Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ulrik

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 19:28:13 »
C’était une belle pièce, et la femme s’y attaquait encore, avec plus de passion, et plus d’acharnement. Excité comme jamais, Ulrik serrait ses doigts autour de sa masse de cheveux, et la sentait remuer contre lui, sa langue glissant sur sa queue. Il aimait bien ça, les fellations... Il n’y avait aucune raison particulière à ça, mais c’était un truc qu’il aimait bien, tout simplement... Se tenir comme ça, devant une femme, agenouillée, qui vous astiquait le poireau, c’était dantesque. Sa main se crispait sur ses cheveux, et elle la sentait forcer, jusqu’à tenter une gorge profonde. Les mains d’Ulrik se crispèrent autour d’elle, serrant sur ses cheveux, le plaisir éclatant en lui avec force. Sa queue tapa contre sa gorge, s’enfonçant en elle, et il sentit ses testicules taper contre les lèvres de la femme. La petite pute gémissait et couinait, devant accepter un énorme monceau en elle. Le vit d’Ulrik était gros et imposant, et, quand elle se recula, il la laissa faire. Il put ainsi voir que son membre était couvert de salive, tout chaud, tout bouillonnant, et elle se mit à éternuer, toussotant en reprenant son souffle. Les joues rouges, elle reprenait son souffle, s’expliquant en lui disant qu’il était gros...

Cet aveu fit sourire Ulrik, qui caressa à nouveau les cheveux de la femme, tendrement.

« Peut-être que tu as eu les yeux plus gros que le ventre en m’acceptant comme client, ma chérie... »

Il la provoquait volontairement, en allant sur le terrain où il savait que ça avait des chances de faire mouche : ses performances sexuelles. Vu comment elle aimait le sexe, elle devait avoir un certain point d’orgue à être une pute talentueuse, une prostituée qui faisait toujours jouir ses clients, même s’ils étaient totalement incompétents, avec des couilles molles et flasques. Lui, au contraire, était un grand amant, une bête du pieu... C’était prétentieux de se décrire ainsi, mais, à défaut d’avoir réussi à faire quelque chose de sa vie, Ulrik se consolait en se disant que, pour ces Terriennes, il était un bon amant.

Face à elle, il attendait son retour, et elle recommença à le sucer. Ses gémissements, les bruits de mastication de sa bouche, de sa langue glissant sur sa queue... Autant de sensations magiques. Elle n’avait plus besoin de s’aider de ses mains, les posant simplement sur ses fesses, en appui. Ulrik n’était pas gêné pour ça. Vu son comportement brutal et bourrin, on aurait pu le prendre pour un macho, mais c’était, encore une fois, mal connaître le comportement et la psychologie des Gordaniens. L’égalité des sexes était affirmée à Gordan, et vue comme quelque chose de normal. Pour Ulrik, il se devait d’être capable d’endurer ce qu’il infligeait à d’autres. En somme, sentir les mains de la petite sur ses fesses était magnifique, et il comprit rapidement qu’elle avait quelques envies profondes, en approchant l’un de ses doigts de sa rondelle.

« Hmmm... Petite gourmande... »

Le temps défilait rapidement, Ulrik ne jouissant toujours pas. Il était endurant, et voulait offrir à cette femme une belle fellation. Pendant des minutes et des minutes, elle s’amusait donc à le sucer, remuant le long de son sexe, et il tira sur ses cheveux quand elle enfonça un doigt dans son fondement. Il cligna des yeux à plusieurs reprises, soupirant longuement, et commença alors à remuer son bassin, d’avant en arrière, son sexe s’enfonçant un peu plus profondément en elle. Il s’aida ensuite de son autre main, les posa sur la tête de la femme, et, ce faisant, remua d’avant en arrière, donnant le rythme, suivant les mouvements de bouche de cette ado’. Son corps le démangeait maintenant, formant comme des boules nerveuses qui remuaient dans son corps, et il y allait de plus en plus vite, remuant en elle.

Son objectif était de lui baiser méchamment la gueule.

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 18:08:48 »
Ce traitement préliminaire était délicieux, en plus d’être assez original. D’autres amantes auraient tout simplement pu sauter ce passage, afin de se concentrer d’emblée sur la fellation. Au lieu de ça, elle avait commencé par embrasser et lécher ses testicules, tout en le masturbant, amenant sa verge à se durcir encore plus, se dressant encore, enflant de quelques centimètres supplémentaires. Bien membré, le Gordanien se retrouva au bout de ces quelques minutes avec une trique monumentale. Son sexe se dressait douloureusement, vibrant un peu, tout dur, tout tendu. Sa queue avait soif d’elle, et elle continuait à lécher son sexe. Il adorait notamment quand ses lèvres filaient dans le creux constitué entre sa verge et ses testicules, et qu’elle s’y fourrait, léchant et tirant un peu sur sa peau. Cette partie-ci de son anatomie était très sensible, et il aurait pu avoir peur que la femme tire sur ses poils pubiens, ou ne lui fasse mal... Mais il lui faisait confiance. C’était d’autant plus curieux qu’Ulrik n’accordait pas facilement sa confiance à quelqu’un. Encore une fois, tout venait du regard, du regard de la jeune femme qu’il avait aperçu en l’abordant dans la ruelle. Elle se tenait là, à genoux, s’attaquant à son sexe, et l’embrassa une dernière fois, avant de s’écarter, se mettant face à ce sexe, dressé devant elle comme un pistolet chargé, le chargeur prêt à larguer toutes ses balles.

