Left a good job in a city... [PV Hiro]

Levant la tête, jusqu’ici enfouie dans l’eau que je tenais au creux de mes mains pour la laver, je tournai machinalement mon regard vers la berge, où je me trouvais il y a de cela quelques minutes, avec la femme. Le spectacle qui s’offrit à moi était tout à fait intéressant; la jeune femme commençait déjà à se dévêtir, d’abord le haut, ensuite le bas, venant me rejoindre dans le lac, m’offrant la vue de son superbe corps nu.


À peine m’eut-elle rejoint que la femme qui  avec qui je m’étais plu à discuter me rejoint à l’eau, laissant son corps glisser dans l’eau cristalline alors qu’elle s’approcha de moi. Une petite phrase lancée, et un nouveau rire sortit de ma bouche.


Non, j’en suis même bien content! Il est intéressant d’avoir un peu de compagnie lors de la baignade!


Je ne sus dire si elle avait entendu le dernier segment de ma phrase car elle retourna sous l’eau, restant en équilibre immobile et laissant son regard flirter contre la peau de mes jambes… Eh bien, la voilà qui me détaille! Une autre que mon corps intéresse! Héhé, ce serait bien de pouvoir détailler son corps à elle aussi, mais nous ne sommes pas encore rendu à cette étape… C’est alors que, pour aucune raison, mes jambes quittèrent le sol, poussés par une force invisible. Plongeant au complet dans l’eau, je ne vis qu’une partie de la cascade de la mercenaire; celle où elle tombait dans un grand cri. Mettant mes mains quelques centimètres devant mon visage pour me protéger des éclats d’eaux qui partaient dans toutes les directions, je regardai la jeune femme sortir de l’eau près de moi, tout sourire.


La femme que j’ai connu tout à l’heure se serait elle transformée en gamine? Oh, au fait, j’espère que mon corps vous a plu!


Dans un petit rire, je nageai jusqu’au centre du lac, où c’était le plus profond, il devait y avoir deux mètres de profondeur. Rendu à ce point, je me laissai couler au fond, profitant de cette étrange et merveilleuse sensation d’apesanteur.

_La femme que j’ai connu tout à l’heure se serait elle transformée en gamine? Oh, au fait, j’espère que mon corps vous a plu!

Elle eut un grand sourire, le suivant à la nage :

_En gamine ? J'aime les joies simples. Je n'aime pas le luxe à outrance, les salons où l'on reçoit et où nous sommes forcés de faire la conversation à des inconnus – ou même des connaissances – c'est d'un ennui... ! Il n'y a rien de mieux que ce qui vient naturellement, ne croyez-vous pas ? Quant à votre corps... elle se retourna pour faire la planche, sa poitrine émergeant comme deux nids de douceur et les quelques poils pubiens qu'elle laissait, de la taille d'un timbre, se dressant, irisaient de reflets roux sur la peau ruisselante des cuisses et du bas ventre, j'aime les belles choses, continua-t-elle, esthétiquement parlant, vous êtes bien proportionné, musclé sans l'être à outrance, une musculature fine et efficace, et vos quadriceps sont bien dessinés... Je vous l'ai dis, j'aime les joies simples...

Elle ferma les yeux, les oreilles à moitié submergées, elle entendait le clapotis discret de l'eau contre sa tête. Un sourire très doux, qu'on ne devait pas lui voir souvent illumina son visage d'un apaisement total et émouvant. D'une beauté farouche et guerrière elle passait à une beauté d'une douce tristesse, sage et presque énigmatique.
Le soleil déclinant se reflétait dans l'eau et illuminait le ciel de rose pâle, de rouge, de violet et de quelques traînées de turquoise. C'était superbe... Une légère brise vint affleurer le lac et se heurter à la poitrine de la mercenaire, faisant se hérisser les microscopiques et duveteux poils qui couvrent tout corps.

Avec silence, elle se fondit dans l'eau à la suite d'Hiro et nagea en toupie autour de lui, avant de remonter en lui saisissant la main. Émergeant, elle passa ses mains sur son visage pour en chasser l'excédent d'eau :

_Voyez ce que vous manquez...

