Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ulrik

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: mardi 15 juillet 2014, 01:15:34 »
Lucrezia... Le nom ne lui disait effectivement rien, et il ne comprenait pas trop pourquoi cette femme tenait tant à connaître son nom maintenant, et à lui communiquer le sien. Il n’en accorda pas une bien grande importance. Peut-être qu’elle voulait juste se rapprocher encore de lui, l’inciter à rester ? Il fallait bien admettre que c’était tentant... Rester avec cette femme, et la baiser pour le reste de leur existence, la prendre dans tous les sens du possible, la sentir hurler, la défoncer, la faire couiner sans relâche, enfoncer son vit en elle, et encore, encore et encore, se faire l’amour. Ce qu’ils vivaient était une spirale, une longue parenthèse, délicieuse et exquise, mais qui, lentement, touchait à sa fin. C’était comme si aucun des deux amants ne souhaitait s’arrêter là, comme s’ils voulaient défier la logique et la fatigue de leurs corps. Il venait de jouir à nouveau dans son corps, défonçant ses fesses, et Lucrezia s’étalait devant lui, délicieuse dans sa robe en latex, continuant à le faire frissonner. La respiration lourde, Ulrik la regardait sans rien dire, jusqu’à ce que la femme ne se mette à nouveau à parler.

Elle voulait encore de lui. Il hocha lentement la tête, s’humecta les lèvres, et un léger sourire se traça sur ses lèvres.

« Ma belle... Tu es insatiable... »

Il frissonna légèrement, et se pencha vers elle. Il n’eut aucune difficulté à retourner l’allonger sur son matelas, se blottissant contre elle, et l’embrassa sur les lèvres, posant une main sur ses cheveux bleus, les serrant, mordillant ses lèvres dans son baiser. Que pouvait-il donc encore lui faire ? Ulrik hésitait, mais il appréciait le contact de ce latex.

« Que te faire, que te faire... »

Ulrik sourit lentement, et remua un peu contre son corps, se reposant sur elle. Sa main se déplaça pour attraper sa verge, et il la tira vers le bas, la faisant passer sous l’ourlet de sa robe. Il relâcha ensuite son sexe, qui caressa l’intimité trempée de cette femme.

« Alors, c’est reparti, ma belle... »

D’où lui venait une telle fougue ? De son passé de militaire gordanien ? De la mutation qu’il avait subi autrefois par les militaires ? Du fait qu’il couchait avec une salope de classe transgalactique, toutes catégories confondues ? Un subtil mélange des trois, sans doute. Il continua à remuer en elle, la pénétrant, mais le geste était bien plus lent qu’auparavant. Il fatiguait, haletait, soupirant longuement, et remuait son corps d’avant en arrière, la pénétrant tendrement, délicatement.

C’était bon. Délicat, lent, mais bon. C’est tout ce qu’il demandait.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: mercredi 09 juillet 2014, 01:39:25 »
Les choses sérieuses allaient se poursuivre entre eux. On jouait les prolongations, et, plus Ulrik se la tapait, cette petite salope aux cheveux bleus et à la robe noire en latex, et plus il avait envie de se la taper. Oh ouais, c’était une magnifique salope, et il la défonçait, tout en l’entendant aboyer et gémir, faire la chienne tout en léchant son plat. Ce n’était pas quelque chose de difficile à manger, mais, avec le cul rempli par la verge du contrebandier, il ne devait pas être facile de bien manger. Cependant, Ulrik s’en foutait. L’estomac de cette femme, pour le coup, était secondaire devant son plaisir. C’était égoïste, mais, en toute honnêteté, quand votre verge se réveillait et vous donnait des coups de trique à vous donner envie de chialer votre mère, vous vous foutiez bien que Madame soit en train de bouffer... Surtout quand Madame était à quatre pattes devant lui, et qu’il avait sa queue dans son cul.

« Ouais, ouais, putaaainn !! Haaaa, couine, salope, couine !! »

Il lui claqua à nouveau les fesses, et continua à la prendre, sans relâche, avec la même fougue. Les minutes filèrent rapidement. La porte arrière de Lulu était déjà bien enfoncée après tous leurs ébats, et Ulrik n’avait donc aucune difficulté à y retourner, savourant ce contact, savourant cette femme, remontant ses mains pour agripper ce latex. Cette texture était vraiment délicieuse, surtout sur le corps d’une si belle femme... Oui, Ulrik ne pouvait qu’admettre que cette femme était d’une beauté terrifiante. Il serrait ce latex, et continuait à remuer en elle, son sexe bien planté.

Ulrik soupirait de plaisir, de profonds râles s’échappant de sa gorge. Le corps de Lulu répondait favorablement à ses élans, et il continuait à la prendre, remuant en elle, d’avant en arrière, ses mains la giflant, s’abattant sur sa croupe. La sodomie se prolongea encore pendant de longues minutes, avant qu’Ulrik ne finisse par s’abandonner à nouveau en elle. Il se crispa contre son corps, et, en l’insultant copieusement, éjacula en elle, répandant sa semence :

« Hmmmmm !! Saaaaloooope, haaaa !! Goûte-y, ma chienne !! »

Il jouit en elle, sentant son sexe se vider, le sperme giclant en elle. Ulrik, dans un soupir, se retira d’elle, et s’écarta légèrement, soupirant de plaisir.

« Merde, ce que tu peux être bonne, Lulu... Je n’arrive pas à me lasser de toi... Je ne sais pas s’il faut te détester ou t’adorer pour ça. »

L’homme était sincère.

Il ne savait toujours pas quoi faire avec cette nana, tant elle suscitait en lui des sentiments contradictoires.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: mardi 01 juillet 2014, 01:20:35 »
Ils en revenaient à cette bonne vieille fellation. Un plaisir simple et facile, et toujours aussi plaisant pour Ulrik. L’homme avait le droit d’avoir ses petits fantasmes, et il avait tellement couché avec cette femme qu’il avait amplement remarqué son talent inné pour les fellations. Cette dernière, après un petit speech bien motivant, ne tarda pas à prendre son sexe en bouche. Elle jouait avec délice son rôle d’infirmière salope, et Ulrik tendit sa main pour caresser ses cheveux, s’appuyant dessus, les serrant, tout en la laissant remuer. Son regard était baissé vers la femme. Il ne se privait pas de l’observer, de la détailler, de la reluquer, et de remuer ses hanches. Pour eux, c’était la seconde période qui commençait, après une nuit de repos. Le désir revenait, toujours aussi fort, toujours aussi vicieux et intense. Ulrik soupirait de plaisir, remuant d’avant en arrière, enfouissant son membre dans la bouche de la fem, qui n’hésitait pas à l’emplir totalement, toute sa verge s’engloutissant en elle.