Serrant les poings, Ulrik avait chaud, et des plaques rouges glissaient le long de son corps. Le temps qu’elle retourne s’attaquer à son sexe, pour aborder la seconde partie de cette fantastique fellation, lui retira ses chaussures, et finit donc enfin totalement nu... Elle, elle portait toujours ses vêtements, et, pour l’heure, il n’avait pas envie de la désaper. Elle était sexy, comme ça, et elle ouvrit bien la bouche, faisant pointer sa belle langue rose.

« Oh ouais, soupira l’homme. Putain, viens, ma belle... »

Sa queue lui aurait volontiers fait passer tous les castings requis pour devenir acteur porno’. La pute avait droit à quelque chose de phénoménal, et l’égo d’Ulrik se plaisait à se dire que, comme pour Lulu, cette autre salope en latex, elle se languirait de lui... Certes, certes, il n’y avait aucune relation sérieuse entre eux, rien d’autre qu’une envie mutuelle de baiser, mais ça n’empêchait pas d’avoir de l’ambition. La femme, lentement, se rapprocha donc, et commença ses mouvements, posant sa belle bouche sur son sexe, tendant ses lèvres en avant, et remua d’avant en arrière. Ulrik posa ses deux mains sur le crâne de la femme, se crispant un peu dessus, veillant toutefois à ne pas appuyer trop fort. Oh, que c’était bion ! Elle avait tellement titillé son sexe, tellement joué avec son vit, que ce dernier était assoiffé, et Ulrik ferma les yeux en basculant sa tête en arrière, comme s’il était écrasé par une violente vague de plaisir qui vint le saisir. Il entendait cette petite prodige gémir et soupirer, ondulant d’avant en arrière, sa bouche et ses lèvres glissant sur sa hampe de chair. Lui se mit à l’observer, fasciné par le spectacle de ce corps remuant d’avant en arrière, par cette belle bouche ondulant sur sa queue, creusant ses joues en aspirant de l’air, suçant sa queue bien comme il fallait. Doué, elle l’était terriblement, et lui soupira profondément, sa poitrine se soulevant et s’abaissant.

Leurs regards se croisaient régulièrement, et, tout ce que Sarah pouvait voir de la part d’Ulrik, c’était de violentes vagues de plaisir et de désir, traversant son corps, remuant dans ses entrailles. Son membre pulsait et enflait en elle, et sa main se crispait sur sa délicieuse chevelure.

« Oooohhh... Oh ouais, ma belle... Là, continue... Ma queue, elle... Elle est à toi toute entière... »

Il lui faisait confiance pour s’en occuper le mieux possible. Leurs regards se croisaient régulièrement, et ses mains avaient tendance à s’enfoncer contre ses cheveux, de manière à veiller, instinctivement, à ce qu’elle ne s’éloigne pas trop de sa queue, et qu’elle continue à s’y enfoncer. Un phallus n’aimait pas être à l’air libre, et, dans la bouche d’une femme, le membre d’Ulrik était bien au chaud.

Il n’avait donc aucune envie de le faire sortir trop vite.

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 16:47:05 »
Autant commencer par le morceau du Roi, Ulrik n’était pas venu ici pour enfiler des perles. Il voulait se taper cette gamine, tout simplement. C’était aussi simple que ça. Pas de faux-sentiments à la con, rien d’autre qu’une envie de baiser. Et il savait que ce plaisir était réciproque... Il était suffisamment clairvoyant pour savoir que, souvent, une prostituée ne faisant pas volontairement l’amour, même quand elle n’avait pas de proxénète pour la pousser aux fesses. Là, cette nana était une indépendante, et elle allait aimer le baiser... En revanche, il ne savait pas si elle aimerait toujours cette nuit le lendemain, quand elle aurait affreusement mal au cul, et ne pourrait pas s’asseoir dans sa cuisine sans avoir une furieuse douleur remontant dans ses entrailles et la tiraillant comme si elle venait de s’asseoir sur des morceaux de verre pilé. Quand on couchait avec un Gordanien, il fallait s’attendre à le ressentir...

Elle commença doucement, explorant le corps de l’homme, concentrée, passionnée. Son cou, d’abord, puis ses pectoraux, sur lesquels elle s’attarda longuement, non seulement pour les embrasser et les lécher, mais aussi pour les sentir avec ses doigts. Ulrik, effectivement, était bien bâti. C’était ce qui arrivait, après des milliers d’heures de musculation dans les bases et les casernes gordaniennes, et les innombrables combats urbains et en entraînement qu’il avait mené. Elle sentait ce beau corps, parcourait parfois, avec ses doigts, quelques discrètes cicatrices, souvenirs lointains d’une existence passée à se battre et à frapper sur les crânes des autres. On n’en sortait pas sans quelques bleus, parfois indélébiles, et il la laissait parcourir son corps. Qu’elle en profite, cette môme, elle n’avait pas dû goûter à un tel torse depuis longtemps. Ulrik savait que les Terriens étaient des mous du genoux et des gras du bide, ou, pire encore, des culturistes. Pas de vrais sportifs, juste de la gonflette pour impressionner les nanas. Lui s’estimait bien proportionné, bien taillé, et bien charpenté. Il était né massif, et cette puissance, il l’avait entraîné, amélioré, afin de rejoindre l’armée gordanienne, puis de rester continuellement à la hauteur. La belle prostituée glissait donc le long de son corps, de plus en plus bas, appuyant sur sa peau, et lui, de son côté, en profitait pour palper son cul. Il appuya sur cette chair agréable, à travers sa minijupe, pressant cette chair. Un beau petit cul, qu’il palpa, massant l’une de ses fesses, comme une promesse silencieuse pour tout ce qui, ensuite, allait arriver.

