Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ulrik

Pages: [1] 2 3 ... 7
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Les alentours de la ville / Re : Voyage surprise [Ulrik]
« le: lundi 05 novembre 2018, 00:32:01 »
« Alors, c’est ça, la rune magique ?
 -  Tu ne nous fais pas confiance ?
 -  Depuis quand devrais-je vous faire confiance ? »

Entre ses doigts, Ulrik faisait tournoyer la gemme. C’était une sorte de pierre précieuse, qui scintillait entre ses doigts. Le pirate de l’espace l’observa sans rien dire. La magie n’était pas quelque chose qui lui parlait beaucoup. Originaire de l’Empire de Gordan, il n’était pas habitué à ce genre de choses. C’était une sorte de sorcellerie ancestrale, antique, mais il avait déjà entendu parler de la magie au cours de ses pérégrinations spéciales. Ulrik hocha doucement la tête, et lança la gemme en l’air. Les hommes face à lui écarquillèrent les yeux sous la surprise, avant que la gemme ne retombe dans sa main. Il serra alors, et sentit la gemme s’illuminer entre ses doigts.

Le pire serait qu’il revienne avec une gemme factice, mais son employeur avait été très clair sur les techniques permettant de s’assurer de la viabilité de l’objet magique. Ulrik avait beau être un indépendant, et n’appartenir à aucune guilde, il avait, somme toute, son code, ses principes, et il avait trop peu de clients pour les tromper. Ce voyage sur Terre était d’ailleurs dangereux, car il violait les accords galactiques en se rendant sur un monde n’appartenant pas aux systèmes stellaires reconnus par les différentes conventions en cours au sein de la Base Spatiale. Autrement dit, il se livrait à de la contrebande avec des systèmes non autorisés, de surcroît situés dans une autre dimension parallèle. D’un autre côté, il existait autour de Terra de multiples failles spatiotemporelles permettant de sauter de sa dimension à celle-ci. Il n’avait ensuite plus qu’à utiliser les appareils de furtivité de son vaisseau pour éviter de se faire repérer par les satellites artificiels de ce monde, ainsi que par leurs radars et leurs antennes, pour pouvoir se poser.

Face à lui, dans cette cabane en bois isolée au milieu de la forêt, les criminels attendaient que le mercenaire accepte le caillou. C’était une transaction banale et classique. Son employeur souhaitait faire l’acquisition de cette gemme magique, une pierre précieuse élémentaire permettant, d’après ce qu’Ulrik avait compris, de générer des sorts multiples en magie élémentaire. Ulrik n’y comprenait pas grand-chose, mais, dès lors que son employeur était prêt à le payer pour qu’il aille négocier la transaction, Ulrik n’en demandait pas davantage.

Les Yakuzas attendirent donc. Ulrik hocha doucement la tête.

« Ça m’a l’air convenable…
 -  Vous doutiez de nous ?
 -  Je croyais que nous avions déjà eu cette conversation sur la confiance réciproque à accorder les uns aux autres… »

Les Yakuzas grommelèrent doucement, puis l’un s’avança. Il avait une chemise blanche légèrement ouverte et des lunettes fumées bleues.

« Ça suffit, les conneries ! Tu as l’argent ?
 -  Je t’aime bien, toi, tu as le mérite d’être direct.
 -  L’argent. »

Ulrik hocha doucement la tête, et se redressa.

« Okay, okay ! On se détend, les gars ! C’est vrai, vous avez l’air tout tendu ! »

Le mercenaire s’approcha d’une mallette, et la souleva, puis l’ouvrit, révélant plusieurs liasses dedans.

« Je vous laisse compter. »

Ulrik s’écarta lentement, enfonçant ses mains dans ses poches, et laissa les Yakuzas compter les billets, les vérifiant pour s’assurer qu’ils étaient authentiques. Ulrik les laissa faire, peu inquiet. Il avait fait des transactions dans des endroits bien plus dangereux, et avec des partenaires bien moins fiables. Ils comptèrent soigneusement les billets, puis hochèrent la tête.

« Au plaisir de faire affaire de nouveau avec vous, Messieurs ! »

Ulrik sortit ensuite. La transaction s’était plutôt bien passée, et il rejoignit donc son vaisseau. Ce dernier était posé sur une plaine, invisible… Mais, quand il s’approcha, le mercenaire fronça les sourcils en voyant que le brouilleur furtif était désactivé, et que son vaisseau était là… Et verrouillé.

*Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?!*

Dans la nuit, Ulrik ne voyait pas forcément grand-chose, et sortit son pistolet de sa ceinture, actionnant la lampe-torche de la visière, puis le pointa en avant.