Ulrik en soupirait de plaisir, basculant légèrement sa tête en arrière. Le plaisir remontait en lui, électrique, et elle continuait à le sucer, avant de libérer sa verge, pour astiquer ses testicules. Encore une fois, le bourlingueur de l’espace ne chercha nullement à l’en empêcher. Cette fellation le réveillait, stimulant ses idées, excitant son imagination. Il la laissa donc faire, sa verge retrouvant une belle érection, jusqu’à ce qu’elle lui demande son nom.

*Hum ?*

Sur le coup, Ulrik ne put s’empêcher de cligner des yeux, surpris. C’était vrai... Il ne lui avait jamais donné son nom. L’image avait quelque chose d’ironique. Ils avaient fait l’amour comme des sauvages, il l’avait baisé dans tous les sens, et elle ne connaissait même pas son nom. S’il n’avait pas eu une trique de tous les diables, il aurait sans doute pu en profiter pour la narguer là-dessus, mais même Ulrik n’était pas cruel à ce point.

L’homme esquissa donc un léger sourire, et s’écarta de la femme.

« Ulrik, ma belle... On m’appelle comme ça. »

Vu sa prestation, elle méritait bien de connaître son nom. Le bourlingueur avait maintenant son sexe tendu, et cette petite pute dans sa robe de latex moulante le tentait sévèrement. Il se pencha alors, et ouvrit le plat qu’il lui avait amené. Une idée délicieusement perverse avait germé dans son esprit, et il était temps de la mettre à exécution.

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle... Je sais que tu as envie d’agir pour ton patient, mais il faut aussi que tu reprennes des forces. »

Comme quoi, on ne pourrait pas dire qu’il n’était pas prévoyant ou bien intentionné. Il posa ses mains sur les hanches de la femme, rapprochant sa verge de son bassin, heurtant ses fesses. Oh putain, ça allait être bon ! Il en souriait, de légers tremblements venant parcourir son corps.

« Utilise ta bouche pour avaler... Comme une chienne, car c’est comme ça que je vais te prendre. »

Il s’enfonça alors dans son fondement, joignant le geste à la parole, et ponctua l’acte d’une grosse claque sur ses fesses...

Histoire de faire circuler le sang.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: mercredi 25 juin 2014, 01:12:35 »
Il s’attendait presque à ce qu’il n’y ait personne quand il reviendrait. Tout ça semblait tellement... Surréaliste. Initialement, il était juste venu délivrer un paquet, et il s’était retrouvé à ramoner toute la tuyauterie d’une poupée en latex aux cheveux bleus dans des toilettes miteux. Même pour lui, c’était un peu fort... Pourtant, Ulrik en avait vu des vertes et des pas mûres, en explorant l’espace. Il s’avançait lentement, retraversant ces couloirs sombres et étroits, qui donneraient envie à n’importe quel claustrophobe de pousser des hurlements paniqués. C’était un endroit flippant, rappelant au bourlingueur les avant-postes gordaniens. Il y avait des couloirs aussi étroits, qui faisaient office de goulot d’étranglement contre d’éventuels envahisseurs, des lance-flammes étant dissimulés dans les coins, ou des dispositifs permettant d’émettre des rayons lasers meurtriers. Rien de tout ça ici, fort heureusement.

C’est ainsi que notre homme retourna dans les chiottes... Probablement l’endroit le plus romantique de l’univers. Quelle chance y avait-il de trouver, dans des foutues toilettes abandonnées, une femme en latex qui avait envie de se faire tringler comme si elle était la dernière des putes ? Ulrik ouvrit la porte, s’attendant presque à ne voir personne, et à se dire que tout ce qu’il avait vécu jusqu’à maintenant n’avait été que le fruit de son imagination, et l’expression de sa situation de manque de femmes. Les longs voyages spatiaux qu’il faisait duraient aisément des semaines, et, pendant toute cette période, il ne pouvait que rester en pilotage manuel quand le corps d’une femme lui manquait.

Pourtant, elle était bien là. Magnifique, sensuelle, désirable, allongée sur son vieux matelas pourri, en glissant son doigt sur ce dernier.

« Je... How, Habituellement ce sont les infirmières qui apporte les plateaux repas aux patients... Pas le contraire, fufufu ! »

Ulrik haussa légèrement la tête sous l’effet de la surprise. Pour lui, ce qu’il lui amenait correspondait à un repas, tout simplement. Mine de rien, c’était plus rapide à préparer qu’un sandwich, puisqu’il suffisait juste d’appuyer sur un bouton. Mais... Les infirmières ? Ulrik réalisa alors qu’il avait une érection, déformant légèrement son bas. Naturellement, il savait ce qu’était une infirmière. Les Gordaniens en avaient aussi, mais elles étaient bien différentes de ces Terriennes. Elles portaient de lourdes armures quand elles agissaient sur le front, et soignaient les blessés à l’aide de machines dans les hôpitaux.

« Hum... Disons que c’est la reconnaissance du patient pour les traitements apportés par son infirmière à le soigner. »

S’agissant de la Duchesse, la phrase était très ironique, mais Ulrik ne pouvait pas savoir qu’elle sauvait rarement des vies... C’était, en réalité, plutôt le contraire. Ignorance culturelle oblige, lui ne voyait en cette femme qu’une simple partenaire sexuelle, une femme qui, pour d’obscures raisons, avait choisi de s’enterrer ici. Oh, il soupçonnait bien quelque chose de louche, mais rien d’aussi grave que la réalité. Pour l’heure, notre homme déposa le plateau dans un coin, et se déshabilla sous les yeux de la femme, finissant à nouveau nu, avec son sexe dressé. Sa main masturbait ce dernier, étranglant ce monceau de chair entre ses doigts. Le Gordanien s’avança vers elle, rejoignant le matelas.

