Servir de snack dans la salle de ciné (PV)

Une petite pause s'imposait pour le pauvre Matsuo qui vient d'enchaîner trois examens après un mois et demi de révisions intensives. Son temps il l'a passé entre la bibliothèque et sa chambre quand il n'était pas en cours. Au point que dès qu'il fermait les yeux il revoyait les formules et autres diagrammes apparaître sous ses paupières pour le harceler plus que nécessaire alors qu'il cherchait à reprendre des forces.

Quel plaisir d'être sorti de cet enfer des révisions et des examens. Le jeune homme peut désormais souffler et retrouver un semblant de vie normale pour quelques temps. Reste à savoir quoi faire de son temps maintenant qu'il s'est habitué à faire autre chose que s'amuser. Se poser et traîner sur la console ? Un peu de chill sur la fameuse plateforme Nitflex en papotant sur son portable ? Non, mauvais plans... Il sent que si jamais il se pose il risque de s'endormir en un clin d'oeil.

Un saut sous la douche pour se réveiller un peu, son corps se glisse dans un jean, un t-shirt bleu marine et une petite chemise blanche fine par-dessus (avec sa chaîne en or) et direction le centre-ville de Seikusu sans véritable plan précis. L'idée est juste de marcher en espérant trouver une idée sur le tas. Un peu comme tous les jeunes de son âge en même temps. Beaucoup sortent sans trop savoir où aller, ni quoi faire, et espèrent trouver une illumination.

L'ambiance qui règne en ville est assez calme en plein après-midi. Étrangement, Matsuo a l'impression de redécouvrir la ville dans laquelle il vit car nombreux sont les changements qu'elle a subit en seulement un peu plus de 5 semaines. Une nouvelle boutique de mangas et goodies vient d'ouvrir ses portes à côté du bar à smoothies dont les étudiantes et lycéennes n'arrêtent pas de parler sur les réseaux sociaux. Curieux il y entre pour faire un tour seulement et finit par en ressortir avec 2 nouvelles séries et 3 autres mangas réservés aux regards les plus avertis. Les mangas hentai il n'en possède pas beaucoup et préfère consommer sur internet comme la majorité cachée. Ce qui l'a poussé à passer à la caisse avec, tout gêné, est qu'il s'agit de l'oeuvre d'un de ses auteurs préférés. Sur la couverture on peut y voir une femme aux formes qui menacent de faire exploser les coutures de sa tenue dans une tenue suggestive. Rien de bien nouveau sous le soleil dans ce genre de littérature...

Deux bonnes heures s'écoulent pour le voir finir par arriver à proximité du cinéma. Ses yeux s'écarquillent en voyant l'affiche d'un film qu'il attendait depuis des mois. Comment il a pu oublier sa date de sortie ? Un poil paniqué il fonce à l'intérieur et se dirige vers une borne pour voir les séances à venir. "La chance !" se met-il a penser quand il voit que la prochaine est dans seulement 10 minutes. Ses doigts s'affairent sur l'écran pour prendre une place.

Il ne lui faut pas longtemps pour traverser le cinéma et son escalator pour finir par poser ses pièces dans la zone réservée aux places plus espacées. Celles où on peut s'étirer les jambes et les remuer sans craindre de taper dans le siège de devant. Puis bon, à cette heure il n'y a pas grand monde de toute façon. Avec la lumière tamisée qui règne dans la pièce qui est sur le point de diffuser les bandes-annonces d'une seconde à l'autre il peut distinguer une dizaine de silhouettes grand maximum. Toutes réparties un peu partout.

Comme toujours, les bandes-annonces commencent à passer à l'écran et le jeune homme se met à somnoler quelques instants pour se réveiller bien vite. Sauf que la chose se répète une fois de plus. Plus deux, trois... Il se dit que ça lui passera une fois le film démarré pour en prendre plein les mirettes. Sauf que rien ne se passe comme prévu. Le film n'a pas duré plus de dix minutes qu'il est déjà plongé dans un sommeil léger.