Ses deux yeux avaient des reflets fort différents au fond d'eux mêmes, le bleu était comme irradié de rose, tandis que le vert avait des éclats d'or au fond de la pupille. Elle tourna son regard émerveillé vers Hiro, comme éberluée par la beauté de la nature :

_Etes-vous capable d'apprécier autant la nature, là bas, dans votre ville, où les maisons coupent toute perspective, où plus aucun vent ne peut venir caresser un visage paisible.... ?

Elle sourit encore avant de se remettre sur le dos, contemplant ce ciel. Les yeux une nouvelle fois clos, offrant sans souci de pudeur son corps nu à la vue de tous, elle reprit un ton plus habituel dans sa bouche, amusée :

_N'étiez-vous pas censé rattraper une fugitive... ? Vos hommes risquent de ne jamais retrouver leur chemin... Sans vouloir vous offenser, ils ont l'air d'avoir des parents orcs.
Il se fait tard... Vous devriez peut-être reprendre la route... ?

Elle n'en avait aucune envie. Sa compagnie était un tel apaisement de l'âme et une telle jouissance pour les sens. Surtout la vue. Elle vint de nouveau nager près de lui, souriante.

D’un petit sourire, je l’écoutai me parler de ce qu’elle aimait; comme je l’avais deviné, elle aimait les choses simples. Quoi de plus naturel, alors qu’elle passe sa vie dans les forêts comme celles-ci, des déserts ou encore dans l’eau d’un lac ou tout autre point d’eau. Tout le contraire de moi; j’aimais ce qui était compliqué, luxueux, que les gens me regardent avec envie. Il arrive cependant des moments où j’oublie que ce qui est simple n’est pas tout aussi beau que ce qui peut être compliqué ou encore ce qui semble simple en apparence peut être plus astucieux que prévu lorsqu’on essaie de comprendre son fonctionnement.


Je suis un peu vexé et flatté à la fois… Mon corps, j’ai mit du temps à le former comme il est! Quoiqu’il en soit, j’imagine que vous avez raison.


Je l’observais regarder le paysage, émerveillée qu’elle était par le spectacle du soleil couchant qui laissait émaner dans le ciel des couleurs aussi complémentaires que contrastantes. Au fil des ans, jamais je n’avais vraiment prêté attention aux spectacles que cet astre nous présentait à chaque jour de la vie terrestre, ou terranide. Mais aujourd’hui, je me suis laissé aller, je regardai le coucher du soleil en compagnie de la mercenaire, qui s’était amusée à graviter autour de moi sous l’eau, pour finalement prendre ma main et montrer ce spectacle, alors que je m’intéressais peu à ceci.


Il est vrai qu’à Nexus, on ne peut voir ça, la ville étant très bruyante, peu d’âme paisible y restent, et il y a tellement de choses à faire qu’on oublie de lever les yeux vers le ciel, et s’arrêter pour respirer, aussi grand bien ça peut nous faire. Je suis bien content d’avoir l’occasion de le faire aujourd’hui

Puis suivit une remarque sur le fait que je devrais déjà être en route avec mes hommes et ma marchandise, ayant déjà rattrapé la fugitive depuis un bon moment. Mais la remarque qui me fit froncer des sourcils était celle où la jeune femme comparait mes hommes, ou plutôt leur parents, à des Orcs. Feignant d’être offusqué, je me permis de lui répondre, non sans difficulté à garder mon sérieux.


Vous saurez très chère que les Orcs sont très doués niveaux plein air et qu’ils sont des chasseurs hors pairs! Le seul problème, c’est que ça devient lourd discuter avec des gens qui croient qu’avoir un cerveau, c’est un luxe qu’ils n’ont pas besoin… Donc ça me plait de pouvoir parler avec quelqu’un qui a une bonne intelligence, vous. Honnêtement, mes hommes vont venir m’avertir lorsqu’ils auront trouvé la fugitive, mais si ma présence vous déplait, je peux aussi bien partir, mais j’ai l’impression que comme moi, vous n’avez pas envie que je parte…


Me laissant submerger par l’eau, je me mis à brasser cette résistance, me retrouvant bientôt tout juste aux côtés de la jeune femme, si près que mon torse frottait contre ses côtes, alors qu’elle flottait sur le dos.


Ou du moins, pas maintenant… J’ai raison?