« Mais je crois que j’ai encore besoin d’une analyse corporelle... Je sens comme une certaine tension entre les cuisses. »

Le message était clair : il voulait une petite fellation matinale, car c’était idéal pour commencer la journée.

N’est-ce pas ?

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Base Spatiale / Re : Dead Planet [Niki]
« le: mercredi 25 juin 2014, 01:09:35 »
C’était donnant-donnant. Il avait joui, c’était au tour de Niki. Pour Ulrik, c’était dans l’ordre des choses, et qui était-il pour refuser à une femme son plaisir ? Sans elle, il serait en train de se morfondre dans cette cellule en soupirant sur la bêtise et sur l’arrogance de cette expédition scientifique partant à l’assaut d’une colonie spatiale envahie par des monstres. Elle lui offrait une alternative tout à fait séduisante à son enfermement, et il comptait bien la saisir comme il se doit, si besoin est en défonçant cette jeune femme. Elle voulait se faire baiser, et les mots qu’elle employait, les baisers qu’elle faisait, les caresses qu’elle lui admonestait, étaient autant de douces flammes qui ravivèrent le brasier brûlant entre ses cuisses. Sa tension se roidit à nouveau sous les effets de cette femme. Petite, mais gourmande. Il aimait ça, en réalité. Il allait encore la prendre, voilà qui, désormais, ne faisait plus l’ombre d’un doute. Leurs ébats n’étaient pas encore totalement terminés. Il restait encore le morceau du Roi, ou, plutôt, de la Reine : la satisfaire.

Elle l’avait susurré dans le creux de son oreille, presque comme si elle avait honte de le dire à voix haute. Sa main vint pétrir les cheveux de Niki, les empoignant fermement, et il glissa son visage près du sien, son nez venant tapoter celui de la femme.

« Okay, beauté... Ça me semble honnête. Et, puisque tu veux qu’on te traite comme une putain, ma foi... »

Ulrik la relâcha, et la poussa, non pas pour l’abandonner, mais pour la contraindre à se mettre à quatre pattes. La première fois, elle avait réussi, ayant de meilleures idées en tête, mais là... Pour lui, ça lui semblait être le meilleur moyen de la prendre, celui où il aurait le plus d’amplitude, en pouvant donner de grands coups de reins. Et puis... Une femme à quatre pattes devant soi, n’était-ce pas un spectacle magnifique ? Presque féérique. Ulrik la mit donc en position, et glissa son sexe en elle, la pénétrant par son vagin, tout en posant ses mains sur ses hanches.

Le plaisir explosa rapidement en lui quand le naufragé put se perdre en elle, savourant ce plaisir ancestral et exquis de goûter au corps d’une femme, de s’enfoncer en elle. Ses mains se maintenaient contre les hanches de son bassin, ses pouces glissant sur ses fesses, appuyant dessus, et il remuait, d’avant en arrière, la pénétrant par là, sentant l’ourlet de ses fesses glisser près de sa verge. Elle était ouverte, accueillante, n’essayant pas de la repousser... Et, si elle le faisait, alors Ulrik ne s’en rendait pas compte, pris dans sa danse endiablée. Sa verge retrouvait sa raideur en elle, écartant ses parois intimes, défonçant son bouton de plaisir à chaque fois qu’il revenait l’avoir, essayant de s’enfoncer le plus loin possible, courbant ainsi son corps vers l’avant, avant de revenir en arrière.

Les mêmes mouvements pendant plusieurs minutes. On aurait pu trouver ça monotone, mais Ulrik se faisait plaisir. Sincèrement.

« J’avoue..., grogna-t-il. Putain, Niki, je pourrais te baiser pendant des heures, tu es... Tellement étroite ! »

Ouvrir cette dernière, déformer son vagin, voilà un plaisir immense et jouissif, ô combien primaire et exquis ! L’homme continuait à se faire plaisir, et, comme il avait joui, il pouvait lui offrir un beau récital, en atteignant que la belle atteigne son orgasme. Elle le méritait. Ce qu’il lui faisait, dans son esprit, c’était une forme de remerciement. Il voulait qu’elle hurle, il voulait l’entendre rugir son plaisir en s’abandonnant contre lui.

Jusqu’à ce qu’elle s’abandonne.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: dimanche 22 juin 2014, 01:50:51 »
Elle avait envie de grailler, et, manifestement, son réfrigérateur était vide... Si tant est qu’elle ait un frigo. Comment faisait-elle pour bouffer ? Elle se nourrissait de rats et de toiles d’araignée ? Ulrik n’avait rien vu qui, de près ou de loin, s’apparente à la bouffe, et c’est ce qui, naturellement, amena Lulu à lui quémander de lui ramener à manger. Surpris par cette demande, son corps frissonna quand la femme l’embrassa tendrement, se pressant contre lui. Il répondit à son baiser, torse nu, l’enlaçant tendrement. Les mains de cette femme se serrèrent contre son torse, et leur bref baiser se rompit vite, avant qu’Ulrik ne sente l’érection revenir.

« S'il te plait... Je taillerais une pipe si tu veux... » souffla-t-elle ensuite.

Le bourlingueur esquissa un léger sourire. Il la repoussa, caressant ses épaules, remontant ensuite sur ses joues, les frottant avec ses mains. Notre pirate de l’espace hocha lentement la tête.

« Okay, joli cœur, tu sais comment me convaincre... Le temps que je revienne, retrouve ta robe de latex, et enfile-là... Avec les gants et les collants. »

Il l’embrassa à nouveau, et enfila quelques vêtements, avant de sortir. Il retrouva rapidement son brassard technologique, et l’alluma. Une représentation tridimensionnelle des égouts se mit en place. La carte fonctionnait grâce à l’ordinateur de bord de son vaisseau, diffusant des ondes radio qui rebondissaient contre les murs, permettant ainsi de dessiner une carte. Il ne comptait pas aller à la surface, car il ignorait tout de ce monde, mais Ulrik avait son plan. Le bourlingueur s’avança vers son vaisseau, et mit une demi-heure à y retourner. Personne ne vint le déranger, et il n’était pas claustrophobe, ce qui faisait qu’il s’avançait sans peur le long des égouts et des cavernes souterraines.