*Il y a quelqu’un qui s’est pointé… D’autres Yakuzas ?*

Intrigué, Ulrik s’approcha de la soute, et  appuya sur un levier d’urgence. Une alarme résonna, et il s’écarta, tandis que la soute s’ouvrait lentement.

Et, alors qu’il commençait à essayer d’assembler les bouts, Ulrik entendit des éclats de voix… Ainsi que des aboiements de chiens venant de la ferme qu’il avait quitté.

Il ne faisait aucun doute que les Yakuzas l’avaient poursuivi ici !

2
*Devra aller visiter P.U.R.E... Par curiosité scientifique*

Re-Bienvenue !

3
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: samedi 23 avril 2016, 23:14:50 »
Ulrik n’aurait jamais cru tomber sur une telle bombe en allant dans un monde aussi primitif. Plus il était avec cette fée, et plus elle le surprenait. Certes, il avait compris que sa connaissance du sexe était très parcellaire, mais, quand on voyait la fascination qu’elle avait pour son chibre, et le talent inné dont elle faisait preuve en s’attaquant à son sexe, Ulrik avait du mal à voir en elle une pure innocente. Du moins, il était partagé. Certes, il sentait en elle l’innocence, naïve et touchante, mais il sentait aussi autre chose. Elle suçait son sexe avec un tel talent qu’elle réveillait encore son érection, et lui, pauvre homme, incapable de retenir les élans fougueux de cette femme, crispait ses mains sur ses cheveux. Comment expliquer une telle fascination pour le sperme ? De ce qu’il avait cru comprendre, c’était en réalité plutôt infect à boire, mais elle, au contraire, elle se prélassait de la moindre petite goutte de ce nectar. Était-ce commun, aux fées, ou juste propre à cette mystérieuse Clochette ? Elle qui avait semblé vouloir le tuer en perdant sa petite clochette se révélait maintenant être d’une incroyable docilité. Un changement de comportement aussi incompréhensible que... Jouissif.

Et puis, en-dehors de toutes ces questions, Ulrik ne serait jamais contre une fellation. Elle s’enfonçait en lui, et il avait de plus en plus de mal à se concentrer, à penser de manière cohérente. Le sexe était comme une force ancestrale qui remplissait la toile de ses pensées, une peinture blanche qui noyait toutes les faïences et tous les dégradés pour ne laisser subsister que l’être préhistorique qui se dissimulait en lui. Ses soupirs profonds trahissaient autant son excitation que ses mains serrant les doux cheveux de la fée que sa queue qui remuait dans sa bouche, tapant parfois dans sa gorge.

Il sentait la langue de la femme glisser sur sa queue, ses lèvres se comprimer sur sa chair, la femme aspirant l’air, amenant sa salive à frotter sur sa queue, puis le raclement de ses belles dents... Autant de sensations exquises qui le dominaient. Il se forçait à la regarder, baissant la tête, voyant cette belle tête remuer entre ses cuisses, totalement concentrée sur sa tâche. Aucun regard complice, aucun air de connivence, comme pour s’assurer qu’Ulrik prenait son pied. Non, son plaisir, en l’état actuel des choses, était accessoire. Est-ce que Clochette le suçait vraiment par perversion, ou parce qu’elle voulait encore boire de ce sperme ? Ulrik aurait honnêtement penché pour un mélange des deux, avec une prédominance de la faim.

« Hmmm... Ma petite chérie, haaa... Vas-y, vas-y... »

Ulrik sentait la femme tirer sur sa queue, qui devenait plus grosse, plus douloureuse, lui donnant l’impression d’être un volcan en éruption. La lave en fusion allait bientôt éclater, droit dans la bouche de la femme. La fée filait d’avant en arrière, enfonçant sa queue aussi loin que possible par moment.

Le temps défila rapidement, pendant que son vaisseau, en pilotage automatique, s’arrêta dans l’espace, ouvrant ainsi les panneaux, le temps que ses moteurs se refroidissent. Ulrik sentit l’orgasme le traverser quand le vaisseau se mit en vol stationnaire. Sa respiration devenait plus lourde, plus hachée, et le jet fusa, venant éclabousser la belle bouche de la femme.

« Oh, bon sang... Haa, Clochette... ! »

Ulrik reprenait lentement son souffle. Cette fée, cette foutue fée... Dieu, elle allait la tuer ! De la sueur commençait à couler le long de son corps, et Clochette lui avoua que c’était fort, comme « la sève d’un arbre ».