_Vous saurez très chère que les Orcs sont très doués niveaux plein air et qu’ils sont des chasseurs hors pairs! Le seul problème, c’est que ça devient lourd discuter avec des gens qui croient qu’avoir un cerveau, c’est un luxe qu’ils n’ont pas besoin… Donc ça me plait de pouvoir parler avec quelqu’un qui a une bonne intelligence, vous. Honnêtement, mes hommes vont venir m’avertir lorsqu’ils auront trouvé la fugitive, mais si ma présence vous déplait, je peux aussi bien partir, mais j’ai l’impression que comme moi, vous n’avez pas envie que je parte…

La jeune mercenaire ne put retenir un éclat de rire sur sa réflexion sur les Orcs, tant qu'elle failli couler, perdant son parfait équilibre dans l'eau, son buste par trop secoué de tremblements. Elle se rétablit, le sentant tout proche d'elle.

_Ou du moins, pas maintenant… J’ai raison?

Elle esquissa un sourire, ouvrant doucement les yeux pour les plonger dans ceux de l'esclavagiste.

_Je doute que vos hommes arrivent même à retrouver leur chemin et cette clairière... dit-elle du bout des lèvres.

Se laissant doucement couler, elle refit surface, rabattant ses cheveux en arrière. Elle vint s'accrocher contre lui, entourant le bassin d'Hiro de ses jambes et passant ses bras dans son cou.

_Je sais que vous n'aimez pas trop ça, mais...

Elle sourit largement, et fit léviter leurs deux corps enlacés. Il n'avait pas l'air très rassuré de voir le sol – enfin l'eau en l’occurrence – s'éloigner ainsi, elle lui prit le menton entre les doigts et lui fit lever le regard. Ils surplombaient l'étendue forestière, verte, grasse, riche. On distinguait, au loin, le campement de fortune qu'avaient établi ses hommes, des cages dans lesquelles devaient être retenu les esclaves les moins dociles. Des feux brûlaient et des hommes étaient assis autour. Les faisant tourner, elle les mit face à l'étendue vierge de l'autre côté du lac et, au loin, perçant le crépuscule des lumières aux fenêtres, la ville. C'était magnifique. Le regard d'Enora se tourna vers le soleil qui continuait sa course inverse. Il n'y avait pas de mots pour dire à quel point le tableau étreignait son cœur.

_Non, souffla-t-elle enfin, je n'ai pas envie que vous partiez tout de suite...

Elle lui sourit et se permit d'apprécier un long moment le corps nu d'Hiro, face à elle. Furtivement, elle déposa un baiser sur la joue de son homologue avant de le lâcher. Elle prit un moment pour de jolies pirouettes dans les airs avant de s'élever davantage, dépassant largement le ESP.er. Elle le fit un peu descendre :

_Prêt... ?

Relâchant son pouvoir, il fit un superbe plongeon au centre même du lac. Eclatant de rire, elle esquissa un salto et se laissa à son tour tomber droit dans le lac, submergeant de nouveau la tête du pauvre jeune homme. Remontant à la surface, elle nagea vers lui. Comme précédemment, elle se lova tendrement contre lui, mais dans son dos cette fois. Elle laissa ses mains parcourir son torse, ses épaules, son cou, sa mâchoire, ses bras, tandis que ses jambes étaient croisées sur ses hanches. Elle vint blottir sa tête dans le creux du cou d'Hiro, comme une espèce de petit chat. Imprimant sa poitrine contre le dos de son alter ego, elle vint lui murmurer à l'oreille.

_Alors, c'était comment de... s'envoyer en l'air ?

He, ce n'est pas parce qu'elle ignore l'impression que peut faire un corps – son corps – nu sur autrui qu'elle ignore pour autant les jeux de la séduction !

La soirée, qui avait commencée de manière fort éprouvante par la perte de quelques uns de nos hommes, suivie de l’évasion de l’esclave dans la forêt, commençait peu à peu à s’améliorer. Moi qui étais contre l’improductivité, j’avais fait une entorse à ma propre règle et me disais que mon clien serait bien capable d’attendre un peu. La patience est la mère de toute vertu, non? Elle s’approcha lentement, entourant ma taille de ses jambes fines et musclées à la fois…  Je me demandais vraiment ce qu’elle voulait faire, ainsi pressée contre mon corps mis à part… Soudainement, je sentis mon corps s’élever, quitter  l’eau pour me retrouver dans l’air, montant de plus en plus haut… Ai-je déjà confié que j’aile vertige? Rien de bien grave, mais je me dis seulement que je laisse le monde d’en haut aux oiseaux, avions et toute autre créature pouvant

Le vertige, ce n’est pas vraiment quelque chose dont j’aime parler; je déteste devoir montrer des faiblesses telles que celle-ci. Surtout du fait que la personne avec qui j’étais est une mercenaire qui pourrait très bien s’être arrangée pour que je me retrouve dans cette forêt, me laissant seul et vulnérable aux charmes d’une jolie femme comme celle qui avait d’accrochée à ma taille… Mais bon, pour le moment j’avais d’autres soucis, comme celui de m’envoler!