Aujourd’hui était une rare journée où Ashley n’avait rien prévu de faire, c’était assez inhabituelle avec ses études, les séances d’entrainement de cheerleading, les matchs en tant que pompom girl et son boulot au maid café, elle n’avait en réalité qu’assez peu de temps libre même si elle en trouvait toujours pour faire la fête. Elle s’était évidemment levée à treize heure du matin dans le lit king size d’un de ses sugar daddy, un poignet encore attaché au barreau, cela avait été une nuit épuisante pour qu’elle s’endorme sans se détacher, heureusement la clef était sur la table de chevet. Rester la journée au lit ne la dérangeait pas mais un peu quand même quand c’était parce qu’elle n’avait pas la possibilité de le quitter.

Une fois détachée, elle était allée prendre une douche avant de se maquiller et de s’habiller, aujourd’hui elle ne mettra pas sa tenue de lycéenne pour une fois mais elle comptait être tout aussi sexy. Sa micro-jupe noire était tout juste assez longue pour couvrir son fessier, le moindre mouvement donnait vue direct sur son string noir. Un body noir transparent faisait mine de couvrir son corps et un petit top noir de sa confection complétait sa tenue pour cacher sa poitrine et ses épaules, comme à son habitude elle gardait la grande majorité de son corps de rêve visible à quiconque poserait ses yeux sur elle.

Lorsqu’elle descendit au salon pour prendre son petit déjeuner, elle découvrit un petit cadeau laissé par son amant propriétaire des lieux, dedans elle y découvrit une paire de chaussure à talon comme elle les adorait. De quoi la grandir encore de douze centimètres, d’un noir éclatant, des piques en métal sur les lanières au niveau des chevilles et sur celles sur le pied, de quoi compléter sa tenue pour sortir. Recevoir des cadeaux d’hommes ayant l’âge d’être son père ne la lassait jamais.

Après s’être restaurer, elle sortit pour aller zoner en ville sans vraiment avoir de but précis, une balade au par cet une barbe à papa plus tard elle se retrouvait devant le cinéma, elle n’était pas une grande amatrice de film, elle ne connaissait aucun des noms sur les affiches mais celle qui lui parlait le plus avait une séance qui commençait bientôt alors elle se laissa tenter. Si certaines personne aime le cinéma calme sans aucun bruit, Ashley est leur pire ennemi, en effet elle aime prendre le plus gros seau de pop-corn, la blinde de bonbon, une boisson et une deuxième barbe à papa, ce sont les bras bien chargés qu’elle alla se trouver une place dans une zone tranquille et confort.

Il n’y avait pas grand monde dans la salle, à cette heure le contraire aurait été étonnant et cela permettait à un petit bruit de ronflement d’arriver jusqu’à ces oreilles depuis un siège non loin de là, quelqu’un s’était endormi et cela réveillait ses instincts de joueuse. Elle se leva de sa place avec tout son casse-croûte pour aller rejoindre le dormeur et elle sourit en se rendant compte que c’était un homme. Elle ne le connaissait pas mais il y avait un air de déjà vu, peut être était il à la même université, il peut être était il déjà venu à son maid café, il ressemblait au geek assez générique qui pourrait s’y rendre ou peut être elle le confondait avec plein de monde lui ressemblant, elle côtoyait tout de même beaucoup de gens. Alors qu’elle posait ses friandises près du siège, elle remarqua les manga hentai fraichement sortie de librairie, en voyant la couverture elle se dit qu’elle ferait une héroïne de hentai parfaite, elle n’avait rien à envier au personnage. Mais la réalité et souvent bien plus folle que la fiction et s’était sans aucune gène qu’elle se plaça à genoux devant le garçon endormi et entrepris de lui baisser le pantalon et le caleçon en usant de son expérience pour le faire sans qu’il ne se réveille.

Son rêve devait être excitant car sans pour autant bander encore complètement, le membre qu’elle cherchait était en voie de dressage ce qui lui facilita les choses pour aller lui donner des coups de langue qui ne le réveillèrent pas. Satisfaite, elle pris un gros morceau de barbe à papa dans la bouche et entama une fellation sucrée sans perdre plus de temps.