*Curieuse comparaison...*

Le Gordanien resta silencieux, avant que l’attention très versatile de Clochette ne se tourne vers autre chose : le spectacle féérique des étoiles dans lesquels le vaisseau était. Un champ d’étoiles qui brillaient dans l’obscurité, un spectacle magnifique et terrible. Mais Ulrik lui, outre les étoiles, vit surtout le petit cul de Clochette, qui se dandinait devant ses yeux. Infatigable, la fée était toute serrée contre la vitre, ce qui donna à Ulrik, outre des envies, une idée.

Elle se retourna à nouveau, dos contre la vie, avec un sourire éblouissant, et Ulrik se releva alors.

« C’est ça, ma chérie... L’espace. Je parie que, là d’où tu viens, tu n’as jamais dû voir un spectacle pareil, hein ? La nuit, quand le soleil n’éclaire plus ta planète, tu les vois en levant la tête. Ici... »

Ulrik appuya sur un bouton de sa console, et, immédiatement, d’autres murs s’abaissèrent. Le vaisseau disposait d’une vue panoramique, et, comme ils étaient au beau milieu de l’espace, il n’y avait rien à craindre à abaisser les murs. Ces derniers se retirèrent donc du cockpit. Le sol, le plafond, le mur, il ne resta plus que le pupitre pour rappeler qu’ils n’étaient pas dans l’espace... Mais, outre ça, les deux amants flottaient littéralement dans l’espace.

« Des étoiles partout... »

Il y en avait partout, et on voyait même, au loin, d’immenses nébuleuses, ressemblant à d’immenses nuages qui flottaient à l’horizon. Sous eux, l’étoile de ce système les éclairait, et on pouvait également voir, toujours sous eux, une grosse planète, une géante gazeuse entourée d’anneaux.

Ulrik laissa à Clochette le temps d’observer ça, puis se rapprocha d’elle, et, en lui souriant doucement, caressa délicatement son visage.

« C’est magnifique, hein ? Pour autant, il y a une chose qui est encore plus superbe ici... Toi. »

Plus séducteur qu’on aurait pu le croire, Ulrik caressa ensuite le menton de la femme, soulevant un peu son visage, le maintenant entre deux doigts, puis alla tendrement l’embrasser. Leurs lèvres se collèrent mutuellement pendant quelques secondes, puis Ulrik rompit le baiser.

« On va faire autre chose, ma beauté... »

Ulrik aurait pu la sodomiser, mais il se disait que Clochette était encore un peu trop... Jeune pour ça. Au lieu de ça, le mercenaire, qui sentait son envie revenir, choisit de se coucher sur le sol.

« Assieds-toi sur moi... Ou, plus précisément, sur mon sexe. Empale-toi dessus, ma belle, et jouis au milieu des étoiles... Car il faut que je te dise quelque chose de très important concernant le sexe d’un homme. »

Le mercenaire laissa passer quelques secondes, comme pour montrer que son explication était sérieuse, puis reprit :

« Un sexe d’homme n’aime pas être à l’air libre. Quand on le sort de notre pantalon, il faut vite qu’il rentre dans quelque chose, ou il prend froid... »

4
Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: vendredi 01 avril 2016, 21:46:06 »
Qu’est-ce que c’était que ce délire ? Ce tas de conneries qui semblaient sortir d’un roman à l’eau-de-rose pour adolescente prépubère en manque de cul ? Un pays où on ne vieillissait pas ? Une putain de crèche ? Un sortilège permettant de rester indéfiniment jeune parce que les adultes crevaient ? Dieu ! Qu’est-ce que c’était que ces blagues ? Ulrik était peut-être un peu trop rationnel pour affronter la magie si frontalement, sans aucune protection. En tout cas, Clochette avait récupéré sa fée, et semblait plus apaisée, ce qui lui laissa le temps de récupérer une sorte de gel, et de l’appliquer sur sa plaie. Le mercenaire attrapa sa délicieuse jambe, d’une douceur incroyable. En la caressant, il ressentait ce qu’il avait déjà ressenti tantôt, quand ils avaient fait l’amour : la douceur innée de cette femme. Une douceur incroyable et magnifique. Fort heureusement, la plaie était superficielle, et il vaporisa le gel. Ce genre de trucs, ça fonctionnait pour les blessures légères. Clochette ne sembla même rien remarquer, tant son regard était fixé sur le sexe de l’homme.

