Tiens, le dialogue s'instaurait, signe que son psyché était en train de s'éffondrer petit a petit, bientôt elle ne pourrait s'empecher de parler, l'arrogance commençait a se muer en défense, ici elle ne faisait plus la grande dame supérieure a lui en tout points, ici, elle essayait juste de se défendre de la position dans laquelle il la méttait. C'était très interessant comme approche, mais il avait eu tellement de captives, tellement d'esclaves qu'il pourrait écrire des livres sur les grandeurs et la décadence de la nature féminine porté a haute préssion primale. Il y avait deux types de captives : Les bestiales et les rationnelles. Les bestiales étaient du genre a accepter l'étreinte quand il la donnait et céder car elles ne connaissaient rien d'autre que le plaisir délicieux, abandonnant leur corps sans remords car elles n'ont rien a y perdre, et tout a y gagner. Il y a ensuite les rationnelles, celles qui savent tellement de choses, que ce soit sur elle même, ou sur d'autres domaines, qu'elles se pensent supérieures a ça et mettent de la distance. Au final les deux tombaient entre ses griffes. Pourquoi ? Parce que les bestiales se laissaient rattraper par leurs instinct primaires et y prenait gout, et les rationnelles, par leur grande culture et intelligence, étaient tellement térrifiée de ce qu'il leur faisait, qu'elles perdaient toute logique, pouvant analiser avec trop de détail toute l'horreur de ce qui leur arriver.
Son taux d'échec, au final, était très bas.
Marine quand a elle par son physique plein de muscle et ses cicatrices avait été entrainé dans un but militaire, de combat, elle s'assimulait comme un "homme". Son rôle allait devoir être de tirer des méandres de son inconscient la femme en elle et la replacer sur le devant de la scène. Ce serait donc ça qui la briserait.
"Ta vie a été un enfer ?"
Fit il entre deux coups de langues avant finalement de se relever et de regarder Marine dans les yeux, la saisissant par les cheveux pour la tirer de son apathie et la forcer a le regarder directement
"Ma pauvre petite tu n'as aucune idée de ce qu'es l'enfer. la définition varie selon les gens, peut être as tu vécu dans un enfer, mais si tu avais connu ton enfer personnel, tu ne serais jamais la même. Tu te moque de moi, je sais que des coups et des cicatrices ne te brisent pas. C'est pour ça que je me permet plus de violence qu'a l'ordinaire : parce qu'avec toi ça ne change rien, tu ne ressent rien, tu es une vrai poupée. Je pourrais te battre toute la journée, celà n'aura aucun effet sur toi. Tes défenses sont si haute que je ne pourrais les dépasser."
Don sourit et se mit a lui lécher la joue en maintenant son visage dans la paume de la main qu'il utilisait précédement pour lui tenir les cheveux, histoire qu'elle ne se retourne pas brusquement.
"Ta vrai nature, tu la verra bien assez tôt, je suis confiant. je te briserais, aujourd'hui."
Assura t'il tandis qu'il passait une main gourmande le long des abdos de Marine et descendait jusqu'a son entrejambe pour continuer a la stimuler. Il eut un air doux quand elle lui parla de celles qui étaient passé avant elle et ajouta
"Oh, mais ne t'y trompe pas : J'ai bel et bien une conscience. Une conscience proffessionelle. Je fais mon travail, et je le fais bien. Toi je ne demande que tu fasse..."
Il la recalla contre lui alors qu'il reculait ses doigts pour y placer sa verge, le discours avait là le même but que pendant le match : la distraire de ce qu'il allait faire pour profiter de la surprise de Marine pour continuer son travail destructeur
"Que le tiens !"
Et sans prévenir il entra en elle d'un coup, la tenant par les hanches pour s'appuyer et aller plus profond encore, sans nulle douceur.