La fatigue était plus grande qu'il ne l'avait prévu car il ne s'est même pas rendu compte qu'il s'endormait alors que le film ne venait de démarrer que depuis quelques minutes. Il ne faut pas sous-estimer le manque de sommeil. Le mélange entre obscurité et rythme lent pour lancer le film auront rapidement raison de lui. Au point qu'il en vient à ronfler légèrement.

D'ailleurs Matsuo ne manquait pas uniquement de sommeil et de divertissement à cause de sa longue période de révision en vue de réussir ses examens. Il a négligé un autre besoin primordial pour sa santé : la masturbation. Ce menu détail a sans doute influencé son achat quelques minutes plus tôt en plus de son envie de soutenir un de ses mangakas préférés. L'envie de se soulager rapidement un soir est souvent revenue mais il a tenu bon et cela se ressent dans son rêve.

Dans son rêve il se trouve dans une scène du manga qu'il vient d'acheter. Comment il peut en connaître le contenu alors que le bouquin est encore protégé par son film plastique ? Simple, il a déjà "lu" et "relu" le fameux ouvrage pour adultes sur internet plusieurs dizaines de fois. Assis dans une loge, il y incarne un fan qui est reçu de manière particulièrement chaleureuse par la membre d'un groupe de chanteuses qui tient à le remercier à sa manière pour son long soutien.

La jeune chanteuse lui offre un petit show pour démarrer les hostilités dans une version trop courte de la tenue qu'elle porte souvent en concert. Populaire pour son côté maternel et ses formes généreuses plus développées que les autres membres, elle ne laisse pas le fan insensible qui en bave sur place. Ou alors est-ce juste Matsuo qui bave un poil en ronflant dans le cinéma. Cela ne dérange pas la superbe femme qui se déplace de façon féline dans sa direction pour libérer l'opulente poitrine jusque là coincée sous sa blouse tout en déposant une main ferme sur la bosse qui se forme à travers son pantalon.

Elle veut se donner à lui et cela se ressent dans l'étincelle perverse qui fait briller son regard. Sa main frotte légèrement dans un mouvement répété de haut vers le bas pour finir par poser les deux sur ses cuisses. De la bouche, elle déboucle le bouton de son jean (c'est du hentai) et va par la suite utiliser ses dents pour la braguette. Libérant un membre qui fait la moitié de son visage en épaisseur. Et sans plus de cérémonie, elle vient le prendre en bouche pour le sucer afin de le faire gonfler et durcir.

Le rêve semble si vivace dans l'esprit du jeune homme. Chaque coup de langue sur sa peau sensible semble si réel. Il n'y a pas que ça. La chaleur si caractéristique d'une bouche gourmande quand on se fait engloutir. Le plaisir devrait être assez grand pour le réveiller. Mais peut-être que sa fatigue est trop grande en comparaison.
Toujours est-il que la chanteuse continue son affaire en le prenant autant que possible pour baver copieusement sur sa queue en gémissant pour l'exciter et lui montrer son dévouement. Seigneur que c'est agréable d'être témoin d'un tel spectacle tout en savourant chaque caresse buccale tout en restant au chaud de cette belle et savoureuse bouche.

Quelques minutes s'écoulent durant lesquelles Matsuo profite de cette gâterie. Malheureusement -ou pas-, toutes les bonnes choses ont une fin et le jeune homme est réveillé par un de ses propres ronflement. D'un geste de la manche il s'essuie tout d'abord les rebords de la bouche. Quand une sensation humide le fait trembler de tout son être. Il a immédiatement reconnu ce qui était un coup de langue sur son membre avant même de descendre son regard sur l'inconnue qui le pompe.

Assez étrangement son esprit se souvient qu'il est dans le cinéma alors il hausse tout juste la voix pour dire « Mais... C'est quoi ce délire ? » et enchaîne tout aussi rapidement « Tu es qui ? ». Sauf que le jeune homme ne s'attend pas à être victime de ses propres envies. Au lieu d'offrir une occasion à cette inconnue de lui répondre, il pose une main sur son crâne pour lui faire bouffer sa queue encore à moitié molle. « Haaaa, putain ! C'est trop bon. » laisse t-il échapper tout en savourant l'instant présent. Déjà que le pauvre n'avait pas eu l'occasion de se branler depuis plus d'un moi, le voilà qui est agressé par une suceuse sauvage.