Sa main se retira ensuite de son popotin quand elle se baissa suffisamment, pour approcher de sa ceinture. Quelques baisers filèrent sur son nombril, et elle titilla son sexe à travers son short. Hum... Que cette femme était bonne ! Elle le frotta ensuite avec son nez, le caressant, comme une espèce de jeune fille se frottant à son doudou... L’image le marqua, l’amusant légèrement.

« Putain, ma salope, tu es douée... »

Il cligna des yeux à plusieurs reprises, et la laissa faire glisser son short. Il se tint ainsi en boxer, la ceinture tombant avec le short, et Ulrik soupira lentement. Son sexe avait encore durci, son mandrin coincé par le boxer. Elle aurait pu retirer son sous-vêtement, mais, plutôt que de faire ça, elle choisit de lécher son sexe, et, surtout, de le mordiller. Ses dents glissèrent sur son boxer, atteignant sa verge. Sa main se crispa sur les cheveux de la femme, et il soupira profondément, en la laissant faire. Elle titilla ainsi son vit, préparant sa queue, astiquant son sexe, jusqu’à pouvoir tirer sur le sous-vêtement, le retirant totalement.

Son sous-vêtement glissa sur le sol, et son sexe se dressait devant lui, caressant les joues et les boucles de cheveux de la femme.

« Ouais, ma belle... Tu es très prometteuse, comme pute... »

Si toutes les nanas étaient comme elle, lui-même dépenserait tout son or chez les putes. Ils n’avaient commencé que depuis quelques minutes, et, déjà, elle faisait montre, non seulement d’une expertise formidable, mais aussi d’une soif innée... La joyeuseté de la jeunesse mélangée à l’expérience des prostituées... Que demander de plus ? Plutôt que de directement sucer sa queue, elle la masturba, sa bouche venant lécher ses testicules, glissant le long de ses poils pubiens. Sa main se crispa un peu plus fort sur les cheveux de la femme. Même si elle avait mordu son sexe à travers le fin tissu du boxer, des traces rouges, ici et là, marquaient la présence de ses dents. Sa main remuait le long de son sexe, le pressant parfois, fermement, avant de le relâcher, et de continuer ainsi son geste, sa douce masturbation.

« Hmmmm... ! »

De profonds soupirs, rauques et caverneux, s’échappaient de sa bouche, et ses doigts serraient un peu plus fort les cheveux de la femme, avant de les caresser. Sa petite langue filait le long de sa peau...

« Hum... Là, ma belle, là... Ma queue te fait plaisir, hein ? Savoure-là bien, tu l’auras toute la nuit, rien que pour toi... »

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 15:16:51 »
Il ne connaissait même pas le nom de cette fille, mais, en l’état, c’était sans importance. Tout d’un coup, le simple fait de la voir l’allumer, en bombant son petit cul, avait déclenché en lui une trique de tous les diables, et une phénoménale envie de la baiser... Là, tout de suite, maintenant. Dominateur et pervers, Ulrik ne dissimulait nullement son plaisir, et l’acompte fut rapidement accepté. Toute la nuit... Oui, il comptait bien lui montrer de quoi un Gordanien était capable. Quand on s’entraînait à porter des armures pesant plusieurs tonnes, quand on se battait dans des fosses et dans des tranchées pendant toute la nuit à combattre des flopées de Formiens qui affluaient comme des boutons sur un marmot atteint de varicelle, on développait une certaine endurance, qu’on retrouvait ensuite à peu près n’importe où... Les Gordaniens n’étaient pas considérés comme de jolis coups à tirer pour rien. Ulrik n’était pas une exception. Les soldats étaient des hommes forts et vigoureux, conçus et éduqués ainsi. Il suivit donc la nana hors de la ruelle. Elle se prostituait à côté de chez elle, et ils entrèrent dans l’immeuble, dépassant rapidement les boîtes aux lettres pour grimper les marches.

Excité, Ulrik serrait ses mains pour les empêcher de trembler nerveusement. Baiser une inconnue avait quelque chose d’excellent, et, contrairement aux autres filles qu’il avait vu dans la rue, il ne voyait pas, en elle, ce regard indiquant qu’elle était forcée de faire quelque chose qu’elle n’aimait pas. Était-ce pour ça qu’il avait fini par la choisir ? Sans doute... Ulrik avait vu, en elle, dans ses yeux, le désir... Une envie vénale, celle d’avoir de l’argent, mais aussi de tirer un bon coup. Plutôt que de se faire chier à draguer en soirée et à ne récolter rien d’autre qu’un mal de tête, elle vendait son corps en espérant tomber sur de beaux mecs. On pouvait dire qu’elle avait décroché la timbale ce soir. Ils grimpèrent donc au troisième étage, le contrebandier spatial en profitant volontiers pour lorgner sur son joli cul. Sous sa minijupe noire moulante, il voyait une fine lanière, trahissant la présence d’un string à dentelle, moulant davantage son beau petit cul.