Au début, j’étais anxieux de voir le lac dans lequel nous étions il y avait à peine quelques secondes se dérober sous mes pieds, laissant place au vide de l’air ambiant. Enora dût comprendre mon anxiété car elle leva mon regard, me permettant ainsi de voir un paysage que jamais je n’aurais pu voir, les deux pieds sur terre; Le soleil couchant, dont on ne pouvait plus voir qu’une partie, la végétation s’étendant sur des kilomètres et un feu, où on pouvait y voir des hommes en train de boire près des cages. On dirait qu’il y en a qui font la fête quand le patron disparait!

Répondant comme je l’avais bien imaginé par une négative à mon départ,  la mercenaire m’embrassa sur la joue avant de lâcher prise sur ma personne, s’envolant encore plus haut, avant de faire quelques acrobaties pour finalement revenir auprès de moi, me demandant si j’étais prêt.

Prêt pourq…

Je ne pus même pas terminer ma phrase que je sentis la chose invisible qui me tenait depuis un moment cesser d’être, me laissant à la merci d’une gravité impitoyable. Je fus si surpris par la vitesse à laquelle j’ai descendu que je n’ai même pas lâché un cri. La seule réaction que j’eue fût un hoquet de douleur lorsque mon dos  heurta la surface de l’eau, me faisant lâcher tout mon air. Inutile de vous dire que je ne pris pas de temps pour remonter à la surface, cherchant l’air et toussant, vomissant le peu d’eau que j’avais avalé. Sentant les mains de la jeune femme venir caresser mon corps, pour finalement sentir tout le corps de la jeune femme contre moi, je souris, la laissant faire.

J’ai… Apprécié l’expérience! Malgré un amerrissage assez rude!

Passant ma main par-dessus son épaule, je lui caressai les siennes, glissant ma main contre sa nuque et ses joues chaudes, je ne pus m’empêcher de rétorquer.

Tu aimerais peut-être connaître ma définition de « s’envoyer en l’air »?

Il avait l'air encore – pauvre âme – tout chamboulé par l'expérience, comme s'il avait l'estomac à l'envers. Elle retint un rire, alors que les mains de l'esclavagiste grimpaient à leur tour sur ses épaules, sa nuque et ses joues. Fermant les yeux, elle prit un moment pour apprécier cet accès de tendresse dont elle n'avait plus l'habitude depuis un petit moment maintenant. Le trouble commençait à s'installer en elle et le « tu » utilisé par Hiro la fit un peu sursauter, mais pas autant que la proposition qu'il lui faisait.

Après un très court instant d'hésitation, elle glissa de nouveau face à lui, les jambes toujours aussi fermement arrimées aux hanches du jeune homme. Avec adresse, elle vint coller leur deux bassins, un vague sourire aux lèvres. Glissant sa tête dans le cou de son homologue, elle vint lui susurrer à l'oreille, après lui avoir tendrement mordillé le lobe :

_Montre-moi tout ce que tu veux...

Un instant, elle se demanda s'il n'exerçait pas son pouvoir sur elle, mais, après tout, si c'était là la seule chose qu'il comptait lui faire, elle s'y plierait avec allégresse, l’enivrante, doucereuse et légère brume qui envahissait ses pensées au fur et à mesure que le désir se montrait.
Rouvrant les yeux et dardant son regard enflammé dans celui d'Hiro elle lui sourit, faisant lentement glisser son bassin nu contre celui, tout aussi nu, du ESP.er.
Entourant sa nuque de ses bras, l'emprisonnant dans ses rets de désir et de tendresse, un sourire terriblement enjôleur vissé aux lèvres, elle l'embrassa avec une délicate et pourtant enfiévrée passion, tandis que ses mains courraient dans la nuque de l'intéressé.
Relâchant un moment ces lèvres, elle murmura de nouveau, tout contre elles :

_Tu verras que je suis très attentive lors des démonstrations...