Ce qui pouvait être étonnant avec Ashley c’est que bien qu’elle ne se cachait pas d’être une mangeuse d’homme, elle ne souffrait pas de la réputation qui allait souvent avec, elle avait bien quelques remarques concernant ses tenues mais à part cela elle avait toujours été extrêmement populaire que ce soit au lycée et à l’université. Son style alternatif qu’elle assumait pleinement impressionnait et lui donnait un air plus menaçant qu’elle ne l’était vraiment, et puis son rôle de cheerleader pour les équipes sportives de l’université la faisait souvent être accompagné des sportifs et des autres pompom girl, autant dire les garçons et les filles les plus respectés du campus. Autant dire qu’elle avait l’air d’être tout ce qu’on pouvait attendre du cliché de la fille qui restait loin des geeks à lunettes gras du bide et qu’ils n’osent à peine regarder, c’était pourtant bien devant un de leur représentant qu’elle était accroupie. La vérité c’était qu’elle était joueuse et qu’elle n’avait aucun apriori pour quiconque, ce qu’elle aimait c’était s’amuser et elle se fichait bien d’avec qui elle s’éclatait tant qu’elle prenait son pied.

Les filaments de sucre constituant la barbe à papa qu’elle s’était mis en bouche pour commencer à sucer l’inconnu n’avait pas mis longtemps à fondre à cause de la salive en ajoutant une saveur de friandise à la sucette de chair qu’elle suçait avec avidité. Elle s’amusait à presser le piercing de sa langue contre l’appendice veineux, titillant la base du gland en faisant tourner sa langue autour.

Elle le sentit bouger lorsqu’il se réveilla, levant les yeux pour le regarder constater avec surprise ce qu’il subissait de la part d’une généreuse inconnue à la bouche gracieuse. Il ne la laissa pas répondre à sa propre question en posant la main sur son crâne, elle ne l’aurait pas fait de toute façon, on lui avait appris à ne pas parler la bouche pleine. Elle profita de l’occasion pour passer à la vitesse supérieure, commençant à bouger le long du membre qu’elle sentait enfin entrer en érection, elle l’enveloppa également de sa main droite pour le branler en même temps qu’elle le suçait au même rythme, pressant ses nombreuses bagues contre la chair.

Alors que sa langue s’agitait autour du gland du garçon qui la maintenant sur son sexe, elle décida d’aller tâter le sommet, titillant le méat avec son piercing jusqu’à finalement l’y insérer en appuyant sa langue dessus. La tête du piercing étant légèrement plus grosse que l’orifice, cela devait piquer un peu mais cela ne l’empêcha pas de commencer des jeux de langue.

Comment tout ça est arrivé ? Pourquoi lui ? Pourquoi elle ? Pourquoi tout cela se passe dans cette salle de cinéma ? Les questions ne font que s'accumuler dans le cerveau déjà bouillonnant et perdu de Matsuo qui est en train de perdre pied au fil des secondes. La seule chose qui le maintient un tant soit peu rattaché à la réalité est cette bouche qui s'affaire sur sa queue qu'il peut sentir durcir et gonfler sans même qu'il n'y réfléchisse.

Le pire c'est que cette chaude inconnue ne lui laisse pas un instant de répit. C'est à peine si il a le temps d'assimiler et accepter la situation dans laquelle il se trouve qu'elle se met à le branler. Vigoureusement. Les bagues qui ornent ses doigts lui font un peu mal par moments et provoquent une stimulation supplémentaire chez le garçon. Il veut qu'elle continue. Il veut le lui dire de vive voix aussi. Sauf qu'il en est incapable car se faire sucer de cette manière ne lui est jamais arrivé. Le manque, l'excitation la découverte... Tout s'entremêle dans sa tête et dans ses zones sensibles qui lui font vivre un supplice si délicieux.