Une fois à l’intérieur, le bourlingueur trouva le réfrigérateur de l’appareil, et l’ouvrit. Il y avait quelques rations militaires gordaniennes, mais il savait que les femmes non-Gordaniennes avaient le palais délicat... Et lui-même trouvait ça dégueulasse. Il opta pour des aliments récupérés sur d’autres planètes, et se retourna. Dans le fond, il aurait tout à fait pu conduire cette femme ici. Curieusement, cette idée revenait encore dans son esprit, même s’il savait qu’elle était idiote, et complètement farfelue. Il la chassa vite, et retourna vers son antre.

Il aurait également pu partir et l’abandonner là, mais... Peut-être bien qu’il s’était attaché à cette poupée en latex un peu plus qu’il ne l’aurait cru. Il tenait dans sa main une sorte de plateau plastifiée avec un système électronique intégré permettant de réchauffer le plat. Ulrik retourna rapidement dans la station de métro, et fit chauffer le plat, qui comprenait aussi des couverts intégrés dans un rangement sur le côté.

« Je pense que tu devrais aimer ça, ma chérie... »

La revoir dans sa robe en latex provoquerait sûrement une nouvelle érection chez lui.

Mais ce n’était pas spécialement pour le déranger.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: lundi 16 juin 2014, 01:20:44 »
Ulrik se situait entre l’éveil et le sommeil, dans un état intermédiaire. Il errait, fermant les yeux, ses paupières lourdes, avant de les rouvrir, clignant à plusieurs reprises, s’absentant en caressant machinalement le corps de cette fille. Ses mains glissaient sur ses cheveux, sa nuque, et son dos, alors que, blottie contre lui, elle dormait paisiblement. Cette journée était folle, complètement hallucinante, et notre homme se remettait peu à peu de ses émotions. Il s’était tapé cette fille, dans tous les sens possibles, et son corps en était à demander pitié après le récital. C’était l’heure du repos, des soupirs et des mouvements légers du corps. Lulu dormait contre lui, et elle ne savait toujours pas son nom... Était-ce si important, à ce stade ? S’il avait encore été dans l’armée, il l’aurait amené avec lui, afin qu’elle puisse accoucher de beaux soldats gordaniens qui partiraient mourir bravement et fièrement pour l’Empire. Au lieu de ça, il allait partir d’ici, la laisser se reposer, et l’oublier, avec l’intime conviction que, si jamais il revenait ici, il ne resterait aucune trace de cette femme. L’avait-il rêvé ? Tout ça semblait tellement irréel... Quand il serait de retour dans son vaisseau, est-ce qu’il arriverait à se convaincre que tout ça n’avait été qu’un songe ? N’éprouverait-il ainsi aucun regret à se séparer de cette fille ?

*Elle ne serait pas dans un tel endroit si elle ne cherchait pas à fuir quelqu’un...*

C’était évident, maintenant. Couché sur ce matelas rapiécé, il voyait le plafond, parcouru de fissures, poussiéreux, il voyait les rats et les animaux des égouts sortant de trous dans les murs, les araignées se dissimulant dans les coins. On ne se rendait pas volontairement dans un tel coin. Elle cherchait à fuir une menace. Ulrik se sentirait-il suffisamment chevaleresque pour l’aider ? Il l’ignorait. Le contrebandier était plutôt du genre à se dire que chacun devait s’occuper de ses propres emmerdes sans faire chier les autres. Cependant, c’était un joli coup... En gros, Ulrik hésitait. Allait-il rester fidèle à sa ligne, ou prendre des risques avec cette nana ?

Il hésitait, et cette dernière continua à se tortiller, commençant à se réveiller. Elle se redressa lentement, et leurs regards se croisèrent. Elle se frotta un œil en bâillant à s’en décrocher la mâchoire, ayant visiblement bien dormi, et, comme pour l’aider à se réveiller, son estomac se mit à gargouiller, la coupant dans sa phrase.

« Je... Heu... »

Quand on savait vraiment qui était la Duchesse, cette image ne manquait pas de piquant, mais Ulrik pouvait encore brandir la carte de l’ignorance. Il y avait quelque chose d’anormal avec cette fille. Ça, il le sentait bien, mais il était alors bien incapable d’en dire plus sur elle. Ulrik se rapprocha d’elle, et l’embrassa tendrement, avant de se relever.

« Yo, cocotte, répliqua-t-il. Il me semble que tout l’exercice de tantôt t’a éreinté... Tu veux casser la croûte ? »

Le pauvre homme ne savait pas trop quoi dire, ni quoi faire, et avait sorti la première chose qui lui venait à l’esprit.

38
Base Spatiale / Re : Dead Planet [Niki]
« le: mercredi 04 juin 2014, 01:24:16 »
Cette femme était une vraie diablesse, retournant le griffer, glissant ses doigts le long de son corps, comme pour le griffer à chaque coup. Était-ce une manière de le repousser ? De lui dire qu’il en faisait trop ? Il avait lui-même pris les choses en main, et son membre glissait dans la bouche de la femme. Ulrik n’avait jamais été à la place de Niki, mais, de ce qu’on avait pu lui dire, respirer était difficile dans ces conditions. C’était terrible, car Ulrik adorait ça ! Quel homme n’aimait pas pouvoir ainsi baiser la bouche d’une belle femme à ses pieds, et ce surtout quand cette dernière s’avérait être aussi perverse que lui ? Il était comme une locomotive à vapeur qu’on venait de lancer en desserrant le frein sur les rails : l’arrêter ne serait pas facile. Il fallait attendre qu’il arrive à bon port. Aux délicieux et onctueux gémissements et soupirs de la femme répondaient comme des espèces de râles, de soupirs profonds et caverneux émanant de la bouche du blondinet coupé de près. Ulrik soupirait à chaque griffe. Niki avait déployé ses griffes, probablement sous l’effet de l’intense excitation qu’elle ressentait, et Ulrik heurtait de plus en plus son lit en ramenant son corps en arrière, avant de repartir. Sa main continuait à maintenir la tête de Niki, et son sexe sortait et ressortait. Il accroissait le rythme, mais, parfois, il le ralentissait aussi. Il ne voulait pas non plus l’asphyxier, cette belle petite poupée. Ce n’était pas tous les jours qu’on avait la chance de se réveiller dans un vaisseau spatial pour tomber sur une femme qui soit en même temps un concentré de beauté et de perversion.