*Elle a tout pour me plaire...*

Ils entrèrent dans son appartement, un petit truc... Mais toujours plus grand que sa chambre dans la Base Spatiale. C’était une belle pièce, avec un salon, une porte entrouverte menant à une chambre... Rapidement, il avisa cette pièce, et laissa Sarah fermer la porte derrière eux. Les murs, surtout, avaient l’air solides et insonorisés...

« Nous voilà dans mon nid bébé... Alors, dis-moi tout... »

Elle s’approcha de l’homme, d’une démarche lente et appuyée, confirmant qu’il n’était sûrement pas son premier client, et se colla contre lui. En sentant ce petit corps chaud se frotter à lui, cette main venir caresser son torse, le bourlingueur soupira lentement. Ouais, clairement, cette petite pute était douée.

« Qu'est-ce que tu as envie de me faire, beau blond ? » demanda-t-elle sur un ton plus sensuel.

Baissant la tête, l’homme se mit à sourire. Effectivement, il ignorait son nom... Mais ça permettait de trouver des surnoms, comme ça. Sa main retourna caresser tendrement et chaudement l’une de ses joues, et l’autre frotta son dos, glissant le long de son court corset pour frotter ensuite sa peau nue, glissant le long de sa colonne vertébrale. Elle avait une longue chevelure, et il remonta ensuite sa main, venant l’empoigner, tandis que sa main posée sur sa joue se déplaça un peu. Son pouce frotta les lèvres de la femme, et s’y enfonça lentement, sentant ses dents, puis sa langue.

« Tout, ma chérie... J’espère que tu ne rechignes pas à la tâche, car, ton salaire, tu vas le mériter... »

Si jeune, et si bonne... Tant mieux, il aimait les prendre quand le corps venait de se former. C’était là qu’elles étaient les plus belles possibles.

« On va commencer en douceur, joli cœur... Excite ma queue... Montre-moi tous tes talents de belle petite pute... »

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One Shot / Re : Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 14:21:32 »
Bien décidée à justifier le côté « vacances », Ulrik ne portait pas grand-chose... C’était l’été, et l’été, au Japon, était assez chaud. Il s’était débarrassé de son débardeur en revenant de sa promenade dans le centre-ville, et s’avançait dans les rues de la Toussaint. Outre son torse nu, il portait un short assez long, et voyait, devant lui, une belle poupée... Jeune, mais ferme, avec des formes, elle portait une tenue courte, noire, en latex, mettant ses formes en valeur, ainsi que de longs collants relevés recouvrant la majeure partie de ses jambes. En gros, elle était franchement bien foutue, et il s’approcha d’elle sans inquiétude, remontant la ruelle pour se dresser face à cette adolescente.

« Hey salut bébé...tu cherche quelque chose ? Moi peut-être ? » demanda-t-elle avec un accent sensuel.

Aucune trace d’un quelconque mac’, elle devait jouer en Solo... Ce qui était toujours dangereux dans ce métier, que ce soit sur Terre, ou ailleurs. Vendre son corps était l’un des métiers les plus communs au sein de l’Univers, toujours un moyen de gagner de l’argent, ou une certaine notoriété. Ulrik avait rencontré des cultures où la prostitution, loin d’être au bas de l’échelle sociale, était considérée comme un véritable art, et où les plus influentes personnes étaient des prostituées... Rien de tout ça ici, si ce n’est une belle fille bien roulée, qui avait louché sur son corps, et qui ne semblait guère inquiète... Ou, du moins, pas plus que ce qui était naturel quand on tombait devant un inconnu bien bâti. Ulrik, tout simplement, avait le physique généreux et solide d’un Gordanien, et c’était bien comme ça qu’il fallait raisonner pour pouvoir mieux comprendre pourquoi il était si bien musclé, et aussi assez grand.

Il répondit assez rapidement à la jeune femme, en tendant sa main pour caresser sa joue, appréciant ce teint mat, cette peau basanée :

« Ouais... On peut dire ça, trésor... Et je crois que j’ai finalement trouvé celle que je cherchais dans ce trou puant. »

Il caressa encore un peu sa joue, et écarta sa main.

« Tourne-toi, ma chérie... Montre-moi ton joli cul. »

Ulrik voulait voir un peu la marchandise, et il ne fut pas déçu. Un très joli cul, à l’image du reste.

« Okay... »

Cette salope était bonne, et son érection se renforça à cette idée, confirmant aussi le fait qu’il n’avait pas défoncé du joli minou depuis bien trop longtemps.

« Je te préviens, Candy, j’ai pas baisé de la nana depuis plusieurs semaines... Alors, je sais pas ce que t’avais prévu pour cette nuit, mais tu ferais bien de tout décommander. Je te prends pour la nuit, où tu veux, du moment que je peux te défoncer sans qu’un connard vienne me péter les couilles. »

Déformation professionnelle oblige, Ulrik tournait rarement autour du pot. Il sortit de l’une des poches de son short un porte-monnaie. La Base Spatiale disposait de tout un système d’échanges monétaires, et, avant de venir ici, il avait converti ses crédits galactiques en yens. C’est ainsi qu’il lui brandit sous le nez plusieurs billets. Il lui sortit en tout 50 000 yens, ce qui, pour comparer ça avec une autre devise terrienne, correspondait à environ 350 €.