C’était dur à croire, mais, après son érection, il bandait encore. Ulrik était un Gordanien, et, de base, les Gordaniens étaient formés pour être très endurants. Cette endurance se retrouvait dans le sexe, et était renforcée par les expériences génétiques qu’il avait subi entre les mains de ses anciens maîtres. Guère aveugle, l’homme constata donc que Clochette était effectivement très attirée par sa queue, et, après avoir pansé sa plaie, il se redressa un peu, et finit en réalité assis sur les fesses, légèrement poussé par Clochette, qui alla renifler son sexe. Chacun des doux mots de la fille transpirait d’une incroyable innocence, celle dont les hommes ne pouvaient que rêver dans leurs rêves les plus fous. Soit on fantasmait sur la femme fatale, soit sur la jeune femme, douce, frêle, et fragile, ce que, en ce moment, la fée incarnait.

Il déglutit devant les questions qu’elle posait, les léchouilles qu’elle faisait, autant de gestes délicats et anodins, mais qui provoquaient en lui moult frissons.

« Hmmm... Putain, ma belle, haaa... »

C’était le cas de le dire ; elle avait des lèvres de fée. Et, curieusement, l’odeur de son sexe, pas plus que son sperme, ne la rebutaient, alors que, de ce qu’il en savait, le sperme n’était pas réputé pour avoir un très bon goût. Elle avait néanmoins posé pléthore de questions, et Ulrik ne s’en souvenait pas de la moitié, d’autant plus qu’elle commençait à le pomper, ce qui avait aussi pour effet de noyer ses pensées.

« Oh, putain, hummm... T’es douée, ma chérie, hm... »

Avec sa main libre, il caressait ses cheveux, crispant ses doigts dessus, tandis qu’elle continuait, inlassablement, à le sucer. Et, ce faisant, son sexe, qui avait alors une légère érection, se mit à grossir, à enfler, et à durcir.

« C’est... C’est le sexe, Clochette. Un... Un plaisir réservé aux adultes, ma beauté. C’est normal de... D’aimer ça, mais... Il n’y a que les adultes qui aiment ça... Et... Hm... Le liquide qui s’en échappe, c’est... C’est du sperme. Il sort de mon sexe quand j’atteins l’orgasme, mais toi, ton liquide, il sort... Quand tu éprouves du plaisir. »

Ouais, parler quand on se faisait sucer... ‘Clairement pas une mince affaire. Le bourlingueur faisait du mieux qu’il le pouvait.

« Vas-y, suce... Suce encore, respire par le nez, Clochette. Tu... Tu peux lécher aussi, et... Utiliser tes dents pour mordiller... Un peu. Ressens la dureté de ma queue, sens comme tu me fais plaisir, et, plus tu pomperas, plus tu pourras goûter à... À mon sperme... »

C’est visiblement ce qu’elle voulait... Et lui, et bien, si on lui offrait l’opportunité de jouir dans la bouche d’une femme magnifique, il ne serait sûrement pas contre !

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Ville-Etat de Nexus / Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|
« le: mercredi 30 mars 2016, 02:21:35 »
Dieu, que cette nana était belle ! Le rustre Ulrik n’arrivait pas à croire qu’il avait une telle beauté chez lui, dans son minable vaisseau. Elle, elle méritait un palais, un carrosse, un vaisseau de luxe avec des baies vitrées immenses, pas cette espèce de tas de boue et de plomb ! Ulrik aurait presque été lui en voler un. C’était fou… Plus il la regardait, plus il la trouvait belle, et, alors qu’il venait de jouir en elle, il se sentait bien partant pour un second tour. Clochette était une fée… Ulrik n’aurait jamais cru que ces créatures existaient. Là d’où il venait, Gordan, un Empire fondé sur l’armée et la raison, ce genre d’êtres folkloriques avaient depuis longtemps disparu… Mais mon Dieu, qu’elle était belle ! Il était tellement absorbé par sa beauté qu’il ne réalisa pas immédiatement qu’elle venait de péter un câble… Avant qu’elle ne s’affaisse sur le sol, et ne s’ouvre le genou.

*Merde !*

Assis sur un fauteuil de navigation, Ulrik se redressa, voulant se porter vers elle, mais elle se mit alors à s’énerver, en lui assonant qu’il l’avait drogue, qu’il mentait… Que l’amour n’existait pas, et que, en réalité, tout ce qu’il voulait, c’était lui voler sa clochette.