Sa main va pour lâcher prise sur les cheveux de la belle jeune femme quand cette dernière décide de l'attaquer une nouvelle fois en plantant un truc dans son urètre. Un « Kuuuuh ! Urrrgggh ! » quitte difficilement sa bouche car il serre fort les dents, signe qu'il est complètement dépassé par la situation. Qu'est-ce qu'elle est en train de lui faire ? Jusque là il n'a pas eu droit à suffisamment de fellations pour maîtriser le sujet. Est-ce qu'elle vient d'insérer sa langue dans le trou de son gland ? Non, on ne dirait pas. Ou alors sa langue serait en pierre...
C'est trop pour un garçon avec si peu d'expérience. Sa poigne se fait plus ferme alors que tous ses muscles se tendent sous les attaques nombreuses et répétées de cette inconnue qui, elle, a par contre tout l'air de connaître son sujet.

Tout cette stimulation a pour effet de faire gonfler et durcir sa bite qui n'a eu aucun mal à gagner plusieurs tailles depuis que cette nymphomane s'est jetée sur lui sans son avis. Matsuo ne ait pas quoi faire. Est-ce qu'il doit la forcer à continuer ? La faire reculer pour souffler ? Aucun choix immédiat ne lui semble être le bon. Tout ce qui sort de sa bouche est « Comment tu fais ça ? » alors qu'il sait qu'il n'aura probablement pas plus de réponse que tout à l'heure.

Ses yeux se lèvent alors vers le ciel après avoir quitté le regard de cette belle affamée de bite en se demandant à quelle sauce elle va continuer de le bouffer.

On lui demandait souvent à quoi servaient tous ses piercings car si les tatouages semblaient ne plus poser trop de problèmes, il y avait encore pas mal de réticence sur les piercings, pour celui de la langue, ce qu’elle faisait subir à l’amateur de film était une réponse tout à fait recevable. Évidemment, elle ne s’était pas fait percer la langue expresse pour pouvoir faire ça mais elle avait vite trouvé, et elle ne regrettait pas d’avoir préféré le piercing à la langue fendue comme les serpents quand bien même elle aurait pu faire de jolie chose avec cette spécificité aussi.

Elle ne doutait pas qu’elle était la première à offrir une telle fellation au garçon, ce n’était pas courant de se faire attraper le sexe sans son accord par une professionnelle comme Ashley, elle avait de l’expérience en la matière. Elle faisait des petits mouvements circulaires avec sa langue pour faire bouger le piercing dans l’orifice dans lequel elle l’avait inséré tout en appuyant pour donner encore plus de sensation. Elle avait entendu la question mais elle la trouvait un peu idiote, que pouvait-elle bien faire rentrer dans un aussi petit trou qu’un piercing de langue alors elle n’avait pas relevé et avait continuer son petit jeu en restant muette.

Lorsque le membre dont elle s’occupait fut enfin bien raide, elle décida de retirer sa langue de là où elle se trouvait non sans faire ressentir le même désagrément que lorsqu’elle était rentrée. Elle se redressa pour retirer le sexe de sa bouche afin de reprendre un peu son souffle, elle ne décrocha toujours pas un mot malgré qu’elle ait désormais la bouche libre et se contenta de tirer la langue pour lui montrer son piercing tout en continuant de le branler en resserrant son emprise.

Elle secoua la tête pour faire voler sa chevelure avant prendre le reste de sa barbe à papa en bouche avant de retourner le sucer, un véritable lit sucré bien douillet comme elle l’avait fait au début à la différence que cette fois-ci il était réveillé et qu’elle en avait bien plus en bouche. Elle en profita pour y aller encore plus franchement, du gland jusqu’à la base de la longue saucisse de viande, elle entama de long et lent va et vient en essayant de bouger la langue le moins possible pour ne pas faire fondre le sucre avec sa salive trop vite. Elle se demandait si l’amateur de hentai qu’elle suçait avait déjà fait eu un rapport avec une fille, non pas qu’elle donnait une importance au fait d’être celle qui dépucèle un garçon mais elle pouvait avoir des idées très particulières si c’était le cas ou non mais en l’état actuel des choses elle n’avait pas le loisir de lui poser la question.