Et une main aventureuse commençât à descendre le long de l'aine d'Hiro, tandis que le baiser reprenait de plus belle.

Les caresses de la mercenaire étaient devenus beaucoup plus insistantes, sensuelles. Enora s’était retourné autour de moi, me faisant désormais face, les jambes attachées contre ma taille, je pouvais même sentir son entre-jambe contre mon phallus, qui devenait de plus en plus gonflé. Nos baisers étaient enfiévrés de passion…  Malgré la froideur du lac, qui anesthésiait les sens,  je pouvais sentir la chaleur de ses bras, créant un léger picotement dans mon dos,  très agréable.

Je crois que je n’ai pas grand-chose à te montrer…  Et j’espère que, pendant les démonstrations, tu seras aussi très participative…

Un nouveau baiser entre nous deux, mélangé entre la douceur et la passion brûlante. Alors que je pouvais sentir sa main glisser contre mon estomac, de plus en plus bas,  je glissai les miennes contre ses cuisses, remontant jusqu’à ses fesses, les malaxant légèrement.

Premièrement, les préliminaires…

À mes dires, ma main droite glissa vers l’intérieur de notre « cercle intime » pour se retrouver sur les lèvres inférieures, glissant contre celles-ci, les caressant, elle pouvait même les écarter pour se faufiler un peu plus loin dans le corps d’Enora.

Mmm… Oui, je sens que ça sera intéressant!

Cet homme ne semblait, ma foi, pas farouche, mais cela arrangeait finalement bien la jeune femme toujours enlacée à lui. Elle eut un sourire en sentant ses mains agripper ses fesses, et frissonna de plaisir en sentant une de ses mains se frayer un chemin vers l'intérieur de ses cuisses. Il exigeait les préliminaires mais Enora aurait volontiers reconnu qu'elle aurait préféré passer directement au plat de résistance mais les caresses audacieuses d'Hiro sur son intimité la firent rapidement changer d'avis tandis qu'elles faisaient rougir ses joues, et accéléraient son souffle.
Avec un sourire, elle saisit la verge de l'ESP.er dans sa main et la fit doucement glisser dessus, puis de plus en plus fermement. Elle pouvait déjà sentir sa fermeté dans le creux de sa main, fermeté qui ne cessait de croître. Leurs mains respectives se frôlaient délicieusement dans leurs caresses mutuelles.
Avec un sourire, elle le fixa du regard et, sans rien dire, mobilisa de nouveau son pouvoir. Non, elle ne comptait pas le faire s'envoler à nouveau, juste lui montrer l'intérêt caché de ce don...

Doucement, elle fit naître en lui un désir incommensurable : titillant de çà, de là, certains organes elle réveilla brutalement toutes les hormones sexuelles qui dormaient en lui. Une sensation de désir brûlant d'une intensité sans pareille devrait bientôt l'envahir, et, d'ailleurs, quelques signes de tardèrent pas à se manifester : le corps du jeune homme se mit à trembler tout doucement, et de plus en plus fort, tant l'excitation et le désir étaient forts, comme s'ils étaient prêts à exploser en lui.
Avec un nouveau sourire, elle fit également affluer davantage de sang dans ce sexe déjà dur dans sa main, qui se raidit encore, incomparablement dur, ferme et tendu, cela donnait presque soif à la mercenaire qui ne put résister bien longtemps. Ecartant, par son pouvoir, l'eau autour de leurs bassins toujours collés, elle se laissa glisser le long du corps d'Hiro afin de se retrouver à genoux devant lui. L'eau qu'elle maintenait écartée de cette zone formait comme une sphère autour du sexe dressé de l'esclavagiste. Les longs cheveux d'Enora étaient à la fois plaqués en arrière sur sa tête, et à la fois, pour les mèches les plus longues, flottant dans l'eau derrière elle. L'eau englobait une partie de ses épaules, la sphère n'étant pas assez grande pour libérer totalement le corps de la jeune femme de cette emprise aquatique.
Sourire, encore, et elle posa sa main sur cette superbe hampe majestueusement dressée et si dure... Lentement, elle fit glisser sa langue dessus. Le goût étrange de l'eau du lac mélangé au goût naturel de la verge lui titilla les papilles et elle eut un soupir satisfait. Cette queue, imposante et si roide, lui donnait terriblement envie et, surtout, faim. Sans plus attendre, elle enfonça ce membre dans sa gorge avec un soupir d'aise. Caressant d'une main les bourses, elle se tenait au bassin d'Hiro de l'autre. Et alors, une danse des plus enivrantes commença, menée d'une main de maître (si l'on puis dire) par une langue aventureuse et un rythme soutenu des allers et venues sur ce phallus démentiel. Elle léchait tout, de haut en bas, suçotant les orphelines et le gland, allant jusqu'à faire glisser ses dents contre la paroi légèrement dure elle aussi des bourses, sa main les caressait vigoureusement et tendrement à la fois. A chacun de ses mouvements, sa poitrine sautillait délicieusement, montrait son excitation en se tendant légèrement vers l'avant, comme pour s'offrir à toutes les envies de ce partenaire improvisé.
Quoi que son sexe soit sous l'eau, Enora le sentait s'éveiller de plus en plus, lui aussi, au désir grandissant. Bientôt, elle n'en put davantage, elle le voulait en elle, qu'il lui fasse l'amour.