« Quoi ? »

Ulrik, médusé, cligna des yeux, avant de voir la fameuse clochette. Elle était sur un rebord, dans un coin, et, en voulant la récupérer, Clochette s’était cassée la figure. Et, en prenant une forme plus humaine, elle avait visiblement oublié qu’elle avait un corps fragile. Toujours nu, le bourlingueur s’approcha d’elle avant de s’arrêter. Une fée… Peut-être que ça avait des pouvoirs magiques ? Genre… Comme le transformer en nain de jardin. La fille avait l’air sérieuse, et Ulrik laissa passer quelques secondes, avant de parler :

« Écoute, ma beauté, j’ai un vaisseau spatial… Qu’est-ce que tu veux que je fasse d’une clochette ? Je m’en fous, de ta clochette ! Je t’ai pris dans mon vaisseau parce que, et je crois que je peux le dire, t’es roulée comme dix Gondoriennes à la fois. Merde, j’ai jamais vu une nana aussi belle que toi, ma beauté, alors… Même là, alors que tu me regardes avec des yeux de tueuse, j’ai envie de t’embrasser, de baiser tout ton corps. T’as vu comment je bande, merde ? Comment tu peux croire que je t’ai pris juste pour une clochette à la con ? »

Ulrik soupira encore, hésitant à venir la caresser.

« Clochette, je… J’suis pas en train que je t’aime, okay ? L’amour, ça vient pas si facilement, mais… Je t’apprécie, ça, c’est clair. Et tu t’es ouvert le genou, ma belle… Alors, à moins que tu aies des sorts de guérison instantanée, il vaut mieux qu’on aille à l’infirmerie… Et, comme tu peux pas marcher… Je peux te porter… »

Le bourlingueur reprit ensuite, en récupérant la clochette, à côté d’elle, et la lança vers la femme. Elle rebondit à côté de sa tête.

« Tu vois ? Je n’en veux pas, de ta clochette… Elle a quoi de si spéciale, ta clochette, d’ailleurs ? »

6
Le Spatioport / Re : Battlefront [Arcadis]
« le: lundi 18 janvier 2016, 00:06:08 »
Indéniablement, cette nana était bien roulée. Pour de si beaux yeux et une si jolie paire de hanches, Ulrik était prêt à faire le tour du Cosmos.. Et même à retourner au sein de l’Empire de Gordan. Quand Arcadis détourna la tête, Ulrik se déplaça légèrement, et observa la silhouette de son cul. Voilà un spectacle qui valait bien la vision de constellations étoilées et multicolores. Avec son pantalon bleu moulant, le cul d’Arcadis était une pure perfection, et le contrebandier sourit légèrement... Avant que la femme ne se retourne vers lui, en lui parlant d’une inspection.

« J’espère que ce contrat est sans contrebande, sinon, nous allons avoir des problèmes… »

Ulrik haussa les sourcils.

« Tu penses aux inspecteurs de la Douane ? Ne t’inquiète pas, beauté, cette cargaison est officielle. Le Consortium n’aura pas fait appel à une bleusaille, sinon. »

Il rajouta ensuite rapidement, comme pour éviter de provoquer sa susceptibilité :

« ...Ni moi non plus, d’ailleurs. C’est une mission de transfert facile, Arcadis, des moyens de se faire des crédits tranquillement. Le Consortium de Zann fournit des armes et des armures aux Gordaniens, dans le cadre de la guerre contre les Formiens. La cargaison stockée dans ton vaisseau comporte des armures de pointe, les Z-Soldiers, qui font la fierté du Consortium. Normalement, ce sont des navettes militaires qui transportent les armes, mais l’Empire est tellement demandeur que le Consortium doit faire appel à des transporteurs privés... Comme toi. Moi, je suis juste là pour s’assurer qu’on ne rencontre pas des pirates ou des contrebandiers. »

Ulrik reprit alors, en continuant à marcher, observant le Midnight Rose. Il n’y avait pas à tortiller du cul pour chier droit, c’était un superbe vaisseau, et Ulrik pouvait voir les multiples canons-laser servant à sa défense. Il y avait deux canons lourds, et deux canons à faisceaux de fusion. C’était une artillerie légère, qui serait efficace contre des ennemis légers, mais qui, face à des vaisseaux lourds, ne servirait à rien.

« Comme il s’agit d’un équipement militaire fourni par le Consortium de Zann, les douaniers font nécessairement une inspection, notamment pour s’assurer que l’équipement est bien stocké et archivé. »

Il reprit ensuite, en lui souriant :

« Croyez-en un vieux contrebandier, vous n’avez rien à craindre, ça fait partie de la procédure... Sauf si vous avez du matériel non répertorié à cacher dans votre appareil... »

Qui sait ? Peut-être que, sous ses airs de jeune vierge innocente, Arcadis avait ses petits secrets.

Ça n’aurait nullement déplu à Ulrik.

7
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 09 août 2015, 18:33:30 »
Je me demande à qui ce "bourlingueur de l'espace" fait référence ;D

Belel carte de visite ^^

(Et belle référence à BCS, aussi !)

