Coucher avec Mélinda était un exercice et un sport de tous les instants. Sya avait déjà été sodomisée à de maintes reprises depuis son arrivée au harem, et cette séance-ci ne serait donc, ni la première, ni sûrement pas la dernière. Faire l’amour à Sya était tout simplement trop bon pour que la vampire puisse s’en lasser. Elle enfonçait sa grosse trique dans son cul, remuant joyeusement dans son corps. Sya ayant l’habitude de se faire prendre, son cul était déjà très dilaté, et c’était donc avec le plus grand des plaisirs que la vampire s’y enfonçait. Elle filait d’avant en arrière, tirant sur la laisse de Sya, qui, en retour, aboyait fort, bien comme il le fallait, se crispant le long de son corps. Avec sa main libre, Mélinda giflait régulièrement ses fesses, savourant, encore et encore, cette peau trempée, chaude, et d’une douceur incroyable. Pénétrer Sya, c’était vraiment quelque chose de magique, et, quand Mélinda la vit tourner la tête vers elle, en arborant un faux air de chienne battue, elle ne put sourire que davantage, son excitation s’en retrouvant ragaillardie, ses coups de reins se multipliant encore.
La vampire n’épargnait rien du corps de Sya, et elle entendait cette dernière aboyer, exactement comme elle le lui avait ordonné.
« Haaaannn, Sya, tu rends ta Maîtresse... Hmmm... Tellement heureuse ! »
Heureuse, c’était bien le mot qui convenait pour décrire ce moment. Encore et encore, Mélinda la prenait, utilisant la chaîne de Sya pour rabattre son corps contre le sien, multipliant ses bourrades, tout en respirant lourdement. Cette respiration profonde trahissait, outre son excitation, tout l’effort physique qu’elle donnait dans cette sodomie, en prenant, encore, la belle Sya. Sa queue tressautait en elle, filant dans son corps, s’enfonçant dans sa chair, tandis que Sya, en retour, aboyait comme une petite folle. Oh, quel spectacle ! Oui, quel spectacle fascinant !
Sya était magnifique, et Mélinda la prenait avec amour. Pendant que les minutes défilaient, elle vit alors les cheveux de Sya se déplacer, se concentrant à hauteur de sa tête, et sourit en voyant deux grandes oreilles pointues se former. Des oreilles fictives, composées d’un amas de cheveux, qui épousaient la forme de longues oreilles. Se pinçant les lèvres, Mélinda sourit, et gifla alors Sya, plus fortement, faisant claquer sa main dans la pièce, comme pour récompenser Sya... Quoi de mieux, en effet, que de gifler cette petite pute pour la remercier ?
« Hmmmm... Oh, Sya !! »
Voilà que Mélinda continuait à la bourrer, jusqu’à ce qu’elle sente Sya jouir, pendant que ses mains la lâchaient. L’orgasme éclata contre les cuisses de Mélinda, la mouille de Sya éclaboussant le sol et les deux femmes. La petite Ange était maintenue en l’air par la chaîne, ses bras ne touchant plus le sol... Et la vampire la relâcha. Sya tomba alors sur le sol, sa tête heurtant le tapis, son cul venant un peu se redresser, faisant soupirer Mélinda.
Relâchant la chaîne, elle posa ses deux mains sur le cul de Sya, et, sans rien dire, mais en émettant des grognements et des soupirs. Sa queue filait d’avant en arrière, faisant se déplacer le corps de Sya, sa tête glissant sur le tapis. Ce n’était probablement pas très esthétique, mais, pour l’heure, la vampire s’en fichait. Elle ne pensait en effet qu’à pénétrer son amante, son membre s’enfonçant en elle, profondément, pour revenir ensuite en arrière, avant de repartir, à nouveau, en avant.
« Hmmmmmm... Mmmmhmmmm... Gnnnnnnnn... »
Ses dents se crispaient, de profonds soupirs s’échappaient de ses lèvres, et, au bout de nombreuses minutes, elle finit enfin par jouir, sa queue remuant en elle, avant de se tendre, puis Mélinda relâcha la pression pendant une ou deux secondes... Et se vida joyeusement en elle, balançant de multiples filaments de foutre dans son corps.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Mélinda relâcha la pression, après avoir joui pendant une bonne minute, et se calma lentement, le cul de Sya bien rougi par les multiples gifles qu’elle avait reçue.
« Ohhh, ma chérie, tu as un cul qui est... Qui est vraiment magnifique ! »
Pour preuve, même après avoir joui, Mélinda ne s’en retirait toujours pas, savourant ce cul, savourant sa queue, qui baignait dans son foutre, comme si elle barbotait dans un tendre et sensuel liquide amniotique... Et elle reprenait son souffle.