Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)

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Catalina Taylor

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)

Réponse 15 jeudi 04 décembre 2025, 19:25:10

Si, en temps normal, c’est Présage qui mène la danse, la situation est toute autre ce soir. Et la blondinette n’est absolument pas contre ce changement. Elle adore sentir la poigne solide de Tank contre son corps, alors qu’il serre son cul si fort qu’elle en aura probablement un bleu le lendemain. Elle se complaît dans cette attitude dominante qu’il a adopté. Chacun de ses mots la laisse tremblante, soupirante, alors qu’il ne cesse de venir marquer son passage dans sa petite chatte trempée. Elle ne peut que murmurer, gémir, soupirer… Crier son nom. Comme une ode à sa virilité. A la manière dont il cogne aux portes de son utérus à chaque coup de rein.

Calamity n’a presque plus de souffle pour démontrer son enthousiasme. Heureusement, voilà qu’elle le sent se ficher profondément en elle. Encore. Et encore. Et elle ressent chaque tressautement de son chibre qui tapisse son intérieur de ce foutre épais, gluant, qu’elle a goûté précédemment. Ses ongles griffent ses épaules, sur le costume qu’il porte encore, tandis qu’elle sent un autre orgasme -moins puissant- faire s’étrangler un cri dans sa gorge. Apparemment, rien que le fait de le sentir la remplir suffit à ce que l’extase dévaste ses sens.

« Fiou, marmonne-t-elle en essayant de reprendre ses esprits alors qu’il s’était finalement retiré, laissant des coulées de fluide sirupeux descendre le long de ses cuisses rougies. Te détacher, mmh ? »

Elle sourit, adossée au mur alors que ses jambes ont du mal à retrouver leur stabilité. Elle peut toujours sentir sa chaleur qui se propage à son corps alors qu’il reste à proximité. Son regard clair reste attiré par le chibre qui luit dans la faible luminosité des lieux. Elle ne l’en détache que lorsqu’il attrape son menton pour la forcer à lever la tête vers lui. Un frémissement la fait se tortiller contre le mur alors qu’il ne perd pas cette attitude autoritaire. Elle en perd presque le souffle, ses lèvres s’entrouvrant d’elle-même tandis que le sens de ses paroles est enfin compris par son esprit prompt à la distraction.

« Oh, si tu insistes… Lâche-t-elle finalement dans un soupir, un sourire amusé luttant pour ne pas se montrer sur ses lippes rougies. »

Son corps, cela dit, trahissait le trouble qui l’agitait alors qu’elle se sentait incapable de lui refuser quoi que ce soit dès lors qu’il lui parlait de la sorte, qu’il la dirigeait de cette manière. Sans que ses prunelles bleues ne quittent celles du malfrat, Calamity glissa une main légère à sa ceinture pour en retirer les clés des menottes. A tâtons, elle chercha la serrure des petits bracelets d’argent pour y insérer la clé. Après un clic signifiant l’ouverture, elle tira sur la paire de menottes pour libérer le poignet de son amant les raccrochant à sa ceinture.

« Je veux bien t’emmener chez moi, mais tu me portes ! S’exclame-t-elle finalement en retrouvant un peu de ses esprits. »

Un sourire salace étira cette fois franchement ses lippes tandis qu’elle levait les bras pour qu’il la prenne contre lui, contre son torse, afin qu’elle noue ses chevilles dans son dos et revienne s’embrocher sur sa queue pour toute la durée du trajet. Rien n’empêchait, en effet, de lier l’utile à l’agréable.

« J’te guiderais, t’en fais pas, rassura-t-elle avec un clin d’œil. »

S’il acceptait, si effectivement il consentait à la prendre dans ses bras pour qu’elle puisse profiter de son chibre pendant qu’il marchait, elle le guiderait. Elle lui ferait prendre les ruelles où l’on ne croise jamais personne. Elle lui ferait prendre des raccourcis, jusqu’à finalement arriver en vue de l’immeuble dans lequel elle avait un petit appartement de quatre pièces. Elle lui donnerait le code de la porte d’entrée, et le numéro de l’étage. Ainsi que le numéro de son appartement. Elle lui dirait absolument tout ce qu’il devait savoir pour finalement pénétrer dans son intimité, figurativement parlant. Elle ne craignait pas que ça lui retombe dessus sans qu’elle ne le voit venir, après tout. Et elle se demandait même si, connaissant son adresse, il ne s’arrêterait pas « à l’improviste », de temps à autres, pour venir la remplir comme elle aimait si bien.
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Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
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Randal Dragunov

Créature

Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)

Réponse 16 jeudi 04 décembre 2025, 20:10:00

La première phrase qui traverse mon esprit est "Cool, ça marche" en entendant sa réponse. Et malgré cela mon corps s'arrête une fraction de seconde quand je vais pour attraper sa main pour l'aider à se relever. Aucun macho ne réagirait de cette façon. Si ? Il faut que je trouve une solution de repli rapidement car j'ai déjà initié le mouvement. Réfléchir, réfléchir, réfléchir ! Non, pas réfléchir. Agir ! Oui, c'est bien ça d'agir de manière instinctive.