« En guise d’acompte, sugar... Si tu arrives à tenir le rythme, crois-moi, tu regretteras pas cette nuit, joli cul. »

Vantard, lui ? Oh, allons ! Juste un peu ! Mais il avait les arguments pour prétendre l’être... Non ?

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One Shot / Prostitute Beach [PV]
« le: lundi 16 février 2015, 13:37:24 »
La Terre... Un monde technologiquement en arrière, où il n’y avait même pas de spatioport officiel, et où la population locale en était encore à ses balbutiements dans la conquête spatiale. Ils avaient atteint leur satellite naturel, mais n’étaient pas encore sortis de leur système solaire, se contentant d’envoyer des sondes et des drones dans l’espace. Se poser dans ce monde n’était pas trop compliqué, et ce même si Ulrik savait que, même en étant technologiquement une naine, la Terre avait acquis une grande importance au sein de l’Univers. Il entendait fréquemment parler de la planète bleue, et savait que bien des conquérants voulaient l’asservir, ou la réduire en bouillie. Cependant, Ulrik n’était pas venu ici pour accomplir une quelconque mission... En fait, il était en vacances. Il avait emprunté un Portail depuis la Base Spatiale pour rejoindre des zones sécurisées à Seikusu, et se promenait le long des rues de la ville. C’était ici qu’il s’était, jadis, tapé une superbe pute, et les talents de cette salope en latex l’avaient plutôt bien marqué, si tant est que, maintenant, il en cherchait d’autres... Ou peut-être elle, mais il ignorait où elle était. Il avait trouvé cette pute, Lulu, dans un métro sordide, abandonné, et, non seulement il ignorait comment y retourner, mais il se disait aussi que, si cette curieuse nana vivait toujours là-dedans, elle était probablement morte à l’heure qu’il est... Sentimental, Ulrik ne voulait pas briser ces souvenirs joyeux de cette pute par celle d’une femme qui s’était ouverte les veines, et bouffée à moitié par les rats.

Seikusu proposait moult activités sexuelles, allant de cafés soft où on pouvait avoir des massages de l’oreille et du visage, à des activités plus hard, là encore dans d’autres cafés plus discrets. L’offre légale interdisait la pénétration sexuelle, mais tout le reste était possible : branlette espagnole, masturbation, fellation... Il n’était pas difficile de trouver, dans le Quartier de la Toussaint, des restaurants où, pour un supplément affiché sur la carte, une serveuse vous faisait une fellation pendant le repas. Impossible de les voir à l’œuvre, car d’épais rideaux recouvraient la table. Le sexe était omniprésent, pour peu qu’on daigne s’intéresser aux bonnes enseignes, mais ce n’était pas de ça qu’Ulrik avait envie. Ce qu’il voulait, c’était satisfaire ses hormones, ses plus basses pulsions, en trouvant une bonne petite pute à défoncer de part en part.

C’est ainsi qu’il se retrouvait dans certaines zones assez isolées de la Toussaint, où des putes en nylon et en latex se dandinaient ici et là, généralement sous le regard d’un mac’. Certaines étaient des mineures peinant à peine à dissimuler leur âge, et d’autres étaient défoncées par la drogue... Des putes venant d’autres contrées du monde, et d’autres étaient plus souriantes. L’une, avec de longs gants en latex, une belle Japonaise avec une longue chevelure noire, caressa le torse d’Ulrik, en lui souriant tendrement.

« Tu veux tirer ton coup, beau mec ? »

Il la regarda, hésita un peu, puis la repoussa légèrement. Non... Pas elle.

*Autre chose, autre chose... Allez, je vais bien finir par trouver celle sur qui je vais craquer...*

Une érection commençant à déformer son pantalon, Ulrik s’engagea dans une ruelle étroite...

...Pour voir LA perle rare, l'attendant comme si elle n'était née que pour le voir.

22
L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: mercredi 11 février 2015, 15:29:52 »
Très jolie :)

*Lui défonce le cul contre la mur pour la féliciter*

Bravo !

23
Le Spatioport / Re : Battlefront [Arcadis]
« le: mercredi 04 février 2015, 01:49:08 »
Une petite merde blanche et noire s’approcha d’Ulrik, qui cligna lentement des yeux. Qu’est-ce que c’était que ces conneries ? Est-ce que c’était ça, son chauffeur ? Une saloperie d’IA ? Oui, Ulrik était de bonne humeur ce matin, ça faisait peur... D’un autre côté, la perspective de retrouver son passé ne le tentait pas vraiment. L’Empire de Gordan lui rappelait de biens sombres souvenirs, ceux d’une existence passée qu’il aurait aimé refouler à jamais. Les Gordaniens l’avaient trahi, et sa sœur en était morte... Il n’était pas le bienvenu à Gordan, et, pour ne rien arranger, avec la guerre, la Galaxie de Gordan était de moins en moins utilisée. C’était pour ça que les missions comme ça rapportaient de plus en plus, car les convoyeurs de fonds et les transporteurs étaient de plus en plus réticents à partir dans une zone de guerre galactique où, chaque jour, on recevait des nouvelles terrifiantes du front et de la guerre qui faisait rage entre Gordaniens et Formiens. Il fallait faire appel à des cas désespérés, à des paumés... Bref, à des gens comme Ulrik, des gens prêts à tout, qui avaient perdu foi en tout, et voulaient juste se faire un peu d’argent. Ulrik n’avait plus aucun but dans la vie... Alors, autant se faire un peu de thune...