C'est avec une bouche à moitié entrouverte à soupirer comme un bœuf que Matsuo observe l'inconnue recracher sa queue sous ses yeux ébahis. Les rares fellations dont il a pu être gratifié par le passé étaient toutes bien plus classiques, sages même. Autant dire qu'il a sauté plusieurs rangs d'un coup dans l'innovation et la perversité avec cette bombasse qui semble y prendre autant de plaisir que lui. Si un jour on lui avait dit qu'il se ferait astiquer le manche dans une salle de cinéma il n'y aurait jamais cru.

Non seulement elle le pompe comme une pro, en plus elle ajoute ses propres ingrédients à sa recette salace. La texture de la friandise collante vient s'attacher aux veines de sa tige pendant quelques secondes seulement pour lui procurer une étrange sensation qui le rapproche de plus en plus de l'explosion. Le fait d'avoir tenu aussi longtemps dans ces conditions est déjà un petit exploit en soi.

Le garçon ne veut pas déraper et décevoir la belle suceuse et il le lui fait savoir « Si tu continues de me sucer... comme ça... je vais tout lâcher dans ta bouche. » Sa main se pose sur le poignet de sa bienfaitrice du moment et celle-ci va vite remarquer qu'il tremble. Ce qu'il lui annonce n'a rien d'une blague. Sa bite est en train de se transformer en bombe à retardement dont le décompte doit se calculer en secondes seulement.

Un mois et demi d'abstinence. Un mois de stockage dans ses couilles pleines à craquer. Le résultat risque d'être aussi abondant que salissant pour la dévoreuse de bites. Peu importe la façon qu'elle choisira de poursuivre leur préliminaire. L'autre main de Matsuo se cramponne à l'accoudoir de son siège alors qu'il grogne de plus en plus fort dans son coin.

Son sang ne fait qu'un tour dans ses veines. La chaleur envahit tout son corps et ses lèvres s'écrasent l'une contre l'autre tant il a du mal à se retenir. Est-ce qu'il va lui exploser dans la bouche ? Eh bien non. Juste avant que l'inévitable se produise il lui repousse le visage et voit sa bite ressortir dans un amas de salive de cette bouche pulpeuse. « Aaaaah ! Aaaah ! T'es folle en vrai. » lâche le garçon en la regardant, sa bite tendue comme un piquet et tremblant entre leurs deux regards. Sans même s'en rendre compte il lui tapote le visage avec son membre gluant tout en ajoutant « Regarde ! J'ai jamais bandé comme ça de ma vie ! »

Est-ce un symptôme de son abstention ? Sa bite semble plus longue et épaisse que normalement. Les veines aussi en ressortent un peu plus. Sans parler de la façon et la vitesse de ces pulsations ou de la chaleur qu'il dégage.

Elle ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’il se lâche dans sa bouche, c’était même ce qu’elle préférait dans cette situation, elle aimait les faciales mais dans un lieu public comme le cinéma se retrouver avec le visage couvert de sperme n’était pas dans ses intentions. Elle assumait totalement ce qu’elle faisait mais elle n’avait rien pour s’essuyer et elle n’avait pas prévu de se faire un masque de beauté pour le moment. Elle continua donc de jouer avec sa bouche et sa langue sur le sexe aux portes de l’implosion avec envie, elle le sentait sur le point de jouir, comment faire autrement à force de se faire sucer par Ashley pendant autant de temps. Elle eut un petit grognement lorsqu’il se retira de lui-même, son long appendice pendant bien droit sous les yeux de la pompom girl :

« Tu ne t’attendais pas à ça aujourd’hui, hein ? Qu’une bombasse comme moi te gobe la queue par surprise ça doit être un de tes fantasmes. »

 Sa voix était plus douce et mielleuse que ce que l’on pourrait s’attendre en voyant son style. Elle desserre l’emprise de sa main qui le branlait pour lui caresser les veines du bout de ses ongles aiguisés parfaitement manucurés. Elle donne un coup de langue sur le gland devant elle, ne perdant pas une occasion de frotter son piercing :

« Moi ça me gène pas que tu me gicle dans la bouche, tu n’as jamais vu quelqu’un avaler mieux que moi. »

Elle lui sourit malicieusement, alors qu’elle lui donne un autre coup de langue :

« Si ça a bon gout, je te montrerais peut-être mes seins. »

Elle gloussa avant de poser ses lèvres sur le gland pour l’envelopper et commencer à le sucer en pressant ses lèvres à la base pendant qu’elle continue de lui caresser le long poteaux sur le point de craquer.