Il sentait les mains de Niki parcourir son torse, laissant ses marques, sa signature. Il soupira à nouveau, un peu plus fort, une onde de douleur. Hey, il avait beau être un tas de muscle sur pattes, ce n’était que de la peau que Niki griffait !

« Haaa... Petite pute, hunn... » réussit-il à articuler.

Ce n’était pas très galant d’insulter une femme, certes, mais, au point où ils en étaient tous les deux, l’homme estimait qu’on pouvait se permettre ce genre de petites familiarités. De plus... Hey, elle l’avait quand même griffé, hein ! Ce n’était pas un petit ange aux doigts de fée, mais une véritable hyène, une furie. Son impatience, ses griffures, sa manière de le chauffer, tout cela témoignait, il en était sûr, d’une longue forme de frustration sexuelle. Les Gordaniens étaient formés là-dessus, sur les bienfaits du sexe, ainsi que sur les bienfaits de la frustration sexuelle. Le second cas encourageait une certaine forme d’agressivité et d’impulsivité qui pouvait être très efficace sur le terrain, mais, d’un autre côté, on avait tendance à désobéir aux ordres, à agir comme bon nous semblait. En réalité, il y avait assez peu de frustration sexuelle chez les soldats gordaniens, et un Gordanien frustré trouvant enfin l’occasion de se soulager ressemblait un peu, à peu de choses près, à notre homme. Il était dominateur, agressif sur les femmes, usant volontiers de sa force physique pour s’imposer. Il ne faisait pas l’amour, il baisait. Tout simplement.

Et il continua à lui baiser sa belle petite gueule d’amour pendant encore plusieurs minutes. Il était endurant sur le temps, et il comprenait des choses simples : quand on s’offrait un produit, ou un service, il fallait en avoir pour son argent. Niki ne l’avait pas payé avec de l’argent, mais elle avait chauffé la machine, et continuait à faire en laissant ses marques, formant comme autant de points de rappel destinés à continuer à l’échauffer. Il ne voulait pas la décevoir. Il finit ainsi par éjaculer à nouveau en elle, et son rythme décrut alors, accompagnant alors ses giclées de sperme. Fidèle à lui-même, fidèle à cette trique qui le démangeait et lui lacérait le bas-ventre comme si on lui avait foutu du plomb dedans, il s’abandonna généreusement, balançant plusieurs vagues de giclées, envoyant son sperme à chaque secousse, ralentissant de plus en plus. C’était divin, comme si toute une tension qui s’était accumulée dans son bas-ventre, tout un nœud, se dénouait progressivement pour lui offrir une sensation de bien-être dans le corps. Les endorphines se répandirent dans tout son être, et il relâcha les cheveux de Niki.

Un peu de sperme jaillit des lèvres de la belle quand il retira son sexe. Encore une fois, son érection avait diminué, et son sexe était un mélange de salive et de sperme, quelques dépôts blanchâtres s’y étant déposés. Elle en avait encore dans la bouche, il le voyait, et ça lui donna une autre idée... Une idée qui fusa dans son esprit, l’amenant à rapidement se mettre à parler.

« Ne bois pas tout, Niki... La tâche est lourde, un homme doit savoir aider. »

Il se pencha vers elle, et la poussa, l’allongeant sur le sol, la couchant sur le dos. Ulrik s’affala sur elle. Il semblait si épais, par rapport à cette petite femme, qu’on aurait pu se demander s’il n’allait pas la briser comme une biscotte. Chaleureusement, ses mains retournèrent à l’assaut de son corps. L’homme optait pour un changement de rythme. Jouir le calmait, le rendait euphorique, et il se faisait plus doux, agrippant à nouveau la tête de Niki, pour qu’elle puisse se poser sur cette dernière, son autre main agrippant ses hanches. Il l’embrassa alors, s’affalant contre elle, sa sueur se collant à la sienne, et il enfonça sa langue, titillant ses lèvres, cherchant à les ouvrir, et ainsi à partager ce jus intime qui stagnait en elle.

Pour le coup, on pouvait clairement appeler ça un baiser pervers.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: mercredi 28 mai 2014, 02:05:06 »
Il avait laissé sa signature, sa marque : des tâches blanches qui avaient éclaté sur le torse de cette femme en latex. Sa respiration était lourde, et rester éveillé, comme il le faisait en ce moment, était difficile. Son esprit tourbillonnait dans sa tête, ses jambes étaient devenues lourdes, faibles, et son torse se soulevait et s’abaissait. Même lui commençait à accuser le contrecoup de cette tornade de baise et de sexe. C’était le calme plat dans son falzar, son p’tit champion était crevé, après cette dernière giclée. Tout son chargeur était parti, et Ulrik n’aspirait maintenant qu’à reposer son corps. Que resterait-il de cette séance ? Sans doute rien. Il se doutait que si, dans deux semaines, il revenait ici, il n’y aurait personne. Ça avait juste été un heureux hasard, un troublant concours de circonstances. Il était tombé sur cette femme dans les chiottes d’une station de métro désaffectée. Peu importe les raisons qui avaient amené cette nana ici, il lui avait ramoné tout le corps, de haut en bas, et chacun des deux n’avait rien à y redire. Ça avait été bref, intense, comme une délicieuse parenthèse rose dans ses voyages de contrebande et ses affaires variées. Oh, il ne se plaignait pas, et il aurait été insolent pour lui de le faire. L’homme reprenait son souffle, et la sentit alors se rapprocher. Les prolongations ? Non, simplement le retour aux vestiaires.

Elle lui laissa sa signature, en nettoyant son membre. Son sexe avait décru de taille, mais il ne risquait pas de jouer la montagne russe, cette fois. Même les braves avaient droit au sommeil des justes, mais il la laissa faire. Quel homme aurait refusé une fellation ? Sûrement pas lui. Elle nettoyait son membre, et, quand elle se retira, il était juste couvert de salive, alors qu’elle s’affalait lentement contre lui, ses lourds seins heurtant son torse.