Le robot marchait lentement vers Ulrik, et ne tarda pas à se présenter :

« Bonjour, vous devez être Ulrik ? Je suis Evy, co-pilote du Midnight Rose… le commandant est en train de vérifier les machines… »

Evy ? Quel nom à la con pour un robot... Mais bon, on retenait ça plus facilement qu’un numéro de série. Ulrik hocha la tête. Il portait avec lui un sac à dos abritant ses modestes affaires.

« Yo, tas de boulons. Je suis bien Ulrik, ouais... Chouette vaisseau, par ailleurs. »

Au moins, il allait leur reconnaître ça : le « Midnight Rose » avait de la gueule. Bon, il avait une couleur grisâtre assez moche, mais il était assez impressionnant... Et Evy n’était qu’un assistant informatique, ce qui laissait entendre qu’Ulrik n’allait pas conserver avec une simple machine. Il espérait surtout qu’il n’y aurait pas de droïde protocolaire dans cet appareil... Ça, c’était lez genre de machines qui pouvaient facilement le rendre fou en quelques minutes.

« C’est qui, le commandant ? Son nom n’était pas précisé dans le contrat, juste que je devais me rendre à ce quai, avec le nom du vaisseau. »

Ulrik lui tendit son PAD, afin de confirmer qu’il avait bien reçu l’ordre de mission, et qu’il était donc bien la personne qu’il prétendait être, puis il regarda à nouveau la coque du vaisseau, son esprit plongé dans ses pensées.

On the road again...

24
Le Spatioport / Battlefront [Arcadis]
« le: samedi 24 janvier 2015, 02:10:46 »
Kerÿll n’était pas un homme comme les autres. Ce redoutable homme d’affaires était l’un des hommes à la tête du Consortium de Zynn, un important empire commercial regroupant de multiples systèmes stellaires qui étaient sous le contrôle du Consortium. Le Consortium de Zynn existait depuis maintenant plusieurs siècles, et avait racheté bon nombre de petites colonies dans des systèmes éloignés, afin de les exploiter à fond. Le Consortium disposait de technologies avancées lui permettant de terraformer beaucoup de planètes, et, de base, c’était ainsi que Zynn Ier avait lancé son entreprise, sur la base de recherches avancées en manière de terraformation de planètes. Beaucoup de systèmes et de gouvernements avaient ainsi fait appel à ses services pour terraformer leurs mondes, notamment pour lutter contre la pollution. Le Consortium s’était fait une véritable manne d’or grâce à ce système, et avait su avec brio se sortir indemne des procès intentés lorsque des empoisonnements étaient détectés malencontreusement sur certaines planètes... Un sol contaminé amenant la végétation à pourrir quelques années après sa formation, une eau trop forte en calcaire... Les incidents techniques étaient nombreux, et le meilleur moyen pour les purifier était de continuer à entretenir les usines de Zynn.

Avec le temps, le Consortium avait développé son activité, réunissant assez de capital pour acheter soi-même des planètes désertiques, et ainsi les terraformer, puis les peupler. Ils avaient ainsi construit des usines dans des planètes volcaniques, se nourrissant de l’énergie volcanique, vendant ainsi des ressources énergétiques. Ils avaient créé des stations spatiales faisant office de relais et de carburants pour bon nombre de vaisseaux-cargos. Ils avaient construit des usines d’armement, et avaient fini par développer leur activité. Le Consortium de Zynn était aujourd’hui une puissance montante, et qui était en affaires avec l’Empire de Gordan... Ce qui expliquait pourquoi Ulrik marchait le long des quais de la Base Spatiale, en se dirigeant vers le quai où se trouvait un vaisseau, le Midnight Rose.

*Je crois que c’est par là...*

Retourner à l’Empire de Gordan ne tentait nullement Ulrik, vu son passé douloureux avec l’Empire... Néanmoins, nécessité faisait loi, et Ulrik n’avait plus de liquidités. Il avait besoin d’argent, et avait donc accepté cette mission. Kerÿll était chargé du pôle armement du Consortium de Zynn. Geissui, ainsi, était, outre un homme d’affaires, un militaire, qui avait mené de multiples campagnes contre les Orks. Le Consortium avait développé sur une planète un nouveau prototype d’armure, et, ce faisant, de soldats, les Z-Soldiers. Le Z-Soldier disposait d’une armure spéciale, la Z-Armor, alimentée par une batterie énergétique spéciale, qui permettait à l’armure de balancer des décharges d’énergie, ainsi que de renforcer les performances du soldat. Il pouvait ainsi aller extrêmement vite, faire des bonds prodigieux, et se battre très bien. Ils disposaient d’une armure faite en corail et en cristal, très résistante.

Zynn avait réussi à vendre auprès de Gordan de nombreux stocks d’armures, et ils envoyaient ces dernières par le biais de plusieurs vaisseaux. Le Midnight Rose en avait une centaine à livrer, mais, vu l’importance de la cargaison, Ulrik avait été envoyé comme assistant et comme garde du corps, les hommes habituels du Consortium de Zynn n’étant plus là pour s’en occuper.