Après un long moment de cette fellation endiablée, elle se laissa lentement remonter le long du corps d'Hiro, prenant soin de faire passer sa verge encore mouillée de salive entre ses deux seins gonflés. Relâchant son pouvoir sur l'eau, cette dernière les enveloppa de nouveau. Passant une jambe autour du bassin de l'esclavagiste et se maintenant sur l'autre en enlaçant le cou de son homologue, les yeux voilés de désir et brûlants, elle lâcha dans un souffle et du bout des lèvres un...

_... Prends-moi...

Tu n’avais aucune idée de ce qui pouvait bien arriver à ton corps. Tout ce que tu ressentais, c’était une envie, comme jamais tu n’en avais fait l’expérience auparavant, et la fellation sous-marine n’avait rien fait pour améliorer ton cas…C’était tellement bon, et tu en avais tellement envie que tu n’arrivais même pas à retenir tes grognements, ta respiration haletante… Bref, tu ne contrôlais pas ton corps.

Bien que tu ne t’en soucies pas, tu pus goûter une nouvelle fois au pouvoir de la jeune femme, car c’était bien elle qui avait fait s’activer toute cette libido, cette testostérone en toi… Et tu te disais qu’heureusement elle aussi avait cette libido éveillée, car tu n’aurais pas apprécié de te faire avoir par une pin-up ainsi, alors que votre rencontre c’était si bien déroulée.

Elle en avait marre désormais de mettre ta hampe dans sa bouche, et en voulait plus… Ce que tu constatas bien avant qu’elle ne te demande, bien que ça ressemble plus à un ordre, de la prendre. Ta verge était si sensible que tu avais encore la sensation douce que ses seins avaient provoqués ne serait-ce qu’un instant sur ton gland. Tu ne pouvais pas la prendre maintenant, car après ce qu’elle venait de te faire, tu n’aurais pas enduré bien longtemps un coït.

Tu regardais autour de vous deux… Non pas pour chercher un quelconque malotru qui serait caché en train de se rincer l’œil, mais tu avais cru entendre une chute d’eau, sans vraiment t’en soucier, plus tôt. Ah, la voilà, te disais-tu; Une petite chute d’eau, d’à peine trois mètres, entourée de pierres, ventre au soleil, toutes lisses, dûes aux assauts de la marée haute, depuis des années. Heureusement qu’aujourd’hui, la marrée était basse, donc la façade immergée était aussi chaude que vos deux corps brûlant.

Quelques brassées où tu l’emmenais, et tu la collas doucement contre la pierre, alors que tu pris ses jambes dans tes mains, celles-ci posées sous les genoux, pour finalement les éloigner l’une de l’autre. Tu pouvais bien voir le désir de la mercenaire dans ses yeux, et tu savais qu’elle pouvait aussi très bien le déceler dans les tiens… Quoique le désir n’habitât pas seulement tes yeux ou encore ta verge; tout ton corps tremblait d’impatience.