« Reste avec moi pour cette nuit... Ça fait si longtemps que je... N'ai pas dormi avec un homme... » implora-t-elle.

Il aurait pu en demander plus... Savoir ce qu’elle faisait ici, qui est-ce qu’elle fuyait, mais, d’une part, il n’était pas forcément sûr d’aimer cette réponse, et, d’autre part, elle était en train de dormir. Et puis, de toute manière, il n’avait pas envie de jacter. Sa bouche était pâteuse, et il répondit en posant une main sur la nuque de la femme, la plaquant contre son corps, son autre main venant tendrement caresser son corps. Il allait rester avec elle, oui. Il lui devait bien ça, après tout. Elle lui avait offert une superbe séance, et il avait, de toute manière, besoin de se reposer. Il la sentit s’endormir contre lui, et bascula sa tête en arrière, sur le rebord du matelas. Ce corps chaud blotti contre le sien l’accompagna également dans ses songes. Le militaire dormit cependant bien moins que la femme, se contentant juste de somnoler.

Combien de temps restait-il ici ? Quelques minutes ? Quelques heures ? Entre les deux ? Impossible à dire, car il n’y avait pas beaucoup de référents temporels ici. Aucune horloge, aucune montre. Leur chaleur corporelle décroissait lentement. Cette station de métro n’était pas chauffée, et elle était plongée dans la pénombre. Un endroit à vous rendre marteau, pour peu que vous ayez un peu d’imagination. Il ne se voyait pas rester là des jours.

Même pour les beaux yeux de cette femme fatale en latex.

40
Base Spatiale / Re : Dead Planet [Niki]
« le: mercredi 28 mai 2014, 02:04:51 »
Galant, notre homme libéra les cheveux de la belle. Elle avait envie de jouer... Pour lui, elle jouait à un jeu dangereux, mais... Et bien, ça ne lui déplaisait pas. Une nana entreprenante, que demander de plus pour notre homme ? Elle en voulait, et il aimait ça. Et il se couperait la main plutôt que de toucher à sa précieuse chevelure. S’il y avait bien un truc qui le faisait craquer chez les femmes, outre leurs superbes silhouettes, leurs culs rebondis, leurs nichons fermes, leurs longues jambes fuselées, c’étaient leurs cheveux... De beaux cheveux, longs, sensuels, transpirant la beauté et l’esthétisme. Bon, en fait, Ulrik aimait quasiment tout chez les femmes, mais il n’empêche que, si Niki devenait chauve...Ben, elle serait quand même beaucoup moins bandante. Non ? Raah, au diable, Ulrik avait la trique, son esprit imaginait n’importe quoi ! Il la laissait jouer, et elle retourna titiller son membre, alternant entre ses fellations et ses caresses mammaires. Elle savait y faire, cette petite, et son sourire en disait long. Elle faisait la petite mignonne, cette petite princesse innocente qui se mastiquait le bout du doigt entre ses lèvres... Même les Gordaniens avaient leur variante du Petit Chaperon Rouge, cette fille innocente, tellement innocente qu’elle était habillée avec un rouge flamboyant, un rouge pimpant qui vous donnait envie de lui ramoner le derrière. Niki était un peu pareille, et c’était ça, ce que ce petit sourire voulait dire. Chez les Gordaniens, la leçon à tirer de leur Petit Chaperon Rouge, c’était qu’un soldat ne devait avoir aucun scrupule à baiser une nana qui lui ferait ce genre de sourire, car c’était le signe qu’elle avait envie de servir sa patrie en lui offrant un futur enfant.

Niki excitait sa verge, et Ulrik n’y était pas insensible. S’il patientait, c’était pour savourer le moment, pour apprécier l’instant présent, pour que cette frustration qui s’empare de lui grandisse, afin que le plaisir ressenti soit encore plus fort quand il viendrait la baiser. C’était comme s’accrocher à une montagne russe. Plus la pente était haute, et plus la descente serait vertigineuse. Si la pente était trop courte, on se ferait chier. Ulrik était peut-être une brute dans sa façon d’être, un homme qui n’hésitait pas à forcer les femmes dès qu’il avait le sentiment qu’elles seraient consentantes, mais il savait aussi se faire plaisir. Il rongeait son frein en la laissant jouer. Ses doigts glissaient sur son chibre, ses seins se frottaient, il sentait le bout de sa verge heurter sa peau chaude et douce, douce comme la délicieuse peau d’un adorable putain de nouveau-né, il sentait sa bouche recouvrir son sexe, tandis que ses doigts jouaient. Elle y allait avec envie, laissant parler son imagination, et, à chaque fois qu’il le regardait, il ressentait l’envie de la baiser, surtout quand elle avait son sexe en bouche. Elle ressemblait alors tellement à une adorable petite chienne qu’il devait serrer le lit pour ne pas se ruer sur place.

Elle voulait le faire craquer, il n’était pas assez naïf pour ne pas voir son petit jeu. L’entendre gémir, voir sa poitrine... Trop de choses à la fois, trop de tensions, trop de tentations.

« Hum... Okay, ma belle... Tu te débrouilles comme une reine, pour ce qui est de me chauffer… Mais tu sais ce qu’on dit, hein ? Quand on joue avec le feu, tout ces conneries... »

Ulrik se releva d’un coup, et reposa sa main sur la tête de Niki.

« Puisque tu aimes les sucettes, ma belle, laisse-moi t’en offrir une dont tu te souviendras ! »

Il serra un peu sa tête, et enfonça alors toute sa verge en elle, puis se mit à remuer son bassin, d’avant en arrière. À force de le lécher et de le caresser, Niki avait réveillé la raideur du membre de l’homme. Son sexe était alors tendu, et il s’amusait à le faire remuer en elle, d’avant en arrière, de plus en plus vite, tapant contre sa gorge, avant de revenir en arrière, et de filer en avant. Cette fois, c’est lui qui menait la danse, et il était tout simplement en train de lui baiser méchamment la bouche.

Et putain, qu’est-ce que ça pouvait être bon !