- Vaudrait mieux, sinon je t'abandonne en pleine rue comme tu l'as fait avec moi les autres fois. Et tu devras craindre autre chose que les flics.


La main libérée de la menotte va chercher la sienne et tire son corps si léger contre le mien. Sa poitrine s'écrase au passage sur mon torse musclé en même temps que son parfum assiège mes narines. A terme je vais la porter comme elle me l'a demandé. Mais pas tout de suite car je dois continuer d'imposer ma façon de penser et de faire jusqu'au bout. Pour se faire, ma main encore un peu endolorie au niveau du poignet se glisse entre ses cuisses et écarte ses lèvres intimes à l'aide de quatre doigts. Ce simple geste fait tomber au sol tout le sperme qui en coulait petit à petit jusque là. A l'instar de ma queue, j'initie un doigtage en règle en mélangeant et frottant le reste de mes fluides encore en elle contre ses parois sensibles.


- Laisse tout sortir. Ma bite prendra le relai pour le reste du trajet jusqu'au moment où je déciderai de revenir te remplir. Tout dépendra de mon envie.


Avec l'aide d'un bras placé dans son dos pour l'aider à rester debout en équilibre, je poursuis ma visite exploratrice. Rarement j'ai pu les enfoncer dans une chatte aussi brûlante et humide que la sienne. On dirait presque qu'elle tente de les aspirer quand je tente de les retirer pour mieux y retourner. Même ma paume entre dans le jeu en se frottant contre son bouton en prenant soin de ne pas aller jusqu'à la faire jouir. Son orgasme aussi dépendra de mon bon vouloir.


- Bon, on a perdu assez de temps ici.


Le son humide produit par la sortie de mes doigts m'excite terriblement et il suffit de regarder ma queue remuer de haut en bas pour le constater. Sans perdre de temps inutilement, ma main sale et partiellement couverte de cyprine et de foutre se pose sous une des cuisses de la blonde pour lever son corps et venir le faire s'empaler sur ma queue. Là où est sa place légitime. Cette soirée risque d'être longue, intense et complètement folle.

En l'espace de quelques instant nous nous retrouvons hors du tunnel et aux abords de la ville. Ce coin là je le connais. Inutile donc de lui demander exactement où elle veut m'emmener. Je me contente de ses premières indications un peu vagues en pensant être tranquille. L'endroit idéal pour faire une pause.


- Descends et pose une jambe sur ce banc que je te prenne en levrette. C'est la position préférée des chiennes après tout.


On ne va pas rester ici trop longtemps. Tout ce que je veux c'est souffler et réfléchir à ce que pourrais lui faire faire cette nuit, même si j'ai déjà pas mal d'options qui me trottent en tête. Se retrouver dehors, en pleine ville, est beaucoup plus excitant que de baiser dans un tunnel isolé. Ici il y a ce frisson d'être découvert.

D'ailleurs, je suis a peine retourné dans sa chatte une minute que je peux entendre deux vois s'approcher de nous. A leur dégaine et leur façon de parler il s'agit de deux geeks. Des ados d'à peine la vingtaine qui ne réalisent ce qui se passe devant eux qu'une fois à 5 mètres de nous.
Juste avant qu'ils lèvent la tête vers nous j'arrache la cape de la nympho et la pose sur sa tête pour servir de masque improvisé.


- Alors les jeunes, c'est pas une heure pour sortir. Mais ce soir... c'est votre jour de chance.


Au début les deux jeunes se regardent en tournant la tête de chaque côté pour tenter de repérer une caméra cachée quelque part alors qu'il n'en est rien. Puis ils fixent avec envie les seins et le cul de la belle blonde qui remuent au rythme de mes coups de rein car je ne vais pas m'arrêter pour eux. Cela semble même exciter ma partenaire.


- Si vous lui présentez vos queue, elle vous branlera avec plaisir.


Le bémol c'est qu'ils pourront uniquement lui éjaculer dessus ou sur la cape qui protège son visage. Après, ça reste déjà une expérience unique qu'ils pourront raconter à tous leurs amis plus tard car ça n'arrivera jamais deux fois dans leur vie.


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