Tu n’eus même pas besoin d’aide d’une main pour enfourner ton membre dans son intimité, tant il était droit et immuable, et, dans un soupir de satisfaction, tu l’inséras jusqu’au plus profond qu’il pouvait aller… Cette sensation, tu l’avais déjà connu maintes reprises, mais cette fois c’était différent, de loin plus confortable; comme si l’expression « Ça te va comme un gant » pouvais s’appliquer à vous, ici.

Tu jugeas que les mots étaient de trop ici (ça pour un avocat, c’est une première!), et tu ne faisais que regarder ta comparse dans les yeux, un petit sourire béat aux lèvres, alors que tu n’avais pas encore bougé tes anches.

Comme si tes lèvres et tes hanches étaient mus par deux muscles intimement reliés, tu commença la danse des bassins au même moment où tu décidas d’embrasser Enora, ta langue allant rejoindre celle de la jeune femme.

Enora était incroyablement frustrée qu'Hiro ne se soit pas empressé de la prendre là, à l'instant, au milieu du lac, qu'il ne l'ait pas agrippé, saisi ses cuisses et ses hanches et ne l'ait pas prise, faisant onduler leurs corps au rythme du clapotis de l'eau dérangée par ces mouvements. Non, rien. Et quoi qu'il tremblât comme une feuille de ce désir ardent qu'elle avait éveillé en lui, il regardait alentour.
Mais contre le bas ventre de la jeune femme pulsait ce sexe roide et brûlant, lui faisant un peu plus perdre la tête, folle de désir elle aussi.
Elle s'apprêtait à le supplier encore quand il l'entraîna à sa suite vers une petite chute d'eau qu'elle n'avait même pas remarqué. En quelques brasses, ils y parvinrent, et avec une douceur infinie – et presque surprenante vue leur désir mutuel – il la fit grimper sur une des pierres brûlantes. A ce contact, la jeune femme gigota un peu, comme pour éviter la trop grande chaleur qui se dégageait du rocher, mais cette sensation fut vite oubliée...

D'un mouvement doux et continu, il entra en elle, lui faisant lâcher un long gémissement de plaisir, de satisfaction et, disons le franchement, de soulagement. Cette verge saurait enfin éteindre l'incendie qui se propageait en elle.
Son désir était si fort qu'elle avait l'impression de sentir absolument chaque minuscule parcelle de son intimité s'éveiller au passage de ce sexe. Se mordillant la lèvre en faisant glisser ses ongles sur le torse de son partenaire, elle cambra légèrement le dos sous la poussée de la pénétration, lente et longue, qui lui tirait de multiples petits gémissements.

Une fois entré complètement en elle, il s'arrêta pour la regarder. La mercenaire, troublée par ce regard intense, à la fois heureux et plein de désir, se surpris à rougir. Elle n'eut pas plus le temps de s'en formaliser car bientôt, les hanches d'Hiro se mouvèrent en arrière alors que ses lèvres capturaient les siennes, en forçaient la barrière, et leurs langues se trouvant, se caressèrent doucement. Malgré ces lèvres closes par un délicieux baisers, la jeune femme ne put empêcher un nouveau gémissement de sortir de sa gorge.
Rompant le baiser, elle cambra son dos, tendit ses seins dans une demande de caresses et de baisers sur sa poitrine. Haletante, elle se sentait perdre pied de plus en plus, alors que leur ébat ne faisait que débuter. Gémissante et luisante encore de l'eau du lac, elle passa ses jambes autour du bassin du ESP.er pour accompagner ses mouvements et les approfondir. Elle était presque agrippée à lui, comme une noyée à la dérive s'accroche à sa planche, elle se laissa pourtant couler dans le plaisir alors que les va-et-vient du jeune homme s'intensifiaient.

Laissant son esprit loin derrière elle, elle s'abandonna toute entière au plaisir en fermant les yeux et gémissant de plus belle.

Chaque sensation que nos ébats amoureux me procuraient me donnait l'impression que chaque parcelle de mon corps brûlait... Et j'en demandais encore plus! Les délicieux gémissements de ma partenaire m'encourageaient à y mettre plus d'ardeur, enfonçant mon gourdin plus profndément dans son antre, m'arrachant à mon tour de graves gémissements, qui se mêlaient aux siens.

Mes yeux perdus dans les siens, alors que mon bassin continuait son inlassable danse, et mes mains qui caressaient son corps, réclamant une attention spéciale au niveau de la poitrine,  attention que je me fis un plaisir de faire; une fois nos deux bouches séparées, j'entrepris une longue série de baisers, partant de la commissure des lèvres, passant par les joues, lui mordillant sensuellement la peau du cou, pour  reprendre ma descente de baisers jusqu'à ses seins, les prenant dans mes mains, en bouche.