41
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 26 mai 2014, 18:41:49 »
T'y essaies pas, ma VDD, tes dents de lait se casseront dessus 8)

42
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 26 mai 2014, 18:36:27 »
*Débarque en roulant des mécaniques*

Ne vous en faites, mes VDD, Super-Ulrik est là 8)

*Dégage Liddell de la place en lui envoyant un gros coup de pied dans le derrière*

Allez, ouste, du vent, la vilaine cannibale è_é

43
Base Spatiale / Re : Dead Planet [Niki]
« le: lundi 26 mai 2014, 02:23:31 »
Sentir les douces mains de cette femme caresser sa vigueur, glisser dessus, c’était se sentir plus proche du Paradis. Il sentit un frisson le traverser, sa respiration s’alourdit, et il laissa les mains de cette femme venir à lui, le caresser. Petite, elle disparaissait entre ses jambes, et il la regardait, tête baissée, ne détachant pas son regard de ses doigts joueurs qui filaient le long de son membre, réveillant son sexe. Après s’être abandonné en elle, son sexe avait naturellement légèrement décru. On ne pouvait pas demander au petit pensionnaire d’être toujours fièrement au garde-à-vous. Après avoir tiré sa cartouche, il fallait le motiver. C’est que c’était un grand timide, voyez-vous, du genre à avoir envie de se cacher après sa prestation. Partant de là, il fallait les douces mains chaudes et maternelles d’une femme pour le réveiller, pour lui dire qu’il n’avait pas à se cacher, mais à être honoré de sa performance, et à se déployer sous toutes ses ailes. Oui, quand une belle femme le masturbait, Ulrik se faisait poète. Elle aurait tout à fait pu continuer à jouer avec son sexe, à l’embrasser, à le caresser, mais, impatiente, elle choisit d’écrouter les attouchements, et passa directement à la phase intense, l’enfournant dans sa bouche.

Frisson supplémentaire dans le corps de notre soldat gordanien. Elle y alla plutôt fort, cette gourmande, en essayant de coincer toute sa verge dans sa bouche. Le Gordanien soupira en basculant sa tête en arrière, serrant la couverture du lit, pinçant ses lèvres en sentant son sexe lui faire mal, hurlant silencieusement en durcissant et en s’allongeant. Oui, la bouche de Niki était décidément un endroit bien efficace pour fourrer sa petite lame de chair. Elle remua ensuite, avec un certain talent, trahissant son envie, puis laissa son sexe couvert de salive, pour ensuite se rapprocher de lui, se redressant en faisant un mouvement de tête so sexy pour dégager ses cheveux à l’arrière (il en était fan), et prendre ensuite son membre entre sa généreuse poitrine.

*Soit je l’aime, soit je la tue, tout l’un ou tout l’autre.*

Elle était douée. Ça ouais, il pouvait le reconnaître. C’était comme si c’était inné pour elle, et Ulrik s’estimait gâté. Qui aurait cru qu’une telle perle pourrait se cacher sur une barge scientifique ? Son sexe remuait contre ses seins, le bout tapant contre sa chair, un contact doux et chaud. Oh, s’il aimait ça ! Elle se mit à lui parler, de cette petite voix sucrée et mutine, cette belle petite voix qui lui donnait envie de la baiser la bouche sèchement, de lui démonter la passerelle, la cale, et la dunette arrière, et de lui ramoner le fion en l’envoyant s’envoler dans les étoiles.

« Hum... Ça... Je crois que tu le mérites, ouais... Fais ta belle petite chienne, et je te donnerais un gros cadeau, ma belle... Crois-moi, tu le sentiras passer, celui-là. »

Son sexe continuait à se durcir, atteignant sa rigidité. Elle savait qu’elle jouait avec lui, qu’il soit violent, autoritaire. Il commença à lui montrer de quoi il était capable, en lui agrippant les cheveux, tirant légèrement sur ces derniers... Mais pas trop quand même, il était un Gordanien, et il savait que les cheveux étaient une zone sensible. Il tira juste un peu, tandis que son sexe tressautait, remontant pour titiller le cou de Niki.

« T’en as envie, ma belle, hein ? Jadis, j’étais un soldat. Fidèle au protocole, aux règlements, et tout et tout... Mais j’ai déserté. Les règles, ce n’est pas bon pour moi, je préfère faire ce que j’ai envie de faire... Et quelque chose me dit que tu ne dois pas être une gentille fille toi aussi, ma belle... On est faits pour s’entendre. »

44
Base Spatiale / Re : Dead Planet [Niki]
« le: vendredi 23 mai 2014, 02:08:38 »
Qu’on ne vienne pas, par la suite, salir la réputation des Gordaniens quand on voyait ce qu’Ulrik était en train de faire à cette petite beauté ! Il la prenait avec force, sans ménagement, avec toute la vigueur dont l’ancien soldat était capable. Son membre remuait longuement en elle, glissant contre son corps, sans jamais vraiment sortir de son antre. Tout ce qu’il se contentait de faire était de reculer sa virilité, pour l’enfoncer, à nouveau, retournant planter son corps dans le liquide amniotique.  Sentir tout ça autour de son sexe, toute cette mouille... C’était chaud, réconfortant, accueillant, comme plonger dans un corps qu’il n’aurait jamais du quitter. La sentir contre lui, chaude, douce, tendre, mordante... C’était également exquis. Il posa une main sur la nuque de la femme, en soutien, tout en continuant, encore et encore, à la prendre, à remuer en elle. Son sexe tendu était en train de lui faire mal. Ulrik avait de plus en plus envie de jouir, mais se retenait, prenant sur lui. Contrairement à Niki, s’il jouissait, cette dureté qui faisait envie à la belle s’évanouirait... L’homme avait sa fierté : il ne jouissait pas avant la dame, question de principes... Même quand cette dernière le titillait en le mordant ou en le griffant.

La jeune femme, bien plus robuste que sa taille aurait laissé le supposer, alla lui rouler une pelle, l’embrassant à nouveau, avec passion. Elle se fit plus violente, mordant sa lèvre, tirant dessus, gémissant, soupirant, le griffant à nouveau. La douleur éclata contre sa nuque, et il l’écrasa à nouveau contre le mur, grognant, et étouffa sa souffrance en la mordillant à son tour, englobant sa lèvre inférieure, tirant dessus. La mouille de cette femme l’enveloppait, et il finit par s’y abandonner, incapable de se retenir plus longtemps, atteignant ses limites. Il l’écrasa contre le mur, et donna des coups de reins plus rapides. L’homme rompit le baiser, et continua à jouir, se sentant partir au loin, s’abandonnant, comme si tous ses sens étaient en train de devenir fébriles et de l’abandonner. Rien d’autre ne comptait alors que cette vigueur entre les jambes. Niki termina blotti contre lui, et Ulrik posa sa main sur sa tête, la soutenant.