Tout ce qu'elle dit est fort probable sur ses talents d'avaleuse ou à propos des nombreux fantasmes du jeune homme. Se faire sucer par une nymphomane qui pourrait se taper n'importe quel mec en ville en claquant des doigts est forcément un scénario qui est revenu plusieurs fois sur le tapis lorsqu'il se trouvait seul le soir dans sa chambre avec son ordinateur. Et ça valait aussi pour le fait d'avaler son jus épais car les filles avec qui il a pratiqué l'on toutes obligé de se retirer avant et finir sur un mouchoir ou dans le creux d'une main. A part une exception ou deux...

Dans sa tête les affirmations et propositions de la belle pompeuse se mélangent et lui comprend tout autre chose vu qu'il lui demande « C'est vrai ? Tu vas me branler avec tes seins si tu aimes le goût de mon sperme ? » Une promesse qu'elle ne lui a pas du tout faite mais dans laquelle il se projette déjà. L'amour pour les grosses poitrines ça ne se commande pas en même temps.

Motivé comme une patate chaude, il lui envoie un « J'ai aucune raison de me retenir alors ! » plein d'assurance et des étincelles dans le regard. Il revient donc à la charge et pose une main, de nouveau, sur le dessus de la tête de la jeune femme pour lui faire engloutir bien plus que son gland qu'elle tenait au chaud. Matsuo souffle fort à chaque centimètre qui disparait dans cette bouche brûlante et humide. Ses fesses remuent elles aussi comme pour chercher à offrir l'angle parfait à cette pénétration buccale.

Seul dans sa bulle il parle dans sa barbe  « Un mois sans rien faire et je me fais sucer dans un ciné. »,  « Elle veut du sperme ? J'en ai plein pour elle. » ou encore  « Allez ! Monte ! Descends ! ». Il en va même de son autre main qu'il pause sur sa joue à elle pour guider maladroitement le mouvement de succion sur son membre. Il ne tiendra pas plus de trente secondes supplémentaire sous les assauts répétés de l'inconnue dont il coince la tête. Uniquement par réflexe et non par envie de la bloquer par sadisme.

 « Urrrgggh ! Merde ! Ca vient ! Aaaaah ! » laisse échapper Matsuo alors que son corps entier se recroqueville. Ses genoux se plient pour venir se frotter contre et sur le cul de la belle à qui il fait avaler des jets continus de sperme. Son jus est épais, collant et tellement gélatineux à force de ne pas avoir effectué la maintenance de ses besoins si longtemps. La stimulation continue de sa bite coincée dans cette bouche ne l'aide pas à se calmer. La chair de poule est visible sur chaque centimètre de ses bras en plus d'une sueur de plus en plus présente sous son t-shirt et son front. Heureusement que la salle de cinéma est climatisé car autrement il aurait fondu sur place tel un glaçon perdu dans le désert.

Reste à voir si les talents d'avaleuse dont l'inconnue se vantait son à la hauteur après le 6ème jet de crème épaisse.

Il se faisait déjà des films de ce qu’elle allait lui faire mais il n’avait pas compris que son esprit élevé au hentai n’était rien comparé à ce que pouvait faire Ashley rien qu’avec sa bouche et ses mains, elle lui avait promis ses seins mais pas de ce qu’elle ferait avec et elle comptait bien le surprendre. Elle n’avait pas vraiment de limite et ça son compagnon de salle obscure le découvrirait bien assez tôt pour l’heure elle suivait le mouvement lorsqu’il pose de nouveau sa main sur sa tête pour qu’elle le gobe tout entier, continuant de faire danser sa langue autour du pieux de chair.