8
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 02 août 2015, 21:14:17 »
Je sens que je t'ai brisé le cœur en partant ;D

Le fait qu'il y ait une carotte sur ton image signifie sûrement que la Duchesse, avec Ulrik, serait devenue une bonne petite cuisinière... Et qu'elle recevrait régulièrement une récompense pour son labeur <3

9
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 28 mai 2015, 00:42:59 »
Citation de: Lucrezia
Vient ce la raconter avec son nouvelle avatar colorisé par Ludoz (lemme) :3

* Ulrik approuve.



00h42

10
* Ulrik approuve.

11
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 26 avril 2015, 16:59:06 »
Les beaux mecs doivent savoir se faire désirer, très chère.

12
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: dimanche 26 avril 2015, 16:54:04 »
Tant d'appels à se faire baiser comme une grosse truie...

Je te manque tant que ça 8) ?

13
Le Spatioport / Re : Battlefront [Arcadis]
« le: samedi 07 mars 2015, 03:16:50 »
Chouette ! Non content de tomber sur un tas de boulons, il fallait qu’il soit, en prime, susceptible... Le robot adopta une voix féminine, et s’évertua à lui expliquer qu’il était plus qu’un simple ensemble de circuits imprimés et de puces. C’était un robot protocolaire de classe EV-quelque chose... Tout ce qu’Ulrik retint de ce laïus, c’était que le commandant du vaisseau était une commandante une information importante à noter. Arcadis... Le nom ne lui disait absolument rien. C’était peut-être une nouvelle... Ou alors, c’était la preuve qu’il ne savait effectivement pas grand-chose de ce milieu. Ulrik était un free-lance, travaillant et opérant seul. Il n’avait rejoint aucun réseau, aucun trafic, aucun consortium, enchaînant des contrats qui ne l’impliquaient pas énormément, consistant généralement à convoyer des marchandises. Un transporteur, tout simplement. Il savait qu’il était en marge des lois, mais il s’agissait souvent de conventions fiscales... En somme, il n’y avait qu’un préjudice financier, rien de particulièrement condamnable du point de vue de la morale.

« Okay, okay, Evy... Je vais pas me fâcher avec un robot protocolaire, hey ? »

Le Midnight Rose semblait être une bonne machine. Un transporteur de classe Brecca... Un petit vaisseau, pouvant accueillir un équipage modéré, mais c’était une belle machine. Contrairement aux gros transports publics, lents et lourds, le Brecca disposait de trois moteurs, lui permettant ainsi d’avancer très rapidement, et, surtout, il avait été conçu initialement dans un usage militaire. Par conséquent, il disposait de boucliers efficaces, et d’une coque solide. Un vaisseau parfait pour un voyage dans l’Empire de Gordan. Sans rien dire de plus, emboîtant le pas à la machine, et plongé dans ses réflexions sur les Brecca, Ulrik grimpa dans la soute, suivant Evy, entendant des bruits dans cette dernière.

Arcadis... Elle était penchée vers un panneau métallique ouvert, la tête disparaissant à l’intérieur, et il put voir sa belle silhouette. Elle inspectait, avec un détecteur de particules, l’un des moteurs, probablement pour voir s’il n’y avait aucun élément nuisible, aucun parasite. Il suffisait parfois d’un grain de poussière pour faire exploser un vaisseau. Si le système de ventilation fonctionnait mal et se grippait à cause de la poussière, le moteur pouvait surchauffer, et exploser, entraînant l’explosion du vaisseau. Il laissa donc cette femme finir son inspection, puis la vit se redresser devant lui. Tandis qu’elle l’observait, lui fit de même, une brève lueur de plaisir traversant ses yeux en voyant le joli petit lot qui se tenait là.

*Quel canon...*

Un sacré lot, oui ! La femme était belle à se damner. Outre sa poitrine généreuse, elle avait des formes alléchantes, un corps parfait, et une délicieuse peau sombre, chocolatée. La petite cicatrice qu’il voyait sur son œil gauche était une sorte de valeur supplémentaire... Et ses vêtements, moulants, étaient également terriblement sexys. En somme, cette femme était une vraie bombe sexuelle, à tel point qu’Ulrik se demanda s’il ne rêvait pas.

