Elle semblait troublée, mais pas gênée, la proximité d'un homme nu ne semblait pas la gêner tant que la décontenancer, elle semblait ne plus savoir où elle en était, et si elle put lui indiquer où ranger ses affaires et lui sortir de quoi panser la zone abimée, ce n'était rien de grave, juste le dérapage final en moto quand il avait voulu jouer à entrer à l'intérieur du batiment tout en faisant une roue avant pour ne pas prendre de balle dans le corps. Quiand il disait qu'il était casse-cou, il ne racontait aucune ânerie, une vraie tête brûlée, qui ne connait pas le courage mais fleurtait avec la mort en apprenant au mot téméraire ce qu'il voulait dire ! Il était l'incarnation de l'imprudence, l'irresponsabilité et souvent même, l'inconscience, il elle était troubklée par les blessures alors heureusementn elle ne l'avait jamais vu entrer avec une balle dans l'épaule ! Et fasse que cela n'arrive jamais vu qu'il faisait ses propres sutures...
Elle s'approcha de lui, et lui il s'assit sur le rebord de la baignoire, elle semblait vraiment ailleurs....totalement perturbée. Il lui faisait de l'effet, quelqu'il soit....Et si elle lui proposât de faire le ansement, Gabriel ne put que se contenter de cacher le triple détail avec la serviette alors qu'il la laissait faire, mais la position de la jeune femme....elle devait vraiment le faire exprès là par contre....il aurait eu droit au languissement qu'il n'y aurait pas eu d'autre position....si il n'avait pas surpris les soupirs forts distrayants, il aurait sans doute pu se demander ce qui se passait, mais entre la lingerie fine (et sexy), le déhanché magnifique, le moment où elle avait mis la tête sous le lit, dandinant la croupe, et maintenant, et bien il avait une ide très précise de la situation, et cette idée semblait mener à biens des choses toutes aussi intéressantes. Gabriel fut soudainement content d'avoir repris sa serviette....
sa position, ainsi, entre ses cuisses, la manière délicate qu'elle avait d'effleurer sa peau pour tout nettoyer (et non, le désinfectant ne piquait pas, une fois qu'on a pris plusieures balles dans le corps, de l'alcool sur la plaie, c'est du pipi de chat ! Et si les muscles se contractaient, ce n'était que par réaction indépendante de sa bvolonté. Il ne cilla pas. Il la regarde faire, regarde aussi son décolleté via le débardeur, la veste n'étant pas fermée... Mais dès qu'elle relève la tête - bon sang, on s'y croirait vraiment..... - Il plonge son regard d'azur dans le sien et sourit, encourageant.
Une fois fait, alors qu'elle se relève, il sourit et se lève aussi, c'est minime comme blessure, continuant de la regarder dans les yeux avant que des mots ne percent difficilement ses lèvres, pour lui demander si il avait besoin d'autre chose, et lui, crétin, la seule chose qu'il rouve à faire, c'est d'avoir un regard qui pétille soudain et un sourire en coin....
« Ça se pourrait bien, oui.... »
Doucement, il regarda alentour avant de lui demander :
« Tu n'as pas un gel anti-douleur, mlle l'infirmière? Pour les bleux, c'est pas comme si je pouvais les ignorer.... »
Il sourit, et d'un coup, il la voyait entenue d'infirmière....Stop, il n'allait pas s'y mettre lui aussi ! Aussi se contenta-t-il de dire :
« J'avoue que je préfère en pommade ou en gel, c'est plus pratique, une fois bien étalé et que ça a bien pénétré la zone douloureuse ça agit assez vite.... »
Et coupez, c'est bon, c'est à ce moment là qu'on met fin à cette situation, de manière mesurée, de manière posée, comme un chef, comme quelqu'un qui a l'habitude. Vous connaissez peut être cette méthode qui est de draguer, il faut faire rêver et trembler, mettre en avant un côté aventureux, et quand les choses pârent dans le bon sens, on se retire. La fois d'après chez soixante-dix pourcents des cas, on se faisait arracher les vêtments...
« Bon, par contre va falloir que je m'habille on ou va être en retard...je mettrais l'arnica en rentrant ! »
Il sourit, et avec douceur, de la main, il l'écarta de son passage pour filer s'habiller, il n'était pas encor tout à fait sec, mais pas grave ! D'ailleurs, il avakit laissé la serviette au moment où il s'était levé, ne dissimulant plus l'engin au repos, et il mit un temps recorsd pour s'habiller fut rapide, jean propre, boxer propre, et ô, miracle, une chemise ! Un peu froissée, certes, mais bon, ça par contre c'était très rare pour lui, adpte des tee-shirts basiques, une chemise noir avec de très fins traits rosé verticaux. Puis il fila dans le living et lui lança :
« Je pense qu'on va pouvoir y aller, ma beauté nous attend ! Tu verras, elle est sublime, la féminité incarnée ! Tout courbes et en finesses, de grandes performances, elle répond au doigt et à l'oeil, elle est parfaite ! Je suis sur que vous allez vous plaire ! Moi, j'ai eu le coup de foudre grâce à Cezario ! Pour ça qu'on va dans son resto ce soir ! Tant que tu ne connais pas Cezario et que tu ne la connais pas, alors tu ne me connais pas ! »
Il sourit et mit son cache poussière, et mit ses chaussures pour y aller ! Merde, les casques !
« Tu peux prendre ton casque dans la chambre s'il te plait ? Que tu ne partes pas sans ! Je t'attends en bas ! »
Il avait hâte de faire les présentations....aussi détendit-il quatre à quatre les marches pour arriver devant l'immeuble, où il avait garé sa moto, et il mit son propre casque, ses gants et attendit la miss, quand enin, il s'exclama :
« Tadaaaa ! Voila ! Alors, verdict ? N'est-elle pas parfaite ! Regarde moi ces courbes gracieuses, la doucur de son revètement, le moelleux du siège, ne te semble-t-elle pas parfaite ? Oh je l'aime mon bébé ! T attends de l'entendre ronronner ! »
Il sourit et se mit en selle.
« Tu montes derrière et tu glisses tes mains dans les poches de mon jean, pour les garder au chaud, colle toi bien à moi car sinon, ty vas avoir kl'impression que tu vas partir en arrière ! »
De toute manière, vu la place, elle n'avait pas le choix pour la position, devant plus ou moins s'encastrer entre lui et le petit coffre derrière, appelé topcase.