Après touts ces paroles, Gabriel n'eut d'autre réactif qu'un sifflemnt... Ouais, moi aussi j trouve ça léger....mais bon, chacun sa manière de faire....Il ne voulut pas savoir plus qu ce qu'elle acceptait de dire, il n'en avait pas besoin, pu importe la raison, le suicide était toujours motivé, pas forcément réfléchis, mais motivé. Il n sourit pas, ne répondit pas, ne se rembrunit pas. Qu l'on parle de famille, ça lui faisait chier mais de manière assez violente, certes, mais il préférait éviter de montrr l point auquel ça l'affectait, il avait craqué il y avait assz longtemps comme ça avant de rejtr sa vie passée, même si elle restait parfois encré en lui comme si c'était écris au fer rouge, il pouvait renier cett partie de sa vie, pas l'effacer, et il ne chrchait certainement pas à l'effacer, non, juste à l'occulter tant qu'il pouvait, il avait craqué après avoir fugué, et il ne craqurait plus à ce sujet, il prenait presque les coups, quand il y repensait avec ce sourire aux lèvres de pure insolnce, il avait bau tout essayer, jamais il n'avait réussi à briser sa soif d liberté, son envie de partir, non, tout c qu'il avait fait avait été vain et cet homme mérirait davantage de dérision que de haine, avc sa fugu, son géniteur avait prdu ls drnirs vstiges de sa femme et nul doute qu'il en était mort, mais vous savez quioi ? Gabriel n'arrivait pas en éprouver le moindre élan d tristesse, pas l miindr élan de compassion, pas le moindre élan d'amour, juste de quoi sourir, sourire, c'st un signe montrant qu'il n'y a pas de quoi dir, ou on ne parlerait pas de sous rire....
Après, l'histoire de la jene femme était tragique, mais si il voyait aussi le rapport avec la mort comm dénominateur commun, le reste, c'était incomparable, l suicide par lui même mettait n avant un mal-être, d'où la gentillesse et la bonté exacerbée, la craint d'une mort inévitable, d'une victim sauvée in xtrmis, cela n'avait aucun rapport, quoiqu'à l'avis de Gabriel, la jeune femme n'était pas prête de mourir, il y aurait eu quelqus dizains de minuts avant cela, pas d quoi fouetter un asticot n somme, enfin, pas pour la victime....
Il se montrait gentil et aimable pour de très simples raisons : djà, faire avaler la pilule du fait que son côté casse-cou pouvait lui attirr de baux mrdir dans lesquels elle pourrat se retrouver impliquée, et ensuite parce que c'était tout simplment normale, ils étaient collocs, ils allaient vivre ensemble,, il allaient quand même bien se connaître ! C'st con quand même le fait qu'au final, elle avait le risqu de devnir la personne qui se rapprocherait le plus d'une membr d sa famille ! Putain, mais merde quoi, elle ne le comprenait pas ? Idiote ! Bon, en même temps il n'avait pas donné touts les billes pour comprendre cela, et il ne pouvait donc le lui reprocher !
Doucement, sans se presser, c'était essentiel, il s'enfonça dans le capaé pour serrer la jeune femme contre lui, dans ses bras. La raison à cela ? Le fait qu'il pensait la comprendre sans doute, à tort ou à raison !
« Je pnse que je te comprends, mais tu vois, tu me montrs bien un chose, c'est pas le genre de chose dont on revient indemnee, et ncore moins dont on revient seul ! Alors écoute moi, voilà ce que je et propose, je me contenterai juste de ça, et c'st ce que je te propos, je vais agir normalement, comme si rien ne s'était passé, et on verra, mais si ça ne va pas, alors je t'en prie, pête moi un câble à la gueule si ça te chante, mais exprim toi ! N reste pas nfrmée n toi, sinon, tu vas ressassr ça tout ta vie ! »
Il sourit avant de la lâcher pour finalemnt lui dire :
« C'est simple, du coup, c'est moi qui vais allr prndre un bain du coup, je pense que la thérapie va suffir pour ce soir et pour les autres soirs, pas la pin d'n reparler, sauf si tu en vois l'importance. »
Il s leva pour commencer à s'éloigner avant d finalemnt se retourner pour lui dire :
« La vie, au final, c'est pas forcément la rose tous les jours mais ce n'est pas si mal, si ? »
Il lui fit un clin d'oeil et la laissa là, libre à elle de faire ce qui lui passait par la tête sauf une conneri bien sur, mais bon, inutile de trop rssassr, et il avait compris qui ce n'était pas en agissnt comme il pensait le faire qu'elle s'en sortirait, il allait lui faire confiance et se contenter d'observer.
Il ne fit marche arrière que pour déposer un baiser dans ses cheveux, ou plutôt, sur son front, et et repartit en se mettant à siffler une musqiue d'un groupe allemand, scorpions, still loving you, en allant se fair coulr un bon bain bien brûlant histoire de se calmer, min d rien, lui aussi était chamboulé, mais il avait assez donné dans le craquage de nerfs pour aujourd'hui et même, en ce qui concrnanit ss fusibles qui sautent, pour le rste de sa vie. La carapace de Gabriel, cachat la molesse d son sprit sous une envelopp de pragmatiqu, et parfois même de sarcasme, de cynisme, d'ironie et de désinvoltur, avait tenu le choc jusque là, et ça allait continur ainsi !