Chaque mamelon avait droit à sa dose de salive; je les suçotais, les mordillais, ma langue caressant sans cesse l'auréole, durcissant chaque petit bout rosâtre, la rendant encore  plus excitante à mes yeux. Inconsciemment,  cette excitation supplémentaire fit accélérer mes va et viens, me faisant contracter les muscles sous le plaisir, et mordiller avec légèreté le bout de poitrine de la mercenaire. Fimalement, après un vif effort mental, je ne pus que sortir une faible déclaration:

Tu... tu as un corps magnifique! C'est si bon...!

Heureusement, le moment n'était pas de lui révéler mes talents d orateur!...Mes mains quittèrent le corps divin puis vinrent se joindre à leurs comparses pour les serrer, alors que mon corps se palqua contre le sien, mélangeant nos chaleurs et notre salive par la même occasion...  Je pouvais même sentir mon phallus  s'enfoncer plus profondément dans son antre chaude et humide.

Le clapotis des vagues sur mes fesses m'agaçaient, mais j'étais trop bien en elle pour m'en faire.

Les gémissements de la jeune femme avaient selon toute évidence excité davantage le jeune homme qui se trouvait sur et en elle car ses mouvements se firent plus rapides et plus profonds, tirant de petits cris de jouissance à Enora tandis qu'elle sentait sa poitrine se faire dévorer, s'éveiller sous les assauts de son amant. Resserrant l’étau de ses cuisses autour de son bassin comme pour le contraindre à la prendre plus profondément, elle agrippa la tignasse d'Hiro dans un mouvement brusque. Haletante, et gémissante, elle sentait proche un orgasme salvateur, le premier, certainement, d'une longue série car il lui en fallait peu présentement pour déclencher en elle une jouissance extrême.

_Ne t'ar...ête pas ! Oh mon Dieu, oui !

Hiro, abandonnant ses caresses, saisissant les mains de la ESP.er dans les siennes et les serrant avec passion, vint coucher entièrement son corps sur le sien, approfondissant encore ses mouvements. Il n'en fallut guère davantage à la mercenaire pour sentir son bassin secoué par une vague d'un intense plaisir et qu'elle plante ses dents – avec toute la douceur possible – dans le cou de son partenaire. Le petit cri que ce premier orgasme lui tira lui tourna la tête et devait sonner comme un encouragement des plus doux aux oreilles d'Hiro.

_Han putain oui... lâcha-t-elle dans un murmure alors qu'elle se laissant de plus en plus couler dans le plaisir.

Le clapotis de l'eau qui s'écrasait contre les cuisses de l'avocat la berçait plus qu'il ne la dérangeait et lui donnait aussi une idée réelle du rythme qu'il avait adopté tandis qu'elle sentait ce sexe s'enfoncer toujours plus profondément en elle.

Ses gémissements se firent de plus en plus rapprochés, et son intonation avait changé, les décibels augmentaient. Elle devait être au bord de l'orgasme, et ses gémissements m'encourageaient. Ses mots si crus et excitant me rapprochaient moi aussi de l'éjaculation, mais ce n'était pas le moment, je voulais que ça dure encore plus longtemps. Mes mains glissèrent le long de son dos jusqu'à venir se poser sur le royal fessier de la jeune mercenaire, les serrant avec force, m'aidant à la pénétrer avec plus de force, si bien que je pouvais sentir le bout de mon gland effleurer le fond de son antre.

Ne gémis pas si fort... Sinon je ne pourrai plus me retenir... Et j'ai envie que ça dure le plus longtemps possible!

Alors, pour l'unique fois de l'ébat, j'arrêtai mes va-et-viens, au fond de sa chair, et l'une de mes mains se retira de son postérieur bien musclé pour venir lui saisir la tignasse la forçant à m'embrasser, alors que j'enfonçai ma langue dans sa bouche, reprenant de tranquilles ondulements de bassins...

-Putain... ça c'était un "close-call"

Un petit rire sortit de mes lippes, soufflant un peu. Mon corps luisant de sueur et d'eau du lac représentant bien l'ardeur de notre ébat.