Ulrik marchait donc dans les couloirs, voyant de multiples hangars, et s’arrêta à l’un d’entre eux, apercevant le fameux vaisseau. C’était un transporteur léger faisant moins de 40 mètres, ne pouvant abriter qu’un petit équipage, et disposant d’une soute de 120 tonnes... Chaque Z-Armor faisant environ une tonne, le vaisseau n’était pas surchargé. L’homme s’avança lentement. Il portait un débardeur blanc avec un pantalon noir, et chercha l’entrée du vaisseau, ou la présence du pilote.

Il ignorait alors que le capitaine du vaisseau était une sublime bombe sexuelle...

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L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: mercredi 10 décembre 2014, 20:08:50 »
Citation de: Dextra
Décidément elle l'aime bien

Je suis son héros 8)

Belle image, en tout cas ^^

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L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: vendredi 28 novembre 2014, 21:56:46 »
Citation de: Lucrezia
T'as engrossé une tueuse en série :3

J'imagine les repas du soir :(

MINI-LUCREZIA - "Maman, j'ai arraché l'oreille d'une fille qui était devant moi à la cantine !"
LUCREZIA - "J'espère que tu as bien tout mâché !"
ULRIK - "Tu lui as piqué son porte-monnaies, au moins ?!"

Dieu, non... :(

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L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: vendredi 28 novembre 2014, 15:09:15 »
Citation de: Lucrezia
attention, c'est rigolo !

Ça dépend :(

Mon Dieu, qu'ai-je fait :o ?

(Mais en vrai, j'ai ri)

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: mercredi 30 juillet 2014, 19:48:27 »
L’orgasme tira un point final à cette histoire. La femme s’abandonna à nouveau, et Ulrik se releva lentement, le pourtour de ses lèvres recouvert de cyprine. Il vit la femme en train de dormir, son corps à bout de souffle. Un sourire distrait naquit sur les lèvres du bourlingueur, qui embrassa une ultime fois la femme sur les lèvres.

*Peut-être pensera-t-elle avoir rêvé tout ça en se réveillant... Et cela vaut sans doute mieux.*

Ulrik n’était pas spécialement une personne qui aimait s’attacher aux autres. C’était un solitaire, et, même s’il fallait bien admettre que cette Lulu était un joli plan cul, il ne pouvait pas non plus passer toute sa vie à la baiser. Le pirate de l’espace dut cependant rester dans les toilettes décrépies pendant un bon quart d’heure, reprenant son souffle. Il la regardait distraitement dormir, reprenant son souffle. Lui-même avait assez baisé pour tout un mois, et il sortit des toilettes rapidement, s’enfonçant dans l’obscurité, torse nu.

L’air frais du métro lui fit du bien, et, quand il retourna près de son vaisseau, il put à nouveau remettre son débardeur. Ensuite, Ulrik partit, montant dans sa machine, et enclenchant le moteur.

*Qui que tu sois... Repose-toi bien, ma belle.*

Il laissa ensuite derrière lui cette femme, cette ville, et cette planète, se noyant dans les profondeurs de l’espace.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: dimanche 27 juillet 2014, 02:42:57 »
Trippant. Cette femme était inépuisable. Il venait de jouir en elle, son corps était en feu, mais elle ne semblait pas encore totalement rassasiée. Était-il donc possible qu’il ait joui avant elle ? Pour un homme, c’était un affront cruel. Il s’écarta légèrement d’elle, suffisamment pour la voir se caresser avec ses doigts. Ces derniers remuaient dans son intimité, la tripatouillant. Yeux entrouverts, Ulrik la voyait remuer ses doigts, gémissant lentement, poussant ces petits soupirs de femmes qui faisaient toujours fantasmer les hommes.

« Broute-moi... Mon cœur... »

Il sourit lentement, ses doigts venant caresser les lèvres de la femme.

« À tes ordres... »

Il ne pouvait pas encore la pénétrer, trop fatigué pour ça. Ulrik respirait très fort, car l’effort physique très intense qu’il avait du fournir depuis hier pour baiser cette femme l’avait laissé lessivé, au bout du rouleau. On aurait presque dit un asthmatique en pleine crise. Il se pencha vers la femme, l’embrassant sur le bout des lèvres, puis se laissa descendre vers son intimité, s’attardant sur ses seins, après avoir embrassé son cou. Il suçota ses seins, à hauteur des tétons, mais ne s’y attarda guère plus longtemps, ses lèvres continuant ensuite leur course sur son estomac, son nombril... Et ses lèvres intimes, la bouche du bas.

Ses mains se posèrent sur les hanches de la femme, et ses pouces se portèrent à hauteur des lèvres intimes, les écartant légèrement pour fourrer sa langue dans sa vulve. Il s’enfonça en elle, capable de changer les rôles, d’osciller entre le mâle violent et prédateur, et l’homme attentionné et doux. Pour l’heure, ce rôle lui convenait bien mieux, car il était effectivement fatigué, épuisé. Sa sueur coulait le long de son corps, et sa langue remua en elle, s’enfonçant dans son corps, la suçotant avec une tendresse infinie.