Il ne fallu pas longtemps pour que le corps du garçon se crispe jusqu’à la bloquer afin qu’il se déverse dans sa bouche, le flot épais coulait dans sa gorge et elle avalait comme elle le pouvait dans cette position, aux vues de la quantité elle était contente d’avoir choisi ça et non pas de se faire asperger, elle aurait eu du mal à se nettoyer. Alors qu’il commençait à se détendre de nouveau et qu’elle n’était plus bloquée, elle se recula lorsqu’il eut enfin fini de jouir. Elle le regardait en ouvrant la bouche pour lui montrer tout le sperme qu’elle avait encore avant de de faire des gargarismes peu ragoutant et de déglutir afin d’en avaler une grande partie puis elle lui sourit.

Elle se releva en le regardant et s’approcha de lui en lui prenant le menton en main pour lui relever la tête, le sourire toujours aux lèvres en rapprochant son visage du sien jusqu’à venir l’embrasser alors qu’elle avait encore du sperme en bouche. C’était un classique, les hommes étaient toujours prompts à faire avaler leur semence aux femmes leur faisant une fellation vantant leur breuvage, il était donc de bon ton qu’elles partagent. Elle lui faisait gouter son propre sperme en faisant même danser sa langue avec la sienne pour mélanger la mixture.

Lorsqu’elle eut fini l’échange de fluide elle se recula afin de le surplomber du haut de son mètre quatre-vingt-sept, talons compris, afin qu’il puisse admirer son corps alors que comme promis elle retirait son haut pour dévoiler les deux opulents monts de chair qui lui servaient de seins :

« Ils sont beaux, n’est-ce pas ? »

Elle sourit alors qu’elle se rapproche de nouveau de lui et se penche pour lui écraser la poitrine sur le visage en gigotant doucement.

Les mots sortent avec difficulté de la bouche de Matsuo dont toute l'attention est portée sur cette grosse paire de loches. En même temps le jeune homme a toujours eu une certaine attirance qui tenait presque de la fascination pour les obus tant qu'ils restent naturels. Il n'y a pas que la taille qui compte pour les nichons. Un tas de critères doivent pris en compte et...

 « I-Ils sont parfaits ! » balance Matsuo dont le regard semble incapable de se détacher des nichons qui se ballottent sous ses yeux en fonction des mouvements de la belle inconnue. Impossible de dire autre chose qu'un
 « Mfffffff ! » ensuite car il se fait attaquer sans préavis.
La première sensation à laquelle il est soumis est l'odeur de la peau de cette nymphomane. Un parfum délicat et sensuel qui le prend au cerveau de manière plus agressive encore maintenant que le contact entre leurs deux corps est direct. Vient ensuite la douceur de cette peau et la texture rebondit de ses seins qui s'adaptent légèrement aux traits de son visage à lui à chaque mouvement de balancier qu'elle réalise pour l'exciter.

Et si jusque là il s'est laissé faire sans rien dire, Matsuo lance une contre-attaque... bien qu'hasardeuse, sur elle en venant poser ses mains de chaque côté de sa poitrine pour imiter un célèbre puff-puff. Le visage coincé entre cette imposante et délicate paire de nichons qui lui a été généreusement offerte. C'est elle qui a initié la chose. Hors de question qu'elle vienne se plaindre si il répond en conséquence, après tout.

La tenant de chaque côté, ses mains appuient sur les seins pour les déformer petit à petit en les pressant contre chacune de ses joues. Son excitation est telle que sa bite tressaute comme la queue d'un petit chien qui a vu son maître rentrer le soir du travail. Même sa respiration est lourde. Chaque soupire fini par s'abattre sur la peau chaude au parfum enivrant de l'inconnue.
Puis il relâche sa prise le temps d'un instant. Pour recommencer celui d'après. Ses mains continuent de trembler à cause de l'excitation et de la peur d'être surpris. Aucune part de son corps n'est au repos. Y compris son cerveau en ébullition qui se retrouve incapable de suivre le train de ses pensées.

Sans même s'en rendre compte, il repousse la belle en gardant ses mains sur ses seins pour mieux replonger dessus bouche la première. Ses gestes sont toujours aussi mal exécutés et c'est uniquement par son envie et son énergie débordante qu'il compense la chose dans des « Ummmnnn ! Aaaaahn ! Sluuurrrrp ! » qui résonnent dans ses propres tympans. A croire qu'il est coupé du reste du monde.