« Bienvenue à bord, Ulrik, je suis Arcadis, j’ai encore une dizaine de vérification à faire avant de partir. »

Il hocha lentement la tête, revenant peu à peu à lui, sortant de ses pensées osées, dans lesquelles il défonçait le bassin de cette femme, et la laissa parler à nouveau :

« Normalement, nous partirons dans deux ou trois heures… mais je n’ai pas compris pourquoi, j’allais avoir besoin d’un garde du corps ? »

L’homme était aveuglé par son sourire, lui donnant envie de lui rouler une pelle mémorable. Au lieu de ça, il s’avança lentement, s’humectant les lèvres, et lui répondit :

« Nous allons rejoindre l’Empire de Gordan... C’est une zone en guerre, et la route y menant est semée d’embûches et de risques. Je suis aussi là pour m’assurer que nous prendrons un chemin peu risqué, de manière à éviter d’autres pirates, ou encore des Orks... »

L’espace était une zone très dangereuse, où les requins étaient nombreux, utilisant des rayons tracteurs pour arracher un vaisseau de l’hyper-espace.

« Je suis là pour veiller sur vos jolies petites fesses... Ainsi que sur celles de vos tas de... Hum... De vos intelligents tas de circuits imprimés et de micropuces. »

Autant éviter de froisser la susceptibilité de la belle dame, car la beauté avait tous les droits.

14
One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: mardi 24 février 2015, 23:09:26 »
Ulrik avait tiré son coup, et son sexe devint un peu plus flasque, comme à chaque fois. La loi de la montagne russe, éternelle pour un homme : le sexe montait, puis redescendait, et remontait ensuite. Même un Gordanien ne pouvait pas y échapper. Cependant, dans le cas d’Ulrik, même après avoir tiré son coup, son membre restait encore assez impressionnant. C’était une conséquence d’un héritage génétique chargé. Les Gordaniens étaient conçus pour être des amants solides et efficaces, afin de s’assurer de pouvoir procréer, et ainsi de pouvoir engrosser les femmes, et obtenir de futurs soldats. Il y avait une certaine logique, marquée dans leur code génétique, après des millénaires et des millénaires d’une société marquée par l’omnipotence d’une junte militaire. Ulrik se tenait face à cette femme, et il la vit caresser son membre, délicatement. Elle avait bu tout son sperme, et la petite autochtone semblait un peu sur le carreau, si tant est qu’elle prononça une erreur fatale.

Devant lui, agenouillée, avec ce beau petit corps de pute qui lui donnait envie de lui déboîter le cul, de le défoncer comme si un trente-six tonnes avec quatre remorques voulaient forcer le passage sur une autoroute, elle lui laissa le libre choix d’user de son corps de salope comme il l’entendait :

« Cela dit... Il y a encore une multitude de choses que tu peux me faire mon beau... Et je suis certaine que t'es un mec qui as plein d'imagination non ? »

Il sourit lentement, et hocha la tête, une main venant caresser les cheveux de la femme, glissant dessus :

« Ouais... Mais je croyais que c’était toi la professionnelle, petite pute... Et là, tu me laisses le choix de savoir comment je fais pour te défoncer ? C’est pas une forme d’escroquerie, ça, hum ? »

Reprenant son souffle, une lueur perverse dans les yeux, il serra alors les cheveux de la femme, et s’en servit pour la relever. Petite, elle était pour lui, homme musclé et bâti comme un charpentier, aussi lourde qu’une plume. Il la souleva donc, puis relâcha sa main de ses cheveux, pour la pousser contre le mur. Le dos de Sarah heurta ce dernier, provoquant un choc sourd, et l’une de ses mains vint pincer l’un de ses seins, titillant son téton, appuyant solidement dessus. Il sentait cette masse de chair, volumineuse, ce corps palpitant... Mais il ne voulait pas juste la baiser.

Ulrik avait d’autres idées derrière la tête, et il se plaqua contre elle, sa bouche s’approchant de son oreille, venant murmurer quelques chaudes et provocatrices paroles à son intention :

« Je t’ai choisi, toi, et pas toutes ces putes décérébrées, parce que je sentais qu’il y avait en toi le souffle et une flamme qu’il n’y avait pas chez ces poubelles délavées... »

Il s’écarta d’elle, et s’aventura dans le salon, puis s’assit sur un fauteuil, face à elle, écartant suffisamment ses jambes pour qu’elle puisse voir sa verge, toujours à plat, pendant mollement vers le bas. Il avait récupéré son porte-feuilles, et sortit une nouvelle lasse de billets, qu’il posa sur le bureau.

« Je te laisse un quart d’heure pour réveiller mon excitation... Montre-moi de quoi tu es capable... Mais ne touche pas à mon sexe. »

Ulrik voulait la voir dandiner du cul.

Avec tout ce latex sur elle, elle était une superbe poupée, non ?

