de sa queue, et qu’elle continue à s’y enfoncer. Un phallus n’aimait pas être à l’air libre, et, dans la bouche d’une femme, le membre d’Ulrik était bien au chaud.

Il n’avait donc aucune envie de le faire sortir trop vite.

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