Après le plaisir névralgique, vint le temps des soupirs et des respirations haletantes. Il lui caressait les cheveux, écrasant sa tête contre son torse. Ses muscles pouvaient la soutenir, et il resta debout, la tenant contre son torse, ne disant rien. Il n’y avait rien à dire, c’était un moment à savourer, à savourer silencieusement. À ce stade, les mots ne pourraient que les déranger. Son sexe restait planté en elle, mais il avait évidemment décru. Il avait une main sur sa nuque, et l’autre en appui sur le bas du dos de la femme, heurtant ses fesses, l’aidant à la maintenir contre lui. De la sueur coulait de ses joues et de son menton, et il marcha... Un peu. Suffisamment pour atteindre son lit, où il se posa. Personne n’était venu les déranger, fort heureusement, et il avait bien l’intention de profiter encore de son avantage. Il lui caressa encore les cheveux, et déposa alors quelques baisers sur le visage de Niki, avant de murmurer dans le creux de son oreille :

« Ne me dis pas que tu es fatigué, ma belle... Car nous avons un programme plutôt chargé, et il n’y a personne pour t’arracher à moi... »

Il lui caressait désormais le dos. Il ne la griffait pas, lui, mais ses doigts remontaient le long de sa colonne vertébrale. Elle avait une belle peau de bébé, tellement douce, tellement... Fine. Très agréable. Il la frottait et la grattait, se délectant de cette belle peau légèrement trempée, et recula un peu son torse.

« Montre-moi un peu à quel point tu m’apprécies, Niki... Ma vigueur a besoin de ton doigté pour continuer à s’occuper de toi... Car je dois bien admettre que tu es plutôt gourmande. Pendant un bref moment, j’ai eu l’impression d’être face à une Gordanienne... Elles sont terrifiantes à ce jeu. Comme toi, ma belle. »

Ulri voulait satisfaire son fantasme : voir une femme entre ses pieds, pour le caresser.

On avait bien le droit d’avoir ses petits rêves.

45
Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: vendredi 23 mai 2014, 02:06:25 »
Lulu planait, Ulrik le sentait... Car il planait aussi. Il n’était pas un homme inépuisable, juste... Endurant. Et son endurance arrivait à son terme. Il ignorait qui était cette femme, et il savait qu’il n’en parlerait à personne. Honnêtement, qui le croirait ? Ce qu’il vivait était l’une de ces histoires dingues, trop dingues pour être racontées. Personne ne le croirait s’il en parlait. On le prendrait pour un dingue, et, de toute manière, il ne voyait personne à qui le raconter. Ça, c’était juste trop délirant pour être raconté à quelqu’un. Il le conserverait bien sagement pour lui, tout en se disant qu’il ne verrait plus la Terre comme avant. Les mouvements de la femme étaient plus lents, comme si son corps souple aux formes très généreuses accusait le coup de toutes les fois où il l’avait prise. Elle était épuisée, comme lui, et il la vit alors, sans prévenir, se relever.

Le sexe d’Ulrik se retrouva au froid, et il se redressa légèrement, la respiration haletante. Les seins de cette femme étaient si lourds qu’elle s’amusait à embrasser ses propres mamelons, relevant sa poitrine à l’aide de ses gants noirs. La vue de ce latex provoqua un nouveau frisson en lui. Sa queue était bien tendue, lui faisant mal, et il la pressa entre ses doigts, serrant fort, gémissant silencieusement au contact apaisant et délicieux qu’il ressentit en venant ainsi la prendre. Ça faisait du bien, mais c’était bien insuffisant pour le contenter. À quoi est-ce que cette salope était en train de jouer ? Leurs regards se croisèrent, et elle lui expliqua alors ce qu’elle avait en tête :

« Tiens mon doudou... Suce moi les seins... »

Joignant le geste à la parole, elle guida ses seins vers lui. Ulrik la regarda silencieusement, mais, plutôt que de se relever, il posa une main sur la jambe de Lulu... Et la renversa. La femme tomba sur le matelas, à côté de lui, et il se redressa, venant empoigner dans sa main l’un de ses seins, le pinçant fermement, coinçant son téton entre son pouce et son index. Il le sentit se durcir, et un sourire vorace éclaira ses lèvres, alors que son regard vint à croiser celui de la femme.

« J’ai une trique d’enfer... Et tout ce que tu me proposes, c’est de te sucer les seins ? Petite pute... Tu veux que je joue avec tes nibards, hein, ma chérie ? J’ai une meilleure idée ! »

Il ponctua cette phrase en pinçant un peu plus fort son téton, et se redressa alors. Il se plaça au-dessus d’elle, et glissa son sexe entre ses seins. Puisque leur rodéo devait se terminer ainsi, autant qu’il se termine dans un ultime éclat de jouissance et de sperme. Il attrapa les seins de cette femme, les tenant par leurs tétons, et se mit à les remuer, tout en s’asseyant à califourchon sur elle, son torse en avant. Son membre se mit à remuer contre sa peau, heurtant ses mamelons, s’enfonçant entre ses seins, son monceau de chair englouti en elle. Sa respiration était haletante, précipitée, des gouttes de sueur coulaient de son menton pour tomber sur le corps de la femme, et il continua à remuer son sexe, encore et encore, jusqu’à finir par jouir.

« Haaa... Bordel !! »

Il ferma brièvement les yeux, s’abandonnant une ultime fois à la jouissance, et son sperme éclaboussa le menton de la femme, ses seins, et son torse. Ulrik se retira alors, légèrement sonné, et, en essayant de se relever, s’affala à son tour sur le matelas. Il se retint en posant un bras en arrière, restant ainsi simplement assis, face à la femme, qui semblait comme écrasée sur le sol.

« Merde, ma chérie, tu m’as tué... »

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