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 21:25:22 »
Fougueux et endurant, Ulrik remuait en elle, avec la bestialité d’un taureau enragé. On payait pour ce qu’on avait, et, comme il l’avait dit en entrée de jeu à Sarah, elle allait mériter sons alaire de cette nuit. Elle avait excité l’homme, l’avait chauffé, avec le talent d’une succube, et il laissait maintenant libre cours à son plaisir. Ses mains s’appuyaient sur la tête de la femme, et c’était désormais lui qui donnait le tempo, un rythme rapide et frénétique, avec sa queue massive qui remuait en elle, d’avant en arrière. Il lui baisait sa belle petite bouche d’amour, remuant dans sa magnifique figure, d’avant en arrière, donnant des mouvements saccadés, de plus en plus rapides. Son sexe tapait régulièrement contre sa gorge, et, quand il ralentissait le rythme, c’était uniquement pour avoir le plaisir de sentir sa queue s’enfoncer en elle. Clairement, il la prenait comme s’il voulait la violer, tirant sur ses cheveux, baisant cette petite pute, la traitant comme ce qu’elle était : une salope qu’il avait payé pour la déboîter. La sueur coulait le long de son corps, ses muscles bandés lui servant de soutien, et son membre filait en elle, d’avant en arrière.

Le bourlingueur soupirait, fermant les yeux à plusieurs reprises, reprenant son souffle. C’était un véritable exercice physique, et, comme Sarah pouvait peut-être le sentir, il était point de larguer sa décharge. En lui, le plaisir avait encore grimpé sur l’échelle du désir. Si 10 représentait la jouissance, le moment où il pourrait enfin se vider, il venait de dépasser le neuvième échelon, et s’approchait à toute allure du dixième, comme une moto lancée à toute allure sur une autoroute, et que rien ne pourrait arrêter. Les couinements et les suffocations de Sarah, semblables à des gémissements de douleur et de peur, loin de le repousser, loin de réfréner son ardeur, ne faisaient, au contraire, que l’exciter davantage. D’avant en arrière, il la prenait sans ménagement, remuant en elle, sauvagement, fougueusement.

« Hunn... Hunnn !! »

C’était l’heure du mâle dominateur, de l’homme-Alpha, ne pensant qu’à la satisfaction de son propre plaisir. Ses doigts se crispaient sur les cheveux de la femme, ses mains couvertes de sueur se collant à ses cheveux. Elle n’était désormais plus qu’une poupée de chiffon face à lui, pliée devant ses coups de reins, ses mouvements rapides et puissants... Et le plaisir vint, frappant à toute allure... Il sentit la vague remonter dans sa verge, et sentit la respiration lui manquer. Ulrik en oublia de respirer, et s’enfonça alors profondément en elle, donnant des coups de reins supplémentaires, en éjaculant... Et, comme on pouvait s’y attendre d’un Gordanien, sa jouissance était imposante. L’homme se vida donc en elle, balançant des chapelets de foutre dans sa gorge chaude, sa queue tressautant et rebondissant. Il balança sa crème, son sperme chaud et gluant, filant en arrière, continuant à jouir, encore et encore, ses mains se crispant encore sur ses cheveux, tremblant nerveusement, s’enfonçant dans ses cheveux, les tirant sous l’effet d’un plaisir sauvage et dominateur qui l’envahissait totalement.

Il soupira à nouveau, et jouit encore dans sa bouche, balançant de nombreuses giclées, sentant, à chaque fois, le plaisir revenir, sentant à chaque fois des secousses supplémentaires dans son sexe. Il se vida en elle, généreusement, longuement, et il était probable qu’elle ne puisse pas avaler tout ce sperme d’un coup. Ulrik termina au bout d’une bonne minute de jouissance, soixante secondes pendant lesquelles il se vida en elle, ralentissant lentement le rythme, sa queue décroissant faiblement. Elle restait toujours longue et légèrement durcie, mais avait perdu de sa superbe. Il soupira profondément, et ses doigts cessèrent de tenir douloureusement les cheveux de la femme. Il la maintint toutefois contre lui encore quelques secondes, en reprenant son souffle, caressant tendrement, doucement, ses beaux cheveux.

« Haaa... Haaaa... »

La respiration lourde, Ulrik ferma les yeux. Son sexe barbotait dans son propre sperme, formant comme un petit bassin dans la bouche de la femme.

« Bois tout, ma chérie... Doucement, tranquillement... Reprends tes forces, et bois toute ma généreuse crème, elle n’est rien que pour toi et pour ta belle petite bouche de suceuse professionnelle... »

Dans la bouche d’Ulrik, c’était un compliment.

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