Les minutes s’écoulèrent délicieusement. Il sentait la mouille de cette femme, ainsi que le goût de son sperme, l’ensemble formant un superbe mélange. Ulrik y allait généreusement, sans rien dire, soupirant dans sa bouche, en profitant pour reprendre son souffle. Sa poitrine continuait à se soulever et à s’abaisser lourdement, et il continuait à la lécher, ne s’arrêtant que quand il sentit la femme jouir et s’abandonner contre lui.

Peu importe les minutes qu’il lui faudrait, il continuerait à la sucer, et à titiller son bouton d’amour jusqu’à ce qu’elle jouisse. Sa langue s’acharnait contre son clitoris, et il ne s’évertuait à n’utiliser que sa langue. Le bourlingueur était en effet fatigué, et préférait user de sa langue, plutôt que de se servir du reste de son corps.

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Les alentours de la ville / Re : Para-fucking-noïa~♥ [PV Ulrik]
« le: vendredi 18 juillet 2014, 02:03:34 »
Elle essayait de parler, mais sans parvenir à émettre autre chose que des borborygmes et des soupirs. Ulrik était un amant entreprenant, dur et exigeant. Allongé à nouveau sur elle, il soupirait à son contact, savourant sa délicieuse odeur. Elle était belle, magnifique, et, quand elle découvrit l’accès à ses seins, Ulrik ne tarda pas à pencher sa tête dessus. Elle lui avait fait un suçon, pinçant sa nuque, déposant sa marque, et sa salive chaude restait sur le corps de l’homme. Il appréciait le contact de cette femme, ce mélange entre la douceur d’une chaude peau féminine et l’agréable froideur du latex. L’ensemble était délicieusement confortable, et le bourlingueur se rapprocha de ses seins, suçant l’un d’entre eux à hauteur du téton, le titillant amoureusement, avec une attention témoignant de sa grande délicatesse et de son désir vibrant de lui faire l’amour. Il la pénétrait encore, mais il était un peu plus lent qu’auparavant, regagnant peu à peu sa force, sentant la fatigue engourdir tous ses muscles. Même lui commençait à fatiguer, et il ignorait quelle était vraiment la force qui le poussait à agir de la sorte.

Ils échangèrent un nouveau baiser quand l’homme releva la tête. Il posa une main sur ses cheveux, tirant légèrement sur ces derniers.

« Hurrrmpff !! » grogna-t-il.

C’est de cette manière qu’il lui répondait, remuant en elle, la pénétrant avec plaisir. Sur ce point, il n’y avait pas à tortiller du cul : sentir sa queue en elle était un moment délicieux, extrêmement jouissif. De fait, il ne voyait pas meilleur autre endroit pour mettre son sexe que le con d’une femme.

« Oui, ma belle…, répliqua-t-il. Hum…. C’est si bon de te baiser… Hunnnn… Ma-ma salope... !! »

Il y allait de plus en plus vite, mais ce rythme n’égalait sûrement pas ses premières pénétrations. Il accusait le coup, et retourna l’embrasser, sur le cou, puis à nouveau sur les seins, sa langue remuant sur son téton, son autre main allant pincer l’autre sein, le malaxant à hauteur du téton. Il enfonçait ses doigts contre cette bosse, la remuant et la malaxant, serrant cette chair. Elle continuait à lécher l’autre sein, s’y attaquant délicieusement, sa verge tendue. Comme il appréciait ça, de sentir cette femme le serrer contre elle. On aurait presque pu croire que c’était une mère faisant un câlin à son enfant… Si ce n’est que, dans le cas présent, le « fils » en question était un amant dominateur qui continuait à la prendre lourdement, sans relâche.

L’homme n’allait pas jouir tout de suite, oscillant entre la fatigue et le plaisir, le contraignant parfois à s’arrêter. Il haletait alors, comme s’il était un asthmatique, et l’embrassait alors pour se détendre, pour récupérer un peu de force. Ulrik s’étala alors contre elle, et sa main se posa sur ses fesses, remontant sous sa robe. Il déplaça ensuite l’autre, et pressa l’autre fesses de Lucrezia. Ses lèvres se posèrent contre les siennes, Ulrik reprit son souffle… Et durcit alors ses mouvements, ses mains se crispant fermement sur le cul de la femme. Il se blottissait contre elle, et son corps remontait d’avant en arrière, sa queue tapant contre le fond de son trou, heurtant son clitoris, la faisant encore couiner.

Oh oui, il adorait ça, bordel ! Sentir cette femme trembler contre lui, la sentir gémir en se tortillant contre son corps, la sentir haleter et trembler de plaisir. Oh, tout ça était merveilleux ! Ulrik ne se retenait pas de la prendre encore, encore et encore, sa salive glissant parfois de ses lèvres pour tomber sur le visage de la femme. Il avait cessé de l’embrasser, et son front heurtait le sien, glissant contre sa tête chaude. Sa queue était tendue, de plus en plus douloureuse, et il grognait, haletant en soupirant.

« Puuuuuuuuuuuuutaaaainnn… Haaaaaaaaaaa… »

Il ferma les yeux, de la sueur coulant abondamment de son corps. Il posa finalement l’une de ses mains sur le lit, à côté de la tête de la femme, l’autre restant crispé sur ses fesses, et il continua à la prendre, de plus en plus profondément, gémissant…

…Jusqu’à ce que, enfin, la jouissance ne l’appelle, et qu’il ne balance dans son corps des giclées de sperme. C’était si intense, si bon, qu’il en aurait presque chialé !

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